PO SO Erni) HISTOIRE DE LA GUERRE Eee Pee td AVRIL 1944, LA GROSSDEUTSCHLAND A TARGULBIENVENUE EN NORMANDIE ; Constitué le 10 novembre 1942, le 742% Tank Battalion débarque & Omaha Beach e 7 juin 1944, Rattaché la 29° « Blue and Gray » Infantry Division, le ballon, qui na encore jamais vu le feu, es jet dans la bataille de Normandie ds fe lendemin de son ativée. Récit de este promitre journée de guerre ti ‘du camet de notes dun officier dela Company 4, le Lieutenant Homer Wilkes. « Matin de 8 juin 1944. Notre colonne se forme pres de Viewilleswa-Mer des rare endvots en Normanle qu ne soit pas recover parle bocage. Nous ‘nous mettons en route vers Maurie des terres. La Company C est en (Gt Nous ctteignons rapidement les positions les plus avencées de la 29° Infantry Division. £2, nous sommes dirigés vers Osmamille, un bourg situé& environ tice klomémes de notre point de djpar. Alors que nous nous rapprochons dhs village. nous sommes survolés par une dovczaine de casseurs-bombatirs de la Royal Air Force. Ce sont des Typhoon, des monomotewrs spicalsés cans la lume antichar: Les avionssuivent a méme route que nous, & basse altitude mais grande vitese. Aut lin, ts font cemi-our sewvolent Osmenville quis mitraillent sans s'yatarder puis, subitement,piguent droit sur nous en ouvrant le few ! Is sont en train de se romper de cible ! snows prennent pour des Allemands ! Leurs roquetes font de gros dégts parmi nos troupes. Le chef de la Company C est morteliement touché alors quil cherche & déployer un grand pannec d- denufcation sur la plage arriere de son Sherman ; si cela avait éé fait ds nosre départ de Viervile-sus. Mer, peut étre aurions-nous pu bviter la méprise des aviaiews. Plus de treme fantasins du \75* Infantry Regiment, gui nous ‘alent éxéafectés pour assurer la prowection rapprochée des chars, sont és ‘Queare de nas Sherman flambent sur ta route. Bienvenue en Normandie! Aprissmidi di 8 juin, Hormis a tragédie du matin et quelques escarmouches, le secteur est relaivementcalme, Nous passons le temps & discuter et de nos ‘chars en fumsant cigarette sur cigarette et en grignotant du chocolat. Larrivée ‘tum général dinfanerie [Major General Norman Cota — NAT] change la donne, Nous avons onire denfoncer les lignes allemandes et de conguérir Osmamvlle. Neat pas encore éxé débarquee, Varillerie ne pourra pas nous ‘appuver. Quant aus avions, mieux vaut ne pas en parler! Le Colonel Friese comnandant x 747 Tank Battalion, organise Vassaut, Cest mon uni, 3 Platoon de da Company A, gui est positionnée en tte. Mieus, c'est doi qe revient Uhonneur dows le bal, mon blindé constituans la pointe de mite disposi offensif: Comme si tout ca ne suffisait pas, le généra demande & monter & bard ! On ne dt pas « non » run général, aus: je propose de prendbe la place de mon mitrailleur de causse. Lic ex ra. Daéguisé en tankiste, i installed son paste de combat. Litague commence en dibs de soirée, Nous progressons en colonne,pénib ‘hermin dans te bocage. Nous sommes aecompagnés par ut copia ines tes hommes. Nous ateignons Osmannilie, Déplay en onire de baile ns arrosons le village ata miraileuse. Par précaution, on tire csi queues os explosfs dans les habitations. Notre infatere 'nfilre dans ta local va emer em nows ant quasiment pas opposition. La nuit tombe. Osmanvlle est & nous Nuit de 8 au 9 juin. Apres Osmanvle, vil que nous sommes charges depen dre wn antre patel = Isigny-sur-Mer. Dixit Vétat-major, Fopératon de ie -menée sans dill! objec ext @ environ un kilometre de distance 4 laser Et de quatre ! Jsqu, pour premio depts lo encarta cane ta ble Se earl Joiper see or Hedrorique, Monsieur Thiery Nicquevert, su suet Ica vad ieeie ca en aa ie eee rcineeita src Nous vous souatons une tbe bome etre Qui va a la chasse perd sa place ! rs do Sain-tust en Chausede : f dae le jgon de impr. rors en France par Pritain Fane by eeu Basé sur un extrait tiré du journal de marche du 2 régiment do cuirassiers, cet article nous fait vivre la Liberation de la basilique de Notre-Dame de la | Garde & Marseillo en aodt 1944, plus importants de la Waffen-SS. Cet homme, dont la vie est digne de celle d'un personniage de roman, sora tout au long de sa carriére un bras croit fiddle pour le Fuhrer et un chef militaire redoutable. Tandls que les armées aliées piétinent dans la boue | des tranchées, un petit groupe de visionnaires met 2u point une nouvelle arme : le tank. Aprés des debuts difficles dans la Somme en 1916, le tank va démon- trer ses capacités offensives & Cambrai en 1917 fermen Bien que cela ne soit pas le cas, la batalle défensive rmenée par les Panzer de la « Grossdeutschland » & TTargul-Frumos au printemps 1944 devrait tre tenseignée aux éléves offciers des armées modemnes tant alle reste un modéle de ténacité et de courage ! Oa Initilement congu pour casser des fortfcations, le « Bafa » va rapidement devenir un engin antichar terriiant grace a sa piéce de 88mm. De larges exalts de documents c'époque vous renssigneront {an detail sur cette machine peu connue. Eerie kc eee en) La capitulation italienne du mois de septembre 1943, va plonger les troupes allemandes et transalpines stationnées en Yougostavie dans une situation ambigué qui débouchera sur des affrontements armés pour le contréle de Split et de Dubrovrik !PROCHAIN NUMERO EN VENTE DEBUT SEPTEMBRE | ii) mn ie i \ oa, Dans notre prochain numéro, nous vous proposerons un article sures GRDI de Armée francaise en 1940, un article trés complet sur im- | pressionnant Jagctiger allemand, la suite des textes sur la bataille de Cambrai et les combats italo-allemands en Yougoslavie en 1943, ainsi {que de nombreux autres articles! En attendant de vous retrouver, nous vous souhaifons de tr8s bonnes vacances estivales | rtd Ca ee co Po ee) ree nts Sere ea rss Piece mae eee oer ag Been : Eas ECE ea a Po ee Pee es Cette eee Ree Lepopse au Royal Cambous (1) LLepopbe du Roya Cambouls (2) SlamCraeh eee res Tiger Le gendse du eure nin Rommel! UAbemegne event tout 7.34/85 60 ans au serdce des Camarades! | ot eee Bemard - Moriganery Baccarat 194, la ics Harta Las Panzer Dison atiaque a Test epee ere rotons, avr 1018 Le SP 17-par Avenger (ASO) Rf a Cocina (ato, 1948) aes Le Panzerkamptwagen IV Aust. A Journée dienfer 8 Koursk | Le Panzer-Bergogerst —Bergepanthor pide rorepaias ye Tanks Is care vlan sovétiquesT-60, le pat pouost de Leningrad Un"tex" nomen a "Marne Cr ‘Un ehassursachantonasser OM 20 Et historique ot ttnigue De Brazzaviie al Jourdan Sec Rootes [1 Oui, je m'abonne @ Batailles & Blindés pour une année, solt 6 numéros, a partir du n°S inclus. France : 30.00 euros - UE, Suisse et DOM-TOM : 35.00 euros - Reste du monde : 40.00 euros 1 0 je sounsite recevoir les anciens numéros de Batalles & Blindés cochés ci-dessous au prix de 7.50 euros pide (Frais de port inclus pour toutes les destinations) (_]8&8 numéro 1 [}8&B numéro 2 (B&B numéro 3 Nom Prénom Adresse Code postal vile Pays Je souhaite régler par : [1] Chéque (a 'ordre de Caraktére) - Ci Manat ¢ C Carte Bancaire : VISA - MASTERCARD (rayer la mention inutile) é Ba $ ' r= Roig: Numéro 1 tJ LLL 1 J LLL LLL I ES <. Date d'expiration / Signature Or Tea) Service des abonnements Sle Nea eee e) 3008 Marseille - France f eer a NOUS RENVOYER| jiHistoirE GuerrkE le mogatne histoire dela seconde guerre mondiale Tous les mois, découvrez dans le détall histoire du plus grand conflt de tous les temps, Vente en kiosque Abonnement, commande d'anciens numéros 03 88 3400 (8 MMartaenstaetsrseytepenetanaresMARSEILLE, 1944 : LE CALVAIRE DU CHAR DAWN DE Le 15 aoiit 1944, les troupes de l'armée B, future Premiére armée francaise, commandées par le général Jean de Lattre de Tassigny, débarquent sur les cétes varoises. Immédiatement ou presque, les unités frangaises s'engagent plein Ouest, cadenassent Toulon, puis foncent vers Marseille. Les faubourgs de la cité phocéenne sont atteints le 21 aoat par le Combat Command 1 de a 1° division blindée appuyé par les éléments de pointe de la 3 division d'infanterie algérienne. Défendue par la 244 Infanterie- Division du Generalleutnant Hans Schéfer, la ville est rapidement encerciée. Investis les uns derriére les autres, les quartiers de Marseille tombent entre les mains des soldats du général Monsabert et des résis- tants. Pris au piége, les Allemands ménent un dernier baroud d'honneur dans différents secteurs de la ville dont celui de la colline de Notre-Dame de la Garde. Au matin du 25 aodt 1944, tirailleurs algériens et chars du 2 régiment de cuirassiers montent 4 l'assaut pour libérer la « Bonne Mére » Prise de ls Basilique de Notre-Dame dela Garde Extrait du Journal de Marche du 2 giment de euirassiers Venue 25 oi 1944, 8 heures. Le 2 escadron ceseadron Fougire — est rasemblé cours Pierre Puget. Que de sensations fortes depuis hier! Cette _atmosphére de guépier boulevard Longchamp. Ce dépar nocturne de Marseille & travers des rues pleines de menace, Ce retour, ce matin, salué par les fllesacclamations des population de la an- lioue Es. Et maintenant il sagit dappuyer le Datallon Manel du 7 régiment de traillews algtions chargé de Tenlévement dela colline de Noae-Dame de la Garde. Un coup doeil sur le décor de Vacte qui va se jouer. Il est affieux : rues troites, pentes impresionnantes,virages en épingle a cheveu. nun mot, terain dembuscades, terain de corps & comps, opposant nos Sherman des difficutés qui semblent insurmontables, Bien des atouts par ‘contre entre les mains de lennemi. Mais ya tilun vantage matériel qui puisse contrebalancer Ténorme supériorité de moral dune armée dj victorieue ” Et puis, dans tout Iuzur du ciel dao, Ja « Bonne Mére » attend qu'on la délive, La liaison est prise avec le 7° tirsilleurs, On est {accord Le peloton Moine appuiea la progression 6 'infanerc, & gauche, par la rue Breteuil. Le peloton Laporte agira a droite, en essayant de «border Fobjectf par TOvest. Les moteurs sont en rmarche, les équipages, & leurs postes, Il est 9 heures; on pare Les Sherman de Laporte sengoutlieat dans le boulevard de la Corer. Fracas de chenille sur le ‘macadam, puis prondement des 75mm ; arm antichar « boche » qui vient tre rédute au silence. Voila le boulevard Tellene | Cest le moment dobliquer & gauche pour monter vers Notre-Dame de Ia Garde. Malheur ! Impossible de passer, Ia pente est trop forte, les toumants trop semés dans une rue étroite. Que fire ? Il faut se résoudre dune attaque frontale parle boulevard Gazzino, puisque tout dsbordement est impos »Cest sible, La radio transmet : « Demi-tour de nouveau le cours Pierre Puget! « En avant, droite !» Le char « Jeanne d Are » est en téte, suivi du « Jourdan » ‘mandé par le maréchal des logis chet Lolli. Puis viennent le « loffte », le « Jean Bart » et le « Joubert ». Monterontils? Cette pente est si ride | Le «Joubert » pein, sarréte,recule... Le conducteur nest plus maitre de son engin. Fracas e vite brsées. Le char vient denfoncer la devan- ture dun magasin. Il est immobilsé, une poulie folle rompue. Dix heures, ses camarades continu- ent travers un déluge de feu Le erpitement des lest le groupe com rafles drmes automatique, entemélé de sie ments abus anichars, se répand dans les res Les chars avancent cependant, implacables. Leur feu puissant et précis domine celui de Tennems Le « Jeanne @Are » est deja tout prés de la Dasilique,& cOté des ascenseur. I est soutenu par le « Jourdan ». Les lance-flammes, les bazookas, les grenades incendiires, viennent dentreren jeu. Le lieutenant Laporte sest arrété sur une petite place, au bout du boulevard Gazzino. Avec le «Joie» et le« Jean Bar», il doit faire face, aussi bien en avant, vers Notre-Dame de la Garde pour aider parson feu le groupe Lollit, que vers lar igre, en direction du boulevard Telline + les Allemands sont partout, Cest le corps & corps et nous avons pas dinfanterie. Les trailleursniontpas pu suivre. Comment exploiter ce sues, si P 3 de Tobjetif? Bruit de chenils, div copitaine Fougér Je « Duguesoin , le char 1 rgjoint fe lieutenant Laporte. Un eoup doeil sur la situation Les tins mis qui vennent de TOuest sont bie autant plus que la visbilité ste LeaDu femur dujrdn de Pévéché puis se portent droite Is sont désormais mieux plac, de tesclin » et le « Jofre» éerasent Tout pun vértable bole enflammé dévale i collin, Il enfonce Tenceinte du jardin, dia cet explose & moins de cing metres di « Ces e« Jean ©». Lanee-flammes endiaies ? Les deus & la fois sans Jute. Peut-dtre aussi arme antichars. Le « Jeanne Ate » sles plus quiune épave fumante, Le rmaréchal des logis Kec, Guilt, eur et le cuirassier C jennent de tomber gloreusement au Champ Notre-Dame de la Garde sera prise quelques dizaines de minutes plus SHonneur, La basilique Aoi: ee rests ou Shennan MAME « Amici gin Nonsbrleprteart | Dison Comat Command 1044Sc ee ( Wortemberg, que Josef Dietrich voit le jour le 28 Ce nse a eae ere ae Bree tere en Baviére oi ils espérent améliorer leur sort, & défaut de Gee ee eae ee ea Sere ee ee ce Se uc ee eects Cee et eet Ce ee es Cee ee ene eee ees Pe een oy des écuries et autre, Josef Dietrich décide en 1907 de se Geet ee eee viennent douvrir une petite auberge. Commence alors Peds ec te ee Te te ue oe ee et ees te eee ee eee ee eed eee eet ere tag e la « Leibstandarte » se prend de passion pour los courses automobiles, les belles mécaniques et les joes ee ee ae a all Peet ae te Le 18 octobre 1911, de retour en Allemagne, Josef Cee re mY bavaroise... aprés avoir envisagé un temps de devenir Sea ae ee Ce Oe eee ee ee eee ee Rd Se ee en ee Josef "Sepp" Dietrich Ne aS ee oe ancy leaders parmi les plus importants de CO te eo ae ee a Reed Cole uur eke aoneuh Rae Meee eRe Reina lM [reli aie( ele a a ee Ce Me me elo) ee Ee ae ed ee cet Cee Ree cea lune tertble chute de cheval, ce qui engendre son renvoi ee ed 1911 a 1914, « Sopp » Dietrich vivole grace a de petits CO Oe ee ferme, II oeuvre comme garcon a tout faire. Le 6 aodt DO ee ee CS DA ae ee ec Cee ee eee ry Sete ec ene re een ee ees Cee ee ae etd Cee eee oc er ee eee Sn eee ee at See ee eee ee es ualites de combattant et la bravoure dont Dietrich a su Cee ee eee ee at extraordinaire révélateur de caractére ! Pour son retour au Ce eer ae eas Lea Ieee ua ee fete ea ee ca reste que peu de temps car il est & nouveau blessé par la Dee a een em) Coreen ie ke des rares unilés de chars de la Kaiserheer. Canonnier & bord dun Sturmpanzerwagen ATV du Kampfwagen Abteilung 13, Dietrich entrevot les possibiltés tactiques offertes par les bindés. Son char détrit en mai 1918, i peer ht ae tts Ce ee mere tdee ety armistice au soir du 11 novembre 1918. Comme pour des Centaines de millers dautres soldatsallemands, la nouvelle ainsi que ses suites diplomatiques et poltiques lui laissent un godt amer. Certes, les empires germaniques sont KO ee eee Or ena tee eee ty premiere partie de la cariére militaire de Josef Dietrich, Ce demier retrouve la vie civle en mars 1919, En ee eee eee ee ed Ce ee any ee ee ee en Cee ete a est donc un ancien combatant mériant, un héros de la guerre des tranchées, qu se relrouve démobilisé et proj Ce eee tee ca En avil 1919, Dietich retoume en Baviere avec pour pro- jet de rejoindre la Landespolizei (Equivalent de la police Soe ay Te ee Pe eee eee ey SN eee ee Ce ge te ace Se a ee Ce ee eas Allemagne par le « Diktat de Versailles » ou encore le eM te ee SNe ne eed Cee ee nay eee a er etd SR tee Rad eee eee ee pede ee att aa contre des insurgés polonais. Comme en 1914-18, son Josef “Sepp” Dietrich Ce Roce) Dietrich au sein de ce coms franc le conduit progressive- ment & découvrir une myriade dorganisations et de parts Cee ee) Dee eee ors le parti c'Adolf Hitler, en ost un. Si Dietrich semble étre séduit par la volonté hitlérienne de rendre sa grandeur & rAlemagne, en dénongant le Traité de Versailes et en se Coe mt ee Cnty Gee ee enn ee ere ee eu ete! ne tee eee eet Ron eee eae) ee Wee ec) Cree ce cae ee Fee a ety eee ene arcs nea a De 1924 jusqu’en 1927, Dietrich ne fat quére pare de lu CORA ee ee cas Rented eee es eee tas Cee eee ee ene ost multiplier les petits boulots pour vive. Vendeur dans une {abrique de taba, i prend fn 1927 la gérance dune station pe eee ‘qu se trouve étre Fun des quinze premiers adhérents du Ree ent ate ee ee ced Sen er get eeu) Fe i et es ger de Weber. Le 1* mai 1928, Dietrich prend la décision de en ena ae) ‘Quatre jours plus tard, il sengage dans la Allgemeine-SS Geese Eee ee te Reet paeonty can ns poertrieebis ores Seater elneaneabeenar Peart) oie eins peer canna a ee Pecan ee Poerarerets on eriann peorore tot ce es pierre rns erent cere on Pees eee) eee (ot Yarns Ka) le 1. SS Sturm, futur 1. SS-Standarte. Jugé comme étant Cee ey ee eee ae ea Fe eee rer Se eee a) Peete oe ec Oe ee ery 1930. Parallélement, Dietrich, athléte reconnu ot boxour eee et ec ee Cee eee Cee ag tel eee et Cee es Pee ee eee eT droiture de Dietrich, écrira a son sujet en fevrior 1942 : « le eet ee Ce eee nee ee ee eee ce) Ce i eae eee Ce eee ney ea Lo 11 juillet 1930, Dietrich, promu SS-Obertihrer, prend er OE ted Se ne oe ed poste Rudolf Hess. Le 18 décembre 1931, il devient SS- Gruppenfahrer. Entre-temps, entre au Reichstag comme See et ad le commandement des SS Gruppe « Nord » et « Ost » Pee ee een se situent pas la car, depuis e 29 fier 1922, lest la Pe ee cs Josef "Sepp" Dietrich ee eg et nes ee ey puis le SS Adolf Hider Standarte et enfin la « Loibstanderte ee Ere ee eee ty ee eee ee ee Re a ee eed ee te et ea) du NNSDAP, une entté nationale-socialiste est financée par les fonds publics alemands, la LSSAH passant sous ee ee eae) Diotrich, il sinstale dans un appartement attenant & la Re ee eta See i eed Hitler » jouent un role important dans ce qui entrera dans Dey eC ett ee ect ee) Fee eee end Ce ee ed aoe) Cee ee tet Se ee ees Pee ee eee ace oe ee) ee eos a eee Himmler deviendront méme de plus en plus problema ee et nal Cee ee ee) pee ee ee ae) la devotion de son subordonné, lui accordera toute sa Cee ee uo isee ee Ge eta eens Fe ese eee ees Cee eee kee pe ee ee ee Cee ee ery Cee eee Se eee Te est transformée en régiment motorisé — Infanierio- eet een ee eee a a ete eee ene te) mission traditionnelle de protection du Fuhrer. Les ee ae ee Se ei ne ee ee ee od Cee ee econ ee Ce ee eee Cree ee ae) ee ee de ces Cee ae ee ae ead ccoureur de jupons [Dietrich — NaIA] !» Si, effectivement, Ce eee ae ay Cee ee ees méme, qui ne dédaigne pas & mener la « belle vie », i Cre eee Ct ee te ad ee ee iT Ceo i Nee eee ad See ee nay en la personne du Generaloberst Werner Freiherr von ee eee ee eee aD ee ee eee ed Cee er es le SS, membre de la « nowvelle arstocrate hilerienne » Sea a ee eee Deere ce te Ce ee eee To Josef “Sepp» Dietrich —~ ae | demier glosera au sujet de « Sepp »...En atlendant, Dietrich Cee eee ee ees ee eee Panzer Division sure terain de manoeuvres ce Grafenwhe eae En septembre 1939, Funte condulte par Dietrich participe See ee en ee ey ds pertes relativement lourdes. En 1940, Josef Dietrich, General der Waffen-SS depuis lo mois de mars, prépare ee eta Cee Prreerrieer yy ener’ ety Prrmetntente ti Feeney pepe ern coi eee ten Parra) eee Pee) Pear Peer aaes oe poate earned eee Pepe faery yy peeled) Eapeeneennersy Frown neeip acose « Sepp» Detrich cae eee) ees Perera Peet) corer Qos eee Seer) Ey ean peeve es ear ocnnts os Oe ea) Ce Ce cee ee cy eee cts i oe eee ee cca See eae ume! Ce eee La LSSAH combat ensuite dans la région de Dunkerque Ct ee ey Re ay bombes de la Luftwaffe. Dans la seconde phase de la Ce cee oe eed Se ee eet Ce ee eee) {rancaises bien décidées 4 se bate sur-place, le XIV. Armee eee passe la Seine puis la Love. La France est vaincue. Hier Cre ete ee eee Peet eed décoré le 5 jullet 1940 de la Croix de Chevalier par le od eee ene ee) Ce ee ee eee Pee oe et hee ad Peer wee eee eet bativté. On citera tout particuliérement les manosuvres Cece e eres Tunité alors commandé par un jeune offcier talentuoux, Kurt Meyer, futur Kommandeur de la 12. SS-Panzer- ee ae Ey Ce ee) DEE at Re ee eS eae eee ee ee en ee cet Ce eee a ey Ce ag ee ee ey Offciers grecs conserver leurs armes personnelles et & eer es cr roa og Cee ee ee ate ea eee ee ee Ce ede ee ee es Se ee ea eos juste, Tunité est engagée dans opération « Barbarossa », eee tre eters Ce ee oe eee ea eee td Ce eee eis des armées sovistiques dans ce que fon nommera le Cee eee ee et ee enire une nouvelle fois en confit ouvert avec Heinrich Dene ee Ce ee ne ate Pe ee ce pe eee ieee ed fete eee a ee ead Cee eee ne ee eC i eee ne testera personnellement auprés dHiler contre la iquida- Cee gn Pe le sectour de Taganrog. Cest au cours de ces opérations que les Waffen-SS découvrent las corps de six de leurs Ce ee eee eee eae cers Gree eee Coteus eet la guerre en URSS est donné ! La division reprend encuite See eM es Cee eee eee Coser ete ee te tt eee eg OeyJosef /Sepp» Dietrich Se ee ts ee eee Liver 1941-42 enire dans THstore comme étant fun des Be ee eae aussi pu marquer les esprits comme ayant été un biver Pee meee en ts Se et a ee) So ee ee et Se ee te eae Re ee et ee eats Sree ae) eee ene Cee ey eu eee eee ee ee ead Quimporte, car au cours de thiver le Kommandeur de la ee tee end cc as Cee er ge ete ct particullérement sanglantes pour les Soviétiques. Au sujet Ce ee ee ee ca Ce ee ae) eT eer ee ea ar ee ee ee ee ee Cem as Se CL ees eed oer ean ery coer nee es perry ey end ere parte pee Cae ore prbetieeee ert Secs ee pes mnrnens enon ers ecu tice pairs ee Ce positrons Water ss) yea Cee ees fert sur le front de FEst, est ramenée en France afin dy Ce ee ee es basés prés de Paris. La capitale francaise, notamment Fee ee Se el eo ee eee ee ae as edtieetheee Le vore supérieure, une dhisonbindée de Tarmée. Fin 1942, Ce eee [Nord — opératon « Torch », Ditch et ses SS partcipent ey tore et aa SR ec Se een ee ny CT ee See etd Se ee er Pendant plusieurs semaines, par des températures quas- Plates, la « Lebstandarte » manceuvre conformément au Sed eee hd Manstein qui commande alors le Heeresoruppe St. eed ta nce eet ts Ce ee Bielgorod le 18. Dietich est décoré des glaives le 16 mars re a rt ee ee te me Ce eT) Se ee Oe en a ent eviencra le 27 jllt 1943 le 1. SS-Panzer-Koms. En SCN ee eee superviser le désarmement de 'armée Italienne qui Se ene ong Dietrich rotrouve « sa » LSSAH envoyée en Italio du Fe ote Ce Josef ‘Sepp Dietrich Cio og CO ee eg Cee ete Printemps, Pars. La seule unité rapide disponible est Se eee a es ee ee elle est encadrée par de nombreux anciens de la LSSAH teen eet es eens que malgré le jeune age des soldats qui la composent est dores et déja une unité dilte. Le 6 juin 1944, alors Cee oo ne ee tn he eR Cee te ee od ee en Dee eee Ce eee cee mee foe te es ‘Allies. Dietrich dispose alors de la Panzer Lehr Division, eee er a ee eee ees Se a ere ae) eee eee te Sat es Ce eee ee ea sive, interdisant aux blindés anglo-canadiens la prise de eee te ee ee Dc Cee eu emetd Generaloberst der Waffen-SS. Par la méme occasion, Pe ee) CCN cee a ad Cee a ees Cee ee ey Cee Ne Dae eae ed eee eget toe eee aot ae Ce ame eos peeee ieee Cir Ter seeJosef “Sepp” Dietrich ieee ee ae Ce eet ee eee ee Ca aa eee) ouvrage « Hitler's Generals », Corell Bamett, New York, Dee eee) ae eee ay Ce ee eee ey Re erent nee ses consignes. Autrement dit, solon Kurowskl, Dietich See eee erry renverser le Fuhrer! Cette assertion a de quoi surprendre Pe eee a ts De ee es Cee ee ee a ad Cee eh ce Ee eee cone wei See ee et ree) eet eo eee ag tg Pour son Fuhrer alors que les occasions de le trahir en Ce ee teed Pee ee eer te De ee eke gad éclarera quil s'agit « d'un acte de lacheté imaginé et ‘monté par des couards riayant pas hésité a plonger les Ce ee nee eed eee UC Ree cert Ce eee ee ee ee See eee) Ce ene aed See eee eee re ot) Se eee ‘du mois doctobre 1944. A Forigine composée des /. SS- Panzer-Korps (SS-Gruppentatrer und Generaileutnant Cea Saar Cet em Ree ey Pe on eo i ies Korps afin détre engagée le 16 décembre 1944 dans la contre-offensive des Ardennes ~ opération « Wacht Am Rhein » -imaginée par Hitler en personne. On y trouve la ee eee) Ce ages Dee ee eee Sylverster Stadler), la 12. SS-Panzer-Division CE eee Ce RCo Oe ee eas ea ome che Postifoffensif allemand, chargée de Feffort principal, la 6 eee ee ged tee ot Cee te ieee ec ae ete teed Cee et es appuyer ses unités, « Sepp » peut compler sur le soutien Cee ee ee ee) Hasso von Manteuffel qui couvre son aile gauche. Le fer Cee ne eon iets ee nen eet Loe Cre eer ees «Jochen » Peiper. Le 16 décembre 1944, en pleine nuit, les troupes allemandes s'étancent sur un front de plus de cont kiométres de large entre Montjoie et Echternach, Cee eee eae lise progressivement. Contraints de circuler sur des routes

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