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Ma. Patricia M. Lucido

Prof. Philippa Dacanay

Français 110

24 janvier 2018

Dans un entretretien sur son livre La République mondiale des lettres, Pascale Casanova a

distingué la littérature mondiale et l’espace littéraire international, et a bien élaboré sur les idées

et les arguments autour de ces concepts. Tout d’abord, nous examinerons une des questions

pertinentes sur l’espace littéraire : est-ce que c’est possible à détacher l’aspect politique dans la

littérature ? Ensuite, nous pencherons sur l’importance de « mondialiser » la littérature.

Casanova a ouvert la discussion sur l’espace littéraire mondial en le distinguant avec la

littérature mondiale. Il a entamé une dimension souvent oubliée en analysant des textes : la

structure mondiale, qu’il a décrit comme « hiérarchique, inégal, contraignant, violent… »

(Casanova 140). Il a maintenu que l’espace littéraire se construit contre la politique, dans une lutte

contre l’imposition de la loi spécifique de la littérature. Il a déconseillé contre la politisation de la

théorie littéraire comme l’analyse postcolonial même s’il avait le « mérite » de se focaliser dans le

lien entre la littérature et l’histoire, car il simplifie la littérature sous une seule histoire politique.

Mais est-ce que c’est possible à échapper la discussion politique dans la littérature ? Peut-être ce

n’est pas exactement impossible, mais c’est difficile à cause des secteurs, des groupes que chaque

individuel (surtout des lecteurs et des critiques) s’identifier. Notre identification (c’est-à-dire nos

affiliations, nos croyances) nous aide de se situer dans le monde et dans la société, et nous avons

tant bien que mal établi nos pensées dans ces groupes. Etant donné ces affiliations, c’est un défi à

détacher des filtres qui accompagnent ces affiliations.


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Casanova a discuté sur la valeur littéraire où plusieurs arguments existent. D’un côté,

certaines personnes comme Gérard Genette s’inscrit à la notion de relativisme absolu et

l’impossibilité de fonder objectivement le jugement valeur (142), qui s’appuie sur Immanuel Kant

et son principe de l’esthétique qui croyait que rien n’existe que la subjectivité du goût. D’un autre

côté, il existe l’herméneutique gadamerienne une valeur littéraire absolue. Néanmoins, c’est plus

pertinent à réfléchir dans les conditions réelles où ces jugements ont produit. En réalité, ces

jugements ne sont pas basés sur la subjectivité ; ils ont imposé par un groupe des élites dans la

société, déterminés par leur prestige. Ce groupe ont l’autorité de dire ce qui peut considérer comme

littérature, ou dire ce qui est légitime ou non.

Pourquoi la mondialisation de la littérature est important ? Qu’est-ce que la relation entre

la mondialisation et la valeur littéraire ? D’une part, la mondialisation est important pour rendre

plus accessible au public cible dont l’étendue est plus énorme. Casanova a essayé de montrer que

l’espace littéraire doit être « dénationalisé » comme le rôle que Paris joue dans ce cas, alors la

mondialisation doit l’avenue pour l’Orient à accéder la littérature de l’Occident (et vice versa).

Pourtant, la réalité aujourd’hui ne marche pas comme ça, car la globalization a également donné

les « profits » un rôle pertinent dans le milieu littéraire, qui, en revanche, attribuent le prestige et

le crédit pour être considéré comme « légitime » dans ce milieu.

Source
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Casanova, Pascale. "Entretien sur la République mondiale des lettres". Interview par Tiphaine

Samoyault

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