Super conscience et résonance évènementielle

Deïmian

P185 Les fragments que nous sommes, issus de notre super-conscience, sont amenés à
effectuer régulièrement des « bonds » et incorporent d’autres versions physiques de
nous-même, présents dans leur propre réalité.

Si cela vaut dans un sens, cela vaut aussi dans un autre : nos corps physiques peuvent
devenir, à leur tour, les réceptacles d’autres fragments de notre super-conscience.

Ces sauts de conscience permettaient de passer d’un plan de réalité à un autre

(rem : il s’agit de fragments de super-conscience et non de transfert de corps physique)

Dès lors que la réalité gagnée est assez semblable à celle que nous quittons, la
conscience se recalibre aux souvenirs de la nouvelle réalité.

Dès lors 3 options se posent :

 Saut de conscience imperceptible : le nouvel environnement étant très similaire

n’entraîne aucune incidence.
Ainsi il peut n’y avoir aucun souvenir de certains évènements relatifs à la
chronologie de la nouvelle réalité, car inexistants dans la précédente.
Ces pertes d’informations seront attribuées à de simples pertes de mémoire.
 Saut de conscience attribué à l’anomalie, avec peu de conséquence mais
débat animé avec les acteurs de cette expérience
Ici l’individu ne peut s’adapter entièrement à son nouveau plan et sera en
possession de souvenirs ou d’évènements hérités de sa précédente réalité.
Surviennent alors des anomalies caractéristiques d’un effet Mandela. Il se peut
aussi que des évènements vécus par l’expérienceur n’aient jamais eu lieu dans la
nouvelle réalité.
 Saut dans une réalité totalement différente de la précédente ( cas rare voire
improbable). Ici toute la chronologie relative à l’expérienceur n’a plus rien à voir
avec celle de sa nouvelle réalité.
Tout est différent : les proches ont changé, la profession aussi….
Ce type d’anomalies peut mener certaines personnes es à la folie.
Lorsque leur conscience est trop fragmentée, certains individus peuvent tenir
des propos invraisemblables et être diagnostiqués schizophrène.