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3.1.

2 L’Etat et l’unité nationale


La politique quif ut practiqueé sous l’administracion d’Ávila Camacho fut celle d’un
contrôle maximum du mouvement ouvrier. Le président choisit le drapeau de l’Unité
Nationale.
« Ni le patrons ni les travailleurs ne doivent oublier qu’ils sont avant tout mexicains et
qu’au-dessus de la lutte des classes il y a la patrie. Ces deux facteurs de prospérité
nationale ont une obligation commune envers les institutions et leur doivent un soutien
total.
Vicente Lombardo Toledo président de la CTM, donna son soutien pour lutter contre le
fascisme international et en même temps consolider économiquement le Mexique.
La politique qui fut tracée consista à canaliser le mouvement ouvrier vers des conditions
défavorables.
Les réformes qui avaient été mises en œuvre sous l’administration cardéniste sortirent de
contexte politique.
Le contrôle du mouvement ouvrier
Les antécédents de la situation ou les ouvriers perdirent leur indépendance remontent a
la campagne politique d’Ávila Camacho.
Manuel Ávila Camacho décréta en 1940 la disparition de l’administration ouvrière des
Chemis de Fer du Mexique.
Ávila Camacho inclut dans son cabinet des éléments de la droite radicale. La guerre contre
la gauche ne se limita pas aux individus. Le 5 octobre 1940, le Comité Central du Parti
Communiste Mexicain dans la ville de Mexique fut attaqué.
Au mois de mars 1941, la Loi Fédérale du Travail fut changée. Un travailleur pouvait etre
licencié pour participer à des grèves légales.
Les réformes sociales qui prirent grande importance à l’époque de Cardenas furent
supprimées, surtout celles qui profitaient à la classe ouvrière.
La politique éducative
Quand Ávila Camacho arriva à la Présidence, il se déclara catholique croyant et ouvrit de
nouveau la porte au clergé. Il voulait que soit changé le contenu de l’Article 3 de la
Constitution et qu’il soit permis à l’Eglise de s’occuper de l’enseignement scolaire.
L’Article 3 fut modifié et le terme « éducation socialiste » fut remplacé par « éducation
démocratique ».
La Réforme Agraire
La répartition des terres se réduisit en grandes proportions et la protection des terres des
personnages puissants augmenta considérablement.
On réduisit toute possibilité de croissance de l’exploitation des terres communales et des
coopératives par le retrait des prêts.
Avec les nouvelles mesures prises par l’administration d’Ávila Camacho el s’agissait de
stimuler le capitalisme dans le secteur agricole.
La fondation de PRI
Le 18 janvier 1946, le PRM disparut et fit place à un nouveau parti, Le PRI (Parti
Révolutionnaire Institutionnel).
Le nouveau parti nomma Miguel Alemán Valdés comme candidat à la Présidence de la
République.
Le nouveau parti laissa tomber le devise « Pour une démocratie des Travailleurs » pour
« Démocratie et justice sociale ». On ouvrit la voie à une « démocratie authentique »

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