Dans l'obscurité de la nuit sans fin,

Ton esprit erre, prisonnier du chagrin.

L'alcool coule comme un fleuve amer,
Emportant tes rêves, ton être entier.

Chaque goutte est une larme versée,

Chaque verre est une part de toi effacée.
Tu te perds dans les ombres de la peur,
Ton âme s'engloutit, impuissante, sans lueur.

Mais écoute ces mots, comme un coup dans le noir,

Réveille-toi, regarde-toi dans le miroir.
Vois-tu l'homme brisé, l'ombre de toi-même,
Assoiffé de lumière, prisonnier de ce même.

Il est temps de briser ces chaînes d'illusion,

De renaître, de trouver ta propre rédemption.
N'attends pas que la nuit dévore ton essence,
Saisis-toi du jour, de la vie en abondance.

Tu es plus fort que les démons qui te hantent,

Plus grand que les vagues qui te tourmentent.
Lève-toi, résiste, réclame ton pouvoir,
Et danse à nouveau sous le soleil, ce pur espoir.

Que ces mots résonnent comme un écho dans ton être,

Que ta volonté se lève, prête à renaître.
Tu es le héros de ton propre voyage,
Libère-toi, brille, deviens ton propre sage.