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Magda Farès
(Candiac, le 1er mai 2007)
Une lueur d’espoir
Magda Farès
(Candiac, le 2 mai 2007)
« Québec, à nous le monde ! »
Magda Farès
(Candiac, le 5 mai 2007)
Le sentier
Magda Farès
(Candiac, le 7 avril 2007)
Quand il n’y a plus de rêves
Disons au revoir
Au désespoir
Disons bonjour
À l’amour
Disons à demain
À nos copains
Disons à bientôt
En bas du coteau
À notre ami du soir
Qui s’appelle l’Espoir
Magda Farès
(Candiac, le 24 mars 2007)
Magda Farès
(Candiac, may 12, 2007)
Contemplations
(Mont Dieppe, St-Hilaire, Québec, avec mon amie Sylvie Bossé)
Magda Farès
(Candiac, le 17 juin 2007)
Montréal, mon étoile
Déjà trois-cent-soixante-cinq ans
Et le vent dans les voiles
Longue vie au fil du temps
À Montréal, mon étoile!
En seize-cent-quarante-deux
Des quatre coins de ce monde
Ils sont venus tout heureux
Te bâtir, te mettre au monde
En seize-cent-quarante-deux
Des quatre coins de ce monde
Ils sont venus tout heureux
Te bâtir, te mettre au monde
Il nous entraînera
Dans une grande lutte
Où il nous coupera
Jusqu’à notre chute
Magda Farès
(Candiac, le 14 juin 2007)
Pénombre
Tu te caches quelque part
Entre la lumière et l’ombre
Annonces-tu le départ
Ou bien des jours plus sombres?
Présage de malheur
Dans le firmament
Tu entraînes mon cœur
Sur la rivière du temps
Pénombre de malheur
Dans les sites, dans les rues
Va-t’en jouer ailleurs
À l’écart de ma vue!
Magda Farès
(Candiac, le 27 mai 07)
Miroir
Miroir, mon beau miroir
Dis-moi que je suis belle
Recouvre-moi ce soir
D’une beauté éternelle
« À quoi serviront-ils
Ta beauté, tes joues rondes,
Ton beau corps, tes longs cils
Quand tu quitteras ce monde?
Magda Farès
(Candiac, le 28 mai 2007)
Magda Farès
(Candiac, le 27 mai 2007)
Drôle d’échange
L’homme et la bête
D’un commun accord
Ont changé de tête
Pour défier leur sort
« Prête-moi ta trompe
Dit l’homme à l’éléphant
Simplement, sans pompe
Comme pour un enfant! »
« Prête-moi ta tête
Dit l’éléphant à l’homme
Je fais une enquête
Sur la race des hommes! »
Magda Farès
(Candiac, le 2 juin 2007)
On se dit
Magda Farès
(Candiac, le 13 juin 2007)
« Je veux une vie »
Je veux en priant
Rayonner l’innocence
Je veux bâtir des ponts
D’amour, de tolérance
Je veux sincèrement
Éveiller les consciences
D’un monde s’en allant
Droit vers la décadence
Magda Farès
(Candiac, le 12 juin 07)
Poème dédié à tous les enfants
Magda Farès
(Candiac, 1992)
Messager
Magda Farès
(Candiac, le 28 juin 2007)
Mon rêve le plus fou…
Magda Farès
(Candiac, le 29 juin 2007)
Du plus loin que je me souvienne
Magda Farès
(Candiac, le 15 août 2007)
Ton nom
Magda Farès
(Candiac, le 5 octobre 2007)
Noces folles
Un jour
Le roi de pique
Et la dame de cœur
Décidèrent de se battre en duel
Le duel commença
Il possédait force et vigueur
Se pensant de loin supérieur
Elle possédait finesse et splendeur
Se débattant à contre-cœur
– Te souviens-tu Québec?
Ça fait quatre cents ans
Que ton cœur bat en français
Arborant fièrement un lys rayonnant
Sur le vaisseau du temps!
– Te souviens-tu Québec?
Ça fait cent quarante-six mille jours
Que tu as vu le jour!
Cent quarante-six mille jours
Que tu es ouverte au monde!
Cent quarante-six mille jours
Que tu as dit bonjour
À Samuel, ton premier homme!
– Te souviens-tu Québec?
Il a parcouru mers et monde
Pour te bâtir
Et te voir grandir!
Il a remué ciel et terre
Pour te secourir
Et faire fleurir dans ton jardin
Ce lys de la douce langue de France
À force de courage
Et de persévérance!
– Comment as-tu fait Québec
Pour te démarquer des autres cités
Au fil des années?
– Quel tour de force as-tu réalisé
Pour t’affirmer en français
Et triompher envers et contre tous?
– Quel est ton secret?
– Mon secret
De huit lettres il est formé
C’est un trésor à conserver
Il s’appelle : Identité!
Magda Farès
(Candiac, le 11 octobre 2007)
Sacrée gourmandise!
Sucreries, friandises
Sur des tables exquises
Mon désir tu aiguises
Sacrée gourmandise!
Tu me fais saliver
Devant tant de bons mets
Pour toujours, à jamais
Je serai ton valet!
Tu ne te gênes pas
Que j’dévore à la fois
Gigots, volaille, foie gras
Et que je prenne du poids!
Sacrée gourmandise
De toi je suis éprise
Je veux que tu me dises
Quelle faute j’ai commise?
Magda Farès
(Candiac, le 23 octobre 2007)
Oui à la Vie!
Aujourd’hui
Mon cœur a envie
De célébrer
La Vie
Je salue la splendeur
Et le parfum des fleurs!
Aujourd’hui
Mon âme a envie
De dire Merci
À l’infini
Je salue le soleil
Et toutes les merveilles!
Aujourd’hui
Mon esprit a envie
De te faire un clin d’œil
Si tu vis un deuil
Je salue ton courage
À braver les orages!
Aujourd’hui
Mon être a envie
De dire oui
À la tendresse
Je salue la finesse
De croire en la Vie!
Aujourd’hui
Pendant que j’écrivais
Pendant que je pensais
Vie et décès
Se sont rencontrés
Se sont salués
Se sont en allés
Main dans la main
Le long du chemin
Je les ai surpris
En flagrant délit
Au creux du même lit
Quand ils ont dit
D’un seul cri
Un grand oui
À toi la Vie!
Des mots
Rien que des mots
Mais si forts
Et si beaux!
Des maux de tête Des mots qui pensent
Ceux du poète Des mots qui dansent
Deviennent des ponts Des mots qui pleurent
Et des pinceaux Et tombent à l’eau
Des mots
Rien que des mots
Mais si forts
Et si beaux!
Des mots
Rien que des mots
Mais si forts
Et si beaux!
Des mots
Rien que des mots
Mais si forts
Et si beaux!
Des mots
Rien que des mots
Mais si forts
Et si beaux!
Candiac, Candiac!
(paroles & musique de Magda Farès)
Chorus (bis)
You are fifty years old today
Candiac, Candiac!
May you blossom all the way
Candiac, Candiac!
Refrain (bis)
Ça fait déjà cinquante ans
Candiac, Candiac!
Longue vie au fil du temps
À Candiac, Candiac!
Chorus (bis)
You are fifty years old today
Candiac, Candiac!
May you blossom all the way
Candiac, Candiac!
L'oiseau
(Paroles & musique : Magda Farès)
1.Je l'ai trouvé, il errait 2. Il m'a fallu ramasser
Ce p'tit oiseau, beau et fier Des corps dans la poussière
Il chantait pour enterrer J'ai vu des enfants blessés
Le bruit des canons d'la guerre. À cause de la guerre.
(Refrain bis) Au creux de mes mains
L'oiseau a chanté
Les jeunes demain
Bâtiront la paix
3.L'oiseau dit : « C'est insensé! 4. L'oiseau voulait rayonner
Nous sommes tous des frères L'espoir et la lumière
Il s'agit de bien penser Mais surtout faire oublier
Pour éviter la guerre ». Les horreurs de la guerre.
(Refrain bis) Au creux de mes mains
L'oiseau a chanté
Les jeunes demain
Bâtiront la paix
5.Une idée vint le hanter 6. L'oiseau a vaincu la nuit
Il appela ses frères La peine et la misère
Pour rebâtir et planter Les bourgeons partout fleuris
Tous les jardins d'la terre C'était la fin d'la guerre.
(Refrain bis) Au creux de mes mains
L'oiseau a chanté
Les jeunes demain
Bâtiront la paix
7.L'oiseau m'a dit son secret 8. L'oiseau m'a dit son secret
D'une voix douce et claire : Il m'a dit son mystère,
« Tu n'auras plus de regrets, « À toi, je me confierai :
J'ai transformé la terre ». Je suis JEUNESSE sur terre! »
Au creux de mes mains
L'oiseau a chanté
Les jeunes demain
Bâtiront la paix
Au creux de mes mains
Il s'est envolé
Traçant un chemin
D'amour et de paix
Une recette magique contre le bruit
(Paroles & musique : Magda Farès)
(Refrain bis)
Pour que paix et bonheur
Règnent dans nos coeurs
Voici une recette magique
Pour un monde magnifique!
(Refrain bis)
Pour que paix et bonheur
Règnent dans nos coeurs
Voici une recette magique
Pour un monde magnifique!
(Refrain bis)
Pour que paix et bonheur
Règnent dans nos coeurs
Voici une recette magique
Pour un monde magnifique!
Tu pars, tu m’étonnes
Mon cœur pèse une tonne
Mon papillon d’automne
Du chagrin tu me donnes!
Je t’aime pourtant
Tu ne vis qu’un temps
Mon papillon du printemps
Reste plus longtemps!
Je te regarde voler
Admirant ta beauté
Mon papillon d’été
Tu me fais rêver…
Alexandrie
Paroles & musique : Magda Farès
1.Singing celebrating
The music is vibrating
In our hearts and in our songs
Let’s sing and dance my friends
Feel the beat and clap hands
To music our love belongs
Do Sol Do
Listen to the music
Do Sol Do
Let’s sing crescendo
Do Sol Do
You have such a magic
Do Sol Do
You’re fun fast or slow !
Do Sol Do
Chante la musique
Do Sol Do
Doux et crescendo
Do Sol Do
Comme c’est magique
Do Sol Do
Comme c’est rigolo
2. De saisir l’innocence
La fraîcheur de l’enfance
Et voguer sur les ailes du temps
Il vaut mieux en rire
De joie, de délire
La vie en musique fêtons !
Maman, papa
Paroles & musique de Magda Farès
Ô fleurs d’espoir
Enfants blancs ou noirs
Viv’ l’amitié
Dans le monde entier !
Philippe,
Tu es une eau
Qui jaillit toute pure
Du plus profond
De la nature
Tu es un rayon de soleil
Qui voit le jour
Et s’émerveille
Tu es une fleur
Qui s’épanouit
Le long des jours
Le long des nuits
Tu es un ange
Qui sourit
Ouvrant ses bras
À la vie
Il était une fois dans le pays d’Egypte une déesse qui se nommait Isis. Elle
symbolisait le foyer, le mariage et la famille.
Il était une fois une femme merveilleuse qui portait le nom de la déesse. Elle
rayonnait autour d’elle le don de soi, la tendresse et la musique.
C’était toi ma mère.
Je te dois la vie, les langues que je parle. Le sens de l’émerveillement, mon
amour de la beauté, des arts et de la musique.
Je voudrais te remercier pour cet héritage magnifique!
Tu m’épatais en jouant tant d’instruments : piano, accordéon, mélodica, flûte,
violon, mandoline, percussions, xylophone et j’en passe…
En plus d’être une musicienne accomplie, tu étais une pédagogue hors paire.
Tu rafflais plusieurs trophées et prix musicaux.
Je me souviens de tous ces concerts et opérettes que tu organisais pour tes
élèves et plus particulièrement l’opérette du « Papillon magnifique » dans
laquelle tu m’as donné la chance de jouer le premier rôle à l’âge de 8 ans.
C’était un point tournant dans ma vie et le début de ma passion pour les
papillons. Une histoire d’amour qui dure encore jusqu’aujourd’hui!
Je me demande encore comment tu faisais afin de subvenir à nos besoins en
matière d’éducation et de loisirs, pour enseigner la musique dans quatre
écoles! Je comprends pourquoi dans ta course effrenée contre la montre, tu
mangeais un sandwich à la hâte dans l’autobus qui te conduisait à ton travail.
Sans oublier que tu veillais le soir pour nous préparer les repas du lendemain.
Tu étais une cuisinière extraordinaire qui avais le don de créer des mets
délicieux avec peu d’éléments. Tu avais aussi des talents en couture et en
peinture. Tu étais renommée pour ton art de conter des histoires et ton sens
de l’humour. Bref, tu étais une femme pleine de ressources, optimiste,
sensible et clairvoyante. Oui, tu avais beaucoup d’intuition. Tu t’amusais à lire
l’avenir dans nos tasses de café turc et incroyablement, ce que tu y lisais se
réalisait! Mais, tu ne te prenais jamais au sérieux, nous disant que Dieu seul
connaissait l’avenir!
Tu as toujours donné le meilleur de toi-même à mon frère Magued, à ma sœur
Laïla et à moi. Tu nous as vu grandir et tu as goûté le plaisir d’être grand-
maman six fois avec tes petits enfants : Samuel, Chérif, Émilie, Richard,
Jean-Alexandre et Philippe. Quand ton périple sur la terre a pris fin le 4
décembre 1996, j’ai été fortement secouée. Je t’ai donc écrit ce poème que
j’ai dédié à la vie qui triomphe sur la mort. Voici « Poème à la vie » :
Poème à la vie
La tête haute
Le coeur serré
Il était une fois dans le pays d’Egypte, un homme nommé Samir. Son nom
voulait dire « ami ». Il avait une grande foi en Dieu et avait toujours une
attitude optimiste et une vision positive du monde. C’était le premier homme
de ma vie.
C’était toi mon père.
Je voudrais t’exprimer ma reconnaissance car tu as cru en moi depuis ma
tendre enfance. Je me souviens combien tu étais généreux de ton amour et
de ton temps avec nous tes enfants. Tu m’as appris avec beaucoup de
patience à monter à bicyclette en enlevant les petites roues de soutien.
C’était assez avant-gardiste dans le contexte égyptien, car apprendre à
monter à bicyclette n’était pas considéré important en ce qui concerne les
filles!
Je me rappelle de ta couleur préférée le rouge. Tu me disais souvent le rouge
est une couleur gagnante!
Tu aimais beaucoup le miel, tu nous appelais souvent « assal » ce qui veut dire
« miel » en arabe.
Tu aimais le cinéma, la pêche et la collection d’objets mesurant le temps :
montres, horloges, calendriers… Ta devise était : « Tu dois attendre le train,
mais le train ne t’attendra pas! ».
Ce que j’aimais le plus en toi c’était ta jovialité, ta fidélité, ta foi, ton ordre
impeccable et ton cœur d’enfant.
Je me souviens combien tu aimais la beauté surtout chez les dames. Cela ne
te dérangeait pas d’attendre en ligne au supermarché si la caissière était
vraiment jolie! Heureusement, tu te contentais seulement de regarder! En 45
ans de mariage avec ma mère, tu lui es resté fidèle. Tu la vénérais, elle qui
était pour toi non seulement une épouse, mais une mère, une amie et une
confidente.
Le 4 mars 2003, tu es allé rejoindre ta bien-aimée Isis dans le ciel. Puissent
votre courage, votre joie et votre détermination à tous les deux, vivre en
chacun de nous à jamais.
Aurevoir, je t’aime xx
Aujourd’hui, tu es parti
Aujourd’hui, tu es parti
Vers l’Eternel
Aujourd’hui, il est écrit
Dans le ciel :
Tu devras t’envoler
Comm’ une hirondelle
Il est temps de déployer
Tes ailes
Aujourd’hui, tu es parti
Vers l’au-delà
Aujourd’hui, tu nous le dis
Dans la foi :
Mon âme est libérée
Jésus est mon roi
Je m’en vais le retrouver
Dans la joie
Aujourd’hui, tu es parti
Ce n’est qu’un au revoir
Aujourd’hui, ailleurs ou ici
C’est l’espoir
Qui brille dans nos cœurs
Dans nos larmes et nos sourires
Pour voir paix et bonheur
Fleurir
Quand il n’y a plus de rêves
Disons « Aurevoir!»
Au désespoir
Disons « Bonjour! »
À l’amour
Disons « À demain! »
À nos copains
Disons « À bientôt! »
En bas du coteau
À notre ami du soir
Qui s’appelle l’ « Espoir »
Je laisse une partie de moi dans cet album que je vous offre
avec tout mon amour.
Magda
xxxxx
Comme un phare dans la nuit
Chanson dédiée à Marie
Paroles & musique : Magda Farès
Marie Espérance
Marie Bienveillance
Marie notre bonheur
Tout au fond de nos cœurs
Marie la tendresse
Tu nous aimes sans cesse
Marie notre Dame
Bénie entre les femmes
Marie la lumière
Salut et prière
Marie celle qui donne
Et qui rayonne
Marie bienheureuse
Marie merveilleuse
Tu éclaires nos vies
Comme un phare dans la nuit
Une année
C’est 365 jours
8,760 heures
525,600 minutes
31,536.000 secondes !
Une année
C’est le soleil et la lune
Qui jouent à cache-cache
Entre vallées et monts !
Une année
C’est la valse des saisons
Sur les ailes du vent
Quelle belle évasion !
Une année
Dans un bouquet d’années
C’est les aiguilles du temps
Qui creusent des sillons
Sur le visage de ces gens
Qui furent des enfants
Il n’y a pas si longtemps !
Partir
C’est mourir un peu
Dans les bras du présent
Pour se bercer au creux
Des mains du printemps
Qui revient majestueux
Partir
C’est mourir un peu
Dans le cœur des siens
Quand on n’est plus heureux
Quand le nid est restreint
Quand l’appel est impérieux
Partir
C’est mourir un peu
Disparaître du paysage
Et formuler un vœu
Qu’au bout du voyage
L’Amour éclate de mille feux !
Partir
C’est mourir un peu…
Déjà la retraite?!
Pour se rappeler
Le temps de la fête
Déjà la retraite?!
Pourquoi se taire ?
Pourquoi s’en faire ?
Ouvre ton coeur
Pour moi tout de même
Pourquoi se taire ?
Pourquoi s’en faire ?
Tu sais bien que je t’aime
Pourquoi se taire ?
Pourquoi s’en faire ?
Ouvre ton cœur
Pour moi tout de même
Pourquoi se taire ?
Pourquoi s’en faire ?
Tu sais bien que je t’aime
Le temps que l’on prend
Rouge flamme
Flamme du désir
Désir de toi
Toi et moi
Moi enfant
Enfant de l’amour
L’amour fou
Fou de joie
Joie de vivre
Vivre et mourir
Mourir de faim
Faim de chaleur
Chaleur du feu
Feu rouge
Rouge flamme…
Double dans un miroir
Tes yeux
Un lac
Une glace
Un certain soir
Dans un miroir
J’ai regardé
Notre image doublée
Qu’est-ce que j’ai vu ?
Ça s’peut-tu ?
Des étoiles dans tes yeux
Un arc-en-ciel dans mes cheveux
Des rêves sur ton cou
Des larmes sur mes joues
Des questions plein la tête
Des fleurs pour ta fête
Qui attendent sans détour
Seulement ton retour
Musique
Ô musique !
Tu berces le cœur
Tu attires le bonheur
Tu inspires les poètes
Tu invites à la fête
Douce musique
Nostalgique
Éphémère
Entre ciel et terre
Caresse du cœur
Goût du bonheur
Belle prière
Plus forte que l’enfer
Cadeau des cieux
Baiser de Dieu !
Impressionnante
Géante
Témoin du temps
Passé et présent
Solide
Indomptable
En roc et en sable
Froid et chaleur
Pour ceux qui meurent
Force et confiance
Leçon de silence
Sagesse, prouesse
Tu m’étonnes sans cesse
Mystère et merveille
Temple du Soleil
Escalade et défi
Registre de la vie !
Ô fleuve prestigieux !
Cadeau des dieux
Au fil de tes eaux
Coule l’histoire
Entre tes roseaux
Des années de gloire
Témoin du passé
Et ses calamités
Véhicule de vie
De l’âme de l’infini
Source de paix
Et de sérénité
Tu laves les déchets
De l’humanité
Sur tes flots
Voguent des bateaux
Entre tes rives
Je prie pour que vivent
Ta beauté
Et ta pureté
Pour l’éternité…
Une clé
Qui ouvre toutes les portes
Une fenêtre
Sur le monde
Un courant
Entre les gens
Un pont
De la guerre à la paix
Une promesse
D’amitié
Un clin d’œil
Du cœur
Le sourire
Vive le sourire !
Poème à la vie
La tête haute
Le coeur serré
Un de ces jours
Une bonne nouvelle s’est fait entendre
Elle réveilla les dormeurs
Comme une aube nouvelle
Là-bas, très très loin
L’étoile s’est arrêtée
Pour pointer vers le Nouveau-né
Béni des cieux
En aimant l’humanité
Il bâtit un palais précieux
Pour vaincre l’égoïsme
Et instaurer des merveilles
Allons nous divertir
Allons nous réjouir
C’est fête aujourd’hui
Allons chanter
Allons célébrer
Cette glorieuse Naissance!
Sucreries, friandises
Sur des tables exquises
Mon désir tu aiguises
Sacrée gourmandise!
Tu ne te gênes pas
Que j’dévore à la fois
Gigots, volaille, foie gras
Et que je prenne du poids!
Sacrée gourmandise
De toi je suis éprise
Je veux que tu me dises
Quelle faute j’ai commise?
Refrain (le tout bis)
Sacrée, sacrée gourmandise
Sacrée, sacrée gourmandise
Oh! La gourmandise!
Refrain :
2 À Jérusalem
Avec les enfants
Dieu dit qu’il nous aime
Depuis très longtemps
3 Au nom de la terre
Au nom des enfants
Que Paix et lumière
Règnent en tout temps
Refrain :
Je sais pourtant
Que tu m’attends
Le cœur battant
Et tu vas en tâtant
L’obscurité du temps
Je sais, je sais pourtant
Que tu m’attends
Le cœur battant
Triste ou content
Moi j’attends !
Refrain :
Je sais pourtant…
Moi, mon école
Paroles de Magda Farès
sur l’air de Moi, mes souliers de Félix Leclerc
Refrain :
3. Je suis content
Je suis conscient
J’ouvre mes yeux
Et mon cœur à l’école
Je suis content
Je suis conscient
Je garde toujours le contrôle !
Refrain : (bis)
Rêver…
S’envoler
Sur les ailes du vent
Vers l’horizon lointain
Chercher
Au creux du souvenir
Le visage du Bonheur
Inventer
Pour le plaisir
Des histoires abracadabrantes
Chanter
Dans sa tête
La mélodie du temps perdu
Caresser
Avec les doigts du cœur
Les mains de la tendresse
Bercer
Sur son cœur
Son enfant intérieur
S’évader
Loin de l’indifférence
Dans les bras de l’amour
Bâtir
À ne plus finir
Un monde meilleur
Imaginer
Peindre le paradis
Et y entrer
Marcher
Sur le pont de la réalité
Et se réveiller
Pour mieux rêver encore !
Magda Farès
Hymne à l'espoir
L'intolérance, le rejet
Et nous redeviendrons
Tout simplement
Des enfants !
Magda Farès
Amour
Ô Amour !
Forment un bouquet
De frissons, de caresses
Élans de tendresse
Folie, ivresse
Parfum d’éternité !
Magda Farès
Un poème en cercle
Un poème en cercle
De lumière et d’espoir
D’espoir en la vie
Un poème en cercle…
Magda Farès
Malentendu
Malentendu
Turlututu
Que de temps perdu !
Il suffit de s’envoler
Au-delà des méchancetés
Avec les ailes de son cœur
Il suffit de déposer
Pardon et bisous par milliers
Dans le coffre-fort de son cœur
Malentendu
Turlututu
Que de temps perdu !
Je n’en veux plus !
Magda Farès
Acrostiche pour Soad
Magda Farès
Acrostiche pour Madeleine
E nivrés de bonheur
I ci ou ailleurs
N oble et généreuse
E toile radieuse !
Magda Farès
Poésie
Je t’aime
Un peu
Quand tes pas résonnent
Tard dans la nuit
Je t’aime
Beaucoup
Quand tu forces ma porte
Doucement, sans bruit
Je t’aime
Passionnément
Quand tu viens dormir
Au creux de mon lit
Je t’aime
À la folie
Quand tu m’emportes
Dans mes rêveries …
Je t’aime
Un point c’est tout
Quand sur ton cœur déferlent
Les vagues de ma vie…
Magda Farès
Prête-moi ta plume
Prête-moi ta plume
Pour écrire un peu
Je t’aime depuis des lunes
Tu es merveilleux !
Prête-moi ta plume
Pour voler un peu
Plus haut que la lune
Au-delà des cieux !
Prête-moi ta plume
Pour rêver un peu
Aux étoiles et aux dunes
Au sourire de Dieu !
Prête-moi ta plume
Pour chatouiller un peu
Le nez de la fortune
Et rendre les gens heureux !
Magda Farès
Miroir d’illusions
Ô miroir d’illusions !
Aux immenses dimensions
Tu fauches la vie sans faire de bruit !
Ô malédiction !
Ô aliénation !
Ô ruine du corps et de l’esprit !
Quel esclavage !
Quel gaspillage
De temps, de vie et d’énergie !
Je t’aime ma ville
Agitée ou tranquille
Alexandrie ou Montréal
Cela m’est bien égal
La première est une perle
De la Méditerranée
Sur la deuxième déferlent
Les flots de l’humanité
Si j’osais…
Si j’osais
Je défierais ma peur
Des hauteurs
Et je plongerais
Le cœur battant
De la confiance
Dans le vide
Avec insouciance
J’atterrirais
Comme un dauphin
Maître de la mer
Je crierais à l’univers
Sur terre
C’est la victoire
Sur soi-même
C’est plonger
Au cœur de la mort
Et en ressortir
Vivant !
La ronde des saisons
L’automne agonisant
Tire sa révérence
C’est la fin de la danse
Des feuilles dans le vent
Le printemps se réveille
À la vie qui sommeille
À la joie, aux merveilles
Dans le cœur des enfants
L’été flamboyant
Éclate en douceur
Symphonie de couleurs
Qui ne dure qu’un temps !
Magda Farès
Ô pauvre lune !
Ô pauvre lune !
Tu portes sur ton dos
Nos étourderies
Nos manques d’attention
Nos rêveries
Nos distractions
Il paraît que c’est ton lot
Quel drôle de fardeau !
Et pourtant
Tu en fais rêver plus d’une
À l’amour, à la fortune
Aux aventures, aux dunes
Au fil du temps
Magda Farès
L’Amitié
REFRAIN
REFRAIN
REFRAIN
REFRAIN
Refrain Auprès de Danièle, qu’il fait bon, fait bon, fait bon
Auprès de Danièle, qu’il fait bon d’ chanter !
Refrain Auprès de Danièle, qu’il fait bon, fait bon, fait bon
Auprès de Danièle, qu’il fait bon d’ chanter !
Refrain Auprès de Danièle, qu’il fait bon, fait bon, fait bon
Auprès de Danièle, qu’il fait bon d’ chanter !
Refrain Auprès de Danièle, qu’il fait bon, fait bon, fait bon
Auprès de Danièle, qu’il fait bon d’ chanter !
Refrain Auprès de Danièle, qu’il fait bon, fait bon, fait bon
Auprès de Danièle, qu’il fait bon d’ chanter !
Refrain Auprès de Danièle, qu’il fait bon, fait bon, fait bon
Auprès de Danièle, qu’il fait bon d’ chanter !
6. Nous nous sentons bien tristes car tu vas nous manquer (bis)
Avec toi chère Danièle, le temps a vite passé
Refrain Auprès de Danièle, qu’il fait bon, fait bon, fait bon
Auprès de Danièle, qu’il fait bon d’ chanter !