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Les anomalies auxquelles sont confrontées les startups et

leurs solutions proposées :

 La perte de données :

Plus de trois entreprises sur dix ont aujourd’hui déjà souffert d’une perte
de données. Un chiffre qui n’est pas anodin et qui doit avant tout être
anticipé par la sensibilisation des employés de votre entreprise à la
sécurité informatique (clés USB, mobile, etc.), mais également par une
sécurisation des systèmes et la mise en place d’une assurance
professionnelle afin de protéger votre activité.

 La perte d’un client suite à un litige :

Les réclamations clients existent, bien évidemment, mais 95% d’entre


elles n’enrayent pas les bonnes relations établies si elles sont résolues
rapidement. Comme pour les litiges liés aux retards de remises de projets,
il faut pouvoir s’engager en amont sur des objectifs de chiffres réalistes.
En cas de litige déjà établi (résultats non atteints, etc.) vous pouvez alors
proposer une compensation à votre client afin de maintenir un bon
relationnel. La protection juridique, acquise par la prise d’une assurance
professionnelle, prend également dans ce cas tout son sens.

 Se faire connaître auprès des clients :

Il est difficile de se faire connaître lorsque l’on se lance dans l’aventure « startup ».
Une solution efficace pour y remédier est de créer un produit qui soit

intrinsèquement « viral ». La viralité peut se faire via un système d’invitation et


d’incitation à l’invitation, soit par le lancement d’un produit disruptif suscitant lui-

même l’intérêt des consommateurs.

Pour se faire connaître il faut exploiter les opportunités de communication


« gratuite » en utilisant l’actualité et envoyant au bon moment des

news/communiqués de presse sur les bons sujets.


Il faut évidemment connaître la cible visée pour se faire connaître. En B2B, les

recommandations et les communications sur les médias professionnels sont à


privilégier alors que le B2C nécessite une communication plus large et des actions

d’e-marketing pertinentes. Des actions innovantes du marketing et les réseaux


sociaux peuvent aider à créer de la notoriété à moindre coût.

 Développer une technologie et internaliser les compétences :

Dans l’idéal, l’un des fondateurs doit être le CTO (Chief technology officer,

directeur de la technologie) et la tête pensante. Délocaliser la recherche, la

conception ou le savoir-faire est beaucoup plus dur.

Il faut tout d’abord identifier la valeur ajoutée principale du projet (marketing

et commerciale, innovation et technologie…) pour internaliser les bonnes


ressources. Le talent des fondateurs permettra ou non de s’adjoindre les

meilleures compétences.

Il faut comprendre quels sont les composants indispensables à la valeur


ajoutée du projet pour les internaliser. Il faut à l’inverse externaliser tous les

autres c’est à dire les éléments permettant de développer le service mais qui
ne sont pas le cœur de métier.

 Un salarié qui ne prend aucune initiative :

Un salarié, aussi brillant soit-il, a besoin de temps pour monter en


compétence et prendre son poste. Nous avons constaté qu’il faut en moyenne
6 mois à un employé pour maîtriser les fondamentaux de son poste… pas
moins ! L’enjeu est aussi d’accepter en tant que manager ce temps de
formation et de modérer (un minimum) ses attentes dans les premiers mois
pour permettre ensuite au salarié d’accéder plus vite à l’autonomie.
Solution trouvée : Le salarié n’avait jamais eu l’occasion de prendre des
initiatives dans ses expériences passées. Il ne savait pas que c’était une
attente de son entrepreneur.
Cette conversation a également permis de faire la lumière sur les objectifs de
sa fiche de poste, trop ambitieux pour quelqu’un qui débute, sans opportunité
de célébrer des petites victoires rapidement pour gagner en confiance !
L’entrepreneur a donc revu la fiche de poste et a défini des objectifs plus
accessibles pour les premiers mois. Il a aussi montré sa confiance en ses
capacités à réussir. Car sans confiance en soi, et sans savoir que l’échec
n’est pas la fin du monde, comment prendre des initiatives ? Car on ne peut
évidemment pas reprocher à quelqu’un de ne pas prendre d’initiatives si à
chaque fois qu’il tente quelque chose on lui reproche les essais qui n’ont pas
abouti positivement.
Et ça a marché. Le salarié a peu à peu repris confiance. Et après un an, il est
même devenu associé de la start-up en question !

 Trou de communication après le lancement :

Définir une ROADMAP produit à 12MOIS et son plan de financement ; bien


choisir les médias adaptés . Exécuter un cycle d’amélioration produit
trimestriel à semestriel avec une communication associée , gérer un cycle de
communication : Nouveaux produits et nouveau clients, partenariats, levées
de fonds , …

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