Vous êtes sur la page 1sur 5

Sujets oral grand

1) En quoi la compréhension de la radioactivité et le développement du nucléaire ont il permit


l’avancer de la médecine
Le but est de faire le lien entre les avancées scientifiques depuis la découverte de la radioactivité et les
innovations technologiques en matière de diagnostiques médicales, de la radiothérapie et de
radioprotection.

Intro
Accroche
Présentation
Plan
Expliquer globalement la radioactivité
Les objectifs de la question : le fait de comprendre la radioactivité a fait développera le nucléaire et donc
la médecine
Résumer les grandes étapes : Histoires, techniques utilisées, effets désirables
Conclusion + ouverture Tchernobyl

Pour comprendre la radioactivité il a fallu quelques années. En effet la radioactivité est un phénomène
naturelle découvert la première fois en 1857 puis redécouvert par le physicien français Henri Becquerel en
1896. Il présente donc la radioactivité, un phénomène de rayonnement hyperphosphorescent issu de
l’uranium. Mais ce phénomène est nommé plus tard par marie Curie. La radioactivité est un phénomène
physique qui se pose sur l’instabilité des noyaux d’un atome et donc le noyau se transforme en d’autre
atome. Cependant celui, après a transformation émet des particules et de l’énergie que l’on peut appeler
photon ou Energie cinétique. Ces particules propagées lors de la transformation peuvent être matériel ou
immatérielles et son appelé rayonnement. Pour en revenir à la problématique et voir le lien avec la
médecine nous remarquons que ces rayonnements entrainent une ionisation de la matière traversée soit
par des ondes, soit par de l’ionisation. C’est dans ce cas que nous retrouvons l’imagerie médicale
A son tour elle dévoile les propriétés ionisantes de l’hyperphosphorescence. Le lien entre la radioactivité
est la médecine est celui que l’on connait de nos jours pour diagnostiquer plusieurs formes de symptômes
à travers l’imagerie médicale.
D’abord nous nous pencherons vers l’histoire de la médecine nucléaires. Par la suite nous parlerons des
techniques d’imagerie, de radiothérapie et de radioprotection et les liens qu’ils ont avec la radioactivité
et le développement de la médecine nucléaire et enfin nous finirons sur les effets indésirables et les
peurs de ces techniques
Développement

I histoire --- les découvertes

Comme a été dit dans l’introduction, la radioactivité a été découvert en 1857 sans d’avantages d’élément
mais en 1896 le physicien nucléaire Henri Becquerel effectue divers projets expérimentaux sur la
phosphorescence mettant en lien l’uranium. Ces expériences permettaient de prouver que seul le sel
d’uranium réagissait à la phosphorescence et donc à la lumière. Le but de l’expérience consistait à sceller
une plaque photographique dans du papier noir et mettre ce paquet en contact avec différents matériaux
phosphorescents. Tous ses résultats d'expérience furent négatifs, à l'exception de ceux faisant intervenir
des sels d'uranium, lesquels impressionnaient la plaque photographique à travers la couche de papier.
Cependant certain doute se posent, en effet il est vu que tous les types d’uranium réagissent non que le
sel et surtout même sans exposition au préalable a la lumière. Cela traduit que tous les composés
d’uranium réagissent avec la plaque photographique comme les sels d’uranium et de l’uranium
phosphorescent. Les scientifiques comparent alors cela au rayon x. Mais notamment Marie Curie,
physicienne nucléaire, après ces travaux démontrent ces nouvelles et découvrent un champ électrique. Un
champ électrique, s’agit globalement d’un champs vectoriel créé par des particules électriquement
chargées et donc modifie le champ local. Ces champs séparent donc les rayonnements en trois faisceaux
distincts ,,  est chargé positivement,  est chargé négativement (constitué d’électron) et  est neutre.
Cela équivaut à dire. En perdant des protons et des neutrons : rayonnement alpha, en transformant un
neutron en proton ou vice-versa : rayonnement beta moins ou beta plus, en émettant des photons
(particules composants la lumière) : rayonnements X et gamma. On en déduit que , sont bcp plus lourds
[question éventuelle sur les rayonnements (1)]. En plus des rayons X déjà présents. Globalement l’histoire
a permis de comprendre que certaines particules chimiques permettent de traverser ces parties physiques
et donc il est possible de mettre cela en lien avec l’imagerie médicale pour observer derrières les tissues
et améliorer la médecine de façon inédite

II techniques, mode de fonctionnement et concepts utilisées --- comment ça marche

Comme on a vu jusqu’à présent la radioactivité est un domaine complexe de la physique qui permet
d’expliquer les différents types de rayonnements, les rayonnements gamma ou X, alpha, beta). On a donc
déduit que ces rayonnements traversent la matière. Nous allons alors étudier dans cette partie qu’elles ont
été les techniques utilisées afin de rapprocher ces phénomènes à la médecine nucléaire. Aujourd’hui la
TEP plus particulièrement topographie par émission de position est un type d’imagerie comme la
scintigraphie. Il s’agit d’une méthode d’analyse d’imagerie médicale utilisée dans la médecine nucléaire
qui calcule en trois dimension une activité métabolique ou moléculaire d’un organe. Cette technique
repose sur de la méthode générale de la scintigraphie. Le sujet reçoi des isotopes radioactifs au
préalablement injecté dans le patient. Les isotopes radioactifs vont se positionner les organes. Cette
mesure est donc possible grâce aux positons. Le positon est l’antiparticule associé à l’électrons. Ils font
donc parti de la famille de l’antimatière. Pour faire bref, Cette particule est de même masse que l'électron
négatif et porte une charge positive de même valeur absolue. Le positon est la particule d'antimatière
correspondant à l'électron négatif. Il est émis lors de certaines désintégrations atomiques [question
éventuelle sur les désintégrations (2)]. Par exemple, en imagerie médicale le fluor 18 est actuellement
l’émetteur de positons (particules Beta +) le plus utilisé. Lorsque que le positon entre en collision avec des
électrons. Il donne naissance à des photons gamma. (Rayonnement)
Dans l’étude d’une scintigraphie le patient reçoit alors une dose de produit radioactif que nous
expliquerons juste après notamment du 99 m TC . Ce dernier est associé à une molécule vectrice [question
éventuelle sur les molécules vectrices(3)]. Qui permet de guider le produit radioactif sur les os dans un
endroit bien spécifique du corps. L’examen se déroule près de deux heures après intégration du produit
pour avoir une quantité suffisante. Une fois cela effectué une caméra gamma entoure le sujet. Les
isotopes radioactifs se désintègres et émettent des rayons gamma capter par la caméra. A l’aide d’outil
informatique cela crée une image dessinant la zone rechercher. La désintégration est aussi définie par la
demi-vie. La demi-vie correspond au temps nécessaire pour que la moitié des atomes se désintégrés.
III - Effet concret sur la médecine et ses limites --- qu’est-ce qu’on attend et jusqu’à où

Comme nous avons remarqués, le fluor 18 est majoritairement utilisé mais il existe de multiples produits
comme le glucose radioactif FDG en médecine nucléaire car ils permettent de répondre aux diverses
solutions sans causer de risque majeur sur la santé. Il s’agit en médecine de produit faible durée de vie
afin de ne pas avoir de risque sur la santé au long therme par exemple la durée de vie du 99 m TC est
seulement de 6H. La scintigraphie ne présente donc presque aucun danger. Cependant elle présente des
limites. En cas de répétition à l’examen, les risques sur la santé peuvent survenir. En effet cela reste un
produit radioactif qui peut altérer à la santé. D’abord notre organisme est habitué à réparer ces lésions en
permanence. Lorsque notre corps utilise l’oxygène que nous respirons, se forment naturellement des
radicaux libres dangereux pour nos cellules. Mais notre organisme répare naturellement les lésions qu’ils
peuvent causer. Toutefois, si l’exposition à l’un de ces phénomènes est intense et / ou prolongée, les
mécanismes de réparation mobilisés par l’organisme peuvent devenir insuffisants. Il arrive aussi que ces
mécanismes soient défaillants et ne puissent répondre à une telle agression. Dans un cas comme dans
l’autre, si notre corps ne parvient plus à réparer les cellules lésées, celles-ci peuvent être détruites. Elles
ne meurent pas mais se caractérisent par une mutation génétique. La radioactivité est donc un facteur
majeur de ces lésions. Or si la fréquence de l’examen est contrôlée et sachant que la quantité de produit
radioactif injectée est faible et donc n'expose donc pas le patient à des risques pour sa santé. Les allergies
peuvent exister mais sont exceptionnelles. Le premier usage de ce système est la base de l’imagerie en
médecine nucléaire : la scintigraphie. C’est la plus ancienne. Elle consiste à administrer au patient une
petite quantité de substance radioactive appelée médicament radiopharmaceutique. Mais alors que
devons-nous attendre de cette scintigraphie ? Le nombre de points scintillants est plus important dans
les zones dites d’hyperfixation ou « points chauds » (trop, réponse immunitaire) [question éventuelle sur
les l’immunité(4)]. Celles-ci peuvent correspondre à un foyer infectieux, une tumeur, un remaniement
osseux, une région sécrétant une quantité d’hormones anormalement élevée, etc. Les points sont moins
nombreux dans les zones d’hypofixation ou « points froids », révélant par exemple la présence d’un tissu
détruit ou mal irrigué par les vaisseaux sanguins (manque). Quand la scintigraphie est normale, les points
sont répartis de manière homogène dans l’ensemble de l’organe. Cependant, tout à fait normalement, le
nombre de points est plus important sur trajet de l'élimination de l’iode radioactif par l’organisme (glande
salivaires, intestin, vessie). La scintigraphie est donc demandée par un médecin dans le cas de douleur, de
tumeur ou de fractures. Cela sert donc a remarqué précisément le cœur du problème à l’aide d’image

Conclusion

Pour répondre au sujet « En quoi la compréhension de la radioactivité et le développement du nucléaire


ont il permit l’avancer de la médecine » d’abord il est important de noter les découvertes dans les années
1850, ce qui a permis de comprendre la radioactivité. Très vite, le lien avec la médécine a été évident,
nous avons compris l’opportunité de pouvoir améliorer la médéciné de façon cruciale permettant d’avoir
des diagnostiques complet et des preuves sur des choses auparavant impossible, voir derrière la peau.
Nous avons donc exploré le sujet passant par tous les angles. Nous l’avons défini, rappeler son histoire, ses
pionnés, en passant par les techniques et ses limites. Il est important de rappeler que la scintigraphie n’est
pas le seul examen permettant d’avoir de telles images. Mais il est important à étudier car il permet de
montrer les enjeux et le mode de fonctionnement à la fois sur les concepts de la radioactivité mais aussi
sur le lien que cela détient sur la médecine comme la scintigraphie osseuse. Le sujet de la médecine est un
sujet complexe qui reposent sur de nombreuses thématiques. Ce qu’il faut retenir est dans un premier
temps ses découvertes. Ces champs qui séparent les rayonnements en trois faisceaux ,,  . L’histoire a
permis de comprendre que certaines particules chimiques permettent de traverser la matière. Notre sujet
s’est ensuite intéressé aux techniques qui ont permissent de faire le lien nous avons parlé de topographie
par émission de position. Il s’agit d’une méthode d’analyse d’imagerie médicale utilisée dans la médecine
nucléaire qui calcule en trois dimension une activité celle-ci peut ensuite être interprété dans le cadre de
la médecine. Pour terminer le but de la scintigraphie est de remarquer le nombre de points chauds ou
froid et les interpréter en fonction du sujet comme expliquer précédemment. Nous avons donc remarqué
comment la radioactivité peut être au service de la médecine. Cependant il arrive que ce phénomène
physique impacte lourdement la population ayant des conséquences dramatiques à la fois sur
l’environnement que sur la santé. Cela nous invite donc à ouvrir notre sujet sur les conséquences humaine
de la catastrophe de Tchernobyl sur les êtres vivants.

La catastrophe nucléaire de Tchernobyl est un accident nucléaire majeur survenu le 26 avril


1986 à 1 h 23 min 45 s dans le réacteur no 4 de la centrale nucléaire. L’accident de Tchernobyl est dû à de
grandes défaillances organisationnelles combinées à des insuffisances au niveau de la technique de
sécurité. Les plus fortes doses de radiation ont été reçues par le millier de personnes qui sont intervenues
sur le site les premiers jours, et ont été exposées à des doses allant de 2 à 20 grays (le gray est l’unité
dérivé de la dose absorbé). Selon l'agence internationale de l’énergie atomique et l'IRSN, 134 présentèrent
un syndrome d'irradiation aiguë et 28 décédèrent. Ce nombre peut être discuté car nombre de personne
n’ont pas été relevé car les conséquences de la radioactivité sur le long therme est un phénomène
aléatoire. En effet, les mutations le son et les systèmes de réparations ne peuvent pas être assez suffisante
pour la dose radioactive ingérée. Les conséquences sur la santé sont donc importantes comme des
cancers, des pathologies cardiaques caractérisées par une hypertension artérielle et une tachycardie
(augmentation du rythme cardiaque), fatigue, dyspnée d’effort et insuffisance cardiaque pouvant
conduire à une mort subite ; déficits du système immunitaire ; anémies ; ulcères gastroduodénaux ;
cataractes résultant d’une opacification du cristallin. Cependant le risques aujourd’hui n’est pas encore
maitrisé entièrement, les études sciatiques (selon IFA et registre national des cancers au Belarus)
dénombre encore aujourd’hui des cancers non prévus statiquement. Les surveillances doivent donc être
doublée. Ce qu’il faut retenir de cette ouverture est les limites, les dangers de la radioactivité et ses
risques hors de la médecine.

[Questions éventuelles].

1 - Dans notre quotidien, nous sommes entourés par de nombreux types de rayonnement (couramment
appelés rayons), visibles ou invisibles. Mais la plupart des rayonnements de notre quotidien - radio,
téléphonie mobile, micro-ondes - ne sont pas ionisants.
Un rayonnement est une émission d'énergie et/ou un faisceau de particules.
Certains rayonnements (X et gamma) sont dit ionisants car ils émettent des « rayons »
d'énergies suffisantes pour transformer les atomes qu’ils traversent en ions (un atome qui a perdu ou
gagné un ou plusieurs électrons). Cela peut rendre la matière instable.
Un atome – instable de nature ou après un contact avec un rayonnement va chercher à se stabiliser en
émettant différents rayonnements :

2 - Lorsqu’un noyau cherche à être stable il va se désintégrer en émettant les particules précédemment
évoquées

3- la molécule vectrice est choisie pour se localiser de façon sélective sur une structure particulière de
l’organisme, (un organe, un secteur liquidien, une lésion). Dans cette molécule se trouve un isotope
radioactif. Ce marqueur radioactif permet de suivre la position de la molécule dans l’organisme, car il
émet un rayonnement gamma qu’on peut visualiser à l’aide d’une gamma-caméra

4 – points chauds (hyperfixation) sont présents lors d’une potentiel réponse immunitaire. En effet la
phagocytose (réponse immunitaire) va laisser des traces de sa présence comme une vasodilations, un
gonflement ou une rougeur. Cela peut donc être perçu lord de l’examen. A l’inverse, les points froids sont
présents à l’absence de sang, comme une fracture. Le passage du sang étant limité cela crée une
hypofixation. Hypo pour diminution.
Sujet 2 :

https://www.annabac.com/annales-bac/quelles-sont-les-consequences-de-l-utilisation-de-la-nicotine-
sur-l-organisme-humain

Vous aimerez peut-être aussi