● Testé sur : GBA
Un bon jeu de moto-cross
Malgré quelques défauts
surmontables.
L e studio EA BIG nous offre un jeu
résolument fun et assez bien ficelé
pour les fan inconditionnel de
moto-cross. EA BIG, comme à son
habitude, ne fait pas dans la dentelle.
Dès l’entré du jeu, on s’aperçoit que le jeu
ne va pas être morose grâce aux couleurs
criardes qu’affichent les écrans principaux.
Le jeu en lui-même, repose sur un principe
simple. Il suffit d’enchaîner les courses
sous formes de « ligue » et d’être premier à
chacune d’elles. Le joueur choisi alors un
personnage parmi les 8 proposées ainsi que
sa moto (chaque personnages en possède
plusieurs). S’ensuit alors une grande lutte
pour la première place dans des niveaux
divers tels que le désert, la neige voir
l’enfer et remplis de tremplin.
Evidemment, le jeu ne s’arrête pas au
simple fait de conduire un bien bel engin.
En effet, chaque personnage peut exécuter
des belles figurent pendant la course, lui
permettant d’acquérir du turbo. Une autre
jauge se remplis au fur et à mesures des
figures, c’est le Freakout. La jauge, une
fois remplie, permet d’exécuter une figure
spéciale permettant un turbo illimité
pendant quelques secondes. Les niveaux et
les adversaires, bien que faciles au début
du jeu deviennent ardus au fil des courses.
La bande son contient quelques titres
prenant mais beaucoup trop répétitif.
Quand aux graphismes, sans être
révolutionnaires, assure le minimum.
Malheureusement, le jeu pêche par
quelques défauts qui auraient pus être
évités. Le faible nombre des modes de jeux
(Circuit et course simple) affaiblit la durée
de vie du jeu. Heureusement un mode
multijoueur par link peu rehausser un peu
l’intérêt, si l’on à deux cartouches … La
présence d’un tutorial n’aurait pas non plus
fait de mal à ce titre où l’on peut avoir du
mal à saisir toutes les commandes (les
figures se font avec L et R, il faut appuyer
une fois sur R pour une figure, deux fois
sur R pour une autres etc.)
En bref, Freekstyle est un bon jeu de
course qui, si l’on fait l’abstraction de
menus défauts, pourra en ravir plus d’un.
■ Gilles Tual
Note globale : 15/20