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Chapitre 5
des
structures
Mécanique
Mécanique – Chapitre 5
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1
1. Introduction
Définition de structure
Classification géométrique des structures
Classification statique des structures
5. Bibliographie
En librairie…
…et sur Internet
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Mécanique – Chapitre 5 3
Copyright: P. Vannucci, UVSQ
paolo.vannucci@meca.uvsq.fr
Chapitre 1
1. Introduction
Définition de structure
Classification géométrique des structures
Classification statique des structures
En arrière-plan: schéma du viaduc de Millau, 2004.
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Mécanique – Chapitre 5 4
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Définition de structure
Au sens stricte, on appelle structure un quelconque
assemblage de corps capable d’être en équilibre sous
l’action d’un système quelconque de forces
appliquées (dans la limite de la résistance des
matériaux qui la composent).
La caractéristique essentielle d’une structure est donc
celle d’être en mesure d’assurer l’équilibre toujours,
pour n’importe quel ensemble de forces appliquées:
une structure ne se met pas en mouvement! (mises à
part les déformations dues aux forces, déformations
modestes en HPP et qui, en régime élastique, sont
toujours récupérées une fois le chargement terminé).
Cette distinction permet donc de différencier une
structure d’un mécanisme qui, lui, est un assemblage
conçu pour permettre un ou des mouvements.
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Mécanique – Chapitre 5 5
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Classification géométrique des structures (1)
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Mécanique – Chapitre 5 9
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Classification statique des structures (1)
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Mécanique – Chapitre 5 11
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Classification statique des structures (3)
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? Mécanique – Chapitre 5 12
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Chapitre 5
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Mécanique – Chapitre 5 13
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Caractéristiques de la sollicitation (1)
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Mécanique – Chapitre 5 17
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Caractéristiques de la sollicitation (5)
Les forces de cohésion sont la résultante des contraintes
internes agissantes sur la face de la section de séparation.
Ces forces peuvent toujours se réduire à une force, R(z),
appliquée en correspondance du barycentre de la section et à un
moment, M(z).
Elles sont fonction de l’ordonnée z car, évidemment, les actions
qu’elles doivent équilibrer sont celles appliquées à la poutre entre
l’extrémité z= 0 et l’ordonnée z.
Or, il convient de décomposer ces deux vecteurs, R(z) et M(z),
selon leurs composantes sur les trois axes.
Ces composantes des actions internes s’appellent les
caractéristiques de la sollicitation, qui sont donc au nombre de 6:
R x , R y , R z , M x , My , M z .
Ces composantes se calculent directement avec les PFS; comme
celui-ci se décline en 6 équations, il est toujours possible de
calculer les caractéristiques de la sollicitation par les équations
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d’équilibre de la statique. Mécanique – Chapitre 5 18
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Caractéristiques de la sollicitation (6)
Voyons de plus près ces caractéristiques de la sollicitation:
les deux composantes Rx et Ry sont des forces orthogonales à
l’axe de la poutre; elles s’appelles efforts tranchants, et sont
normalement indiqués, respectivement, avec Tx et Ty;
la composante Rz est parallèle à l’axe de la poutre et s’appelle
effort normal, d’habitude indiqué avec N; cette force est
positive si de traction (elle tend alors à allonger la poutre),
négative si de compression (et alors elle tend à la rétrécir);
les deux composantes Mx et My s’appellent moments
fléchissants; ils tendent en fait à fléchir la poutre, autour
respectivement de l’axe x et y; la composante Mz s’appelle
M0 moment de torsion, souvent
indiqué par Mt; elle provoque
x la torsion de la poutre autour
R0 Rx Mz
1 Mx Rz de l’axe z.
y x R
y
M(z) z My z ________________________________
Mécanique – Chapitre 5 19
R(z) y
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Les équations d’équilibre des poutres (1)
z p
y ________________________________
y Mécanique – Chapitre 5 25
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La théorie de la poutre d’Euler-Bernoulli (2)
d 3y
T EJ 3
.
dz
Finalement, par le lien entre T et py, par une dernière dérivation
on obtient l’équation
d 4y
py EJ 4
.
dz
Celle-ci donne le lien entre le chargement et la flèche.
Cette équation étant de 4ème ordre, elle nécessite de 4 conditions
au contour (les deux extrémités) pour déterminer les 4
constantes d’intégration.
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Mécanique – Chapitre 5 28
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La théorie de la poutre d’Euler-Bernoulli (5)
F F
z z
F3 F3
y max y max
48 EJ 3 EJ
p p
z z
5 p4 p4
y max y max
384 EJ 8 EJ
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Mécanique – Chapitre 5 30
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Le calcul des contraintes dans les poutres (1)
Comme déjà dit, une des tâches de la RDM est celle de vérifier la
structure en contrôlant la valeur de la contrainte.
Il nous faut donc une méthode pour passer des caractéristiques de
la sollicitation (qui sont, on le rappelle, la résultante des
distributions de contraintes sur la section droite de la poutre) aux
contraintes internes.
Ce problème est connu sous le nom de Problème de Saint Venant,
du nom du scientifique qui l’a résolu.
Saint Venant a procédé de la manière suivante:
il considère des poutres droites à section constante, qui sont
sollicitées seulement en correspondance des extrémités;
en particulier, il n’y a pas d’actions distribuées le long de l’axe
(comme le poids propre, p. ex.);
il considère un matériau élastique linéaire, homogène et
isotrope et il se place en HPP.
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Mécanique – Chapitre 5 31
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Le calcul des contraintes dans les poutres (2)
En ce qui concerne les actions sur les bases, il admet que leur
distribution ponctuelle n’a pas d’importance sur le résultat final;
p. ex., pour une poutre soumise à seule action normale, que celle-
ci soit concentrée sur une zone limité autour du barycentre des
sections extrêmes ou qu’elle soit uniformément distribuée sur la
section, n’a pas d’importance, pourvu que la résultante soit la
même, à une distance suffisante de la section d’application
(distance de l’ordre de la plus grande dimension transversale de
la poutre): c’est le Principe de Saint Venant.
Concrètement, ce Principe nous dit que les zones d’application
du chargement sont des zones particulières, perturbées par la
présence du chargement et à examiner à part, et que la solution
«régulière» se trouve, indépendamment de la façon dont la
charge est appliquée, à une distance suffisante de la section de
~d
chargement.
Zone de validité de la d
solution de Saint Venant
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Zone perturbée, de
Mécanique – Chapitre 5 32
diffusion de la charge
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Le calcul des contraintes dans les poutres (3)
x x
J 2 J1
A, J2
y y
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Mécanique – Chapitre 5 36
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Le calcul des contraintes dans les poutres (7)
Effort tranchant T: il produit la contrainte tangentielle zy,
indiquée la plus souvent par , donnée par la formule de
Jourawsky:
TS xx
.
J xx
Ici, Sxx est le moment statique par rapport à l’axe x de la portion
de section droite au dessus du point où on calcule et est la
largeur de la section au même endroit.
Pour une section rectangulaire, cette formule devient
6T h 2 4 y 2
.
3
4 bh
Il faut se rappeler que, en réalité, la sollicitation pure d’effort
tranchant n’existe pas, car, par les équations d’équilibre, T est
toujours accompagné par M. ________________________________
Mécanique – Chapitre 5 37
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Le calcul des contraintes dans les poutres (8)
+ +
y N + M = tot
Section en I (de même aire) soumise à N, M et T:
-
+
x
+
y +
N + M = tot
Section circulaire creuse en torsion:
x
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Mécanique – Chapitre 5 39
y
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Le calcul des contraintes dans les poutres (10)
id 2 3 2 .
C’est un critère énergétique: cette formule est obtenue en limitant
l’énergie de déformation liée au changement de forme de la poutre
(chapitre 3, page 61).
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Mécanique – Chapitre 5 42
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Le calcul des contraintes dans les poutres (13)
Les concepteurs suivent donc la démarche suivante:
calcul des réactions aux appuis: par le PFS ou le PTV, si la
structure est isostatique, par une méthode du calcul structural
si elle est hyperstatique (on le verra au paragraphe suivant);
calcul des caractéristiques de la sollicitation;
traçage des diagrammes des caractéristiques de la
sollicitation;
individuation des sections les plus sollicitées;
calcul des contraintes en ces sections;
calcul de la contrainte idéale maximale;
vérification par confrontation avec la contrainte admissible.
D’autres méthodes de vérification existent: ce sont des méthodes
probabilistes, dans lesquelles on cherche à cerner plus
précisément les incertitudes (sur les actions, les matériaux etc.):
c’est l’approche fiabiliste (qu’on ne traitera pas ici).
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Mécanique – Chapitre 5 43
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La stabilité élastique (1)
Les poutres en compression sont soumises au phénomène de la
stabilité élastique, qu’on a déjà considéré au chapitre 2 (page 100
et suivantes).
Leonardo da Vinci avait eu l’intuition de l’existence de ce
phénomène. Mais c’est un autre Leonard, Euler, qui en y
prouve l’existence et qui donne en 1744 la méthode z
mathématique pour le traiter ainsi que sa solution exacte. y
z
En fait, la charge maximale qu’une poutre en
compression peut supporter avant que la configuration
rectiligne devienne instable est donnée par la formule
2 EJ min
Ncrit 2
.
Ncrit
est la charge critique eulérienne; J
min est le plus petit
moment d’inertie de la section droite de la poutre.
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Mécanique – Chapitre 5 44
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La stabilité élastique (2)
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Mécanique – Chapitre 5 46
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Les treillis (1)
Considérons ici le cas de treillis plans et isostatiques.
Le calcul d’un treillis consiste à déterminer les réactions aux
appuis et ensuite l’effort normal dans chaque barre.
En fait, un treillis est une structure composée de barres, c’est-à-
dire de poutres avec aux extrémités des rotules, et chargée
seulement en correspondance des nœuds.
Dans ce cas, les barres ne sont sollicitées qu’à effort normal, pas
de T ni de M.
Pour montrer comment on procède, considérons l’exemple en
figure (page suivante): c’est un treillis isostatique avec des
mailles identiques.
Les réactions aux appuis: elles sont déterminées comme si le
treillis n’était qu’un seul corps. Le PFS nous permet de les
calculer.
Ensuite, on remplace les appuis par les réactions
correspondantes et on commence le calcul des efforts dans les
barres. ________________________________
Mécanique – Chapitre 5 47
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Les treillis (2)
Le PFS donne les réactions aux appuis:
F R 3 0 ,
P h P h
P R1 R2 0 , R1 F , R2 F , R3 F .
2 3 2 3
3
3 R1 hF P 0.
2
On imagine de supprimer les appuis et de les remplacer par les
réactions, maintenant connues.
Or, si l’on considère p. ex. le premier nœud, il y a une force
appliquée, R1. P
Alors, on peut décomposer F
cette force avec la règle du
parallélogramme, selon les h
R3
deux directions des barres,
car les barres ne sont
soumises qu’à effort axial. R1
l R2
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Mécanique – Chapitre 5 48
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Les treillis (3)
P
F
N3 N2 F 4 8
N4 2 3 5 7 9 11
R3
R1 N2 1 6 10
N1
R1 R2
…et ainsi de suite!
Une fois trouvé la force dans une barre, on la «transporte»
jusqu’à l’autre nœud et on la décompose selon les directions des
autres barres qui partent du nœud.
Ainsi on propage le calcul jusqu’à la dernière barre.
Cette technique n’est possible que si le treillis est isostatique; en
fait, si par exemple on arrive dans un nœud où il y a quatre barres
qui arrivent, avec trois efforts inconnus, la décomposition n’est
plus possible: le treillis est hyperstatique et ________________________________
il faut faire appel à
d’autres méthodes. Mécanique – Chapitre 5 49
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Structures de poutres (1)
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Mécanique – Chapitre 5 56
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Chapitre 5
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Mécanique – Chapitre 5 57
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Équilibre d’un bloc appuyé (1)
T μ N.
T
Donc, si T dépasse la valeur limite prévue N
par la loi de Coulomb, valeur qui est
proportionnelle à la force verticale N, le
bloc commence à glisser.
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Mécanique – Chapitre 5 62
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Équilibre d’un bloc appuyé (6)
N 6M
max .
ab ab 2
si e>b/6, la section est partialisée, seulement une partie est en
compression, le reste est déchargé; la longueur active x sera
x=6e et N N2
max .
3ea 3 Ma b/3
si e>b/2 l’équilibre est impossible, le
bloc se met en rotation.
xN N
Normalement, on souhaite que le
section ne soit pas partialisée.
En tout cas il faut que ce soit max adm .
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Mécanique – Chapitre 5 64
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Équilibre d’un arc en pierre (1)
Poutre
fissurée par
rupture en
traction.
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Mécanique – Chapitre 5 67
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Équilibre d’un arc en pierre (4)
La solution fut trouvée par les étrusques: c’est l’arc!
L’arc est un dispositif capable de transformer une flexion en
effort normal de compression.
La pierre et les briques étant des matériaux bien résistant à la
compression, on peut avec l’arc couvrir des portées plus
importantes qu’avec une poutre en pierre ou même en bois, et
surtout on peut supporter des charges
beaucoup plus fortes.
En plus, c’est une solution architecturale
plutôt économique: elle peut utiliser des
En figure: Porta all’Arco, Volterra (Vème siècle av. J. C.)
Voussoir
Sommier
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Mécanique – Chapitre 5 70
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Équilibre d’un arc en pierre (7)
Or, cette déviation de la force à travers la ligne de l’arc se fait au
prix d’une force horizontale, la poussée de l’arc, qui se retrouve
en bas.
La présence de cette force se comprends facilement si on ne
regard qu’une moitié de l’arc: la composante horizontale de la
force de contact transmise par la clef de voûte doit être équilibrée
en bas de l’arc par une force égale et contraire.
Donc l’arc est une structure avec poussée horizontale.
Cette force horizontale doit être équilibrée à la base de l’arc par
une autre force.
Une façon simple d’annuler cette
force est celle d’utiliser un tirant qui
lie les deux extrémités de l’arc.
Mais ce n’est pas la seule façon
d’annuler la poussée…
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Mécanique – Chapitre 5 71
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Équilibre d’un arc en pierre (8)
En fait, cette poussée s’équilibre automatiquement s’il y a
d’autres arcs identiques à côté; dans ce cas, il faut mettre un
tirant seulement aux arcs qui se trouvent aux extrémités.
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Mécanique – Chapitre 5 75
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Le béton armé et le béton précontraint (2)
Le seul problème du béton est que sa résistance à la traction est
pratiquement nulle.
La solution, inventée en France à la fin du XIXéme siècle, est le
béton armé: il s’agit d’insérer dans la coulée des barres d’acier là
où la flexion de la poutre va produire des tractions.
Une fois que le béton a fait prise, béton et acier forment un tout
unique.
Ainsi, le béton prends en charge les contraintes de compression
et l’acier celles de traction.
zone en
p compression dans
le béton
force dans
barres d’acier les barres
M(z)
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Mécanique – Chapitre 5 76
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Le béton armé et le béton précontraint (3)
Une autre idée pour utiliser le béton comme matériau de
construction est le béton précontraint.
Si le béton ne peut pas supporter les contraintes de traction
engendrées par la flexion, on précomprime le béton, de sorte à ce
que la superposition de flexion et précompression permette
d’annuler les tractions sur la section.
Cette précompression s’obtient en tirant avec des vérins
hydrauliques des câbles d’acier à haute résistance qui passent
dans des tubes noyés dans le béton.
Une fois les câbles tirés, ils sont ancrés à la poutre, ce qui permet
de transférer au béton la traction de l’acier sous forme de
compression, par le PAR.
p
- - -
N N +
N + M = tot
Câbles de
________________________________
précontrainte
M(z) Mécanique – Chapitre 5 77
Copyright: P. Vannucci, UVSQ
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Le béton armé et le béton précontraint (4)
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Mécanique – Chapitre 5 78
En arrière-plan: page du Codice Atlantico de Leonrdo da Vinci avec l’étude de la stabilité des colonnes.
Chapitre 5
En librairie…
5. Bibliographie
Mécanique – Chapitre 5
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79
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Mécanique – Chapitre 5 80
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…et sur Internet
J. Garrigues: Statique des poutres élastiques. Document à
télécharger à l’adresse,
http://jgarrigues.perso.egim-mrs.fr/poutre.html, 1999.
Y. Debard: Résistance des matériaux. Visiter le site
http://iut.univ-lemans.fr/gmp/cours/rdmyd/, 2001.
P. Bouillard: Mécanique des structures et résistance des
matériaux. Visiter le site
http://www.ulb.ac.be/smc/cours/cnst338/cnst338.html.
J. F. Remacle: Mécanique des structures. Visiter le site
http://www.icampus.ucl.ac.be/claroline/document/document.php,
2005.
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Mécanique – Chapitre 5 81