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Un crime horrible Le médecin légiste commença à examiner le

cadavre, mais il n'avait pas rien trouver, pas un


Il était presque minuit lorsque je m’étais assise
seul indices. Le médecin légiste nous informa
à ma chambre. J’essayais de dormir mais en vain.
qu'il s'agissait d'un suicide ; Mais c'était vraiment
Toute la famille étaient endormis sauf moi. J’avais
bizarre ! Personne ne se doutait qu’Aïcha pouvait
une sensation qui me disait que quelque chose de
se suicider car elle avait promis aux membres de
mal allait se passer cette nuit. Soudain, un
la famille de passer avec eux les vacances à
hurlement affreux me fit sortir de mes idées et me
Miami.
fit asseoir sur mon lit. Quel cri horrible ! Que
Je m'approchais de monsieur amine le
pouvait-il s’être passé ? Mon cœur battait à tout
détective chargé de cette enquête :
rompre et je sentais la sueur coulait sur mon dos.
- Monsieur, vous ne croyez tout de même pas
Je commençai à marcher lentement dans
à un suicide ?
l'obscurité. Je me précipitai vers la chambre de mes
Le détective tortilla les pointes de sa
parents. Ils dormaient encore, je poussai un soupir
moustache en me répondant :
de soulagement. Sur la pointe des pieds, je traversai
- C’est vraiment l’enquête la plus
la chambre et j'allai ouvrir la chambre de ma
compliquée que j'ai jamais vu pendant toute ma
cousine Aïcha. Elle était étendue sur le sol. Elle
carrière.
était pâle. Je m'étais approchée d'elle, je mis ma
Le détective appela Ahmed le médecin
tête sur sa poitrine, son cœur ne battait plus et sur
légiste :
son cou, il y avait des traces de corde. Ma cousine
- Ahmed, est-ce que vous avez pu trouver
était étranglée ! J'appelai la police.
des indices ?
Après quelques minutes, la police était venue
- Que dalle ! répondit le médecin légiste, ni
accompagnée d’un médecin légiste,
empreintes digitales ni fibres, un vrai travail de
- Oh ! Quelle surprise le médecin légiste est
pro.
l'ami du Youssef le frère du Aïcha !
Enfin, le détective commença à parler :
Je sais qui est le vrai coupable. Le criminel
a commis une grave erreur en laissant sur le lieu
du crime une preuve. En effet, après qu'il a
étranglé la victime son bracelet est tombé sur le
sol. Cette preuve allait être cachée par son
complice qui est ...
Le frère du Aïcha commença à pleurer
amèrement :
- Arrêtez ! Je suis le coupable, et le médecin
légiste est mon complice. J’ai commis ce crime
horrible afin d’être le seul bénéficier de l’héritage
Le détective aperçut un bracelet noir à la poche
de mon père.
d’Ahmed et lui dit :
Le détective dit :
- Est-ce que puis-je voir votre bracelet ?
- Enfin, la vérité est apparue.
Ahmed, perturbé, lui donna le bracelet. La
La police arrêta le frère d’Aïcha et le
sœur de la victime cria :
médecin légiste. Les deux criminels furent
- C'est le bracelet de Youssef !
condamnés à 40 ans de prison.
Les yeux du détective brillèrent et il s’écria :
- Rassemblez-vous tous ! J'ai trouvé un indice.
Kawtar Debar et Khawla Jouâa
Le détective s’installa sur un canapé, une
petite cigarette à la main, balaya du regard les
visages livides. Tout le monde était stressé et
surtout le frère du Aïcha, qui commença à trembler
et à claquer des doigts.
Meurtre à Londres
Charles était un jeune homme âgé d'une
vingtaine d’années. Il habitait à Paris. Il avait des
cheveux blonds, des yeux verts. Il s'habillait
toujours d'un costume bleu foncé qui reflétait sa
personnalité, sage, sérieuse, et mystérieuse, cela le
rendait élégant.
Le jeudi 14 Juillet, Charles arriva à Londres. Il
était invité chez un ami qui s'appelait John Cahil, qui
était un riche bourgeois, gros et d'une grande taille.
Il avait un visage rond et une énorme barbe noire.
La fête était organisée à 19:00 dans le palais de
John. Malheureusement, Charles vint en retard. A ce
moment-là, John était en train de prononcer son
discours devant ses invités. Soudain, il s'effondra et
tomba raide-mort.
Heureusement, l'un des invités était un médecin
légiste qui s'appelait Thomas Rousseau. Il remarqua
que John était empoisonné.
Charles appela la police et demanda de ne Soudain, un témoin révéla à Charles un indice
laisser personne quitter le palais. qui allait changer toute l'enquête. Il lui dit qu'il
Après 20 minutes, la police arriva à la scène du avait vu Vlademir cacher une petite capsule.
crime. Le médecin légiste, Thomas Rousseau, avait Ensuite, Charles soupçonne Vlademir. Après
remarqué l'absence de Marie Cahil, la femme de quelques instants, les agents trouvèrent des lettres
John, ainsi que le frère de John, Garry Cahil. de menaces envoyées par des Narcotiques Russes
Après l'analyse des vidéos prises par les dans la chambre de John.
caméras de surveillance, Charles conclut que Marie Charles se dirigea vers Vlademir, qui était sur
et Garry était à la cuisine. Selon des témoins, ils le point de fuir. Il l'arrêta, le russe avoua qu'il était
avaient une relation discrète, et ils étaient là pour envoyé par les Narcotiques Russes. Vlademir était
profiter de quelques instants d'intimité loin du condamné à 40 ans de prison ferme.
regard de John. Abdessamad Badereddine
En suite Thomas remarqua qu'il y avait une
autre personne qui était absente. C'était un homme
qui se comportait bizarrement. Il était maigre et de
grande taille. Il avait des yeux bleus. Il avait aussi
des traits étrangers.
Selon certains invités, cet homme était un
commerçant russe, qui s'appelait Vlademir Bagh.
Après quelque minutes, Thomas trouvas les
empreintes digitales de Garry sur le verre de jus de
John. L'inspecteur supposa que Garry était l'assassin
et son mobile était son amour pour Marie. Charles
alla interroger Garry.
Vengeance fortune car il était atteint d’un cancer et pouvait
mourir à n’importe quel moment.
Casablanca le 04/06/2014, ce jour-là, les
Une heure après, la police arriva à la scène du crime
Hamidi fêtaient l’anniversaire de leur fils Salim. Ils
pour essayer de trouver certains indices qui peuvent
avaient invité toute la famille. Tout le monde était
aider à résoudre l’énigme de la mort de M. Hamadi.
heureux. Les femmes bavardaient entre elles.
La police cherchait dans tous les coins mais
Soudain, un gamin vit un cadavre dans la piscine.
en vain. A ce moment-là, un homme arriva sur les
C’était M. Hamidi.
lieux. C’était l’inspecteur Ali. Il était connu par tout
le monde. Il avait réussi à démasquer les assassins
et les meurtriers de plusieurs crimes. L’inspecteur
Ali trouva un bouton d’une chemise de femme tout
près de la victime. Il soupçonna Mme Hamidi, mais
quelque chose allait changer ses soupçons. Non
loin de la victime, il découvrit une bague en
diamant dédiée à Salim par son père le jour même
de son anniversaire. Là, Ali était sûr et certain que
Salim était le vrai coupable. Il l’appela et
l’interrogea devant tout le monde. Salim avoua
qu’il avait tué son père car il le haïssait.
C’était un homme âgé de 41 ans. Il avait une En effet, Salim n’était que le fils adoptif de
grande taille, il était fort et sportif. M. Hamidi était M. Hamidi. Ce dernier avait tué le père biologique
aimé par tout son entourage et notamment sa de Salim lors d’un accident de circulation et avait
famille, mais ces derniers jours, il s’était disputé décidé d’adopter Salim.
avec sa femme qui voulait qu’il lui fasse don de sa Hiba Zobairi et Loubna Khouya
Le kidnapping de Jessy pouvait lire dans ses yeux qu’elle cachait quelque
chose, toute les bonne se doutaient d’elle.
Le 23 mars 2003, à las Vegas, ce jour-là était
L’un des policiers demanda à la bonne :
bruyante, le ciel était clair. Dans le jardin de la
- Pourquoi tu ne pleures pas comme les autres ?
famille de M. Gims, jouait une belle fille. C’était la
- Je suis choquée
fille de M. Gims. Elle s’appelait Jessy. C’était une
- Selon les autres, tu es la seule qui s’en occupe ?
unijambiste. Ses yeux étaient bleus comme la mer.
- Oui et alors ?
Ses cheveux étaient dorés comme le soleil, Elle était
- Comment était votre relation avec Jessy ?
aimable, Tous les gens l’aimaient sauf la bonne.
- Une relation normale
M. Gims lisait les journaux dans son bureau.
- Expliquez s’il vous plait ? Je veux tout savoir.
Soudain, Il écouta le cri de Jessy. Il sortit très vite,
- Est-ce que vous me soupçonnez ?
mais quand il arriva au jardin, il ne trouva pas sa
- Oui, car tu as déjà un casier, on t’a déjà arrêté pour
fille. Son cœur battait très fort. Il appela la police :
tentative de meurtre.je sais tout de toi ne me mens
« Monsieur ! S’il vous plait, venez vite ! Ma seule
pas !
fille a été kidnappée ! »
- Pourquoi vous me parlez de mon passé ? Je l’ai
L’inspecteur lui répondit : « Calmez-vous
oublié
monsieur ! Nous allons venir tout de suite ou êtes-
- Où est Jessy ?
vous ?
- Je ne sais pas
- J’habite à côté de l’hôpital principal, maison
- D’accord, nous allons nous rencontrer au tribunal
numéro 425.
- Vous n’avez pas de preuve
30 minutes après, la police arriva à la scène
- Vous avez tort nous avons trouvé une lettre sous
de crime. Elle commença l’enquête et chercha des
ton lit. Si vous m’aidées à savoir la vérité, vous
indices. A ce moment-là, toutes les bonnes
serez libre
pleuraient sauf une seule, sa peau était pâle et on
- Je peux vous demander quelque chose ?
- Je vous écoute - Non, ne touchez pas à Jessy
- Je demande qu’on me protège parce que j’ai peur. - Donc, apportez l’argent au complet. Je vous
- D’accord nous allons vous protéger, n’aie pas attendrai au zoo à 8 heures à côté des cages des
peur ! crocodiles.
-J’ai le numéro de téléphone du vrai coupable, Le jour suivant la police alla au zoo pour conclure
donnez-moi une feuille je vais vous le noter. l’accord.
La bonne écrit le numéro sur le portable du Elle trouva une bonde qui portait des pistolets. L’un
détective et elle appela. Personne ne répondit. deux dit à la police « jetez moi l’argent et ne faites
30 minutes après, le téléphone du détective pas de bêtises sinon Jessy sera morte.
sonna, il répondit : « Allo, c’est qui ? » - Ou est Jessy ?
Personne ne répondit. Le détective écouta un - Elle est dans un lieu sûr. Je vous enverrai l’adresse
cri d’une enfant qui pleurait et qui demandait de quand on sera très loin.
l’aide. Soudain, une voix d’homme qui riait lui - Je ne vous faits pas confiance.
répondit. - Ne vous inquiétez pas. Tout ce qui nous intéresse
- Je suis ton pire ennemi. est l’argent.
- C’est qui ? Qu’est-ce que vous voulez ? Le détective leur jeta la valise de l’argent. Trois
- Nous voulons de l’argent. heures plus tard, le détective reçut un message qui
- Combien tu voulez-vous ? contenait l’adresse de Jessy.
- Je veux 6 milliaires ! La police trouva Jessy terrifiée et fatiguée mais
- C’est une grande somme d’argent. saine et sauve.
- Oui, mais son père est fortuné. Trois ans après une autre fille avait été enlevée de
- Vous êtes un renard ! la même façon. C’était la sœur de Jessy.
- Apportez-moi l’argent demain ou je vous enverrai Sara El-Azabi et Siham El-Hassani
la main droite de Jessy.
La vie est pleine de surprises parce que la voisine de ma tante l’avait vu souvent
roder autour de la maison.
Cette histoire se déroula le 20 mars 2015 dans
une maison qui se situait à Tamelallet,
Comme d’habitude, j’allais chez ma cousine
Ahlam qui était une jeune fille de 17 ans. Elle était
mince. Elle portait toujours une casquette pour
cacher son visage. Je frappai à la porte, mais
personne ne répondit.
Heureusement, je trouvai une clé sous le
tapis. Je pris la clé. Au moment où je décidai
d’entrer, je vis des points de sang. Soudain, je vis
Ahlam et ma tante, qui étaient mortes, baignaient
dans leur sang. Mon cœur battait très fort. Je me
précipitai vers le téléphone pour appeler la
gendarmerie.
En début d’après-midi, les gendarmes et le
médecin légiste arrivèrent sur le lieu du crime pour
examiner les cadavres et trouver des indices, Le
commissaire Mouhssine, chargé de l’enquête trouva Or, l’inspecteur Mouhssine ne croyait pas que
quelques mots écrits avec du sang sur le mur « la vie le vrai coupable était Abdessamad. Il prit les
est pleine de surprises ». Les mêmes mots étaient bracelets puis il alla à la bijouterie d’où ma cousine
trouvés sur tous les bracelets de ma cousine avait acheté les bracelets.
L’inspecteur Mouhssine arrêta un jardinier - Bonjour monsieur le bijoutier à qui vous avez
qui s’appelait Abdessamad. Il était le seul suspect vendu ces bracelets ? demanda l’inspecteur.
- Oui monsieur, ces bracelets étaient achetés par un
homme qui s’appelait Aimad. Répondit le vendeur.
- Aimad ! Le père de la victime !
- Qu’est-ce que vous avez dit ?
- Non, rien !
L’inspecteur revint à la scène du crime. Il
trouva 10 kg de drogue dans la chambre de monsieur
Aimad. Il trouva des contrats signés par le chef d’un
gangster.
L’enquêteur arrêta monsieur Aimad.
- Et voilà ! Tu es le vrai coupable ! Tu dois avouer.
Dit l’enquêteur.
- Oui, je suis le vrai coupable et j’ai tué ma femme
et ma fille car elles allaient me dénoncer à la police,
répondit Aimad.
Monsieur Aimad avait été condamné à 40 ans
de prison ferme pour le meurtre de sa femme et de
sa fille et pour la procession de drogue.
Quelques jours après, Aimad se suicida dans
sa cellule.
Nouhaila Karroum et Ibtissam kharouti
Jalousie mortelle L’inspecteur convoqua la belle-mère pour
l’interroger :
Cette histoire se déroula le 5 mai 2016. Un
- Savez-vous pourquoi vous êtes là ?
enfant âgé de 12 ans, qui étudiait à la 1ère année du
- Non.
collège, revenait tout seul chez lui à 19h. La ruelle
- Qu’est-ce que vous avez fait hier ?
était déserte. L’enfant vit une ombre le suivait. Il
- J’ai visité ma famille vers 7 h.
courut pour se cacher. Il trouvait une ancienne
- Vous mentez.
maison abandonnée.
- Pourquoi vous me posez tous ces questions ?
Le lendemain, un passant, qui se rendait à son
- Parce que vous êtes accusée du meurtre de ton
travail, découvrit le cadavre et avertit la police.
beau-fils.
La police arriva à la scène du crime.
- Je ne l’ai pas tué.
L’enquêteur Adam fut surpris parce que la victime
- Un témoin vous a vu dans une ruelle à quelques
ne portait aucune trace apparente de coups. L’enfant
mètres de l’école.
était pâle, le sang sorti de ses yeux et de son nez.
- et alors !
La police emmena le cadavre à la morgue pour
- nous avons trouvé l’enfant au même endroit.
que le médecin légiste l’examine.
Nous savons que vous ne l’aimez pas parce qu’il
Le médecin légiste trouva une matière
vous rappelle sa mère.
dangereuse dans le sang de la victime. Il appela
La belle-mère avoua et ajouta que son mari
l’inspecteur Adam pour l’informer « Bonjour, je
n’avait de l’intérêt que pour son fils. C’est la
vous informe que j'ai trouvé une matière dangereuse
raison pour laquelle elle avait décidé de le tuer. La
dans son sang ainsi que des traces de seringue
femme fut condamnée à 25 ans de prison ferme.
derrière son cou. »
Khadija Kourassi et Meriem Kouhena
L'enquêteur se rendit à la maison de la victime.
Il interrogea les voisins et tous affermaient qui sa
mère était morte et sa belle-mère ne l’aimait pas
Mauvaise amitié
Cette histoire se déroula le 30 mai 2000 à
Berlin, une ville habituellement calme. Monsieur
Jean était un jeune homme, âgé d’une trentaine
d’années. Il était ce genre d’hommes très généreux,
un peu gros, d’une taille élancée, ses yeux étaient
marron, et au regard vif, témoignaient de son
intelligence. Ses collègues aimaient beaucoup son
caractère et son attitude face à la vie. Mais ce jour-
là il se sentait énervé.
C’était 23 heures, Jean rentrait chez lui.
Soudain, il vit la porte de sa maison entrouverte. Il
courait pour savoir ce qui s’était passé. Il entra à la
maison et trouva le désordre, des meubles dispersés
partout, d’autres cassées. Il se précipita directement
vers le tiroir dans lequel il cachait ses choses
précieuses. Il n’y trouva rien ! Il prit son téléphone Une heure après, l’enquêteur Jaques et la
pour avertir la police. police scientifique arrivèrent à la scène du crime.
Au même instant au commissariat, l’inspecteur Premièrement, ils entourèrent le périmètre
Jaques reçut l’appel : avec une bonde jaune. Après une heure de
- Monsieur ! Ma maison a été volée ! recherche, la police ne trouva aucun indice, ni
- Donnez-moi l’adresse de votre maison. empreintes ni témoins.
- C’est la 76ème, quartier des Bourgeois
- D’accord, nous arrivons tout de suite.
L’inspecteur Jaques sentit que le voleur était - Mm…Je ne sais pas. Mais, je sais que Marius
un proche de Monsieur Jean, c’est pour cela, il était jaloux de monsieur Jean.
appela toute la famille et les amis pour les interroger. - Comment ? Donc, Il y a un autre suspect, mais
Après les premiers interrogatoires, la police pourquoi monsieur Jean ne m’a pas dit cela ? Est-
soupçonnait l’ami de monsieur Jean qui s’appelait ce que Marius était vraiment jaloux de monsieur
Alfred. Il fut arrêté parce qu’il était le seul suspect, Jean ?
l’enquêteur Jaques le soumit à un interrogatoire : - Non, non.
- Monsieur Alfred, où étiez-vous le 30 Mai à 23 - Donc tu es le voleur, prépare – toi à passer 5 ans
heures ? de prison.
- Je veux savoir pourquoi je suis là ? - Monsieur, Je ne suis pas le voleur, c’est Marius
- Parce que tu es le seul suspect. qui avait volé les objets de monsieur Jean.
- Je ne suis pas le voleur … - Et maintenant nous pouvons arrêter le criminel.
- Comment savez – vous qu’il s’agit d’un vol ? L’enquêteur Jaques appela le poste de police
- Ah ! C’est clair, mon ami m’en a informé … pour interpeler le voleur Marius. Ce dernier avoua
- D’accord, Mais où étiez-vous hier à 23 heures ? que la jalousie peut déstabiliser toutes les
- Au café avec mes amis. relations.
- avez-vous des témoins ? Jean n’avait pas pensé que ce serais Marius le
- C’est vous qui devez chercher. voleur parce que il était son meilleur ami.
- Donc vous êtes le voleur. Jean jura qu’il ne fera plus confiance en
- Monsieur Jaques, interrogez Marius. Lui ! Il sait quelqu’un. Le voleur, Marius, fut condamné à
toute la vérité. 5ans de prison.
- Mais pourquoi vous avez choisis Marius Fatima Fakir et Mouna Eddaoudi
précisément ?
Je tiens à féliciter et à remercier tous les élèves

qui ont participé à ce travail.

Ils ont su se montrer responsables et dignes de

confiance. Ils ont fait preuve d’une grande

maturité et d’un grand sens de dévouement et

d’abnégation.

Ce travail est le fruit de l’effort qu’ils ont fourni

tout au long du 2ème semestre dans le cadre de

notre projet de classe.

Je dédie ce travail à mes chers élèves, auteurs

de ces agréables nouvelles en guise de souvenir.

Je leur souhaite bonne continuation.

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