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Des études montrant les effets du WiFi et des appareils sur la santé

Table des matières

136 études montrant les effets sur la santé de la radiofréquence WiFi


Radiation

Effets sur la santé Pages


Effets sur le cerveau et les neurones Pages 2 à 18
Effets sur les yeux Pages 18­24
Effets sur la fertilité et la reproduction Pages 24­28
Effets sur la grossesse Pages 29­32
Cancer Pages 32­35
Effets sur les enfants Pages 35­36
Effets sur les hormones Pages 36­37
Dommages à l'ADN Pages 37­40
Effets sur le cœur Pages 40­41
Inflammation Page 41
Effets sur le sang Pages 41­44
Stress oxydatif Pages 44­46
Effets sur le bien­être Pages 47­48
Effets sur tout le corps Page 48
Effets sur la moelle osseuse Pages 48­51
Effets sur l'insuline Page 52
Effets cellulaires Pages 52­57
Effets sur le comportement Pages 57­59
Effets sur la fonction immunitaire Pages 59­60
Effets sur les protéines Page 60
Hypersensibilité électromagnétique Pages 60­63
Effets sur les organes critiques Pages 63­65
Effets sur le sommeil Page 65
Effets synergiques sur la santé – RF et autres agents Pages 66­68
Effets sur l'environnement Pages 68­69
Effets divers Pages 69­73

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Effets sur le cerveau et les neurones

Lai, H, Carino, MA, Singh, NP, la naltrexone bloque les cassures double brin de l'ADN induites par RFR
dans les cellules cérébrales de rat. Réseaux sans fil 3 : 471­476, 1997.
Des recherches antérieures menées dans notre laboratoire ont montré que divers effets de l'exposition aux
rayonnements électromagnétiques de radiofréquence (RFR) sur le système nerveux sont médiés par
les opioïdes endogènes dans le cerveau. Nous avons également découvert qu'une exposition aiguë
aux RFR induisait des cassures de brins d'ADN dans les cellules cérébrales du rat. La présente expérience a
été réalisée pour déterminer si les opioïdes endogènes sont également impliqués dans les cassures de brins
d'ADN induites par RFR. Les rats ont été traités avec l'antagoniste des opioïdes naltrexone (1 mg/kg, IP)
immédiatement avant et après l'exposition à une fréquence pulsée de 2 450 s impulsions, 500 p
MHz (2 une densité de puissance de 2 mW/cm2 (taux d'absorption spécifique moyen du corps entier de 1,2 W/
kg) pendant 2 heures. Les cassures double brin de l'ADN ont été analysées dans les cellules du cerveau
4 heures après l'exposition à l'aide d'un test d'électrophorèse sur microgel. Les résultats ont montré que
l'exposition au RFR augmentait de manière significative les cassures double brin de l'ADN dans les cellules
cérébrales du rat, et L'effet a été partiellement bloqué par le traitement à la naltrexone. Ainsi, ces données
indiquent que les opioïdes endogènes jouent un rôle médiateur dans les cassures de brins d'ADN induites
par RFR dans les cellules cérébrales du rat.

Kesari KK, Behari J, Kumar S. Réponse mutagène à l'exposition aux rayonnements de 2,45 GHz sur le cerveau
de rat. Int J Radiat Biol. 86(4):334­343, 2010.
Objectif : Étudier l’effet du rayonnement micro­ondes de 2,45 GHz sur le cerveau de rat de la souche Wistar
mâle. Matériel et méthodes : Des rats mâles de souche Wistar (âgés de 35 jours et pesant 130 +/­ 10 g de
poids corporel) ont été sélectionnés pour cette étude. Les animaux ont été divisés en deux groupes : simulés
exposés et expérimentaux. Les animaux ont été exposés pendant 2 ha par jour pendant 35 jours à une fréquence
de 2,45 GHz à une densité de puissance de 0,34 mW/cm(2). Le taux d’absorption spécifique (DAS) du corps
entier a été estimé à 0,11 W/Kg. L'exposition a eu lieu dans une cage en plexiglas ventilée et conservée dans
une chambre anéchoïque dans une configuration en champ lointain depuis l'antenne cornet.
Une fois la période d'exposition terminée, les rats ont été sacrifiés et le tissu cérébral entier a été disséqué et
utilisé pour l'étude des cassures de l'ADN double brin (acide désoxyribonucléique) par électrophorèse sur microgel
et l'analyse statistique a été réalisée à l'aide du test des comètes (logiciel version IV­2). ). Par la suite, une
estimation des enzymes antioxydantes et des histones kinases a également été réalisée. Résultats : Une
augmentation significative a été observée dans la tête de comète (P < 0,002), la longueur de la queue (P
< 0,0002) et le mouvement de la queue (P < 0,0001) dans les cellules cérébrales exposées.
Une analyse des enzymes antioxydantes glutathion peroxydase (P < 0,005) et superoxyde dismutase (P <
0,006) a montré une diminution tandis qu'une augmentation de la catalase (P < 0,006) a été observée. Une
diminution significative (P < 0,023) de l'histone kinase a également été enregistrée dans le groupe exposé
par rapport au groupe témoin (exposé de manière factice). La méthode d'analyse de variance unidirectionnelle
(ANOVA) a été adoptée pour l'analyse statistique. Conclusion : L'étude conclut que l'exposition chronique à
ces radiations peut causer des dommages importants au cerveau, ce qui peut être une indication d'une éventuelle
promotion d'une tumeur (Behari et Paulraj 2007).

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Lai, H, Singh, NP, la mélatonine et un composé spin­trap bloquent les ruptures de brins d'ADN induites
par les rayonnements électromagnétiques radiofréquences dans les cellules cérébrales de rat.
Bioélectromagnétique 18(6):446­454, 1997.
Les effets de l'exposition in vivo aux micro­ondes sur les cassures de brins d'ADN, une forme de dommage à
l'ADN, ont été étudiés dans des cellules cérébrales de rat. Dans des recherches antérieures, nous avons constaté
qu'une exposition aiguë (2 heures) à un rayonnement électromagnétique radiofréquence (RFR) pulsé (impulsions de
2 microsecondes, 500 pps) de 2 450 MHz (densité de puissance 2 mW/cm2, taux d'absorption spécifique moyen du
corps entier 1,2 W/ kg) a provoqué une augmentation des cassures simple et double brin de l'ADN dans les cellules
cérébrales du rat lors d'une analyse 4 heures après l'exposition au moyen d'un test d'électrophorèse
sur microgel. Dans la présente étude, nous avons constaté que le traitement des rats immédiatement avant et après
l'exposition au RFR avec de la mélatonine (1 mg/kg/injection, SC) ou le composé spin­trap N­tert­butyl­alpha­
phénylnitrone (PBN) (100 mg/kg/injection, ip) bloque ces effets du RFR. Étant donné que la mélatonine et le PBN sont
tous deux des piégeurs de radicaux libres efficaces, on suppose que les radicaux libres sont impliqués dans les
dommages à l'ADN induits par le RFR dans les cellules cérébrales des rats. Étant donné que les cassures cumulées
des brins d'ADN dans les cellules cérébrales peuvent conduire à des maladies neurodégénératives

et au cancer et qu'il a été suggéré qu'un excès de radicaux libres dans les cellules serait la cause de diverses
maladies humaines, les données de cette étude pourraient avoir des implications importantes sur les effets sur la
santé de l'exposition aux RFR. .

Lai H, Singh NP, Interaction des micro­ondes et un champ magnétique temporellement incohérent sur les cassures de
brins d'ADN simples et doubles dans les cellules cérébrales de rat. Electromag Biol Med 24:23­
29, 2005.
L'effet d'un champ magnétique temporellement incohérent (« bruit ») sur les cassures simple et double brin de l'ADN
induites par les micro­ondes dans les cellules cérébrales du rat a été étudié. Quatre groupes de traitement de
rats ont été étudiés : exposition aux micro­ondes (micro­ ondes à ondes continues de 2 450 MHz, densité
de puissance 1 mW/cm2 , taux d'absorption spécifique moyen du corps entier de 0,6 W/
kg), exposition au « bruit » (45 mG), exposition « micro­ondes + bruit » et exposition fictive.
Les animaux ont été exposés à ces conditions pendant 2 heures. Les cassures d'ADN simple et double brin dans les
cellules cérébrales de ces animaux ont été analysées 4 heures plus tard en utilisant un test d'électrophorèse sur
microgel. Les résultats montrent que les cellules cérébrales des rats exposés aux micro­ondes présentaient des
niveaux significativement plus élevés de cassures simple et double brin de l'ADN par rapport aux animaux
exposés de manière factice. L'exposition au « bruit » seule n'a pas affecté de manière significative les niveaux (c'est­
à­dire qu'ils étaient similaires à ceux des rats exposés de manière fictive). Cependant, une exposition simultanée
au « bruit » a bloqué l’augmentation des cassures de brins d’ADN induite par les micro­ondes. Ces données indiquent que

une exposition simultanée à un champ magnétique temporellement incohérent pourrait bloquer les dommages à l'ADN
induits par les micro­ondes dans les cellules cérébrales du rat.

Papageorgiou CC, Hountala CD, Maganioti AE, Kyprianou MA, Rabavilas AD, Papadimitriou GN,
Capsalis CN. Effets des signaux Wi­Fi sur la composante p300 des potentiels liés à un événement lors d'une tâche de
fenaison auditive. J Intégrer Neurosci. 10(2):189­202, 2011.

On pense que la composante P300 des potentiels liés aux événements (ERP) indexe le fonctionnement de
l'attention et de la mémoire de travail (MW) du cerveau. La présente étude s'est concentrée sur les effets possibles
liés au genre des champs électromagnétiques (CEM) Wi­Fi (Wireless Fidelity).

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sur ces processus. Quinze sujets masculins et quinze sujets féminins, appariés en termes d'âge et
de niveau d'éducation, ont été étudiés tout en effectuant une version modifiée du test Hayling Sentence
Completion ajusté pour induire la MW. Les ERP ont été enregistrés sur 30 électrodes du cuir chevelu,
sans et avec exposition à un signal Wi­Fi. Les valeurs d'amplitude P300 au niveau de 18 électrodes se sont
révélées significativement inférieures dans les conditions d'inhibition de la réponse par rapport aux conditions
d'initiation de la réponse et de base. Indépendamment de l'effet ci­dessus, dans la condition d'inhibition de la
réponse, il y avait également un effet significatif d'interaction avec le rayonnement X entre les sexes, se
manifestant au niveau de 15 dérivations par une diminution des amplitudes P300 des hommes par
rapport aux sujets féminins uniquement en présence de CEM. En conclusion, les présents résultats
suggèrent que l'exposition au Wi­Fi peut exercer des altérations liées au sexe sur l'activité neuronale
associées à la quantité de ressources attentionnelles engagées lors d'un test linguistique ajusté pour induire
la MW.

Ghazizadeh V, Nazıroğlu M. Le rayonnement électromagnétique (Wi­Fi) et l'épilepsie induisent l'entrée


de calcium et l'apoptose par l'activation du canal TRPV1 dans l'hippocampe et le ganglion de la racine
dorsale des rats. Metab Cerveau Dis. 29(3):787­799, 2014.
Les taux d’incidence de l’épilepsie et de l’utilisation du Wi­Fi dans le monde sont en augmentation. TRPV1
est un canal perméable au Ca2+ et non sélectif, déclenché par la chaleur nocive, le stress oxydatif et la
capsaïcine (CAP). L'hyperthermie et les effets oxydants du Wi­Fi peuvent induire l'apoptose et l'entrée de
Ca2+ via l'activation du canal TRPV1 dans l'épilepsie. Par conséquent, nous avons testé les effets de
l’exposition au Wi­Fi (2,45 GHz) sur l’afflux de Ca2+ , le stress oxydatif et l’apoptose via le canal
TRPV1 dans le ganglion de la racine dorsale (DRG) murin et l’hippocampe de rats épileptiques induits
par le pentylentétrazol (PTZ). Les rats de la présente étude ont été divisés en deux groupes : témoins et
PTZ. Les groupes PTZ ont été divisés en deux sous­groupes à savoir PTZ + Wi­Fi et PTZ + Wi­Fi +
capsazépine (CPZ). Les neurones hippocampiques et DRG ont été fraîchement isolés des rats. Le
DRG et l'hippocampe des groupes PTZ + Wi­Fi et PTZ + Wi­Fi + CPZ ont été exposés au Wi­Fi pendant 1
heure avant la stimulation CAP. Les valeurs de Ca2+ libre cytosolique , de production d'espèces
réactives de l'oxygène, d'apoptose, de dépolarisation de la membrane mitochondriale, de caspase­3
et ­9 dans l'hippocampe étaient plus élevées dans le groupe PTZ que dans le groupe témoin, bien que
les valeurs de viabilité cellulaire aient diminué. L’exposition au Wi­Fi a induit des effets supplémentaires sur l’
augmentation du Ca2+ cytosolique . Cependant, le prétraitement des neurones avec CPZ entraîne une
protection contre l’afflux de Ca2+ induit par l’épilepsie , l’apoptose et les dommages oxydatifs. Dans les
résultats d'expériences de patch­clamp sur cellules entières, le traitement du DRG avec des antagonistes
des canaux Ca2+ [thapsigargine, vérapamil + diltiazem, 2­APB, MK­801] a indiqué que l'exposition au Wi­Fi
induisait un afflux de Ca2+ via les canaux TRPV1. En conclusion, l'épilepsie et le Wi­Fi dans notre modèle
expérimental sont impliqués dans l'afflux de Ca2+ et la mort de l'hippocampe et du DRG induite par le
stress oxydatif par l'activation des canaux TRPV1, et la modulation négative de cette activité de canal par
le prétraitement CPZ peut expliquer l'activité neuroprotectrice contre l'oxydation. stresser.

Deshmukh PS, Megha K, Banerjee BD, Ahmed RS, Chandna S, député d'Abegaonkar, Tripathi AK. Détection
des dommages causés par l'acide désoxyribonucléique induits par un rayonnement micro­ondes de
faible niveau vis­à­vis de la génotoxicité dans le cerveau des rats Fischer. Toxicol Int. 20(1):19­24, 2013.

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CONTEXTE : Les rayonnements radiofréquences non ionisants sont de plus en plus utilisés dans l'industrie, le commerce,
la médecine et en particulier dans la technologie de la téléphonie mobile et sont devenus un sujet de grave préoccupation
à l'heure actuelle. OBJECTIF : La présente étude a été conçue pour étudier les effets dommageables possibles de l'acide
désoxyribonucléique (ADN) du rayonnement micro­ondes de faible intensité dans le cerveau des rats Fischer. MATÉRIELS
ET MÉTHODES : Des expériences ont été réalisées sur des rats Fischer mâles exposés à un rayonnement micro­ondes
pendant 30 jours à trois fréquences différentes : 900, 1 800 et 2 450 MHz. Les animaux ont été divisés en 4 groupes :
Groupe I (Exposé factice) : Animaux non exposés au rayonnement micro­ondes mais gardés dans les mêmes conditions
que celles des autres groupes, Groupe II : Animaux exposés au rayonnement micro­onde à la fréquence 900 MHz à un
débit d'absorption spécifique (DAS). 5,953 × 10(­4) W/kg, Groupe III : Animaux exposés à 1 800 MHz à SAR
5,835 × 10(­4) W/kg et Groupe IV : Animaux exposés à 2 450 MHz à SAR 6,672 × 10(­4) W /kg.

À la fin de la période d'exposition, les animaux ont été sacrifiés immédiatement et les dommages à l'ADN dans les tissus
cérébraux ont été évalués à l'aide d'un test alcalin des comètes. RÉSULTATS : Dans la présente étude, nous avons
démontré les effets dommageables sur l'ADN du rayonnement micro­ondes de faible intensité dans le cerveau.
CONCLUSION : Nous avons conclu qu'une faible exposition au rayonnement micro­ondes SAR à ces fréquences peut
induire des ruptures de brins d'ADN dans le tissu cérébral.

Lai H, Carino MA, Horita A, Guy AW, La microinjection intraseptale de bêta­funaltrexamine a bloqué une diminution induite
par les micro­ondes de l'activité cholinergique de l'hippocampe chez le rat.
Pharmacol Biochem Behav 53(3):613­616, 1994.
Exposition aiguë (45 min) à des impulsions (largeur d'impulsion de 2 microsecondes, 500 impulsions par seconde)
Les micro­ondes de 2 450 MHz à une densité de puissance de 1 mW/cm2 (taux d'absorption spécifique du corps entier de
0,6 W/kg) ont provoqué une diminution de l'activité cholinergique dans l'hippocampe du rat, mesurée par l'absorption de
choline de haute affinité dépendante du sodium.
La microinjection de bêta­funaltrexamine (1 microgramme) dans le septum avant l'exposition aux micro­ondes a bloqué cet
effet. Ces données indiquent que les récepteurs mu­opioïdes dans le septum induisent une diminution de l'activité
cholinergique induite par les micro­ondes dans l'hippocampe et confortent notre hypothèse selon laquelle les micro­
ondes à un DAS du corps entier de 0,6 W/kg peuvent activer les opioïdes endogènes dans le cerveau.

Lai H, Carino MA, Horita A, Guy AW, Exposition unique ou répétée aux micro­ondes : effets sur les récepteurs des
benzodiazépines dans le cerveau du rat. Bioélectromagnétique 13(1):57­66, 1992.

Nous avons étudié les effets d'expositions uniques (45 min) et répétées (dix séances quotidiennes de 45 min)
aux micro­ondes (2 450 MHz, 1 mW/cm2, DAS moyen sur tout le corps de 0,6 W/kg, pulsé à 500 pps avec une largeur
d'impulsion de 2 microsecondes) sur la concentration et l'affinité des récepteurs des benzodiazépines dans le cortex
cérébral, l'hippocampe et le cervelet du rat. Nous avons utilisé un test de liaison au récepteur avec le 3H­flunitrazépam
comme ligand. Immédiatement après une seule exposition, une augmentation de la concentration du récepteur a été
observée dans le cortex cérébral, mais aucun effet significatif n'a été observé dans l'hippocampe ou le cervelet.
Aucun changement significatif dans l’affinité de liaison des récepteurs n’a été observé dans aucune des
régions cérébrales étudiées. Chez les rats soumis à des expositions répétées, aucun changement significatif dans la
concentration des récepteurs n'a été observé dans le cortex cérébral immédiatement après la dernière exposition,
ce qui peut indiquer une adaptation aux expositions répétées. Nos données également

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montrent que les procédures de manipulation et d'exposition dans nos expériences n'ont pas affecté de manière
significative les récepteurs des benzodiazépines dans le cerveau. Étant donné que les récepteurs des
benzodiazépines dans le cerveau réagissent à l’anxiété et au stress, nos données soutiennent l’hypothèse
selon laquelle l’irradiation par micro­ondes de faible intensité peut être une source de stress.

Lai H, Carino MA, Horita A, Guy AW, sous­types de récepteurs opioïdes qui médient une diminution
induite par les micro­ondes de l'activité cholinergique centrale chez le rat.
Bioélectromagnétique 13(3):237­246, 1992.
Nous avons réalisé des expériences pour étudier les sous­types de récepteurs opioïdes dans le cerveau
impliqués dans l'effet d'une exposition aiguë (45 min) aux micro­ondes pulsées (2 450 MHz, 2­
impulsions de microsecondes, 500 pps, densité de puissance moyenne 1 mW/cm2, densité de puissance maximale,
1 W/cm2, DAS moyen du corps entier 0,6 W/kg) sur l'activité cholinergique dans le cerveau du rat. Les rats ont été
prétraités par microinjection d'antagonistes spécifiques des récepteurs opioïdes mu, delta et kappa dans le
cérébroventricule latéral avant exposition aux micro­ondes. Les données ont montré que les trois sous­types de
récepteurs opioïdes sont impliqués dans la diminution de l'activité cholinergique induite par les micro­ondes
dans l'hippocampe. Cependant, aucun des traitements médicamenteux n'a affecté de manière significative la
diminution de l'activité cholinergique induite par les micro­ondes dans le cortex frontal, confirmant notre conclusion
précédente selon laquelle l'effet des micro­ondes sur le cortex frontal n'est pas médié par les opioïdes
endogènes.

Yang XS, He GL, Hao YT, Xiao Y, Chen CH, Zhang GB, Yu ZP. L'exposition à des champs électromagnétiques
de 2,45 GHz provoque une réponse au stress liée au HSP dans l'hippocampe du rat. Cerveau Res Bull. 88(4):371­378,
2012.
La question des effets neurobiologiques possibles de l’exposition aux champs électromagnétiques (CEM) est très
controversée. Pour déterminer si l'exposition aux champs électromagnétiques pouvait agir comme un stimulus
environnemental capable de produire des réponses au stress, nous avons utilisé l'hippocampe, une cible
sensible du rayonnement électromagnétique, pour évaluer les changements dans l'expression de ses gènes et de ses
protéines liés au stress après une exposition aux CEM. Des rats Sprague­Dawley mâles adultes dont le corps
était immobilisé ont été exposés à un CEM de 2,45 GHz à un débit d'absorption spécifique (DAS) de 6
W/kg ou dans des conditions fictives. Une puce à ADNc a été réalisée pour examiner les changements d'expression
des gènes impliqués dans les effets biologiques du rayonnement électromagnétique. Sur 2 048
gènes candidats, 23 gènes régulés positivement et 18 gènes régulés négativement ont été identifiés.
Parmi ces gènes d'expression différentielle, deux protéines de choc thermique (HSP), HSP27 et HSP70, sont
remarquables car les niveaux d'expression des deux protéines sont augmentés dans l'hippocampe du rat. Les
résultats de l'immunocytochimie ont révélé que les CEM provoquaient une coloration intensive de HSP27 et
HSP70 dans l'hippocampe, en particulier dans les neurones pyramidaux du cornu ammonis 3 (CA3) et les cellules
granulaires du gyrus denté (DG). Les profils d'expression des gènes et des protéines de HSP27 et HSP70 ont
été confirmés par réaction en chaîne par polymérase par transcription inverse (RT­PCR) et Western blot. Nos
données fournissent la preuve directe que l’exposition aux champs électromagnétiques provoque une réponse
au stress dans l’hippocampe du rat.

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Lai H, Carino MA, Wen YF, Horita A, Guy AW, le prétraitement à la naltrexone bloque les modifications
induites par les micro­ondes dans les récepteurs cholinergiques centraux. Bioélectromagnétique
12(1):27­33, 1991.
Exposition répétée de rats à des micro­ondes pulsées à polarisation circulaire (2 450 MHz, 2­
microsecondes à 500 pps, densité de puissance de 1 mW/cm2, avec un DAS moyen pour l'ensemble du corps de
0,6 W/kg) a induit des changements biphasiques dans la concentration de récepteurs cholinergiques muscariniques
dans le système nerveux central. Une augmentation de la concentration des récepteurs s'est produite dans
l'hippocampe de rats soumis à dix séances de 45 minutes d'exposition aux micro­ondes, alors qu'une diminution
de la concentration a été observée dans le cortex frontal et
hippocampe de rats exposés à dix séances de 20 minutes. Ces résultats, qui confirment les travaux antérieurs
du laboratoire des auteurs, ont été étendus pour inclure le prétraitement des rats avec l'antagoniste narcotique
naltrexone (1 mg/kg, IP) avant chaque séance d'exposition.
Le traitement médicamenteux a bloqué les modifications induites par les micro­ondes dans les récepteurs
cholinergiques du cerveau. Ces données soutiennent en outre l'hypothèse des auteurs selon laquelle les opioïdes
endogènes jouent un rôle dans les effets des micro­ondes sur les systèmes cholinergiques centraux.
Lai H, Horita A, Guy AW, L'irradiation par micro­ondes affecte les performances du labyrinthe à bras radial chez le
rat. Bioélectromagnétique 15(2):95­104, 1994.

Après 45 minutes d'exposition à des micro­ondes pulsées de 2 450 MHz (impulsions de 2 microsecondes, 500
pps, 1 mW/cm2, DAS moyen du corps entier 0,6 W/kg), les rats ont montré un retard d'apprentissage lorsqu'ils
effectuaient des performances dans le labyrinthe à bras radial pour obtenir des récompenses alimentaires.
indiquant un déficit de la fonction spatiale de « mémoire de travail ». Ce déficit comportemental a été inversé par un
prétraitement avant l'exposition avec la physostigmine, un agoniste cholinergique, ou avec la naltrexone, un
antagoniste des opiacés, alors qu'un prétraitement avec le naloxone, un antagoniste périphérique des
opiacés, n'a montré aucune inversion de l'effet. Ces données indiquent que les systèmes de neurotransmetteurs
opioïdes cholinergiques et endogènes du cerveau sont impliqués dans le déficit de mémoire spatiale induit par
les micro­ondes.

Lai H. Interaction des micro­ondes et d'un champ magnétique temporellement incohérent sur l'apprentissage spatial
chez le rat. Comportement physiologique. 82(5):785­789, 2004.
L'effet d'un champ magnétique temporellement incohérent (« bruit ») sur le déficit d'apprentissage spatial induit
par les micro­ondes chez le rat a été étudié. Des rats ont été entraînés au cours de six séances à localiser une
plate­forme immergée dans un labyrinthe aquatique circulaire. Quatre groupes de traitement de rats ont été
étudiés : exposition aux micro­ondes (micro­ondes à ondes continues de 2 450 MHz , densité de puissance 2
mW/cm(2), taux d'absorption spécifique moyen du corps entier 1,2 W/kg), exposition au « bruit » (60 mG ),
exposition « micro­ondes + bruit » et exposition fictive. Les animaux ont été exposés à ces conditions pendant
1 heure immédiatement avant chaque séance d'entraînement. Une heure après la dernière séance d'entraînement,
les animaux ont été testés lors d'un essai par sonde de 2 minutes dans le labyrinthe au cours duquel la plate­
forme a été retirée. Le temps passé pendant les 2 minutes dans le quadrant du labyrinthe dans lequel se trouvait la
plateforme a été noté. Les résultats montrent que les rats exposés aux micro­ondes présentaient un déficit
significatif dans l’apprentissage de la localisation de la plate­forme immergée par rapport aux performances
des animaux exposés de manière factice. L'exposition au « bruit » seul n'a pas affecté de manière significative les
performances des animaux (c'est­à­dire qu'elle était similaire à celle des rats exposés de manière fictive).
Cependant, l'exposition simultanée au « bruit »

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atténué de manière significative le déficit d'apprentissage spatial induit par les micro­ondes (c'est­
à­dire que les rats exposés aux « micro­ondes + bruit » ont appris significativement mieux que les rats exposés aux
micro­ondes). Au cours de l’essai avec sonde, les animaux exposés aux micro­ondes ont passé beaucoup moins
de temps dans le quadrant où se trouvait la plate­forme. Cependant, la réponse des animaux
exposés aux « micro­ondes + bruit » était similaire à celle des animaux exposés de manière factice au cours de
l'essai par sonde. Ainsi, l’exposition simultanée à un champ magnétique temporellement incohérent bloque
l’apprentissage spatial et les déficits de mémoire induits par les micro­ondes chez le rat.

Kesari KK, Kumar S, Behari J. Physiopathologie du rayonnement micro­ondes : effet sur le cerveau du rat.Appl
Biochem Biotechnol. 166(2):379­388, 2012.
L'étude vise à étudier l'effet du rayonnement micro­ondes de 2,45 GHz sur les rats Wistar.
Des rats âgés de 35 jours et pesant 130 ± 10 g de poids corporel ont été sélectionnés pour cette étude. Les
animaux ont été divisés en deux groupes : exposés de manière factice et expérimentaux (six animaux chacun).
Les animaux ont été exposés pendant 2 ha par jour pendant 45 jours à une fréquence de 2,45 GHz (densité de
puissance, 0,21 mW/cm(2)). Le taux d’absorption spécifique du corps entier a été estimé à 0,14 W/kg.
L'exposition a eu lieu dans une cage en plexiglas ventilée et conservée en chambre anéchoïque sous
une antenne cornet. Une fois la période d'exposition terminée, les rats ont été tués et les tissus de la glande
pinéale et du cerveau entier ont été isolés pour l'estimation de la mélatonine, de la créatine kinase, de la
caspase 3 et de la concentration en ions calcium. Les expériences ont été réalisées en aveugle et répétées. Une
diminution significative (P < 0,05) a été enregistrée dans le niveau de mélatonine pinéale du groupe
exposé par rapport au groupe exposé de manière factice. Une augmentation significative (P < 0,05) de la
créatine kinase, de la caspase 3 et de la concentration en ions calcium a été observée dans l'ensemble du
cerveau du groupe d'animaux exposé par rapport à l'exposition fictive. La méthode d’analyse unidirectionnelle de la
variance a été adoptée pour l’analyse statistique.
L'étude conclut qu'une réduction de la mélatonine ou une augmentation de la caspase­3, de la créatine kinase et
de l'ion calcium peuvent causer des dommages importants au cerveau en raison d'une exposition chronique à ces
radiations. Ces biomarqueurs indiquent clairement les implications possibles sur la santé d'un tel
expositions.

Hao Y, Yang X, Chen C, Yuan­Wang, Wang X, Li M, Yu Z. La voie de signalisation STAT3 est impliquée dans
l'activation des microglies induites par les champs électromagnétiques de 2,45 GHz. Int J Radiat Biol. 86(1):27­36,
2010.
OBJECTIF : L'activation des microglies joue un rôle central dans l'initiation et la progression des atteintes au
système nerveux central (SNC). Le but du présent travail était d'étudier l'activation de la microglie et
l'implication du transducteur de signal et de l'activateur de transcription 3 (STAT3) dans l'activation de la
microglie après une exposition à des champs électromagnétiques (CEM) de 2,45 GHz. MATÉRIELS ET
MÉTHODES : Dans cette étude, des cellules microgliales murines N9 ont été exposées à un CEM de 2,45 GHz,
les expressions protéiques de STAT3, Janus Tyrosine kinase 1 et 2 (JAK1 et JAK2), le phosphore­(Try705)STAT3
et l'activité de liaison à l'ADN de STAT3 ont été examiné par analyse par Western blot et par test de déplacement de
mobilité par électrophorèse (EMSA).
Les niveaux de nitrite dérivé de l'oxyde nitrique (NO) ont été déterminés dans le milieu de culture par la réaction de
Griess. L'expression de l'ARNm du facteur de nécrose tumorale alpha (TNF­alpha) et de l'oxyde nitrique synthase
inductible (iNOS) a été détectée par transcription inverse et réaction en chaîne par polymérase (RT­PCR).
RÉSULTATS : Une augmentation significative de l’ADN de STAT3­

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la capacité de liaison a été notée après exposition. Conformément à cela, les champs électromagnétiques
ont rapidement induit la phosphorylation de STAT3 et activé JAK1 et JAK2. De plus, l'exposition aux CEM a
augmenté les niveaux de transcription des gènes associés à l'inflammation, iNOS et TNF­alpha, qui contiendraient
des éléments de liaison à STAT dans leur région promotrice. P6, un inhibiteur de JAK, réduit l'induction d'iNOS et de
TNF­alpha, l'activité de liaison au facteur nucléaire et l'activation de STAT3 dans les microglies stimulées par les
CEM. CONCLUSION : Ces résultats prouvent que l'exposition aux CEM peut initier l'activation des cellules
microgliales et que la signalisation STAT3 implique l'activation microgliale induite par les CEM.

Zhang Y, She F, Li L, Chen C, Xu S, Luo X, Li M, He M, Yu Z. p25/CDK5 est partiellement impliqué dans les lésions
neuronales induites par l'exposition aux champs électromagnétiques radiofréquences. Int J Radiat Biol. 29
juillet 2013. [Publication électronique avant impression]
Objectif : Plusieurs études suggèrent que l’exposition aux champs électromagnétiques de radiofréquence (RF­
EMF) peut induire des lésions neuronales. Le but du présent travail était d'étudier si la voie de la kinase 5
dépendante de la cycline (CDK5) est impliquée dans les lésions neuronales induites par l'exposition aux RF­
EMF. Matériels et méthodes : Les neurones corticaux cultivés primaires de rats Sprague­Dawley nouveau­nés
ont été exposés à des RF­EMF pulsés de 2,45 GHz pendant 10 min.
La viabilité cellulaire a été évaluée à l'aide du 3­(4,5­Diméthylthiazol­2­yl)­2,5­
dosage du bromure de diphényltétrazolium. L'apoptose a été évaluée par Hoechst 33342 et co­coloration par
marquage dUTP de l'extrémité de coupure médiée par la désoxynucléotidyl transférase terminale (TdT).
Les expressions protéiques de CDK5, p35, p25 et tau phosphorylée sur Ser404
ont été examinés par analyse par Western blot. L'activité CDK5 a été détectée à l'aide d'un test d'histone­H1 kinase.
Résultats : La viabilité cellulaire des neurones était significativement diminuée (p < 0,01, Partial Eta Squared [ηp
2
] : 0,554), et le pourcentage de noyaux apoptotiques (p < 0,01,
2 2 2=
ηp = 0,689), activité de CDK5 (p < 0,05, ηp = 0,589), rapport de p25 et p35 (p < 0,05, ηp
2
0,670), niveaux de phosphorylation de tau à Ser404 (p < 0,01, ηp = 0,896) étaient significativement
augmenté après une exposition aux RF­EMF. Aucun changement significatif n'a été détecté dans l'expression de
CDK5 après une exposition aux RF­EMF. Le prétraitement avec la Roscovitine (un inhibiteur de CDK5) a bloqué
2
= 0,398) et tau
de manière significative la diminution de la viabilité cellulaire induite par le RF­EMF (p < 0,05, ηp
2=
hyperphosphorylation à Ser404 (p < 0,01, ηp 0,917), mais n'a pas bloqué significativement le =
2
Apoptose induite par RF­EMF (p > 0,05, ηp 0,130). Conclusions : Ces résultats suggèrent que
l'activité anormale de p25/CDK5 est partiellement impliquée dans les lésions primaires des neurones corticaux en
culture induites par l'exposition aux RF­EMF.

Eser O, Songur A, Aktas C, Karavelioglu E, Caglar V, Aylak F, Ozguner F, Kanter M. L'effet du rayonnement
électromagnétique sur le cerveau du rat : une étude expérimentale. Neurochirurgien turc. 23(6):707­715,
2013.
OBJECTIF : Le but de cette étude est de déterminer les changements structurels des ondes électromagnétiques
dans le cortex frontal, le tronc cérébral et le cervelet. MATÉRIEL et MÉTHODES : 24 rats mâles adultes Wistar
Albino ont été répartis au hasard en quatre groupes : le groupe I était constitué de rats témoins et les groupes II à IV
comprenaient des rats irradiés électromagnétiquement (EMR) à 900, 1 800 et 2 450 MHz.
Les têtes des rats ont été exposées à une irradiation par micro­ondes de 900, 1 800 et 2 450 MHz pendant 1
heure par jour pendant 2 mois. RÉSULTATS : Alors que les changements histopathologiques dans le cortex
frontal et le tronc cérébral étaient normaux dans le groupe témoin, il y avait de graves changements dégénératifs,

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cytoplasme rétréci et noyaux pycnotiques très sombres dans les groupes EMR. L'analyse biochimique a démontré que le
niveau de capacité antioxydante totale était significativement diminué dans les groupes EMR et que les niveaux de capacité
oxydative totale et d'indice de stress oxydatif étaient également significativement augmentés dans le cortex frontal, le tronc
cérébral et le cervelet. Le niveau d’IL­1β était significativement augmenté dans les groupes EMR du tronc cérébral.
CONCLUSION : Le DME provoque des changements structurels dans le cortex frontal, le tronc cérébral et le cervelet et
altère le stress oxydatif et le système de cytokines inflammatoires. Cette détérioration peut entraîner des maladies, notamment
la perte de la fonction de ces zones et le développement d'un cancer.

Wang, BM, Lai, H, L'exposition aiguë à des micro­ondes pulsées de 2 450 MHz affecte l'apprentissage du labyrinthe aquatique
chez le rat. Bioélectromagnétique 21 : 52­56, 2000.
Des rats ont été entraînés au cours de six séances à localiser une plate­forme immergée dans un labyrinthe aquatique circulaire.
Ils ont été exposés à des micro­ondes pulsées de 2 450 MHz (largeur d'impulsion 2 s, 500 impulsions/s, densité de puissance 2 mW/cm2, taux
d'absorption spécifique moyen du corps entier 1,2 W/kg) pendant 1 heure dans un système de guide d'ondes circulaire
immédiatement avant chaque séance. Session de formation. Une heure après la dernière séance d'entraînement, ils ont été
testés lors d'un essai par sonde au cours duquel la plate­forme a été retirée et le temps passé dans le quadrant du labyrinthe
dans lequel la plate­forme avait été située pendant l'essai d'une minute a été noté. Trois groupes d'animaux : exposés aux
micro­ondes, exposés de manière factice et témoins en cage ont été étudiés. Les données montrent que les rats exposés
aux micro­ondes étaient plus lents que les rats exposés de manière factice et les rats témoins en cage à apprendre à
localiser la plate­forme. Cependant, il n’y avait pas de différence significative dans la vitesse de nage entre les trois groupes
d’animaux, ce qui indique que la différence d’apprentissage n’était pas due à un changement dans les fonctions motrices
ou dans la motivation. Au cours de l'essai par sonde, les animaux exposés aux micro­ondes ont passé beaucoup
moins de temps dans le quadrant qui contenait la plate­forme, et leurs habitudes de nage étaient différentes de celles des
animaux exposés de manière factice et des animaux témoins en cage. Cette dernière observation indique que les rats exposés
aux micro­ondes ont utilisé une stratégie différente pour apprendre l'emplacement de la plate­forme. Ces résultats montrent
qu'une exposition aiguë à des micro­ondes pulsées a provoqué un déficit de mémoire de « référence » spatiale chez le rat.

Neubauer C, Phelan AM, Kues H, Lange DG, L'irradiation par micro­ondes de rats à 2,45 GHz active l'absorption de type
pinocytotique du traceur par les cellules endothéliales capillaires du cortex cérébral. Bioélectromagnétique 11(4):261­268,
1990.
Expositions en champ lointain de rats albinos mâles à des micro­ondes de 2,45 GHz (impulsions de 10 microsecondes, 100 pps)
à une faible densité de puissance moyenne (10 mW/cm2 ; DAS environ 2 W/kg) et de courtes durées (30­120 min) a entraîné
une augmentation de l'absorption du traceur à travers la barrière hémato­encéphalique (BBB). L'absorption du complexe
rhodamine­ferritine administré par voie systémique par les cellules endothéliales capillaires (CEC) du cortex cérébral dépendait
de la densité de puissance et de la durée de l'exposition. À 5 mW/cm2, par exemple, une exposition de 15 minutes n’a
eu aucun effet. Un blocage presque complet de l'absorption s'est produit lorsque les rats ont été traités avant exposition aux
micro­ondes avec une dose unique de colchicine, qui inhibe la fonction microtubulaire. Un mécanisme de type pinocytotique
est présumé responsable de l'augmentation de la perméabilité de la BHE induite par les micro­ondes.

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Nazıroğlu M, Çelik Ö, Özgül C, Çiğ B, Doğan S, Bal R, Gümral N, Rodríguez AB, Pariente JA. La mélatonine
module les lésions oxydatives induites par le sans fil (2,45 GHz) via TRPM2 et les canaux Ca(2+) dépendants du
potentiel dans le cerveau et le ganglion de la racine dorsale du rat. Comportement physiologique .
105(3):683­692, 2012.
Nous avions pour objectif d'étudier les effets protecteurs de la mélatonine et du rayonnement
électromagnétique (EMR) de 2,45 GHz sur le système redox antioxydant des neurones du cerveau et du
ganglion de la racine dorsale (DRG), l'afflux de Ca (2+), la viabilité cellulaire et les enregistrements
d'électroencéphalographie (EEG) chez le rat. Trente­deux rats ont été répartis également en quatre groupes
différents, à savoir le groupe A1 : contrôle en cage, le groupe A2 : contrôle simulé, le groupe B : EMR 2,45 GHz,
le groupe C : EMR 2,45 GHz + mélatonine. Les groupes B et C ont été exposés à un EMR de 2,45 GHz pendant 60
min/jour pendant 30 jours. À la fin des expériences, des enregistrements EEG et des échantillons de cortex cérébral
et de DRG ont été prélevés. Les valeurs de peroxydation lipidique (LP), de viabilité cellulaire et de Ca(2+)
cytosolique dans les neurones DRG étaient plus élevées dans le groupe B que dans les groupes A1 et A2, bien
que leurs concentrations aient été augmentées par la mélatonine, le borinate de 2­aminoéthyldiphényle (2­
APB), le diltiazem et supplémentation en vérapamil. Le nombre de pics d'enregistrements EEG dans le groupe C
était inférieur à celui du groupe B. La concentration en vitamine E du cortex cérébral était plus élevée dans le
groupe C que dans le groupe B. En conclusion, la supplémentation en mélatonine dans les neurones DRG
et le cerveau semble avoir des effets protecteurs sur la fréquence 2,45 GHz. augmentation induite de l'afflux de
Ca(2+), des enregistrements EEG et de la viabilité cellulaire de l'hormone via TRPM2 et les canaux Ca(2+) dépendants du potentiel.

Testylier G, Tonduli L, Malabiau R, Debouzy JC. Effets de l'exposition à des champs de radiofréquences
de faible intensité sur la libération d'acétylcholine dans l'hippocampe de rats en mouvement libre.
Bioélectromagnétique 23 : 249­255, 2002.
Certains effets cholinergiques centraux ont été rapportés chez les animaux après une exposition aiguë à un champ
électromagnétique radiofréquence de faible intensité. Nous avons étudié la libération d'acétylcholine (ACh) dans
le cerveau de rats en mouvement libre exposés pendant 1 h pendant la journée à une fréquence de 2,45 GHz.
champ radiofréquence (RF) à onde continue (2 ou 4 mW/cm2 ) ou exposé pendant 1 ou 14 h pendant la nuit
à un champ de 800 MHz modulé à 32 Hz (AM 200 mW/cm2 ).
Les mesures ont été réalisées par microdialyse à l'aide d'une membrane implantée dans la région CA1 supérieure
de l'hippocampe. Après irradiation avec le RF 2,45 GHz, les rats exposés à 2 mW/cm2 n'ont pas montré de
modification significative de la libération d'Ach, alors que ceux exposés à 4 mW/cm2 ont montré une diminution
significative de 40 % de la libération moyenne d'ACh par l'hippocampe. Cette diminution était maximale 5
heures après l'exposition. L'exposition à la RF de 800 MHz pendant 1 h n'a provoqué aucun effet significatif, mais
une exposition pendant 14 heures a induit une diminution significative de 43 % de la libération d'ACh pendant
la période de 23 heures à 4 heures du matin par rapport aux rats témoins. Dans le groupe témoin, nous avons
observé une augmentation de la libération d’ACh en début de nuit, liée à la période d’éveil des rats.
Cette augmentation normale a été perturbée chez les rats exposés pendant la nuit aux RF de 800 MHz.
Ces travaux indiquent qu'une modification neurochimique du système cholinergique hippocampique peut être
observée pendant et après une exposition à des RF de faible intensité.

Lu Y, Xu S, He M, Chen C, Zhang L, Liu C, Chu F, Yu Z, Zhou Z, Zhong M. L'administration de glucose


atténue les déficits de mémoire spatiale induits par une exposition chronique aux micro­ondes à faible
densité de puissance. Comportement physiologique. 106(5):631­637, 2012.

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De nombreuses preuves indiquent que l'administration de glucose atténue les déficits de mémoire chez les
rongeurs et les humains, et que les troubles cognitifs ont été associés à une réduction du métabolisme et
de l'absorption du glucose dans certaines régions du cerveau, notamment l'hippocampe. Dans la présente étude,
nous avons examiné si le traitement au glucose atténuait les déficits de mémoire causés par une exposition
chronique aux micro­ondes (MW) à faible densité de puissance et l'effet de l'exposition aux MW sur l'absorption du
glucose par l'hippocampe. Nous avons exposé des rats Wistar à 2,45 GHz
irradiation pulsée MW à une densité de puissance de 1 mW/cm(2) pendant 3 h/jour, pendant 30 jours maximum.
L'exposition aux MW a induit des troubles de l'apprentissage spatial et de la mémoire chez les rats. L'absorption
du glucose par l'hippocampe était également réduite par l'exposition au MW en l'absence ou en présence d'insuline,
mais les taux de glucose sanguin et d'insuline n'étaient pas affectés. Cependant, ces déficits de mémoire
spatiale ont été inversés par un traitement systémique au glucose. Nos résultats indiquent que l'administration de
glucose atténue les déficits de mémoire spatiale induits par une exposition chronique à faible densité de
puissance aux MW, et qu'une absorption réduite de glucose dans l'hippocampe peut être associée à des
troubles cognitifs provoqués par l'exposition aux MW.

Paulraj R, Behari J. L'ADN simple brin se brise dans les cellules cérébrales de rat exposées au rayonnement
micro­ondes. Mutat Rés. 596 : 76­80, 2006.
Cette enquête porte sur l'effet du rayonnement micro­ondes de faible intensité (2,45 et 16,5 GHz, SAR 1,0 et 2,01 W/
kg, respectivement) sur le cerveau de rat en développement. Des rats Wistar (âgés de 35 jours, mâles, six rats
dans chaque groupe) ont été sélectionnés pour cette étude. Ces animaux ont été exposés séparément pendant
35 jours aux fréquences mentionnées ci­dessus dans deux systèmes d'exposition différents. Après la période
d'exposition, les rats ont été sacrifiés et l'ensemble du tissu cérébral a été disséqué et utilisé pour l'étude des
cassures de l'ADN simple brin par électrophorèse sur microgel (test des comètes). Les cassures de l'ADN simple
brin ont été mesurées en fonction de la longueur de la queue de la comète. Cinquante cellules de chaque lame et
deux lames par animal ont été observées. La méthode ANOVA unidirectionnelle a été adoptée pour l’analyse
statistique. Cette étude montre que l'exposition chronique à ces radiations provoque une augmentation
statistiquement significative (p < 0,001) des cassures simple brin de l'ADN dans les cellules cérébrales du rat.

Paulraj R, Behari J. Protein Kinase C Activité dans les cellules cérébrales de rat en développement exposées à
un rayonnement de 2,45 GHz. Electromag Biol Med 25(1) 61­70, 2006.
Le public est de plus en plus préoccupé par le risque potentiel pour la santé humaine dû à l’exposition aux fréquences
micro­ondes. Le rayonnement de 2,45 GHz est largement utilisé dans l'industrie, la recherche et la médecine, et
des fuites dans l'environnement sont possibles. Afin de quantifier cela, des expériences ont été réalisées
sur le cerveau de rat en développement. Wistar mâle 35­
des rats d'un jour (n = 6) ont été utilisés pour cette étude. Les animaux ont été exposés à un rayonnement de 2,45
GHz pendant 2 h/jour pendant une période de 35 jours à une densité de puissance de 0,344 mW/cm2 (DAS 0,11 W/kg).
Le groupe témoin a été irradié de manière factice. Après 35 jours, ces rats ont été sacrifiés et le tissu cérébral
entier a été isolé pour le dosage de la protéine kinase C (PKC). Pour l'étude morphologique, le cerveau antérieur a
été isolé de l'ensemble du cerveau et l'activité PKC a été mesurée à l'aide de P32.
étiqueté ATP. Notre étude révèle une diminution statistiquement significative (p < 0,05) de l'activité de la PKC dans
l'hippocampe par rapport à la partie restante du cerveau entier et au groupe témoin. Une expérience similaire menée
sur l’hippocampe et sur l’ensemble du cerveau a donné un résultat similaire. Une étude au microscope
électronique montre une augmentation de la population de cellules gliales dans

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Des études montrant les effets du WiFi et des appareils sur la santé

le groupe exposé par rapport au groupe témoin. Cette étude actuelle indique un changement significatif
après exposition à l’intensité de champ mentionnée ci­dessus. Cela suggère que les expositions
chroniques peuvent affecter la croissance et le développement du cerveau.

Kubinyi G, Thuroczy G, Bakos J, Boloni E, Sinay H, Szabo LD, Effet du rayonnement micro­ondes à onde
continue et modulé en amplitude de 2,45 GHz sur les synthétases d'ARN à transfert d'aminoacyle
du foie et du cerveau de souris exposées in utero. Bioélectromagnétique
17(6):497­503, 1996.
Des études ont été menées concernant les effets des micro­ondes (MW)
exposition à l'acide ribonucléique de transfert d'aminoacyle (ARNt) synthétase de la progéniture des
femelles exposées pendant toute leur période de gestation (19 jours). Les changements provoqués par le
rayonnement MW à onde continue (CW) et à modulation d'amplitude (AM) ont été comparés. Les souris
CFLP ont été exposées à des rayonnements MW pendant 100 minutes chaque jour dans une pièce
anéchoïque. La fréquence MW était de 2,45 GHz et la modulation d'amplitude avait une forme d'onde
rectangulaire de 50 Hz (rapport marche/arrêt, 50/50 %). L'exposition moyenne à la densité de puissance
était de 3 mW/cm2 et le taux d'absorption spécifique du corps entier (DAS) était de 4,23 +/­ 0,63 W/
kg. Le poids et la mortalité de la progéniture ont été suivis jusqu'au 24ème jour postnatal.
Les enzymes aminoacyl­ARNt synthétase et l'ARNt du cerveau et du foie de la progéniture (461 exposés,
487 témoins) ont été isolés. Les activités aminoacyl­ARNt synthétase ont été déterminées. L'augmentation
postnatale du poids corporel et du poids des organes n'a pas été influencée par le rayonnement MW
prénatal. L'activité de l'enzyme isolée du cerveau a montré une diminution significative après une
exposition en CW MW, mais les changements n'étaient pas significatifs après une exposition à 50 Hz
AM MW. L'activité de l'enzyme isolée du foie a augmenté sous CW et MW modulée à 50 Hz.

Jorge­Mora T, Folgueiras MA, Leiro­Vidal JM, Jorge­Barreiro FJ, Ares­Pena FJ, López­Martin E.
L'exposition à un rayonnement micro­ondes de 2,45 GHz provoque des modifications cérébrales
dans l'induction de la protéine de choc thermique Hsp­90 α/β chez Rat. Prog Electromagn Res,
100 : 351­379, 2010.
Les agents physiques tels que le rayonnement continu non ionisant de 2,45 GHz peuvent provoquer
des dommages qui altèrent l'homéostasie cellulaire et déclencher l'activation des gènes codant pour
les protéines de choc thermique (HSP). Nous avons utilisé le test ELISA (Enzyme­Linked
ImmunoSorbent Assay) et l'immunohistochimie pour analyser les changements dans les niveaux de
HSP­90 et sa distribution dans le cerveau des rats Sprague­Dawley, quatre­vingt­dix minutes et vingt­
quatre heures après une exposition continue aiguë (30 minutes) à 2,45. Rayonnement GHz dans
une cellule électromagnétique transversale Gigahertz (cellule GTEM). De plus, nous avons étudié
d'autres indicateurs d'agression neuronale : neurones sombres, condensation de la chromatine et
fragmentation du noyau, qui ont été observés sous microscopie optique conventionnelle ou à fluorescence
après coloration au DAPI. La distribution cellulaire de la protéine HSP­90 dans le cerveau augmente
avec chaque DAS correspondant (0,034 + 3,10­3, 0,069 + 5,10­3, 0,27 + 21,10­3 W/kg), dans les noyaux
hypothalamiques, le cortex limbique et le cortex somatosensoriel après exposition au rayonnement.
Vingt­quatre heures après l'irradiation, les niveaux de protéine HSP­90 restaient élevés dans
tous les noyaux hypothalamiques pour tous les SAR, et dans le cortex pariétal, à l'exception du
système limbique, les niveaux de HSP­90 étaient inférieurs à ceux des rats non irradiés, presque la moitié des niveaux chez le rat

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exposé au rayonnement de puissance la plus élevée. Des noyaux cellulaires non apoptotiques et quelques
neurones sombres ont été découverts quatre­vingt­dix minutes et vingt­quatre heures après l'exposition maximale au SAR.
Les résultats suggèrent qu'une exposition aiguë à des champs électromagnétiques a déclenché un déséquilibre des
niveaux anatomiques de HSP­90, mais que le mécanisme anti­apoptotique est probablement suffisant pour
compenser le stimulus non ionisant. Des études supplémentaires sont nécessaires pour déterminer les effets
régionaux de la pollution électromagnétique chronique sur les protéines de choc thermique et leur implication
dans les processus neurologiques et les lésions neuronales.

Gürler HS, Bilgici B, Akar AK, Tomak L, Bedir A. Augmentation de l'oxydation de l'ADN (8­OHdG) et de l'oxydation
des protéines (AOPP) par un champ électromagnétique de faible niveau (2,45 GHz) dans le cerveau du rat et effet
protecteur de l'ail. Int J Radiat Biol. 2014 mai 21 : 1­15. [Epub avant impression]
Objectif : Étudier les dommages oxydatifs et l'effet protecteur de l'ail sur des rats exposés à de faibles niveaux
de champs électromagnétiques (CEM) à un rayonnement micro­ondes (MWR) de 2,45 GHz . Méthodes : Trente­
six rats Wistar ont été divisés en trois groupes. Le groupe I était le groupe témoin et n’était pas exposé aux CEM.
Les groupes II et III ont été exposés à des champs électromagnétiques de faible niveau (3,68 ± 0,36 V/m) à un
MWR de 2,45 GHz pendant 1 heure/jour pendant 30 jours consécutifs. Chaque jour, 500 mg/kg d'ail ont été
administrés au groupe III pendant la période d'étude. À la fin de l’étude, les niveaux de substances réactives
à l’acide thiobarbiturique (TBARS), de produits protéiques d’oxydation avancés (AOPP) et de 8­
hydroxydésoxyguanosine (8­OHdG) ont été étudiés dans des échantillons de tissu cérébral et de sang. Résultats :
L'exposition à un faible niveau d'EMF a augmenté le niveau de 8­OHdG dans le plasma et le tissu cérébral alors
qu'elle a augmenté le niveau d'AOPP uniquement dans le plasma. L'ail a empêché l'augmentation du niveau de 8­
OHdG dans les tissus cérébraux et les niveaux plasmatiques d'AOPP. Conclusions : On peut conclure que de
faibles niveaux de CEM à 2,45 GHz MWR augmentent les dommages à l'ADN dans les tissus cérébraux et le
plasma des rats, alors qu'ils augmentent l'oxydation des protéines uniquement dans le plasma. On peut
également affirmer que l’utilisation de l’ail diminue ces effets.

Fukui Y, Hoshino K, Inouye M, Kameyama Y, Effets de l'hyperthermie induite par l'irradiation micro­ondes sur le
développement cérébral chez la souris. J Radiat Res (Tokyo) 33(1):1­10, 1992.
Les souris gravides ont été exposées à un rayonnement micro­ondes de 2,45 GHz pendant 15 ou 20 minutes au 13e
jour de gestation. La température centrale maternelle la plus élevée au cours de l'exposition n'a pas dépassé
42,5 degrés C. Les femelles enceintes ont également été immergées dans de l'eau chaude à 42 degrés C pendant
15 minutes pour comparer les effets thermiques sur le développement du cerveau. Les animaux ont été sacrifiés
9 heures après le traitement et les cellules pycnotiques de la zone ventriculaire du télencéphale ont été
comptées. Les incidences respectives de ces cellules dans les groupes exposés aux micro­ondes
pendant 15 et 20 min étaient de 1,83 % et 3,06 %. Le rayonnement micro­ondes pendant 20 minutes a eu un
effet comparable à celui d’une immersion dans de l’eau chaude à 42 degrés C pendant 15 minutes. De plus, certains
animaux ont été examinés au 18e jour de gestation et certains de leurs petits ont été examinés à l'âge de 6 semaines
dans le cadre d'un examen des effets à long terme. Le poids du cerveau du groupe exposé aux micro­ondes
pendant 20 minutes était significativement inférieur à celui du groupe témoin et la densité numérique des neurones
dans le cerveau était plus élevée.
Nous avons conclu que le rayonnement micro­ondes à la dose testée a principalement un effet thermique.

Nazıroğlu M, Çelik Ö, Özgül C, Çiğ B, Doğan S, Bal R, Gümral N, Rodríguez AB, Pariente JA. La mélatonine
module les lésions oxydatives induites par le sans fil (2,45 GHz) via TRPM2

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et les canaux Ca(2+) dépendants du potentiel dans le cerveau et le ganglion de la racine dorsale du rat.
Comportement physiologique . 105(3):683­692, 2012.
Nous avions pour objectif d'étudier les effets protecteurs de la mélatonine et du rayonnement
électromagnétique (EMR) de 2,45 GHz sur le système redox antioxydant des neurones du cerveau et du ganglion
de la racine dorsale (DRG), l'afflux de Ca (2+), la viabilité cellulaire et les enregistrements d'électroencéphalographie
(EEG) chez le rat. Trente­deux rats ont été répartis également en quatre groupes différents, à savoir le groupe A1 : contrôle
en cage, le groupe A2 : contrôle simulé, le groupe B : EMR 2,45 GHz, le groupe C : EMR 2,45 GHz + mélatonine. Les
groupes B et C ont été exposés à un EMR de 2,45 GHz pendant 60 min/jour pendant 30 jours. À la fin des expériences,
des enregistrements EEG et des échantillons de cortex cérébral et de DRG ont été prélevés. Les valeurs de peroxydation
lipidique (LP), de viabilité cellulaire et de Ca(2+) cytosolique dans les neurones DRG étaient plus élevées dans le
groupe B que dans les groupes A1 et A2, bien que leurs concentrations aient été augmentées par la mélatonine, le
borinate de 2­aminoéthyldiphényle (2­APB), le diltiazem et supplémentation en vérapamil. Le nombre de pics
d'enregistrements EEG dans le groupe C était inférieur à celui du groupe B. La concentration en vitamine E du cortex
cérébral était plus élevée dans le groupe C que dans le groupe B. En conclusion, la supplémentation en mélatonine dans
les neurones DRG et le cerveau semble avoir des effets protecteurs sur la fréquence 2,45 GHz. augmentation
induite de l'afflux de Ca(2+), des enregistrements EEG et de la viabilité cellulaire de l'hormone via TRPM2 et les canaux
Ca(2+) dépendants du potentiel.

Field AS, Ginsburg K, Lin JC L'effet des micro­ondes pulsées sur les propriétés électriques passives et les
intervalles entre les pointes des neurones d'escargot. Bioélectromagnétique 14(6):503­
520, 1993.
Les effets des micro­ondes pulsées (2,45 GHz, 10 microsecondes, 100 pps, SAR : 81,5 kW/kg en crête, 81,5 W/kg en
moyenne) sur la résistance d'entrée de la membrane et les statistiques d'intervalle du potentiel d'action (PA) ont
été étudiés dans des neurones ganglionnaires terrestres spontanément actifs. escargots (Helix aspersa), à température
strictement constante (dans le pire des cas 20,8 +/­ 0,07 degrés C).
Une comparaison statistique avec des neurones irradiés de manière factice a révélé une augmentation significative de la
résistance d'entrée moyenne des neurones exposés à des micro­ondes pulsées (P < ou = 0,05). Les micro­ondes
pulsées n’ont eu aucun effet visible sur la cadence de tir moyenne des AP ; cette observation a été confirmée par l'analyse
des intervalles entre les pointes (ISI). En utilisant un modèle intégrateur pour les neurones spontanément actifs, nous
avons constaté que le courant d’entrée net était plus variable dans les neurones exposés à des micro­ondes pulsées. Le
courant d’entrée moyen n’a pas été affecté. L'écart type des ISI et l'autocorrélation du courant d'entrée ont été légèrement
affectés, mais ces changements n'étaient pas cohérents entre les neurones. Bien que les effets observés soient moins
évidents que ceux rapportés dans d’autres études, ils témoignent d’une interaction directe entre les neurones et les
micro­ondes pulsées, en l’absence de changements macroscopiques de température. Les données ne suggèrent
pas un mécanisme unique et spécifique pour un tel

interaction.

Ding G, Xie X, Zhang L et al. Modifications de l'oxyde nitrique synthase dans l'hippocampe et le cervelet du rat
suite à une exposition à une impulsion électromagnétique. Chin J Phys Med 20 : 81­83, 1998.

Objectif : Afin d'explorer le rôle de l'oxyde nitrique dans l'obstruction de l'apprentissage et de la mémoire du rat provoquée
par l'exposition à des impulsions électromagnétiques (EMP), la distribution de l'expression de l'oxyde nitrique synthase
(NOS) a été étudiée dans l'hippocampe et le cervelet de

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le rat suite à une exposition à l'EMP. Méthodes : La coloration immunohistochimique SP a été utilisée
pour détecter la distribution de l’expression de la NOS. Résultats : Le nombre de neurones positifs
pour la NOS et l'intensité de la coloration positive dans l'hippocampe ont diminué 1,5 et 24 h après
l'exposition à l'EMP. Au bout de 48 h, le nombre de neurones positifs pour NOS est revenu au
niveau de contrôle, mais l'intensité de la coloration positive était encore faible. l'expression de
NOS dans le cervelet ne présentait aucun changement évident. Conclusion : La diminution de l'expression
de la NOS dans l'hippocampe est liée à l'obstruction de l'apprentissage et de la mémoire du rat après
exposition à l'EMP.

Lange DG, Sedmak J, Virus de l'encéphalite japonaise (JEV) : potentialisation de la létalité chez la souris
par rayonnement micro­ondes. Bioélectromagnétique 12(6):335­348, 1991.
L’expression du virus de l’encéphalite japonaise (JEV) chez la souris nécessite l’entrée du virus dans le
système nerveux central. Cette entrée se fait probablement par les cellules endothéliales capillaires
(CEC), car l'entrée entre les CEC est inhibée par des bandes de jonctions serrées
circonférentielles. Un stade virémique survient au cours des 4 à 5 premiers jours après l'administration
du JEV chez la souris, et le rayonnement micro­ondes (2, 45 GHz, onde continue, exposition de 10 minutes)
et l'hypercapnie ont été utilisés pour augmenter la perméabilité de la CEC au JEV.
L'exposition aux micro­ondes à des densités de puissance de 10 à 50 mW/cm2 a entraîné une
augmentation dose­dépendante de la létalité induite par le JEV. Les souris ne sont pas devenues tolérantes
ou sensibilisées à la potentialisation par les micro­ondes de la mortalité induite par le JEV, car 4
expositions quotidiennes à 10 ou 50 mW/cm2 (SRAS, environ 24 à 98 W/kg) n'ont pas modifié le profil
de létalité du rayonnement micro­ondes ultérieur du JEV. animaux exposés. De même, il a été observé
que l’hypercapnie (5, 10 et 20 % de CO2) produisait une augmentation dose­dépendante de la létalité
induite par le JEV. On pense que le rayonnement micro­ondes et l’hypercapnie favorisent la pinocytose
dans les cellules endothéliales capillaires du SNC. Cela pourrait être un mécanisme par lequel ils
augmentent la létalité induite par le JEV chez les souris Swiss­Cox adultes.

Inaba R, Shishido K, Okada A, Moroji T. Effets de l'exposition du corps entier aux micro­ondes sur le
contenu cérébral du rat en amines biogènes. Eur J Appl Physiol Occupe Physiol. 65(2):124­
128, 1992.
Les effets de l'exposition du corps entier aux micro­ondes sur le système nerveux central (SNC) du rat ont
été étudiés. Des rats pesant de 250 à 320 g ont été exposés pendant 1 h à des micro­ondes du corps
entier avec une fréquence de 2 450 MHz à des densités de puissance de 5 et 10 mW.cm­2 à une
température ambiante de 21 à 23 degrés C. Les températures rectales du les rats ont été mesurés juste
avant et après l'exposition aux micro­ondes et les monoamines et leurs métabolites dans diverses
régions discrètes du cerveau ont été déterminés après l'exposition aux micro­ondes. L'exposition aux
micro­ondes à des densités de puissance de 5 et 10 mW.cm­2 a augmenté la température rectale
moyenne de 2,3 degrés C et 3,4 degrés C, respectivement. La teneur en noradrénaline dans
l'hypothalamus était significativement réduite après une exposition aux micro­ondes à une densité de
puissance de 10 mW.cm­2. Il n’y avait aucune différence dans la teneur en dopamine (DA) d’une région du
cerveau entre les rats exposés aux micro­ondes et les rats témoins. La teneur en acide dihydroxyphényl
acétique (DOPAC), le principal métabolite du DA, était significativement augmentée dans le pont et le
bulbe rachidien seulement à une densité de puissance de 10 mW.cm­2. Les taux de renouvellement du
DA, le rapport DOPAC:DA, dans le striatum et le cerveau

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le cortex n'était significativement augmenté qu'à une densité de puissance de 10 mW.cm­2. La


teneur en sérotonine (5­hydroxytryptamine, 5­HT) dans toutes les régions du cerveau des rats exposés
aux micro­ondes n'était pas différente de celle des rats témoins. La teneur en acide 5­hydroxyindoleacétique
(5­HIAA) dans le cortex cérébral des rats exposés aux micro­ondes était significativement augmentée à des
densités de puissance de 5 et 10 mW.cm­2.

Naziroğlu M, Gümral N. Effets modulateurs de la L­carnitine et du sélénium sur les appareils sans fil
(2,45 GHz) induits par le stress oxydatif et les enregistrements d'électroencéphalographie dans le
cerveau du rat. Int J Radiat Biol. 85(8):680­689, 2009.
OBJECTIF : Le rayonnement électromagnétique (EMR) émis par les appareils sans fil peut affecter les
systèmes biologiques en augmentant les radicaux libres. La présente étude a été conçue pour déterminer
les effets du DME de 2,45 GHz sur le système redox antioxydant du cerveau et
les enregistrements d'électroencéphalographie (EEG) chez le rat. Les effets protecteurs possibles du
sélénium et de la L­carnitine ont également été testés et comparés à des témoins non traités. MATÉRIELS
ET MÉTHODES : Trente rats ont été répartis à parts égales en cinq groupes différents, à savoir le
groupe A (1) : contrôle en cage, le groupe A (2) : contrôle fictif, groupe B : EMR 2,45 GHz, groupe C : EMR
2,45 GHz + sélénium, groupe D : DME 2,45 GHz + L­carnitine. Les groupes B, C et D ont été exposés à un
EMR de 2,45 GHz pendant 60 min/jour pendant 28 jours. À la fin des expériences, des enregistrements
EEG et des échantillons de cortex cérébral ont été prélevés. RÉSULTATS : Les concentrations de vitamine A
(p < 0,05), de vitamine C (p < 0,01) et de vitamine E (p < 0,05) dans le cortex cérébral étaient plus faibles
dans le groupe B que dans les groupes A1 et A2, bien que leurs concentrations aient été augmentées par
le sélénium et le L. ­une supplémentation en carnitine. Peroxydation lipidique, les taux étaient plus faibles
dans le groupe C (p < 0,05) et D (p < 0,01) que dans le groupe B alors que les taux de glutathion
réduit étaient plus élevés dans le groupe C (p < 0,05) que dans les groupes A1, A2 et B. Cependant , les
niveaux de B­carotène n'ont pas changé dans les cinq groupes. CONCLUSIONS : La L­carnitine et le
sélénium semblent avoir des effets protecteurs sur la diminution des vitamines induite par 2,45 GHz
en soutenant le système redox antioxydant. La L­carnitine sur les concentrations de vitamines semble avoir
un effet plus protecteur que le sélénium.

De Roos AJ, Teschke K, Savitz DA, Poole C, Grufferman S, Pollock BH, Olshan AF.
Expositions professionnelles des parents aux champs électromagnétiques et aux rayonnements et
incidence du neuroblastome chez la progéniture. Épidémiologie 12(5):508­517, 2001.
Nous avons examiné les expositions professionnelles des parents aux champs électromagnétiques et aux
rayonnements ainsi que l'incidence du neuroblastome chez leur progéniture. Les cas concernaient 538
enfants diagnostiqués avec un neuroblastome entre 1992 et 1994 aux États­Unis ou au Canada. Les
contrôles du même âge ont été sélectionnés par composition aléatoire. Les expositions professionnelles
aux équipements électriques et aux sources de rayonnement ont été classées par un hygiéniste industriel,
et les expositions moyennes aux champs magnétiques de fréquence extrêmement basse ont été
estimées à l'aide d'une matrice d'exposition professionnelle. L'exposition maternelle à un large
groupe de sources produisant des rayonnements radiofréquences était associée à une incidence accrue
de neuroblastome (rapport de cotes = 2,8 ; intervalle de confiance à 95 % = 0,9 à 8,7). L'exposition
du père aux chariots élévateurs alimentés par batterie était positivement associée au neuroblastome
(rapport de cotes = 1,6 ; intervalle de confiance à 95 % = 0,8­3,2), tout comme certains
types d'équipements émettant des rayonnements radiofréquences (rapports de cotes congrus à 2,0) ; cependant, les grands groupe

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des sources produisant des champs ELF, des rayonnements radiofréquences ou des rayonnements
ionisants n'étaient pas associées au neuroblastome. L'exposition paternelle moyenne à un champ magnétique
de fréquence extrêmement basse > 0,4 microTesla était faiblement associée au neuroblastome (rapport de
cotes = 1,6 ; intervalle de confiance à 95 % = 0,9­2,8), alors que l'exposition maternelle ne l'était pas.
Dans l’ensemble, il y avait peu de preuves d’associations fortes entre les expositions parentales au spectre
électromagnétique et le neuroblastome chez la progéniture.

Effets sur les yeux

Liu X, Shen H, Shi Y, Chen J, Chen Y, Ji A. L'étude par micropuce sur le profil de transcription du
gène de stress dans les cellules épithéliales pigmentaires de la rétine humaine exposées au rayonnement
micro­ondes. Zhonghua Yu Fang Yi Xue Za Zhi 36(5):291­294, 2002.
OBJECTIF : Étudier la différence de transcription des gènes liés au stress et à l'apoptose entre les
cellules hTERT­RPE1 exposées à un rayonnement micro­ondes simulé et les cellules avec bain d'eau
chaude, ainsi que les effets des micro­ondes sur la transcription des gènes dans des cellules épithéliales
pigmentaires de la rétine humaine en culture. MÉTHODES : La technique des puces à ADNc a été utilisée
pour détecter l'ARNm isolé des cellules hTERT­RPE1 exposées à un rayonnement micro­ondes simulé
de 2 450 MHz et à un bain d'eau chaude, respectivement. RÉSULTATS : Parmi les 97 gènes cibles
associés, sept gènes régulaient positivement sa transcription, à savoir M31166 (2,52 fois), L24123 (2,66
fois), AF039704 (2,22 fois), U67156 (2,07 fois), AF040958 (2,13 fois). , NM­001423 (2,63 fois) et
NM­005346 (3,68 fois). Mais aucun gène régulant négativement la transcription n’a été détecté.
CONCLUSIONS : Les micro­ondes pourraient induire une régulation positive de la transcription de
plusieurs gènes liés au stress et à l'apoptose dans des cellules épithéliales pigmentaires de la rétine
humaine en culture, les cellules hTERT­RPE1. Le rayonnement micro­ondes a lui­même un effet unique en
plus de son effet thermique.

Akar A, Karayiğit MO, Bolat D, Gültiken ME, Yarım M, Castellani G. Effets de l'exposition à un champ
électromagnétique de faible intensité à 2,45 GHz sur la cornée du rat. Int J Radiat Biol. 3 décembre 2012.
[Epub avant impression]
Objectif du résumé : Étudier les effets d'une exposition à un champ électromagnétique de faible niveau
(CEM de faible niveau), fréquemment rencontrée dans la vie quotidienne, sur la cornée du rat yesmal en
utilisant une méthode histologique et stéréologique. Méthodes : Vingt­deux rats Wistar mâles adultes ont été
répartis au hasard en deux groupes : le groupe d'étude (n = 11) et le groupe témoin (n = 11). Les rats du
groupe d'étude ont été exposés à un rayonnement micro­ondes (MW) de 2,45 GHz (11,96 ± 0,89 V/m), à un
débit d'absorption spécifique (DAS) de 0,25 W/kg pendant 2 heures chaque jour pendant 21 jours.
L'épaisseur cornéenne et l'épaisseur cornéenne de l'épithélium antérieur ont été mesurées à l'aide
de deux méthodes différentes. Résultats : En utilisant la méthode histologique, les épaisseurs cornéennes
moyennes dans le groupe témoin et le groupe d’étude étaient respectivement de 278,9 ± 54,5 µm et de 272,4 ± 85,6 µm.
Il n'y avait pas de différence statistiquement significative entre les groupes (p>0,05). L'épaisseur de
l'épithélium cornéen antérieur était de 28,1 ± 4,9 µm dans le groupe témoin et de 31,7 ± 5,5 µm dans le
groupe d'étude. Il y avait des différences statistiquement entre les groupes en ce qui concerne
l'épaisseur de l'épithélium antérieur (p < 0,05). Dans la mesure effectuée par la méthode stéréologique, le
pourcentage de la cornée occupé par la cornée antérieure

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Des études montrant les effets du WiFi et des appareils sur la santé

l'épithélium était de 15,94 % dans le groupe témoin et de 17,9 % dans le groupe d'étude. Malgré le fait qu'il
existait une relation entre l'augmentation de la surface épithéliale antérieure (AEA) et l'exposition aux
rayonnements, aucune relation statistiquement significative dans la fraction de surface de chaque
compartiment n'a été trouvée entre les groupes témoin et d'étude. Conclusions : résultats de
cette étude préliminaire montre que l'exposition aux rayonnements MW pourrait provoquer des altérations de la
cornée de rat.

Tök L, Nazıroğlu M, Doğan S, Kahya MC, Tök O. Effets de la mélatonine sur le stress oxydatif induit par le Wi­
Fi dans le cristallin des rats. Indien J Ophthalmol. 62(1):12­15, 2014. est ce que je :
10.4103/0301­4738.126166.
Introduction : La mélatonine est considérée comme un puissant antioxydant qui détoxifie diverses espèces
réactives de l’oxygène dans de nombreux états physiopathologiques de l’œil. La présente étude a été conçue
pour déterminer les effets de l'exposition au Wi­Fi sur les systèmes oxydants et redox du cristallin, ainsi
que les effets protecteurs possibles de la mélatonine sur les lésions du cristallin induites par le rayonnement
électromagnétique (EMR). Matériels et méthodes : Trente­deux rats ont été utilisés dans la présente étude et
ils ont été répartis au hasard en quatre groupes égaux comme suit : le premier et le deuxième groupes étaient
des rats témoins en cage et des rats témoins fictifs. Les rats du troisième groupe ont été exposés au Wi­Fi (2,45
GHz) pendant 60 minutes/jour pendant 30 jours.
Comme dans le troisième groupe, le quatrième groupe a été traité à la mélatonine. L'exposition d'une
heure à l'irradiation en deuxième, troisième et quatrième a eu lieu chaque jour à midi. Résultats : Les niveaux de
peroxydation lipidique dans le cristallin étaient légèrement plus élevés dans le troisième groupe (Wi­Fi) que
dans les groupes témoins en cage et simulés, bien que leurs concentrations aient été significativement diminuées
(P < 0,05) par la supplémentation en mélatonine. L'activité de la glutathion peroxydase (GSH­Px) était
significativement (P < 0,05) plus faible dans le groupe Wi­Fi que dans les groupes témoins en cage et
simulés, bien que les valeurs de GSH­Px (P < 0,01) et de glutathion réduit (P < 0,05) étaient significativement
plus élevées dans Groupe Wi­Fi + mélatonine que dans le groupe Wi­Fi. Conclusions : Les effets toxiques
oxydatifs d'une heure d'exposition au Wi­Fi sur le cristallin des animaux sont faibles. Cependant, la supplémentation
en mélatonine dans le cristallin semble avoir des effets protecteurs sur le système oxydant en modulant l’activité
du GSH­Px.

Pologea­Moraru R, Kovacs E, Iliescu KR, Calota V, Sajin G. Les effets des micro­ondes de bas niveau
sur la fluidité de la membrane cellulaire photoréceptrice. Bioélectrochimie 56(1­
2):223­225, 2002.
En raison de l'utilisation intensive des champs électromagnétiques dans la vie quotidienne, davantage
d'informations sont nécessaires pour détecter les mécanismes d'interaction et les effets secondaires possibles
du rayonnement électromagnétique sur la structure et le fonctionnement de l'organisme. Dans cet article, nous
étudions les effets de faibles ­puissance des micro­ondes (2,45 GHz) sur la fluidité membranaire des cellules
photoréceptrices en bâtonnets. La rétine devrait être très sensible à l'irradiation micro­ondes en raison
du caractère polaire des cellules photoréceptrices [Biochim. Biophysique. Acta 1273 (1995) 217] ainsi qu'à sa
forte teneur en eau [Stud. Biophysique. 81 (1981) 39].

Yang R, Chen J, Deng Z, Liu X, [Effet de la vitamine E sur la variation morphologique des cellules ganglionnaires
rétiniennes après rayonnement micro­ondes]. Wei Sheng Yan Jiu 30(1):31­33, 2001. [Article en chinois]

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Des études montrant les effets du WiFi et des appareils sur la santé

Déterminer la variation morphologique des cellules ganglionnaires rétiniennes de porc en culture primaire
induite par les micro­ondes et la protection du VE peut fournir une base expérimentale pour l'étude de
l'effet des micro­ondes et de leur protection. Des cellules ganglionnaires rétiniennes de porc ont été cultivées
in vitro et additionnées de VE de concentration différente. Chaque groupe a été prélevé après une intensité de
micro­ondes de 30 mW/cm2 rayonnée pendant 1 h dans une pièce blindée de 2 450 MHz.
machine de physiothérapie à ondes continues. Immédiatement après l'irradiation, la variation morphologique des
cellules a été observée au microscope optique et au microscope électronique à transmission. Le
résultat a montré qu’une partie des cellules s’est regroupée et que leur axone a disparu après radiation.
Les mitochondries et le réticulum endoplasmique sont détectés en gonflement au microscope électronique
à transmission. Les résultats ont montré que des cellules A poptosis peuvent être observées. Les cellules des
groupes VE ajoutés n'ont pas présenté de changements évidents au microscope optique, mais on a
pu constater que les mitochondries gonflent légèrement et intègrent les crêtes de mitochondries au
microscope électronique à transmission. Les résultats ont montré que les micro­ondes induisaient des
dommages morphologiques dans les cellules ganglionnaires rétiniennes cultivées primaires, et que le VE pouvait
réduire dans une certaine mesure les dommages causés aux cellules ganglionnaires de la rétine par les micro­ondes.

Behrens T, Lynge E, Cree I, Sabroe S, Lutz JM, Afonso N, Eriksson M, Guénel P, Merletti F, Morales­Suarez­
Varela M, Stengrevics A, Févotte J, Llopis­González A, Gorini G, Sharkova G , Hardell L, Ahrens W.
Exposition professionnelle aux champs électromagnétiques et risque différentiel selon le sexe de mélanome
uvéal. Occuper Environ Med.67(11):751­759, 2010
Objectifs L'association entre l'exposition professionnelle aux champs électromagnétiques (CEM) et le risque
de mélanome uvéal a été étudiée dans une étude cas­témoins menée dans neuf pays européens. Méthodes
Les cas incidents de mélanome uvéal et la population ainsi que les témoins hospitaliers ont été inclus et la
fréquence a été comparée par pays, cohorte de naissance de 5 ans et sexe. Il a été demandé aux sujets
s'ils avaient travaillé à proximité d'installations de transmission électrique à haute tension, d'écrans
d'ordinateur et de diverses machines électriques, ou dans des environnements électriques complexes. Les
mesures de deux matrices scandinaves d'exposition professionnelle ont été appliquées pour estimer
l'exposition cumulée aux CEM tout au long de la vie. Des analyses de régression logistique inconditionnelles,
stratifiées selon le sexe et la couleur des yeux, ont été calculées, en tenant compte de plusieurs facteurs de
confusion potentiels. Résultats 293 patients atteints de mélanome uvéal et 3 198 sujets témoins ont été
interrogés. Les femmes exposées à des installations de transmission électrique présentaient des
risques élevés (RC 5,81, IC à 95 % 1,72 à 19,66). Des associations positives avec l'exposition aux salles de
contrôle ont été observées chez les hommes et les femmes, mais la plupart des augmentations de
risque étaient limitées aux sujets dont l'iris était de couleur foncée. L'application des mesures publiées des
CEM a révélé des augmentations de risque plus importantes chez les femmes que chez les hommes. Encore
une fois, les risques élevés étaient limités aux sujets aux yeux foncés. Conclusion Bien que basées sur
une faible prévalence d'exposition à des sources professionnelles potentielles de CEM, nos données
indiquent que les femmes exposées aux yeux foncés peuvent être particulièrement exposées à un
risque de mélanome uvéal.

Yao K, Wang KJ, Sun ZH, Tan J, Xu W, Zhu LJ, Lu de Q. Le rayonnement micro­ondes de faible puissance
inhibe la prolifération des cellules épithéliales du cristallin de lapin en régulant positivement
l'expression de P27Kip1. Mol Vis. 10 : 138­143, 2004.
OBJECTIF : Le but de cette étude était d'examiner les effets des micro­ondes de faible puissance

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rayonnement (<10 mW/cm2) sur la prolifération de cellules épithéliales de cristallin de lapin en


culture (RLEC). MÉTHODES : Les RLEC cultivés ont été exposés à un rayonnement micro­ondes continu
à une fréquence de 2 450 MHz et à des densités de puissance de 0,10, 0,25, 0,50, 1,00 et 2,00 mW/cm2
pendant 8 h. Les changements morphologiques cellulaires ont été observés au microscope à contraste de
phase. La viabilité cellulaire a été mesurée à l'aide du test MTT et l'analyse du cycle cellulaire a été
mesurée par cytométrie en flux. Après exposition à un rayonnement micro­ondes de 2,00 mW/cm2
pendant 4, 6 et 8 h, l'expression des protéines régulatrices du cycle cellulaire, P21WAF1 et P27Kip1, a
été examinée à l'aide d'une analyse par transfert Western. Enfin, les niveaux d’ARNm de P21WAF1
et P27Kip1 ont été analysés par réaction en chaîne par polymérase­transcription inverse (RT­PCR).
RÉSULTATS : Après 8 heures de radiothérapie, les cellules traitées avec un rayonnement micro­
ondes de 0,50, 1,00 et 2,00 mW/cm2 ont présenté une viabilité cellulaire diminuée, une condensation
cellulaire accrue et une inhibition de la synthèse de l'ADN. Le RLEC a montré un arrêt G0/G1 significatif.
Aucun changement évident n’a pu être détecté dans les groupes de traitement par micro­ondes de 0,10 et
0,25 mW/cm2. L'expression protéique de P27Kip1 a été nettement augmentée après un rayonnement
micro­ondes. Cependant, les niveaux d’ARNm sont restés inchangés. En revanche, il n’y avait
aucune différence détectable dans l’expression de la protéine P21WAF1 et les niveaux d’ARNm
entre les groupes traités par micro­ondes et les groupes témoins. CONCLUSIONS : Cette étude suggère
qu'un rayonnement micro­ondes de faible puissance supérieur à 0,50 mW/cm2 peut inhiber la prolifération
des cellules épithéliales du cristallin et augmenter l'expression de P27Kip1. Ces effets peuvent
expliquer le déclin de la prolifération épithéliale du cristallin après exposition au rayonnement micro­ondes.

Kues HA, Monahan JC, D'Anna SA, McLeod DS, Lutty GA, Koslov S, Sensibilité accrue de l'œil des
primates non humains aux rayonnements micro­ondes après un prétraitement médicamenteux
ophtalmique. Bioélectromagnétique 13(5):379­393, 1992.
Des études antérieures menées dans notre laboratoire ont établi que les micro­ondes pulsées à 2,45 GHz
et 10 mW/cm2 sont associées à la production de lésions endothéliales cornéennes et à la perturbation de
la barrière hémato­aqueuse dans l'œil des primates non humains. Dans l'étude rapportée ici, nous
avons examiné les lésions oculaires chez des singes (M. mulatta et M. fascicularis) suite à un traitement
topique avec l'un des deux médicaments ophtalmiques (maléate de timolol et pilocarpine) précédant
l'exposition aux micro­ondes pulsées. Des singes anesthésiés ont été exposés de manière factice ou
exposés à des micro­ondes pulsées de 2,45 GHz (10 microsecondes, 100 pps) à des densités de puissance
moyennes de 0,2, 1, 5, 10 ou 15 mW/cm2 sur 4 ha par jour pendant 3 jours consécutifs (les DAS respectifs
étaient de 0,052). , 0,26, 1,3, 2,6 et 3,9 W/kg). Immédiatement avant l'exposition aux micro­
ondes, un ou les deux yeux ont été traités localement avec une goutte de maléate de timolol à 0,5 %
ou de pilocarpine à 2 %. Suite à l'administration d'un médicament, nous avons observé une réduction
significative du seuil de densité de puissance (de 10 à 1 mW/cm2) pour l'induction de lésions
endothéliales cornéennes et pour une perméabilité vasculaire accrue de l'iris. Des procédures de
diagnostic (microscopie spéculaire in vivo et angiographie de l'iris à la fluorescéine) ont été réalisées après
chaque protocole d'exposition. De plus, une perméabilité vasculaire accrue a été confirmée par
des techniques de traçage à la peroxydase de raifort. Bien que nous n’ayons pas mesuré les températures
intraoculaires chez les animaux de laboratoire, les résultats suggèrent qu’un mécanisme autre qu’un
échauffement important de l’œil est impliqué. Nos données indiquent que les micro­ondes pulsées à un
DAS moyen de 0,26 W/kg, si elles sont administrées après un prétraitement avec des
médicaments ophtalmiques, peuvent produire des effets oculaires significatifs dans le

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primate anesthésié.

Kojima M, Hata I, Wake K, Watanabe S, Yamanaka Y, Kamimura Y, Taki M, Sasaki K.


Influence de l'anesthésie sur les effets oculaires et la température des yeux de lapin exposés aux micro­
ondes. Bioélectromagnétique 25(3):228­233, 2004.
Pour étudier l'effet de l'anesthésie systémique sur les effets oculaires et la température des yeux de lapins
exposés aux micro­ondes, un œil de chacun de 43 lapins pigmentés mâles (néerlandais, 1,8 à 2,2 kg) a été
exposé à 2,45 GHz pendant 60 à 20 min (300 mW/cm2). ; 108 W/kg), soit sous anesthésie (chlorhydrate
de kétamine (5 mg/kg) + xylazine (0,23 mg/kg)), soit sans anesthésie. Les modifications du segment antérieur
ont été évaluées par analyse d'images à l'aide d'une caméra Scheimpflug, d'une microscopie spéculaire et
d'un appareil de mesure de cellules à lumière laser. Les températures dans l’œil ont été mesurées lors
d’une exposition aux micro­ondes à l’aide d’un thermomètre fluoroptique.
Les yeux exposés présentaient un myosis, une congestion conjonctivale, un œdème cornéen et une
augmentation de la diffusion de la lumière du cortex antérieur peu profond dans la zone pupillaire du cristallin.
Le groupe sous anesthésie systémique a présenté des symptômes beaucoup plus forts que ceux traités sans
anesthésie. Tous les changements oculaires antérieurs ont disparu en une semaine.
La température la plus élevée lors de l'exposition était dans le corps vitré, suivi de la chambre antérieure et
de la cavité rétrobulbaire de l'orbite. Les températures oculaires des lapins sous anesthésie systémique étaient
de 2 à 9 degrés Celsius plus élevées que celles des lapins sans anesthésie.
La température corporelle a montré une augmentation de 1 degré C pendant l'exposition. L’exposition aiguë
aux micro­ondes de haute intensité a induit temporairement une inflammation des segments antérieurs et des
modifications du cristallin. Les effets oculaires plus prononcés chez les lapins anesthésiés étaient
associés à des températures oculaires significativement plus élevées chez les animaux anesthésiés.
L'influence de l'anesthésie systémique sur les modifications oculaires doit être prise en compte.

Yu Y, Yao K. Effets cellulaires non thermiques du rayonnement micro­ondes de faible puissance sur le cristallin
et les cellules épithéliales du cristallin. J Int Med Rés. 38(3):729­736, 2010.
En raison de l’utilisation croissante des appareils modernes à radiofréquence, l’opinion publique s’inquiète
des effets possibles sur la santé de l’exposition aux rayonnements micro­ondes dans de nombreux
pays. Il est bien établi que le rayonnement micro­ondes de haute puissance peut provoquer des
cataractes via ses effets thermiques. On ne sait toujours pas si le rayonnement micro­ondes de faible
puissance, en particulier à des niveaux inférieurs aux limites d'exposition actuelles, est cataractogène. Cette
revue résume les études sur les effets biologiques du rayonnement micro­ondes de faible puissance
sur le cristallin et les cellules épithéliales du cristallin (LEC). Il a été rapporté que l'exposition affecte la
transparence du cristallin, modifie la prolifération cellulaire et l'apoptose, inhibe la communication intercellulaire
entre les jonctions lacunaires et induit une instabilité génétique et des réponses au stress dans les LEC.
Ces résultats soulèvent la question de savoir si l’environnement micro­ondes ambiant peut induire des
effets non thermiques dans la lentille et si de tels effets ont des conséquences potentielles sur la
santé. D'autres études in vivo sur les effets sur le cristallin de l'exposition à un rayonnement micro­
ondes de faible puissance sont nécessaires.

Balci M, Namuslu M, Devrim E, Durak I. Effets du rayonnement émis par un écran d'ordinateur sur l'équilibre
oxydant/antioxydant dans la cornée et le cristallin des rats. Mol Vis. 15:2521­2525, 2009.

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Des études montrant les effets du WiFi et des appareils sur la santé

OBJECTIF : Cette étude vise à étudier les effets possibles des rayonnements émis par un écran
d'ordinateur sur l'équilibre oxydant/antioxydant dans les tissus de la cornée et du cristallin et à observer
les effets protecteurs de la vitamine C (vit C). MÉTHODES : Quatre groupes (moniteur PC, moniteur
PC plus vitamine C, vitamine C et contrôle) composés chacun de dix rats Wistar ont été étudiés. L'étude
a duré trois semaines. La vitamine C a été administrée à des doses orales de 250 mg/kg/jour. Les
groupes ordinateur et ordinateur plus vitamine C ont été exposés à des écrans d’ordinateur alors
que les autres groupes ne l’étaient pas. Les niveaux de malondialdéhyde (MDA) et les activités de
superoxyde dismutase (SOD), de glutathion peroxydase (GSH­Px) et de catalase (CAT) ont été
mesurés dans les tissus de la cornée et du cristallin des rats. RÉSULTATS : Dans la cornée
les tissus, les niveaux de MDA et l’activité CAT ont augmenté dans le groupe informatique par
rapport au groupe témoin. Dans le groupe ordinateur plus vitamine C, les niveaux de MDA, les activités
SOD et GSH­Px étaient plus élevés et l'activité CAT inférieure à celles des groupes ordinateur et témoin.
En ce qui concerne le tissu du cristallin, dans le groupe ordinateur, les niveaux de MDA et l'activité
GSH­Px ont augmenté par rapport aux groupes témoin et ordinateur plus vitamine C, et l'activité SOD
était supérieure à celle du groupe témoin. Dans le groupe ordinateur plus vitamine C, l’activité SOD s’est
avérée plus élevée et l’activité CAT inférieure à celles du groupe témoin. CONCLUSION : Les résultats
de cette étude suggèrent que le rayonnement des écrans d'ordinateur entraîne un stress
oxydatif dans les tissus de la cornée et du cristallin, et que la vitamine C peut prévenir les effets oxydatifs
dans le cristallin.

Lu L, Xu H, Wang X, Guo G. L'augmentation de l'activité de l'oxyde nitrique synthase est essentielle pour
la rupture de la barrière hémato­rétinienne induite par les impulsions électromagnétiques in vivo.Brain Res.
1264 : 104­10, 2009.
OBJECTIF : Examiner si les impulsions électromagnétiques (EMP) affectaient la perméabilité de la
barrière hémato­rétinienne (BRB), l'expression génique de l'occludine et l'activité de l'oxyde nitrique
synthase (NOS). MÉTHODES : Des rats Sprague­Dawley (SD) ont été utilisés et randomisés. en
groupes EMP et témoins. Les rétines ont été retirées immédiatement et 2 h ou 24 h après l'irradiation
EMP. La perméabilité du BRB a été analysée par microscopie électronique à transmission et coloration
au bleu Evans. L'activité rétinienne NOS et les concentrations de nitrite et de nitrate ont été
mesurées. Les niveaux d'ARNm et de protéines d'occludine ont été détectés par RT­PCR et Western
blot. RÉSULTATS : L'exposition de rats SD à l'EMP a entraîné une augmentation de la perméabilité
du BRB, avec la plus grande diminution de l'occludine après 24 h. De plus, ce défaut de perméabilité
était également corrélé à des augmentations significatives de la formation de NO et à l’induction de
l’activité de NOS chez les rats SD. De plus, nous avons constaté que le traitement avec l'ester
méthylique de N­nitro­L­arginine (L­NAME), inhibiteur de la NOS, bloquait la dégradation du BRB et
empêchait l'augmentation de la formation de NO et l'induction de l'activité de la NOS, ainsi que
la diminution de l'expression d'occlusion. CONCLUSION : Pris ensemble, ces résultats confortent
l’idée selon laquelle la production de NO dépendante de la NOS est un facteur important qui contribue
au dysfonctionnement du BRB induit par l’EMP et suggèrent que l’induction de la NOS pourrait jouer un rôle important dans le B
panne.

Wang KJ, Yao K, Lu DQ. [Effets de différentes doses de rayonnement micro­ondes sur les
composants protéiques du cristallin de lapin de culture] Zhonghua Lao Dong Wei Sheng Zhi Ye Bing Za Zhi.
25(4):208­210, 2007.[Article en chinois]

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Des études montrant les effets du WiFi et des appareils sur la santé

OBJECTIF : Étudier les effets de différentes doses de rayonnement micro­ondes sur les composants
protéiques du cristallin de lapin en culture et analyser les mécanismes de lésion du cristallin causées par le
rayonnement micro­ondes. MÉTHODES : Des lentilles de lapin cultivées ont été exposées à un rayonnement
micro­ondes d'une fréquence de 2 450 MHz et d'une densité de puissance de 0,25, 0,50, 1,00, 2,00, 5,00 mW/
cm(2) pendant 8 heures in vitro. La transparence de la lentille a été observée. Des changements dans la
concentration en protéines ont été détectés après l'extraction de différents composants protéiques du cristallin,
notamment la protéine hydrosoluble (WSP), la protéine soluble dans l'urée (USP), la protéine soluble dans
les alcalis (ASP) et la protéine soniquée (SP). L'influence du rayonnement micro­ondes sur le WSP a été analysée
par électrophorèse SDS­PAGE et coloration au bleu de coomassie.
RÉSULTATS : La transparence du cristallin a diminué après radiothérapie. Il y avait une opacification
évidente du cortex du cristallin après un rayonnement micro­ondes de 5,00 mW/cm(2) pendant 8 heures. Après 1,00,
2,00 et 5,00 mW/cm(2) de rayonnement, le pourcentage de WSP a diminué tandis que l'USP a évidemment
augmenté. Il n'y a eu aucun changement d'ASP. Le pourcentage de SP diminuait lorsque la puissance du micro­onde
était de 5,00 mW/cm(2). La protéine de faible poids moléculaire du WSP a diminué tandis que la protéine de haut
poids moléculaire a augmenté après le rayonnement micro­ondes.
CONCLUSION : Un rayonnement micro­ondes supérieur à 1,00 mW/cm(2) peut affecter la proportion
de WSP et d'USP dans le cristallin de lapin de culture et provoquer des modifications de la transparence
et du pouvoir réfractif du cristallin, ce qui conduit à son opacité.

Effet sur la fertilité et la reproduction


Atasoy HI, Gunal MY, Atasoy P, Elgun S, Bugdayci G. Démonstration immunohistopathologique des
effets délétères sur les testicules de rat en croissance des ondes radiofréquences émises par les appareils Wi­Fi
conventionnels. J Pédiatre Urol. 9(2):223­229, 2013.
OBJECTIF : Étudier les effets sur les testicules de rat des rayonnements radiofréquences émis par les appareils
d'accès Internet Wi­Fi intérieurs utilisant les normes sans fil 802.11.g. MÉTHODES : Dix rats mâles albinos Wistar ont
été divisés en groupes expérimentaux et témoins, avec cinq rats par groupe.
Des passerelles sans fil standards communiquant à 2,437 GHz ont été utilisées comme sources d'ondes
radiofréquences. Le groupe expérimental a été exposé à l’énergie radiofréquence pendant 24 ha par jour pendant 20
semaines. Les rats ont été sacrifiés à la fin de l'étude. Le sang intracardiaque a été échantillonné pour déterminer
les taux sériques de 8­hydroxy­2'­désoxyguanosine. Les testicules ont été prélevés et examinés histologiquement et
immunohistochimiquement. Les tissus testiculaires ont été analysés pour déterminer les niveaux de
malondialdéhyde et les activités enzymatiques prooxydantes­antioxydantes. RÉSULTATS : Nous avons observé
des augmentations significatives des taux sériques de 8­hydroxy­2'­désoxyguanosine et de la coloration de la 8­
hydroxyguanosine dans les testicules du groupe expérimental, indiquant des dommages à l'ADN dus à l'exposition
(p < 0,05). Nous avons également constaté une diminution des niveaux d'activité de la catalase et de la glutathion
peroxydase dans le groupe expérimental, ce qui pourrait être dû aux effets des radiofréquences sur l'activité enzymatique (p < 0,05).
CONCLUSIONS : Ces résultats soulèvent des questions sur la sécurité de l'exposition aux radiofréquences
provenant des dispositifs d'accès Internet Wi­Fi pour les organismes en croissance en âge de procréer, avec un effet
potentiel sur la fertilité et l'intégrité des cellules germinales.

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Des études montrant les effets du WiFi et des appareils sur la santé

Dasdag S, Taş M, Akdag MZ, Yegin K. Effet de l'exposition à long terme au rayonnement radiofréquence de
2,4 GHz émis par l'équipement Wi­Fi sur les fonctions des testicules.
Electromagn Biol Med. 24 janvier 2014. [Publication électronique avant impression]
Le but de cette étude était d'étudier les effets à long terme du rayonnement radiofréquence (RFR) émis par un système
Wireless Fidelity (Wi­Fi) sur les testicules. L'étude a été réalisée sur 16 rats mâles adultes Wistar Albino en les divisant en
deux groupes : simulacre (n : 8) et exposition (n : 8). Les rats du groupe exposé ont été exposés à un rayonnement RFR de
2,4 GHz pendant 24 h/jour pendant 12 mois (1 an). La même procédure a été appliquée aux rats du groupe témoin fictif,
sauf que le système Wi­Fi a été désactivé. Immédiatement après la dernière exposition, les rats ont été sacrifiés et les
organes reproducteurs ont été prélevés. Motilité (%), concentration (×106 /mL), défauts de la queue (%), défauts de la
tête (%) et défauts morphologiques totaux (%) des spermatozoïdes et poids des testicules (g), épididyme gauche (g),
prostate (g ), les vésicules séminales (g) ont été déterminées. Le diamètre des tubules séminifères (μm) et l’épaisseur de la
tunique albuginée (μm) ont également été mesurés. Cependant, les résultats ont été évalués en utilisant le score de
Johnsen.

Les défauts de la tête ont augmenté dans le groupe exposé (p < 0,05), tandis que le poids de l'épididyme et des vésicules
séminales, le diamètre des tubules séminifères et l'épaisseur de la tunique albuginée ont diminué dans le groupe exposé (p <
0,01, p < 0,001, p < 0,0001). Cependant, d'autres modifications d'autres paramètres ne se sont pas révélées
significatives (p > 0,05). En conclusion, nous avons observé qu’une exposition à long terme aux RF de 2,4 GHz émises
par le Wi­Fi (2 420 μW/kg, 1 g en moyenne) affecte certains des paramètres de reproduction des rats mâles. Nous
suggérons aux utilisateurs de Wi­Fi d'éviter toute exposition à long terme aux émissions RF des équipements Wi­Fi.

Avendaño C, Mata A, Sanchez Sarmiento CA, Doncel GF. L'utilisation d'ordinateurs portables connectés à Internet
via Wi­Fi diminue la motilité des spermatozoïdes humains et augmente la fragmentation de l'ADN des spermatozoïdes .
Fertil Steril. 97(1):39­45, 2012.
OBJECTIF : Évaluer les effets des ordinateurs portables connectés sans fil aux réseaux locaux (Wi­Fi) sur les
spermatozoïdes humains. CONCEPTION : Étude prospective in vitro . CONTEXTE : Centre de médecine de la
reproduction. PATIENT(S) : Échantillons de sperme de 29 donneurs sains . INTERVENTION(S) : Les spermatozoïdes
mobiles ont été sélectionnés par nage. Chaque suspension de sperme a été divisée en deux aliquotes. Une aliquote de
sperme (expérimentale) de chaque patient a été exposée à un ordinateur portable connecté à Internet par Wi­Fi pendant 4
heures, tandis que la deuxième aliquote (non exposée) a été utilisée comme contrôle, incubée dans des conditions
identiques sans être exposée à l'ordinateur portable . MESURE(S) : Évaluation de la motilité, de la viabilité et de la
fragmentation de l'ADN des spermatozoïdes. RÉSULTAT(S) : Des échantillons de sperme de donneurs, principalement
normozoospermiques, exposés ex vivo pendant 4 heures à un ordinateur portable connecté à Internet sans fil ont
montré une diminution significative de la motilité progressive des spermatozoïdes et une augmentation de la
fragmentation de l’ADN des spermatozoïdes. Les niveaux de spermatozoïdes morts n'ont montré aucune différence
significative entre les deux groupes. CONCLUSION(S) : À notre connaissance, il s'agit de la première étude à évaluer
l'impact direct de l'utilisation d'un ordinateur portable sur les spermatozoïdes humains. L'exposition ex vivo de
spermatozoïdes humains à un ordinateur portable connecté à Internet sans fil a diminué la motilité et induit une
fragmentation de l'ADN par un effet non thermique. Nous pensons que garder un ordinateur portable connecté sans fil
à Internet sur les genoux, à proximité des testicules, pourrait entraîner une diminution de la fertilité masculine. D’autres
études in vitro et in vivo sont nécessaires pour prouver cette affirmation.

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Des études montrant les effets du WiFi et des appareils sur la santé

Nazıroğlu M, Yüksel M, Köse SA, Özkaya MO. Rapports récents sur les rayonnements induits par
le Wi­Fi et les téléphones portables sur le stress oxydatif et les voies de signalisation reproductive
chez les femmes et les hommes. J Membre Biol. 246(12):869­875, 2013.
L'exposition environnementale aux rayonnements électromagnétiques (EMR) augmente avec la demande
croissante d'appareils de communication. Le but de l'étude était de discuter des mécanismes et des
facteurs de risque des modifications du DME sur les fonctions reproductives et la biologie oxydative
membranaire chez les femelles et les mâles. Il a été rapporté que même une exposition chronique au
DME n’augmentait pas le risque de fonctions reproductrices, comme une augmentation des
niveaux d’avortement par les néoantigènes. Cependant, les résultats de certaines études indiquent
que le DME induit l’endométriose et l’inflammation et diminue le nombre de follicules dans l’ovaire ou
l’utérus des rats. Dans les études menées sur des rats mâles, l'exposition a provoqué une
dégénérescence des tubules séminifères, une réduction du nombre de cellules de Leydig et
de la production de testostérone ainsi qu'une augmentation des taux d'hormone lutéinisante et des cellules
apoptotiques. Dans certains cas d’infertilité masculine et féminine, une augmentation des
niveaux de stress oxydatif et de peroxydation lipidique ainsi qu’une diminution des valeurs
d’antioxydants tels que la mélatonine, la vitamine E et la glutathion peroxydase ont été signalées
chez les animaux exposés au DME. En conclusion, les résultats des études actuelles indiquent
que le stress oxydatif dû à l’exposition au DME induit par le Wi­Fi et les téléphones portables est
un mécanisme important affectant les systèmes reproducteurs féminins et masculins. Cependant, il n’existe
à ce jour aucune preuve étayant un risque accru d’infertilité féminine et masculine lié à l’exposition aux DME.

Saygin M, Caliskan S, Karahan N, Koyu A, Gumral N, Uguz A. Apoptose testiculaire et changements


histopathologiques induits par un champ électromagnétique de 2,45 GHz. Toxicol Ind Santé.
27(5):455­463, 2011.
Le public s’inquiète de plus en plus du risque potentiel pour la santé humaine provoqué par l’exposition
aux rayonnements électromagnétiques (EMR). L'objectif de cette étude est d'étudier les effets du champ
électromagnétique de 2450 MHz sur l'apoptose et les changements histopathologiques sur le
tissu testiculaire du rat. Des rats Wistar Albino mâles âgés de douze semaines ont été utilisés dans
cette étude. Dix­huit rats répartis également en trois groupes différents appelés groupes I, II et III. Des
groupes de contrôle en cage (groupe I), de contrôle fictif (groupe II) et d'EMR 2,45 GHz (groupe III) ont
été formés. Le groupe III a été exposé à un DME de 2,45 GHz, à un taux d'absorption spécifique de
3,21 W/kg pendant 60 minutes/jour pendant 28 jours. Il n'y avait aucune différence entre les groupes
pour le diamètre des tubules séminifères, des cellules pycnotiques, caryolectiques et caryotiques.
Cependant, le nombre de cellules de Leydig du tissu testiculaire des rats du groupe III était
significativement réduit par rapport au groupe I (p < 0,05). Estimation de
la spermatogenèse utilisant le score de biopsie testiculaire de Johnsen a révélé que la différence entre
les groupes est statistiquement significative. Les niveaux de TNF­α, Caspase­3 et Bcl­2 ont été
comparés et aucune différence significative n'a été trouvée entre les groupes. Quand Bax
Les gènes de l'apoptose et l'enzyme d'apoptose Caspase­8 ont été comparés, il y avait des différences
significatives entre les groupes (p <0,05). Le champ électromagnétique affecte la spermatogenèse et
provoque l'apoptose en raison de la chaleur et d'autres événements liés au stress dans les tissus testiculaires.

Wang H, Peng R, Zhou H, Wang S, Gao Y, Wang L, Yong Z, Zuo H, Zhao L , Dong J, Xu X, Su Z. Une
altération de l'induction de potentialisation à long terme est essentielle pour la perturbation de

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Des études montrant les effets du WiFi et des appareils sur la santé

mémoire spatiale après exposition aux micro­ondes. Int J Radiat Biol. 24 juillet 2013. [Publication électronique avant
impression]
Objectif : Évaluer l’impact de l’exposition aux micro­ondes sur l’apprentissage et la mémoire et explorer les
mécanismes sous­jacents. Matériels et méthodes : 100 rats Wistar ont été exposés à un champ micro­
onde pulsé de 2,856 GHz à des densités de puissance moyennes de 0 mW/cm2 ,
5 mW/cm2 , 10 mW/cm2 et 50 mW/cm2 pendant 6 min. La mémoire spatiale a été évaluée par la tâche
Morris Water Maze (MWM). Une étude in vivo a été menée peu après l'exposition aux micro­ondes
pour évaluer les changements dans les amplitudes des pics de population (PS) de potentialisation à long terme
(LTP) dans la voie de la voie perforante médiale (MPP)­gyrus denté (DG).
La structure de l'hippocampe a été observée par microscopie optique et par microscopie électronique
à transmission (TEM) 7 jours après l'exposition aux micro­ondes. Résultats : Nos résultats ont montré que
les rats exposés à des micro­ondes de 10 mW/cm2 et 50 mW/cm2
présentaient des déficits significatifs dans l'apprentissage spatial et la mémoire 6 h, 1 jour et 3 jours
après l'exposition. Des amplitudes PS diminuées ont également été observées après 10 mW/cm2 et 50 mW/cm2
exposition aux micro­ondes. De plus, divers degrés de dégénérescence des neurones de l'hippocampe,
une diminution des vésicules synaptiques et des fentes synaptiques floues ont été observés chez les rats
exposés à des micro­ondes de 10 mW/cm2 et 50 mW/cm2 . Par rapport au groupe fictif, les rats
exposés à un micro­ondes de 5 mW/cm2 n’ont montré aucune différence dans les expériences ci­dessus.
Conclusions : Cette étude suggère que la déficience de l'induction de la LTP et les dommages à la structure
hippocampique, en particulier les modifications des synapses, pourraient contribuer aux déficiences cognitives
après une exposition aux micro­ondes.

Oksay T, Naziroğlu M, Doğan S, Güzel A, Gümral N, Koşar PA. Effets protecteurs de la mélatonine
contre les lésions oxydatives des testicules de rat induites par des appareils sans fil (2,45 GHz).
Andrologie. 12 novembre 2012. est ce que je : 10.1111/et.12044. [Epub avant impression]
Les appareils sans fil font désormais partie de la vie quotidienne et sont principalement situés à proximité des
organes reproducteurs lorsqu'ils sont utilisés. La présente étude a été conçue pour déterminer les effets
protecteurs possibles de la mélatonine sur les lésions testiculaires dépendantes du stress oxydatif induites
par le rayonnement électromagnétique (EMR) de 2,45 GHz. Trente­deux rats ont été répartis également
en quatre groupes différents, à savoir le contrôle en cage (A1), le contrôle fictif (A2), l'EMR à 2,45 GHz (B) et
l'EMR à 2,45 GHz + mélatonine (C). Les groupes B et C ont été exposés à un EMR de 2,45 GHz pendant 60
minutes par jour (­1) pendant 30 jours. Les niveaux de peroxydation lipidique étaient plus élevés dans le
groupe B que dans les groupes A1 et A2. Le traitement à la mélatonine a empêché l’augmentation de la
peroxydation lipidique induite par l’EMR. Les niveaux réduits de glutathion (GSH) et de glutathion
peroxydase (GSH­Px) dans le groupe D étaient également supérieurs à ceux du groupe exposé. Les
concentrations de vitamines A et E ont diminué dans le groupe exposé et la mélatonine a empêché la diminution des niveaux de vitam
En conclusion, le DME sans fil (2,45 GHz) a provoqué des dommages oxydatifs dans les testicules en
augmentant les niveaux de peroxydation lipidique et en diminuant les niveaux de vitamines A et E. La
supplémentation en mélatonine a empêché les dommages oxydatifs induits par le DME et a également
soutenu le système antioxydant redox dans les testicules.

Mortazavi S, Parsanezhad M, Kazempour M, Ghahramani P, Mortazavi A, Davari M.


La santé reproductive masculine menacée : exposition à court terme aux rayonnements
radiofréquences émis par les brouilleurs mobiles courants. J Hum Reprod Sci. avril 2013;6(2):124­

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Des études montrant les effets du WiFi et des appareils sur la santé

8. est ce que je : 10.4103/0974­1208.117178.


CONTEXTE : La vie moderne a incité l’homme à produire, transmettre et utiliser de plus en plus d’électricité, ce qui
conduit à une exposition à différents niveaux de champs électromagnétiques (CEM).
Des preuves substantielles indiquent que l'exposition à des sources courantes de CEM, telles que les téléphones
portables, les ordinateurs portables ou les ordinateurs portables connectés à Internet sans fil, diminue la qualité du sperme humain.
Dans certains pays, des brouilleurs mobiles sont parfois utilisés dans les bureaux, les sanctuaires, les salles de
conférence et les cinémas pour bloquer le signal. OBJECTIFS : Au meilleur de nos connaissances, il s'agit de la
première étude à étudier l'effet de l'exposition à court terme d'échantillons de sperme humain aux rayonnements
radiofréquences (RF) émis par les brouilleurs mobiles courants. SUJETS ET MÉTHODES : Des échantillons de
sperme frais ont été collectés par masturbation auprès de 30 donneurs sains qui s'étaient adressés au centre de traitement
de l'infertilité de l'hôpital mère­enfant avec leurs épouses. Le problème féminin a été diagnostiqué comme étant la cause
de l’infertilité chez ces couples.
ANALYSE STATISTIQUE : Le test T et l'analyse de variance ont été utilisés pour montrer la signification statistique.
RÉSULTATS : La motilité des échantillons de sperme exposés au rayonnement RF brouilleur pendant 2 ou 4 heures était
significativement inférieure à celle des échantillons exposés de manière factice. Ces résultats nous amènent à la
conclusion que les brouilleurs mobiles peuvent diminuer considérablement la motilité des spermatozoïdes et les chances
de conception des couples. CONCLUSION : Sur la base de ces résultats, on peut suggérer que dans les pays qui n'ont
pas interdit l'utilisation des brouilleurs mobiles, des législations devraient être adoptées de toute urgence pour restreindre
l'utilisation de ces dispositifs de blocage de signal dans les lieux publics ou privés.

Meena R, Kumari K, Kumar J, Rajamani P, Verma HN, Kesari KK. Approches thérapeutiques de la
mélatonine dans la toxicité induite par le stress oxydatif induite par les rayonnements micro­ondes sur le profil de fertilité
mâle des rats Wistar. Electromagn Biol Med. 15 mai 2013.
[Epub avant impression]
Résumé Le rayonnement micro­ondes (MW) produit par les télécommunications sans fil et un certain nombre
d'appareils électriques utilisés dans les ménages ou dans les établissements de santé peut nuire au mode de
reproduction. La présente étude visait à étudier les effets protecteurs de la mélatonine (un antioxydant bien connu
qui protège l'ADN, les lipides et les protéines des dommages causés par les radicaux libres) contre la déficience
testiculaire induite par le stress oxydatif due à une exposition à long terme aux MW. Pour cela, des rats Wistar
mâles âgés de 70 jours ont été divisés en quatre groupes (n = 6/groupe) : Sham exposés, Mélatonine (Mel) traitée (2
mg/kg), MW 2,45 GHz exposés et MW + Mel traités. L'exposition a eu lieu dans des cages en plexiglas pendant 2 ha
par jour pendant 45 jours où la densité de puissance (0,21 mW/cm2 ) et le taux d'absorption spécifique (DAS 0,14
W/Kg) ont été estimés. Après la fin de la période d'exposition, les rats ont été sacrifiés et divers paramètres liés
au stress, à savoir l'activité LDH­X (lactate déshydrogénase isoenzyme), la xanthine oxydase (XO), les ROS
(espèces réactives de l'oxygène), la teneur en protéines carbonyle, les dommages à l'ADN et le MDA ( malondialdéhyde)
ont été réalisées. Le résultat montre que la mélatonine prévient biochimiquement les dommages oxydatifs par une
augmentation significative (p < 0,001) des niveaux de LDH­X testiculaire, une diminution (p < 0,001) des niveaux de
MDA et de ROS dans les testicules (p < 0,01). Parallèlement, il a inversé les effets des MW sur le XO, la teneur en
protéines carbonyle, le nombre de spermatozoïdes, le niveau de testostérone et la fragmentation de l'ADN dans les
cellules testiculaires. Ces résultats ont conclu que la mélatonine a un fort potentiel antioxydant contre les dommages à
l'ADN induits par le stress oxydatif dans les cellules testiculaires.

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Effets sur la grossesse


Col­Araz N. Évaluation des facteurs affectant le poids à la naissance et la naissance prématurée dans le sud de la Turquie. J
Pak Med Assoc. avril 2013;63(4):459­62.
OBJECTIF : Identifier les facteurs affectant le poids à la naissance et la naissance prématurée, et trouver des
associations avec les appareils électromagnétiques tels que la télévision, les ordinateurs et les téléphones portables.
MÉTHODES : L'étude a été menée en Turquie à l'Université de Gazintep, clinique externe de la Faculté de médecine du
service pédiatrique. Elle comprenait 500 patientes qui se sont présentées à la clinique de mai à décembre 2009. Toutes les
participantes ont reçu un questionnaire concernant leurs antécédents de grossesse. SPSS 13 a été utilisé pour l’analyse
statistique. RÉSULTATS : Dans l'étude, 90 (19 %) patientes ont eu un accouchement prématuré et 64 (12,9 %) avaient un
faible poids à la naissance. Le poids à la naissance était positivement corrélé à l'âge de la mère et au poids maternel de base
(r = 0,115, p < 0,010 ; r = 0,168, p < 0,000, respectivement). Les naissances prématurées et les poids à la naissance inférieurs
à 2 500 g étaient plus fréquents chez les mères ayant des antécédents de maladie pendant la grossesse (p < 0,046 et p <
0,008, respectivement). L'habitude des mères de regarder la télévision et d'utiliser des téléphones portables et des
ordinateurs n'a démontré aucune relation avec le poids à la naissance. Mères qui utilisaient le mobile

les téléphones ou les ordinateurs pendant la grossesse ont eu plus d'accouchements avant 37 semaines (p < 0,018, p <
0,034 ; respectivement). De même, la durée de la grossesse était plus courte chez les mères qui utilisaient un téléphone
portable ou un ordinateur pendant la grossesse (p < 0,005, p < 0,048, respectivement).
CONCLUSION : Les téléphones portables et les ordinateurs peuvent avoir un effet sur les naissances prématurées.

Cabot E, Christ A, Bühlmann B, Zefferer M, Chavannes N, Bakker JF, van Rhoon GC, Kuster N. Quantification de
l'exposition RF du fœtus à l'aide de modèles CAO anatomiques à trois stades gestationnels différents. Santé Phys.
107(5):369­381, 2014.
Cette étude analyse l'exposition des femmes enceintes et de leurs fœtus à trois stades de gestation différents aux rayonnements
électromagnétiques dans la gamme des fréquences radio en champ proche et lointain à l'aide d'une modélisation numérique.
Pour l'exposition en champ lointain, la densité de puissance à laquelle la restriction de base pour le DAS du corps entier est
atteinte est calculée à la fois pour la mère et le fœtus à la résonance du corps entier et à des fréquences comprises entre
450 MHz et 2 450 MHz. L'exposition en champ proche est évaluée à 450 MHz, 900 MHz et 2 450 MHz en utilisant des dipôles
demi­longueur d'onde comme sources génériques situées à différents endroits autour de l'abdomen de la mère. Pour les
cas étudiés, l'exposition de la mère est toujours inférieure ou de l'ordre de grandeur de la restriction de base d'exposition au
niveau de référence. Lors de l'application des niveaux de référence grand public, le fœtus est suffisamment protégé par la mère.
Toutefois, les restrictions de base pour l'exposition du grand public peuvent être dépassées chez le fœtus lorsque la mère est
exposée aux niveaux de référence pour les conditions professionnelles. Pour l'exposition aux ondes planes à des niveaux
professionnels, le DAS du corps entier chez le fœtus peut dépasser les restrictions de base pour la population générale d'au
moins 1,8 dB, et dans le champ proche des appareils professionnels, le DAS de 10 g peut être non conforme
aux la norme produit pour le grand public de > 3,5 dB.

Bellieni CV, Pinto I, Bogi A, Zoppetti N, Andreuccetti D, Buonocore G. Exposition aux champs électromagnétiques liés
à l'utilisation d'ordinateurs portables.Arch Environ Occup

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Des études montrant les effets du WiFi et des appareils sur la santé

Santé. 67(1):31­36, 2012.


Les ordinateurs portables sont souvent utilisés en contact étroit avec le corps et sont donc appelés
« ordinateurs portables ». Les auteurs ont mesuré les champs électromagnétiques (CEM) produits par les
ordinateurs portables et estimé les courants induits dans le corps, afin d'évaluer la sécurité des ordinateurs
portables. Les auteurs ont évalué 5 ordinateurs portables couramment utilisés de différentes marques.
Ils ont mesuré l'exposition aux CEM produite et, à l'aide de modèles informatisés validés, les auteurs
ont exploité les données de l'un des ordinateurs portables (LTC) pour estimer l'exposition au flux
magnétique de l'utilisateur et du fœtus dans l'utérus, lorsque l'ordinateur portable est utilisé à proximité.
contact avec le ventre de la femme. Dans les LTC analysés, les valeurs EMF (plage de 1,8 à 6 μT) sont
conformes aux directives de la Commission internationale sur la protection contre les rayonnements
non ionisants (NIR) (ICNIRP), mais sont considérablement supérieures aux valeurs recommandées
par 2 directives récentes pour les moniteurs informatiques d'émissions de champs magnétiques. , MPR II
(Conseil suédois d'accréditation technique) et TCO (Confédération suédoise des employés professionnels),
ainsi que ceux considérés comme à risque pour le développement de tumeurs. A proximité du corps,
l'ordinateur portable induit des courants compris entre 34,2% et 49,8% des recommandations ICNIRP,
mais non négligeables, sur le corps de l'adulte et sur le fœtus (chez la femme enceinte). Au contraire,
l’alimentation électrique induit de fortes densités de courant électrique intracorporel chez le fœtus et chez
le sujet adulte, qui sont respectivement 182­263 % et 71­483 % supérieures à la restriction de base de
l’ICNIRP 98 recommandée pour prévenir les effets néfastes sur la santé. Laptop est paradoxalement un site
inapproprié pour l'utilisation d'un LTC, qui devrait par conséquent être renommé pour ne pas inciter les
clients à une utilisation inappropriée.

Çelik Ö, Kahya MC, Nazıroğlu M. Le stress oxydatif du cerveau et du foie est augmenté par l'exposition au
Wi­Fi (2,45 GHz) des rats pendant la grossesse et le développement des nouveau­nés.J Chem Neuroanat.
28 octobre 2015. pii : S0891­0618(15)00074­5. est ce que je: 10.1016/
j.jchemneu.2015.10.005. [Epub avant impression]
Une production excessive de substances réactives de l'oxygène (ROS) et une réduction des systèmes de
défense antioxydants résultant de l'exposition aux rayonnements électromagnétiques (EMR) peuvent
entraîner des lésions oxydatives du cerveau et du foie et une dégradation des membranes pendant la
grossesse et le développement des ratons. Notre objectif était d'étudier les effets du DME induit par le Wi­
Fi sur les systèmes redox antioxydants du cerveau et du foie chez le rat pendant la grossesse
et le développement. Seize rats gravides et leurs 48 nouveau­nés ont été répartis à parts égales en
groupes témoins et EMR. Les groupes EMR ont été exposés à un EMR de 2,45 GHz (1 heure/jour pendant
5 jours/semaine) depuis la grossesse jusqu'à l'âge de 3 semaines. Des échantillons de cortex cérébral
et de foie ont été prélevés sur les nouveau­nés entre la première et la troisième semaine. Dans les
groupes EMR, les niveaux de peroxydation lipidique dans le cerveau et le foie ont augmenté après
une exposition au DME ; cependant, l'activité de la glutathion peroxydase (GSH­Px), ainsi que la vitamine A, la vitamine E et ­
Les concentrations de carotène ont diminué dans le cerveau et le foie. Les concentrations de glutathion
(GSH) et de vitamine C dans le cerveau étaient également plus faibles dans les groupes EMR que
dans les groupes témoins ; cependant, leurs concentrations n’ont pas changé dans le foie. En conclusion,
le stress oxydatif induit par le Wi­Fi dans le cerveau et le foie des rats en développement était le
résultat d’une réduction des concentrations de GSH­Px, de GSH et de vitamines antioxydantes. De
plus, le cerveau semble être plus sensible aux lésions oxydatives que le foie lors du
développement des nouveau­nés.

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Des études montrant les effets du WiFi et des appareils sur la santé

Yoshida Y, Seto T, Ohsu W, Hayashi S, Okazawa T, Nagase H, Yoshida M, Nakamura H, [Mécanisme


endocrinien des troubles circulatoires placentaires induits par les micro­ondes chez les rats gravides].
Nippon Sanka Fujinka Gakkai Zasshi 47(2):101­108, 1995. [Article en japonais]

Les effets des micro­ondes sur le fœtus et les organes génitaux féminins restent à élucider. Démontrer
les perturbations circulatoires placentaires induites par les micro­ondes et clarifier la pathogenèse
endocrinienne, le flux sanguin placentaire et cinq indicateurs endocriniens, à savoir la corticostérone
(CS), l'estradiol (E2), la progestérone (P), la prostaglandine E2 (PGE2) et la prostaglandine F2
alpha. (PGF2 alpha) ont été mesurés chez des rats exposés à des micro­ondes corporels entiers
d'une intensité de 10 mW/cm2 à une fréquence de 2 450 MHz. Le flux sanguin placentaire 45 à 90 minutes
après l’exposition était significativement diminué chez les rats exposés aux micro­ondes. Le débit sanguin
placentaire à 15 et 30 minutes a été augmenté par un prétraitement avec administration intrapéritonéale
d'angiotensine II (AII). En revanche, aucun changement significatif dans le flux sanguin placentaire
n’a été constaté chez les rats prétraités AII exposés aux micro­ondes. Une augmentation de CS et une
diminution de E2 ont été induites par l'exposition aux micro­ondes indépendamment du prétraitement
avec AII. P a été augmenté par l'exposition aux micro­ondes chez les rats sans prétraitement avec AII. La
PGE2 n'a pas été modifiée par l'exposition aux micro­ondes, que ce soit en cas de non­prétraitement
ou de prétraitement avec AII. La PGF2 alpha a été augmentée par l'exposition aux micro­ondes chez les
rats sans prétraitement avec l'AII. Les présents résultats indiquent qu'une exposition excessive aux micro­
ondes du corps entier perturbe la grossesse en termes de dysfonctionnement circulatoire placentaire.
Les données suggèrent l'implication de mécanismes endocriniens dans la diminution du flux
sanguin placentaire induite par un effet néfaste des micro­ondes sur la PGF2 alpha et sur les fonctions
hypophysaires telles que le stress émotionnel général.

Cobb BL, Jauchem JR, Mason PA, Dooley MP, Miller SA, Ziriax JM, Murphy MR, Évaluation tératologique
neuronale et comportementale des rats exposés à des champs électromagnétiques à bande ultra­large.
Bioélectromagnétique 21(7):524­537, 2000.
Plusieurs chercheurs ont signalé des effets tératologiques de l'exposition aux champs
électromagnétiques. La majorité de ces études ont été réalisées à des niveaux d'exposition susceptibles de
produire un échauffement important des animaux. De nouvelles sources uniques de champs
électromagnétiques à bande ultra­large (UWB) sont actuellement développées et testées, capables de
générer des impulsions micro­ondes (MW) non thermalisantes et à puissance de crête élevée avec des
largeurs d'impulsion en nanosecondes (ns), une augmentation de la picoseconde (ps). fois, et
un UWB de fréquences. Notre étude a été réalisée pour déterminer si des changements tératologiques se
produisent chez les ratons à la suite (i) d'expositions quotidiennes à l'UWB pendant les jours 3 à 18 de la
gestation, ou (ii) d'expositions prénatales et postnatales (10 jours). Les barrages ont été exposés soit à (i)
une irradiation UWB provenant d'un système Kentech qui émettait un champ E de crête de 55 kV/m, un
temps de montée de 300 ps et une largeur d'impulsion de 1,8 ns, un taux d'absorption spécifique moyen
du corps entier de 45 mW/kg ; (ii) irradiation simulée ; ou (iii) un contrôle positif, une solution d'acétate
de plomb (Pb) (2 000 mug/ml) disponible en permanence dans l'eau potable. La progéniture a été
examinée pour l'ontogenèse (taille de la portée, sex­ratios, poids, apparence du pelage, éruption
dentaire, ouverture des yeux, redressement de l'air et vocalisations de stress ultrasoniques). Les chiots mâles ont été testés sur dive

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Des études montrant les effets du WiFi et des appareils sur la santé

mesures de performance (locomotrice, apprentissage du labyrinthe aquatique et capacités de fertilisation).


Les chiots exposés après la naissance ont été examinés pour déterminer la morphologie de l'hippocampe et
le comportement opérant. Les effets comportementaux, fonctionnels et morphologiques de l'exposition
à l'UWB étaient sans particularité, à l'exception de ces exceptions : (i) les chiots exposés à l'UWB
émettaient significativement plus de vocalisations de stress que les chiots exposés de manière factice ; (ii) la
longueur médiale à latérale de l'hippocampe était significativement plus longue chez les ratons exposés à
l'UWB que chez les animaux exposés de manière factice ; (iii) les descendants mâles exposés in utero à
l'UWB se sont accouplés beaucoup moins fréquemment que les mâles exposés de manière factice, mais
lorsqu'ils se sont accouplés, il n'y avait aucune différence en matière de fécondation et de nombre de
descendants par rapport au groupe fictif. Il ne semble pas y avoir de relation physiologique ou
comportementale unificatrice entre les différences significatives observées, et nos résultats pourraient être dus
aux résultats fallacieux attendus lorsqu'un grand nombre de comparaisons statistiques sont effectuées. Les
effets significatifs constatés entre nos contrôles positifs et d'autres groupes sur de nombreuses mesures
indiquent que les techniques utilisées étaient suffisamment sensibles pour détecter les effets tératologiques.

Cancer
Richter E, Berman T, Ben­Michael E, Laster R, Westin JB, Cancer chez les techniciens radar exposés aux
radiofréquences/rayonnements micro­ondes : épisodes sentinelles. Int J Occup Environ Health
6(3):187­193, 2000.
Il existe une controverse concernant les risques pour la santé liés à l'exposition
aux radiofréquences/irradiations micro­ondes (RF/MW). Les auteurs rapportent des relations exposition­
effet chez des patients sentinelles et leurs collègues, qui étaient des techniciens présentant des niveaux
élevés d'exposition aux rayonnements RF/MW. Les informations sur les expositions des patients atteints
de tumeurs sentinelles ont été obtenues à partir d'entretiens, de dossiers médicaux et de sources techniques.
Un patient faisait partie d’une cohorte de 25 travailleurs atteints de six tumeurs. Les auteurs ont estimé
les risques relatifs de cancer dans ce groupe et les périodes de latence pour un groupe plus large d'individus
autodéclarés. Les patients index atteints de mélanome de l'œil, de cancer des testicules, de
nasopharyngiome, de lymphome non hodgkinien et de cancer du sein appartenaient au groupe d'âge de 20
à 37 ans. Les informations sur les conditions de travail suggèrent des expositions prolongées à des niveaux
élevés de rayonnement RF/MW qui entraînent des risques pour l'ensemble du corps. Les clusters
impliquaient de nombreux types de tumeurs différents. Les périodes de latence étaient extrêmement brèves
chez les patients index et dans un groupe autodéclaré plus large. Les résultats suggèrent que les jeunes
exposés à des niveaux élevés de rayonnement RF/MW pendant de longues périodes dans des contextes
où les mesures préventives étaient laxistes couraient un risque accru de cancer. Des périodes de latence
très courtes suggèrent des risques élevés liés à des expositions de haut niveau. Les calculs dérivés d'un
modèle linéaire de dose­réponse suggèrent la nécessité de prévenir les expositions comprises entre 10 et 100 muw/cm(2).

Paulraj R, Behari J. L'effet des ondes continues de faible niveau de 2,45 GHz sur les enzymes du cerveau
de rat en développement. Electromag Biol Med 21:221­231, 2002.
Le présent travail décrit l'effet des micro­ondes continues de faible intensité (2,45 GHz) sur le développement
du cerveau du rat. Des rats Wistar âgés de 35 jours ont été utilisés pour cette étude. Les animaux ont été
exposés 2 heures/jour pendant 35 jours à une densité de puissance de 0,34 mW/cm2 [spécifique

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Des études montrant les effets du WiFi et des appareils sur la santé

taux d'absorption (DAS), 0,1 W/kg] dans une chambre anéchoïque spécialement conçue.
Après l'exposition, les rats ont été sacrifiés et le tissu cérébral a été disséqué et utilisé pour
divers tests biochimiques. Une augmentation significative de l’efflux d’ions calcium et de
l’activité de l’ornithine décarboxylase (ODC) a été observée dans le groupe exposé par
rapport au groupe témoin. En conséquence, une diminution significative de l’activité de la protéine
kinase dépendante du calcium a été observée. Ces résultats indiquent que ce type de
rayonnement affecte les enzymes liées à la membrane, associées à la prolifération
et à la différenciation cellulaire, soulignant ainsi son rôle possible en tant que promoteur de tumeur.

Lourencini da Silva R. , Albano F, Lopes dos Santos LR , Tavares AD, Felzenszwalb I, Le


effet de l'exposition aux champs électromagnétiques sur la formation de lésions de l'ADN. Représentant Redox
5(5):299­301, 2000.
Dans le but de déterminer si l'exposition à un champ électromagnétique (CEM) pourrait entraîner des
dommages à l'ADN, nous avons exposé les plasmides pBR322 traités au SnCl2 à des CEM et analysé
les changements conformationnels résultants par électrophorèse sur gel d'agarose. Une potentialisation de la
scission de l'ADN dépendante des champs électromagnétiques (c'est­à­dire l'apparition de plasmides
détendus) a été observée. En confirmation de cela, les plasmides pré­exposés aux CEM étaient également
moins capables de transformer Escherichia coli. Les résultats indiquent que les champs électromagnétiques,
en présence d'un métal de transition, sont capables de causer des dommages à l'ADN. Ces observations
confortent l'idée selon laquelle les CEM, probablement dus à la génération secondaire d'espèces réactives de
l'oxygène, peuvent être clastogènes et fournissent une explication possible de la corrélation observée
entre l'exposition aux CEM et la fréquence de certains types de cancers chez l'homme.

Singh N, Rudra N, Bansal P, Mathur R, Behari J, Nayar U, la ribosylation poly ADP comme
mécanisme possible de micro­ondes ­ biointeraction. Indien J Physiol Pharmacol 38(3):181­184, 1994.
Les champs électromagnétiques (CEM) affectent le métabolisme du corps, notamment le système
nerveux, endocrinien, cardiovasculaire, hématologique ainsi que le système reproducteur. Les CEM
sont des polluants environnementaux, posant ainsi un risque pour la santé pouvant provoquer des
modifications stériques de la molécule située à la surface des cellules. Les micro­ondes sont connues
pour provoquer des aberrations chromosomiques et agir comme promoteurs de tumeurs. Le processus
implique un flux de signaux allant de la membrane cellulaire au noyau et à d’autres organites.
Les présentes investigations visent à comprendre le mécanisme des effets biologiques des micro­
ondes (2,45 GHz). L'effet a été étudié sur la poly ADP­ribosylation, qui est une modification post­
traductionnelle de la protéine chromatine catalysée par l'enzyme poly ADPR polymérase utilisant
NAD+ comme substrat. Il a été démontré que la poly ADP­ribosylation est impliquée dans plusieurs
aspects de la structure et de la fonction de la chromatine. Des rats âgés de vingt­trois jours pesant entre
42 et 48 g ont été exposés à une dose de micro­ondes de 1,0 mW/cm2. Après une exposition de
soixante jours, les animaux ont été sacrifiés et une estimation de l'activité poly ADPR
polymérase a été entreprise dans différents organes de ces animaux. Il y a eu une augmentation de
20 % de son activité dans le foie, de 35 % dans les testicules, tandis que le cerveau a montré une
diminution de 53 % du diencéphale et de 20 % du cortex chez les animaux exposés par rapport à
leurs témoins respectifs. Il n’y a eu aucun changement dans l’activité enzymatique de la rate et
des reins. Cela s'est accompagné de changements concomitants dans les niveaux de NAD+. Les
résultats ci­dessus peuvent être cités comme des événements importants dans la carcinogenèse et la promotion des tumeurs lié

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Des études montrant les effets du WiFi et des appareils sur la santé

et le mécanisme de transduction du signal impliqué. L’objectif est de faire la lumière sur les interactions
écogénétiques complexes conduisant à la modulation par le cancer de l’expression des gènes par
mécanisme épigénétique.

Balcer­Kubiczek EK, Harrison GH. Transformation néoplasique des cellules C3H/10T1/2 après
exposition à des micro­ondes modulées à 120 Hz à 2,45 GHz et au promoteur tumoral de l'ester de
phorbol. Radiat Res 126(1):65­72, 1991.
Certaines études épidémiologiques récentes ont montré une association positive entre l'incidence du cancer
et l'exposition aux champs électromagnétiques (EM). Les preuves issues d'études in vitro indiquent que
cet effet pourrait être dû à une interaction synergique entre les champs EM et les promoteurs de tumeurs.
Cependant, aucune donnée dose­réponse directement liée à la carcinogenèse n'a été publiée. Dans cette
étude, des cultures de cellules C3H/10T1/2 en croissance active ont été exposées pendant 24 h à des
micro­ondes de 2,45 GHz modulées par impulsions à 120 Hz. Les conditions d'exposition aux champs EM
ont été conçues pour simuler des expositions à des champs faibles (taux d'absorption spécifique 0,1, 1 ou
4,4 W/kg ; les amplitudes maximales correspondantes étaient un champ électrique de 18, 56 ou 120 V/m, un
champ magnétique de 0,09, 0,27). , ou 0,56 muT, respectivement). Dans des expériences distinctes, un 24­
h L'exposition au champ EM à 4,4 W/kg a été précédée ou suivie d'une irradiation X à 0,5, 1 ou 1,5 Gy. Les
cellules ont été testées pour déterminer leur survie et leur transformation néoplasique avec ou sans
administration post­traitement de 0,1 microgrammes/ml de 12­O­tétradécanoylphorbol­13­.
acétate (TPA) pendant toute la durée du test. Les champs EM seuls n’ont eu aucun effet sur la survie
cellulaire ou sur l’induction d’une transformation néoplasique. Cependant, l’amélioration de la
transformation due aux champs EM plus TPA était très significative et variait jusqu’à un niveau équivalent à
celui produit par 1,5 Gy de rayons X. La fréquence de transformation néoplasique dépendait
du niveau d'exposition aux EM et s'ajoutait aux doses de rayons X administrées comme cocancérogènes.

Zhu W, Zhang W, Li Y, Xu J, Luo J, Jiang Y, Lu X, Lü S. [Effet inhibiteur du rayonnement micro­ondes sur


la prolifération des cellules JF305 du cancer du pancréas humain et son mécanisme].
Wei Sheng Yan Jiu. 42(6):1008­1011, 2013.
[Article en chinois]
OBJECTIF : Étudier l'effet de prolifération de rayonnements micro­ondes de différentes intensités de 2 450
MHz sur les cellules JF305 du cancer du pancréas humain et son mécanisme possible.
MÉTHODES : Les cellules JF305 ont été rayonnées par micro­ondes avec une intensité de 2,5, 5,0, 10,0,
15,0 et 20,0 mW/cm2 pendant 20 min. La capacité de prolifération de JF305 a été mesurée par des tests
MTT, la coloration à l'annexine V­FITC et au PI a été utilisée pour détecter l'apoptose cellulaire. L'activité de
la Caspase­3 a été examinée. Les expressions de la Caspase­3 et de la protéine HSP 70 après le
traitement cellulaire par micro­ondes ont été détectées par Western blot. RÉSULTATS : Après rayonnement
micro­ondes, les taux d'inhibition de la prolifération des cellules JF305 étaient significativement
plus élevés que ceux du groupe témoin. Les résultats de la coloration à l'annexine V­FITC et à l'IP ont
montré que le rayonnement micro­ondes pouvait induire l'apoptose cellulaire. La caspase­3 a augmenté après
irradiation par micro­ondes, par rapport au groupe témoin (P <0,05). Les résultats du Western blot ont
montré que l’expression de la protéine Caspase­3 et HSP 70 augmentait de manière significative
dans différents groupes de radiations. CONCLUSION : Le rayonnement micro­ondes peut

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Des études montrant les effets du WiFi et des appareils sur la santé

inhibent la prolifération des cellules JF305, le mécanisme possible pourrait être lié à l'induction de
l'apoptose cellulaire par modification du niveau de stress.

Johnson EH, Chima SC, Muirhead DE, Une tumeur neuroectodermique cérébrale primitive chez un singe
écureuil (Saimiri sciureus). J Med Primatol 28(2):91­96, 1999.
À l'autopsie, un singe écureuil adulte ayant des antécédents d'exposition à long terme aux rayonnements
micro­ondes présentait une tumeur maligne du cortex cérébral droit. L'examen macroscopique a révélé
une masse aux bords élargis dans le cortex frontopariétal droit avec compression du ventricule latéral
adjacent. La microscopie a révélé une tumeur composée de feuillets de cellules de taille moyenne,
ressemblant à un oligodendrogliome, avec un cytoplasme clair et des noyaux centraux interrompus par un
système vasculaire délicat. Des caractéristiques malignes étaient présentes sous la forme d'un
pléomorphisme nucléaire marqué, de figures mitotiques fréquentes et d'une nécrose focale. L'origine des
cellules neuronales de cette tumeur a été étayée par une analyse immunohistochimique,
qui a révélé une immunopositivité pour les protéines des neurofilaments et l'énolase spécifique des
neurones. La coloration de la vimentine et de la protéine acide fibrillaire gliale était négative, sauf dans les
astrocytes réactifs situés au bord de la tumeur et à proximité des vaisseaux sanguins intra­tumoraux.
L'activité des anticorps contre l'antigène Ki­67, un marqueur des cellules tumorales à prolifération
rapide, et l'oncoprotéine p53 était fortement positive, ce qui indique la nature agressive et maligne de
cette tumeur. La tumeur a été diagnostiquée comme une tumeur neuroectodermique cérébrale primitive.

Effets sur les enfants


Sangun O, Dundar B, Darici H, Comlekci S, Doguc DK, Celik S. Les effets d'une exposition à long terme à
un champ électromagnétique de 2 450 MHz sur la croissance et le développement pubertaire chez les rats
Wistar femelles. Electromagn Biol Med. 24 janvier 2014. [Publication électronique avant impression]
Le but de cette étude était d’étudier les effets d’un champ électromagnétique (CEM) (fréquence Internet sans
fil) de 2 450 MHz sur la croissance et le développement des rats Wistar femelles. L'étude a été menée sur
trois groupes de rats. Les groupes prénatals et postnatals ont été exposés aux CEM 1 h/jour à partir des
périodes intra­utérine et postnatale, respectivement. Le troisième groupe était celui qui avait été
exposé de manière fictive. La croissance, la nutrition et l’ouverture vaginale (VO) ont été régulièrement
surveillées. Des échantillons de sérum et de tissus ont été collectés à la puberté. Des examens
histologiques, des mesures du statut antioxydant total (TAS), du statut oxydant total (TOS) et de l'indice
de stress oxydatif (OSI) dans les tissus ovariens et cérébraux ainsi qu'une coloration immunohistochimique
de l'hypothalamus ont été effectués en plus de la détermination de la FSH, de la LH, de l'E2 et de
l'IGF sériques. ­1 valeurs. Les masses de naissance des groupes étaient similaires (p > 0,05). La prise de
masse quotidienne était significativement plus faible et la puberté significativement plus tardive
dans le groupe prénatal. Les valeurs TOS et OSI du cerveau et des ovaires dans le groupe prénatal
étaient significativement augmentées (p < 0,05) par rapport au groupe témoin.
Les taux sériques de LH des groupes prénatals et postnatals ont augmenté, bien que les valeurs sériques
de FSH et d'E2 ne diffèrent pas entre les groupes (p > 0,05). Les examens histologiques des échantillons
n'ont révélé aucune différence statistiquement significative entre les groupes

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Des études montrant les effets du WiFi et des appareils sur la santé

(p > 0,05). L'exposition aux CEM de 2 450 MHz, en particulier pendant la période prénatale, a entraîné un
retard de croissance postnatal et un retard de la puberté chez les rats Wistar femelles. L'augmentation des
valeurs de TOS et d'OSI dans les tissus cérébraux et ovariens peut être interprétée comme un signe de stress
chronique induit par les champs électromagnétiques. Il s'agit de la première étude longitudinale qui étudie les
effets des CEM induits par Internet sans fil sur le développement pubertaire en plus de la croissance.

Les hormones

Sinha RK. L'exposition chronique non thermique au rayonnement micro­ondes modulé de 2 450 MHz modifie les
hormones thyroïdiennes et le comportement des rats mâles. Int J Radiat Biol. 84(6):505­513, 2008.

Objectif : Le but de cette étude était d'analyser les effets d'une irradiation par micro­ondes (2 450
MHz) sur les hormones thyroïdiennes et le comportement des rats mâles.
Matériels et méthodes : Des expériences ont été réalisées sur deux groupes de rats mâles
(respectivement exposition et témoin). Des méthodes de dosage radio­immunologique (RIA) ont été utilisées
pour l'estimation de la 3,5,3'­triiodothyronine (T(3)), de la thyroxine (T(4)) et de la thyrotrophine ou de l'hormone
stimulant la thyroïde (TSH). Les évaluations des changements comportementaux ont été effectuées dans des
appareils Open­Field (OF) et Elevated Plus­Maze (EPM). Résultats : Suite à une exposition chronique aux
micro­ondes, les rats se sont révélés hyperactifs et agressifs aux 16e et 21e jours. Les changements
comportementaux dans le FO ont été analysés et se sont révélés significativement modifiés par rapport aux
contrôles (p < 0,05) pour le comportement d'immobilisation, d'élevage et de déambulation. En EPM, les rats
ont montré une activité accrue avec une diminution du temps passé dans le bras ouvert et plus de temps
passé au centre le 11e (p < 0,05), le 16e (p < 0,05) et le 21e jour (p < 0,01) après l'irradiation. Les modifications
des paramètres comportementaux sont également corrélées à la tendance des modifications, par rapport
aux animaux témoins, des taux sanguins hormonaux de T3 (diminution au 16ème jour, p < 0,05 et 21ème jour, p
< 0,01) et T4 (augmentation au 21ème jour). , p < 0,05).
Conclusion : L'irradiation par micro­ondes de faible énergie peut être nocive car elle suffit à modifier les niveaux
d'hormones thyroïdiennes ainsi que la réactivité émotionnelle des animaux irradiés par rapport aux
animaux témoins.

Koveshnikova IV, Antipenko EN, [La participation des hormones thyroïdiennes à la modification de l'effet
mutagène des micro­ondes]. Radiobiologiia 31(1):147­149, 1991. [Article en russe]
L'effet mutagène des micro­ondes (2 450 ou 2 750 MHz, 500 microW/cm2, 30 jours, 7 ha par jour) augmente avec
une teneur faible ou élevée en hormones thyroïdiennes chez le rat. Cela indique que le fonctionnement normal
de la glande thyroïde est une condition importante pour la stabilisation de l'intégrité des
chromosomes sous l'effet du rayonnement non ionisant des micro­ondes.

Eskander EF, Estefan SF, Abd­Rabou AA. Comment une exposition à long terme aux stations de base et aux
téléphones portables affecte­t­elle les profils hormonaux humains ? Clin Biochem. 45(1­2):157­161, 2012

OBJECTIFS : Cette étude vise à évaluer le rôle de l'exposition aux rayonnements radiofréquences
(RFR) émis soit par les mobiles, soit par les stations de base et ses relations

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avec les profils hormonaux humains. CONCEPTION ET MÉTHODES : Tous les échantillons de volontaires ont été collectés
pour une analyse hormonale. RÉSULTATS : Cette étude a montré une diminution significative des niveaux d'ACTH, de
cortisol, d'hormones thyroïdiennes, de prolactine pour les jeunes femmes et de testostérone chez les volontaires.
CONCLUSION : La présente étude a révélé des effets RFR élevés sur l'axe hypophyso­surrénalien.

Dommages à l'ADN

Sarkar S, Ali S, Behari J, Effet des micro­ondes de faible puissance sur le génome de la souris : une analyse directe de l'ADN.
Mutat Res 320(1­2):141­147, 1994.
L'effet mutagène potentiel des micro­ondes de faible puissance au niveau de la séquence d'ADN dans le génome de la
souris a été évalué par analyse directe de l'ADN. Les animaux ont été exposés à des micro­ondes à une densité de
puissance de 1 mW/cm2 pendant 2 h/jour à une fréquence de 2,45 GHz sur une période de 120, 150 et 200 jours. Des
échantillons d'ADN digérés par HinfI provenant des testicules et du cerveau des animaux témoins et exposés ont été hybridés
avec une sonde oligo synthétique (OAT 36) comprenant neuf répétitions de 5'­GACA­3'. Par rapport aux animaux
témoins, les motifs de bandes chez les animaux exposés se sont révélés nettement modifiés dans la plage de 7 à 8 kb, ce qui
a également été confirmé par une analyse densitométrique. Bien que le mécanisme de ce réarrangement ne soit pas encore
clair, les résultats obtenus à la dose actuelle sont significatifs. Cette dose, qui a été fixée comme limite de sécurité pour
l'exposition du grand public par le Comité des rayonnements non ionisants de l'Association internationale de protection
contre les radiations, peut impliquer la nécessité d'une (ré)évaluation du potentiel mutagène des micro­ondes à la limite
de sécurité prescrite pour le personnel et les personnes qui sont exposés.

Lee S, Johnson D, Dunbar K, Dong H, Ge X, Kim YC, Wing C, Jayathilaka N, Emmanuel N , Zhou CQ, Gerber HL, Tseng CC,
Wang SM Les champs de radiofréquence à 2,45 GHz modifient l'expression des gènes dans les cellules humaines en
culture. FEBS Lett. 579(21):4829­4836, 2005.
L'effet biologique des champs de radiofréquences (RF) reste controversé. Nous abordons ce problème en examinant si les
champs RF peuvent provoquer des modifications dans l'expression des gènes. Nous avons utilisé les champs RF pulsés à une
fréquence de 2,45 GHz , couramment utilisée dans les télécommunications, pour exposer des cellules HL­60 humaines en
culture. Nous avons utilisé la méthode d'analyse en série de l'expression génique (SAGE) pour mesurer l'effet RF sur
l'expression génique au niveau du génome. Nous avons observé que 221 gènes modifiaient leur expression après une
exposition de 2 heures. Le nombre de gènes affectés est passé à 759 après une exposition de 6 heures. La classification
fonctionnelle des gènes affectés révèle que les gènes liés à l'apoptose figuraient parmi les gènes régulés positivement
et que les gènes du cycle cellulaire étaient parmi ceux régulés négativement. Nous n’avons observé aucune augmentation
significative de l’expression des gènes de choc thermique. Ces résultats indiquent que les champs RF à 2,45 GHz
peuvent modifier l'expression des gènes dans les cellules humaines en culture par un mécanisme non thermique.

Lai H, Singh NP, L'ADN simple et double brin se brise dans les cellules cérébrales de rat après une exposition aiguë à un
rayonnement électromagnétique radiofréquence. Int J Radiat Biol 69(4):513­521, 1996.
Nous avons étudié les effets d'une exposition aiguë (2 heures) à des impulsions pulsées (largeur d'impulsion de 2 microns, 500

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Des études montrant les effets du WiFi et des appareils sur la santé

impulsions s (­1)) et un rayonnement électromagnétique radiofréquence continu de 2 450 MHz sur les cassures
de brins d'ADN dans les cellules cérébrales du rat. La densité de puissance moyenne spatiale du rayonnement
était de 2 mW/cm2, ce qui a produit un taux d’absorption spécifique moyen pour l’ensemble du corps de 1,2 W/kg.
Les cassures de l'ADN simple et double brin dans des cellules cérébrales individuelles ont été
mesurées 4 heures après l'exposition à l'aide d'un test d'électrophorèse sur microgel. Une augmentation des
deux types de cassures de brins d'ADN a été observée après exposition au rayonnement pulsé ou à onde
continue. Aucune différence significative n'a été observée entre les effets des deux formes de rayonnement.
Nous pensons que ces effets pourraient résulter d’un effet direct de l’énergie électromagnétique des
radiofréquences sur les molécules d’ADN et/ou d’une altération des mécanismes de réparation des dommages
causés à l’ADN dans les cellules cérébrales. Nos données confirment en outre les résultats d'études in vitro et in
vivo antérieures montrant les effets du rayonnement électromagnétique radiofréquence sur l'ADN.

Lai H, Singh NP, L'exposition aiguë aux micro­ondes de faible intensité augmente les cassures simple brin de
l'ADN dans les cellules cérébrales du rat. Bioélectromagnétique 16(3):207­210, 1995.
Les niveaux de cassure simple brin de l'ADN ont été analysés dans des cellules cérébrales de rats exposés de
manière aiguë à des micro­ondes de faible intensité de 2 450 MHz à l'aide d'une méthode d'électrophorèse
sur microgel alcalin. Immédiatement après 2 heures d'exposition à des micro­ondes pulsées (largeur de
2 microsecondes, 500 impulsions/s), aucun effet significatif n'a été observé, alors qu'une augmentation
dépendante du débit de dose [0,6 et 1,2 W/kg de débit d'absorption spécifique (DAS) du corps entier] Des cassures
simple brin d’ADN ont été trouvées dans les cellules cérébrales de rats 4 heures après l’exposition. De plus, chez
les rats exposés pendant 2 h à des micro­ondes à onde continue de 2 450 MHz (DAS 1,2 W/kg), une
augmentation des cassures simple brin de l'ADN des cellules cérébrales a été observée immédiatement ainsi que
4 h après l'exposition.

HaticeŞ. Gürler, Birşen Bilgici, Ayşegül K. Akar, Leman Tomak et Abdülkerim Bedir.
Augmentation de l'oxydation de l'ADN (8­OHdG) et de l'oxydation des protéines (AOPP) par un champ
électromagnétique de faible niveau (2,45 GHz) dans le cerveau du rat et l'effet protecteur
de l'ail. Journal international de radiobiologie. Mis en ligne le 4 août 2014.
Objectif : Étudier les dommages oxydatifs et l'effet protecteur de l'ail sur des rats exposés à de faibles
niveaux de champs électromagnétiques (CEM) à un rayonnement micro­ondes (MWR) de 2,45 GHz. Méthodes :
Trente­six rats Wistar ont été répartis en trois groupes. Le groupe I était le groupe témoin et n’était pas exposé
aux CEM. Les groupes II et III ont été exposés à des champs électromagnétiques de faible niveau (3,68 ± 0,36
V/m) à un MWR de 2,45 GHz pendant 1 heure/jour pendant 30 jours consécutifs. Chaque jour, 500 mg/kg d'ail
ont été administrés au groupe III pendant la période d'étude. À la fin de l’étude, les niveaux de substances
réactives à l’acide thiobarbiturique (TBARS), de produits protéiques d’oxydation avancés (AOPP) et de 8­
hydroxydésoxyguanosine (8­OHdG) ont été étudiés dans des échantillons de tissu cérébral et de sang. Résultats :
L'exposition à un faible niveau d'EMF a augmenté le niveau de 8­OHdG dans le plasma et le tissu cérébral alors
qu'elle a augmenté le niveau d'AOPP uniquement dans le plasma. L'ail a empêché l'augmentation du niveau de 8­
OHdG dans les tissus cérébraux et les niveaux plasmatiques d'AOPP. Conclusions : On peut conclure que de
faibles niveaux de CEM à 2,45 GHz MWR augmentent les dommages à l'ADN dans les tissus cérébraux et le
plasma des rats, alors qu'ils augmentent l'oxydation des protéines uniquement dans le plasma. On peut
également affirmer que l’utilisation de l’ail diminue ces effets.

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Des études montrant les effets du WiFi et des appareils sur la santé

Maes A, Verschaeve L, Arroyo A, De Wagter C, Vercruyssen L, Effets cytogénétiques in vitro des


ondes de 2 450 MHz sur les lymphocytes du sang périphérique humain.
Bioélectromagnétique 14(6):495­501, 1993.
Des analyses cytogénétiques ont été réalisées sur des lymphocytes du sang périphérique humain exposés
à des micro­ondes de 2 450 MHz pendant 30 et 120 min à une température constante de 36,1 degrés
C (température corporelle). La température a été maintenue constante au moyen d'une sonde de
température insérée dans l'échantillon de sang qui donne des informations à un micro­ordinateur qui
contrôle l'alimentation en micro­ondes. Nous avons constaté une augmentation marquée de la fréquence
des aberrations chromosomiques (y compris les chromosomes dicentriques et les fragments acentriques)
et des micronoyaux. En revanche, l'exposition aux micro­ondes n'a pas influencé la cinétique
cellulaire ni la fréquence d'échange des chromatides sœurs (SCE).

Lakshmi NK, Tiwari R, BhargavaSC, Ahuja YRIEnquêtes sur les dommages à l'ADN et la fréquence
des micronoyaux lors de l'exposition professionnelle aux champs électromagnétiques (CEM) émis par
les terminaux d'affichage vidéo (VDT). Gen Mol Biol 33(1) : 154­158, 2010.
L'effet potentiel des champs électromagnétiques (CEM) émis par les terminaux d'affichage vidéo
(VDT) pour provoquer une réponse biologique est une préoccupation majeure pour le public. Les
professionnels du logiciel sont soumis à des CEM cumulatifs dans leur environnement
professionnel. Cette étude a été entreprise pour évaluer les dommages à l'ADN et l'incidence des
micronoyaux chez ces professionnels. Au meilleur de nos connaissances, la présente étude est la première
tentative de réalisation d'investigations cytogénétiques sur l'évaluation des effets biologiques chez les
utilisateurs d'ordinateurs personnels. Les sujets de l'étude (n = 138) comprenaient des professionnels du
logiciel utilisant des TEV depuis plus de 2 ans avec des témoins correspondant à l'âge, au sexe et au
statut socio­économique (n = 151). Les dommages à l'ADN et la fréquence des micronoyaux ont été
évalués respectivement à l'aide du test des comètes alcalines et du test des micronoyaux bloqués par la
cytochalasine. Les dommages globaux à l'ADN et l'incidence des micronoyaux n'ont montré aucune différence
significative entre les sujets exposés et les sujets témoins. Avec les caractéristiques d'exposition,
telles que la durée totale (années) et la fréquence d'utilisation (minutes/jour), des sous­groupes ont été
évalués pour ces paramètres. Bien que la fréquence cumulée d'utilisation n'ait montré aucun changement
significatif dans l'intégrité de l'ADN des sous­groupes classés, les utilisateurs à long terme (> 10 ans) ont
montré une induction plus élevée de dommages à l'ADN et une fréquence accrue de micronoyaux et de cellules micronucléées.

Fucic A, Garaj­Vrhovac V, Skara M, Dimitrovic B, Rayons X, micro­ondes et monomère de chlorure de


vinyle : leur activité clastogène et aneugène, en utilisant le test du micronoyau sur lymphocytes humains.
Mutat Res 282(4):265­271, 1992.
Les tests d'aberration chromosomique, les techniques d'échange de chromatides sœurs et les tests de
micronoyaux sont des méthodes couramment utilisées pour la biosurveillance du matériel génétique
endommagé par des agents chimiques ou physiques. En revanche, leur activité aneugène, qui peut
conduire à une hypoploïdie et peut également être associée à une carcinogenèse, n'a pas été étudiée de
manière approfondie. Dans notre étude, nous avons choisi le test du micronoyau avec une nouvelle
approche mathématique pour séparer l'activité clastogène de l'activité aneugène de trois mutagènes bien
connus (monomère de chlorure de vinyle, rayons X et micro­ondes) sur le génome des cellules somatiques humaines.
La comparaison des fréquences de distribution de taille des micronoyaux dans les lymphocytes d'humains
exposés à chacun de ces trois mutagènes a montré que les rayons X et les micro­ondes

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Des études montrant les effets du WiFi et des appareils sur la santé

étaient préférentiellement des clastogènes tandis que le monomère de chlorure de vinyle présentait également une activité
aneugène. Les micro­ondes possèdent certaines caractéristiques mutagènes typiques des mutagènes
chimiques.

Effets sur le cœur


Türker Y, Nazıroğlu M, Gümral N, Celik O, Saygın M, Cömlekçi S, Flores­Arce M.
Le sélénium et la L­carnitine réduisent le stress oxydatif dans le cœur du rat induit par 2,45­
Rayonnement GHz des appareils sans fil. Biol Trace Elem Rés. 143(3):1640­1650, 2011.
Le but de cette étude était d'étudier le rôle protecteur possible du sélénium et de la L­carnitine sur le stress oxydatif
induit par le rayonnement de 2,45 GHz dans le cœur du rat. À cette fin, 30 rats Wistar Albino mâles ont été répartis
à parts égales en cinq groupes, à savoir les contrôles, les contrôles fictifs, les rats exposés aux radiations, les
rats exposés aux radiations traités avec des injections intrapéritonéales de sélénite de sodium à une dose de 1,5 mg/
kg/jour et les rats radioactifs. ­rats exposés traités par des injections intrapéritonéales de L­carnitine à la dose de 1,5
mg/kg/jour. À l'exception des contrôles et des contrôles fictifs, les animaux ont été exposés à 2,45­

Rayonnement GHz pendant 60 min/jour pendant 28 jours. Les niveaux de peroxydation lipidique (LP) étaient plus
élevés dans les groupes exposés aux radiations que dans les groupes témoins et témoins fictifs. Le niveau de peroxydation
lipidique chez les animaux irradiés traités avec du sélénium et de la L­carnitine était inférieur à celui de ceux exposés
uniquement au rayonnement de 2,45 GHz. Les concentrations de vitamines A, C et E étaient plus faibles
dans le groupe irradié uniquement par rapport aux groupes témoins et témoins fictifs, mais leurs concentrations étaient
augmentées dans les groupes traités au sélénium et à la L­carnitine. L'activité de la glutathion peroxydase était plus
élevée dans le groupe traité au sélénium que chez les animaux irradiés mais n'ayant reçu aucun traitement. Les
concentrations de glutathion et de β­carotène réduites en érythrocytes n’ont changé dans aucun des groupes. En
conclusion, le rayonnement électromagnétique de 2,45 GHz a provoqué un stress oxydatif dans le cœur des rats. Il existe
un effet protecteur apparent du sélénium et de la L­carnitine en inhibant la formation de radicaux libres et en soutenant
le système antioxydant rédox.

Seaman RL, DeHaan RL, Intervalles inter­battements des agrégats de cellules cardiaques lors d'une exposition à des
micro­ondes CW de 2,45 GHz, pulsées et modulées en ondes carrées. Bioélectromagnétique
14(1):41­55, 1993.
Les intervalles entre les battements de cellules cardiaques agrégées provenant d'embryons de poulet ont été
étudiés au cours d'expositions de 190 s à des micro­ondes de 2,45 GHz dans un dispositif coaxial à extrémité ouverte.
Les taux d'absorption spécifique (DAS) moyens et les conditions de modulation étaient de 1,2 à 86,9 W/kg en onde continue
(CW), de 1,2 à 12,2 W/kg en modulation d'impulsion (PW, rapport cyclique d'environ 11 %) et de 12,0 à 43,5 W/kg.
modulation d'onde carrée (rapport cyclique = 50 %). L'intervalle entre les battements a diminué lors d'expositions aux
micro­ondes à 42,0 W/kg et plus lorsque la modulation CW ou à onde carrée était utilisée, ce qui est cohérent avec les
effets établis des températures élevées. Cependant, les augmentations de l'intervalle entre les battements pendant
les expositions CW à 1,2­12,2 W/kg, et les diminutions de l'intervalle entre les battements après les expositions
PW à 8,4­12,2 W/kg, ne sont pas compatibles avec de simples effets thermiques. Analyse de variance

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Des études montrant les effets du WiFi et des appareils sur la santé

ont indiqué que le SAR, la modulation et l'interaction modulation­SAR étaient tous des facteurs importants dans
la modification de l'intervalle entre les battements. Ces deux derniers facteurs indiquaient que les cellules
cardiaques étaient affectées par les effets athermiques et thermiques de l'exposition aux micro­ondes.

Inflammation

Trosic I. Apparition de cellules géantes multinucléées après irradiation par micro­ondes du corps entier de rats.
Int J Hyg Environ Santé. 204(2­3):133­138, 2001.
Les cellules géantes multinucléées sont courantes dans certains processus inflammatoires chroniques des
poumons. Ces cellules sont formées par fusion de macrophages, mais la manière dont le processus est lié à
la cinétique de génération des macrophages alvéolaires n'est pas claire. Cette étude a examiné l'influence de
l'irradiation par micro­ondes de 2 450 MHz sur la cinétique des macrophages alvéolaires et la formation
de cellules géantes multinucléées après irradiation du corps entier de rats. La gamme de rayonnement
électromagnétique a été sélectionnée comme étant des micro­ondes de 2 450 MHz à une densité de puissance de 5 à 10 000 MHz.
15 mW/cm2. Un groupe d'animaux de laboratoire a été divisé en quatre sous­groupes qui ont reçu 2, 8,
13 et 22 traitements d'irradiation de deux heures chacun. Les animaux ont été sacrifiés aux jours
expérimentaux 1, 8, 16 et 30. La population de cellules pulmonaires libres a été obtenue par lavage broncho­
alvéolaire. La réponse cellulaire au niveau d'irradiation sélectionné a été suivie quantitativement,
qualitativement et morphologiquement à l'aide de méthodes de laboratoire standard.
Le nombre total de cellules récupérées par lavage a légèrement diminué chez les animaux traités, montrant une
dépendance au temps et à la dose. La viabilité cellulaire n'a pas changé de manière significative dans le groupe
d'animaux irradiés (G2) par rapport au groupe témoin (G1). Les cellules multinucléées ont augmenté de
manière significative (p < 0,01) chez les animaux traités. L'augmentation du nombre de noyaux par cellule
dépendait du temps et de la dose. Les macrophages à deux nucléoles étaient plus fréquents chez les animaux
traités deux ou huit fois. La polynucléation, c'est­à­dire trois nucléoles ou plus dans une seule cellule, a été
fréquemment observée après 13 ou 22 traitements. La binucléation et la multinucléation des
macrophages alvéolaires étaient des indicateurs morphologiques sensibles du stress pulmonaire,
dépendants du temps et de la dose.

Effets sur le sang

Cleary SF, Liu LM, Merchant RE, Prolifération lymphocytaire in vitro induite par un rayonnement
électromagnétique radiofréquence dans des conditions isothermes. Bioélectromagnétique
11(1):47­56, 1990.
Du sang humain total a été exposé ou exposé de manière factice in vitro pendant 2 h à un rayonnement
électromagnétique (RF) radiofréquence de 27 ou 2 450 MHz dans des conditions isothermes (c'est­à­dire 37 +/­
0,2 degrés C). Immédiatement après l'exposition, les cellules mononucléées ont été séparées du sang par
centrifugation à gradient de densité Ficoll et cultivées pendant 3 jours à 37 °C avec ou sans stimulation
mitogène par la phytohémagglutinine (PHA). La prolifération lymphocytaire a été testée à la fin de la
période de culture par 6 h de marquage impulsionnel à la 3H­thymidine (3H­TdR). L'exposition aux
rayonnements à l'une ou l'autre fréquence à des débits d'absorption spécifiques (DAS) inférieurs à 50 W/kg a
entraîné un effet statistiquement significatif dépendant de la dose.

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Des études montrant les effets du WiFi et des appareils sur la santé

augmentation de l'absorption du 3H­TdR dans les lymphocytes activés ou non stimulés par la PHA. Une exposition à
50 W/kg ou plus a supprimé l’absorption du 3H­TdR par rapport à celle des cellules exposées de manière factice.
Aucun effet détectable des rayonnements RF sur la morphologie ou la viabilité des lymphocytes n’a été observé.
Malgré la dépendance caractéristique de l'activation des lymphocytes in vitro à la température, les conditions
d'exposition isothermes de cette étude justifient la conclusion que les effets biphasiques et dépendants de la dose
du rayonnement sur la prolifération des lymphocytes ne dépendaient pas du chauffage.

Czerska EM, Elson EC, Davis CC, Swicord ML, Czerski P, Effets du rayonnement continu et pulsé de 2450 MHz sur
la transformation lymphoblastoïde spontanée des lymphocytes humains in vitro. Bioélectromagnétique
13(4):247­259, 1992.
Des lymphocytes humains normaux ont été isolés du sang périphérique de donneurs sains.
Des échantillons d'un ml contenant (10 (6)) cellules dans un milieu chromosomique 1A ont été exposés pendant 5
jours à un chauffage conventionnel ou à une onde continue (CW) ou une onde pulsée (PW) 2450­
Rayonnement MHz sans chauffage (37 degrés C) et à différents niveaux de chauffage (augmentations de
température de 0,5, 1,0, 1,5 et 2 degrés C). Les expositions pulsées impliquaient des impulsions de 1 microseconde à
des fréquences de répétition d'impulsions de 100 à 1 000 impulsions par seconde aux mêmes niveaux DAS moyens
que les expositions CW. Les DAS moyens réels variaient autour de 12,3 W/kg.
Après la fin de la période d'incubation, la transformation lymphoblastoïde spontanée a été déterminée
à l'aide d'un système d'analyse d'images. Les résultats ont été comparés entre chacune des conditions
expérimentales et avec des cultures exposées de manière factice.
Aux niveaux sans chauffage, l’exposition aux armes chimiques n’a pas affecté la transformation. Aux niveaux de
chauffage, le chauffage conventionnel et le chauffage CW améliorent la transformation dans la même mesure et sont
en corrélation avec les augmentations de la température d'incubation. L'exposition au PW a amélioré la transformation
à des niveaux non chauffants. Ce résultat est significatif (P inférieur à 0,002). Aux niveaux de chauffage,
l'exposition aux PW a amélioré la transformation dans une plus grande mesure que le chauffage conventionnel
ou CW. Ce résultat est significatif au niveau 0,02. Nous concluons que le rayonnement PW de 2 450 MHz
agit différemment sur le processus de transformation lymphoblastoïde in vitro par rapport au rayonnement
CW de 2 450 MHz pour les mêmes DAS moyens.

Trosic I, Matausicpisl M, Radalj Z, Prlic I, Étude animale sur la puissance biologique des champs
électromagnétiques. Arh Hig Rada Toksikol 50(1):5­11, 1999.
Cette récente étude de recherche fondamentale a utilisé un protocole de modèle animal pour évaluer des
biomarqueurs spécifiques de l'effet d'un rayonnement non ionisant et non thermique (rayonnement micro­ondes de
2 450 MHz à 5­15 mW/cm2) sur la moelle osseuse, le sang périphérique et les cellules libres broncho­alvéolaires.
populations. Sur 40 rats Wistar mâles capturés dans l'étude, 20 animaux du groupe expérimental ont
été irradiés pendant 2 heures par jour, 5 jours par semaine, puis tués les jours 1, 8, 16 et 30 de l'expérience. Les 20
rats restants ont servi de contrôle.
Tous les animaux ont préalablement reçu une instillation intratrachéale de microsphères biologiquement inertes afin
de constater l'influence de l'irradiation sur la cinétique de rétention pulmonaire. La réponse cellulaire à l'irradiation
électromagnétique choisie a été suivie quantitativement et qualitativement à l'aide des méthodes de laboratoire
standard. Les résultats de la réponse des cellules du sang périphérique suggèrent une tendance à la baisse du
nombre total de leucocytes et du nombre relatif de lymphocytes dans le groupe traité. Une légère augmentation
a également été observée dans le nombre de granulocytes et dans la

­42­
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Des études montrant les effets du WiFi et des appareils sur la santé

nombre absolu d’érythrocytes du sang périphérique par rapport aux animaux témoins.

Trosic I, Busljeta I, Pavicic I. Système hématopoïétique chez le rat après exposition du corps entier aux micro­
ondes ; référence aux lymphocytes. Toxicol Lett. 154(1­2):125­132, 2004.
L'influence de l'irradiation par micro­ondes de 2,45 GHz (RF/MW) sur les cellules hématopoïétiques après
irradiation du corps entier de rats a été étudiée. Les expositions ont été réalisées avec une densité de
puissance de champ de 5 à 10 mW/cm(2) et un taux d'absorption spécifique (DAS) moyen pour l'ensemble du
corps de 1 à 2 W/kg. Quatre sous­groupes expérimentaux ont été créés et irradiés 2, 8, 15 ou 30 jours, à raison
de 2h par jour, 7 jours par semaine. Des rats exposés simultanément de manière factice ont également été inclus
dans l’étude. La réponse cellulaire a été évaluée par le nombre et le type de cellules nucléaires de la
moelle osseuse et de globules blancs du sang périphérique en utilisant des méthodes de laboratoire standard.
Une diminution significative du nombre de lymphoblastes a été obtenue aux 15e et 30e jours expérimentaux (P <
0,05), alors que les autres paramètres examinés ne différaient pas de manière significative par
rapport aux témoins exposés de manière factice. Les résultats mettent en évidence une réponse au stress du
système hématopoïétique chez le rat après une exposition sélectionnée aux micro­ondes, ce qui
pourrait être considéré plutôt comme un signe d'adaptation que de dysfonctionnement.

Grigoriev YG, Grigoriev OA, Ivanov AA, Lyaginskaya AM, Merkulov AV, Shagina NB, Maltsev VN, Lévêque
P, Ulanova AM, Osipov VA, Shafirkin AV. Études de confirmation des recherches soviétiques sur les effets
immunologiques des micro­ondes : résultats de l'immunologie russe.
Bioélectromagnétique. 31(8):589­602, 2010.
Cet article présente les résultats d'une étude de réplication réalisée pour étudier des études soviétiques
antérieures menées entre 1974 et 1991 qui montraient les effets immunologiques et reproductifs d'une
exposition à long terme de faibles niveaux de rats aux champs électromagnétiques de radiofréquence
(RF). Les premières études ont été utilisées, en partie, pour élaborer des normes d'exposition pour la
population soviétique et il était donc nécessaire de confirmer les conclusions russes. Dans la présente
étude, les conditions d'exposition aux RF ont été rendues aussi similaires que possible à celles des
expériences précédentes : des rats Wistar ont été exposés dans le champ lointain à des champs RF à ondes
continues de 2 450 MHz avec une densité de puissance incidente dans les cages de 5 W/ m² pendant 7 h/
jour, 5 jours/semaine pour un total de 30 jours, ce qui entraîne un DAS corps entier de 0,16 W/kg. Les effets
de l'exposition sur les paramètres immunologiques du cerveau et du foie des rats ont été évalués à l'aide du test
de fixation du complément (CFT), comme dans les études originales, et d'un test supplémentaire, le test ELISA
plus moderne. Nos résultats, utilisant CFT et ELISA, ont confirmé en partie les résultats des premières
études et ont indiqué les effets possibles de l'exposition aux RF non thermiques sur les processus auto­
immuns. L'exposition aux RF a entraîné une légère augmentation de la formation d'anticorps dans l'extrait de
tissu cérébral et l'exposition ne semble pas pathologique. En outre, une étude a été menée pour reproduire
une étude soviétique antérieure sur les effets de l'injection de sérum sanguin provenant de rats exposés aux
RF sur la grossesse et le développement du fœtus et de la progéniture des rats, en utilisant un modèle
animal et un protocole similaires. Nos résultats ont montré les mêmes tendances générales que l'étude
précédente, suggérant d'éventuels effets indésirables du sérum sanguin des rats exposés sur la
grossesse et le développement fœtal des rats intacts. Toutefois, l'application de ces résultats dans l'élaboration
de normes d'exposition est limitée.

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Des études montrant les effets du WiFi et des appareils sur la santé

Zotti­Martelli L, Peccatori M, Scarpato R, Migliore L, Induction de micronoyaux dans des lymphocytes humains
exposés in vitro au rayonnement micro­ondes. Mutat Res 472(1­2):51­58, 2000.
Les applications croissantes des champs électromagnétiques suscitent de grandes préoccupations en
matière de santé publique. Plusieurs études in vitro ont été menées pour détecter les effets de
l'exposition aux micro­ondes sur le matériel génétique, conduisant à des résultats négatifs ou douteux.
Le test du micronoyau (MN), qui s'est avéré être un outil utile pour la détection des dommages cytogénétiques
induits par l'exposition aux rayonnements, a été utilisé dans la présente étude pour étudier l'effet
génotoxique des micro­ondes sur les lymphocytes du sang périphérique humain in vitro exposés dans G (0) aux
champs électromagnétiques de différentes fréquences (2,45 et 7,7 GHz) et densité de puissance (10, 20 et
30 mW/cm(2)) pendant trois fois (15, 30 et 60 min).
Les résultats ont montré pour les deux fréquences de rayonnement une induction de micronoyaux par
rapport aux cultures témoins à une densité de puissance de 30 mW/cm(2) et après une exposition de 30
et 60 min. Notre étude indiquerait que les micro­ondes sont capables de provoquer des dommages
cytogénétiques dans les lymphocytes humains, principalement en raison d'une densité de puissance élevée et
d'une longue durée d'exposition.

Stress oxydatif

Nazıroğlu M, Ciğ B, Doğan S, Uğuz AC, Dilek S, Faouzi D. Les dispositifs sans fil 2,45 Gz induisent un stress
oxydatif et une prolifération par afflux cytosolique de Ca² dans les cellules cancéreuses de la leucémie
humaine. Int J Radiat Biol. 88(6):449­456, 2012.
OBJECTIF : Le rayonnement électromagnétique des appareils sans fil peut affecter les systèmes biologiques en
augmentant les radicaux libres. La présente étude a été conçue pour déterminer les effets du rayonnement de
2,45 GHz sur le système redox antioxydant, la signalisation des ions calcium, le nombre de cellules et la viabilité
des cellules de leucémie humaine 60. MATÉRIELS ET MÉTHODES : Douze cultures cellulaires ont été
réparties à parts égales en deux groupes principaux comme témoins (n = 6) et irradiés (n = 6) puis subdivisées
en quatre sous­groupes différents en fonction de la durée d'exposition, à savoir 1, 2, 12 et 24. heures. Les
échantillons ont été analysés immédiatement après la période expérimentale. RÉSULTATS : L'étendue
de la peroxydation lipidique, du Ca² libre cytosolique et du nombre de cellules étaient plus élevés dans les
groupes à 2,45 GHz que dans les groupes témoins. L'augmentation des concentrations de Ca² libre
cytosolique dépendait du temps d'irradiation et était la plus élevée après une exposition de 24 heures. Les valeurs
réduites de glutathion, de glutathion peroxydase, de vitamine C et de viabilité cellulaire n’ont montré aucun
changement dans aucun des groupes expérimentaux. Le 2­aminoéthyl diphénylborinate inhibe l'afflux
d'ions Ca² en bloquant le potentiel transitoire du récepteur mélastatine 2. CONCLUSIONS : Le rayonnement
électromagnétique de 2,45 GHz semble induire des effets prolifératifs via le stress oxydatif et l'afflux Ca²
bien que le blocage du potentiel transitoire du récepteur mélastatine 2 canaux par le 2­aminoéthyle le
diphénylborinate semble contrecarrer les effets sur l'afflux d'ions Ca² .

Kim MJ, Rhee SJ. Les catéchines du thé vert protègent les rats des dommages oxydatifs du tissu cardiaque
induits par les micro­ondes. J Med Nourriture. 7(3):299­304, 2004.
Nous avons étudié les effets de la catéchine du thé vert sur les dommages oxydatifs chez des rats exposés
aux micro­ondes. Les rats exposés aux micro­ondes ont reçu l'un des trois régimes suivants : sans catéchine

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Des études montrant les effets du WiFi et des appareils sur la santé

(MW­0C), 0,25 % de catéchine (MW­0,25C) ou 0,5 % de catéchine (MW­0,5C). Les rats ont été sacrifiés 6
jours après l'irradiation par micro­ondes (2,45 GHz, 15 minutes). Les taux de cytochrome P(450) dans le
groupe MW­0C ont augmenté de 85 % par rapport à la normale, mais étaient 11 % et 14 % inférieurs dans
les groupes MW­0,25C et MW­0,5C par rapport au groupe MW­0C. L’activité NADPH­cytochrome
P(450) réductase dans le groupe MW­0C a augmenté de 29 % par rapport au groupe normal, mais
était significativement inférieure dans les groupes MW­0,25C et MW­0,5C. L'activité de la superoxyde
dismutase dans le groupe MW­0C était diminuée de 34 % par rapport au groupe normal, mais dans les
groupes MW­0,25C et MW­0,5C elle était supérieure de 19 % et 25 %. L'activité de la glutathion
peroxydase dans le groupe MW­0C a diminué de 28 % mais est restée proche de la normale avec
les suppléments de catéchine. Les concentrations de radicaux superoxydes dans le groupe MW­0C ont
augmenté de 35 % par rapport au groupe normal. Cependant, les radicaux superoxydes dans les groupes
MW­0,25C et MW­0,5C étaient respectivement 11 % et 12 % inférieurs à ceux du groupe MW­0C. L'irradiation
par micro­ondes a augmenté de manière significative les niveaux de substances réactives à
l'acide thiobarbiturique, les valeurs de carbonyle et la teneur en lipofuscine, mais la catéchine du
thé vert a partiellement surmonté les effets de l'irradiation par micro­ondes. En conclusion, le système
oxydase à fonction mixte a été activé, la formation de radicaux superoxydes, de peroxydes lipidiques, de
protéines oxydées et de lipofuscine a été augmentée et le système de défense antioxydant a été affaibli
dans le tissu cardiaque des rats exposés aux micro­ondes, mais les dommages oxydatifs ont été
significativement réduits. réduit par la supplémentation en catéchine.

Aweda MA, Gbenebitse S, Meidinyo RO. Effets des expositions aux micro­ondes de 2,45 GHz sur l'état de
peroxydation chez les rats Wistar. Niger Postgrad Med J. 10(4):243­246, 2003.
L’une des conséquences de l’exposition aux rayonnements micro­ondes (MW) est la production accrue
d’O2 libre, de radicaux libres, de peroxydes et de superoxydes. Les effets sur l' état de peroxydation
lipidique (LPS) de l'irradiation du corps entier de 120 rats Wistar avec un MW de 2,45 GHz
à une densité de puissance de 6 mWcm(­2) ont été étudiés à l'aide du modèle de générateur MW
ER6660E de Toshiba UK Ltd. Le LPS chez les rats a été surveillé pendant une période de 8 semaines après
l'irradiation en utilisant la méthode de l'acide thiobarbiturique (TRA). Les expositions MW ont provoqué
une augmentation du LPS de la valeur moyenne de contrôle de 4,18 x 10(­6)g 1(­1) à un maximum de 6,50
x 10(­6) g 1(­1) au cours des premières 24 heures. , puis progressivement réduit jusqu'à la valeur de
contrôle après environ une semaine. 1 mg kg(­1) d'acide ascorbique administré avant l'irradiation a provoqué
une diminution du LPS de la valeur témoin à un minimum de 2,86 x 10(­6)g 1(­1) au cours de la première
semaine. La valeur a ensuite progressivement augmenté jusqu'à un maximum de 3,96 x 10(­6)g 1(­1) au
cours de la période de surveillance. 1 mg kg(­1) d'a­tocophérol également administré avant l'irradiation a
également provoqué une diminution du LPS par rapport à la valeur témoin jusqu'à un minimum de 2,10 x
10(­6) g 1(­1) au cours de la première semaine. La valeur a ensuite progressivement augmenté jusqu'à un
maximum de 3,94 x 10(­6) g 1(­1) au cours de la période de surveillance. Les résultats obtenus à partir
de cette étude démontrent que les expositions aux MW provoquent une augmentation significative du LPS
et que les antioxydants acide ascorbique et alpha­tocophérol ont des effets protecteurs.

Aynali G, Nazıroğlu M, Celik O, Doğan M, Yarıktaş M, Yasan H. Modulation de la toxicité oxydative induite
par le sans fil (2,45 GHz) dans la muqueuse laryngotrachéale du rat par la mélatonine.
Eur Arch Otorhinolaryngol. 270(5):1695­1700, 2013.

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Des études montrant les effets du WiFi et des appareils sur la santé

Il est bien connu que le stress oxydatif induit le cancer du larynx, bien que les antioxydants induisent un rôle
modulateur sur l'étiologie du cancer. Il est bien connu que le rayonnement électromagnétique (EMR) induit
un stress oxydatif dans différents systèmes cellulaires. Le but de cette étude était d'étudier le rôle
protecteur possible de la mélatonine sur le stress oxydatif induit par le DME Wi­Fi (2,45 GHz) dans la
muqueuse laryngotrachéale du rat. À cette fin, 32 rats mâles ont été répartis de manière égale en quatre
groupes, à savoir les contrôles, les contrôles fictifs, les rats exposés au DME, les rats exposés au DME
traités avec de la mélatonine à une dose de 10 mg/kg/jour. À l'exception des contrôles et des contrôles
fictifs, les animaux ont été exposés à un rayonnement de 2,45 GHz pendant 60 minutes/jour pendant 28
jours. Les niveaux de peroxydation lipidique étaient significativement (p < 0,05) plus élevés dans les
groupes exposés aux radiations que dans les groupes témoins et témoins fictifs. Le niveau de
peroxydation lipidique chez les animaux irradiés traités à la mélatonine était significativement (p < 0,01)
inférieur à celui de ceux qui étaient uniquement exposés au rayonnement Wi­Fi. L'activité de la
glutathion peroxydase était plus faible dans le groupe irradié uniquement par rapport aux groupes
témoins et témoins fictifs, mais son activité était significativement (p < 0,05) augmentée dans les groupes
traités à la mélatonine. Les niveaux réduits de glutathion dans la muqueuse du rat n’ont pas changé
dans les quatre groupes. Il existe un effet protecteur apparent de la mélatonine sur le stress oxydatif induit
par le Wi­Fi dans la muqueuse laryngotrachéale des rats par inhibition de la formation de radicaux libres
et soutien du système antioxydant glutathion peroxydase.

Ceyhan AM, Akkaya VB, Güleçol ŞC, Ceyhan BM, Özgüner F, Chen W. Effets protecteurs du β­glucane
contre les lésions oxydatives induites par le rayonnement électromagnétique de 2,45 GHz dans les tissus
cutanés des rats. Arch Dermatol Res. 304(7):521­527, 2012.
Ces derniers temps, les dispositifs émettant des radiations à 2,45 GHz sont largement utilisés dans
les applications industrielles, médicales, militaires et domestiques. Le but de la présente étude était d’étudier
l’effet du rayonnement électromagnétique (EMR) de 2,45 GHz sur le statut oxydant et antioxydant de la peau
et d’examiner les effets protecteurs possibles des β­glucanes contre les lésions oxydatives. Trente­deux
rats albinos Wistar mâles ont été répartis au hasard en quatre groupes égaux : contrôle ; imposture
exposée; DME ; et EMR + β­glucane. Un 2,45 GHz
Le dispositif émis par l'EMR lors de l'exposition expérimentale a été appliqué au groupe EMR et au groupe
EMR + β­glucane pendant 60 minutes par jour, respectivement, pendant 4 semaines. Le β­
glucane a été administré par gavage à une dose de 50 mg/kg/jour avant chaque exposition aux radiations
dans le groupe de traitement. Les activités des enzymes antioxydantes, de la superoxyde dismutase (SOD),
de la glutathion peroxydase (GSH­Px) et de la catalase (CAT), ainsi que la concentration de
malondialdéhyde (MDA) ont été mesurées dans des homogénats de tissus cutanés. L'exposition au DME
de 2,45 GHz a provoqué une augmentation significative des niveaux de MDA et de l'activité de CAT,
tandis que les activités de SOD et de GSH­Px ont diminué dans les tissus cutanés. Le β­glucane
systémique a inversé de manière significative l’élévation des niveaux de MDA et la réduction des
activités de SOD. Le traitement au β­glucane a également légèrement amélioré l'activité du CAT et a
empêché la diminution de l'activité du GSH­Px provoquée par l'EMR, mais de manière non
statistiquement significative. La présente étude a démontré le rôle des mécanismes oxydatifs dans les
dommages aux tissus cutanés induits par l'EMR et que le β­glucane pourrait améliorer les lésions cutanées oxydatives via ses propr

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Des études montrant les effets du WiFi et des appareils sur la santé

Bien­être
Kowall B, Breckenkamp J, Heyer K, Berg­Beckhoff G. Enquête transversale allemande sur les impacts
sur la santé des champs électromagnétiques du point de vue des médecins généralistes.
Int J Public Health.55(5):507­512, 2010.
OBJECTIFS : La proportion de médecins généralistes (GP) en Allemagne qui assument les impacts sur
la santé des champs électromagnétiques (CEM) est évaluée. De plus, les facteurs associés à cette perception
du risque sont examinés. MÉTHODES : Un échantillon aléatoire de 7 % a été tiré des listes en ligne de tous
les médecins généralistes travaillant en Allemagne. 1 867 médecins ont reçu une version longue d'un
questionnaire postal auto­administré sur les CEM et la santé (taux de réponse 23,3 %), 928 médecins ont reçu
une version courte (taux de réponse 49,1 %). RÉSULTATS : 37,3 % des répondants au questionnaire court et
57,5 % des répondants au questionnaire long ont convenu « qu'il y a des personnes dont les problèmes
de santé sont causés par les CEM lorsque les valeurs limites légales sont respectées ». Une analyse des
répondants tardifs à l'enquête avec le questionnaire court a conduit à une estimation encore plus basse
de 29 % pour les médecins généralistes croyant aux effets des CEM sur la santé. CONCLUSION : Environ un
tiers des médecins généralistes allemands associent les CEM à des problèmes de santé et
s'écartent donc considérablement des connaissances scientifiques actuelles. Pour éviter un fort biais de
sélection dans les enquêtes sur la perception des risques de CEM, l'utilisation de questionnaires courts et
l'analyse des répondants tardifs sont recommandées.

Kato Y, Johansson O. Déficiences fonctionnelles signalées chez les Japonais électrohypersensibles :


une enquête par questionnaire. Physiopathologie.19(2) 95­100, 2012.
Un nombre croissant de personnes dans le monde se plaignent d’être devenues hypersensibles
aux ondes électromagnétiques (EHS). Nous avons mené une enquête par questionnaire auprès des
personnes EHS au Japon. L’objectif était d’identifier les champs électromagnétiques (CEM) et les sources
plausibles de CEM à l’origine de leurs symptômes. Des questionnaires postaux ont été distribués via un
groupe d'entraide et 75 participants (95 % de femmes) ont répondu. Les principales plaintes signalées
étaient la « fatigue » (85 %), les « maux de tête », les difficultés de « concentration, mémoire et réflexion »
(81 %, respectivement). Soixante­douze pour cent ont utilisé une forme de thérapie
complémentaire/alternative. Le déclencheur le plus plausible de l’apparition de l’EHS était une station
de base de téléphone mobile ou un système de téléphone portable personnel (37 %). Soixante­cinq pour
cent ont eu des problèmes de santé dus aux radiations des téléphones portables des autres passagers.
téléphones dans les trains ou les bus, et 12 % ont déclaré qu'ils ne pouvaient pas du tout
utiliser les transports publics. Cinquante­trois pour cent avaient un emploi avant le début, mais la plupart
avaient perdu leur emploi et/ou avaient connu une diminution de leurs revenus. De plus, 85,3 % ont dû
prendre des mesures pour se protéger des CEM, comme déménager dans des zones à faibles CEM ou
acheter des appareils électriques à faibles CEM. Les personnes EHS souffraient non seulement de leurs
symptômes, mais également de problèmes économiques et sociaux.

Bergdahl J, Tillberg A, Stenman E. Enquête odontologique auprès de patients référés présentant


des symptômes prétendument causés par l'électricité ou des unités d'affichage visuel. Acta Odontol Scand.
56(5):303­307, 1998.
Vingt­huit patients consécutifs présentant des symptômes prétendument causés par l'électricité ou

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Des études montrant les effets du WiFi et des appareils sur la santé

les unités d'affichage visuel ont été étudiées odontologiquement selon un formulaire d'enregistrement
spécialement conçu comprenant un entretien anamnestique et un protocole clinique. Les symptômes
oraux et généraux les plus fréquemment signalés étaient des brûlures buccales, des symptômes de
dysfonctionnement craniomandibulaire, des problèmes cutanés et de la fatigue. Les
symptômes oraux tels que le dysfonctionnement craniomandibulaire et les symptômes généraux
tels que les plaintes oculaires et les étourdissements ont obtenu les scores les plus élevés sur une échelle
visuelle analogique en ce qui concerne l'intensité moyenne des symptômes. Les patients ont signalé
divers diagnostics médicaux, tels que la rhinite allergique ou l'asthme et l'hypothyroïdie. Diverses
maladies dentaires ont été constatées ; les plus courants étaient les dysfonctionnements de l’articulation
temporo­mandibulaire et des muscles masticateurs, les lésions de la muqueuse buccale et les
maladies parodontales. L’analyse du Hg urinaire (U­Hg) a montré une concentration moyenne d’U­Hg de
8,5 nmol Hg/L d’urine, et aucun des patients n’a dépassé la limite de 50 nmol Hg/L d’urine. La concentration
en U­Hg était positivement corrélée au nombre d’amalgames (P < 0,01) et de troubles craniomandibulaires
(P < 0,05). Une absence ou une faible sécrétion des glandes muqueuses mineures a été constatée
chez 43 % des patients. Un patient a présenté une hypersensibilité à l’or et au cobalt. La présente étude a
montré que divers facteurs odontologiques pourraient être impliqués dans la souffrance de certains de ces
patients. Il est donc important que les professionnels d’autres disciplines collaborent avec la dentisterie si
l’on veut que ces patients fassent l’objet d’une enquête appropriée.

Tout le corps
Kühn S, Jennings W, Christ A, Kuster N. Évaluation des champs électromagnétiques
radiofréquences induits dans divers modèles anatomiques du corps humain. Phys Med Biol.
54(4):875­890, 2009.
Les niveaux de référence pour tester la conformité de l'exposition humaine aux limites de sécurité aux
radiofréquences (RF) ont été dérivés de modèles très simplifiés de l'humain. Afin de valider ces résultats
pour des modèles anatomiques, nous avons étudié les caractéristiques d'absorption pour
diverses anatomies allant de l'enfant de 6 ans au grand homme adulte par modélisation numérique. Nous
abordons l'exposition aux ondes planes incidentes provenant des six principaux côtés de l'être humain, avec
deux polarisations orthogonales chacune. Des scénarios d'exposition en champ dispersé dans le pire des
cas ont été construits afin de tester les procédures mises en œuvre des normes actuelles de mesure de
conformité in situ (moyenne spatiale versus recherche de pic). Nos résultats suggèrent que les niveaux
de référence des lignes directrices actuelles en matière de sécurité électromagnétique (EM) pour
démontrer la conformité ainsi que certaines des normes de mesure actuelles ne sont pas
conformes aux restrictions de base et doivent être révisés.

Moelle
Vijayalaxmi, Frei, MR, Dusch, SJ, Guel, V, Meltz, ML, Jauchem, JR, Fréquence des micronoyaux
dans le sang périphérique et la moelle osseuse de souris sujettes au cancer exposées de manière chronique
à un rayonnement radiofréquence de 2 450 MHz. Radiat Res 147(4):495­500, 1997.

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Des souris C3H/HeJ, sujettes aux tumeurs mammaires, ont été exposées pendant 20 h/jour, 7 jours/
semaine, pendant 18 mois, à un rayonnement radiofréquence (RF) continu de 2 450 MHz dans des guides
d'ondes polarisés circulairement à une moyenne du corps entier. taux d'absorption spécifique de 1,0 W/
kg. Des souris exposées de manière factice ont été utilisées comme témoins. Les contrôles positifs
étaient les souris sentinelles traitées à la mitomycine C au cours des 24 heures précédant l'autopsie. Au
bout de 18 mois, toutes les souris ont été autopsiées. Des frottis de sang périphérique et de moelle
osseuse ont été examinés pour déterminer l'étendue de la génotoxicité, comme l'indique la présence de
micronoyaux dans les érythrocytes polychromatiques (PCE). Les résultats indiquent que
l'incidence des micronoyaux/1 000 PCE n'était pas significativement différente entre les groupes
exposés aux rayonnements RF (62 souris) et les groupes exposés de manière factice (58 souris), et les
fréquences moyennes étaient de 4,5 +/­ 1,23 et 4,0 +/­. 1,12 dans le sang périphérique et 6,1 +/­ 1,78 et
5,7 +/­ 1,60 dans la moelle osseuse, respectivement. En revanche, les contrôles positifs (7 souris) ont
montré une incidence significativement élevée de micronoyaux/1 000 PCE dans le sang périphérique et la
moelle osseuse, et les fréquences moyennes étaient respectivement de 50,9 +/­ 6,18 et 55,2 +/­
4,65. Lorsque les animaux atteints de tumeurs mammaires ont été considérés séparément, il n'y avait
pas de différence significative dans l'incidence des micronoyaux/1 000 PCE entre le groupe exposé aux
rayonnements RF (12 souris) et le groupe exposé de manière fictive (8 souris), et les fréquences
moyennes étaient 4,6 +/­ 1,03 et 4,1 +/­ 0,89 dans le sang périphérique et 6,1 +/­ 1,76 et 5,5 +/­ 1,51 dans
la moelle osseuse, respectivement. Ainsi, il n’y avait aucune preuve de génotoxicité chez les souris sujettes
aux tumeurs mammaires exposées de manière chronique à un rayonnement RF de 2 450 MHz par
rapport aux témoins exposés de manière fictive. Une correction a été publiée dans un numéro ultérieur
de la revue, indiquant qu'il y avait en fait une augmentation significative de la formation de micronoyaux
dans les cellules du sang périphérique et de la moelle osseuse après une exposition
chronique aux rayonnements radiofréquences. « Vijayalaxmi, Frei, MR, Dusch, SJ, Guel, V,
Meltz, ML, Jauchem, JR, Correction d'une erreur de calcul dans l'article « Fréquence des
micronoyaux dans le sang périphérique et la moelle osseuse de souris sujettes au cancer exposées de
manière chronique au rayonnement radiofréquence de 2 450 MHz" (Radiat. Res. 147, 495­500, 1997).
"
Radiat Res 149(3):308, 1998

Busljeta I, Trosic I, Milkovic­Kraus S. Modifications érythropoïétiques chez les rats après une
irradiation non thermique de 2,45 GJz. Int J Hyg Environ Health.207(6):549­554, 2004.
Le but de cette étude était d'observer les changements érythropoïétiques chez les rats
exposés de manière subchronique à une irradiation radiofréquence par micro­ondes (RF/MW) à un niveau
non thermique. Des rats Wistar mâles adultes (N = 40) ont été exposés à des champs RF/MW continus de
2,45 GHz pendant 2 heures par jour, 7 jours par semaine, à 5­10 mW/cm2. Les animaux exposés ont
été divisés en quatre sous­groupes (n = 10 animaux dans chaque sous­groupe) afin d'être irradiés pendant
2, 8, 15 et 30 jours. Les animaux ont été sacrifiés le dernier jour d'irradiation de chaque sous­groupe traité.
Des rats non exposés ont été utilisés comme contrôle (N = 24). Six animaux ont été inclus dans
chaque sous­groupe témoin. Des frottis de moelle osseuse ont été examinés pour déterminer le nombre
absolu de cellules anucléées et de cellules précurseurs érythropoïétiques. Le nombre absolu
d'érythrocytes, les valeurs d'hémoglobine et d'hématocrite ont été observées dans le sang
périphérique par un compteur automatique de cellules. L'analyse cytogénétique de la moelle osseuse
a été réalisée par des tests du micronoyau (MN). Chez les animaux exposés, le nombre d'érythrocytes,
l'hémoglobine et l'hématocrite ont augmenté dans le sang périphérique aux jours d'irradiation 8 et 15.

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Des études montrant les effets du WiFi et des appareils sur la santé

Parallèlement, les cellules anucléées et les cellules précurseurs érythropoïétiques étaient


significativement diminuées (p < 0,05) dans la moelle osseuse au jour 15, mais la fréquence des cellules
micronucléées était augmentée. Dans les conditions expérimentales appliquées, le rayonnement RF/
MW pourrait perturber la maturation et la prolifération des globules rouges et induire la formation de
micronoyaux dans les cellules érythropoïétiques.

Trosic I, Busljeta I, Kasuba V, Rozgaj R. Induction de micronoyaux après irradiation par micro­ondes
du corps entier de rats. Mutat Res 521(1­2):73­79, 2002.
Des rats Wistar mâles adultes ont été exposés pendant 2 heures par jour, 7 jours par semaine pendant
30 jours maximum, à un rayonnement micro­ondes radiofréquence continu de 2 450 MHz (rf/MW) à une
densité de puissance de 5 à 10 mW/cm(2). Des rats exposés de manière factice ont été utilisés comme
témoins. Après anesthésie à l'éther, les animaux de laboratoire ont été euthanasiés le dernier jour
d'irradiation pour chaque groupe traité. Les frottis sanguins périphériques ont été examinés pour
déterminer l'étendue de la génotoxicité, comme l'indique la présence de micronoyaux dans les
érythrocytes polychromatiques (PCE). Les résultats de l'évolution temporelle des PCE ont indiqué des
différences significatives (P <0,05) pour les 2ème, 8ème et 15ème jours entre les sous­groupes d'animaux
témoins et traités. L'afflux accru d'érythrocytes immatures dans la circulation périphérique au début de
l'expérience a révélé que la prolifération et la maturation des cellules érythropoïétiques nucléées étaient
affectées par l'exposition au rayonnement radiofréquence de 2 450 MHz. De tels résultats sont des
indicateurs des effets des radiations sur l’érythropoïèse de la moelle osseuse et de leurs effets ultérieurs
sur les globules rouges en circulation. L'incidence des micronoyaux/1 000 PCE dans le sang
périphérique était significativement augmentée (P < 0,05) dans le sous­groupe exposé aux rayonnements
RF/MW après huit traitements d'irradiation de 2 heures chacun par rapport au groupe témoin exposé
de manière fictive. Il est probable qu'un mécanisme adaptatif, tant au niveau de l'érythrocytopoïèse que
de la génotoxicité, soit apparu dans le modèle expérimental de rat lors de l'irradiation subchronique.
traitement.

Trosic I, Busljeta I, Modlic B. Enquête sur l'effet génotoxique de l'irradiation par micro­ondes dans
les cellules de moelle osseuse de rat : exposition in vivo. Mutagenèse. 19(5):361­364, 2004.

Un test cytogénétique in vivo sur des mammifères (le test du micronoyau érythrocytaire) a été utilisé pour
étudier l'étendue des dommages génétiques dans les globules rouges de la moelle osseuse de rats
exposés à un rayonnement radiofréquence/micro­onde (RF/MW). Des rats Wistar (n = 40) ont été
exposés à un champ RF/MW continu de 2,45 GHz pendant 2 heures par jour, 7 jours par semaine, à une
densité de puissance de 5 à 10 mW/cm(2). Le taux d'absorption spécifique (DAS) moyen du corps entier a
été calculé à 1,25 +/­ 0,36 (SE) W/kg. Quatre sous­groupes ont été irradiés pendant 4, 16, 30 et 60 h.
Des témoins exposés de manière factice (n = 24) ont été inclus dans l'étude. Les animaux de
chaque sous­groupe traité ont été sacrifiés le dernier jour d'irradiation. Des frottis de moelle osseuse ont été
examinés pour déterminer l'étendue de la génotoxicité après des durées de traitement particulières.
Les résultats ont été évalués statistiquement à l'aide de tests non paramétriques de Mann­Whitney et
de Kruskal­Wallis. En comparaison avec les sous­groupes exposés de manière factice, les résultats des
érythrocytes polychromatiques (PCE) ont révélé des différences significatives (P < 0,05) pour les jours
expérimentaux 8 et 15. La fréquence des PCE micronucléés était également significativement
augmentée au jour expérimental 15 (P < 0,05). . Comparaison par paires des données obtenues après 2, 8 et 30

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Des études montrant les effets du WiFi et des appareils sur la santé

Les traitements par irradiation n'ont pas révélé de différences statistiquement significatives entre les
sous­groupes exposés de manière fictive et traités. Dans les conditions expérimentales appliquées, les
résultats ont révélé un effet transitoire sur la prolifération et la maturation des cellules érythropoïétiques
dans la moelle osseuse du rat et l'apparition sporadique de globules rouges immatures
micronucléés de la moelle osseuse.

Trosic I, Busljeta I. Fréquence des érythrocytes micronucléés dans l'exposition de la moelle osseuse
de rat au rayonnement de 2,45 GHz. Physica Scripta T118 : 168­170, 2005.
Les rats Wistar ont été exposés à un champ de micro­ondes radiofréquence (RF/MW) continu de 2,45
GHz 2 heures par jour, 7 jours par semaine, à une densité de puissance de 5 à 10 mW/cm2. Quatre sous­
groupes ont été créés afin d'être irradiés 4, 16, 30 et 60 heures. Des témoins exposés de manière
simulée ont été inclus dans l’étude. Les animaux ont été euthanasiés le dernier jour d'irradiation de
chaque sous­groupe traité. Des frottis de moelle osseuse ont été examinés pour déterminer l'étendue
de la génotoxicité après une durée de traitement particulière. Le test de Mann­Whitney a été utilisé
pour l'évaluation statistique des données. En comparaison avec les sous­groupes exposés de manière
factice, les résultats des érythrocytes polychromatiques ont révélé des différences significatives
pour les 8e et 15e jours expérimentaux. La maturation et/ou la prolifération des érythrocytes de la moelle
osseuse initiée par une irradiation subthermogène RF/MW ont montré des perturbations temporaires.
Par la suite, la fréquence des globules rouges micronucléés de la moelle osseuse a augmenté de manière
significative après 15 traitements d'irradiation. La comparaison des données de fréquence des
micronoyaux obtenues après 2, 8 et 30 traitements d'irradiation n'a pas révélé de différences
statistiquement significatives entre les sous­groupes fictifs et traités. Dans les conditions
expérimentales appliquées, l'irradiation RF/MW initie un effet cytogénétique transitoire qui se manifeste
par la formation de micronoyaux dans les cellules érythropoïétiques.

Trosic I, Busljeta I. Équilibre dynamique érythropoïétique chez le rat maintenu après irradiation
par micro­ondes. Exp Toxicol Pathol. 57(3):247­251, 2006.
Le but de l'étude était de définir l'influence du rayonnement radiofréquence micro­onde (RF/MW)
sur l'érythropoïèse chez le rat. La cinétique des érythrocytes polychromatiques (PCE) et des PCE
micronucléés (MN) dans la moelle osseuse (BM) et le sang périphérique (PB) de rats au cours de
l'expérience subchronique intermittente a été suivie. Les rats ont été exposés 2 heures/jour, 7 jours/
semaine à des RF/MW de 2,45 GHz et à un taux d'absorption spécifique (DAS) du corps entier de
1,25 +/­ 0,36 W/kg. Des animaux témoins ont été inclus dans l'étude. Chaque groupe exposé et témoin a
été tué le dernier jour d'irradiation. La BM colorée à l'acridine­orange et les frottis sanguins ont été
examinés au microscope à fluorescence. Les PCE ont été obtenus par inspection d'érythrocytes/lames de
2 000 BM et 1 000 PB. La fréquence des BMMN et des PBMN a été obtenue par observation de 1 000
PCE/lames. Les BMPCE ont augmenté aux jours 8 et 15, et les PBPCE aux jours 2 et 8 (p <0,05). La
fréquence du BMMN a augmenté le jour expérimental 15 et les MNPCE dans le PB ont augmenté
le jour 8 (p <0,05). Les conclusions de
La BM et les PBPCE ou MNPCE ont diminué presque jusqu'aux valeurs témoins jusqu'à la fin de
l'expérience. Ces résultats sont considérés comme des indicateurs des effets des rayonnements sur
l’érythropoïèse de la BM, reflétés par conséquent dans le PB. L'équilibre hémopoïétique dynamique
réhabilité chez les rats à la fin de l'expérience indique la possibilité d'un processus d'adaptation par
activation chez les rats aux conditions expérimentales sélectionnées d'exposition subchronique aux RF/MW.

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Des études montrant les effets du WiFi et des appareils sur la santé

Effets sur l'insuline

Salah MB, Abdelmelek H, Abderraba M. Effets de l'extrait de feuilles d'olivier sur les troubles métaboliques
et le stress oxydatif induits par les signaux WIFI 2,45 GHz. Environ Toxicol Pharmacol. 36(3):826­834,
2013.
Nous avons étudié l'effet de l'administration d'extrait de feuilles d'olivier sur le métabolisme du glucose et la
réponse oxydative du foie et des reins de rats exposés aux radiofréquences (RF). L'exposition des rats aux RF
(2,45 GHz, 1h/jour pendant 21 jours consécutifs) a induit un état de type diabète. De plus, le RF a
diminué les activités de la glutathion peroxydase (GPx, ­33,33 % et ­49,40 %), de la catalase (CAT, ­43,39 %
et ­39,62 %) et de la superoxyde dismutase (SOD, ­59,29 % et ­68,53 %) et des groupes thiol. quantité
(­62,68% et ­34,85%), respectivement dans le foie et les reins. En effet, l'exposition aux RF a augmenté la
concentration de malondialdéhyde (MDA, 29,69 % et 51,35 %) respectivement dans le foie et les reins.
L'administration d'extrait de feuilles d'olivier (100 mg/kg, ip) chez des rats exposés aux RF a empêché la
perturbation du métabolisme du glucose et restauré les activités de GPx, CAT et SOD ainsi que la quantité de
groupes thiol dans le foie et les reins. De plus, l’administration d’extrait de feuilles d’olivier a pu réduire les
niveaux élevés de MDA dans le foie mais pas dans les reins. Nos investigations suggèrent que l'exposition aux
RF induisait un état de type diabète par altération de la réponse oxydative.

L'extrait de feuilles d'olivier était capable de corriger les troubles du métabolisme du glucose en minimisant
le stress oxydatif induit par les RF dans les tissus du rat.

Effets cellulaires

Phelan AM, Lange DG, Kues HA, Lutty GA, Modification de la fluidité membranaire dans les cellules
contenant de la mélanine par rayonnement micro­ondes de faible intensité.
Bioélectromagnétique13(2):131­146, 1992.
Le traitement d'une lignée cellulaire de mélanome B16 avec des micro­ondes pulsées de 2,45 GHz (10
mW/cm2, impulsions de 10 microsecondes à 100 pps, exposition de 1 h ; SAR, 0,2 W/kg) a entraîné des
modifications de l'ordre des membranes, telles que mesurées par EPR. (résonance paramagnétique électronique).
Les changements reflétaient le passage d’une phase plus fluide à un état plus solide (ordonné) de la membrane
cellulaire. L'exposition de liposomes préparés artificiellement et reconstitués avec de la mélanine a produit des
résultats similaires. En revanche, ni les cellules de mélanome B16 traitées avec de la 5­bromo­2­désoxyuridine
(3 microgrammes/jour x 7 jours) pour les rendre amélanotiques, ni les liposomes préparés sans mélanine,
n'ont présenté une augmentation de l'ordre facilitée par les micro­ondes. L'inhibition de l'ordre a été
obtenue grâce à l'utilisation de superoxyde dismutase (SOD), qui implique fortement les radicaux oxygène
comme cause des modifications membranaires. Les données indiquent qu'une altération significative et
spécifique de l'ordre des membranes cellulaires a suivi l'exposition aux micro­ondes. Cette altération était propre
aux membranes mélanotiques et était due, au moins en partie, à la génération de radicaux oxygène.

Misa Agustiño MJ, Leiro JM, Jorge Mora MT, Rodríguez­González JA, Jorge Barreiro FJ, Ares­Pena FJ, López­
Martín E. Les champs électromagnétiques à 2,45 GHz déclenchent des changements de chaleur

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Des études montrant les effets du WiFi et des appareils sur la santé

choquer les protéines 90 et 70 sans altérer l'activité apoptotique de la glande thyroïde du rat. Biol Ouvert.
1(9):831­838, 2012.
Les rayonnements non ionisants à 2,45 GHz peuvent modifier l'expression des gènes qui codifient les
protéines de choc thermique (HSP) dans la glande thyroïde. En utilisant la technique du test immuno­
enzymatique (ELISA), nous avons étudié les niveaux de HSP­90 et de HSP­70. Nous avons également
utilisé l'hématoxiline­éosine pour rechercher des signes de lésions dans la glande et appliqué la
technique de fluorescence DAPI pour rechercher des signes de condensation de la chromatine
et de fragmentation nucléaire dans les cellules thyroïdiennes de rats Sprague­Dawley femelles adultes.
Cinquante­quatre rats ont été exposés individuellement pendant 30 min à un rayonnement de 2,45 GHz
dans une cellule électromagnétique transversale Gigahertz (GTEM) à différents niveaux de débit
d'absorption spécifique non thermique (DAS), calculé à l'aide de la technique du domaine temporel par différences finies (FDTD). .
Quatre­vingt­dix minutes après l'irradiation, HSP­90 et HSP­70 avaient diminué de manière significative (P
<0,01) après application d'un DAS de 0,046 ± 1,10 W/Kg ou de 0,104 ± 5,10 (­3) W/Kg. Vingt­quatre
heures après l'irradiation, le HSP­90 s'était partiellement rétabli et le HSP­70 s'était complètement rétabli.
Il y avait peu d'indications de lésions dans la structure glandulaire et les signes d'apoptose étaient négatifs
chez tous les animaux irradiés. Les résultats suggèrent qu'un rayonnement subthermique aigu à
2,45 GHz pourrait modifier les niveaux de stress cellulaire dans la glande thyroïde du rat sans altérer
initialement sa capacité anti­apoptotique.

Lee SS, Kim HR, Kim MS, Park S, Yoon ES, Park SH, Kim DW. Influence des signaux Wi­Fi des
smartphones sur les cellules souches adipeuses. J Craniofac Surg. 5 août 2014. [Publication électronique
avant impression].
L’utilisation des smartphones se développe rapidement dans le monde, suscitant ainsi l’inquiétude quant aux
éventuels effets nocifs des radiofréquences générées par les smartphones. Nous avons émis
l'hypothèse que les signaux Wi­Fi des smartphones pourraient avoir une influence néfaste sur les
cellules souches adipeuses (ASC). Une étude in vitro a été réalisée pour évaluer
influence des signaux Wi­Fi des smartphones. Les ASC ont été incubés sous un smartphone
connecté à un réseau Wi­Fi, qui téléchargeait des fichiers à une vitesse de 4,8 Mbps pendant 10 heures
par jour, pendant un total de 5 jours. Nous avons construit 2 types de cellules témoins, l’une cultivée à
37°C et l’autre cultivée à 39°C. Après 5 jours d’exposition au Wi­Fi depuis le smartphone, les cellules ont
subi un test de prolifération cellulaire, un test d’apoptose et une analyse par cytométrie en flux. Trois
facteurs de croissance, le facteur de croissance endothélial vasculaire, le facteur de croissance hépatocytaire
et le facteur de croissance transformant β, ont été mesurés à partir de milieux conditionnés par ASC. Le taux
de prolifération cellulaire était plus élevé dans les cellules exposées au Wi­Fi et dans les cellules témoins
à 39 °C que dans les cellules témoins à 37 °C. Le test d'apoptose, l'analyse par cytométrie en flux et les
concentrations de facteurs de croissance n'ont montré aucune différence remarquable entre les 3 groupes.
Nous n’avons trouvé aucun effet nocif des signaux électromagnétiques Wi­Fi des smartphones. La
prolifération accrue des ASC sous le smartphone pourrait cependant être attribuée à l’effet thermique.

Somosy Z, Thuroczy G, Kubasova T, Kovacs J, Szabo LD, Effets de l'irradiation micro­ondes modulée
et continue sur la morphologie et la charge négative de la surface cellulaire des fibroblastes 3T3. Numérisation
Microsc 5(4):1145­1155, 1991
Les cellules 3T3 d'embryon de souris ont été irradiées avec une fréquence continue et basse de 2 450 MHz.

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Des études montrant les effets du WiFi et des appareils sur la santé

(16 Hz) ondes carrées modulées d'énergie absorbée allant de 0,0024 à 2,4 mW/g.
L'irradiation par micro­ondes modulée à basse fréquence a produit davantage de changements
morphologiques cellulaires que les champs micro­ondes continus de même intensité. La quantité de
charges négatives libres (liaison de ferritine cationisée) à la surface des cellules diminue suite à
l'irradiation par ondes modulées mais reste inchangée sous l'effet d'un champ continu de
même dose. Les ondes modulées d'une dose de 0,024 mW/g ont augmenté l'activité de froissement des
cellules et provoqué une altération ultrastructurale du cytoplasme. Des effets similaires ont été ressentis
par des ondes continues à des doses plus élevées (0,24 et 2,4 mW/g).

Cleary, SF, Du, Z, Cao, G, Liu, LM, McCrady, C, Effet du rayonnement radiofréquence isotherme
sur les lymphocytes T cytolytiques. FASEB J10(8):913­919. 1996.
Des études in vitro antérieures prouvent que le rayonnement électromagnétique RF module la
prolifération des gliomes humains, des lymphocytes et d'autres types de cellules. Le mécanisme de
modulation de la prolifération cellulaire par les rayonnements RF, ainsi que les mécanismes d'effets
sur d'autres paramètres physiologiques cellulaires, ne sont pas bien compris. Pour obtenir un aperçu
des mécanismes d'interaction, nous avons étudié les effets de l'exposition aux rayonnements RF sur l'interleukine 2 (IL­2) ­
prolifération dépendante des lymphocytes T cytolytiques (CTLL­2). Après exposition aux
rayonnements RF en présence ou en absence d'IL­2, les cellules ont été cultivées à diverses
concentrations physiologiques d'IL­2. Les effets du traitement sur la prolifération de CTLL­2 ont été
déterminés par l'incorporation de thymidine tritiée immédiatement ou 24 h après l'exposition. L'exposition
au rayonnement RIF de 2 450 MHz à des taux d'absorption spécifiques (DAS) supérieurs à 25 W/kg
(intensité du champ E induit de 98,4 V/m) a induit une réduction constante et statistiquement significative
de la prolifération de CTLL­2, en particulier à faible taux d'IL­2. concentration. À des DAS inférieurs,
l'exposition à 2 450 MHz a augmenté la prolifération de CTLL­2 immédiatement après
l'exposition, mais a réduit la prolifération 24 heures après l'exposition. Les effets des rayonnements RF
dépendaient de l’état mitotique des cellules au moment de l’exposition. La comparaison des effets
de l’élévation de la température et du rayonnement RF a révélé des différences qualitatives et quantitatives significatives.

Obukhan KI, [L'effet du rayonnement ultra­haute fréquence sur les seuils d'adaptation et les dommages
causés aux cellules du système sanguin]. Lik Sprava (7): 71­73, 1998. [Article en ukrainien]
Des investigations cytologiques conçues pour étudier la moelle osseuse, le sang périphérique, la rate et
le thymus de rats albinos irradiés par un champ électromagnétique de 2 375, 2 450 et 3 000 MEGS ont
révélé des changements structurels et fonctionnels dans les populations de mégacaryocytes,
de cellules immunocompétentes ainsi que de cellules indifférenciées. , et d'autres types de cellules qui
dépendent de l'intensité de l'irradiation et permettent d'établir les niveaux de seuil de probabilité d'exposition
en tenant compte des réactions de perception et d'adaptation physiologique ainsi que des processus
compensatoires et régénératifs et des blessures subies. Il est démontré que ce sont les changements
dans la différenciation et la reproduction des cellules de la moelle osseuse, plutôt que les changements
intégraux dans le sang périphérique, qui acquièrent la plus grande importance.
Les cellules blastiques font l'objet d'un examen particulier dans cet article, dont le repeuplement
cellulaire augmente lors d'une exposition de faible intensité, tout comme les perturbations de leur schéma
de mitose.

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Des études montrant les effets du WiFi et des appareils sur la santé

Margaritis LH, Manta AK, Kokkaliaris CD, Schiza D, Alimisis K, Barkas G, Georgiou E, Giannakopoulou
O, Kollia I, Kontogianni G, Kourouzidou A, Myari A, Roumelioti F, Skouroliakou A, Sykioti V, Varda
G, Xenos K , Ziomas K. L'ovogenèse de la drosophile en tant que biomarqueur répondant aux sources
de CEM. Electromagn Biol Med. 5 août 2013. [Publication électronique avant impression]

Les organismes biologiques modèles Drosophila melanogaster et Drosophila virilis ont été utilisés
pour évaluer les effets sur la mort cellulaire apoptotique des follicules au cours de l'ovogenèse et sur le
déclin de la capacité de reproduction (fécondité). Au total, 280 expériences différentes ont été
réalisées en utilisant des mouches nouvellement émergées exposées quotidiennement pendant 3 à 7
jours pendant une courte période à diverses sources de CEM, notamment : téléphone mobile GSM 900/1 800
MHz, base sans fil DECT 1 880­1 900 MHz, combiné sans fil DECT, téléphone mobile.
­Combinaison de combiné DECT, réseau sans fil 2,44 GHz (Wi­Fi), Bluetooth 2,44 GHz, générateur FM
92,8 MHz, babyphone 27,15 MHz, générateur RF CW 900 MHz et composants RF et champ magnétique
2,44 GHz du four à micro­ondes. Le téléphone portable a été utilisé comme système d'exposition de
référence pour évaluer les facteurs considérés comme très importants en dosimétrie, étendant nos
travaux publiés sur D. melanogaster à l'insecte D. virilis. La distance à la source émettrice, la durée
d'exposition et la répétabilité ont été examinées. Toutes les sources de CEM utilisées ont créé des effets
statistiquement significatifs concernant la fécondité et l'induction de la mort cellulaire­apoptose, même à
des niveaux d'intensité très faibles (rayonnement Bluetooth de 0,3 V/m), bien en dessous des
directives de l'ICNIRP, ce qui suggère que le système d'oogenèse de la drosophile peut être utilisé
comme un biomarqueur pour explorer la bioactivité potentielle des CEM. De plus, il n'y a pas d'effet
cumulatif linéaire lors de l'augmentation de la durée d'exposition ou de l'utilisation d'une source EMF après
l'autre (c'est­à­dire un téléphone mobile et un combiné DECT) dans les conditions spécifiques utilisées. Le
rôle de la moyenne par rapport aux valeurs maximales du champ E, telles que mesurées par les
analyseurs de spectre, sur les effets finaux est discuté.

Marjanović AM, Pavičić I, Trošić IIndicateurs biologiques en réponse à l'exposition


aux radiofréquences/micro­ondes. Arh Hig Rada Toksikol. 25 septembre 2012;63(3):407­
416, 2012.
Au fil des années, en raison des progrès technologiques rapides, le rayonnement provenant de sources
artificielles a dépassé celui d’origine naturelle. Il existe une préoccupation générale concernant un nombre
croissant d'appareils utilisant des rayonnements radiofréquences/micro­ondes (RF/MW), avec un
accent particulier sur les systèmes de communication mobiles. Étant donné que les effets biologiques
non thermiques et les mécanismes du rayonnement RF/MW sont encore incertains, les études en laboratoire
sur des modèles animaux, des tissus, des cellules et des systèmes acellulaires revêtent une importance
extraordinaire dans la recherche bioélectromagnétique. Nous pensons que de telles enquêtes
jouent un rôle de soutien dans l’évaluation des risques publics. Des systèmes cellulaires ayant le potentiel
d’une réponse claire aux expositions RF/MW devraient être utilisés dans ces études. On sait que
l’organisme est un système électrochimique complexe dans lequel se produisent régulièrement des
processus d’oxydation et de réduction. L'un des mécanismes plausibles est lié à la génération d'espèces
réactives de l'oxygène (ROS). Selon la concentration, les ROS peuvent avoir des effets à la fois bénéfiques
et délétères. Les effets positifs sont liés à la signalisation cellulaire, à la défense contre les agents infectieux
et à la capacité cellulaire proliférative. D’un autre côté, une production excessive, qui surcharge le
mécanisme de défense antioxydant, entraîne des dommages cellulaires avec un potentiel sérieux de développement de maladies

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Des études montrant les effets du WiFi et des appareils sur la santé

L'augmentation de la concentration de ROS dans la cellule causée par le rayonnement RF/MW semble être une
hypothèse biologiquement pertinente pour donner un aperçu clair de l'action RF/MW à un niveau de
rayonnement non thermique. Afin de mieux comprendre le mécanisme d’action exact
et ses conséquences, des recherches plus approfondies sont nécessaires dans ce domaine. Nous aimerions
présenter les connaissances actuelles sur les mécanismes biologiques possibles des actions RF/MW.

Peinnequin A, Piriou A, Mathieu J, Dabouis V, Sebbah C, Malabiau R, Debouzy JC Effets non thermiques des
micro­ondes continues de 2,45 GHz sur l'apoptose induite par Fas dans la lignée de cellules T Jurkat humaine.
Bioélectrochimie 51(2):157­161, 2000.
Les effets non thermiques des micro­ondes (MW) sont l'une des principales questions étudiées pour la révision des
normes. Les effets de l'exposition MW sur l'apoptose à un niveau non thermique (48 h, 2,45 GHz, 5 mW/cm2)
ont été étudiés. Les résultats obtenus évaluent les effets non thermiques du MW sur Fas, mais ni sur l'apoptose
induite par le butyrate ni sur les céramides dans la lignée de cellules T Jurkat humaines. Ces données montrent
que MW interagit soit avec la voie Fas entre le récepteur et l'activation de la caspase­3, soit avec des protéines
membranaires (c'est­à­dire le récepteur Fas ou la neurosphyngomyélinase).

Koyama S, Narita E, Suzuki Y, Taki M, Shinohara N, Miyakoshi J. Effet d'un champ électromagnétique
radiofréquence de 2,45 GHz sur la chimiotaxie et la phagocytose des neutrophiles dans des cellules HL­60
humaines différenciées.J Radiat Res. 5 septembre 2014. pii : rru075. [Epub avant impression]

Les risques potentiels pour la santé publique des champs de radiofréquences (RF) ont été longuement discutés,
en particulier avec l'utilisation généralisée des téléphones portables dans le monde entier. Afin d'étudier les
propriétés des champs RF, nous avons examiné l'effet de 2,45­
Champs RF GHz au débit d'absorption spécifique (DAS) de 2 et 10 W/kg pendant 4 et 24 h sur la chimiotaxie et
la phagocytose des neutrophiles dans des cellules HL­60 humaines différenciées. La chimiotaxie des neutrophiles
n'a pas été affectée par l'exposition aux champs RF, et la phagocytose ultérieure n'a pas été affectée non plus par
rapport à celle dans des conditions d'exposition simulée. Ces études ont démontré une réponse immunitaire
initiale dans le corps humain exposé à des champs RF de 2,45 GHz avec un DAS de 2 W/kg, ce qui est la valeur
maximale recommandée par les directives de la Commission internationale de protection contre les
rayonnements non ionisants (ICNIRP). Les résultats de nos expériences d'exposition aux champs RF à un DAS
inférieur à 10 W/kg ont montré très peu ou pas d'effets sur la chimiotaxie ou la phagocytose dans les cellules
HL­60 humaines de type neutrophile.

Koyama S, Isozumi Y, Suzuki Y, Taki M, Miyakoshi J. Effets des champs électromagnétiques de 2,45 GHz avec une
large gamme de DAS sur la formation de micronoyaux dans les cellules CHO­K1.
ScientificWorldJournal 4 Supplément 2 : 29­40, 2004.
Il y a eu de nombreuses discussions sur l'influence des champs électromagnétiques à haute fréquence
(HFEMF) sur le corps humain. En particulier, les HFEMF utilisés pour les téléphones mobiles peuvent être très
préoccupants pour la santé humaine. Afin d'étudier les propriétés du HFEMF, nous avons examiné les effets du
CEM de 2, 45 GHz sur la formation de micronoyaux (MN) dans les cellules d'ovaire de hamster chinois
(CHO) ­K1. La formation de MN est induite par la cassure chromosomique ou l'inhibition des fuseaux
pendant la division cellulaire et conduit à la formation de cellules.

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Des études montrant les effets du WiFi et des appareils sur la santé

dommage. Nous avons également examiné l'influence de la chaleur sur la formation de MN, puisque
l'exposition aux HFEMF provoque une augmentation de la température. Les cellules CHO­K1 ont été exposées
au HFEMF pendant 2 h à des taux d'absorption spécifiques (DAS) moyens de 5, 10, 20, 50, 100 et 200 W/
kg, et les effets sur ces cellules ont été comparés à ceux des cellules exposées de manière fictive. cellules témoins.
Les cellules ont également été traitées avec de la bléomycine seule comme contrôle positif ou avec un traitement
combiné d'exposition au HFEMF et de bléomycine. Le traitement thermique a été effectué à des températures
de 37, 38, 39, 40, 41 et 42 degrés C. La fréquence MN dans les cellules exposées au HFEMF à un DAS
inférieur à 50 W/kg ne différait pas de celle des témoins exposés de manière factice. tandis que ceux aux DAS de
100 et 200 W/kg étaient significativement plus élevés que les témoins exposés de manière factice. Il n’y
avait aucun effet combiné apparent de l’exposition aux HFEMF et du traitement à la bléomycine. Lors d'un
traitement thermique à des températures comprises entre 38 et 42 °C, la fréquence MN augmente en fonction de
la température. Nous avons également montré qu'une augmentation du SAR provoque une augmentation
de la température, ce qui peut être lié à l'augmentation de la formation de MN générée par l'exposition aux HFEMF.

Inoue S, Motoda H, Koike Y, Kawamura K, Hiragami F, Kano Y. L'irradiation par micro­ondes induit une
croissance des neurites dans les cellules PC12m3 via la voie de la protéine kinase activée par le mitogène
p38. Neurosci Lett.432(1):35­39,2008.
L’utilisation croissante des communications par téléphone mobile a suscité des inquiétudes quant aux éventuels
effets néfastes sur la santé de l’irradiation par micro­ondes. Nous avons étudié les dommages et la
différenciation causés par l'irradiation par micro­ondes sur la lignée cellulaire PC12 hypersensible aux
médicaments (PC12m3). Ces cellules ont montré une amélioration de la croissance des neurites suite à divers stimulants.
La fréquence de croissance des neurites induite par une irradiation micro­ondes de 2,45 GHz (200 W)
était environ 10 fois supérieure à celle des cellules témoins non irradiées.
L'incubation de cellules PC12m3 avec SB203580, un inhibiteur spécifique de p38 MAPK, a entraîné une inhibition
marquée de la croissance des neurites induite par le rayonnement micro­ondes. De plus, l'activation
du facteur de transcription CREB induite par l'irradiation par micro­ondes a été inhibée par le SB203580.
Le traitement par choc thermique à 45 degrés C a eu un fort effet toxique sur les cellules PC12m3, tandis que le
traitement par micro­ondes n'a eu aucun effet toxique sur les cellules PC12m3. Ces résultats indiquent que p38
MAPK est responsable de la survie des cellules PC12m3 et pourrait induire une croissance des neurites via une
voie de signalisation CREB lorsqu'elle est soumise à une irradiation par micro­ondes.

Effets sur le comportement

Thomas S, Heinrich S, von Kries R, Radon K. Exposition aux champs électromagnétiques


radiofréquences et problèmes de comportement chez les enfants et adolescents bavarois.
Eur J Epidémiol. 25(2):135­141, 2010.
Jusqu'à présent, seules quelques études ont étudié les effets possibles sur la santé des champs
électromagnétiques de radiofréquences (CEM RF) chez les enfants et les adolescents, bien que les experts
évoquent une vulnérabilité potentiellement plus élevée à ces champs. Notre objectif était d'étudier une
association possible entre l'exposition mesurée aux champs RF EMF et les problèmes de comportement chez
les enfants et les adolescents. 1 498 enfants et 1 524 adolescents ont été sélectionnés au hasard

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Des études montrant les effets du WiFi et des appareils sur la santé

à partir des registres de population de quatre villes bavaroises (sud de l'Allemagne). Au cours d'un entretien,
des données sur la santé mentale des participants, leurs caractéristiques sociodémographiques et les facteurs
de confusion potentiels ont été collectées. Le comportement en matière de santé mentale a été évalué à l’aide de
la version allemande du questionnaire sur les forces et les difficultés (SDQ). À l’aide d’un dosimètre personnel,
nous avons obtenu des profils d’exposition aux CEM radiofréquences sur 24 h. Les niveaux d'exposition
pendant les heures d'éveil ont été exprimés en pourcentage moyen du niveau de référence.
Globalement, l’exposition aux champs électromagnétiques radiofréquences était bien inférieure au niveau de
référence. Sept pour cent des enfants et 5 % des adolescents présentaient un comportement mental anormal.
Dans les analyses de régression logistique multiple, l'exposition mesurée aux champs RF dans le quartile le plus
élevé était associée à des problèmes de comportement globaux chez les adolescents (RC 2,2 ; IC à
95 % 1,1­4,5), mais pas chez les enfants (1,3 ; 0,7­2,6). Ces résultats sont principalement motivés par une sous­
échelle, car les résultats ont montré une association entre l'exposition et les problèmes de comportement chez les
adolescents (3,7 ; 1,6­8,4) et les enfants (2,9 ; 1,4­5,9). Comme il s'agit de l'une des premières études à avoir étudié
une association entre l'exposition aux réseaux de télécommunications mobiles et les comportements liés à la
santé mentale, d'autres études utilisant la dosimétrie personnelle sont nécessaires pour confirmer ces résultats.

Yuan K, Qin W, Wang G, Zeng F, Zhao L, Yang X, Liu P, Liu J, Sun J, von Deneen KM, Gong Q, Liu Y, Tian J.
Anomalies de la microstructure chez les adolescents souffrant d'un trouble de dépendance à Internet. PLoS
One.6(6):e20708, 2011.
CONTEXTE : Des études récentes suggèrent que le trouble de dépendance à Internet (IAD) est associé
à des anomalies structurelles de la matière grise du cerveau. Cependant, peu d’études ont étudié les effets de la
dépendance à Internet sur l’intégrité microstructurale des principales voies des fibres neuronales, et presque
aucune étude n’a évalué les changements microstructuraux en fonction de la durée de la dépendance à
Internet. MÉTHODOLOGIE/Principaux résultats : Nous avons étudié la morphologie du cerveau chez des adolescents
atteints de DAI (N = 18) en utilisant une technique optimisée de morphométrie basée sur les voxels (VBM), et
avons étudié les changements d'anisotropie fractionnaire (AF) de la substance blanche à l'aide de l'imagerie du
tenseur de diffusion ( DTI), liant ces mesures structurelles cérébrales à la durée de l’IAD. Nous avons fourni
des preuves démontrant les multiples changements structurels du cerveau chez les sujets IAD. Les résultats du
VBM ont indiqué une diminution du volume de matière grise dans le cortex préfrontal dorsolatéral bilatéral (DLPFC),
l'aire motrice supplémentaire (SMA), le cortex orbitofrontal (OFC), le cervelet et l'ACC rostral gauche (rACC).
L'analyse DTI a révélé une valeur FA accrue du membre postérieur gauche de la capsule interne (PLIC) et une valeur
FA réduite dans la substance blanche dans le gyrus parahippocampique droit (PHG). Les volumes de matière grise
des changements DLPFC, rACC, SMA et FA de la substance blanche du PLIC étaient significativement corrélés à la
durée de la dépendance à Internet chez les adolescents atteints de DAI. CONCLUSIONS : Nos résultats

ont suggéré qu'une dépendance à long terme à Internet entraînerait des altérations structurelles du cerveau, ce qui
contribuerait probablement au dysfonctionnement chronique chez les sujets atteints de DAI. L’étude actuelle
pourrait apporter davantage de lumière sur les effets potentiels de la DAI sur le cerveau.

Hirata A, Kojima M, Kawai H, Yamashiro Y, Watanabe S, Sasaki H, Fujiwara O. Dosimétrie aiguë et estimation
du seuil induisant des signes comportementaux de stress thermique chez le lapin exposé aux micro­ondes à 2,45
GHz. IEEE Trans Biomed Eng. 57(5):1234­42, 2010.

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Des études montrant les effets du WiFi et des appareils sur la santé

Dans les directives et normes internationales actuelles relatives à l'exposition humaine aux micro­ondes, la
restriction de base est déterminée par le débit d'absorption spécifique (DAS) moyen du corps entier. La
base des lignes directrices est l'effet indésirable tel qu'un arrêt de travail chez les animaux lorsque les DAS
moyens pour l'ensemble du corps dépassent un certain niveau. Bien qu'il soit connu que l'énergie micro­
onde absorbée provoque le signe comportemental de stress thermique, la relation entre le DAS moyen
du corps entier et l'élévation de la température n'a pas été suffisamment étudiée. Dans la présente
étude, nous avons réalisé des expériences sur des lapins exposés à des micro­ondes de 2,45 GHz. Au
total, 24 mesures ont été effectuées pour des densités de puissance d'environ 100 à 1 000 W/m2.
Notre code informatique pour la dosimétrie électromagnétique­thermique a été utilisé pour définir la durée
d'exposition et la densité de puissance incidente. Nos résultats expérimentaux suggèrent qu'une
élévation de la température centrale de 1°C est une estimation du seuil induisant des signes
comportementaux complexes de stress thermique induit par les micro­ondes chez le lapin pour différents
DAS moyens du corps entier et durées d'exposition. Le DAS moyen du corps entier requis pour les signes
comportementaux induits par les micro­ondes chez le lapin a été estimé à environ 1,3 W/kg pour 2,45 GHz.

micro­ondes.

Duan L, Shan Y, Yu X, [Observations de changements dans les fonctions neurocomportementales


chez les travailleurs exposés à des rayonnements à haute fréquence]. Chung Hua Yu Fang I Hsueh Tsa
Chih 32(2):109­111, 1998. [Article en chinois]
OBJECTIF : Étudier les effets de l'exposition aux rayonnements à haute fréquence sur la
fonction neurocomportementale des travailleurs exposés et sa mesure dans l'évaluation des risques
professionnels qu'ils entraînent. MÉTHODES : Quatre fonctions neurocomportementales ont été testées
pour les travailleurs exposés à des rayonnements à haute fréquence avec la batterie de tests
neurocomportementaux recommandés par l'OMS. RÉSULTATS : Les scores pour divers indicateurs chez les
travailleurs exposés étaient significativement inférieurs à ceux des témoins et étaient corrélés, dans une
certaine mesure, à la détection de la neurasthénie chez les travailleurs exposés. CONCLUSION : Les
modifications de la fonction neurocomportementale chez les travailleurs exposés aux rayonnements à haute
fréquence peuvent refléter ses effets indésirables importants.

Fonction immunitaire

Li CY, Liao MH, Lin CW, Tsai WS, Huang CC, Tang TK. Effets inhibiteurs du rayonnement micro­ondes
sur l'expression de NFκB induite par le LPS dans les monocytes THP­1. Chin J Physiol.
55(6):421­427, 2012.
Les rayonnements micro­ondes peuvent être rencontrés régulièrement dans la vie quotidienne. Lorsque l'OMS
a annoncé que les rayonnements micro­ondes constituaient une sorte d'énergie environnementale qui
interférait avec les fonctions physiologiques du corps humain, de grandes inquiétudes ont été soulevées
quant aux dommages que les fréquences micro­ondes peuvent causer à la physiologie humaine. Les
performances immunologiques et les activités du facteur inflammatoire cellulaire NFκB ont été
étroitement liées chez les monocytes. En raison de l'effet du phorbol 12­myristate 13­acétate (PMA) sur les
monocytes THP­1, les monocytes THP­1 se différencieraient en macrophages et réagiraient ensuite avec les
lipopolysaccharides (LPS), et la quantité de NFκB augmenterait dans le THP­

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Des études montrant les effets du WiFi et des appareils sur la santé

1 monocytes. L'expression de la cytokine est affectée lorsque les cellules sont exposées à une fréquence de
2 450 MHz et à 900 W. Ainsi, dans nos expériences, une observation a été faite lorsque les monocytes
THP­1 étaient stimulés par le PMA et le LPS pour se différencier en macrophages, la quantité de NFκB
dans les cellules a augmenté de façon exponentielle et les niveaux d’expression de NFκB ont été diminués
par l’exposition au rayonnement micro­ondes. En conclusion, les rayonnements micro­ondes inhibent les
fonctions d’activité des monocytes THP­1 stimulés par le PMA et le LPS.

Elekes, E, Thuroczy, G, Szabo, LD, Effet sur le système immunitaire des souris exposées de
manière chronique à des micro­ondes de 2,45 GHz à modulation d'amplitude de 50 Hz. Bioélectromagnétique
17(3):246­248, 1996.
L’effet d’un rayonnement micro­ondes continu (CW ; fréquence porteuse de 2,45 GHz ) ou modulé en
amplitude (AM ; onde carrée de 50 Hz) sur la réponse immunitaire a été testé. Les expositions aux
armes chimiques (6 jours, 3 h/jour) ont induit une augmentation du nombre de cellules productrices d'anticorps
dans la rate des souris mâles Balb/c (+37 %). L'exposition aux micro­ondes AM a induit une élévation de
l'indice splénique (+15 %) et du nombre de cellules productrices d'anticorps (+55 %) dans la rate des
souris mâles. Aucun changement n’a été observé chez les souris femelles. Il est conclu que les deux types
de conditions d'exposition ont induit une élévation modérée de la production d'anticorps uniquement
chez les souris mâles.

Effets sur les protéines

George DF, Bilek MM, McKenzie DR. Les effets non thermiques dans le déploiement induit par micro­
ondes des protéines observés par la liaison chaperon. Bioélectromagnétique 29(4):324­
330, 2008.
Nous étudions l'effet des micro­ondes à 2 450 MHz sur le déploiement des protéines à l'aide de la
détection par résonance plasmonique de surface. Notre méthode expérimentale utilise le fait que
les protéines en déploiement ont tendance à se lier aux chaperons sur leur chemin de déploiement
et que cet attachement est facilement surveillé par résonance plasmonique de surface. Nous utilisons
la protéine citrate synthase (CS) pour cette étude car elle montre une forte liaison à la cristalline alpha
chaperon lorsqu'elle est stressée par une exposition à une température excessive. Les résultats du
chauffage par micro­ondes sont comparés à l'effet du chauffage ambiant et à une combinaison de chauffage
ambiant et par micro­ondes jusqu'à la même température finale. Nous étudions les distributions de
température pendant le processus de chauffage. Nous montrons que les micro­ondes provoquent un degré
de déploiement significativement plus élevé que le stress thermique conventionnel pour les solutions
protéiques chauffées à la même température maximale.

Hypersensibilité électromagnétique

Nordin S, Neely G, Olsson D, Sandström M. Intolérance aux odeurs et au bruit chez les personnes présentant
une hypersensibilité électromagnétique autodéclarée. Int J Environ Res Santé Publique.
11(9):8794­8805, 2014.

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Des études montrant les effets du WiFi et des appareils sur la santé

L'absence de confirmation des symptômes attribués aux champs électromagnétiques (CEM) et


déclenchés par l'exposition aux CEM a mis en évidence le rôle de facteurs individuels. Des
observations antérieures indiquent une intolérance à d'autres types d'expositions environnementales
chez les personnes souffrant d'hypersensibilité électromagnétique (EHS). Cette étude a évalué les
différences d'intolérance aux odeurs et au bruit entre les personnes atteintes d'EHS et les témoins sains
en utilisant des sous­échelles et des mesures globales de l'échelle de sensibilité chimique (CSS) et de
l'échelle de sensibilité au bruit (NSS). Le groupe EHS a obtenu des résultats nettement supérieurs à ceux
des groupes témoins sur toutes les échelles CSS et NSS. Les coefficients de corrélation entre les scores
CSS et NSS variaient entre 0,60 et 0,65 selon les mesures. Les résultats suggèrent une association entre
l'EHS et l'intolérance aux odeurs et au bruit, encourageant une enquête plus approfondie sur les
facteurs individuels pour comprendre les symptômes liés aux CEM.

Landgrebe M, Hauser S, Langguth B, Frick U, Hajak G, Eichhammer P. Altération de l'excitabilité corticale


chez les patients subjectivement électrosensibles : résultats d'une étude pilote. J Psychosom
Rés. 62(3):283­288, 2007.
OBJECTIF : L'hypersensibilité aux champs électromagnétiques est fréquemment associée à diverses
plaintes somatiques et/ou neuropsychologiques non spécifiques. Alors que les études de provocation
n'ont souvent pas réussi à démontrer une relation causale entre l'exposition aux champs
électromagnétiques et la formation de symptômes, les examens neurophysiologiques mettent
en évidence des écarts de base chez les personnes se disant électrosensibles.
MÉTHODES : Pour élucider le rôle potentiel des régulations corticales dysfonctionnelles dans la médiation de
l'hypersensibilité aux champs électromagnétiques, les paramètres d'excitabilité corticale ont été mesurés par
stimulation magnétique transcrânienne chez des patients subjectivement électrosensibles (n = 23) et deux
groupes témoins (n = 49) différant par leur niveau de problèmes de santé non spécifiques.
RÉSULTATS : Les patients électrosensibles ont montré une facilitation intracorticale réduite par rapport aux
deux groupes témoins, tandis que les seuils moteurs et l'inhibition intracorticale n'ont pas été
affectés. CONCLUSIONS : Cette étude pilote fournit des preuves supplémentaires selon lesquelles une
altération de la fonction du système nerveux central peut expliquer la manifestation des symptômes
chez les patients subjectivement électrosensibles, comme cela a été postulé pour plusieurs maladies
chroniques multisymptômes partageant un groupe similaire de symptômes.

Hagström M, Auranen J, Ekman R. Finlandais hypersensibles électromagnétiques : symptômes, sources


perçues et traitements, une étude par questionnaire. Physiopathologie. 1er avril 2013. pii :
S0928­4680(13)00002­3.
L'objectif était d'analyser les expériences subjectives des Finlandais qui se décrivent comme souffrant
d'hypersensibilité électromagnétique (EHS), leurs symptômes, les sources perçues des problèmes de
santé et l'efficacité des thérapies alternatives médicales et complémentaires. Au total, 395 questionnaires
ont été envoyés par courrier à des personnes auto­diagnostiquées EHS. Parmi les participants, 345
appartenaient à un groupe d'entraide finlandais et 50 venaient de l'extérieur du groupe. Le taux de retour de
l'étude était de 52,1% (206) et 80,9% des répondants étaient des femmes. Avant l’apparition de l’EHS,
les problèmes de santé les plus courants concernaient différents types d’allergies (35,1 %, 68). Durant la
phase aiguë de l'EHS, les symptômes les plus courants étaient liés au système nerveux : « stress » (60,3
%, 117), « troubles du sommeil » (59,3 %, 115) et « fatigue » (57,2 %, 111). Les sources qui étaient
le plus souvent

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Des études montrant les effets du WiFi et des appareils sur la santé

Les facteurs qui auraient déclenché l'EHS étaient les suivants : les "ordinateurs personnels" (50,8 %,
94) et les "téléphones portables" (47,0 %, 87). Il a également été affirmé que ces mêmes appareils
provoquaient le plus de symptômes pendant la phase aiguë. Une fois passée la phase aiguë de l'EHS,
les personnes interrogées affirmaient toujours réagir à ces mêmes appareils numériques et sans fil alors
que leurs réactions aux appareils électriques de base étaient réduites. Selon 76 % des 157 personnes
interrogées, la réduction ou l'évitement des champs électromagnétiques (CEM) ont contribué à leur
rétablissement total ou partiel. Les meilleurs traitements pour l'EHS étaient les suivants :
"changement alimentaire" (69,4%), "suppléments nutritionnels" (67,8%) et "augmentation de l'exercice
physique" (61,6%). Les recommandations thérapeutiques officielles de psychothérapie (2,6 %) et de
médicaments (­4,2 %) n’étaient pas significativement utiles. Selon les résultats actuels, les protocoles
de traitement officiels devraient mieux prendre en compte les propres expériences de la personne EHS.
L’évitement des rayonnements et des champs électromagnétiques a efficacement éliminé ou atténué les symptômes chez les perso

Landgrebe M, Frick U, Hauser S, Langguth B, Rosner R, Hajak G, Eichhammer P.


Altérations cognitives et neurobiologiques chez les patients hypersensibles électromagnétiques : résultats
d'une étude cas­témoins. Psychol Med. 38(12):1781­1791, 2008.
CONTEXTE : L'hypersensibilité aux champs électromagnétiques (CEM) est fréquemment associée à une
variété de plaintes somatiques et neuropsychologiques non spécifiques.
Alors que les études de provocation n'ont souvent pas réussi à démontrer une relation causale entre
l'exposition aux CEM et la formation de symptômes, des études récentes soulignent une interaction
complexe d'altérations neurophysiologiques et cognitives contribuant à la manifestation des symptômes
chez les patients hypersensibles aux ondes électromagnétiques (EHS). Cependant, ces études n’ont
examiné que des échantillons de petite taille ou se sont concentrées sur des aspects sélectionnés.
Par conséquent, cette étude a examiné le plus grand échantillon de corrélats cognitifs spécifiques aux
CEM EHS, de la capacité de discrimination et des paramètres neurobiologiques afin de mieux
comprendre la physiopathologie de l'hypersensibilité électromagnétique. MÉTHODE : Dans une conception
cas­témoins, 89 EHS et 107 témoins appariés selon l'âge et le sexe ont été inclus dans l'étude. L'état de
santé et les cognitions spécifiques aux CEM ont été évalués à l'aide de questionnaires standardisés.
Les seuils de perception suite à des impulsions uniques de stimulation magnétique transcrânienne (TMS)
vers le cortex préfrontal dorsolatéral ont été déterminés à l'aide d'un protocole de mesure
standardisé en aveugle. Les paramètres d'excitabilité corticale ont été mesurés par TMS.
RÉSULTATS : La capacité de discrimination était significativement réduite dans l'EHS (seulement 40 % des
EHS mais 60 % des contrôles n'ont ressenti aucune sensation sous stimulation simulée pendant
toute la série), alors que les seuils de perception des impulsions magnétiques réelles étaient comparables
dans les deux groupes (médiane 21 % contre 24 % de l'intensité maximale du pouls). La facilitation
intra­corticale était diminuée chez les jeunes et augmentée chez les EHS plus âgés. De plus, les
cognitions typiques liées aux CEM (aspects de la rumination, de l'intolérance aux symptômes, de la
vulnérabilité et de la stabilisation de l'estime de soi) différenciaient spécifiquement l'EHS de leurs contrôles.
CONCLUSIONS : Ces résultats démontrent des altérations cognitives et neurobiologiques significatives
indiquant une véritable vulnérabilité individuelle plus élevée des patients hypersensibles aux ondes électromagnétiques.

Landgrebe M, Frick U, Hauser S, Hajak G, Langguth B. Association d'acouphènes et d'hypersensibilité


électromagnétique : des indices pour une physiopathologie partagée ? PLoS One.4(3):e5026,
2009.

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Des études montrant les effets du WiFi et des appareils sur la santé

CONTEXTE : Les acouphènes sont une affection fréquente avec une morbidité élevée et une altération
de la qualité de vie. La physiopathologie est encore incomplètement comprise. Il semble que les
champs électromagnétiques soient impliqués dans la pathogenèse multifactorielle des acouphènes, mais les
données prouvant cette relation sont très limitées. Les risques potentiels pour la santé des champs
électromagnétiques (CEM) font l’objet de discussions depuis longtemps. En particulier, les
individus se déclarant hypersensibles aux ondes électromagnétiques souffrent de divers symptômes
non spécifiques, qu'ils attribuent à l'exposition aux CEM. Le but de l'étude était d'élucider la relation entre
l'exposition aux CEM, l'hypersensibilité électromagnétique et les acouphènes à l'aide d'une conception
cas­témoins. MÉTHODOLOGIE : L'apparition et la gravité des acouphènes ont été évaluées par des
questionnaires auprès de 89 patients hypersensibles aux électromagnétiques et de 107 témoins appariés
en fonction de l'âge, du sexe, du cadre de vie et du lieu de travail. À l’aide d’une approche de régression
logistique, les facteurs de risque potentiels de développement d’acouphènes ont été évalués.
RÉSULTATS : Les acouphènes étaient significativement plus fréquents dans le groupe hypersensible
aux électromagnétiques (50,72 % contre 17,5 %) alors que la durée et la gravité des acouphènes ne
différaient pas entre les groupes. L'hypersensibilité électromagnétique et les acouphènes étaient des
facteurs de risque indépendants de troubles du sommeil. Cependant, les mesures de l'exposition
individuelle aux CEM, comme par exemple l'utilisation du téléphone portable, n'ont montré aucune
association avec les acouphènes. CONCLUSIONS : Nos données indiquent que les acouphènes sont
associés à une hypersensibilité électromagnétique subjective. Une vulnérabilité individuelle probablement
due à un réseau de détresse cortical suractivé semble être responsable à la fois de l'hypersensibilité
électromagnétique et des acouphènes. Par conséquent, les efforts thérapeutiques devraient se
concentrer sur des stratégies de traitement (par exemple, thérapie cognitivo­comportementale) visant à normaliser ce réseau de dé

Effets sur les organes critiques

Phelan AM, Neubauer CF, Timm R, Neirenberg J, Lange DG, Altérations athermiques de la structure
de la membrane canaliculaire et activité ATPase induites par les niveaux thermiques de rayonnement
micro­ondes. Radiat Res 137(1):52­58, 1994.
Des rats Sprague­Dawley (200­250 g) ont été exposés 30 minutes/jour pendant 4 jours à des niveaux
thermogéniques (augmentation de la température rectale de 2,2 degrés C) de rayonnement micro­ondes
[2,45 GHz, 80 mW/cm2, mode onde continue (CW) ] ou à une source de chaleur radiante entraînant une
augmentation équivalente de la température corporelle de 2,2 degrés C. Le cinquième jour après les 4
jours d'exposition au rayonnement micro­ondes, les animaux ont été sacrifiés et leurs foies ont été
prélevés. Les membranes canaliculaires ont été isolées et évaluées pour leur activité
adénosinetriphosphatase (ATPase), leur composition en acides gras totaux et leurs caractéristiques de
fluidité membranaire. L'activité Mg(++)­ATPase (Vmax) a diminué de 48,5 % dans le groupe exposé au
rayonnement micro­ondes, sans changement significatif dans le groupe exposé à la chaleur radiante.
La diminution de la Mg(++)­ATPase a été partiellement compensée par une augmentation
concomitante de l'activité Na+/K(+)­ATPase (augmentation de 170 % de la Vmax par rapport au contrôle)
chez les animaux exposés au rayonnement micro­ondes, alors qu'aucun changement n'est survenu dans le
groupe. exposé à la chaleur rayonnante. Cette altération de l'activité ATPase dans le groupe exposé
au rayonnement micro­ondes est associée à une forte diminution du rapport acides gras saturés/insaturés. À
l’inverse, le groupe exposé à la chaleur rayonnante présentait une augmentation du ratio de

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Des études montrant les effets du WiFi et des appareils sur la santé

acides gras saturés à insaturés. Les changements les plus spectaculaires ont été constatés dans les niveaux
d’acide arachidonique. Enfin, la technique de spin label par résonance paramagnétique électronique
(RPE) utilisée pour mesurer la fluidité des membranes canaliculaires des animaux des trois groupes
(simulacre, rayonnement micro­ondes et chaleur radiante) a indiqué que les résultats étaient différents dans
les trois groupes, reflétant la changements constatés dans leur composition en acides gras. La
réponse physiologique à des charges thermiques « équivalentes » chez le rat s'exprime
différemment selon les types de sources d'énergie. Les mécanismes possibles produisant ces
réponses thermogéniques divergentes sont discutés.

Lange DG, D'Antuono ME, Timm RR, Ishii TK, Fujimoto JM. Réponse différentielle de la perméabilité
de la membrane canaliculaire du foie de rat au saccharose et au mannitol suite à des expositions aiguës
uniques et multiples in vivo au rayonnement micro­ondes (2,45 GHz) et au stress thermique de l'énergie
radiante. Radiat Res 134(1):54­62, 1993.
Les expositions aiguës et chroniques aux rayonnements micro­ondes ont modifié la fonction de la membrane
canaliculaire du rat. Une seule exposition aiguë à un rayonnement micro­ondes [80 mW/cm2, 2,45 GHz,
onde continue, exposition de 30 min (DAS approximativement égal à 72 W/kg)] ou à une charge thermique
d'énergie radiante correspondante, toutes deux conçues pour augmenter la température corporelle
centrale d'environ 3 degrés C, a diminué la perméabilité de la membrane canaliculaire des rats Sprague­
Dawley mâles au saccharose. Le changement de perméabilité de la membrane canaliculaire a été démontré
par une augmentation significative du pourcentage de [3H] saccharose récupéré dans la bile suite à son
administration par une injection intrabiliaire rétrograde segmentée. Des expositions aiguës similaires à des
sources thermiques de micro­ondes et d'énergie radiante n'ont produit aucune altération
significative de la perméabilité de la membrane canaliculaire au [14C]mannitol. Dans les deux protocoles
d’exposition aiguë, une augmentation rapidement réversible du débit biliaire a été observée.
Quatre expositions (30 min/jour x 4 jours) soit à un rayonnement micro­ondes (80 mW/cm2) soit à une
charge thermique d'énergie radiante correspondante ont entraîné une dépression significative du débit
biliaire à des températures normothermiques. Les animaux recevant de multiples expositions au
rayonnement micro­ondes présentaient une diminution significative de la perméabilité de la
membrane canaliculaire au [3H] saccharose et au [14C] mannitol, tandis qu'une exposition similaire à
une charge thermique d'énergie radiante modifiait seule la perméabilité de la membrane canaliculaire au
[3H] saccharose. Un examen de la clairance hépatique du saccharose et du mannitol après une
exposition aiguë aux micro­ondes n'a révélé aucune différence significative. Ainsi, une exposition unique
aiguë à des charges thermiques de micro­ondes et d’énergie radiante a produit des altérations
similaires de la perméabilité de la membrane canaliculaire. À l’inverse, des expositions multiples ont
produit des modifications irréversibles du débit biliaire et de la perméabilité de la membrane canaliculaire,
l’exposition aux micro­ondes produisant de plus grandes altérations du fonctionnement de la
membrane canaliculaire qu’une charge thermique d’énergie radiante équivalente.

Somosy Z, Thuroczy G, Kovacs J, Effets des micro­ondes modulées et continues


irradiation de la teneur en calcium précipitable au pyroantimonate dans le complexe jonctionnel de
l'intestin grêle de souris. Balayage Microsc 7(4):1255­1261, 1993.
La teneur en calcium précipitable par le pyroantimonate des cellules épithéliales intestinales a été
étudiée chez des souris après une irradiation corporelle totale avec des ondes modulées carrées continues
de 2 450 MHz et basse fréquence (16 Hz). Chez les animaux témoins, les produits de réaction

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Des études montrant les effets du WiFi et des appareils sur la santé

apparaissaient dans l'espace intercellulaire des cellules adjacentes, y compris les jonctions intermédiaires et les
desmosomes, et étaient absentes dans la zone des jonctions serrées. Immédiatement après une irradiation par
micro­ondes modulée à basse fréquence à des densités de puissance de 0,5 et 1 mW/cm2, une distribution rapide
de la teneur en calcium précipitable par le pyroantimonate a été observée. Les dépôts de pyroantimonate étaient
situés du côté cytoplasmique de la membrane latérale, dans la zone du complexe jonctionnel, y compris la jonction
serrée, et dans d'autres parties de la membrane plasmique latérale. Ces changements étaient réversibles et 24
heures après l'irradiation, la répartition des dépôts de pyroantimonate était similaire à celle du témoin. Des ondes
continues de même énergie n'altèrent pas la distribution du calcium précipitable. Nous concluons que l’irradiation
micro­ondes modulée à basse fréquence peut modifier la distribution du calcium sans effets thermiques.

Effets sur le sommeil

Liu H, Chen G, Pan Y, Chen Z, Jin W, Sun C, Chen C, Dong X, Chen K, Xu Z, Zhang S, Yu Y.
(2014) Expositions professionnelles aux champs électromagnétiques associées à la qualité du sommeil : une étude
transversale. PLoS ONE 9(10) : e110825. est ce que je:10.1371/journal.pone.0110825.

CONTEXTE : L'exposition aux champs électromagnétiques (CEM) émis par les téléphones portables et autres
machines concerne la moitié de la population mondiale et soulève le problème de leur impact sur la santé humaine.
La présente étude vise à explorer les effets de l'exposition aux champs électromagnétiques sur la
qualité et la durée du sommeil chez les travailleurs des centrales électriques. MÉTHODES : Une étude transversale a
été menée dans une centrale électrique de la province du Zhejiang, en Chine. Au total, 854 participants ont été
inclus dans l'analyse finale. Les informations détaillées des participants ont été obtenues par des enquêteurs qualifiés
à l'aide d'un questionnaire structuré comprenant les caractéristiques sociodémographiques, les variables
de style de vie, les variables de sommeil et les expositions électromagnétiques.

Un examen physique et un prélèvement de sang veineux ont également été effectués pour chaque sujet d'étude.
RÉSULTATS : Après avoir regroupé l'exposition professionnelle quotidienne aux électromagnétiques en trois catégories,
les sujets ayant une longue durée d'exposition quotidienne présentaient un risque significativement plus élevé de
mauvaise qualité de sommeil par rapport à ceux ayant une courte durée d'exposition quotidienne. Les rapports de
cotes ajustés étaient de 1,68 (IC à 95 % : 1,18, 2,39) et de 1,57 (IC à 95 % : 1,10, 2,24) pour l’ensemble des tertiles.
De plus, parmi les sujets exposés au travail à long terme, le temps de travail quotidien plus long augmentait
apparemment le risque de mauvaise qualité du sommeil (OR (IC 95 %) : 2,12 (1,23 3,66) dans le deuxième tertile ;
1,83 (1,07 3,15). dans le troisième tertile). Il n’y avait aucune association significative entre la durée d’exposition
professionnelle à long terme, les frais mensuels d’électricité ou les années d’utilisation du téléphone portable avec la
qualité ou la durée du sommeil. CONCLUSIONS : Les résultats ont montré que l'exposition professionnelle
quotidienne aux CEM était positivement associée à une mauvaise qualité du sommeil. Cela implique que l’exposition
aux CEM peut nuire à la qualité du sommeil humain plutôt qu’à la durée du sommeil.

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Des études montrant les effets du WiFi et des appareils sur la santé

Effets synergiques sur la santé – RF et autres agents


Zhang MB, He JL, Jin LF, Lu DQ. Étude de l'exposition aux micro­ondes de faible intensité de 2 450 MHz renforçant
les effets génotoxiques de la mitomycine C à l'aide du test du micronoyau et du test des comètes in vitro. Biomed
Environ Sci 15(4):283­290, 2002.
OBJECTIF : Déterminer l'interaction entre le rayonnement des micro­ondes (MW) de 2 450 MHz et la
mitomycine C (MMC). MÉTHODES : Les effets génotoxiques synergiques des micro­ondes de faible intensité de 2
450 MHz et des MMC sur les lymphocytes humains ont été étudiés à l'aide d'un test d'électrophorèse sur gel
unicellulaire (SCGE) (test des comètes) et d'un test de micronoyau bloqué par cytokinèse (CBMN) in vitro.
Les cellules de sang total d'un donneur masculin et d'une donneuse ont été soit exposées uniquement à des micro­
ondes de 2 450 MHz (5,0 mW/cm2) pendant 2 h, soit uniquement exposées à du MMC (0,0125 microgramme/mL,
0,025 microgramme/mL et 0,1 microgramme/mL). ) pendant 24 heures ; et les échantillons ont été exposés au MMC
pendant 24 h après une exposition au MW pendant 2 h.
RÉSULTATS : Dans le test des comètes, les longueurs des comètes (29,1 microns et 25,9 microns) des MW n'étaient
pas significativement plus longues que celles (26,3 microns et 24,1 microns) des témoins (P > 0,05). Les longueurs
des comètes (57,4 microns, 68,9 microns, 91,4 microns, 150,6 microns, 71,7 microns, 100,1 microns, 145,1 microns)
de 4 groupes MMC étaient significativement plus longues que celles des témoins (P < 0,01). Les longueurs des
comètes (59,1 microns, 92,3 microns, 124,5 microns, 182,7 microns et 57,4 microns, 85,5 microns, 137,5
microns, 178,3 microns) des groupes 4 MW plus MMC étaient également significativement plus longues que celles des
témoins (P < 0,01).
Les longueurs de comètes des groupes MW plus MMC étaient significativement plus longues que celles des doses
de MMC correspondantes (P < 0,05 ou P < 0,01) lorsque les doses de MMC étaient > ou = 0,025 microgramme/
mL. Dans le CBMN, les taux de MW de cellules micronucléées (MNC) étaient de 5 à 1 000 et 6 à 1 000, ce qui ne
présentait aucune différence par rapport à ceux (4 à 1 000 et 4 à 1 000) des témoins (P > 0,05). Les taux MNC de 4
groupes MMC étaient respectivement de 8 à 1 000, 9 à 1 000, 14 à 1 000, 23 à 1 000 et 8 à 1 000, 8 à 1 000, 16 à 1
000 et 30 à 1 000. Lorsque les doses de MMC étaient > ou = 0,05 microgramme/mL, les taux de MNC de MMC étaient
supérieurs à ceux des témoins (P < 0,05). Les taux MNC de 4 MW plus les groupes MMC étaient de 12 à 1 000,
13 à 1 000, 20 à 1 000, 32 à 1 000 et 8 à 1 000, 9 à 1 000, 23 à 1 000, 40 à 1 000. Lorsque les doses de MMC
étaient > ou = 0,05 microgramme/mL, les taux de MNC des groupes MW plus MMC étaient beaucoup plus élevés
que ceux des témoins (P < 0,01). Les taux de MNC de 4 MW plus les groupes MMC n'étaient pas significativement
plus élevés que ceux des doses MMC correspondantes.

CONCLUSION : Le rayonnement micro­ondes de faible intensité de 2 450 MHz ne peut pas induire de dommages à
l'ADN et aux chromosomes, mais peut augmenter l'effet des dommages à l'ADN induits par les MMC dans la comète.
essai.

Zhang MB, Jin LF, He JL, Hu J, Zheng W. [Effets des micro­ondes de 2 450 MHz sur les dommages à l'ADN
induits par trois mutagènes chimiques in vitro] Zhonghua Lao Dong Wei Sheng Zhi Ye Bing Za Zhi. 21(4):266­269,
2003. [Article en chinois]
OBJECTIF : Étudier les effets dommageables combinés de la bande de faible intensité de 2 450 MHz.
micro­ondes (MW) avec trois mutagènes chimiques sur l'ADN lymphocytaire humain. MÉTHODES : Des dommages
à l'ADN des lymphocytes exposés aux micro­ondes et(ou) à des mutagènes chimiques ont été observés à
différents temps d'incubation (0 h ou 21 h) avec le test des comètes in vitro. Trois

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Des études montrant les effets du WiFi et des appareils sur la santé

des méthodes d'exposition combinées de MW avec des produits chimiques ont été utilisées : irradiation de
MW avant les expositions chimiques, exposition simultanée aux MW et aux produits chimiques et irradiation
de MW après les expositions chimiques. Les trois mutagènes chimiques étaient la mitomycine C (MMC, agent
de réticulation de l'ADN), la bléomycine (BLM, agent radiométrique), le méthanesulfonate de méthyle
(MMS, agent alkylant). Le temps d'exposition aux MW et aux mutagènes chimiques était respectivement de
2 h et 3 h. RÉSULTATS : Les différences de longueur de queue de comète entre le groupe MW et le
groupe témoin n'étaient pas significatives lorsque les lymphocytes étaient incubés pendant 0 h ou 21 h (P >
0,05). Cependant, lorsque les lymphocytes ont été incubés pendant 21 h avec 30,00 micromol/L de MMC, les
longueurs de queue de comète du groupe MW + MMC, du groupe MW­MMC et du groupe MMC + MW
étaient de (18,00 +/­ 5,96), (21,79 +/ ­ 11,47) et (22,32 +/­ 8,10) micro m respectivement ; tandis qu'avec 3,00
micromol/L de MMC, les longueurs de queue de comète étaient respectivement de (8,99 +/­ 3,75), (12,40 +/­
5,35) et (14,00 +/­ 5,38) micro m, ce qui était significativement plus élevé que celui des comètes correspondantes.
Groupes MMC [(9,42 +/­ 3,34) et (6,50 +/­ 2,89) micro m, P < 0,01 ou P < 0,05]. Les dommages à l'ADN des
groupes MW plus BLM et des groupes MW plus MMS n'étaient pas significativement différents de ceux des
groupes BLM et MMS correspondants (P < 0,05).
CONCLUSION : 2 450 MHz MW (5 mW/cm(2)) n'ont pas induit directement de dommages à l'ADN, mais
pourraient renforcer les effets des dommages à l'ADN induits par MMC. Les effets synergiques de 2 450 MHz
MW avec BLM et MMS n’étaient pas évidents.

Nelson BK, Conover DL, Shaw PB, Snyder DL, Edwards RM, Interactions du rayonnement
radiofréquence sur la tératogénicité du 2­méthoxyéthanol chez le rat. J Appl Toxicol
17(1):31­39, 1997.
Des expositions simultanées à des agents chimiques et physiques se produisent sur le lieu de travail ; Les
travailleurs exposés comprennent ceux impliqués dans l'industrie microélectronique, les scellants
plastiques et les unités électrochirurgicales. Des recherches antérieures sur des animaux indiquent que
l'hyperthermie induite par une élévation de la température ambiante peut potentialiser la toxicité et la
tératogénicité de certains agents chimiques. Nous avons précédemment démontré que
l'exposition combinée aux rayonnements radiofréquences (rf ; 10 MHz), qui induit également une
hyperthermie et est tératogène pour les animaux exposés, et au solvant industriel 2­méthoxyéthanol
(2ME), produit une tératogénicité accrue chez les rats. Une étude ultérieure a reproduit et étendu cette
recherche en étudiant la tératogénicité interactive liée à la dose du rayonnement RF (exposition fictive ou
maintien de la température du côlon à 42,0 degrés C pendant 0, 10, 20 ou 30 min par absorption du rayonnement
RF) et du 2ME (0, 75 , 100, 125 ou 150 mg/kg) aux jours de gestation 9 ou 13 des rats. Le but de la présente
recherche est de déterminer les effets du rayonnement RF (suffisant pour maintenir la température du côlon
à 42,0 degrés C pendant 10 min) sur une gamme de doses de 2ME (0, 20, 40, 60, 80, 100, 120 et 140 mg
kg­1) administrés le jour 13 de la gestation des rats. En se concentrant sur la caractérisation du modèle dose­
réponse des interactions, cette recherche cherche à déterminer le niveau d’effet interactif le plus faible.
Au 20e jour, les fœtus ont été examinés à la recherche de malformations externes et squelettiques. Les
résultats sont cohérents avec les observations précédentes. Une toxicité pour le développement liée
à la dose a été observée pour le 2ME en présence et en l'absence de rayonnement RF. Cependant,
l’exposition simultanée aux rayonnements RF a modifié la forme de la courbe dose­effet du 2ME.

Ces données indiquent que les effets de l'exposition combinée doivent être pris en compte lors de
l'élaboration de lignes directrices sur l'exposition et de stratégies d'intervention.

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Des études montrant les effets du WiFi et des appareils sur la santé

Nelson BK, Conover DL, Krieg EF Jr, Snyder DL, Edwards RM, Interactions de l'hyperthermie
induite par les rayonnements radiofréquences et de la tératogénicité du 2­méthoxyéthanol chez le rat.
Bioélectromagnétique. 18(5):349­359, 1997.
Le rayonnement radiofréquence (RF) est utilisé dans divers lieux de travail. Outre les rayonnements
RF, de nombreux travailleurs sont simultanément exposés à de nombreux produits chimiques ; les
travailleurs exposés comprennent ceux impliqués dans l’industrie microélectronique, les scellants plastiques
et les unités électrochirurgicales. La toxicité du rayonnement RF pour le développement est associée au
degré et à la durée de l'hyperthermie induite par l'exposition. Des recherches antérieures sur des animaux
indiquent que l'hyperthermie induite par une élévation de la température ambiante peut potentialiser
la toxicité et la tératogénicité de certains agents chimiques. Nous avons précédemment démontré
qu'une exposition combinée aux rayonnements RF (10 MHz) et au solvant industriel, le 2­méthoxyéthanol
(2ME), produit une tératogénicité accrue chez le rat. Le but de la présente recherche est de déterminer les effets
de la variation du degré et de la durée de l'hyperthermie induite par le rayonnement RF (suffisante pour maintenir
les températures du côlon à un niveau de contrôle [38,5], 39,0, 40,0 ou 41,0 degrés C pendant jusqu'à 6 h)
et 2ME (100 mg/kg) administré le 13e jour de gestation chez le rat. En se concentrant sur la
caractérisation du modèle dose­réponse des interactions, cette recherche cherche à déterminer le niveau
d’effet interactif le plus faible. Au 20e jour, les fœtus ont été examinés à la recherche de malformations
externes et squelettiques. Les résultats sont cohérents avec les observations précédentes. Des interactions
significatives ont été observées entre le rayonnement 2ME et RF, suffisantes pour maintenir la
température du côlon à 41 °C pendant 1 heure, mais aucune interaction cohérente n'a été observée à des
températures plus basses, même sur des durées plus longues. Ces données indiquent que les effets de
l’exposition combinée doivent être pris en compte lors de l’élaboration de lignes directrices et de
stratégies d’intervention sur l’exposition aux rayonnements RF et aux produits chimiques.

Effets sur l'environnement

Soran ML, Stan M, Niinemets U, Copolovici L. Influence du rayonnement électromagnétique à micro­


ondes sur l'émission et la teneur en terpènes des plantes aromatiques.J Plant Physiol. 171(15):1436­1443,
2014

L'influence des facteurs de stress environnementaux sur les plantes cultivées et sauvages ayant une
valeur nutritionnelle est un sujet de recherche important. Les recherches antérieures se sont
concentrées sur la hausse des températures, la sécheresse, la salinité des sols et la toxicité, mais les effets
potentiels d'une contamination accrue de l'environnement par les rayonnements électromagnétiques d'origine
humaine sur les plantes ont été peu étudiés. Ici, nous avons étudié l'influence de l'irradiation par micro­
ondes sur les bandes correspondant au routeur sans fil (WLAN) et aux appareils mobiles (GSM) sur
l'anatomie des feuilles, la teneur en huiles essentielles et les émissions volatiles de Petroselinum crispum,
Apium graveolens et Anethum graveolens. L'irradiation par micro­ondes a entraîné des parois cellulaires
plus minces, des chloroplastes et des mitochondries plus petits, ainsi qu'une augmentation des
émissions de composés volatils, en particulier des monoterpènes et des substances volatiles des feuilles vertes (GLV). Ces effets

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Des études montrant les effets du WiFi et des appareils sur la santé

étaient plus forts pour les micro­ondes à fréquence WLAN. La teneur en huiles essentielles était
améliorée par les micro­ondes à fréquence GSM, mais l’effet des micro­ondes à fréquence
WLAN était inhibiteur. Il existe une relation directe entre les modifications structurelles et chimiques
induites par les micro­ondes des trois espèces végétales étudiées. Ces données démontrent
collectivement que la pollution micro­ondes générée par l’homme peut potentiellement constituer un
stress pour les plantes.

Effets divers

Ramundo­Orlando A, Liberti M, Mossa G, D'Inzeo G. Effets des champs micro­ondes de 2,45 GHz
sur les liposomes piégeant la glycoenzyme ascorbate oxydase : preuve de l'implication de
la chaîne latérale des oligosaccharides. Bioélectromagnétique. 25(5):338­345, 2004.
Des observations antérieures rapportées par notre groupe indiquent que les champs micro­ondes de
2,45 GHz à un débit d'absorption spécifique (DAS) de 5,6 W/kg réduisent le taux d'activité enzymatique
de l'ascorbate oxydase (AO) piégée dans les liposomes. Dans cette étude, nous rapportons des
études dose­réponse sur ces liposomes contenant des AO irradiés à différentes valeurs de DAS (1,4,
2,8, 4,2 et 5,6 W/kg). Aucune réponse n'a été observée pour un DAS inférieur à 5,6 W/kg. Des
liposomes piégeant l'AO fonctionnelle sous sa forme déglycée (AO­D) ont également été utilisés. Dans
ce cas, aucun changement d’activité enzymatique lié au MW n’a été observé, démontrant
une implication directe des chaînes oligosaccharidiques de l’AO. De plus, les propriétés catalytiques de
l'AO et de l'AO­D n'ont pas été altérées par l'irradiation MW, ni en solution homogène ni chargées
en liposomes, excluant d'éventuels changements dans la conformation de l'enzyme en tant que mécanisme.
Nos résultats suggèrent que les chaînes d'oligosaccharides de l'AO sont essentielles pour provoquer
les effets observés par micro­ondes sur la membrane lipidique.

Saalman E, Norden B, Arvidsson L, Hamnerius Y, Hojevik P, Connell KE, Kurucsev T, Effet du


rayonnement micro­ondes de 2,45 GHz sur la perméabilité des liposomes unilamellaires à 5 (6) ­
carboxyfluorescéine. Preuve de fuite non thermique. Biochim Biophys Acta 1064(1):124­
130, 1991.
L'influence du rayonnement micro­onde de 2,45 GHz sur la perméabilité membranaire des
liposomes unilamellaires a été étudiée à l'aide du marqueur 5(6)­carboxyfluorescéine piégé dans les
liposomes de phosphatidylcholine. La libération du marqueur fluorescent a été suivie par
spectrofluorimétrie après une exposition de 10 minutes soit au rayonnement micro­ondes, soit à la
chaleur seule des solutions de liposomes. Une augmentation significative de la perméabilité de
la carboxyfluorescéine à travers la membrane a été observée pour les échantillons exposés aux
micro­ondes par rapport à ceux exposés uniquement au chauffage normal. Il a été démontré
précédemment que l’exposition des liposomes au rayonnement micro­ondes de 2,45 GHz produit
une perméabilité membranaire accrue par rapport au chauffage. Cependant, contrairement aux
études précédentes, les observations rapportées ici ont été réalisées au­dessus de la
température de transition de phase de la membrane lipidique. La configuration expérimentale
comprenait la surveillance simultanée de la température pendant l’exposition aux micro­ondes en
plusieurs points du volume de solution à l’aide d’un thermomètre à fibre optique. Mécanismes possibles pour expliquer les obs

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Des études montrant les effets du WiFi et des appareils sur la santé

sont discutés.

Panagopoulos, DJ, Johansson O. & Carlo GL Polarisation : une différence clé entre les champs
électromagnétiques artificiels et naturels, en ce qui concerne l'activité biologique. Sci. Rep.5 , 14914 ; est
ce que je : 10.1038/srep14914 (2015). Publié en ligne le 12 octobre 2015.
Dans la présente étude, nous analysons le rôle de la polarisation dans l'activité biologique des
champs électromagnétiques (CEM)/rayonnement électromagnétique (EMR). Tous les types de CEM/
EMR artificiels – contrairement aux CEM/EMR naturels – sont polarisés. Les CEM/EMR polarisés
peuvent avoir une activité biologique accrue, en raison de : 1) Leur capacité à produire des effets
d'interférence constructifs et à amplifier leurs intensités à de nombreux endroits. 2)
Capacité à forcer toutes les molécules chargées/polaires et en particulier les ions libres à l'intérieur
et autour de toutes les cellules vivantes à osciller sur des plans parallèles et en phase avec le
champ polarisé appliqué. De telles oscillations ioniques forcées exercent des forces électrostatiques
additives sur les capteurs des canaux ioniques électrosensibles de la membrane cellulaire,
entraînant leur déclenchement irrégulier et la perturbation qui en résulte de l'équilibre
électrochimique de la cellule. Ces caractéristiques rendent les CEM/EMR artificiels plus bioactifs
que les CEM/EMR naturels non ionisants. Ceci explique le nombre croissant d'effets biologiques
découverts au cours des dernières décennies comme étant induits par les CEM d'origine humaine,
contrairement aux CEM naturels de l'environnement terrestre qui ont toujours été présents tout au long de
l'évolution, bien que l'exposition humaine à ces derniers soit normalement limitée. des intensités/énergie significativement plus él
Ainsi, la polarisation semble être un déclencheur qui augmente considérablement la probabilité d’apparition
d’effets biologiques/sanitaires.

Nelson BK, Conover DL, Krieg EF Jr, Snyder DL, Edwards RM, Effet de la température environnementale
sur la toxicité interactive pour le développement du rayonnement radiofréquence et du 2­méthoxyéthanol
chez le rat. Int Arch Occup Environ Health 71(6):413­423, 1998.
OBJECTIF : Cette recherche a été menée pour déterminer si une modification des températures
environnementales affecterait la toxicité interactive pour le développement du rayonnement radiofréquence
(RF) et du solvant industriel, le 2­méthoxyéthanol (2ME). Ceci est important car le rayonnement RF est
utilisé dans une variété de lieux de travail où les températures environnementales sont mal contrôlées et
où de nombreux travailleurs sont simultanément exposés à divers produits chimiques.
De plus, nous avons déjà démontré qu'une exposition combinée aux rayonnements RF (10 MHz) et au
2ME produisait une tératogénicité accrue chez le rat. MÉTHODES : Rayonnement RF suffisant pour
maintenir la température du côlon à la valeur de contrôle (38 degrés), 39,0 degrés ou 40,0
degrés C pendant 2 ou 4 heures, combiné avec 0 ou 100 mg/kg de 2ME à des températures
environnementales de 18 degrés, 24 degrés et 30 degrés. C (65 degrés, 75 degrés et 85 degrés F) ont
été administrésle 13e jour de gestation aux rats Sprague­Dawley.
Les mères ont été sacrifiées au 20e jour de gestation et les fœtus ont été examinés à la recherche
de malformations externes. RÉSULTATS ET CONCLUSIONS : La température ambiante affecte le débit
d'absorption spécifique (DAS) nécessaire pour maintenir une température colique spécifique, mais
n'affecte pas la toxicité interactive pour le développement du rayonnement RF et du 2ME chez le rat.
Ces résultats, cohérents avec la littérature, renforcent la preuve que la toxicité pour le développement des
rayonnements RF (combinés ou seuls) est associée à la température colique et non au DAS.

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Des études montrant les effets du WiFi et des appareils sur la santé

Nelson BK, Snyder DL, Shaw PB, Interactions toxiques pour le développement du méthanol et du
rayonnement radiofréquence ou du 2­méthoxyéthanol chez le rat. Int J Toxicol 20(2):89­100, 2001.
Cette recherche a été entreprise pour déterminer les interactions potentielles entre les agents chimiques
et physiques. Les rayonnements radiofréquences (RF) sont utilisés sur de nombreux lieux de travail,
et de nombreux travailleurs sont simultanément exposés aux rayonnements RF et à divers produits
chimiques. La toxicité du rayonnement RF pour le développement est associée au degré et à la durée
de l'hyperthermie induite par l'exposition. Des recherches antérieures sur des animaux indiquent
que l'hyperthermie induite par une élévation de la température ambiante peut potentialiser la toxicité
et la tératogénicité de certains agents chimiques. Nous avons précédemment démontré que l'exposition
combinée aux rayonnements RF (10 MHz) et au solvant industriel, 2­
méthoxyéthanol (2ME), tératogénicité accrue chez le rat. Des interactions ont été notées même aux niveaux
les plus bas de 2ME testés, mais uniquement aux niveaux hyperthermiques de rayonnement RF. Le
but de la présente recherche est de déterminer si les effets interactifs observés pour le rayonnement RF
et le 2ME sont propres à ces agents, ou si des interactions similaires pourraient être observées avec
d'autres produits chimiques. Étant donné que le méthanol est largement utilisé comme solvant ainsi
que comme additif pour carburant et que, à des niveaux élevés, il est tératogène chez les animaux,
nous avons sélectionné le méthanol comme produit chimique pour répondre à la généralisabilité. Sur la base
de la littérature et de nos études pilotes, 0, 2 ou 3 g/kg de méthanol (deux fois, à 6 heures d'intervalle) ont
été administrés le jour 9 ou 13 de la gestation à des groupes de 10 rats Sprague­Dawley. Les mères
traitées au jour 9 ont reçu du méthanol et ont été exposées à un rayonnement RF suffisant pour maintenir la
température du côlon à 41 °C pendant 60 minutes (ou simulacre). Les personnes traitées au jour 13 ont
reçu du méthanol plus 0 ou 100 mg/kg de 2ME. Étant donné que nous avons observé que le méthanol
produisait une hypothermie, certains groupes ont reçu la dose initiale de méthanol en même temps
que le RF ou le 2ME, et d'autres ont reçu la première dose de méthanol 1,5 heure avant le RF ou le 2ME.
Les mères ont été sacrifiées au 20e jour de gestation et les fœtus ont été examinés à la recherche de
malformations externes. Les résultats indiquent que les rayonnements RF ou le méthanol au jour 9
ont augmenté l'incidence des fœtus résorbés, mais aucun effet interactif n'a été observé. Les résorptions
étaient les plus élevées dans les groupes étant donné les traitements expérimentaux espacés de
1,5 heures. La dose plus élevée de méthanol a également réduit le poids des fœtus. L'administration
de 2ME ou de méthanol au jour 13 a augmenté le taux de malformations et une interaction positive a
été mise en évidence entre le 2ME et le méthanol. Le poids des fœtus a été réduit par le 2ME et le
méthanol seuls, mais aucune interaction n'a été observée. De plus, la séparation du dosage avec les
agents tératogènes n’a pas affecté les résultats. Ces résultats soulignent que les interactions en
toxicologie du développement, telles que celles des rayonnements RF, du 2ME et du méthanol que nous
avons étudiés, sont complexes et que de telles interactions ne peuvent être entièrement comprises ou
prédites sans des recherches supplémentaires. Il est important que les effets de l’exposition combinée soient
pris en compte lors de l’élaboration de lignes directrices et de stratégies d’intervention sur l’exposition aux agents physiques et aux

Solomentsev GY, anglais NJ, Mooney DA. Effets des champs électromagnétiques externes sur
l'échantillonnage conformationnel d'un peptide d'alanine court. J Comput Chem. 33(9):917­
923, 2012.
Des simulations de dynamique moléculaire hors équilibre d'un peptide de polyalanine (A21) solvaté à 21
résidus, présentant une forte propension à la formation d'hélices, ont été réalisées à

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Des études montrant les effets du WiFi et des appareils sur la santé

300 K et 1 bar en présence de champs électromagnétiques externes (e/m) dans la région des
micro­ondes (2,45 GHz) et une plage d'intensité de champ électrique efficace de 0,01 à 0,05 V/Å.
Pour étudier comment la présence de champ affecte les transitions entre les états conformationnels
d'une protéine, nous rapportons 16 trajectoires indépendantes de 40 ns de A21 à partir de
à la fois étendu et entièrement plié. Nous observons un comportement de repliement du peptide
cohérent avec des études de simulation et expérimentales antérieures. Le peptide présente une tendance
naturelle à former des éléments stables de structure secondaire qui sont stabilisés par des interactions
tertiaires avec des régions proches du peptide. Conformément à nos travaux antérieurs, la présence de
champs e/m externes perturbe ce comportement, impliquant un mécanisme d'alignement dipolaire localisé
qui sert à améliorer les perturbations intra­protéiques dans les liaisons hydrogène (English, et al., J.
Chem. Phys. 2010 , 133, 091105), conduisant à des transitions plus fréquentes entre des états à
durée de vie plus courte.

Somosy Z, Thuroczy G, Koteles GJ, Kovacs J, Effets de l'irradiation modulée par micro­ondes et rayons X
sur l'activité et la distribution de la Ca(2+)­ATPase dans les cellules épithéliales de l'intestin grêle.
Numérisation Microsc 8(3):613­619 ; discussion 619­620, 1994.
La distribution et l'activité de la Ca(2+)­ATPase ont été étudiées par des méthodes histochimiques
dans les cellules épithéliales de l'intestin grêle de souris après une irradiation par micro­ondes et
rayons X à basse fréquence (16 Hz) du corps total. Chez les animaux témoins, des activités
enzymatiques ont été trouvées dans la bordure en brosse et sur les membranes latérales, y compris les
zones jonctionnelles des cellules. L'activité enzymatique des membranes latérales était inhibée par la
quercétine, un inhibiteur spécifique de la Ca(2+)­ATPase. Immédiatement après une irradiation par
micro­ondes de 2 450 MHz à modulation carrée (16 Hz) à des densités de puissance de 1 mW/cm2,
nous avons observé une diminution de l'activité de la Ca(2+)­ATPase sur les régions latérales de la
membrane. L'irradiation aux rayons X (1 Gy) a induit une diminution similaire de l'activité de la
Ca(2+)­ATPase, réversible en 24 heures. Les doses de « 5 Gy » ont entraîné une diminution des activités
enzymatiques sur les zones membranaires apicales et latérales, persistant jusqu'à 24 heures après l'irradiation.

Takashima Y, Hirose H, Koyama S, Suzuki Y, Taki M, Miyakoshi J. Effets de l'exposition continue et


intermittente aux champs RF avec une large gamme de DAS sur la croissance cellulaire, la survie
et la distribution du cycle cellulaire. Bioélectromagnétique.27(5):392­400, 2006.
Pour examiner les effets biologiques des champs électromagnétiques de radiofréquence (RF) in vitro,
nous avons examiné les réponses cellulaires fondamentales, telles que la croissance cellulaire, la survie
et la distribution du cycle cellulaire, suite à une exposition à une large gamme de taux d'absorption
spécifiques (DAS). De plus, nous avons comparé les effets d’une exposition continue et intermittente à des
DAS élevés. Une unité d'exposition aux champs électromagnétiques RF fonctionnant à une fréquence
de 2,45 GHz a été utilisée pour exposer les cellules à des DAS de 0,05 à 1 500 W/kg. Lorsque les cellules
ont été exposées à un champ RF continu à des DAS de 0,05 à 100 W/kg pendant 2 h, le taux de
croissance cellulaire, la survie et la distribution du cycle cellulaire n'ont pas été affectés. À 200 W/kg, le
taux de croissance cellulaire a été supprimé et la survie cellulaire a diminué. Lorsque les cellules
ont été exposées à un champ RF intermittent à 300 W/kg(pk), 900 W/kg(pk) et 1 500 W/
kg(pk) (100 W/kg(moyenne)), aucune différence significative n'a été observée entre ces conditions et
une exposition intermittente aux ondes à 100 W/kg. Lorsque les cellules ont été exposées à un DAS de
50 W/kg pendant 2 h, la température du milieu autour des cellules s'est élevée à 39,1 degrés C, soit 100 W/kg.

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Des études montrant les effets du WiFi et des appareils sur la santé

l'exposition a augmenté la température à 41,0 degrés C et l'exposition à 200 W/kg a


augmenté la température à 44,1 degrés C. L'exposition aux rayonnements RF entraîne un
échauffement du milieu et l'effet thermique dépend du DAS moyen. Par conséquent, ces
résultats suggèrent que le trouble de la prolifération est provoqué par l’effet thermique.

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