Les avantages d’étudier à

Djibouti
Abdallah Abdoulkader Abdallah (GE)
Asma Kadar Ali (GE)
Ouma-Kaltoum Idriss Daher (GE)
Yasmine Gari Ahmed (GE)
Arafat (FC)
 Plan de travail :

Introduction
Développement
I. Les avantages
Conclusion
Bibliographie
INTRODUCTION

Dans le monde contemporain, les études revêtent une importance cruciale pour le développement
personnel, professionnel et sociétal. L’acquisition de connaissances et de compétences à travers
l’éducation forme la base sur laquelle repose la croissance individuelle et collective. Djibouti étant un
pays en développement connait différents progrès et défis. L’un de ces défisétant d’offrir aux
étudiantsdjiboutiens ou même étrangers certains avantages ainsi que le meilleur cadre d’apprentissage
afin de stimuler leurs créativités, leur capacité à remettre en question le statu quo, de développer une
vision du monde éclairée par le savoir et de favoriser l’adaptation aux évolutions constantes et en
rapide mutation.

PROBLEMATIQUE : quels sont les différents avantages présentés aux étudiants

qui sont susceptibles d’étudier à Djibouti ?
Développement
I. Les avantages personnels ou propres aux étudiants
Les avantages personnels ou propres aux étudiants font référence aux opportunités dont pourront
bénéficier les étudiants dans le cas où ils entreprennent d’étudier à Djibouti. Il existe des avantages
tels que :

Le rapprochement avec la famille et les amis

Lors de vos études à l’étranger vous subirez l’éloignement de votre famille et de vos proches. Ce sera
sûrement la première fois que vous quittez le cocon familial. Alors que si vous rester étudier a Djibouti,
vous resterez toujours près de vos proches.

L’enseignement des valeurs religieuses et l’épanouissement religieux

L’éducation djiboutienne combine l’éducation de divers modules à l’éducation religieuse. Djibouti,
étant un pays musulman, propose un programme pluridisciplinaire qui ne manque pas d’intégrer des
cours religieux. Par exemple, l’enseignement islamique en primaire dans toutes les écoles publiques.
L’épanouissement religieux est également un avantage capital car le simple fait de pouvoir manifester
son appartenance religieuse par le port de signes religieux est interdit dans certains pays alors qu’il est
autorisé à Djibouti.

L’inclusion sociale
Le choc culturel ressenti lors d’un semestre à l’étranger peut générer une certaine exclusion sociale.
Tandisque poursuivre ses études à Djibouti permet de rester aisément dans son zone de confort. C’est-
à-dire quand vous étudiez à Djibouti, vous connaissez déjà l’environnement ou les différents attendues
qui se présenteront tout au long de votre parcours scolaires.

La langue
La maitrise d’une langue étrangère est obligatoire dans des pays tels que la Turquie où il est nécessaire
d’apprendre la langue locale pendant une année avant même d’entamer ses études. Tandis qu’à
Djibouti, le français est la langue d’enseignement que la majorité d’étudiants djiboutiens maitrisent
déjà à la perfection.

Une aide financière

Les universités djiboutiennes mettent en place des mesures de soutient financier telle que l’allocation
hebdomadaire de 8000 francs pour les étudiants villageois. Cela contribue à leur bien-être en assurant
l’accès à une alimentation adéquate sur le campus et en facilitant le transport, favorisant ainsi leur
engagement académique.

Conclusion
Nous voici au terme de notre exposé qui s’est articulé et porté essentiellement sur les différents
avantages d’étudier à Djibouti.

L’enseignement djiboutien offre un programme multidisciplinaire et met en disposition des étudiants

divers atouts et avantages afin de favoriser leur parcours scolaire, gagné en autonomie, prendre le
temps de trouver sa propre voie et obtenir un diplôme qui résultera à de nombreuses portes dans le
monde professionnel. Peu importe le domaine de prédilection de l’étudiant, il trouvera forcement un
cursus universitaire adapté à son objectif professionnel.

Etudier dans son propre pays, et dans ce cas ci à Djibouti, permet de lutter contre des phénomènestels
que le choc culturel, la barrière de langue ou le manque de financement.
Bibliographie