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A. définition générale
La compétitivité est la capacité d’une entreprise à affronter, grâce à son potentiel, la concurrence des autres
entreprises nationales ou des concurrents étrangers, sans subir de handicap. En terme économique la compétitivité est
une notion qui s’applique à une entreprise, un secteur économique, ou un territoire (pays, bassin économique ...). Elle
désigne la capacité d’une telle entité à fournir et vendre durablement un ou plusieurs biens ou services marchands sur
un marché donné en situation de concurrence.
1. la compétitivité prix :
La compétitivité prix est une des formes de compétitivité qu’une entreprise peut choisir d’utiliser pour vendre plus
.elle repose sur la diminution du prix des biens ou services qu’elle produits, pour lui permettre d’écouler plus vite et
plus facilement ses stocks .autrement dit la compétitivité prix est l’aptitude d’un pays ou d’une entreprise à faire face
à la concurrence grâce à des prix plus bas.
La compétitivité prix à l’exportation se mesure par le rapport entre l’indice des prix à l’exportation des principaux
concurrents et l’indice des prix à l’exportation du pays.
La compétitivité prix sur le marché domestique se mesure par le rapport entre l’indice des prix à l’importation d’un
produit et l’indice des prix à la production d’un même produits ;
2. compétitivité coût :
La compétitivité coût est la compétitivité qui est liée aux coûts de production : coût du travail et coût du capital. Par
définition Le coût du travail est constitué de toutes les dépenses induites par l'utilisation du facteur travail dans
l'entreprise. Il comprend le salaire brut (avec les primes, les congés payés et les cotisations sociales à la charge des
salariés) et les cotisations sociales patronales Le coût du capital est le rendement que les investisseurs attendent des
fonds qu'ils fournissent pour des investissements.
Au-delà des prix, ces facteurs constituent désormais un critère déterminant au moment de l’acte de l’achat. Une bonne
image des produits constitue plus que jamais un atout déterminant face à la concurrence internationale rendue difficile.
Au niveau d’un pays, la compétitivité structurelle renvoie à la notion de spécialisation économique internationale,
c’est-à-dire la capacité d’adaptation de l’appareil productif national à l’évolution de la demande mondiale et au
dynamisme commercial de l’économie (stratégies des entreprises et de l’administration économique). Cette
compétitivité par l'innovation peut concerner aussi un bassin économique, en concurrence par rapport à d'autres, d'où
les politiques visant à constituer ou renforcer des pôles de compétitivité .donc enfin la compétitivité hors prix dépend
de plusieurs critères:
Diversité des produits (l'entreprise est capable de s'adapter aux besoins des agents. Cela peut être vu de deux façons :
différentiation verticale des produits : on va offrir une gamme complète d'un produit, adaptée à la
diversité des revenus.
différenciation horizontale des produits : le but est de s'adapter à la diversité des goûts.
L’entreprise possède plusieurs facteurs de compétitivité que l’on peut classer en facteurs de compétitivité-prix et
compétitivité-hors-prix.
Le prix est un des facteurs fondamentaux de compétitivité pour l’entreprise. En effet, l’entreprise va chercher à vendre
son bien au prix le plus bas possible (excepté dans le secteur du luxe), pour pouvoir gagner des clients et donc des
parts de marché Afin de baisser le prix et d’obtenir un prix compétitif, l’entreprise a trois solutions :
2-La compétitivité-hors-prix
Indépendamment de la compétitivité au niveau du prix du produit, l’entreprise peut utiliser d’autres facteurs de
concurrence.
a. La qualité :
La qualité des produits est un facteur de compétitivité important. Ainsi, de nombreuses entreprises se permettent de
vendre leurs produits plus chers que leurs concurrents car elles proposent une qualité supérieure.
Ex. : les fabricants allemands d’automobiles vendent leurs voitures Plus chères car elles sont réputées être de
meilleure qualité et plus Solides.
Il faut être capable de s'adapter à la demande (ex : passage du Fordisme au Toyotisme).L'organisation du travail
consiste dans les différents systèmes mis en place dans les entreprises pour accroître la productivité, grâce à une
utilisation plus rationnelle du travail l'organisation de la production qui va lui permettre d'économiser du travail et
d'augmenter la productivité.
c. L'investissement immatériel:
Il concerne la formation, la commercialisation, les logiciels, la recherche et développement. Les investissements
immatériels sont constitués des dépenses de formation et de recherche-développement (R-D) pour le savoir ; des
dépenses de logiciels pour le savoir-faire ; des dépenses de publicité, marketing, communication pour le faire-savoir.
Ils sont qualifiés d'immatériels (on ne peut pas les toucher) pour les distinguer de ceux qui augmentent le stock de
capital technique (matériel comme les machines), ces "choses" (qu'on peut toucher) qui permettent de produire des
biens et des services. Ils font plus appel à la matière grise qu’à la matière proprement dite.
d. La différenciation du produit :
Beaucoup d’entreprises cherchent à se démarquer de leurs concurrents en différenciant leur produit. Cela va passer par
un conditionnement différent, de la publicité, une image associée au produit, etc.
Ex. : la forme des bouteilles de Virgin Cola reprenant les formes du corps de l’actrice Pamela Anderson
Le progrès techniques est l'ensemble des causes de la croissance de la productivité du travail. Même si un produit est
cher, on va l'acheter puisqu'il est innovant, nouveau. Un produit incorporant une nouveauté technologique aura un
avantage concurrentiel sur les autres produits.
Ex. : le fabricant d’électroménager Dyson tire sa compétitivité de ses Inventions technologiques (l’aspirateur
sans sacs, par exemple).
h. La politique économique :
La politique économique est l'ensemble des interventions des administrations publiques (dont l’État, la
banque centrale, et les collectivités territoriales) sur l’activité économique. La politique de désinflation
compétitive mise en place en France à partir de 1983 a eu un effet positif sur la compétitivité structurelle des
entreprises.
Une gestion compétitive passe aussi par une gestion du personnel motivante, intégrant des actions de
formation et de promotion. Enfin, la communication à l’intérieur de l’entreprise doit être fluide et rapide afin
de permettre à l’organisation de s’adapter très vite à toute modification de l’environnement.
Un pôle de compétitivité réunit, au sein d'un même territoire, entreprises, centres de formation et unités de recherche,
engagés dans des projets communs au caractère innovant, et disposant de la taille nécessaire à une visibilité
internationale.
I) L’objectif du projet
RENAULT est en train de mettre au point un nouveau projet pour que le délai de livraison passe de sept semaines à deux seulement. Ce
projet est appelé "Nouvelle Distribution".
Application chez RENAULT :
Dans l’usine RENAULT, on utilise l'usinage à grande vitesse pour usiner des carters cylindres en fonte.
L'intérêt de l’U.G.V. est de diviser le nombre de machines par deux et donc de diviser par deux le temps de travail !
G. conséquence:
Une faible compétitivité de l’économie d’un pays n’incitera pas les entreprises étrangères à placer des centres de
production ou de recherche dans le pays.
Par ailleurs, cette faible compétitivité fragilisera les entreprises nationales, leur faisant perdre des parts de marché par
rapport au concurrent étranger.
Au final, ceci diminue la production par travailleur et emploi total au sein du pays (et donc augmentera le taux de
chômage.
Qu’est ce qu c’est la concurrence
A. La concurrence
L’entreprise pour maîtriser son marcher doit avoir une connaissance pointue des acteurs du domaine et des différents
niveaux de relations qui existent entre eux. Au delà des fournisseurs et partenaires régulièrement utilisés, il convient
d’analyser en profondeur la concurrence, directe et indirecte. Pour cela, plusieurs critères sont passés au crible : taille
de l’entreprise, part de marché, positionnement, valeurs …etc.
Tout cela dans le but de reconstituer la carte de concurrence qui synthétise l’ensemble des paramètres liés aux acteurs,
aux concurrents et à leurs interactions.
La concurrence est la situation dans laquelle se trouve une personne ou une entreprise par rapport à une ou plusieurs
autres lorsque, tout en faisant des profits, elle peut rivaliser avec elles en offrant un service ou un produit au moins
équivalent pour un prix au moins égal. Le mot « concurrence » s’applique aux activités de production, aux activités
commerciales, comme aux services et mêmes lorsque ses activités ont un caractère civil.
• La concurrence inter-produits :
Les concurrents sont définis comme ceux qui offrent des produits similaires.
Exemple : le coca-cola est concurrent de Pepsi-Cola.
• La concurrence inter-segments :
Les entreprises se font concurrence au niveau des segments.
Exemple : le segment des sodas et le segment des jus de fruits se font concurrence.
• La concurrence générique :
Les concurrents sont les entreprises qui offrent des produits différents qui satisfont le même besoin.
Exemple : pour satisfaire la soif, les consommateurs peuvent boire de l’eau minérale, des sodas, des jus de fruits…
C. Les forces concurrentielles :
Michael Porter a identifié cinq forces qui, collectivement, définissent l’attrait à long terme d’un marché ou segment.
Elles correspondent chacune à une menace particulière pour l’entreprise en place.
1 : les entrants potentiels sont des entreprises susceptibles de pénétrer sur le marché, ils constituent une menace pour
les concurrents actuels, car ils risquent de bouleverser l’équilibre du marché. Les entrants potentiels peuvent être
intéressés à pénétrer le marché dans le cadre d’une logique de diversification : les banques étaient des entrants
potentiels sur le marché de l’assurance dans les années 1980, la plupart d’entre elles ont franchi le pas et sont
maintenant présentes sur les marchés de l’assurance-vie, de l’automobile ou de l’habitation.
La protection d’un secteur, face à ces menaces latentes, dépend de a solidité des barrières à l’entrée : ce sont les
difficultés que devra vaincre tout nouveau concurrent. On répertorie plusieurs types de barrières : seuil de rentabilité
élevé, rente de situation (brevet, accès privilégié à des matières premières), protection marketing (fidélité des
distributeurs).
2- les produits de substitution sont les produits capables de remplir les même fonctions que les produits actuels, mais
en utilisant une autre technologie, ces produits induisent en effet une limite au pris et donc aux profits qui peuvent être
réalisés.
3- la menace liée au pouvoir de négociation des fournisseurs : s’ils peuvent accroître les prix, réduire la qualité ou la
quantité des produits vendus, à leur guise, ils disposent d’un atout. Leur pouvoir est d’autant plus décisif que le
produit est un ingrédient important, que les fournisseurs sont peu nombreux et organisés. Il est alors prudent de
diversifier ses approvisionnements et d’entretenir de bonnes relations avec ses fournisseurs.
5-l’intensité de la concurrence entre les entreprises d’un secteur et le résultat des pressions exercées par les 4 forces
précédentes, si ces pressions sont fortes, la lutte entre les concurrents du secteur est intense et réciproque. Le niveau
des prix traduit cet état de fait.
Il peut sembler facile d’identifier ses concurrents, mais la vraie concurrence est beaucoup plus vaste, elle intègre les
entrants potentiels, les nouvelles technologies et les produits de substitution. Il existe en fait plusieurs niveaux de
concurrence que l’on peut analyser au niveau du secteur d’activité ou à celui du marché.
1- la concurrence au niveau du secteur :
Le secteur est constitué par l’ensemble des entreprises qui offrent des produits correspondants à des proches substituts.
Il se caractérise par le nombre de fournisseurs et le degré de différenciation du produit qui, donnent la naissance à
quatre structures :
LE MONOPOLE : existe lorsqu’une seule entreprise délivre un produit ou un service sur un marché donné.
Elle peut pratiquer des prix élevés, les consommateurs n’ayant pas d’autres choix.
En complément de l’analyse centrée sur le produit, l’étude de la concurrence doit se faire en termes de besoin, car la
prise en compte des besoins du marché élargit l’identification des concurrents actuels et potentiels.
Une fois les principaux concurrents identifiés, l’entreprise analyse les caractéristiques en s’intéressant à leurs
stratégies, leurs objectifs, leurs forces et faiblesses.
En général, trois variables méritent une attention particulière lorsqu’on étudie ses concurrents :
LA PART DE MARCHÉ : c'est-à-dire le pourcentage des ventes détenu par chaque concurrent sur le
marché considéré. Selon les secteurs, cette information est plus ou moins facile à obtenir.
LA PART DE NOTORIÉTÉ SPONTANÉE : c'est-à-dire la fréquence avec laquelle chacun des concurrents
est cité en réponse à la question : « pouvez vous me citer le nom d’une entreprise présente dans le
secteur ? »
LA PRÉFÉRENCE : obtenue en réponse à la question : « quelle est l’entreprise auprès de laquelle vous
préfériez acheter ce produit ? »
Ces trois variables sont souvent liées entre elles, après les avoir identifiées il faut choisir lequel des concurrents il faut
attaquer en premier, le fort ou le faible ? Le proche ou le lointain ? Le bon ou le mauvais ?
1- le leader :
L’objectif du leader est de rester à la première place, pour cela, il peut recourir à :
La protection de la part de marché : le leader a intérêt à garder l’initiative dans tous les domaines pour
préserver sa position, pour cela il doit savoir quelle zone défendre et quel domaine capituler.
L’extension de la part de marché : un leader peut également progresser en s’efforçant d’accroître sa
part de marcher
2- le challenger :
Le challenger est toujours en situation de dilemme, il lui faut soit accroître sa part, soit se contenter des positions
acquises.
Le chois de l’objectif et du concurrent : l’objectif d’un challenger est d’accroître sa part de marché, au détriment d’un
concurrent. La firme qui attaque peut choisir entre trois approches :
o Attaquer le leader
o Attaquer un concurrent de sa taille qui est en perte de vitesse ou sous financé
o Attaquer les petites entreprises régionales
En fait choisir l’adversaire et fixer l’objectif sont étroitement liés.
La stratégie d’attaque :
3- le suiveur :
Les suiveurs les plus performants adoptent une ou plusieurs des stratégies suivantes :
o Une forte puissance marketing, liée à une capacité à investir dans la communication et la
distribution.
o Une qualité de produit améliorée par rapport au pionnier
o Un prix inférieur
o Un positionnement différent pour un prix comparable
Ces stratégies supposent une bonne analyse du marché et une connaissance précise de la stratégie du leader.
Toute entreprise devrait concilier l’importance qu’elle attache à la concurrence avec l’intérêt qu’elle accorde à la
clientèle. L’une ne devrait pas se développer au détriment de l’autre mais au contraire se rejoindre au sein d’une
véritable optique marketing.
SECTION 1 : Maroc Telecom
§ 1 : Présentation
Itissalat AI-Maghrib (IAM), également appelée Maroc Telecom, est une société anonyme à
Directoire et Conseil de Surveillance, née en 1998 de la scission de l’Office National des Postes et
Télécommunications (ONPT). Elle est l’opérateur historique et, à ce jour, le premier opérateur global de
télécommunications au Maroc.
Maroc Telecom a façonné le paysage des télécommunications marocaines et son histoire est
indissociable de celle de la modernisation des infrastructures du Royaume.
Organisée en Directions Générales et Régionales autour de ses métiers et services, Maroc Telecom
regroupe d’une part des activités opérationnelles Mobile, Fixe et Internet et, d’autre part, des fonctions
supports, Réseaux, administratif et financier. A cette structure s’ajoutent d’autres structures chargées des
Ressources Humaines, de la Réglementation, de la Communication & du Développement à l’international,
de l’Organisation & de la Qualité et des Affaires Juridiques & Corporate.
Maroc Telecom est décentralisé avec 8 Directions Régionales (Rabat, Casablanca, Marrakech, Agadir,
Settat, Fès, Tanger et Oujda) disposant chacune de structures opérationnelles et de fonctions supports
propres leur permettant d’être réactives et plus autonomes sur le terrain.
Pour la distribution de ses services et produits, Maroc Telecom dispose d'un réseau de distribution étendu
avec un réseau direct de 277 agences et un réseau indirect comprenant près de 40 000 points de ventes
agréés par Maroc Telecom faisant l’objet d’accords de distribution avec des revendeurs locaux ou avec des
distributeurs nationaux.
§ 2 : produits de Maroc télécom
: Ce sont les offres de téléphonie fixe de Maroc télécom destinés aux particuliers regroupant des forfaits
de communication, des packs et des forfaits plafonnés avec possibilités de recharges.
: Fidelio, le programme fidélité à points réservé aux abonnés post payés. Ce programme permet de
cumuler des points à chaque communication et de bénéficier d’avantages sous forme de communications gratuites, de
SMS gratuits et même de téléphones mobiles gratuits ou à prix réduits.
: Depuis fin 2006 Maroc Telecom a lancé l’ADSL 2+, une technologie permettant encore plus de débit,
plus de rapidité et de confort certain pour surfer sur Internet, et télécharger tous les fichiers grâce à sa vitesse des
débits de 8 et 20 M.
: Les Solutions Entreprises de Maroc Telecom proposent aux entreprises des produits et des services
adaptés à leurs besoins et au meilleur coût.
Maroc Telecom s’implique sur :
La proximité avec les clients ;
La pérennité des solutions technologiques proposées ;
Une large couverture du territoire marocain.
Son histoire est liée à celle de la libéralisation de l’économie marocaine et, avec son attribution de la
deuxième License GSM, Méditel a généré un investissement sans précédent qui a donné un nouvel élan à l’économie
nationale.
Aujourd’hui, avec 4.2 milliard d’investissement 2008, Méditel est sans conteste l’un des plus importants
investisseurs au Maroc.
L’entreprise est également devenue une véritable locomotive de la consolidation de la croissance du PIB
nationale grâce à ses performances financières et technologiques ainsi qu’à sa capacité à être un accélérateur du
développement des télécommunications au Maroc.
Méditel a ainsi grandement contribué à la démocratisation du marché du mobile : a son arrivé, son taux de
pénétration du mobile au Maroc ne dépassait pas les 10% ; aujourd’hui atteint plus de la moitié de la population.
A moyen terme, la configuration d’une pénétration à 100% se profile et Méditel, avec des parts de marché en
constante progression, y participe activement.
Développer, accompagner, soutenir. Pour Méditel ce ne sont pas de vains mots mais une volonté concrète de
contribuer au développement socio économique du Maroc.
Dés sa création en 2000, Méditel s’est engagée auprès de la société civile afin de l’accompagner dans ses
projets citoyens. Une expérience probante, car riche en enseignement, qui a donné à Méditel l’envie d’aller encore
plus loin.
Méditel, avec la fondation Telefonica, a ainsi mis en place une véritable politique de responsabilité citoyenne
qui se décline en trois axes : l’éducation, la solidarité et la culture.
Convaincue qu’une entreprise ne peut se développer durablement sans être impliquée dans la société dans
laquelle elle évolue, Méditel est devenu un acteur citoyen de premier plan à travers sa mobilisation contre toutes les
formes d’exclusion, sa lutte contre l’abondant scolaire et son soutien à la démocratisation de la culture… autant
d’initiatives qui participent d’une citoyenneté…toujours en action.
Au cœur de sa politique de citoyenneté, l’éducation est un levier majeur et un chantier permanent pour
Méditel.
A chaque rentrée scolaire, Méditel lance une grande opération cartables en faveur des enfants des catégories
sociales les plus défavorisées.
Cette initiative menée en partenariat avec les associations actives dans les quartiers périphériques et dans les
douars a permis à prés de 25000 enfants de retrouver les bancs de l’école. Une manière pour ces écoliers de bien
commencer l’année avec des cartables et des fournitures complètes.
Méditel associe également l’éducation à une dimension environnementale. A la clé, une idée originale :
recycler les anciennes bâches publicitaires inutilisés pour en faire des cartables distribués.
Méditel inscrit son action citoyenne dans les quartiers des périphériques urbains. Des quartiers souvent
insuffisamment équipés en infrastructures d’accueils pour les jeunes en situation précaire.
Dans le cadre d’une démarche participative avec les autorités locales et les associations actives dans la région,
Méditel avec Telefonica a crée et équipé des centres didactiques dans les quartiers marginaux de Tétouan, Tanger et
Larache.
Lieux d’insertion et de socialisation, ces centres offrent de nombreux services communs : bibliothèques,
cyberspace, cours de langue et de soutien scolaire, activités artistiques et sessions de formation professionnelle…tout
y est conçu pour encourager l’épanouissement et favoriser l’insertion de jeunes dans la société.
Liajlicom est un projet de création de micro entreprises de publiphone communautaire mis en place dans prés
de 1000 douars et dans les régions les plus pauvres identifiées dans le cadre de l’Initiative National pour le
Développement Humain.
Méditelecom est issu d'un partenariat idéal entre des leaders marocains de l'industrie et de la finance et deux
multinationales du secteur des télécommunications. Forts d'expériences internationales, les groupes Telefonica et
Portugal Telecom apportent leur maîtrise des nouvelles technologies des télécommunications. Leaders dans leurs
activités respectives, les partenaires marocains de Méditelecom investissent le champ des nouvelles technologies de
l'information.
Le Groupe Telefonica, Opérateur global coté dans les principales bourses du monde et première
multinationale espagnole, affiche un des plus gros chiffres d'affaires mondiaux du secteur.
Le Groupe HOLDCO, industriel de premier plan conscient des mutations de la société et acteur majeur
du développement spectaculaire de la distribution des hydrocarbures, renforce son positionnement d'entreprise à
l'écoute des besoins du consommateur.
La Caisse de Dépôts et de Gestion, investisseur financier de référence, confirme son engagement dans
les grands projets qui contribuent à la construction de l'avenir du pays.
§ 2 : Répartition du capital de Méditel
Medijahiz : Méditel offre une large gamme de cartes rechargeables adaptées à tous les besoins et à toutes les
bourses.
Dawlia : Méditel a crée « Dawlia », la première carte téléphonique à l’internationale permettant d’appeler
différentes destinations à un prix défiant toute concurrence.
Qualité, Satisfaction, Transparence, Développement et Proximité, sont les valeurs phares sur lesquelles sont
fondées toutes les actions de Méditelecom vis-à-vis de tout son écosystème : clients, actionnaires, employés et
partenaires sociaux.
Clients
• Qualité : Nous cherchons constamment à améliorer la qualité de nos processus, produits et services afin d'offrir à nos
clients des solutions de communication intégrées.
• Satisfaction : Nous anticipons les besoins de nos clients externes et internes et répondons à leurs attentes sans oublier
nos objectifs commerciaux.
Actionnaires
• Transparence : Conformément à nos prévisions futures et à notre position actuelle, nous fournissons l'information la
plus fiable sur la marche de l'entreprise.
• Rentabilité : Notre croissance, notre capacité d'anticiper les besoins du marché et notre innovation dans les
processus, les produits et les services se consolident dans un projet qui génère une valeur stable pour nos actionnaires.
Employés :
• Clarté : Nous partageons une vision commune et tenons à établir des relations franches et transparentes qui
permettent à tous de s'impliquer dans un projet commun.
• Développement : La contribution de tout un chacun permet d'améliorer de façon permanente la capacité d'offrir des
opportunités, ainsi que d'identifier, retenir et développer tout les talents disponibles.
Partenaires sociaux :
• Contribution sociale : l’intégration sociale se mesure à notre capacité à impulser le progrès économique, culturel et
social afin de pouvoir nous proclamer comme des citoyens.
• Proximité : Notre proximité et notre sensibilité à notre environnement ainsi que notre capacité d'adaptation nous
permettent d'être perçus comme une entreprise citoyenne.
Grâce à l’implication de ses collaborateurs, ses partenaires et ses actionnaires, Méditelecom a obtenu la
certification ISO 9007 version 2000 en Février 2003 pour l’ensemble de ses processus : conception, implémentation,
commercialisation et opération maintenance du réseau, des produits et services de téléphonie mobile ainsi que le
support des clients, distributeurs et points de ventes.
Méditelecom s’est également décerné le Prix National de la Qualité en Décembre 2003, octroyé par le
Ministère du Commerce, de l’Industrie et de mise à niveau de l’économie.
En Avril 2004, Méditelecom a obtenu la Certification NM ISO 9001 version 2000.
Plusieurs collaborateurs de différents métiers : Réseaux, Service clientèle, Marketing, Commercial, Juridique,
Finances, Informatique et Ressources Humaines ont rejoint Méditelecom et ont contribué, par leur savoir-faire et leur
professionnalisme au lancement réussi et au développement de l’image de marque de Méditelecom.
A ce jour, Méditelecom a crée plus de 10 000 emplois dont plus de 710 représentent des emplois directs. La
moyenne d’âge des collaborateurs de Méditelecom est de 29 ans et 65% d’entre eux sont titulaires de diplômes
universitaires.