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Formulaire (mathématiques,

physique, chimie atomique) :


à l'usage des aspirants aux
baccalauréats d'ordre
scientifique, [...]

Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France


Pialat, R.. Auteur du texte. Formulaire (mathématiques, physique,
chimie atomique) : à l'usage des aspirants aux baccalauréats
d'ordre scientifique, des candidats aux écoles du gouvernement
et des élèves des écoles normales (9e édition) / R. Pialat. 1899.

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R. PIA.L.AT

EaRM,ULAIRE
^ATH|MlQUE8 — PHYSIQUE CHIMIE ATOMIQUE)
~
A L'USAGE

DES ASPIRANTS AUX BACCALAURÉATS

D'ORDRE SCIENTIFIQUE

DES CANDIDATS AUX ÉCOLES DU GOUVERNEMENT

ET DES ÉLÈVES DES ÉCOLES NORMALES

NEUVIÈME ÉDITION

PARIS
LIBRAIRIE NON Y & G-0
63, BOULEVARD SAINT-GERMAIN, 63
TABLE DKS MATIÈRES

MATHÉMATIQUES

ARITHMÉTIQUE 3 à 5
ALGÈBRB 7 à 10
GÉOMÉTRIE :
Polygones réguliers 13
,
Aires. , H
Volumes 15 et 16
Formules relatives au triangle 17
TRIGONOMÉTRIE 20 à 24
MÉCANIQUE 27 à 33
COSMOGRAPHIE 35 et 36

PHYSIQUE
PESANTEUR 38 à 41
CHALEUR 41 à 44
ÉLECTRICITÉ 44 à 46
ET MAGNÉTISME
OPTIQUE 46 et 47
ACOUSTIQUE 47 et 48

CHIMIE minérale
MÉTALLOÏDES 51
MÉTAUX 55
PRINCIPAUX COMPOSÉS OXYGÉNÉS ET HYDROGÉNÉS DES MÉTALLOÏDES
.... 57

CHIMIE organique
(Baccalauréat de l'enseignement pxoderne, lettres-sciences) ... 63

i
ANNEXES

ARITHMÉTIQUE
Table des nombres premiers de 1 à 10000
i ...... .
76
78 et 79
. . .
Table des plus petits diviseurs des nombres de 1 à 10000
Table des racines carrées des nombres de 1 à 100
...
".*...
80 et 81
82
ALGÈBRE 83 et 84
GÉOMÉTRIE :
Aires. . .
86
Volumes 87
. ; . . t

Le présent FORMULAIRE se vend i fr. — Cartonne toile souple. 1 fr» 50;


FORMULAIRE
i
.
a l'usa go
OES ASPIRANTS AUX BACCALAURÉATS D'ORDRE SCIENTIFIQUE, OES CANDIDATS AUX ÉCOLES
OU GOUVERNEMENT ET OES ÉLEVÉS OES ÉCOLES NORMALES

ARITHMÉTIQUE
Caraotères de divisibilité par 2. 5; 4, 25; 8, 125 ; 9, 3.
Un nombre est divisible par :
2, l Quand le chiffre des unités est divisible par 2 ou par 5. Dans le premier
5 ] cas, co chiffre est pair; dans le secon vis, il est 0 ou 5.
;

/ Quand le nombre formé par les deux derniers chiffres est divisible par 4
1 ou par 25, (Avec lo diviseur 4, le nombre considéré peut être rein-
4, ) placé par lo chiffre des unités augmenté du double du chiffre des
25) disaines.)
f Ex. : $36est divisible par 4, parce que 6 + 2X5 = mult. *;
\ 350 — 25, — 50 = mult. J5.
i Quand lo nombre formé par les trois derniers chiffres est divisible par 8
ou par 126. (Avec le diviseur 8, le nombre peut être remplacé par le
chiffre des unités augmenté du double du chiffre des dizaines et du
quadruple du chiffre des centaines.)
Ex. : 376 est divisible par 8, parce que
6 + 8X7 + 4X3 = 32 = mult. 8;
8373 est divisible par m, parce que
375 = mult. 183.
/ Quand la somme de ses chiffres est divisible par 9 ou par 3.
9 \ Ex. : 738 est divisible par o. parce que
3 i 7 + 3 + 8 = «=mult.9i
/ ,.,.,,
438 est divisible par 3, parce que
+ 3 + 8 = 15 = muIt. 3.
\ 4
Remarque. — Lorsque, dans l'application d'un des caractères ci-dessus, lu division
laisse un reste, ce reste est le même que celui provenant de la division du nombre consi-
déré par le diviseur essayé.
Preuve par 0 de la multiplloation.
67254 Lo reste de la division par 9 est 6, que l'on inscrit en [a]
863 — — 9 est 8, — ' — (61

201762
403524
538032
58040202 — — l'inscrit en (rf).
9 est 3. On
En (c) on écrit le reste do la division paro du produit (a)X(W.
Si l'on a (c) =
(d), ou bien l'opération est exacte, ou bien on a commis uno
erreur d'un multiple de 9.
Plus grand oommun diviseur et plus petit commun multiple.
EXEMPLE: 8424 = 2\3«.
2.3\
13
23?2 = 2».3J.5 43
180 = 2.3'. 7
126 =
p. g. c. d. 2 .3* = 18
= 2\3'.5.7.13.43
p. p. c. m. = « 12678120.
Nombres premiers à essayer pour reconnaître si un nombre
donné est premier.
Entre 10 et 100 : 2, 3, 5, 7.
Entre 100 et 1000 : 2, 3, 5, 7,11,13,17,19, 23, 29 et 3t.
On ne peut pas avoir d'autres nombres que ceux-là à essayer; mais il est inutile de
les essayer tous. On doit s'arrêter dès que l'on arrive à un quotient entier égal ou inférieur
au dernier diviseur employé. On peut affirmer alors que le nombre est premier.
Baccalauréats classique et moderne.

Conversion des fraotlons ordinaires en fraotions deoimales.


(On suppose que la fraction est rcMuilo à sa plus simple expression).
Cas où le dénominateur h ne contient pas d'autres facteurs que 2 et 5. — La
fraction ordinaire se transformo exactement en fraction décimale
* Soll b " '/V. Le nombre des chinVe* décimaux esl égal au plus grand deg exposant* « et s.
Cas où le dénominateur b est premier avec 10. — On n une fraction périodique
simple.
* Le nombre de* chiffre* de la |<£riode e*t égal a l'exposant do la plu* petite puissance de lOqui,
divisée par b, donne pour reste 1.
Cas ou h est de la forme 2"5?b'. — On a une fraction périodique mixte.
* Le nombre de* chiffre* de la partie non périodique est égal an plu* fort des exposant* a et }•
Lo nombre de* chiffre* de la période esl égal à l'exposant de la plu* petite puissance de 10, qui
divisée par b, donne pour reste I.

Détermination de la fraotion génératrice d'une fraotion


déoimale périodique.
EXEMPLES :
Fraction périodique simph. Fraction périodique mixte.
=|j. _36528-36_36492
0,565656... 0,365.8528...
0 365*8528 --^-^.—^.
Extraotion de la racine oarrée d'un nombre entier à moins
de 1 près.
(EXEMPLE: 9876513).
' Ces produits ne 9.8 7.65.43 3142
doivenlpass'écrire: •9
on retranche men- 6.1
talement. 8.7 _1
•61
62.4
266.5 4
2496
169 4.3 62 8.2
2
12564
Reste 43 7 9
Kxtraotion de la raoine oarrée d'un nombre fraotlonnaire
à moins de 1 près.
>
On extrait la racine carrée à moins do 1 près de la partie entière.

Extraotion de raoine carrée à moins de - près.


n
Soit h évaluer la racine carrée de 19 à -5 près.
C'est le nombre
-5 tel que l'on ait

l'on voit que x est la racine carrée de 475 ô 1 près ; x 21.


21
=
La racine cherchée est — •
5
On procède d'une façon analogue pour un nombre fractionnaire.
Baccalauréats classique et moderne.

Propriétés des rapports et des proportions.

Propriété de plusieurs fractions ta égales.

Formule de l'intérêt simple. Formules d'escompte.


a, capital. a, valeur du billet à l'échéance.
I, taux de l'intérêt.
t, taux de l'intérêt. n, nomr-, t de jours depuis le jour de
l'es >mpte jusqu'à l'échéance,
n, durée du placement (en ours). n', nombro de jours entre la signature
t, intérêt du capital. et l'échéance du billet.
e, escompte.
aln Escompte en dehors : e = QflnnA«
* _~ 36000' oo 000
Escompteendedans:e=3g^r(.
Arithmétique. Notes.

Baccalauréats classique et moderne.

ALGEBRE

Calcul des puissances et des radicaux.


Puissance*.

Résolution d'un système d'équations du premier degré


à deux inoonnues.

Résolution d'un système d'équations du premier degré


à trois Inoonnues.
Les valeur* de oe} y, % se présentent sous formo de fractions ayant pour
dénominateur commun
(On suppose cette quantité différente de zéro.)
Lenumérateurdexsedéduitdudénominateuren remplaçant a,a\ a" par d,d',d*.

- * - 0,^,0'-d,d'>.
Baccalauréats classique cl moderne.

Résolution de l'équation du second degré


à une inconnue : ax* + bx + c = 0.

Formes remarquables sous lesquelles on peut mettre


le premier membre de l'équation du second degré.

Résolution des inéquations du second degré.


Les ramener à la forme ax* + bx +- c > 0.
SOLUTIONS
Dilféreuls cas """ ^.
o<0 ~~
a>
^ 0.
Tous les nombres extérieurs Tous les nombres compris
o».» -4ac>0
I^-^A à l'intervalle a' x" entre x' et x"
6* —4ac=0 Tous les nombres excepté x' l'as de solution
(
b*
— 4ac<0 Tous les nombres ' Pas do solution
^—^—=mSSSSSSm l —————^—. I I,

Relations entre les coefficients et les raoir.es de l'équation


du seoond degré.

Résolution de l'équation bicarrée «x' + bx* +- c = 0.

On n )cs quatre valeurs do x en associant des quatre manières possibles les


signes placés devant les radicaux.
La discussion est assez compliquée et no peut être résumée; clic comporte
trois grandes divisions cl neuf cas distincts.
Baccalauréats classique et moderne.

Opérations permises sur les inégalités.

Inégalités simultanées.

Maximum et minimum du trinôme ax% + bx + c,


10 Baccalauréats classique et moderne.

Maximum du produit de deux facteurs.


Le maximum du produit de deux facteurs variables, dont la somme est cons-
tante, a lieu lorsque ces facteurs sont.égaux.
(Si les facteurs varient dans des limites qui ne leur permettentpas de devenir
égaux, le maximum du produit a lieu lorsque la différence des facteurs est
minimum.)

Minimum de la somme de deux faoteurs.


Le minimum de la somme de deux facteurs variables, dont le produit est
constant, a lieu lorsque ces facteurs sont égaux.
(Si les facteurs ne peuvent devenir égaux, le minimum de leur somme cor-
respond au minimum de leur différence.)

Maximum du produit de plusieurs faoteurs positifs.

(On suppose que ces égalités peuvent être satisfaites.)

Progressions arithmétiques.

Progressions géométriques.

Intérêts oomposés.

Annuités.
Algèbre.
— Noies. 11
,
H Algèbre.
— Notes.
Baccalauréats classique el méderne. 13

GÉOMÉTRIE
Polygones réguliers (de côté c).

CONVEXES ÉTOILES
POLYGONES
BAIM D(J cEKaK RAY0N DU CERCLE
APOTHEME SURKAPK
SURKACB
CIRCONSCRIT CIRCONSCRIT
"
Triangle.
.. jcv/3-
1
-r^3
1
£''v'-3
I

^ ».
Carré . . .

- c
i-
\'2 je
1
c:

Pentagone.
^c ^50 + lo/ô ^c\/l23 +10^5
jr cî
V/'25+10\'5 1 c%/tO-lù/b

Hexagone c -c^3 - e»y'3

Octogone .
I e\/l + ij2 c(l+s/2) 2 c^M+l) ^ cV
* - 2\/2
. «
L ç(s/5 jc\/5 + 2^5 |c»\/5+2\/B i (^li)
Décagone.
.
+ l)
Dodécagone i c(s/Ô + y/2) i c (2+v7 3 a c' (2+^3/
^ Vë-Vâ)
e
.

Polygones réguliers (inscrits dans un cercle de r.-iyon R).


!
CONVEXES ÉTOILES
l'OLYT.ONES — —— ——
cAîK APOTHÈME SUR FACE COTÉ

Triangle. R \';ï *-
H
'*
R» ^3
. .
'
Carré. ... J H \'2 Il \/2 2 R'
.
\ V^iO
Pentagone. I»
V^IO
-2V» J
R
(v'5
+ l) jj

\/|0+-2>/5 R + 2^5
Hexagone .
.

.
It
£
H \fiï
| II' \':l

RV2-V2 J \fl. yjï 2ll>\'2 V^2


Octogone
. .
K + H +- v2
-1) \/|0 + 2V6 UVlO
Décagone
. . ^ R (<Jb J.
R i - 2^5 R
(^5 + i)

Dodécagone
J-
R (\/'J- ^2 ) | R (^0 + s/ 2) 3 R»
^
H ({Û + y/J)
.

Rapport de la olroonférenoe au diamètre (;t).

Moyen de retrouver les premiers chiffres de n J


Écrire lo vers cl-dcssouj et totaliser le nombro des lettres de chaque mol :
Que j'aime à faire apprendre un nombre utile aux sages /m
3, 1 4 i 5 » 266*35
14 Baccalauréats classique et moJerne.

Aires.
Baccalauréats classique et moderne. 15

Volumes.
16 Baccalauréats classique et moderne.

Volumes (Suite).
Baccalauréats classique cl moderne 17

Principales formules relatives au Triangle. (Voir les formules


trigonométriques à la page 2-3.)
18 Géométrie. Notes.

Géométrie. —Notes. y 19
an Baccalauréats classique et moderue.

TRIGONOMÉTRIE

Signes des lignes trigonomôtriques d'aros terminés


aux différents quadrants.
i«r Quadrant. !"• Qoalraot. 3"*Quadrant. {"•Qiairtnl.

Sinus, cosécante +> +• — —


Tangente, cotangente. . .
+• — -4- —
Sécante, cosinus + — — +
Relations entre les lignes trlgonométrlques de oertains aros,

Relations fondamentales.

Relations utiles, déduites des précédentes.


Baccalauréats classique el moderne. 21

Addition, soustraotion, multlplloatlon et division des aros.


1

Valeur des lignes trigonomôtriques de oertains aros.

ARCS SINUS COSINUS TANOENTE


HIMM ««îHiiiHMMMMiOTHMHB «av^Mi^ii^i^^niimaMm» mmimmmmmmmmm—^—^m^—^mm^
15.
1(^/6-^) 1(^6
+ ^2) 2-^3
4 4
18*
1(^-1) Vl0+>2v/5 Vî5-10>/5
4 4 0
3<" %
Ï* &
36- WiO-îJb ' rWS + 0 ]/t tJb
4 4 —

45-
iy/ï i^ï 1

60-
^ \ & ||

En partant des données ci-dessus, on pourrait calculer les lignes trigo^


nométriques de tous les arcs, do 3» en 3°, en observant que :
I. 3«=18«—15* 12» 30*-18» u-
= $g» nK.Za.
6«=36«-30« 2f 36«-15» 1T 33,=45'—12»
= o.,..^.~?Âai. ?|00. _
*s. _fi*
42« — 45* — «
=
9»=45«—36» 27» 45» — 18*
Les lignes trigonoroétriques dés arcs supérieurs d 45* se déduisent des
lignes trigonometriques des arcs complémentaires.
Baccalaoréals classique el moderne.

Formules de transformation.

Formules rendues logarithmiques.


Baccalauréats classique et moderne. aa

Prinoipales formules relatives au triangle.


(Voir les formules géométriques à la page 17.)
NOTATION
a, b, c, côtés. ma,mb)mc, médianes.
p, demi-périmètre. R, rayon du cercle circonscrit.
A, B, G, angles. r, — inscrit.
Kihthf hauteurs. ra, rb,re, rayons des cercles exin»
la, lb, le, bissectrices des angles in- scrits.
térieurs. I, centre du cercle inscrit.
l'a. Ç l'ci bissectricesdes angles exté- Ia, Ib, le, centres des cercles oxin-
rieurs. scrits.
2t Baccalauréats classique et moderne.

Résolution des triangles quelconques.

CAS nwlu ncomu KOH.MLI.ES

a A nsin B a sin C
1.*Cas B 6-
. _~ sin (B 4- C)' c-«^IHFcj
_
flt sln sin C
_JL_
n _= 180--,B+-C),
Ai
icn. n rv gc = 5-i__ïïj .
D

.gA^^a-^S
2« Cas
a
b
A
II
i±J? 00.-5.
2
^(a +
= 2 b
6)«ln^(a-6)cos|
2 a+b
^
'2
qb g|n
C C~ ~" ' S~ 2
c A —B A— B
cos*—-— .
sin
' 2 2

Ml*
sin B = c = 180' - (A + B)
a sin C ub sin G
c=z———,
sin
A
S
_ =—-— 2
3* Cas [<i>o 1 sol. Baigu
) a<6sinA, 0 sol.
y. .^-nn. ii<6 l
, . . ,
A c < a=ôslnA,lsol. B droit
# [ (a>6slnA,2sol.B'oigu,B"obtus
R
3 ' tn<b .
.'
. . .
Osol.
^ (a>o 1 sol. B aigu
' i
______ _____

4.CS » B
«
V;
y'y-°> ' V W-- 61

Formules de Simpson.
Trigonométrie.
— Notes. 28
Trigonométrie, Notes.

Baccalauréats classique et moderne.

MÉGANIQUE

STATIQUE

Forces parallèles.

3° n forces. — On compose toutes les forces parallèles de mémo sens, ensuite


toutes les forces parallèles de sens contraire a celui des premières; enfin on
compose les deux résultantes partielles. On obtient :
28 Baccalauréats classique et moderne.
* h)lnUi|ul InU-re-n-nt leuli'incnl leirar»'li<tal» au B3rralauK-.it Hlrci-sclcnfcf.

Théorèmes des moments.


I. — Sommo moments do n forces concour. complanes par rapporta un point
de leur plan = moment do résultante.
II. — Somme moments de n forces concour. par rapport a un axo moment
do résultante. —
III. — Somme moments de n forces parallèles complanes par rapport à un
point do leur plan = moment de résultante ou du couple résultant.
IV. — Somme moments de n forces parallèles par rapport a un plan--moment
de résultante ou du cou pi j résultant.
Coordonnées du centre de n forces parallèles.
Baccalauréats classique el moderne.
l-iiinli i|iii inl.'rrssi'nt feulement If* rin<li<1att au Bircalaurtut l.ltre&'Ioixvi.
30 Baccalauréats classique et moderne.
• point* qui Intéressent feulement le* ran-IMal* au BacralauKal Mlrei-soUncei.

Réduction des forces appliquées à un solide. •

Des forces en nombre quelconque appliquées a un solide peuvent toujours so


réduire :
Soit à trois forces appliquées à trois points arbitraires (non en ligne droite)
du solide;
Soit à deux, l'une passant par un point arbitraire;
Soit à une passant par un point arbitraire et a un couple.

Équilibre du solide libre.


Les sommes des( projections des forces sur 3 axes rectangulaires Or, Oy, Os
doivent être nulles. Les sommes des moments des forces par rapport à chacun
de ces axes doivent être nulles.
Donc, six conditions, qui s'écrivent :

Équilibre du solide gêné.


1* Solide ayant un point fixe. —11 faut et il suffit que les forces admettent une
résultante passant par le point fixe.
2* Solide ayant un axe fixe. — 11 faut et il suffit que la somme des moments
des forces par rapport â l'axe soit nulle.
3* Solide reposant sur un plan poli: 11 faut et 41 8tiffit que les iorces admet-
— plan, dirigée vers le plan et perçant le
tent une résultante, normalo au
plan à l'intérieur du polygone convexe d'appui.
* Voir : Problèmes de Mécanique, par Th. Caronnct.
Baccalauréats classique et moderne. 31
» Point* gui intércisent »eulem«nl le* candidat* au Baccalauréat letlret-sclenre*.

Équations d'équilibre des maohines,


P, Q, puissancoet résistance appliquées à la machine.
32 Baccalauréats classique el moderne.
* Point* gui intéressent reniement le* candidat* au Baccalauréat letlres-trlenrc*.

CINÉMATIQUE
(c, espace; /, temps; v, vitesse; y, accélération).
Baccalauréats classique et moderne. 33
Point* gui Intéressent seulement le* candidat* au Baccalauréat lettret-Mlcncc*.

DYNAMIQUE
•KQUVTIO.N FONDAMENTALE DE I.A DYNAMIQUE '. (F) = (»»Y).
UNITÉS (C, 0. S.)' DE FORCE ET DE MASSE.
(irammc-masse ou masse du centimètro cube d'eau pure a 4*.
Ihjiw o\i force capable do communiquer au grainmc-masso une accélération
do 1 centimètre.
1 kilogramme = lu 5 X 0,808 dynes.
MOUVEMENT DU POINT SUR LE PLAN INCLINÉ POU.
34 Mécanique. Nole3

Baccalauréats classique et moderne. 35

COSMOGRAPHIE

Soleil.
Volume 1283720 fois celui de la terre.
Masse. 324439 fois celle de la terre.
Densité 0,353
Rotation 25J4h29«n
Parallaxe i
8% 80 avec une <feu,r
e"PJUS
" » J ou en moins de 0",06.
Diamètre apparent moyen 32' 3", 64
Obliquité apparente de l'écliplique au
1» juillet 1899 23» 27' 7",67
1
Excentricité de l'écliplique —

,
Planètes.

DURÉE DURÉE'
DlsTANCEs
PLANÈTES des révolution* de,a
moyenne» VOLUMES MASSES
sidérale* AU sotm ROTATIOK
en jour* moyen*

li. ». t.
Mercure. 87,969258 0,3870987 0,052 0,061 24 0 50
. .
Yénus. 224,700787 0,7233322 0,975 0,787 23 21 22
Terre....
. . .
365,256374 1,0000000 1 1 23 56 4
Mars
....
Petites planètes
686,979616 1,5236913 0,147 0,105 24 37 23
.
Jupiter .. .
4332,588171 5,202800 1279,412 308,990 9 55 37
Saturne. . .
10759,236360 9,538861 718,883 91,919 10 14 24
Uranus 30688,39036 19,18329 69,237 13,518
. . .
Neptune. 60181,11316
. .
30,05508 54,955 16,469

|BBaaaHaB_aBE_a__B_______________________^

Terre.
Distance au soleil. 23 280 rayons terrestres ou 37110 000 lieues.
Demi-grand axe ou rayon do l'équateur. 6378393"
Demi-petit axe ou rayon du pôle. . . ., 6356549"
Aplatissement —environ.
Rayon de la terre supposée sphérique.
Longueur de l'arc de 1* du méridien
....... 6371104"
111196,8

Durée moyenne des saisons.


Printemps
Été
............
.
OU 21»»
93J 14b
Automne
Hiver
89i
891 O*
19*>

Satellites des Planètes.


Nombro do satellites connus i
Terro : 1 Mars : 2 Jupiter: 4
Saturne : 8 Uranus t 4 Neptune : 1
36 Baccalauréats classique et moderne.

Lune.
Distance à la terre. 60,273 rayons do la terre, ou 96109 lieues.
. . .
1
Volume '

de celui de la terre.
50
i
Masse de celle do la terre.

77
Révolution sidérale 27J 7M3" l',5.
Révolution synodique 29J 12>» 44» 2,,9.
Parallaxe 57'
Excentricité de l'orbite —
. 18
Diamètre apparent moyen 31' 8",18

Diamètre apparent d'un astre.

_ a, angle sous lequel l'astre est vu.


S, déclinaison de son centre.

Relation entre le diamètre apparent d'un astre


et sa distance à la terre.
çd = f'd' =consl.

Parallaxe horizontale d'un astre.


Cosmographie.
— Notes. 37
38 Baccalauréats classique et moderne.

PHYSIQUE
Système des unités absolues G. G. S.
Adopté en 1881 par le congrès des électriciens.
Trois unités fondamentales : centimètre, gramme-masse, seconde.
Les unités mécaniques dérivées sont :
Unité de vitesse C. G. S. : vitesse d'un mobiU parcourant d'un mouvement uni-
forme un centimètre en une seconde.
Unité d'accélération C. G. S. : accroissement de vitesse de un cent, par seconde
dans un mouvement uniformémentaccéléré. L'accélération g due à la pesanteur •

vaut 980,96 unités d'accéléralion C. G. S.


Unité de force C. G. S., appelée dyne : force qui imprime l'unité d'accélération à
l'unité de masse. Le gramme-poids vaut 980.96 dynes.
Unité de travail C. G. S. ou erg: travail ellectué par une dyne déplaçant son
point d'application de un cent, dans sa direction. Le kilogrammètre (travail
qu'il faut dépenser pour élever un poids de lk| à ln do hauteur) vaut
98.096.000 ergs. On emploie aussi le joule = 107 ergs.
Unité de puissance C. G. S. : puissance d'un moteur qui fournit un erg par
seconde. L'unité pratique est le watt (un joule par seconde). Le clicval-vapeur
(travail de 751*" elfectué dans une seconde) vaut 7 3i7 200 000 unités de puis-
sance C. G. S.
PESANTEUR
Poids d'un corps : P= mg.
,
du
m, masse corps; g, accélération qu'il prend sous l'action do la pesanteur.

Lois de la ohute libre des corps dans le vide.


Les corpi tombent tous également vite; leur mouvement est vertical et unifor-
mément accéléré.
Loi DES VITESSES : v = gl (Les vitesses sont proportionnelles aux temps).
1
LOI DES ESPACES: e^^'.fLesespaccssontproporlionnelsauxcarrésdestemps.)
ut
Machine d'Atwood. — Principe : Y'
1 ' = g—,
J 2M + m•
Gorps lancés de haut en bas, aveo une vitesse initiale vt.
Baccalauréats classique et moderne. 39

i
Lois des oscillations du pendule.
Elles sont contenues- dans lu formule

établie pour de petites amplitudes (no dépassant pas quelques degrés).

formule qui permet d'évaluer l'intensité de la pesanteur en un lieu donné,


quand on a mesuré Ici t.
g varie avec la latitude et l'altitude; à Paris, g =9ra,8096 pour une altitude
de 72".

Balance.
formule renfermant les conditions de sensibilité :

Méthode des deux pesées ou do transposition:

Principes d'hydrostatique.
P S p
PRINCIPE DE PASCAL : Pression en un point lim'. -•
P'
T-, -- —
S•
: r. .—
w
Théorème fondamental de la transmission des pressions dans les liquides pesants
«' « hdy. = +
Pression sur un fond horizontal : P = Slldg (II, hauteur du liquide).
Pression sur une paroi plane latérale : P Slldg (II, distance du centre de

gravité dt? la paroi au niveau du liquide).
H D'
Principe des vases communicants à deux liquides : — -.- (II et
II' sont

comptées au-dessus du niveau do séparation des liquides).
PIIINCIPE D'ABCHIMÈDE: Poussée
liquide).
=
V.Lty (V volume du corps, I> densitô du

Poids spécifiques. Densités.


P
Poids spécifique absolu ; it ==.-.— Densité absolue: 8 -r y M

Poids spécifique relatif : p = n-7. — Densité relative '.d -~c


P, M, Y, poids, masse, volume d'un corps.
n' et 8', poids spécifique absolu et densité absolue de l'eau.

S, =
D. — A cause de P rs M<7, on a * gi; de môme. *' = gV, d'où p -~t d.
bans le système métrique, par définition *' = H'\ alors
»_.,,
.
.M
= „= V = S|„ M

M'étant la masse d'un volume d'eau fgal à celui du corps.


40 Baccalauréats classique et moderne.

Graduation des aréomètres Baume.


POUR DES LIQUIDES PLUS DENSES QUE L'EAU (pèse-sels, pèse-acides,...) :
0, point d'affleurement dans l'eau pure; il est situé au haut de la tige.
15, — dansunosolutiondol5part.deselmarinetde85d'eau.
On divise l'intervalle de 0 à 15 «n 15 parties égales, et on prolonge la
graduation.
Formulesd'équilibre: dans l'eau, M=Ni>; dans l'eau salée, M=(N—15)t>Xl,U
=
dans un liquide de densité x, M (N — n)vx.
M, masse de l'aréomètre; N, nombre total de divisions; v, vol. d'une division.
Pouit DES LIQUIDES MOINS DENSES QUE L'EAU (pèse-esprits, pèse-liqueurs,...}:
0, point d'affleurement dan* une solution do 10 parties de sel marin et
do 90 d'eau; ce point est au bas de la tige.
10, point d'affleurement dans l'eau pure.
On divi.-o connue ci-dessus.

Pesanteur de l'air.
Pressionatmosph.suruncenlim.caiTé=lk»,033«,-=1.013.000dynes(lI-r760',n').
Masse du litre d'air sec à 0* __1«',293 (II=760—).
1 H- )t
r-;H, nombre de divisions lues sur
Correction barométrique: II. = II 1 -i-
-, Ai
l'échelle métallique; ).,coefficient linéaire du métal de l'échelle; A, coefficient
do dilatation absoluo du mercure. /
,

Loi de Mariotte..

Lois du mélange des gaz.

v, t>„ v„ ..., vn, volumes respectifs des différents gaz aux pressions res-
pectives p,p„plt ...,p„.
V, volume du mélange gazeux sous la pression P.

Graduation du manomètre à air oomp'rimé.

/, longueur du tubo depuis lo niveau du mercuro dans la cuvelto (supposée


invariablo) jusqu'au sommet.
H, pression atmosphérique.
ce, longueur occupée par l'air, dans lé tubo, aous une pression P.
Baccalauréats classique et moderne. 4-1

Maohine pneumatique.
Pression après n coups de piston.
.

Maohine de compression.
Pression après n coups de piston.

I Sans espace nuisible : il n'y a pas de limite a la com-


\ pression.
„ . limite
Pression .. ., < o
/ Avec espace nuisiblo : F =
H.—

Pompes, siphon.
Travail dépensé dans Vaxeensiondu piston d'une pompe aspirante amorcée:
T =S(A +h')hg ergs:
S, surface du piston en cent, carrés; h, hauteur du corpi do pompe en cent. ;
/>', hauteur du tuyau d'aspiration en cent.
Formule du siphon fonctionnant dans un milieu de densité d :
= B «(ft' —A)(D-d)i
s, section du nphon; h et /»', hauteurs do la pttilo et de la grande branche
au-dessus de la surface libre du liquide dans lo vaso correspondant; I),
densité du liquidée transvaser; R, résultante des pressions exercées aux
deux extrémités du siphon.

CHALEUR
Thermométrle.
Échelle centigrade: 0*, température de la glacé fondante.
100% températuro do la vapeur d'eau bouillante, à la
pression do 760mm.
Comparaison des trois échelles thermométriques,
Conti|,'i\idc (0» — 100») Réaunnir (0* — 80«) Fahrenheit (31*
— 212»)
100 C 80 R = 180 F
42 Baccalauréats classique et moderne.

Formules dé conversion des températures.

Dilatations.
j° Solides.
J, coefficient de dilatation linéaire j Qn scnsiblomcnt K 3),
K, cubique j __
— —
Les lcll res /. S, V représentent des longueurs, des surfaces,des volumes de corps ;
les indices qui les affectent représentent les températures de ces corps.

2° Liquides.
1
Coefficient do dilatation absolue du mercure = ——--=
5550
0,00018.
/
Coefficient de dilatation apparente du mercure
,

dans les verres ordinaires (en moyenne) = oioO


——-

DENSITÉS : mAmes formules que pour les solides.


THERMOMÈTRE A POIDS: #•• formule: (M — m)(l -j- A/) = M(i 4- kt)\
M, masse du mercure contenuedans lu thermomètreà 0° : tn, masse du mercure
sortie à t", A, coefficient absolu du mercure; h, coefficient cubique
du verre.

Coefficient do dilatation do l'air, et dos gaz en général = 0,003,67.


(On l'exprime quelquefois aussi par -^—, valeur qui diflêro peu do. la précé-
dente.)
Baccalauréats classique et moderne. 43

M, masse du mercure contenuouMnsl appareil a (J*; 11,pression atmosphérique


ou moment de la fermeture à T"; m, masse du mercure entrée à 0°; A,
hauteur de ce mercure; II', pression atmosphérique à ce moment.

Hygrométrie.

Chaleurs spécifiques.
Unité de chaleur ou calorie i quantité de chaleur nécessalro pour élever do 0»
à 1* la temDérature d'un cramme-masso d'eau (netite calorie).
14 Baccalauréats classique et moderne.

Loi de Dulong et Petit : C X P =


constante (5,8 à 6,9).
C, chaleur spécifique à l'état solide ; P, poids atomique d'un corps simple.
Chaleur spécifique de Fair:
sous pression constante : C =
0,238 ;
sous volume constant : c — 0,170.
C
Rapport - déterminé directement: 1,4.

Chaleurs de fusion et de vaporisation.


Détermination de la chaleur de fusion de la glace :
,
Ma; + M6 == M'{t — 0) ; M, masse de glace fondue; x, sa chaleur do fusion ;
' • 0, température finale; M', masse do l'eau et du calorimètre réduit en eau.

Chaleur de fusion de la gldce 80"'


Chaleur do vaporisation de l'eau à 100° 537e' 1
Chaleur totale do vaporisation do l'eau a 100' 637'* 1
JV. Ii.
— La formule de Regnault :
Q = 606,5 -f- 0,305T,
donne la chaleur totale Q de vaporisation do l'eau à la température T.
La chaleur latente de vaporisation ). à cette température est

-
X =606,5

il 0.695T.
Équivalent mécanique de la chaleur: E 425'î'».

-£. = 4Ji>
Equivalent calorifique du travail: r—:
=
de grande calorie.

C.G.S. E = 417 X 101 ergs ; - = -- —-


1 1
Dans le svstèmc d'unités
K 417 X 109
de petite calorie. /
|
ÉLECTRICITÉ ET MAGNÉTISME
Magnétisme.
Deux pôles: pôle nord, pôio sud.

/, force s'exerçant entre deux pôles de masses m et m', situés à une dis-
tance d.
Unité de masse magnétique: masse d'un pôle qui, agissant sur un pôloidentiquc
placé à un centimètre exercerait une répulsion égale à une dyne.

Éleotrioitô statique.

f, forco seiorçanl entre deux quantités d électricité q eto/, situées il une


distance d.
Potentiel en un point : V=
-r '
q, niasse électrique agissant sur le point a la distance r.
Potentiel d'un conducteur quelconque :
—-
V
Q, charge électrique totale du conducteur.
C, capacité électrique du conducteur, qui dépend a In fols du conducteur
et du champ électrique où il se trouve.
Potentiel d'une sphère: V=
-
0, charge électrique totale de la sphère de rayon R.
Baccalauréats classique et moderne.

KS
Capacité d'un condensateursphérique C = -j— ;

UNITÉS ÉLECTROSTATIQUES C. o. s.
1° Unité de masse électrique ou de quantité: quantité qui, agissant sur une
charge égale située d un cent., produit une répulsion d'une dyne. L'unité
pratique ou coulomb vaut 3 X 10' unités électrostatiques C. G. S.
2" Unité de potentiel: potentiel d'unesphôre conductrice de un cent, de rayop,
chargée de l'unité ue masse électrique. L'unité pratique, ou volt, yaut
1
-—— unités électrostatiques C. G. S.
3" Unité de capacité: capacité d'une sphère conductrice de 1 cent, de rayon
et isolée. Le farad est 1 unité pratique; il vaut 3» X 10" unités électro-
statiques C. G. S.
Êlectrioité dynamique.
Loi d'Ampère. — Le polo nord d'une aiguille aimantée est dévié û la
gauche du courant.
Courants d'Ampère. — Si on so place en face d:t pôle nord, les courants
d'Ampère paraissent dirigés en sens inverse du mouvement des aiguilles
d'une montre.
Courant terrestre. — Il agirait dans le plan de l'équateur magnétique, et de
l'est à l'ouest.

Jlésistunce des conducteurs : r=—


es

l, longueur du conducteur, do section s.


c, coefficient do conductibilité.
Méthoiledupontde Whealslone: Les produits des résistances des côtés opposés
du losange doivent être égaux pour qu'il ne passe aucun courant dans le
pont: rV'= rr"r.
Force èlectromotrice. — Loi d'Ohm: I(R -f- r) •_= E (constante).
I, intensité du courant.
R, résistance intérieure do la pilo; r, résistance du circuit extérieur.
K, quantité constante, caractéristique de la pile et qu'on nomme forco
èlectromotrice.
Courants dérivés: Pour une dérivation, on a (lois de KirchofT): I r- i -f- i' ;
=
ir »V ; E 1R -f- ir ; 1, intensité dans lo circuit principal, de résis-
=
tance R ; i et i', intensités des deux courants dérivés, de résistances r et r*.

NJi, — Effet maximum : Résistance intérieure égalo résistance extérieure

dans le conducteur en t secondes; A, équivalent mécanique de la chaleur;


R, résistance ; I, intensité du courant.
46 Baccalauréats classique et modem».

UNITÉS ÉLECTROMAGNÉTIQUES C. o. s.
Les unités absolues ne conviennent pas en pratique; on emploie des unités
dérivées:
Vohm vaut 109 unitésab; Auesé-m. de résistance ; c'est la résistance opposée à
un courant électrique constant par une colonne do mercure do 14k«,4521, et
d'une longueur de 106c,n,3 à 0*.
1
L'ampère, unité pratique d'intensité, vaut — d'unité absolue ë- m. ; il cor-
respond au débit d'un coulomb par seconde; un coulomb met en liberté
0"""<,01035 d'hydrogène dans un voltamètre.
Le volt, unité pratique de force électromotrice, est celle d'une pile produisant
un courant d'un ampère dans un circuit ayant un ohm de résistance; un
élément Daniell a sensiblement un volt de force èlectromotrice. Le volt
= 10' unités absolues é-m.
OPTIQUE
Photométrie.
4* Lumière émise par une source et reçue par une surface plane.

2° Comparaison de deur lumières éclairant de la même manière


une même surface.

Miroirs sphérlques.

p et p, distances de l'objet et do l'image au miroir.


Relation de position entre un objet et son image.

Rapport de grandeur entre une image et l'objet.

Formule de Newton : dd'ssp; d, d', distances d'un point lumineux et do


son foyer conjugué au foyer principal.
Réfraotlon.
Baccalauréats classique et moderne. 47

Lentilles.
4
Convergentes. | Divergentes.
f, distance focalo principale.
p et p', distances de l'objet et de l'image à la lentille.

JV. D. — Aux voleurs négatives de/> JV. B. — Les images des objets réels
correspondent des images virtuelles. sont toujours virtuelles.
Instruments d'optique.

de l'objet (l'oeil est encore supposé contre la loupe).


Microscope composé : Le grossissement est le produit du grossissement de
l'objectif parle grossissement de l'oculaire; la puissance, lo produit du
grossissement de l'objectif par la puissance de l'oculaire.

N. II. — En appliquant aux divers cas la contention cartésienne pour la signification


et l'interprétation des signes, les formules relatives aux miroirs et aux lentilles se
réduisent à une seule pour chaque espèce «le système optique. Les formules relatives aux
lentilles «ont même applicables à des systèmes formés de plusieurs lentilles, comme les
instruments d'optique. (Voir l'ouvrage de M. Oariel : Etudes d'optique géométrique, où
l'auteur n'emprunteque des considérations de géométrieélémentaire pour la démonstra-
tion de toutes les questions de cet ordre. Il a ajouté un chapitre supplémentaire où les
mêmes questions sont traitées par la géométrie analytique.)

ACOUSTIQUE
Vitesse du son.
Dans l'air, — A la température do 0 degré, 331" par seconde environ.
— 16 degrés, 3*1"» —
— «degrés, 33t"\/l +
atpJrtteonJf.
La vitesse du son est Indépendante de la pression atmosphérique.
Dans l'eau. — A la température de 8 degrés, 1435" par seconde.
Dam la fonte. — Environ 10 fois l_ supérieure â la vitesse dans l'air.

Hauteur du son.
Diapason normal, ou fa, -= 435 vibrations doubles pa seconde.
48 Baccalauréatsclassique et moderne.

Lois des vibrations transversales des cordes.

n, nombre, par secondo, des vibrations doubles d'une corde tendue paruno
masse M et ayant pour rayon r, pour longueur l et pour densité d.
M est exprimée en grammes; r, /, g on centimôlrcs.

Gamme et intervalles musloaux.


Gamme diatonique.
Noies
.
ut ré mi fa sol la si ut (octave)
9 5 4 3 5 15
Nombre relatif do vibrations 1
74 Ô -_-
7;
3
. •
o„ «I a
_. o 8
9 10 16 9 10 9 16

Intervalles
8- —
9 —
15 8- — 9 -8 — 15

1+25
X—
Dièse ; sol1*— sol • Bémol : »u"
U
= mi X -r*
21
_4 25

majeur - l majeur —
Demi-ton J
10 ' / mineur 25
mineur —

!,
majeuro
J
5
j
I
'
'

24

uinto:-'-_
/

!5 j-
Quarte:
mineure
r
o - •
2
>
-5
majeure -
Septième : — Oclavo : 2
g
mineure -
5
81
Intervalle entre un ton majeur et un ton mineur (cornma) : —•
80
Physique.
— Xoles. 49
50 Physique, Notes.
—•
CHIMIE

CHIMIE '• ÉXÉRALE

Lois des combinaisons: Le poids d'un composé est égal à la somme des poids des composants. — Deux coi^ unissent toujoursdansdes proportions
invariables pouf former un composé déterminé. — Lorsque deux corps forment plusieurs composés, les _poidsde l'un qui s'unissent à un même
poids de l'autre sont entre eux dans des rapports simples. — Les volumesde deux gaz formant un composé gazeux sont dans un rapportSimple,
et le volume do composé est dans on rapport simple avec les volumesdes composants.
Poids moléculairesdes gaz ei. vapeurs simples ou composes : poids de deux voL du gaz ou de la vapeur comparé au poids d'un volume d'hydrogène
2d
~
~ =
pris pour unité (11 lit-, 11) : m r7_^-=rfX28,88; tn, poids moléculaire; d, densité.
0,Ob9
Poids atomiques:Quand un corps simple forme des composés gazeux ou volatils, son poids atomiquea est le plus grand commun diviseur des poids
64
spécifique.
=
de ce corps entrant dans la molécule de ses composés. Dans le cas contraire, on fixe a par la loi de Dulong (V. Physique) a — ; c, chaleur
c
Principedu travail maximum. — Tout changementchimique accompli sans l'intervention d'une énergie étrangère (chaleur, lumière, électricité) tend
vers la production du corps ou du système de corps qui dégage le pins de chaleur.
MÉTALLOÏDES : Préparations, propriétés, classification Dumas modifiée.

(1) (2) (3)


KTDBOGÈHE H 2 1 Gaz incoUre,inodore, insipide; le plus léger: d = 0,0695; peu =
soluble dans l'eau: S 0,019; très
diiïusif; obtenu en un liquide tram-parentet incolore.
C'est un véritable métal gazeux, il donne des alliages. Très combustible: flamme pale, très
chaude. Mélanges détonants. Réducteur à chaud ou à l'état naissant.
=
/ 1* 3Fe +• 4H*0 Fe'O* -+- SU.
\ ( Zn*-+-S0'H*-=£0'Zn+2H. Flacon
Fils de fer dans un tube de grès porté au rouge et tra-
versé par de la vapeur d'eau.
J
. USP")Q.
.
bitubulé; l'acide doit être étendu.
) Purification:Veux flacons laveurs : 1* solutionsaturée
) «n P ' de.permanganate de potassium pour AsH1 et PU';
I
V
( Zn* -+- 2HC1 =
ZnCl*-l- 2H. 2° solution de soude pour H*S.
(il Symbole. — (2) Poids moléculaire.
— (3) Poids atomique.
_
r
CHLOBE.
= ===== =====
. Cl 71 35,5
-- i
Gaz jaune verdâtre, odeur suffocante; très ourd: d = 2,44; assez soluble: ?, 3; -M
ou à 15* à 4 atm., au moyen des cristaux d'hydrate Cl = liquéfié à — 40», *~
-- ôH^O. H. S. 1*. As,
Corps doué d'actionschimiques énergiques; actions dirwtes
métaux. Phénomènesde substitution et d'addition avec avec tous les
a\cc les matières orgai: ues. Décolorant-
et désinfectant
( 1» MnO1 -f-4HCJ=MnCl*-f-2HS04-2C1. Procédé de Scheelc. On chauffe légèrement
l
/ (
BhP' ) «J lhx0
Pnv» « +
•/ ' un ballon de verre le bioxyde et l'acide.
Procédé de Berlhollet. Mémeappareil. Legazdessc-*
dans
r-^.
S r» . 2NaC +3
av/n1 . « S0
o/u,,,
?* = ché par C.C1* est recueilli directement* la^fck-
*-
*
I " ) SGOIn 'SOW'aH
V
' -+- "**">/"
+ •Hî0 — ""H lution ^cau de chlore) s'obtient par l'apparcil'dc'
Woolf*

"_;•
w
te.
BROME.
. .
Br 160 80 Liquide rouge brun, odeur irritante; </•*= 2,97. Soluble dans le chloroforme, l'éthcr et le sulfure
de carbone.Boutà 63*. Brûlures douloureuses.Propriétéscbimiqnes
Pnip. Par le procédé BcrtliolleL KBr remplace NaCI. On opère bain-marie
'
au
analoguesàïelks du chlore.
dans une cornue suivie
d'un ballon de condensation.
.-_ S?
_J
_r
-5
es
IODE.. I 254 127 Solide en paillettes gris do fer, odeur désagréable; d 4,95. Fonda 113", bout verslSCj donnant t.
. . =
des vapeurs violettes; soluble dans l'alcool, dans CS1.... Colore la jaune"!
en
sublime.
uv
£r
!1* Nal +• CI= NaCl -f- I. Dans'certaines eaux-mères, déplace l'iode peau en Se _L
on par le chlore. On "£
." lave l'iode et on le sublime. %
2* Par le procédé BertJ>oUcl. Kl remplace XaCl. On opère
comme (»our le brome : la
le récipientde condensation sontcornue
et ~
FLUOB... FI 38 19 Gaz d'une grande énergie chimique, isolé en 1886 en électrolysant l'acide Cuorhydrique. Faible en grès. g_
colo-
ration jaune verdâtre, odeu*'trjès désagréable; il irrité la
?g
OXYGÈNE. .0 32 16 = =
gorge et les
Gaz incolore, inodore, insipide; d 1,105; peu soluble: S 0,041; liquéfié à— 13G<>ct
yeux.

nbsorbablepar l'acide pyrogalli_u(c^dditionnédepotasse; absorbaideégalement le 2_*l,5;


phosphore.
Corps Je plus électro-négatiKEminemment comburant: combustionsvives, par
lentes, respiration. Rallume une allumette présentant combustions
point rouge.
il» =
3Mn02 Mn30* -+• 20. Calcination au rouge dans un
une cornue de grès. Tube de sûreté.
Impuretés : C0S et Ai.
! 2Sl1Sl^cKl&Srata^0r" l
o. Chauffer dans une cornue ou dans un ballon de verre.
~ f ClO'if
~ KC1 +
40.
=" )
3* Cr»0*K» -f- S0*H*, S0*K* + (SO4)* Cr* -j- iKH)
Ilestbon d'ajouter3InO»ou mieuxMn>01.
-i- 30. Chauffer le bichromate et l'acide
concentrédans un ballon de verre. j

".*(•.••.'•'.•;
^ -~ •
_^
•'.."•' \
*$$'., '
À;;
W. - f 1 Ozone. — Gaz bleu, odeur pénétrante rappelant celle de la marée; d 1,657 (1 fois 1/2 oxygène);
|. —

If'
liquéfié en un liquide bleu indigo.
Actions chimiquesénergiques ou singulières. La chaleur le décompose a. 2o0». Il
„ colore
"'

.-- a1M bleu un papier ioduro-amidonné.
PRÉP.I. Oxydations lentes :£x.P; 2-SO^H* + BaO' = SO'Ba + H'O
, en
.„,-.,.-...
•'•• S „ _ + 0^ (Ozone).
,_, 3* hlectocite:
I 00
mie. étincelles, effluve. Trois vol. d'oxygènedonnent par condensationdeux vol. d ozone.
SOUFRE
-' S 64 32 Solide jaune citron, insipide, dur, inodore et cassant. Insoluble dans l'eau. Soluble en grande quan-
tité dans la benzine, le sulfure de carbone. Elcctrisable.
Oclacdriquc. Etat natif, rf-2,07; fondàU3*.—/>r«nwft^ç.Obtenupar fusion,
fond àll7*,4. -Amorphe. Insoluble dans CS»; d = 2,06. - . d== 1,97,
Mou. Obtenu en coulant dans
l'eau le soufre à 230* ; redevient dur et cassant Le soufre se volatilise a 440", d de vapeur =
*»<»'» à 860*
*"' — Propriétés curieuses du soufre fondu : a 200* brun et grande viscosité.
Le soufre* est combustible, vis à-vis de 0,CI,Br,l, — comburant vis-à-vis des autrescorps :
g
ses analogies avec l'oxygène. 11 brûle avec une flamme bleue et donne SO\ «.
1 s
SELÉIIUH
" Se 158 79 Solide sous divers états allotropiques : vitreux, cristallin, floconneux, d = 4,3; 4,8. Fond vers 215*, £
. bout vers 665*. Brûle avec unéflamme bleue et donne SeO». 2.
TELLUBE
. .
Te 252 126 Solide, aspect de l'étain, mais gris d'acier, d = 6,25. Fond à 400*, se volatilise au rouge. Brûle avec j§-

AZOTE
. . .
\T
Az 28
2» 14
une flammebleuc et donne TeQ».

**az incolore,inodore, insipide; d = 0,97. Peu soluble : S


Gaz
qui bout à - = 0,020; liquéfié en un liquide incolore
194*. Il entre dans l'air pour 79,2 •/. en volume et pour 77 •/. en poid-.
Il se combinedirectement à Ti Bo,Mg par la chaleur; a O.H par les étincelles ou 1 effluve.
<*

|
g
.
|
àH
2
II n'entretient ni la combustion,1» la respiration.
f( 1* Retiré de l'air, a) par le phosphoreà froid ou à chaud, b) par le cuivre
'* s unissent à l'oxygène
•„__„!..,„«•• r™ ^«U,
chauffe. Ces corps
et laissent 1 azote.
/- =
«_wV~ i 2Az -}- 2H*0. L'azotite d'ammonium c?t
PB#P J <*• AzOVAzH^ ebauflé avec précaution dans une

il
_, jrn«-.
/ 3. AzH4Cl -4- Az0»K 2Az 2H«0 -f- KC1. Lecornue de verre; il ne reste rien.
a
•«
.
° ^ ^ = + mélange de sel ammoniac et d'azotite de po-
tassium est chauffédans une cornue de verre.
^
PH0SPH0BE
rnu_rnunfc r
P 124
1-* 31
01 Solide,
aww», couleur ambrée, translucide, mou, flexible. Goût acre; d= 1,83. Fonda,w%2. (frf^n.j^-
tà290.Trè^solabledans,cs«^^__ns benzine.Poison violent.Atiaquéparlessoluiionsalcalines.
_
=
Phosphore rouge : Amorphe ou, cristaUisé ; d 1,96 à 2,34. Ne fond pas, mais se trans-
forme. Insoluble dans CS*. N'est pas vénéneux. „ce
f I (PO*r,Ca»-r-2S0«E» = 2S0*Ca-r-(PO4)»H*Ca.

i
. 3(POî)*Ca
-4- 10C = (P0«)*Cas + 10CO -4- 4P.
Théorie. — Les os calcinésàl'air donnent du carbonatede calcium et du phosphate tricalcique
1 qui n'est pas décomposnblepar le charbon. — Une partiede l'acidesuifuriqcetransforme le car-
1 bonatede calcium en sulfatede calcium insoluble. Une autre partie de l'acide sulfurique enlève
M 2
_5
\j les
PRÉP. / - du calcium du phosphate tricalcique et le transforme en phosphate monocalcique
s
_5 décomposable par le charbon. On décante, on concentre et on fait avec du charbon une pâte
£j • I qu'on calcine d'abord au rouge sombre pour transformer le phosphate monocalciquc en
a f métaphosphatc; puis la masse obtenue est concassée et portée au rouge vifdans des cylin-
-
"f-- I dns en terre. Le P distille et se condensedans des récipients pleins d'eau ; on le purifie
5 l en le forçant à passeratravers une cloison poreuse recouverte de noir animal.
H ABSERIC
. . As 300 75 =
Solide gris de fer, éclat métallique; cassant; d 5.7. Se sublime sans fondre à 180*; fusion en tube
scellé. Donne une odeur d'ail sur des charbons.
PRÉP. FeAsS
w*ieM
=FeS-4-As. On calcine le mispickel dans descornues;l'arsenic viont se déposerdans des
cylindressupérieurs.
AHTIIOINE Sb 480 120 Solide blanc d'argent,très cassant.Fond à 425°,se volatilise au rouge vif. Allié aux métaux,!eurdonne
=
de la dureté, d 6,7.

» CABB0NE.
.
C ? 12 Propriétés générales: Solide, infusible et fixe (sauf par l'emploi d'une pile de 500éléments).Soluble
_; dans la fonte de fer en fusion. Combustibleet réducteur.
* . Charbons naturels : Diamant, d = =
3,50; graphite, d =
2,25; anthracite, d 2; houille, d= 1,10
a. à 1,60; lignite (jais naturel); tourbe.
M Charbons artificiels : Charbon des cornues (à gaz); coke; charbon de bois: noir de fumée; noir animal
•a (os calcinés en vase clos).
.

5 SILICIUM.. Si ? 28 Solide. l'Amorphe: poudre brune, fusible; 2* grapliiloide : lamelles hexagonales, gris de plomb.
»w
PRÉP. du silicium amorphe : SiFl«K3 -+- 4Na = =
3* cristallisé : octaèdres, gris de plomb; d
+
2,50; fond vers 1200*.
Si 2KF1-4- 4NaFl.

-au B0BE
. . .
Bo ? 11 Solide. 1* Amorphe; 2* Cristallisésous forme de boruresd'aluminium et de carbures de bore.— Com-
•2 J bustible; absorbel'azoteau rouge ; soluble dans l'aluminium.
Sr s PRÉP. SBo^O3 + 3Na = SB'ôO^a+ Bo. dans Les corps sont mélangés avec du sel marin fondu et projetés
S_j_! un creuset de fer porté au rouge.
MÉTAUX : Propriétés et classificationThénard modifiée.
(D (3) jr. sECT10?j: MétauxdécomposantVeau à froid. Leurs oxydes sont irréductibles par la chaleur. 1° Alcalis: fusibles
et très solubles. 2* Terres alcalines : infusibles et peu solubles.
SODIUM
.... Na 23
.... lumière jaune.
=
Mou; éclat argentin s'altérant à l'air humide. Fond a 96°; volatil au rouge. d 0,97. Brûle avec une
POTASSIUM
. .
K 39
... .
Mou; la coupure fraîche a l'éclat de l'argent, elle se ternit rapidement même à l'air sec. Fond à 62*,5,
=
volatil au rouge, d 0,865. Brûle avec une flamme violette. •

STBONTIUM.'. '.
Sr 87 61 Ces trois métaux ont de grandes analogies; ils ont l'éclat de l'argent et une couleur plus ou moins jaune;
• • •
BARYUM. .''.
'. 137' • ils se voient rarement. Leurs oxydes sont les terres alcalines.
Ba i

Métaux décomposant Veau aur-dessus de 50*. Leurs- oxydes sont irréductibles par la chaleur et se
2* SECTION :
forment directement.
MAGNÉSIUM
.
MANGANÈSE.' .
.
Mg

24,4
55 ....
Blanc d'argent, malléable mais peu tenace. Brûle avec éclat. Ce métal est très léger: d
....
tique. 11 se voit rarement.
=
1,75. =
Gris blanchâtre. d 8 environ. Altérable à l'air humide. 11 décompose l'eau à 100°. Il n'est pas magné-

3e SECTION : Métaux décomposant l'eau au rouge sombre, et les acides étendus à froid. Leurs oxydes inférieurs
sont basiques, irréductibles par la chaleur et se forment directement. (Le zinc ne forme qu'un
oxyde.)

rEB Fe 56
....
Blanc un peu violacé, ductile, malléable, très tenace. Fond de 1500 à 1600*, aprèsavoir été pâteux. d= 7,25,
pour le fer fondu; forgé, d= 7,40 à 7,85. Importantes propriétésmagnétiques.
NICKEL
.... Ni 59
.... =
fondu ; forgé, d X,7. Magnétique.
=
Blanc gris, très dur, cassure fibreuse, ductile et malléable. Moins fusible que le fer. d 8,3 pour le métal
"
COBALT
ZINC
Co
Zn
59
65 ....
.... =
Blanc d'argent,très malléable,le plus tenace des métaux. Fusiblecommcle fer. d 8.6. Magnétique.
Blanc légèrement bleuâtre, cassure cristalline. Fond à 410°, bout à 930'. d — 6,87; par le martelage,
=
d 7,2. Brûle à l'air avec une flamme éclatante verte.
CHB0ME.... Cr 52,4
.... =
Gris d'acier, brillant, dureté du corindon, très tenace, d 6. 11 se voit rarement.
Métal décomposant Veau au rouge vif, ou à 400* en présence des bases. Ses oxydes sout acides et
4* SECTION :
irréductibles par la chaleur.
ETAIN Sn 118
.... Blanc d'argent, très malléable, peu tenace. Fond à 228», n'est pas sensiblement volatil,
entre les doigts, il prend 1 odeur de poisson. Ployé, il donne le cri de rétain.
d = 7,3. Frotté
f— j
5* SECTION :
; ;
Métaux ne décomposant Veau que très difficilement au rouge blanc. Leurs oxydes sont irréductibles
1

par la chaleur et se forment directement.


PLOMB
... Pb 207
.... Blanc bleuâtre, coupure fraîche très brillante. Très mou, le moins tenace des métaux, tache le papier.
Fond vers 330°, sensiblementvolatil, d = 11,36.
JiUIVBE
.... Cu 63,5 .... Rouge, susceptible d'un beau poli, très ductile, très malléable, très tenace. Fond vers 1150° ; sa vapeur
= =
brûle avec une belle flamme verte, d 8,85; par le martelage, d 8,95.
BISMUTH
... Bi 210
. . -. .
Blanc jaunâtre, cassant. Fond à 264» (cristaux cuboïdes irisés}; volatil au rouge, d =9,8. Le bismuth
donne de la fusibilité aux alliages.

6e SECTION: Métal ne décomposant l'eau à aucune tempéraiare. Inaltérable à l'air; son oxyde est irréductible
par la chaleur.
ALUMINIUM Al 27 4 Blanc bleuâtre, très ductile, très malléable. Fond vers 700°; il est très peu volatil. Aussi léger que Se
. . ' • • • •
=
verre : d 2,56. 11 est très sonore. Son dissolvant est HCI. Métal de grand avenir.

7* SECTION : Métaux ne décomposant pas Tcau. 1« sous-section : mercure, s'oxydant à l'air aux températures
peu élevées. 2* sous-section : métaux ne s'oxydant à l'air à aucune température.
MEBCUBE
... Hg 200 .... Liquide blanc, très brillant; se solidifie à — 40*, bout vers 350°, émet des vapeurs à toutes températures.
=
d 13,60. Ses alliages se nommentamalgames.
0B
..... . Au 196,6 .... Paraît jaune, mais est rouge-pourpre. Métal le plus ductile, le plus malléable. Fond à 1200», et donne
des vapeurs vertes, violettes par réflexion, d = 19,5.
ABGENT
.... Ag 108 .... Le plus blanc, le plus éclatant des métaux. Le plus ductile, le plus malléableaprès l'or. Fond a 1000* et
donne des vapeurs bleuâtres, d = 10,50.
PLATINE.
... Pt 197,2 .... Blanc gris, très mou, très ductile, très malléable. Fond vers 1700 à 1800*. d
noir de platine.)
= 21,5. (Eponge de platine,
I
N.B. — Les oxydes des métauxde cette section sont réductibles par la chaleur.
Caractère*des bases. — Caractèresdes principaux genres de sels du programme du baccalauréat de l'enseignementsecondaire moderne,ne sauraitêtre
NOTA. — La partie :
résuméeici. On pourra consulterles Caractères des sels métalliques, par n. PIALAT, ouvrage qui répond à cette partie du programme.
Principaux composés oxygénés et hydrogénés des MÉTALLOÏDES.

Composésoxygénésdu chlore: AnhydridehypochloreuxCl*0 (acide hypochlorcux CIOH); Anhydridechloreux C1*0* il


CIO'H.
(acide chloreux Cl'OH); Peroxydedechlore CIO*; Acide chloriquc C103H; Acide perchlorique
ANHYDBIDE ' C1*0 Liquide rouge, odeur de chlore. Bout à 20*,
sa vapeur est jaune. Très peu stable; détone violemment. Sa soïu-
HYPOCHLOBEOX tîon aqueuse est un oxydant et un décoloranténergique.
t
PRÉP. 1* de anhydride: HgO -+- 4Cl C1*0 -+ HgCi*. Courant de Cl sec sur de l'oxyde jaune de pier.-ure;
= l'anhydride est liquéfiédans un mélange réfrigérant.
d'acide hypocldoreux. 2HgO -f- 4CI -+- 11*0= HgCl*. HgO-f-2C10H. On agite vivement,
— S* de la dissolution •iveblorarefomatât*
dans un flacon plein de chlore, un peu d'eau et d'oxyde
rouge-de mercure.
Chlorures décolorants: mélanges d'hypochlorite et du chlorure correspondant. Servent pour blanchiment: eau de |
de i
Javel C10K — KC1; liqueur de Labarraque ClOXa -+- NaCl; chlorure de chaux (obtenu par courant
chlore sur chaux éteinte) (C10)ïCa -+• Cad*.
ACIDE CHLOBIQUE. . CIO3H Liquide jaunâtre, huileux. Oxydant énergique. Il donne des sels bien définis.
de baryum.
PRÉP. On verse goutte à goutte de l'acide sulfurique dans une solution de chloratecaustique.
Chlorate de poUmium CIO'K. S'obtient par courant de Cl dans solution de potasse Sel blanc, très déto-
potassium et oxygène.
nant, oxydant énergique (C,S, Sb'S*). Déco nposé par chaleur en chlorure de
ACIOE HC1 Gaz incolore, odeu- piquante, saveur acide, d = 1,247. Liquéfié à — 80°. Très soluble dans l'eau. S, 500. =
Acide très
CHL0BHT0BIQUE Donne divers hydrates. Non combustible.Attaque tous les métaux, sauf l'or et le platine.
énergique, d'un très grand emploi.
PRÉP. NaCl -i- SO'H* S0*NaH -+- HC1. On emploie le sel marin fondu; on chauffe àpeine. (Cuve à mercure ou
= appareil de Woolf.)
procédé des cylin- i
Dansl'industrie.—C'estun produit obtenu en même tempsque lesulfatede sodium:
dres, procédé des fours. (SnClv) ; 2<> par l'action de HC1 sur le m-jtal,
Chlorures métalliques.S'obtiennent: 1* en faisantréagir Cl sur le métal action
l'oxyde, le carbonateou le sulfure; 3* par eau régale sur le métal (chloruresd'oretde Pt); 4° par-
combinée de C et Cl sur otydc métallique (APCi6).
La plupart des chlorures sont solides, cristajlisables,fusibles et volatils. AgCL, Cu'Cl", Hg*Cl3 sont
insolubles. H réduit AgCI, Fe'Cr5. Avec AzO'Ag, donnent précipité blanc de AgCl, noircissant à la
lumière, solubledans AzH*.
* __|-^_-_ _ _
;
I
! ACnui FL0ORHrDB,- HF1 "«Fxide incolore qui bout à Î9*; odeur piquante; très corrosif. Fume à l'air. En présence d'un
peu d'eau,
I "ut il attaque le verre (gravure sur verre). * ' I1
PRÉP. CaFl* -+, SO'H* = +
SO'Ca 2HF1. Cornuç en plomb en trois pièces; on recueillele produit dans
plomb refroidi. un tube en I

Composés oxygmés du soi//re:Anhvdrid^ sulfureux S0% sulfurique S0\ persulfuriquc 8*0'; acides sulfureux
bO'H», sulfurique bp'H», liyposulfureux S*0*H' (connu a l'état de sels), hydrosulfureux SVH"Série
thionique: acides di, tri, létra, pentathioniques.
A N H Y D BIDE SULFU- Gaz incolore, odeur piquante et suffocante, provoque la touv. d=2,234. Très soluble : So =70. Liquéfié vers -8*
!(£?,?t
SO3
BEU* j sohdifie vers -'5*.IM comburantni combustible. Réducteur. L'acide sulfureux S0>H* est bibasique -'
£ i !f =
St££ = ± +
î%rS J1E0. f& ) 0n chauffc ^•«•nent dans un ballon. Le
Cu.
Laboratoire)3* C 2bO<H- CO* ° g? 22Cu +_g£ + «£ gaz est rccueiUi sur la cuve à mercure.
-1- = H- _H*0 -1-2SO».) On chauffedans un ballon des/raoromtede
/Ncharbonde haisbaignésd'acide.—Appareilde Woolf.
A. S
4* < -4- «jnmi 2H*0
u. 280'H* _
= + o^,
OHÎA . 3b0*. Cornue de fonte tabulée dans laquellêVsurdu soufre
fondu, on fait arriver un filet d'acide sulfurique.
Industrie <r.lo* c +
S , 20=S0I;2FeS--hll0
,A CA, _,, 0, ... =Fe*0ï-l-4S0î. Combustion du soufre ou grillage des '
pyrites à l'air ; le gaz est mêlé à l'azote de l'air.
Il
»
-
SrtJdeWançen longuesaiguillcs^soyeuses.Très avide deau. Il se vaporise, puis fume à l'air.
ANHYDRIDE SULFUBI- S0»
QUE rREP- SOHî =
SO*fl» +
bOî. On distiUe dans une cornue de verre, au-dessous de 101)*, l'acide sulfurique de

AC0BDINAfnELFUB'QUE S°'Hî "«-^ SgW^ Nordhausen.


bouta

Tfaeonel
=
/ SO» -f- 2AzO'H SO'H1 -t- 2AzO» : Le gaz sulfureux, produit de la combustion du S ou des pvrites,"
réduit lacide azotiqueintroduit dans les chambresde plomb, "
de Ja < iAzV "•- ° — "
,1WWI
-AzCPH -f-
, AzO
. : .En présence de l'eau, les vapeurs de peroxyde d'azote formées se
^doublent en bioxyde et en aâdc azotique.
V
A,n _J_ 0
n»EP. f AzO
PRÉP + _
n — AzO*
* n» : -t. * azotique
L acide .. régénéré réagit sur une nouvelle quantité de sulfureux, tandis
gaz
._NOBDHASÊ?""! Ht "«^ x
,.
q-e lebioxydedazoteesttransforméenperoxydepar i'oxvgènïdel'air.
iSg?"fumant à rair; U ** excoept de prodaits nitrcux et *« à n™ dc ^P™ diss0Qdr«
|
PRÉP. Calcination du sulfate de fer produit dans l'oxydationdes schistes pyriteux, à l'air,
au contact de l'eatu

L'eau à 0; en dissout environ 4 volumes. Facilement liquéfiable;


H'S Gaz incolore, odeur d'eeufs pourris, d = 1,19. bleue.
AMUE SULFHYDBIQUE
ACIDE dULrn um_u
^FeS^ ^.^^ (^b^tiNe- flamme Poison. Acide faible.
FeCl* H'S. AppareU à hydrogène. Comme FeS
artificiel contient du fer libre, le gaz
HYDB06ÈNE SULFURÉ
t\ 1* -H 2HC1 = -+-
est mêlé d'hydrogène. . et 1 acide cnlorny-
PRÉP. ^2. Sb,S3 CHC1 + 2SbCls -+• 3H*S. On chauffe daus un ballon le sulfure d antimoine
_ .
/ *" drique concentré.
^^y§'^r0^^l.R%
«%_Wt métaUioues - S'obtiennent: 1- en chauffant S et le métal
Suivra (FeS); 2* en réduisant le sulfate par le charbon
dansée ^^on saline (PliS); 4* par (AzH')'S sur un sel en dissolution.
décomposes par la chaleur (FeS-).
Les sulfures sont solides, diversement colorés, quelques-uns sont
Grillés à l'air, donnent SO* et oxyde métallique.
Principaux sulfures naturels : galène PbS, blendeZnS, pyrite martiale FeS*.
~7IT =
^
1,2 13. B >ut à 45*. Se
Liquide incolore, très mobile, odeur étbérée s'il est pur, ordinairementodeur fétide, d
,...-..-- *--.«nn«r
SULFUBEOECABBONE CS* * vaporise rapidement.Très combustible. Dissolvant d'une foule de corps.
_-,-„..
-=== PRÉP. C S»
-r- CS\ Actiondirecte du soufre sur du charbonporté au rouge. On le purifiepar distillation.
=
romnoses <W9cnesac^a~o
Composes ^^ ^ ^^.^ fa^^que}
oxuaènés de Cazote: Protoxyde d'azote Az50: bioxyde d'azote AzO;
anhydride azoteux Az*0\ 'acide
AzO-; anhydride azst.que AzH)> (aride
azotiqueAzO»H) ; anhydride perazotique Az*06. Ils sont tausendothermiques.
Az»0 Gaz incolore, inodore, saveur sucrée. d=l,527. Moyennement =
soluble: S,=1,3; S» 0,78; liquéfié à 0* et
PBOTOXYDED'AZOTE
rauiuAivcuMuiic « à 30 a„ solidifié à —100*. Aaesthésique.Gaz/utaront. . cornue de verre ,_il
PRÉP AZO1 (AZH») =AZ*0 -1-2HH). On chauflè l'azotate
d'ammoniumvers 240* dans une petite
ne reste rien.
BIOXYDE D'AZOTE AzO Gaz incolore;
BlUÂIUt u AIU11. . AZU vraz mu, à iair il se^^^j
transforme en AzO»; _=1,039. Très peu soluble : S =
1/30. Liquéfié par M. Caillctet,
]es s bien en(Uimmés, Absorbé par le sulfateferreux.
PRÉP. 3Cu 8Az03H +
3[< AzO^Cu] = +
4HH) -t- -AzO. Appareil à hydrogène,
dissolution aqueuse con^nt l'acide azoteux AzOTl, monobasique.
Az*0*
ANHYDBIDE RiuituA AZ-U
AHHlUHiut AZOTEUX Liquide JJ^^
bleu très instable.On admet que sa
dédouWe l'anhydride hypoazotiquc par de l'eau à ô* (2AzO« +
H»0 = AzO'H -t- AzO1»).

nrnnvvne DruAvnTc
PEBOXYOE A^ O'
A10TE. Az gujgj*_» rouze brun
n« T innid« iaune à 0*.j,™u^» _J_ à 20*.
Bouta 22*, en donnant des vapeurs rutilantes.
2Ax0_- L'azotate bien sec est chauffé dans une cornue en verre; on
recueille
v ; dans un tube en U refroidL
anuvnninr AZOTIQUE
ANHYDBIDE A7nTinUE AzH)»
*
'.'-
|*ga|ig^f_J!xaa
A7*0* Solide en cristaux incolores
= +
2AgCl -r- Az»Os O. Courant lent de Cl sec sor l'azotate sec maintenu
tube en O-
clos..
qui fondent à 30*. Corps se décomposant spontanément même en vase!à 60* dans un
I ACIDE AZOTIQUE
. .
AzO*H Monohydraté. — Liquide incolore (celui du commerce est jauni
=
par AzO*). d 1,52. Bout à 86* Se décompose H
partiellement à la lumière. Très corrosif. Acide très énergique, monobasique. Agit en général comme
Quadrihydraté. — Liquide incolore, même dansle commerce, d 1,42. Bout à 123*.
t Laboratoires. AzO'K -+- SO'H*=SO'KII-f- Az(PU. Cornue
=
en verre suivie d'un ballon refroidi dans lequel
PRÉP. ; se condense 1 acide.
1 Industrie.
. On remplace l'azotate de potassium par l'azotate de sodium. Chaudières
sation se fait dans une série de bonbonnes en grès contenant un peu d'eau en fonte ; la conden-
AMMONIAQUE
.... AzH*
(
Gaz incolore, odeur viv* provoquant les larmes, saveur acre, d 0,590. Très soluble : S, 1147. Liquéfié
= =
à 10« à 6'1 1/2 au moyen du chlorure d'argent ammoniacal. Base énergique, vtrdit sirop de violettes
donne fumées blanches avec HCl. '
l Gaz ammoniac. 2AzH«Cl -+- CnO
p„jjp )) Dùsolution.
=
CaCls -+- H*0 -+- 2AzHJ. Ballon légèrement chauffé. Éprouvette
chaux vive pour dessécher. Cuve à mercure. i
rKEP- . „
S0<(AzH•)* -H CaO = SO'Ca -4- H*0 -+- 2AzH3. Ballon légèrement chauffé suivi de l'appareil
V de Woolf.
Principaux composés oxygénés du phosphore: acide hypophosphoreux PO*Hs; acide phosphoreux PC*H»-
.....
ACIDE nnm-,3
PO-H
anhydride phosphorique PH)5: acides
Liquide visqueux difficilement cristallisable,très meta, pyro, orlhophosphoriqucs PO»!!, P*0"H*, PO*H» '
avided'oxygène. Il est monobasique.
HYP0PH0SPH0BEUX PRÉP. On décompose à froid l'nypophosphite de baryum par SO'H* et
ANHYDRIDEPHOSPHOREUX PHP on évapore dans le vide
Poussière blanche, volatile, combustible, avide d'eau, obtenue par oxvdation directe du Pli.
ACIpE PH0SPH0BEUX PO-H3 Solide cristallisé; c'est un acide bibasique.
PBÉP* PCl'+ 3HK) ~ 3Hcl + POJHs. On décompose par lV»n le trichlorure d* phosphore.
««uvnomr
DuncDuno.r...-
^
««M SoUûe blanc pulvérulent; fond au rouge, se volatilise au rouge blanc. Très avide d'eau, au contact de laquelle
produit
I

PHOSPHOHIQUE il un sifflement aigu. Réduit par C : P*0* -+- 5C 5CO -f- P*.
ER£\Co,u,rantdair ,^ec.sur du phosphoreenflammé =
dans une nacelle au centre d'un grand ballon.
;

orui« Solide blanc cristallise; au rouge, il se transformecontenu


'
arme Duncounomnr
•nnmïïinr
(JHUiNAlHt ....
D
en acide métaphosphorique. Soluble dans l'eau. Tribasique.
|»BEP# on chauffe, dans une cornue de verre, des bâtons de phosphore
avec de l'acide azotique très étendu.
avonnùncPu-Dim.- P*0m* Solide blanc difficilement cristallisable; au rouge, il donne l'acide suivant. Dans l'eau bouillante il se transforme
riHurnu^rHOMlQUE rapidement en acide ordinaire. II est bibasique.
PRÉP. PHTPb1 -+- 2H*S =
2PbS -f- P«OH4. Courantd'hydrogène sulfuré dans de l'eau tenant en suspension du
pyrophosphatede plomb. L'acide pyrophosphorique reste en dissolution;
le sépare, par décantation,de PbS insoluble. on
cT«aunJ£!;nDin..- IH Solide incristallisable, aspect vitreux. Très soluble dans l'eau, dans laquelle il transforme
ntlAt'HUM'HUHigUE donner les deux autres acides. Monobasique. Coagule albumine. Précipitese peu à peu pour
BaCl*.
PWÉP- POlfl(AzH*)* =
2AzH- -+- H'O -±- POsH. Calcination au rouge, dans un creuset de platine, du phosphate
d'ammoniumdu commerce.

HYDB06ÈNE PH* 1 Gaz incolore, odeur d'ail, d=1,185.Peu soluble dans l'eau : S = 1/8. Spontanémentinflammable à l'air, à 100*
PH0SPH0BÉ s'il est pur, à la température ordinaire s'il est impur.
l/ _•
gp -)-3CaO -+• 911*0 = 3 [(PO'HyCa] -r-2PH*. Chauffer légèrement un ballonrempli de chaux et de
I|ipopho«phiU4e caleiam
PRÉP. ) quelques boulettes formées de chaux éteinte et de phosphore.
/ 2* Décomposer par l'eau le phosphure de calcium Ca»Ps; le gaz est mêlé de phosphure liquide et
l d hydrogène.
! LIQUIDE PH» Liquide incolore, insoluble dans l'eau; inflammable spontanément à l'air. On l'obtient en traitant le Ca*P*
par l'eau à 50% dons l'obscurité.
SOLIDE. P*H Poudre jaune, insolubledansl'eau; inflammable à f60» à l'air.
ANHYDBIDE ÂsKJ*~ Solide blanc pulvérulent (dans le commerce), inodore, saveur acre:excite la salivation.Peu soluble : S = 1/80.
ARSÉNIEUX* Volatil san« fusion au rouge. Dimorphe et amorphe. e
PRÉP. On grille, dans un courant d'air, l'arsenic ou les minerais d arsenic; l'anhydride est entraîne. S
ANHYDBIDE As'O5 Solide blanc fondant au rouge. Se dissout lentement dons l'eau, en se transformant en .icide orthoarsénique i f
ABStNIQUE As04H'. Celui-ci, parla chaleur donnesuccessivement: l'acide pyroarséniqueAs*0:H», l'acide metarsénique, s
AsO'H et enGn l'anhydride As'O» \
PRÉP. OnchauflederanhydridearsénieuxavecderacideazitiquealditionnedHa;ilseformedeIacidcorthoar--
. , . *
séniquequi se dépose en masse crirtalline. ï
HYDROGÈNE ARSÉNIÉ. AsH* = =
Gaz incolore, odeur d'ail, d 2,70. Peu soluble : S 1/5. Brùleavec une flamme livide. Décomposable par la j
chaleur en hydrogène et arsenic métallique.
PRÉP. A^Zn» -4- SSO'H1 =
3S0vZn -H 2A*H\ On remplace, dans l'appareil à hydrogène,le zinc par 1 arsenmre
de zinc As'Zn*. "
....j
i
;J
.
"Gaz incolore,odeur pénétrante, d
CYANOGÈNE C*Az2
flamme pourpre violacée.
= 1,806. L'eau en dissout 4 fois son volume. Aisémentliquéfiable. Combustible : \
!
PRÉP. Hg(CAz)* = Hg -i- C*Az*. Chauffer dans une cornue le cyanure de ,
ACIDE CYANHYDRIQUE. HCAz
paracyanogène.
=
. mercure bien sec; il
......
. du
., reste

Liquide incolore,odeurd'amandes amères. d 0,C5. Bout à 20*, se solidifie a — 15*. Très soluble dans 1 eau.
Brûle avec une flamme violacée. Le plus violentdes poisons.
TRÉP. Hg(CAz) 1 •+- 2HC1 = HgCI» -r- 2HCAz. L'appareilcomprend un ballon chauffe, un tube
et CaCl*), un tube en U refroidi.
. ,horizontal
. , (marbre
, _

OXYDE DE CARBONE CO = =
Gaz incolore, inodore, insipide, d 0,967. Très peu soluble : S 0,03>. Combustible.Très délétère.Réducteur.
*"
.

PRÉP.
(
\ 1*
Absorbé p.irle sous-cblorure de cuivreammoniacaL
Un flacon à KOH retientCO*.
•,,..,*-
CO'H*=CO* -+- CO -+- H*0. Chauffer dans un ballonun mélange d'acide oxalique et d acide sultunque.
=
( _:• ZnO-f-C Zn-f-CO. Calcinerle mélangedans lequel le charbondoit entrer en excès. J| i
.
ANHYDBIDE CO* * assez soluble : S. = 1,80. Liquéfié à- 0* à 36 at. ;
Gaz incolore,odeur piquante, saveur aigrelette, d = 1,5.3;L'acide
CABBOIIQOE se solidifie par détente. Impropre à la respiration. carbonique COaH* (non isolé), serait
encore
bibasique.
\f =
Laboratoire: CO-Ca -+- 2HC1 CaCl*-+- CO1 -+• H*0. Appareil à hydrogène.
£ 1* CO*Ca -f- S0*HJ =SO*Ca -+- CO* -t- H*0. On emploie un agitateur mécanique pourdétacher
PRÉP. < le sulfate de calcium formé. Ce procédé est usité pour les boissons gazeuses.
i . , . . \J 2. c03Ca Ca0 ^_ c02 0a décompose le carbonate
jnaustne: _ de calcium par la chaleur. Ce procédé,
[ \ asité dansles sucrerieset les soudières,est très économiqueet donneen plusdela chauxvive.
Silice anhydrecristalliséeou quarts..-corps durrayant le verre, cristallisé en prismeshexagonaux pyramides.
OU SILICE.
....
ANHYDBIDE SIUCIQUE SiO*
SiViceaTiAj/rfreaniorp^ .-poudre-blanche insolubledans l'eau; donne par fusion un verre de densité^,*.
Silicehydratée ou gélatineuse : corps blanc gélatineux, un peu soluble dan » l'eau, très soluble dans les acides
et dans les solutions alcalines. Calcinée, cette silice devient anhydre.
Le seul acide qui attaque la silice est l'acide fluorhydriqxte.
PRÉP. On obtient la silice gélatineuse en versant de l'acide chlorhydriquedans du silicate de sodium dissous dans
l'eau (liqueur des cailloux).
ACIDE B0BIQ3E
. - -
BoO'H- Solide en lamelles brillantes, nacrées,doucesau toucher, d = 1.54. Il subit la fusion ignée en devenant anhydre,
et alors il se volatilise lentement. Un peu soluble.
PRÉP. S'extrait des suffioni de la Toscane, qui sont des jets de gaz et de vapeurs entraînant de l'acide borique.

EAU H*0 État solide. — Cristallisée en prismes hexagonaux : glace, neige, d = 0,93. Expansion de l'eau se congelant. Le
point de fusion de la glace est le zéro du thermomètre.
État liquide. — L'eau pure est incolore sous une petite épaisseur, bleu indigo sous une grande. Elle est inodore,
=
insipide, d, 0,999873, dt = 1.
État gazeux. — La vapeur d'eau est incolore, plus légère que l'air, d = 0,623.
EAU QXY6É1ÉE H'O* Liquide incolore, inodore, d'une saveur métallique-désagréable,d'une consistance sirupeuse, d = 1,45. Corps
. . . instable, à moins qu'il ne soit très étendu.
PRÉP. BaO* -+- 2HC1 = BaCl* -K H*0*. On verse du bioxyde de baryum dans de l'acidechlorhydriqueconcentré
fumant et refroidi à 0*.
Oxydes métalliques. — S'obtiennent: par oxydation du métal à l'air (ZnO)
1* ; 2* en décomposant par 11 chaleur
dansune solution d'un sel métallique.
le carbonateou l'azotate correspondant(CaO, CnO) ; en versant
3* K.OH
L*s oivdes sont solides, ternes, mauvais conducteurs,insolubles dans l'eau, sauf les alcalis. La plupart
sont réduits par H (CuOj, par C (ZnO), par CO (FeM)3), par le chlore (CaO). j
CHIMIE ORGANIQUE

ACETYLENE...... C*H5 Gaz incolore,odeur fétide.d=0,92. Soluble dons son volume d'eau; liquéfié à 48*1"' à 1*. — Vénéneux.
éclairante et fuligineuse. Mélange s»
La chaleur le polymérise (benzine C*H*).Combustible : flamme
détonant. La synthèse directe de ce corps a été réaliséepar M. Beithelot. i.
f Le carbure de calciumest une pierre grisâtre, obtenue _>
le dans four élec-
pj^ ) <?Ca -+- 2H*0=
* J carbure de calcinm.
CH 1 -|- Ca (OH)*. en réduisantla
trique.
chaux par charbon un C3 :
—>»
_,
—_

6AI OLÉFIAIT. . . . C*H*


l'huile des Hollandais
=
Gaz incolore, faible odeur erapvrenmatique. d 0,97. Assez
Absorbé Br et
soluble
par SO*H*.
: =
S 1/6; liquéfié.à 45'*" à 1°. Donne
Ethylène. (C»H*CI*). par
La chaleur le dédouble d'abord eu C*I1* et H*, puis donne des produits complexes.Très combustible :
—3
Bicârbure. S.
.aime blanche éclairante. Mélange détonant. «a
( f»H«fi cm* ^n mélâuge refroidi d'alcool et d'acide sulfurique est a~>

PRÉP. I .irTr — -t- u u.


-u H*rt porté à 160* dans une cornue. Deux flacons laveurs :
( aIC00U l*'soude pour SO* et CO»; 2* SO'H* pour éther. B
CH4 =
Gaz incolore, inodore, insipide. d 0,559. Très peu soluble; trèsaddition, difficilement liquéfiable. -e
GAZ DES BASAIS
. . avec aucun corps. Très combustible :
a.
Formène. Le formène est saturé; il ne se combine directement,par CT>
—»
Méthane. flamme bleue peu éclairante. Mélange détonant. Produits de substitution arec CI.sodée chauffé dans — , rs —•
Protocarbure. S C*H"0*Na-r- NaOH=CH* -+- CO'Sâ*.
L'acétate mêlé à de la chaux est une
pRÉp
' t acétate de sodium. cornue munie d'un tube de sûreté. »
Pétroles.— Liquides naturels constitués surtout par une série d'hydrocarbures homologues du méthane (carbures - à. oa
saturés). Hs existent dans le sein de bj terre. On en extrait: 1* l'éther de pétrole (de 45° à 70*);
2" l'essence de pétrole ou huiles légères (de 75* à 120*) ; 3* le pétrole ordinaire ou huile de "pétrole î*&"

(de 120* à 280°); 4* les huiles lourdes (de 280* à 400*) déposantla paraffine, belle substance blanche, S3
«&
cireuse, fondant à partir de 56*; 5* enfin les goudrons, qui se décomposent au-dessus du rouge en
carbures combustibles. résidus non
La vaseline, graisseonctueuse, inodore, se retire des pétroles en oxydant à l'air leurs
volatils et filtrantà chaud sur du noir animal.

Lorsqu'un corps a plusieurs noms, nous mettons en premier lieu et en caractères gras celui par lequel il est désigné
cfi'V-'
CHL0B0F0B1E
. . . CHCI* Liquide incolore, oleor suave, saveur sucrée; insolubledans l\au s'il est pur. d = 1,48. Bout à 60* 8 solidifié
'
*»»'"•'
à — 70*. Ccst un dérivé chloré du méthane. ' '
Dissout S, P, I et corps gras. Brûle difficilement. Ancsthésique puissant mais dangereux.
( On chauffe d-ms un alambic un mélange d'eau, d'alcool éthvlique, de chlorure de chaux et de chaux
PRÉP. < éteinte. Les trois premiers corps donnent du chloral (C*HC1J0) que la chaux dédouble en chloroforme
( et en formiate de calcium.
es
ESSENCE DeH,s Liquide incolore, mobile, odeur spéciale bien connue. Bout vers 156». d = 0,S7. Il se résinifie à l'air et devient S
DE TEREBENTHINE visqueux. c»
ET"
Térébenthéne(towjvre) Dissolvant preaeux du b, du P, des matières grasses, des résines, du caoutchouc. Combustible ta
Australène (dfitrogj») flamme fub'gineuse. —>.
£»_
f Cette essence s'extrait delà térébenthine,sucsemi-liquidequi s'écoule des incisions faites aux pin* et com- o.
PREP. < posé d'essenceet de colophane. Ce suc est distillé soit à la vapeur d'eau, soit directement. On rectifie
o
sur du chlorure de calcium.
( PT»
B
BENZINE CTl* Liquide inolore, odeur spéciale, très mobile.
l'éther, mais non dans l'eau.
d= 0,90. Bout à 80*, se solidifie à Soluble dans l'alcool
0<>.
•'

CT>
eS"
Dissolvant du S, ou P, de 1*1. du camphre, des corps gras, du caoutchouc. Combustible • flamme «—•
B
fuligineuseet éclairante. Par l'acide azotique donne la nitrobenzine. B
ex»

( La benzin.-î s'obtient par dist.llatïon fractionnéedes huiles légères du goudron, débarrassées des alcalis 5o
PRÉP. { et des phénols par des lavages successifs à SO*H* et à la soude. On rectifie, et on fait
suivre de cris- a.
( taxations par refroidissement.- <o
B
TOLUÈNE CrH» Liquide analogueà la benzine, odorant, très mobile, réfringent. Bout à 110*. d 0,87. Combustible
= <9

Métbylbenzine C'H^CIP) PRÉP. On distille le baume de Tolu ; ou « n l'extrait des goudronsde houille, comme la benzine.
NAPHTALINE
.... C'-H* Solide en belleslamellescristallinesincolores, à odeur de goudron, et d'une saveur à la fois acre et aromatiaue
Fond à 79*. bout vers 218*.
Soluble dans l'alcool, l'éther, mais non dans l'eau. Combustible : flamme très fuligineuse.
H '
S.
CA
I
B.
=»*
Pnrô
\ 0n ITe3tlr-i*» par refroidissement,des huileslourdes du goudron de houille, et on purifie par sublimation =3
r «tr. j et pjjj. cristallisationdans l'alcool. ->
ANTHBACÈNE C"H«* Solide en lamellesblanches brillantes, à reflets violacés. Fond à 210*,se sublime
. . . . vers 230*, bout vers 350*. Soluble
dans l'alcool bouillant.Il répand une odeurdésagréable,irritante, en se sublimant.
C'est la matièrepremière de la fabrication de l'alizarine; de là son importance.
( On l'extrait, par pression à chaud, du produit qui cristallise au sein des huiles lourdes débarrassées de la
PRÉP. < naphtaline; on purifie en dissolvant les carbures étrangers par du pétrole chaud et sublimant l'anthra-
I ( cène, resté comme résidu.

6 % de la bouilledistillée.Dans les usines I


Goudrons de houille. — Le poids des goudronsest d'environdes
à gaz ces goudrons se condensentdans les barillets avecalcalines. eaux I
A la distillation, 100 parties de goudrondonnent en moyenne : I
2,5 Eaux ammoniacales. I
8,0 Huiles légères. Elles renferment surtout la benzine et ses homologues, puis d autres .
carbures, des phénols,des bases organiques, etc.
15 à 25, 0 Huiles lourdes. Elles distillent depuis 200* et elles renferment: aniline, phénol, naphtaline,
anthracène, paraffine, etc. co

65 à 75.0 Brai. II sert à faire les agglomérés. «-» .

CTJW- Liquide incolore, très fluide, odeur agréable,saveur chaude et caustique, d=0,79 à 15*. Bout à 78",4. Devient
"fLcMLOBDINAIBE.
Alcool viniaue
Alcool éthvlique
EsDiït-de-vin
*.
C*H5(OH)
visqueux vers — 80* et se solidifie à —130*.
,,...„«.
Dissolvantprécieux des résines,des corps gras, de l'I et du P. Coagule la gélatine,1 albumine. Injecté
dans les veines, il cause la mort.
» •

dégagementde
,

c:
-*.
El
CD
'

v L'alcoolsedissoutdansi'eaucntoutesproportions,etcettedissoIutionestaccompagneede
. , trȉ
chaleur et d'une contraction; les deux corps s'unissent même. L'alcool brûle avec une flamme bleuâtre,
très chaude, peu éclairante. Son oxydation donne l'aldéhyde C*H40, puis l'acide acétique C*H*0*. **.
«S*
il* de Valcool absolu. — Digestion pendant 24 heures de l'aie >ol du commerce avec de la chaux vive. B
Distillationau bain-marie. Nouvelle digestion-avec de la baryte caustique, S
f ^ r- -J ( Far fermentation des liquides sucrés, au moyen de la levure de bière (végétal l_s

\J des liquides i formé de chapelets de globules croissant aux dépens du sucre). La réaction s
o. \ de diverses \
- =
alcooliques 1 çfiftury, (giUCose) 2C*H«0-H 200*, admise par Gay-Lussac, n'est pas la seule; c-
jj ^ (onaej en outre, d'après Pasteur, de la glycérine, de l'acide succinique, de la
f «"S»»*»- ( cellulose,des matières grasses.
«»

ÉTHEB QBDINAIBE
, . (C»ff.)*0 Liquide incolore, très mobile, odeur suave et forte, saveur acre et brûlante. d=0,75 environ. Bout vers 35*, ~s*
Ether sulfurique se solidifie vers — 31*.
Dissout le S, le P, l'I, les huiles et les graisses. Brûle , avec une flamme
„ , ..
très blanche;
. donne des CT»
I
s.
I
mélangesdétonantsviolents.
f 1* CTP'.OH-h SO*H* L'éthérificalion comprend deux reactions
éthylsulfurique et de l'eau, par
„ .
l'action
._,„•_
: 1* formation de 1 acide
de l'acide sulfurique sur i
)=
H*0
ticrt
-H SO'H.C'H4. l'alcool ; 2* formation d'éther par l'action de l'alcool sur le premier
, S
PREP. produit.
___. tUjbiDiri«ie
/_• C*B*.OH-f-SO'H.DH 1 L'alcool est versé à mesure; l'éther distille et est condense par un
( =SOvH*-r-(C*Hi)*0. ' réfrigérantde Gay-Lussac. On rectifie.
ÉTHEB ACÉTIQUE..
. PH^PB-v*) Liquide incolore,odeur éthérée très agréable. d=0,91. Bout à 74*. Dissout les résines,le coton-poudre. La
Acétate d'étbyle potasse le saponifieen régénérantl'alcool et en formantde l'acétatede potassium.
PRÉP. Distiller dans une cornue le mélange: acétate de sodium, acide sulfurique concentré, alcool. On rectifie
| il Ci
ÉTHEB | C-IPCI I Liquide incolore, odeur forte, saveur sucrée et un peu alliacée. d = 0.92. Bout vers 12*. Ne se conserve os
CHL0BHYDB1Q0E qu'en tubes scellés. Brûle avec une flamme verte.. os
CbloTured'étbyle PPÉP. Saturer par le gaz HC1 de l'alcool refroidi; distiller au bain-maric. Ou bien chauffer NaCl avec SO'H*
et alcool.
ALCOOL ÉTHYUQUE. ^***î_. Liquide
incolore, mobile, odeur éthérée (quand il est pur), d =
0.814. Bout à 66*,5. Dissout les résines,
Hydrate de méthyle CH'.OH les huiles, les matières grasses, les matières colorantes. 11 brûle avec une flamme bleuâtre paie.
Esprit-de-bois Son oxydation donne l'aldéhyde CH*0, puis l'acide formique CH*0*.
f La distillation du bois donne*. 1* Produits volatils : esprit de bois, acide acétique, eau, goudrons. es
\ 2* Résidu solide : charbon. *_
S.
PRÉP. < Les premiersproduits séparés des goudronspar décantation sont distillés à la vapeur; l'acide acétique est
i arrêté par de la < baux et du sulfate de sodium : les liquides non acides sont rcctiliés sur de la chaux R>

{ vive, puis traités par S0*H*; ils sont rectifiés de nouveau sur de la chaux, et enfin sur CaCl*. B»
—_
6LYCÉBINE r-P^lSt, Liquide incolore, très sirupeux, saveur sucrée, inodore à froid, d =
1,26 à 15*. Se solidifie au-dessous
C*H*(0H)* de 0*, mais ne fond plus que vers 17*. Bout vers 280* en s'altérnnt un peu. Soluble dans l'eau. Ses
vapeurs brûlent à l'air. C'est un alcool tribasique donnant trois éthers avec un acide monobasique. B
—>
La nitroglycérineest la trinitrine. «5*
PRÉP. Scheelc (1779) a découvert la glycérine en saponifiant l'axonge par la litharge ; aujourd'hui encore B
—»
elle s'obtient çcr la saponification des corps gras : c'est un résidu de la fabrication des savons et B
<*
des bougies stèariques. -
Corps gras neutres. — Substances naturelles, neutres, onctueuses,laissant sur le papier une tnhe trans- B
lucide fixe, et qui comprennent plusieurs principes immédiats : oléine CïH:,(Cl"HM0*)ï, liquide;
nuvgarine&Wlp'RnO1)*,solidenacré, fond a 47*; stéarine, C-HHC'-H^O*)*,solide blanc, fond vers B
65*. Ces principessont des éthers neutres de la glycérine cl se saponifient.
Les corps gras ne sont pas volatils ils sont solubles dans l'alcool, l'éther. les essences. Hs s'altèrent
à l'air : on dit qu'ils rancissent. ;
Ils sont solides (beurre, graisses, suif) ou liquides (huiles : siccatives ou non siccatives). L'axonge 1
est de la graisse de porc fondue. o*
—**
13
GLUCOSEordinaire
. C*H,*0« Solideen masses molles amorphes ou en aiguillesblanchesagglomérées de formule CQH'*06 -+- H:0. Fond à 80% r:a.
—.
Dextrose. perd IPO à 100*. A 170°, il donne C-H^oe (glucosaner, à 200*, du caramel. Solubilité •= 1,2. Le
Sucre de fécule. glucose sucre trois fois moins que le sucre de canne. C'est un corps réducteur. Il est fermentescible.
Les alcalis le détruisent en brunissant. -
il° Par l'action de l'acide sulfurique étendu à I'ébullition sur de la fécule ou sur une matière amylacée
quelconque.On sature ensuite l'acide par la craie, on filtre sur du noir en grains;
2* Par faction de la diastase de l'orge germéc sur de l'amidon délayé. On chauffe ù 30 puis à 70*.
En 20 minutes la transformation est complète ; ,

__ . ...
._.— -\ .«

LÉVULOSE ld. t' Solide en aiguilles rayonnantes veloutées, fort soluble. Se retire du sucre interverti transformépar la chaux j
oc sucre de fruit. en glucosate (soluble) et lévulosate (insoluble). I
Sucre iutcrvertL — Mélange, parts égales, de glucose et de lévulose. I
[ H provient du sucre ordinaire qui fixe une molécule d'eau :
\ C,-H-*0H + H*0= C6H'*06 -r- CcH!*0\ de l'une des trois manières suivantes :
PRÉP. \ ordinaire. glucose lévulose
/ i* sucre
Par ébullitionprolongéede sa solution. 2* Par l'action des acides énergiques étendus a chaud.
V 3* Par l'action des ferments. S?
SUCBE DE CANNE
Saccharose. , .
CMH*aO" Solide dur, blanc,inodore,saveur bien connue, douce et agréable, d = 1,60 environ. Solubilité = 2 à froid,
indéfinie à chaud ; la solution à chaud abandonne à 30* du sucre candi. Le sucre fond vers 160°# (sucre
§.

Sucre de betterave. d'orge).A 210°, il donnedu caramel; finalement,il laisse du charbon pur. Plusieurs actions l'interver- B
tissent (voir ci-dessTs).Ne réduit pas la liqueur de Fehling.
EXTRACTION. Obtention du jus des betteraves ou des cannes par pression ou par diffusion et enrichissement
méthodique des jus. Défécation par la chaux et élimination de l'excès de celle-ci par CO* (carbona- o>
tation). Filtration sur noir animal, évaporation dans le vide (appareil à triple effet). Deuxième e»â
fiitration sur noir animal, enfin cuite dans le vide jusqu'à cristallisation; turbinage ou élimination 2.
force e des eaux-mères dites mélasses. —3*
B
SUCBEDE LAIT C^H**©" Solide dur, blanc, inodore, peu sucré. Solubilité 1/6 à froid, 1/2 à 100°. Il s'intervertit par les acides
= sf»
ex*
. . .
Lactose ou lactine. comme le sucre ordinaire.
PRÉP. Le lactose se retire du petit-lait par simp'e évaporation. B
oo»
DEXTBINE. (C*H,*Oi)w Poudre jaunâtre, dont la solution aqueuse est gommeuse et d'un goût douceâtre. Insoluble dans l'alcool sa»
ex*

concentré.Ne bleuitpas l'iode. ~


L'acide sulfurique étendu lui incorpore de l'eau et en fait du glucose. (CcH,0O']" -f- «H*0
= HC6H«*06.
PRÉP. La dextrine 1* traité par les acides minéraux très étendus; 2° traite par lorge
retire de l'amidon :

va
I
se E.
germée. n faut s'arrêterà temps, sinon on aurait d'autres produits, tels que du glucose, par exemple. •
(CH^O1" Poudre blanche en grains ovoïdes semi-organisés. Insolubledans l'eau, l'alcool, l'éther. A 80°, dans l'eau,
ATIEBE AMYLACÉE .
(amidon et fécule). les grains gonflent et donnent l'empois d'amidon.
...... .
Bleuit par l'iode. L'eau bouillante, les acides minéraux étendus, la diastasetransforment
amylacée en dextrine.
, matière
la
PRÉP. La fécule s'extrait des pommes de terre râpées et lévigées. L'amidons'extrait des farines,par fermentation
(du gluten), ou par lavages.'
Gommes ou mucilages. — Substances amorphes formant avec l'eau une solution épaisse. Les gommes
solubles sont des sucs végétaux, telle la gomme arabique, formée d'une combinaison d'arabine es
1 J (O*sV*Ot0) avec la chaux et la potasse. -a.
CELLULOSE (C'H'K)*)
Décomposable par la chaleur.
=
Matière blanche, douce au toucher. rf 1,25 à 1,45. Insoluble dans les dissolvants ordinaires. Combustible. es
oo
L'acide sulfurique la transformesuccessivement en amidon, en dextrine, en glucose. L'acide azo-
tique, étendu, à chaud, donne de l'acide oxalique; concentré, à froid, il donne le coton-poudre qui
s'enflamme à 1£0<>.
La cellulose est à peu près pure dans le papier, le vieux linge, le coton.
PHÉNOL. C*H*0 Solide en aiguillesincolores, fusibles vers 40*: à l'air humidele phénol absorbe un peu d'eau et fond dans cetie as
t-
Acide pbénique tfH^OH eau à la température ambiante. Bout au-dessus de 18f.>*; brûle en donnant beaucoup de fumée. S
Saveur brûlante, très caustique; odeur caractéristique. Désorganise les tissus, coagule l'albumine. a>
Avec les alcalis donnedes phènates. 11 possède des éthers. —»"
f On traite par la soude les huiles de goudron déjà débarrassées des alcalis par l'acide sulfurique. Le ~-
PRÉP. < phénate de sodium formé est décomposé par un acide; la couche huileuse obtenue, lavée, desséchée CD
( sur CaCl*, rectifiée, abandonne les aiguillesde phénol à
— 10*. «j
AUZABINE
..... C**H*0V Solide en aiguilles jaune rouge, se sublime dès 110°. Peu soluble dans l'eau froide. Assezsoluble dans l'alcool
et dans la benzine. L'alizarinecolore l'.-icide sulfurique en rouge sang, les alcalis en violet, la chaux
en bleu ; elle est la base de matières colorantes bleues ou rouges.
B
V.
—3"
ex*
B
ex*
( Se retire de I'anthracènequ'on transformepar le bichromatede sodium et l'acide sulfurique en anthra- B
PRÉP. < quinone. Ce dernier corps est traité par l'acide sulfurique, puis fusionné avec de la soude. Enfin B
( 1 alizarate de sodium est décomposé par HC1 en alizarine et en NaCl. o
c—.
—"
—;
<e

ALDÉHYDE OBDOUIBE C*HK> Liquide incolore,très mobile, odeur suffocante, d = 0,80. Bout à 21*. Soluble d ins l'eau, dans l'alcool, dans r?*
Aldéhyde éthvlique L'éther. La chaleurle décompose au rouge. II brûle dans l'oxygène. 11 peut s'oxyder lentement; c'est ex*
un réducteur. Avec le chlore il donne le colorai (CHCPO). s. i
=
( 1* Oxydationde ralcool. C*H«0 -+- O C*H*0 -f- H*0. On fait couler un mél-mged'alcool et d'acide
l sulfurique dans un ballon où sont portés à 100° de l'eau et du bichromatede potassium. Les vapeurs —:
) condensentdans l'étherd'où on sép-ire l'aldéhvde.
_ . \ 2.seRéduction
«EP. de Facide acétique. (C*H*0*)*Ca4- (CÔWCa
/ acétate de
=
2C03Ca -f- 2(?H'0.
calci» formule 4c calcina

ESSENCE D'AMANDES CTH*0 Liquide incolore, très réfringent, odeur suave, saveur aromatique et acre, d = 1,05 environ. Bout à 179*,5.
AIEBES C*Hs-C0H Très soluble dans l'alcool et dans l'éther; peu solubledans l'eau.
Aldéhyde benzylique (On dédouble par l'eau I'amygdalinequi existe dans les amandes amères.La ir: 'me tempsque l'aldéhyde
j ,
j I»REP. £ Lenzylique, il se produit du glucose et de l'acide cyanhydrique.

^^__^
CAUPrfflE...... C'*HtcO [ Solide cristallin, translucide, flexible ; odeur aromatique spéciale, saveur brûlante suivie d'une sensation de
fraîcheur. d = 0,99. Fond vers 175* ; bout à 204*, se sublime déjà à la température ordinaire. Très
=
peu soluble dans l'eau : S 1/1000; très soluble dans l'alcool et dans l'éther.
Le camphre brûle avec une flamme fuligineuse. Cest l'aldéhydedu bornéol.
de l'eau, un alambic, les éclats du Laurus camphora. Le camphre entraîné par
. (.Onjadistille aveccondensedans de
pFREP. ^ Vape_r se sur la paille placée dans le chapiteau. On le raffine par sublimation.

ACIDE F0BUQUE
. . CH*0* Liquide incolore, mobile, fumant à l'air, saveur acide, odeur piquante, corrosif.d = 1,22. Bouta 105*, cris- 6»
tallise vers 8*. Il existe dans les fourmis rouges. Corps très réducteur ; il réduit l'azotate d'argent.
ACIDE ACÉTIQUE C*H*0»
PRÉP. On dédouble l'acide oxalique sous l'influence de la glycérine vers 90* : C*0'H* =
C02H: 4- CO*.
Liquideincolore se solidifiant à 17». Odeursuffocante, saveuracide, très corrosif.d=1,06. Cet acide bout a 120*.
__.

. . La chaleur rouge donne de» produits complexes. Brûle avec une flamme bleue. Donne avec le chlore
les acideschloroacétiques.Plusieurs acétates sont très importants.
I Par-fermentation des liquides alcooliques (vinaigres). Acétitication produite par le mycodermaaceti :
l C*H«0 -+-
\ Par
20= H*0 -+- C*H<0*.
distillation du bois (vinaigre de bois ou acide pyroligneux). On décompose wr l'acide sulfurique
B

cS"
) les acétates de calcium ou de sodium provenant du traitement du goudron de bois (voir alcool méthy- B
prREP.
. s iiq_e}.
on rectifie ensuite.
B'
/ L'acide acétique pur s'obtient en distillant l'acétate de sodium fondu avec SO'H* concentré. Le produit B
recueilli est entouré de glace j par une vive agitationl'acide acétique se solidifie (acide acétique cris- B
[ o
v talli>-ble) et se sépare de la partie restée liquide. —*
Acides gras C"H*"0*. — Les acides gras existent dans les deux règnes organiques; ils y sont généralement a>
combinés avec de.? bises pour donner des sels, avec des alcools pour donner des éthers, souvent avec
la glycérine pour donner des éthers neutres formant les c>rps gras. ex*
Ces acides ont des propriétés généralescommunes ; ils sont monobasiques, donnent des éthers avec
les alcools, des produits de substitution avec le chlore ; p -r la chaleur, leurs sels ammoniacaux é.
donnentune amide,puis un nitrile ; leursselsde chaux, des acétones; leurs sels alcalins mêlés à un for -
miate, une aldéhyde.
L'acide formique, Cad le acétiquementionnés ci-dessus, font partie des acides gras. Citons, quel-
ques acides gras des plus importants.
ACIDE BOTYBIQOE.
. C*H"0* Liquide à odeurde beurre rance, qui bout à 163*. Il existe dans le beurre, formant la bulyrine, qui est un
éther de la glycérine.
ACIDE IAB6ABIQUE
. CH*^ Solide blanc fondantà 62% très soluble dans l'alcool et dans l'éther. S'extrait de l'huile de palme, existe aussi
dans le blanc de baleine, la cire.
ACIDE STEABIQUE.
. C"IP*0* Solide blanc fondant à 69*, soluble dans l'alcool et dans l'éther. S'extrait du suifde mouton par saponifi-
cation. O
ACIDE OXALIQUE
. . î C*H*0* Solide cristallisé"avec 4 molécules d'eau, incolore, saveur aigre et piquante. Soluble dans 15 parties d'eau -1
o.
froide et dans t d'eau chaude. Poison à la dose de 15 a 20 grammes. Fond à 98* dans son eau de
cristallisation ; au-dessus, il se volatilise et se décompose partiellement en H*0,C0*, COou en CO* et
CH*0*. C'est un réducteur. Acide bibasïque.
^n
PRÉP \< Dans lra'te l'amidon ou le glucose, à chaud, par l'acide azotique dilué.
l'industrie, on chauffe de la sciure de bois avec un mélange de potasse, de soude et de chaux.
ACIDESTABTBIQUES. C'HH)6 Solide cristallisé en gros prismes rhomboïdaux obliques, anhydres, incolores, d'une saveur acide agréable.
Il y en a quatie: Soluble dans moins de son poids d'eau froide et dans le tiers de son poids d'eau chaude. Fond vers ec
Acide tartriquedroit. 170* ; plus haut, il se décompose. Calciné à l'air, il se boursoufle et brûle en répandant l'odeur de a»
S
Acide tartrique gau- caramel.n y a quatreacides tartriques, distinguéspar leur cristallisation et Ieuractionsurla lumière: D>
5*
che. 1* un acide droit (dexlrogyre); 2* un acide gauche (IoevogYre);3*«inacide inactif par compensation,
Acide paratartriqueou acide racémique. formé des deux acides nctii's; 4* un acide inactif, non directement déuoublable. ex*.
e>
racémique. L'acide tartrique est à la fois acide biba>iquc et bialcool. c_
Acide tartrique inac- ( S'extrait du tartre brut, d'abord purifié et décoloré par ébullitionavec des argiles spéciales. Par évapo-
tif. \ ration de la liqueur filtrée on a la crèmedetartre ou bitartratedepotassium. Ce sel dissous est traité r«3
PRÉP. < par la craie ; il précipite du tartratc neutre de calcium, et il reste dissous du tartrate neutre Ce B
S.
/ potassium qu'on précipite à son tour par du chlorure de calcium. Le tartrate calcaire" obtenu est «S"

ACIDE CUBIQUE. C*H"0T


v traité par l'acidesulfuriquedilué, Pacide tartrique est mis en liberté. On filtre, on fait cristalliser.
Solide cristallisé en gros prismes rhomboïdaux, incolores, inodores, d'une saveur très acide. Soluble dans
BI
. . moins de son poids d'eau froide. s
ex*

S'
Fond dans son eau de cristallisationqu'il perd à 130*. Se décompose vers 175". C'est un acide triba-
sique, en même temps monalcool. eu
PRÉP. Le jus de citron, traité par la craie,donne du cilrale de calcium qu'on décompose par l'acide sulfurique

étendu. On fait cristalliser par évaporationdans le vide.
«—•
Aminés ou ammoniaques composées. — Elles résultentde l'union d'une ou de plusieurs mol. d'ammo- .*
va
niaque et d'une ou plusieurs mol. d'un alcool ou d'un phénol avec élimination d'une ou plusieurs I
CM
>

moL d'eau. ?5*


ANILINE. C*HTAz =
Liquide huileux, incolore, mauvaise odeur, saveur acre, d 1,03. Bout à 185*, et cristallise au dessous de
8*. Soluble dans l'eau, l'alcool, les carbures. C'est une base qui précipite l'oxyde de zinc et les sesqui-
B
oxydes; elle donne des sels cristallisés.lien dérive de magnifiquescouleurs.L'aniline devient violot
pourpre par le chlorure d»choux. Respirée en vapeursou appliquée sur la peau, elle peut amener la
mort.
!On nitre la benzine à froid par de l'acide azotiqueauquelon a ajoutéde l'acide sulfuriquequi s'empare
de l'eau formée.Après des lavages à l'eau, on réduit la nitrobenzineobtenue au moypn de l'hydrogène
naissant obtenu par du fer en copeaux et HCl. On entraîne l'aniline par la vapeur d'eau* et on la
rectifie.
-' -.,.• .
—~~ _ ...... . ..
_V
. .

• TOLUICINES (TH'AzParatoluidine. — Solide feuilleté à odeur d'aniline et à saveur brûlante. Fond à 45», bout à 205°. Un peu
existe trois isomères.
11 =
soluble dans l'eau : S 1/280.
=
Orthotoluidine.— Liquide huileux, incolore, d 1,00. Bout à 200*.
Mélatoluidine. — Liquide qui bout à 197*.
( La toluidine commerciale, qui est un mélange des deux premières toluidines,s'obtient en réduisant
PRÉP. < le nitrotoluène par le fer et l'acide acétique (voir aniline). On l'extrait encore des goudrons de
( houille ( voir aniline.)
BOSANIUNE CMHîlA_*0 Solide incolore, cristallisé, presque insolubledans IVau. La rosaniline donne avec les aclies trois séries de se
sets cristalliséset olorés. Les sels monacides sont à reflets verts dorés et leurs solutions sont rouge- §.
s>

cramoisi (rouge d'aniline). La fuchsine du commerce n'est autre chose que du chlorhydrate de s»
rosaniline.
J La rosaniline s'obtient en faisant réagir un-oxydant ou un déshydrogénant sur un mélange de
p.
PREP- t 1 mol. d'aniline et de 2 mol. de toluidine.
o»"

PARABOSANIUNE C'H^Az'O C'est l'homologue inférieur de la rosaniline. Ses sels sont rouges; son chlorhydrate eit b parafuchsine. a.
. . s-S
B
Matièrescolorantes naturelles. — Elles servent principalement â la teinture et à l'impression de la «S*
laine, de la soie et du coton. Voici les principales: * B
Indigo. — Son principeactif est Vindigotine, C,DH,l,AzïOï, dont la synthèseafeuilles
été réalisée.
de la plante.
—>
B
PRÉP-11 s'extrait de Yindigofera par digestionet fermentationdans l'eau des es*
B
Garance. — La racine de cette plante contient l'alizarine, C'a"©*, et la purpurine, CuH"04. B
PRÉP. OU traite le jus de* racines, préalablement résinifié l'air,
à l'acide sulfurique, qui abandonne les
par
matières colorantesen dissolvant les impuretés. E3
synthèse a été réalisée.
Orseille. — Son principe actif est Vorcine CH'O*, dont laprocède «P

PRÉP. On laisse oxyder à l'air une décoction de lichens et on à des digestionsammoniacales. *•»'
Cochenille. — Son principe actif est la carminé, produit par des insectes hémiptères.
PRÉP. On fait digérer ces insectes dans l'alcool ou l'ammoniaque, après un dégraissageà l'éther.
de campêche, etc. On réduit mécani-
Bois du Brésil, des îles, de Fernambouc, de Panama,i'eau I

chaude; évapore ensuite à consis- S"


quement les bois en minces copeaux et on épuise par on

— tance d'extrait. **»

Matières colorantes artificielles.—Ellessc subs:ituentdeplusenplusauxmatièrescolorantcsnaturelles,


delà variété de leurs
en raisonde leur bon marché, de leur facile application,de la richesse et nuances.
On les prépare, pour la plupart, avec les produits extraits du goudron de houille.
Le nombre de ces substancesaugmentetous les jours; nous nous contenterons de donner la liste
suivante, qui renfermeles plus connues :
Rouges.— Fuchsine. — Safranine. — Ponceaux. —Crocéine. — Eosine— Roccelline. — Alizarine de
synthèse.
f Jaunes. — Aride picrique. — Jaune de Martius. — Citronine. Mandarine. •J
— — Auramine. — Chrysoïne.
J
il
to
— rnosphine.
Verts. — Vert lumière. —Vert brillant —Vert de méthyle.
BleUS* "^-BKen ?e Phén,y!5.on de Lyon. Bleu soluble. Bleu Nicholson. Bien de méthylène.

d alizanne. — Indigo de synthèse. — — — Bleu
Violets. — Violet de Paris. — Violet Hofmann. — Mauvéine ou Rosolane.
S"
t— '
r*
S.
Alcaloïdes.—Ilsexistentcombinés aux acidesorganiquesdans le* papavéracées,les sblanées,lesombellifères. I-
Ce sont des poisons très violents. Ces composes sont des bases généralement puissantes, capables de
neutraliserles acides les plus énergiques. Leurs sels sont amers. tu
o.
o
W£anWE C»H»»A_* Liquide oléagineux, incolore mais brunissant à l'air odeur pénétrante, caustique. Poison très violent.
d= 1,03. Bout vers 240*. bolubledans eau, alcool, élher. »â
a
S'extrait du tabac : le tabac épuisé par l'eau bouillante fournit une solution qui est évaporée et dont
f va
ex*
) L£î- .^k Kpns ,par *a,c001 Puis P31"la Pousse qui rend libre la nicotine, enfin par l'éther qui la
->.*-. < redissout. On transforme cette» nicotine en oxalate qu'on décompose
nuEP.
—3*
.
sS
4X*

/ nouveau la nicotine dans lether. On chasse l'éther; on distille le résidu par la potasse, et on dissout à B
<x*
dans un courant d'hvdro-
\. gène, recueillant ce qui passe vers 180*. 5S-
"°BPHI,E C'-H»AzO» Solide cristallisé inodore, saveur amère. Peu soluble dans l'eau: S
sels; le plus important est le chlorhydrate. =
1/300, soluble dans l'alcool. Formj des g
( S>\trai.lideII'°Pinm : on l'épuisé par l'eau et on ajoute à la solution du carbonate de sodium qui
t»»*»
**R*P. -. précipite de la morphine, de la narcotine et du méconate de sodium. Ce précipit-, traité à chaud
C par 1 acide acétique, abandonne de l'acétate de morphinequ'on décompasc
par l'ammoniaque. è.
tt°lil,E C*»H**Az*0* Poudre branche, cristalline, inodore, mais très amère. Peu soluble dans l'eau
I alcool, I etner. Fond à 177*. : S = 1/400; soluble dans J, :;
Sa solution verdit le sirop de violette. Donne des sels cristallisables; le sulfate est un fébrifuge *

/ S'exilait
^
du quinquina. L'écorce est épuisée par HC1, la liqueur filtrée traitée par la chaux pré-
ïïSÏÎ __ÏÏTn,î nme a !,a "nch°nu"v a d<JS decalcium,à des matières colorantes. Les deux alca- |
P.<» )) £— *înt dissousdans 1 alcool bouillant et transformés sulfates. Le sulfate de quinine cristallise
|
/ le premier. On le décolore sur du noir, on le purifie parencristallisation. Traité parl'ammoniaque, ce
I V sulfate donne la quinine. J
- .

poison très violent. Très peu soluble dans l'eau;


soluble I
«rnYOnntL . . . . ?C*'H»Ax*0»
UIIUHK- ^ «* Solide incolore, cristallisé en octaèdres,très amer,
cristallisentfacilement. I
dans l'alcool. Fond vers 280°. Ses sels
épuise Hd; l'alcaloïde précipité par la chaux est dissous I
/ S'extrait de la noix vomique, qu'on par
V dans l'alcool bouillant. Comme la strychnine obtenue contient un autre alcaloïde, la brucine, on
PRÉP. i transforme ces bases en azotates. L'azotate de strychnine cristallise le premier; on le traitei par
dissolution dans 1 alcool
/. l'ammoniaque, il se dépose la strychnine qu'on fait cristalliser par
V bouillant,
3

a».-
•»
Amides.— Ce sont des composés azotés qui ne diffèrentdes sels ammoniacauxque par une certaine quantité B ^ %
ir. .:

d'eau en moins.
dans
cristallisé,incolore, inodore. Fond à 132*. Très soluble dans l'eau, moins dans l'alcool, peu
-née ...---- rm-m*
LUAZ'H
Solide
C'est une base faible
l'éther^em

i
ou carbamide. ^la décompose. Spontanémentl'urée prend S molécules d'eau et donne du carbonate
d'ammonium; cela a lieu aussi par une fermentation spéciale,
B
s
•§*•",'
mis dans de l'urine réduite au dixième de son volume, précipite de l'azotate <x*
B
PRÉP. \f L'acide azotique
d'orée. Cet azotate purifié est traité par la baryte qui met l'urée en liberté ; on évapore et on reprend Ï
B
ex*
.

( par l'alcool qui dissout l'urée; elle cristallise par refroidissement.

.-.ne
ACIDE nninrtP ...un ATV
f?H*Az*0- Solide cristallinblanc, inodore, insipide. Très peu soluble; à froid : 1/15000; à chaud : 1/1800. Les urates I
UNIQUE. alcalins sont seuls solubles.
t S'extrait des excréments de boa qu'on transformeen urate
de potassium;ce sel traité par HCl donne. .
**-**• { un précipité d'acide urique. «*>
CA
I
dans l'alcool, l'éther; soluble
»n.-n
INDIGO .no
PUB-
ou mdigoune.
.... r««H*»A7*0* Solide
C««H»Az*0*
HE,
rouge-mordoré.
v«g à- Klorofonne.
=>ouue bleu reflets
savapeuracide
sulfopurpurique,
Insoluble
sulfoindigotique.
dans l'eau
L'indigo
;
est
très peu
inodore
soluble
S'unit à l'acide sulfurique pour donner des acides11sulfonés solubles:
et insipide. commence a se
acide
sublimer
désagréable. L'indigo peut donner avec la potasse de l'aniline,
B
'g
violette a une odeur
et avec raddeazotique de l'acide picrique.

^
être préparé pur en sublimant l'indigo commercial.2<> On préfère passer
rffi^bfanequi est soluble,et qui ne diffère de l'indigotine qu'ence qu'il contient H» en plus.
Sio L'indigo bleu peut assez
par celaToni Site "indigo
Sur dissous et par de la chaux, a 1 abri de
i5ï<J5S uneI
commérckïl
solution incolore
par du sulfate ferreux
indigo blanc qui, acidulée par HCl et exposée a l'air, donne
des flocons d'indigotine bleuet -.1
I CO
;

ALBQHIE.
et ses congénères
(T'H"* \
/\A3f*S0**J , . ;

L'albumine est cette matière transparente, inodore,qui constitue le blanc d'oeuf.Desséchée au-dessousde 40°,
—, *
-a '
ou évaporée dans le vide, c'est une masse amorphe, transparente, solubledans l'eau. Cette solution
(on le blanc d'oeuf) se coagule vers 75* et devient blanche, opaque et consistante. L'alcool, les acides '.
minéraux en général, le tannin, coagulent l'albumine.
/ On reçoit le blanc d'un oeuf dans trois fois son volume d'eau; on filtre sur un linge et on traite le
V liquide parle sous-acétate de plomb. Leprécipité,mis en suspension dansl'eau, est traité parun courant
PRÉP. < de gaz carbonique.On filtre ; les dernières traces de plomb sont précipitéespar H*S. En chauffant
/ légèrement on produit une faible coagulation qui retient le sulfure de plomb. On filtre, on a une
v solution d'albumine pure. a».
CASÉ"»* (Test le principe azoté du lait. — La caséineest soluble, et sa solution ne se coagule pas par l'ébullitioc, mais ET*

I
tous les acides la coagulent.
On ajoute au lait un peu d'acide acétique et on lave à l'eau, à l'alcool, à l'étherle précipité coagulé
i"
B
P_^P t
' obtenu. ea.
<D
FIBRINE Elle est en dissolution dans le sang. — Solide blanc, inodore, insipide, mou à l'état humide, cassant quand
il est sec. Insoluble dans 1 eau et dans l'alcool, M
f Le sang fibre se partage en deux parties : 1* une partie liquide, jaune, est le sérum ; 2* une partie <5
PRÉP. < coagulée, rouge, est le caillot forme de fibrine emprisonnant les globules ; on la lave sou? un filet d'eau «s
Gurrzx
( qui entraine les globuleset laisse la fibrine sous forme de filaments. g
—>
C'est le principe azoté des farines.-Le gluten contient: 1* la /îori7i<; ué^éia/e,insoluble dans l'alcool bouillant;
2* la caséinevégétalej 3* la glulinc, analogue à l'albumine. B .'
PRÉP l *-e &atca *st un résidu du malaxage sous l'eau de la pâte de farine ; on obtient une masse molle, s. .:
* t plastique. Le gluten se putréfie à l'air humide.
.
GELATINE Solide transparent, incolore,inodore. Se ramollitdans l'eau froid ». se dissout dans l'eau bouillante, et cette B
solution se prend en gelée en se refroidissant, si elle contientplus de 1 % de gélatine. Les solutions
plus étendues sont précipitées parle tannin et l'alcool. La gélatinefortement chauffée fond, puis brûle
avec une mauvaise odeur. La colle de poissonest de la gélatine pure ; on l'obtient avec les membranes
I internes de la vessie natatoiredes esturgeons.Les autres gélatines,colleforte, colle de peau, s'obtiennent s.
»
-

I
en faisant bouillir avec de l'eau des peaux, des cartilages, des os, etc. ; l'eau fait éprouver une
I transformationà Vosséine, à la myosine, etc.
Chimie.

fiole}. Ï5
"0 ANNEXES
.

ARITHMÉTIQUE

Garaotères de divisibilité par 11; par 7 et par 13.


Par 41. — Un nombre est divisible par 11 EXEMPLES :
quand la somme des chiffres de rang impair, 5812472 n'est pas divisible
à partir de la droite, diminuée do la somme
des chiffres de rang pair, est nulle ou divisible par 11, parce que
2+4+1+5 (aojjnenté dt U) = 23
par 11.
(Lorsque la première somme est inférieure
moins7 + 2 + 8 = 17
à la seconde, on l'augmente d'un multiple de donne pour reste 6
11 qui rende la soustraction possible.) (Le reste de la division est 6.)
Par 7 ou par 43. — On divise le nombre 28135457 est divisible par 7,
en tranches de trois chiffres, i partir do la parce que
droite. Lo nombre est divisible par 7 (ou par 457 + 28—135-.multiplede7.
13) si la différence entre la somme des tran- 98135457 n'est pas divisible
ches do rang impair et la somme des tran- par 13, parce que
ches do rang pair est nulle ou divisible par 457 +28 — 135 n'est pas mul-
7 (ou par 13). tiple de 13 (le reste est 12).
Divisibilité.
Lorsqu'on a à rechercher les caractères de divisibilité d'une expression, il est
souvent utile de remarquer qu'un nombre entier est toujours de l'une des
formes
2n, 2n l, + 4», 4n ±
i, 4n±2,
3n, 3n__l, 5n, ônrhl, 5n±:2, etc.;
qu'un carré est de l'une des formes 5«, 5n ±; 1 ;
un carré impair, de la forme 8n 1 ; + ,
un cube, do l'une des formes 7n, In ±
1 ; ' On', 9»' i;±
une quatrième puissance, do l'une des formes 5n, bn +1, etc ;
Nombres premiers.
Tout nombre premier supérieur à 3 est de la forme Cn ± 1. (La réciproque
n'est pas vraie.)
Diviseurs d'un nombre.

N nombre considéré, égal d a"-V...

S sommo \\
n nombredes diviseurs do N \ ..._„;,
JN
P produit

- - —
>
) le,n

n, nombre des entiers Infé- i .,._..;.


rieurs à Net premiers avec [ |<aDjy

Théorème de Fermât. Théor. de Fermât généralisé.


p étant premier absolu et premier A étant premier avec n, Ani — 1
avec o, est divisible par N.
(On a vu ci-dessus ce que repré-
est divisible par p. sente n..)
Théorème de Wilson.
p Mant premier absolu,
1.2.3 (p-2)(p.-.l) + l
est divisible par p. (La réciproque est vraie.)
'.IriuWliqne. 77
— A'oles.
78 ANNEXES

Tal>le des nombres premiers

i 263 613 997 1423 1811 2267 2693 3167 3607 4057
2 69 17 1009 27 2G 69 99 69 13 73
3 71 19 13 29 31 73 2707 81 17 79
5 77 31 19 33 47 81 11 87 23 91
7 81 41 21 39 61 87 13 91 31 93
11 83 43 31 47 67 93 19 3203 37 99
13 93 47 33 51 71 97 29 09 43 4111
17 307 53 39 53 73 I 2309 31 17 59 27
19 11 59 49 59 77 11 41 21 71 29
23 13 61 51 71 79 33 49 29 73 33
29 17 73 61 81 89 39 53 51 77 39
31 31 77 63 83 1901 41 67 53 91 53
37 37 83 69 87 07 47 77 57 97 57
41 47 91 87 89 13 51 89 59 3701 59
43 49 701 91 93 31 57 91 71 09 77
47 53 09 93 99 33 71 97 99 i9 4201
53 59 19 97 1511 49 77 2801 3301 27 11
69 67 27 1103 23 51 81 03 07 33 17
61 73 33 09 31 73 83 19 13 39 19
67 79 39 17 43 79 89 33 19 61 29
71 83 43 23 49 87 93 37 23 67 31
73 89 51 29 53 93 99 43 29 69 41
79 97 57 51 59 97 2411 51 31 79 43
83 401 61 53 67 99 17 57 43 93 53
89 09 69 63 71 2003 23 61 47 97 59
97 19 73 71 79 11 37 79 59 3803 61
101 21 87 81 83 17 41 87 61 21 ,71
03 31 97 87 97 27 ' 47 97 71 23 73
07 33 809 93 1601 29 59 2903 73 33 83
09 39 11 1201 07 39 67 09 89 47 89
13 43 21 13 09 53 73 17 91 51 97
27 49 23 17 13 63 77 27 3Î07 53 4327
31 57 27 23 19 69 2503 39 13 63 37
37 61 29 29 21 81 21 53 33 77 3'J
39 63 39 31 27 83 31 67 49 81 49
49 67 53 37 37 87 39 63 57 89 57
51 79 57 49 67 89 43 69 61 3907 63
67 87 59 59 63 99 49 71 63 11 73
63 91 63 77 67 2111 51 99 67 17 91
67 99 77 79 69 13 57 3001 69 19 97
73 503 81 83 93 29 79 11 91 23 4409
79 09 83 89 97 31 91 19 99 29 21
81 21 87 91 9J 37 93 23 3511 31 23
91 23 907 97 1709 41 2609 37 17 43 41
93 41 11 1301 21 43 17 41 27 47 47
97 47 19 03 23 53 21 49 29 67 51
99 67 29 07 33 61 33 61 33 89 57
211 63 37 19 41 79 47 67 39 4001 63
23 69 41 21 47 2203 67 79 41 03 81
27 71 47 27 63 07 59 83 47 07 83
29 77 53 61 59 13 63 89 57 13 93
33 87 67 67 77 21 71 3109 59 19 4507
39 93 71 73 83 37 77 19 71 21 13
41 99 77 8i 87 39 83 21 81 27 17
51 601 83 99 89 43 87 37 83 49 19
67 07 91 1409 1801 61 89 63 93 51 23
79
- -
ANNEXES
——I
;
-- -
Inférieurs à ÎOOOO.

4547 5011 5507 6007 6473 6971 7517 8009 8537 9011 9491
49 21 19 11 81 77 23 11 39 13 97
61 23 21 29 91 83 29 17 43 29 9511
67 39 27 37 6521 91 37 39 63 41 21
83 51 31 43 29 97 41 53 73 43 33
91 59 57 47 47 7001 47 59 81 49 39
97 77 63 53 51 13 49 69 97 59 47
4603 81 69 67 53 19 59 81 99 67 51
21 87 73 73 63 27 61 87 8609 91 87
37 99 81 79 69 39 73 89 23 9103 9601
39 5101 91 89 71 43 77 93 27 09 13
43 07 5623 91 77 57 83 8101 29 27 19
49 13 39 6101 81 69 89 11 41 33 23
51 19 41 13 99 79 91 17 47 37 29
57 47 47 21 6607 7103 7603 23 63 51 31
63 53 51 31 19 09 07 47 69 57 43
73 67 53 33 37 21 21 61 77 61 49
79 71 67 43 53 27 39 67 81 73 ' 61
91 79 59 51 59 29 43 71 89 81 77
4703 89 69 63 61 51 49 79 93 87 79
21 97 83 73 73 59 69 91 99 99 89
23 5209 89 97 79 77 73 8209 8707 9203 97
29 27 93 99 89 87 81 19 13 09 9719
33 31 5701 6203 91 93 87 21 19 21 21
51 33 11 11 6701 7207 91 31 31 27 33
59 37 17 17 03 11 99 33 37 39 39
83 61 37 21 09 13 7703 37 41 41 43
87 73 41 29 19 19 17 43 47 57 49
89 79 43 47 33 29 23 63 63 77 67
93 81 49 57 37 37 27 69 61 81 69
99 97 79 63 61 43 41 73 79 83 81
4801 5303 83 69 63 47 53 87 83 93 87
13 09 91 71 79 53 57 91 8803 9311 91
17 23 5801 77 81 83 59 93 07 19 9803
31 33 07 87 91 97 89 97 19 23 11
61 47 13 99 93 7307 93 8311 21 37 17
71 51 21 6301 6803 09 7817 17 31 41 39
77 81 27 11 23 21 23 29 37 43 33
89 87 39 17 27 31 29 53 39 49 39
4903 93 43 23 29 33 41 63 49 71 61
09 99 49 29 33 49 63 69 61 77 57
19 5407 61 37 41 61 67 77 63 91 59
31 13 57 43 57 69 73 87 67 97 71
33 17 61 63 63 93 77 89 87 9403 83
37 19 67 59 69 7411 79 8419 93 13 87
43 31 69 61 71 17 83 23 8923 19 9901
61 37 79 67 83 33 7901 29 29 21 07
57 41 81 73 99 51 07 31 33 31 23
*67 43 97 79 6907 67 19 43 41 33 29
69 49 5903 89 U 59 27 47 61 37 31
73 71 23 97 17 77 33 61 63 39 41
87 77 27 6421 47 81 37 67 69 61 49
93 79 39 27 49 87 49 8501 71 63 67
99 83 53 49 59 89 51 13 99 67 73
6003 5501 81 51 61 99 63 21 9001 73
09 03 87 69 67 7507 93 27 07 79

4B_B____________a___ ____n_n_____ a—BBBOBBBHai__________________________


80 ANNEXES

Table des plus petits diviseurs


(On reconnaît Immédiatement les diviseurs 2 et 5; on

N. D. N. D. N. D. K. D. N. D. N. D. N. D.

169 13 1271 31 2071 19 28G9 19 3551 53 4217 31 4891 07


221 13 73 19 77 31 73 13 C9 t3 07 17 97 59
47 13 1313 13 2117 29 81 43 87 17 4303 13 4901 13
89 17 33 îil 19 13 !»9 13 89 37 07 59 13 17
09 13 39 13 47 19 2911 41 99 59 09 31 27 13
323 17 43 17 59 17 21 23 3C01 13 13 19 79 13
CI 19 49 19 71 13 23 37 II 23 21 29 81 17
77 13 57 23 73 41 2!» 29 29 19 31 01 97 19
91 17 03 29 83 37 41 17 49 41 43 43 5017 29
403 13 09 37 97 13 51 13 53 13 51 19 29 47
37 19 87 19 2201 31 77 13 07 19 69 17 41 71
81 13 91 13 09 47 83 19 79 13 79 29 53 31
93 17 1403 23 27 17 87 29 M 29 81 13 57 13
527 17 11 17 31 23 93 41 3713 47 87 II 03 61
29 23 17 13 49 13 3007 31 21 01 03 23 69 37
:« J3 57 31 57 37 13 23 37 37 V) 53 83 13
51 19 09 13 03 31 29 13 13 19 \V£1 19 5111 19
59 13 1501 19 79 43 43 17 49 23 29 43 23 47
89 19 13 17 91 29 53 43 57 13 39 23 29 23
011 13 17 37 2323 23 71 37 03 ta 53 01 41 53
20 17 37 2!) 27 13 77 17 81 19 69 41 43 37
07 23 41 23 2!) 17 97 19 91 17 71 17 49 19
89 13 77 19 ta 13 3103 29 99 29 89 07 01 13
97 17 91 37 03 17 07 13 3809 13 4511 13 77 31,
703 19 1633 23 09 23 27 53 II 37 31 23 83 71
13 23 43 31 2107 29 31 31 27 43 37 13 91 29
31 17 49 17 13 19 33 13 41 23 41 19 5207 41
07 13 51 13 19 41 39 43 59 17 53 2!» 13 13
79 19 79 23 49 31 49 47 I» 53 «1 47 19 17
93 13 81 41 01 23 51 23 87 13 73 17 21 23
99 17 91 19 79 37 01 29 03 17 77 23 39 13
817 19 1703 13 83 13 73 19 3901 47 79 19 49 29
41 29 11 29 S9 19 93 31 37 31 89 13 51 59
51 23 17 17 91 47 97 23 53 59 4601 43 63 J9
71 13
19
39
51
37 2501 il 3211 13 59 37 07 17 C7
87
23
17
93 17 07 23 33 53 01 17 19 31
99 29 03 41 09 13 39 41 73 29 33 41 93 67
001 17 69 29 33 17 47 17 77 41 01 59 5311 47
23 13 81 13 37 43 03 13 79 23 67 13 17 13
43 23 1807 13 61 13 77 29 01 13 81 31 21 17
49 13 17 23 67 17 81 17 4009 19 87 13 29 73
61 31 19 17 73 31 87 19 31 29 93 13 39 19
89 23 29 31 81 29 93 37 33 37 99 37 53 53
1003 17 >43 19 87 13 3317 31 43 13 4709 17 59 23
07 19 49 43 99 23 37 47 01 31 17 53 63 31
27 13 53 17 2G03 19 41 13 03 17 27 29 71 41
37 17 01 31 23 43 49 17 69 13 47 47 77 19
73 29 1909 23 27 37 79 31 87 01 67 07 89 17
79 13 19 19 41 19 83 17 07 17 t» 19 5129 01
81 23 21 17 69 17 A7 43 4117 23 71 13 47 13
1121 19 27 41 2701 37 3(01 19 21 13 77 17 59 53
39 17 37
43
13 43 13 03 41 41 il 4811 17 61 43
13
47 31 29 47 41 19 13 63 23 19 01 73
67 13 67 19 59 31 27 23 71 43 41 17 91 17
69 19 61 37 71 17 31 47 81 37 43 29 97 23
89 29 63 13 73 47 39 19 83 47 47 37 5513 37
1207 17 2021 43 2809 53 73 23 87 53 49 13 39 29
19 23 33 19 13 29 81 59 89 59 51 23 43 23
41 17 41 13 31 19 07 13 09 13 59 43 (9 31
47 29 47 23 39 17 3503 31 4223 41 07 31 61 67
Cl 13 69 29 07 47 23 13 37 19 8.1 19 07 10
ANNEXES I
81

des nombres de 1 à ÎOOOO.


essaiera 3, 7 et 11 : la Tablo commence au diviseur 13.)

N. D. N. I). N. I). N. D. N. D. N. D. N. D.

5587 37 6233 23 08S9 83 7171 31 8137 79 8759 19 93Ô7 17


97 29 39 17 93 01 93 59 13 17 73 31 79 83
5003 13 il 79 0901 07 7501 13 49 29 77 07 89 41
09 71 53 13 13 31 19 73 53 31 91 59 9107 23
11 31 Kl 01 29 31 59 41 97 19 09 97
17 il17 89 19 31
13
29 43
17
19 77 13 8801 13 51 13
27 6.113 59 43 53 71 07 89 19 09 23 69 17
29 13 19 71 ta 17 97 71 8201 59 43 37 81 19
33 43 31 13 73 7613 *3 03 51 53 87 53
71
8l
53
13
il71 17 8?
7003
19
2!» 19 19 07
13
29 57 17 9503 13
23 47 27 29 13 43 73 19 09 37
09 41 83 13 09 13 31 13 27 19 79 13 17 31
5707 13 6101 37 31 79 33 17 19 73 81 83 23 89
13 29 03 19 33 13 57 13 51 37 91 17 29 13
23 59 07 43 37 31 01 17 57 23 8903 29 53 41
29 17 ÔÔ 01 57 19
13 23 03 79 79 17 09 59
59 13 31 59 07 37 97 «3 99 43 17 37 «1 73
67 73 37 41 81 73 7709 |3 830:» 1!» 27 79 71 17
71 29 39 47 87 19 29 59 21 53 47 23 77 61
73 23 43 17 93 41 39 71 33 13 57 13 89 43
77 53 63 23 97 47 47 61 39 31 59 17 93 53
5809 37 07 29 99 31 51 23 il I!» 77 47 99 29
33 19 87 13 7111 13 t» 17 47 17 K3 13 9007 13
37 13 03 43 23 17 71 |!> 57 01 S!» 89 17 59
91 43 97 73 il 37 81 31 59 13 93 17

37 23
93
09
71
17
99 67 53 23 83 43 81 17 9017 71 il
59
31
050!» 23 57 17 87 13 83 8=1 19 2!) 13
5909 19 11 17 63 13 7801 29 99 37 17 83 71 19
Il 23 27 61 09 07 07 37 8(01 31 01 13 73 17
17 61 ai 47 71 71 II 73 II 13 71 47 83 23
21 31 39 13 81 43 13 13 13 47 73 43 9701 89
33 17 41 31 99 23 31 41 17 19 77 £9 03 31
41
47
13
19
57
83
79 7201 19 37 17 il 23 83 31 07 17
29 23 31 49 47 53 79 89 01 27 71
69 59 93 19 41 13 59 29 71 (3 9101 19 31 37
63 67 6013 17 01 53 71 17 73 37 13 13 61 43
69 47 17 13 07 13 91 13 79 01 31 23 63 13
77 43 23 37 77 19 97 53 83 17 îi» 13 73 29
83
89
31
53
31
il
19 79 2!) 7913 il 89 13 43 41 97 07
il17
2!» 8!» 37 21 89 97 29 67 89 99
93 13 47 17 91 _.| 3!) 17 8507 47 09 53 9809
6001 17 49 61 7303 67 43 13 09 07 79 67 27 31
19 13 67 59 13 71 57 73 31 19 93 29 41 13
23 19 83 41 19 13 01 19 (!) 83 97 17 47 43
31 37 97 37 27 17 07 31 51 17 9211 01 53 59
(9
59
23
73
6707
31
19
53
39 il17 69 13 57 13 17 13 t» 71
41
01 79 79 07 13 23 23 81
71 13 39 23 63 37 81 23 79 23 53 19 93 13
77 69 19 17 «7 53 91 61 87 31 59 47 99 10
6103 17 51 13 73 73 99 19 03 13 63 59 9913 23
07 31 57 29 79 47 8003 53 8011 79 <i9 13 17 47
09 41 07 07 87 83 21 13 21 37 71 73 37 19
19 20 73 13 91 19 23 71 33 89 87 37 43 61
37 17 99 13 07 13 il 23 39 53 J» 17 53 37
67
61
47
61
0817
21
17
19
7409
21
31 33
47
S9
13
51
53
il17 9301 71
il
59
71
23
13
41 07
69 31 47 il13 2-1 13 51 83 71 13 13 07 79 17
79 37 51 29 17 77 il 83 19 29 19 83 67
87 23 59 |!l 39 {3 Kl 59 8711 31 17 13 91 97
01 41 77 13 53 2!» 8119 2-1 17 23 53 47 07 13
6227 13 87 71 63 I? 31 47 49 13
82 ANNEXES

Table des racines carrées des nombres


delà ÎOO.
N RACINES N RACINES N RACINES N RACINES

2 1,4142136 275,1961824 52 7,2111026 76 8,7177979


3 732 0508 28 2915026 53 280109 9 77 774 9644
211 3851048 54 348 469 2 78 831760 9
.5 2,2360680 30 477 2256 55 416198 4 79 8881944
6 449489 7 31 567 7614 56 483 314 8 80 9442719
7 645 7513 32 056854 2 57 519 834 4
8 828 4271 33 74411620 58 615 773 1 82 9,0553851
34 830 9519 59 681145 7 83 110 433 6
10 3,1622777 35 9160798 60 7459067 81 1651514
M 3166.48 61 810249 7 85 2195445
12,4641016 37 6,082 7625 62 874 007 9 86 2736185
13 605 5513 38 164 414 0 63 937 253 9 87 327 3791
14 741657 4 39 214 998 0 88 3808315
15 8729833 40 324 555 3 65 8,062 957 7 89 4339811
41 403 124 2 66 1240384 90 486 8330
17 4,1231056 42 4807407 67 1853528 91 5393920
18 242640 7 43 557 438 5 68 246 2113 i)2 5916630
19 358898 9 44 633249 0 69 3066239 93 613650 8
20 472136 0 45 708203 9 70 366 6003 91 695359 7
21 582575 7 46 782 3300 71 426149 8 95 746 7943
22 6904158 47 855 654 6 72 4852814 96 797 959 0
23 7958315 48 9282032 73 544003 7 97 8488578
24 898979 5 74 602 3253 98 N994949
50 7,071 067 8 75 660 254 0 99 949 874 4
26 5,0990195 51 1414284

Valeur numérique de oertolnes expressions


que l'on renoontre en géométrie.
ANNEXES ,' 83
1
;
. .

' ALGÈBRE

Développement de polynômes.

Identités.

Sommations.

Équations.
Uno équation du niimt degré a n racines.
J,o nombre des solutions d'un système d'équations est égal au produit des
degrés de ces équations.
84 ANNEXES

On égale cette fraction à


y; on chasse lo dénominateur et on fait tout passer
dans un même membre. Soit ?(«/) le réalisant de l'équation obtenue.
Les valeurs que prend y sont les mêmes que celles qui satisfont à la rela-
^
tion conditionnelle ç(y) 0..

Deux cas, scion que <f(y) est du second degré ou du premier degré.

NOTES
ALGÈBRE.
— NOTES 85
ANNEXES

GÉOMÉTRIE

NOTES
ANNEXES 87
.
t
88 >
GÉOMÉTRIE. NOTES.
Librairie NON Y et Cu, boulevard Saint-Germain 63, à Paris.
Pour la préparation de la partie écrite de l'examen, les candidats aux Bacca-
lauréats ont besoin d'avoir, outre ic Formulaire :
1* Les Annales du Baccalauréat {classique et moderne) parties scientlflques,
publication annuelle qui renferme tous les sujets donnes, dans l'année, aux
examens écrits, dans toutes les académies.
2» Les Problèmes de baccalauréat, où se trouvent résolus tous les problèmes
énoncés dans ces Annales et qui peuvent concourir à former un ensemble de
?>lans de solutions complet, c'est-à-dire embrassant les différentes matières sur
esqùelles les candidats peuvent avoir à composer.
Les problèmes sont classés méthodiquement sous les en-tétes suivants : arith-
métique, algèbre, géométrie, trigonométrie, géométrie descriptive, mécanique,
cosmographie ; — pesanteur, acoustique, optique, chaleur, électricité et magné-
tisme. Les subdivisions sont faites duns l'ordre du programme.
Au fur et à mesura des rééditions, on remplace les problèmes anciens par de
nouveaux, de manière a maintenir les Problèmes de baccalauréat en concor-
dance avec le niveau de l'examen, qui s'élève progressivement.

ANNALES OES BACCALAURÉATS SCIENTIFIQUES, CLASSIQUE leltres-mathéma-


tiques, MODERNE lettres-mathématiquescl Teltres-sciences (parties scientifiques).
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lycée Charlemagne. — Un YOI. in-8°, 3'édition 3 fr. »

JOXJ_=^_Sr_^_.I_
DE
MATHÉMATIQUES É LÉMENTAIRES
Publié par H. VUIBERT
(23« année)
A L'USAGE DES ASPIRANTS AUX BACCALAUREATS D'GriDRE SCIENTIFIQUE
ET DES CANDIDATS AUX ÉCOLES DU GOUVERNEMENT
(Mathématiques, Physique, dhimie.)

Le Jùurnnl de Mathématiques élémentaires est un précieux auxiliaire pour les candidats


aux Baccalauréats claux écoles du Gouvernement. 11 fait naître entre eux une noble ému-
lation, qui, en stimulant les cITorls de chacun, favorise les progrès de tous.
Les problèmes de mathématiqueset de physique sont livrés aux recherches des abonnés,
qui ont vingt Jours pour envoyer leur travail à la Rédaction. Les meilleures solutions,
corrigées et complétées au besoin, sont Insérées, avec les noms de leurs auteurs s les
autre» bonnes copies sont signalées à la suite.
Le Journal de Mathématique* élémentaires est le compagnon d'études des élèves de
sciences. Il publie les différents sujets d'examens et do concours et tient les Intéressés au
courant de tout ce qui a trait à leur examen.
Lo Journal parait le t" ctlo 15 do chaquo mois, sauf pendant les mois d'août et de
septembre. Chaque numéro so compose do 8 pages In-4», à deux colonnes, avec figures et
épures dans le texte.
Les abonnements sont annuels: ils partent du i" octobre et expirent le 15 Juillet. A
quelque époque do rannéo que l'on s'abonne, on reçoit tous les numéros parus depuis lo
\>t octobre précédent. Adresser les souscriptions à la librairie Non y et C1*.
riuttc« iTMNom
Prix du numéro o fr. no o fr. 35
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Librairie NONY et C, boulevard Saint-Germain, 63, A Paris.

REVUE DE MATHEMATIQUES SPÉCIALES


(9' année}
Rédigée par MM. K. HUMRERT, professeur do mathématiques spéciales au
l.vcéo lx>uis-lc-f'iran(l, i-t fl. I\VI-EI.|KH, professeur de mathématiques spéciales
nu Ivt'éo d'Orléans, avec la collaboration do MM. N. CIIAIIRUIT, E. DESSENON,
Ch. lliviÈiiE, P. LAMAIHK, II. VLIIIEHT.
La Hoviie parait mensuellement (12 numéros par an). In-V do 21 ou 32 pages,
avec ligures et épures dans le texte. — Les abonnements sont annuels et partent
d'octobre. A quelque époque de l'année que l'on s'alwnne, on reçoit tous les
numéros parus depuis lo mois d'octobre précèdent.
Prix de l'abonnement annuel : Franco, 8 fr. Klrungcr, 9 fr.
Prix du numéro : année en cours, Ofr. 75; années écoulées, 1 fr.
la l'admission
Itevue de Mathématiquesspécvdes puMic, entro autres choses, les sujets dû concours
pour au* écoles Normale, Polytechnique, Cenlralo, «les Ponts et Chaussées, des
Mines, des Mines de Saint-Étienno, Navale; les sujets donnés au concours général do
mathématiques spéciales, à l'agrégation, aux liourses de licence, etc., des notes, problèmes,
exercices divers.
Tous les sujets d'examen et «le concours sont résolus (mathématiques, physique, chimie,
épures).
la Revue est divisée en deux parties la première est plus particulièrement destinée
aux candidats aux écoles Normale et Polytechnique: la seconde, aux candidats aux autres
écoles et aux élèves de la classe supérieure do Mathématiques élémentaires. '.es énoncéâ
relatifs à ces deux groujtes d'élèves sont séparés; mais, bien entendu, les nvilleurs élèves
du second groupe et les nouveaux du premier groupe ont souvent intérêt a suivre aussi
la partie qui ne leur est pas spécialementdestinée.
TRAITÉS DE MATHÉMATIQUES
l'jT.ÉMENTAlRES
A l'usage desaspirants aux baccalauréats scientifiques
et des candidats aux Ecoles :
Traité «l'Algèbre avec des Compléments, par N.Cou et J. RIEMANN. — Un
fort vol. in-8» B fr. »
Traité d'Arithmétique avec des Compléments,
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par E. HUMUEHT. — Un
vol. in-8" 5 fr. »
Traité do Cosmographie, par A. GHIGNON. — Un vol. in-8" (Sous pr.).
Traité do Géométrie, par C. GUICIIARD :
Éléments. — Vol. in-8« 5 fr. »
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Traité de Géométrie descriptive avec des Compléments (Géométrie
cotée) pour les candidats à l'Institut agronomique, par X. ANTOMAIU. — Un
vol. gr. in-8* avec tig. et épures dans le texte 3 fr. »
Traité de .Mécanique (Statique : classes de Mathématiques élémentaires
et Institut agronomique), par K. CARVALLO. — Un volume in-8°. . 2 fr. 50
Trigonométrie rectiligiic avec des Compléments, par K. DESSENON. —
Un vol in-8», 2" édition 3 fr. »

COURS DE MATHÉMATIQUES
l'usage des élèves des classes do lettres.
A
Algèbre (classes do Troisième, Seconde, Rhétorique et Philosophie), par
A. GHÉVY, docteur es sciences, professeur agrégé au lycée Saint- Louis. — Un
vol. in-12, relié toilo 2 fr. »
Arithmétique (classesdoTroisiôme,Rhétorique et Philosophie),par A. GRÉVY.
— Un vol. in-12, relié toile 2 fr. »
Géométrie, par A. GRÉVY. —Un vol. in-12, relié toile 2 fr. 50
Géométrie plane. — Vol. in-12, relié toile 1 fr. 50
Géométrie dans f espace. — Vol. in-12, relié toile 1 fr. 25

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Cosmographie (classes (le Rhétorique et Philosophie), par A.GRIGNON.— Un
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Problèmes de baccalauréat es lettres t Problèmes, solutions, conseils
(mathématiques, physique, chimie), par l'abbé J. LORIDAN. — Un vol. in-12,
broché 1 fr. GO; relié toile 2 fr. »
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Compléments destinés aux candidats aux écoles et aux élèves des écoles indus-
trielles, par J. RASIX, professeur agrégé au lycée do Cotitanees. 3* édition.

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sciences), br. 3 fr. 50, cart 4 fr. »
,
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— Un
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LEÇONS DE PHYSIQUE
A l'usage des candidats aux Ijaccalamvats, avec, des Compléments pour les
candidats aux écoles et les élèves des écoles professionnelles, par J. RASIN :
T. I : Pesanteur, Hydrostatique, Chaleur (Progr. do Troisième moderne),
broché 2 fr. 50, cart. toile 3 fr, »
T. Il : Acoustique, Optique, Electricité et Magnétisme (Progr. de Seconde
moderne), broche 3 fr., cart. toilo 3 fr. 50
T. III : Compléments (Progr. do Preiiiièrc-seieiicps)
......
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par K. CAUSTIF.II,
agrégé des sciences naturelles, professeur au lycée do Versailles.

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de Philosophie, Prcmière(leltres et sciences) et Mathématiques élémentaires.
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Conférences do Géologie a l'usage des classes de Seconde classique et
do Troisième moderne. — Un vol. gr. in-12, illustré, relié toilo 2 fr. »
.
Géologie et llotanique h l'usage des classes de Cinquième (classique et
moderne). — Un vol. gr. in-12, illustré, relié toile.
lïotions de Paléontologie à l'usage des élèves do Philosophie, de Pre-
mière (sciences et lettres) et Matliématiquesélémentaires.—Vol. in-10 l fr. »
Zoologie à l'usage des classes de Sixième (classique et moderne). — Un vol.
gr. in-12, illustré, relié toile 2 fr. 25

lia Composition française aux examens et aux concours d'admission


aux écoles spéciales, par F. LIIOMJIE. professeur agrégé au lycée Janson,
et Edouard PETIT, professeur agrège au lycée Janson, docteur es lettres.
& édition.—Un vol. in-8* de 521 pages. . '. 4 fr. »
lie Thème ci la Version aux examens et aux concours :
IJ} Thème allemand, par E. R. LANC, professeur au Ivcéc Janson-de-Sailly
et à l'école de Saint-Cyr. — Textes (2*édition), 3 fr.Traduction correspon-
dante, avec, des compléments 2 fr. »
IM Version allemande, par E. R. LANG. — 2 vol. in-8". Textes 3 fr. ; tra-
ductions 1 fr. 50
IJO Thème anglais, par R. H. GAUSSEHGN, professeur agrégé au lvcéc Janson-
dc-Sailly.— 2 vol.in-8*.Textes3 fr.; tiaductions 1 fr. 50
IM Version anglaise, par R. H. GAUSSEIIOX — 2 vol. in-8\ Textes 3 fr. : tra-
ductions .' 1 fr. 50
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suiviesd'un Abrégé des littératures allemande et anglaise
SAVANTS ET AUTISTES,
depuis la fin du XVIIP siècle, par J. JOI'IAN, professeur au collège Stanislas. —
f
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t
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J. XICOL, professeur agrégé (coins de Navale) au lycée Janson. — Un voL


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Centrale, Polytechnique, des Ponts, des Mines, des Mines de Saint-Elienne,
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Jn vol. gr. iu-S", avec, épures dans le texte 10 fr. »
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lierons d'Arithmétique à l'usage de l'enseignement secondairedes jeunes


tilles, par M"" A. SAEOMÙN, professeur agrégée au lycée Lamartine.
1" PARTIE : Cours préparatoire et ("année secondaire, avec les Notions
de Géométrie. — Vol. in-12, cart. toilo 2 fr. »
2* PARTIE : cl. de, 2' et 3* années. —Vol. in-12, cart. toile
3" PARTIE: Compléments (cl.de4* année),
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fierons de Chimie, par M"* L. L'IIUII.MER, professeur agrégée au lycée
Sévigné. — Un vol. in-12, cart. toile. : . . . . 3fr. »
Métalloïdes (3* et 4e années.) — In-12 relié 1 fr. 50
Métaux et Chimie organique (5« année). — In-12, relié 1 fr. 75
licçous de Physique, par M"" L. L'IIUILLIEK
Approximations numériques t Théorie et pratique des calculs appro-
chés, par J. GRIKSS, professeur agrégé au lvcée Charlcuiagne. Un vol.
in-8- * fr. » 1
Caractères des sels métalliques à l'usage des aspirants au baccalauréat
moderne et aux écoles, par R. PIAEAT, ingénieur civil. — In-12, & édit. 2fr. 50
Librairie NONY et C", boulevard Saint-Germain, 63, a Paris.
Études d'optique géométrique-, Dioplres, systèmes centrés, lentilles, ins-
truments d optique, par C.-M. OAIUEI., inembro «lo PAcarlémie do médecine,
ingénieur en chef des ponts et Chaussées, professeur à la Faculté do méde-
cino et à l'école des*Ponts et Chaussées. — Un vol.gr. in-8*. 5 fr. »
. .
Géométrie dirigée t les Angles dans un plan orienté avec des droites
dirigées et non dirigées, à l'usage «les élèves do Mathématiques élémentaires,
parU. FONTENÉ, professeuragrégé au collège Rollin. — Un vol. in-8*. 2 fr. »
lieçons de .Statique, par E. CARVALLO, docteur es sciences. — lu-8\
Sédition 2 fr. »
lieçons de Statique à l'usage «les candidats à l'École polytechnique, |>ar
X. ANTOMAIII. — Un vol. in-8' -,- 2 fr. 50
, ,
Leçons sur certaines questions de Géométrie élémentaire.
Possibilité des constructions géométriques; les polygones réguliers; transcen-
dance des nombres e et TT (démonstration élémentaire), par F. KLEIN, pro-
fesseur à l'Université de (îoettingue. Rédaction française, par J. (IRIESS,
professeur agrégé au lycée Chaileniagne. — Un vol. in-8" 2 fr. »
lieçons sur les coordonnées taiigentielles, avec une préface de
M. P. Ai'i'Ei.L, membre de l'Institut, pa- G. PAI'KLIEH. — 2 vol. in-8- :
première partie (Géométrie plane.1, 5'fr. ; deuxième partie (Géométrie dans
l'espace) * 5 fr. »
Théorie des Équations et Inéquations (Étude du second degré),
par A. TAUTINVILLE, professeur agrégé au lycée Saint-Louis. —' Un vol. gt.
in-8', 3' édition, 3 fr.,50
Théorie des projections, par un ancien élève de l'École polytechnique.
— Rr., in-8* 0 fr. 00

Kxerclees «l'Algèbre à l'usage des élèves de la classe supérieure do Mathé-


matiques élémentaires et de i"année de Mathématiques spéciales, par
G. MAUHX. — Un vol. in-8" 2 fr. y
Problèmes de Géométrie analytique, par E. MOSNAT. — Toine 1, à
l'usage des candidats aux écoles Centrale, Navale, des Ponts et Chaussées et
des Mines de Paris et de Saint-Etienne, i' édition.— Un vol. in-8\ 0 fr. »
Tomes 11 et III à l'usage des élèves de Mathématiques spéciales et des
candidats aux écoles Centrale, Polytechnique, Normale. — Chaque vol.
in-8* 7fr. »
Ouest ions d'Algèbre, à l'usage des élèves de Mathématiques spéciales^
par U. MAUPiN,avec une préface do M. C.-A. LAISANT, docteur es sciences. —
Un vol. grand in-8' 5 fr. »
Questions de Mécanique, contenant le résumé de toutes les propositions
importantes et de nombreux exercices, à l'usage des élèves do mathématiques
spéciales, par X. ANTOMAIII et C.-A. LAISANT. — Un vol. in-8\ . . 3 fr. 50

Annales de la licence es sciences (mathématiques, physiques, natu-


relles). — In-12. — Chacune des années 1888 a 18% 3 fr. »
Chacune des années suivantes (Certificats d'études supérieures). . 3 fr. »
Abrégé de la théorie des fonctions elliptiques, à l'usage des candi-
dats à la licence es sciences mathématiques, pr Charles HENRY, maître de
conférences à l'école pratique des Hautes Etudes. — Un vol. in-8". 3 fr. »
Éléments de Mathématiques supérieures à l'usage des physiciens,
des chimistes et des élèves des Facultés des sciences, par H. VOGT, professeur
à la Faculté des sciences de Nancy. — Orand in-8"
Introduction à l'étude de la Théorie des nombres et de l'Al-
gèbre supérieure, par MM. E. ROREI. et J. DRACII, d'après des conférences
faites à l'école Normale supérieure par M. Jules TANNEHY. — Un beau vol.
gr. in-8* 10 fr. »
IiCçons sur la résolution algébrique des équations, par H. VOGT,
avec une préface de M. Jules TANNEHY, directeur des éludes scientiliqiics à
l'école Normale supérieure. — Un vol. gr. in-8* 5 fr. »
Problèmes de licence es sciences mathématiques donnés à la Sorbonnc,
avec les Solutions développées par Th. CARONNET, docteur es sciences,
professeur au collège Chaptal. — Un vol. in-8» 2 fr. »
Librairie NONY et C", boulevard Saint-Germain, 63, à Paris.

PROGRAMMES ET PLANS D'ÉTUDES

Pian d'études des écoles primaires O fr. 40


— primaires supérieures (garçons) O fr. 60
— - — — (jeunes filles).... 0 fr. CO

de l'enseignement classique 1 fr. »
moderne, fr.




— secondaire des ieunes filles
des classes de Mathématiques élémentaires et su|>é-
ricure de Mathématiques élémentaires
.... 1
I fr.
0 fr. 50
»
»

des écoles normales primaires 0 fr. 50


Agrégation (Enseignement secondaire) 0 fr. 30
— des Facultés (droit, médecine, pharmacie) 0 fr. 30
— des jeunes filles (certificai d'aptitude) 0 fr. 40
Raccalauréat do l'enseignement classique • 0 fr. 30
— — moderne O fr. 30
Certificat d'études physiques, chimiques et naturelles (P. C. N.) 0 fr. 30
Rrevet élémentaire . .
O fr. 20
— supérieur certificat d'aptitude pédagogique. 0 fr. 20
— — et 0 fr. 20
Certificat d'études primaires élémentaires O fr. 20

—d'aptitude pédagogique supérieures 0 fr. 20
Certificat 0 fr. 20
— — au professorat des écoles normales et des écoles
primaires supérieures 0 fr. 30
— — à la direction des écoles normales O fr. 30
— — à l'enseignement du dessin 0 fr. 20
— —
à l'inspection de l'enseignement primaire. 0 fr. 20
professorat industriel et professorat . . .
— — au au com-
mercial (aspirants et aspirantes) O fr. 40
Licences es lettres (et doctorat) O fr. 50
Licence et doctorat es sciences f 0 fr. 30
lloiirscs.
Bourses de séjour ù l'étranger (Ecoles primaires supérieures).
— commerciales de séjour
industrielles de voyage
à l'étranger ...
0 fr. CO
O fr. 30
O fr. 30
— collèges (garçons et filles)
— dans les lycées et 0 fr. 25
— au Prytanée militaire 0 fr. 25
— d'enseignement supérieur (sciences, lettres, médecine, ptiar-
macie, Muséum) 0 fr. 40
Écoles»
Facultés et écoles de droit 0 fr. 30
Facultés et écoles de médecine O fr. 30
Pharmacie, herboristerie 0 fr. 25
Ecolo normale supérieure 0 fr. 20
Ecolo des Chartes 0 fr. 20
lijole des langues orientales vivantes O fr. 20
Ecole française d'Athènes et de Rome 0 fr. 20
Administration militaire (xole d') 0 fr. 50
Agriculture (Écoles nationales d'), 0 fr. 30
Agriculture coloniale de Tunis (Ecole d') 0 fr. 30
Architecture (Ecolo spéciale d') 0 fr. 30
Architecture (Programme de l'enseignement de l'école d') *
1 fr. »
Arts et Métiers (Ecoles nationales d') . . . .
0 fr. 30
Beaux-Arts de Paris (Ecole nationale des) 0 fr. 50
Beaux-Arts des départements (Ecoles des) 0 fr. 30
Centrale des Arts et Manufac'ures (»cole) 0 fr~. 30
Centrale lyonnaise (Ecole) 0 fr. 30
Céramique de Sèvres (Ecolo nationale de). 0 fr. 30
Chimie industrielle de Lyon (Ecole de) 0 fr. 30
et agricole de Bordeaux 0 fr. 30
—- , —
Cluny (Ecolo nationale d ouvriers et de contremaîtres de) 0 fr. 30
Coloniale (Ecole) 0 fr. 30
Commerciale do Paris (Ecole) 0 fr. 30
Librairie NONY et C1», boulevard Saint-Germain, 63, à Paris.

Conservatoire national do musique et de déclamation O fr.


40
Dentaire do Pari3 (Ecole) t) fr.
50
Dessin lopographlcjuo du Service géographiquo do l'Armée 0 fr.
30
Horticulture de Versailles (Ecolo d') 0 fr.
20
Hydrographio (Ecoles d') 0 fr.
50
d i Dieppe (Ecolo d'; 0 fr.
30

— do Fécainp 0 fr.
30
Ingénieurs de Marseille (Ecole d') 0 lï. 30
Institut agronomique (et écolo Forestière, écolo des haras) 0 fr. 30
— Ampère (Ecolo industrielle d'électricité) 0 fr. 30
— chimique do Nancy 0 fr. 30
— électrotechnique Montefioro 1 fr. *
— industriel du Nord de la France 0 fr. 30
Mécaniciens do la flotte (Apprentis et élèves) 0 fr. 30
Mécaniciens pour la marine (Ecole d'apprentis), au Havre 0 fr. 30
Mines (Ecole nat.ionale supérieure des) 0 fr. 30
Mines de Saint-Etienne (Ecole des) 0 fr. 30
Mineurs d'Alais et de Douai (Ecoles des) 0 fr. 30
Mousses et apprentis marins (Ecole des) (t fr. 50
Navale (Ecole) 0 fr. 30
Normale sujiérisure (Ecole) n fr. 20
— de Sèvres (Ecole). / O fr. 25
— de Fontenay-aux-Roses et de Saint-Cloud (Ecoles) 0 fr. 25
— primaires .*
" 0 fr. 20
. . .
Notariat de Nantes (Ecole de) l) fr. 20
Notariat de Paris (Ecole de) 0 fr. 20
Percepteur surnuméraire 0 fr. 30
Physique et Chimie industrielles (Ecole de) 0 fr. 40
Polytechnique (Ecole) 0 fr. 30
Ponts et chaussées (Ecole des) 0 fr. 50
Postes et télégraphes (Ecole professionnelle supérieure des) et emplois
dans l'Administration 0 fr. 50
Pratique de commerce et de comptabilité (Ecole) 0 fr. 50
Prytanéc militaire de la Flèche .-
O fr. 30
Samt-Cvr (Ecole de) 0 fr. 30
Saint-Maixent (Ecole de) 0 fr. 30
Santé de la marine (Ecole du service de) 0 fr. 30
Santé militaire (Ecole du service de).— Pharmacie militaire. — Val-
de-Grâce 0 fr.. 30
Saumur (Ecole de) 0 fr. 50
Section normale d'Arts et Métiers de Chalons 0 fr. 50
des Hautes études commerciales 0 fr. 50
— —
Supérieure d'électricité (Ecole) 0 fr. 30
de Guerre 0 fr. 30
Supérieures de commerce :
Hautes éludes commerciales 0 fr. 30
Institut commercial 0 fr. 30
Supérieures de Paris, Bordeaux, Le Havre, Lille, Lyon, Mar-
seille, Montpellier, Nancy. Rouen, chaque progr 0 fr. 30
(Voir iiussi le Catalogue ou YAnnuaire de la Jeunesse poul-
ies Programmes détaillés des Cours et des Règlements qui
sont aussi publiés en brochures séparées.)
Supérieure d'industrie de Bordeaux ( cole) 0 fr. 30
Travaux publics ( cole spéciale des) 0 fr. 30
Vétérinaires, ( coles nationales) 0 fr. 30
Versailles (École militaire de 1 artillerie et du génie) 0 fr. 50

Divers i
Administration des finances (ministère, inspection des finances, cour
des comptes, comptables du Trésor, enregistrement, contributions,
douanes, manufactures de l'Etat, monnaies et médailles, trésorerie
d'Algérie et do Cochinchine, caisse des dépôts et consignations). 0 fr. 50
Auditeur au Conseil d' tat . 0 fr. 20
Banque do France (et école préparatoire) 0 fr. 30
Commissaire de surveillance administrative des chemins de fer. 0 fr. 30
de police inspecteur spécial do la police des . .
chemins
— et
de fer 0 fr. 50
Librairie NONY et C", boulevard Saint-Qormain, 63, à Paris.
Conditions d'admission et de l'avancement dans le personnel admi-
nistratif secondaire do la marine (personnel des manutentions, des
directions de travaux, des comptables des matières, des agents du
commissariat) 0 fr. 50
Conducteur et ingénieur des ponts et chaussées. — Agent voyer. —
Vérificateur «les jx;ids et mesures 0 fr. 20
Contrôleur des mines 0 fr. 25
Corps du commissariat de la marine (Ecolo d'administration
( de la
marine. — Aides commissaires) 0 fr. 30
Diplôme d'élève de la marine marchande, brevet de capitaine au long
cours et brevet de maître au cabotage 0 fr. 50
Insi»ecleur j«irliculter<lerexploitalionc«tiiiniercialodeschcminsdefer. 0 fr. 30
Mécaniciens théoriques de la marine (premiers-maîtres, seconds-
maîtres, quartiers-maîtres) 0 fr. 50
— pratiques de la marine (maîtres, seconds-maîtres, quar-
tiers-mallres) 0 fr. 30
Olliciers ministériels 0 fr. 20
Percepteur surnuméraire 0 fr. 30
Personnel administratif secondaire de la marine 0 fr. 50
Posti.-. et télégraphes 0 fr. 50

SUJETS DE CONCOURS ET D'EXAMENS


Écoles spéciales*
Administration de la Marine (École d'). — Concours de 1871 à 1898 2 fr. 50
Agriculture, (Ecoles nationales d'). — Concours de 1889 à 1898.
Arts et Métiers (Écoles d'). — Concours de 1871 à 1898 (texte et
planches)
... .
2 fr. »
C fr. 50
Centrale (École). — 1S80 à 1898 (non compris les dessins) C fr. »
— — Dessins d'architecture, de machine et d'ornement.
— 1890 à 1898, 18 planches, format raisin 6 fr. 75
Cluny (.Me de). — 1891 à 1898 2 fr. 50
Hautes études commerciales, Supérieures de commerce (les neuf écoles)
et Institut commercial. — 18X1 à 1898 !,5fr.' »
Institut agronomique. — 1888 à 1898 ; 2 fr. 50
.
Militaire de Sainl-Muixenl ( .cole). — 1890 à 1891 1 fr. 50
Mines de Saint-Etienne (Ecole des). — 1885 à 1898 4 fr. »
Navale (École). — 1885 à 1898 5fr. »'
Normale supérieure (Ecole);— 1891 à 1896 :
Section des.letlrcs, 1 fr. 25. — Section des sciences I fr. 25
Polytechnique (Ecole). — 1880 à 1898 5 fr. »
— — Papier Wliatman avec le trait des dessins à
laver, 1890 a 180*., — Les 5 feuilles 1 fr. 25
Ponts et Chaussées (Ecole des). — 1891 à 1898 : '
Cours préparatoires, 4 fr. — Elèves externes 4 fr. »
Postes et Télégraphes ( .«oie professionnelle supérieure des), 1" sec-
tion. — 1888 à 189I,,189G et 1897 2fr. 40
Postes et Télégraphes (Ecole professionnelle supérieure des), 2* section
(section des élèves-ingénieurs). — Concours de 1891, suivi d'un
aperçu des questions posées aux examens oraux 0 fr. 50
Saint-Cyr ( cole de). — 1880 à 1898 5 fr. »
Vétérinaires (Écoles). — 1887 à 1898 1 fr. 75
Bourses des lycées cl collèges (garçons et jeunes filles). — Concours
de 1890 à 1898. — Vol. in-8» 2 fr. 75
Sumumérarial des Douanes. — Vol. in-8« 0 fr. 75
— de F Enregistrement, des Domaines et du Timbre. Con-
cours do 1891 a 1898. — Vol. in-8» 1 fr. »
des Postes et des Télégraphes. — Concours de 1891 à

1898, avec tous développements et solutions.
— Vol. in-8"
Certificat d'études primaires.
.... 3 fr. 25

Choix de sujets de compositions recueillis par MM. H. RARKEAU, ins-


pecteur primaire, et A. Rouen ET, principal de Collège.
LIVRE DE I,* I.KVE : vol. in-12 cartonné 0 fr. 90
LIVRE DU MAÎTRE : vol. in-12 «irtonné
.. 2 fr. 50
l'our les autres sujets de concours ou d'examen, consulter le catalogue complet ou
VAnnuaire de la Jeunesse.
Librairie NONY et C", boulevard Saint-Germain, 63, à Paris.

Vient de paraître :

RÉCRÉATIONS A1UT11MËTIQTJËS
par E. POURREY
Un beau volume ?V«V" avec IOG figures 3 fr. 60

EXTRAIT DE LA TABLE DES MATIERES

I. — Curieuses pailicularités des nombres. Calcul rapide, la multiplication dïnaudi.


!.es quatre opérations chez les différents peuples.
PROIUÉMES AMISASTS SIR LKS I'IIOOKKSSIOXS.
— Les nombres polygonaux. Les carrés. I.es
ciliés. Les diviseurs.
II. — Le jour de la semaine. Calendriers divers. Calendrier perpétuel: théorie. Calen-
drier inédit.
Us nombres pensés. Règles. Le jeu de l'anneau. Les trois bijoux. L'heure du lever. Tours
et problèmes divers.
PROW.ÉIIES ANCIENS.
— Les ('.races et les Muses. Une réj-oiise de Pylhagore. Achille et la
Tortue. Uiophanle. L'Ane et le Mulet. L'historien Joscphc. chrétiens et Turcs. Partage. I.es
grains de blé de Scssa. Domestique infidèle. Le nombre des cheveux. 1>3 bti-ufs de Newton.
Mesures dilliciles.
PROHIÊMES CURIEUX ou AMUSANTS. — simples questions. Les semaines de l'ouvrier. Le
cheval du maquignon. Les outils de l'ouvrier, la tournée du facteur. Compensation. Ni
gain ni perte. Subtilités. Problème parisien, la multiplication erronée. Le numéro du
conscrit, fa rente du rentier. Les permissionnaires.Escompte rapide. iuage d'une loterie.
la l<ourse perdue. la date de naissance, pesée dillicile. Problème de chemins de fer.
L'Arithmétique à l'Académie française. Compte à reconstituer. Les deux victoires du
22 avril. Huit fois huit font soixante-cinq. Problème chinois.
III. LES CARRÉS MAGiûiE--.—Délinilions. Propriétés générales. Règles pour la formation
des carrés magiques. Application*.
FoasES DIVERSES DES CAUHÉS MAOUJIES. — Carrés magiques à enceintes, à croix,, à
châssis et à compartiments. Carrés diaboliques et hypennagiques: Préliminaires; carrés
semi-diaboliques; carrés diaboliques; carrés hypennagiques.
THANSEORMATIOÎI DES CARUÉS UAGIOL'KS. — Carrés magiques'à progression géométrique.
Rectangles magiques. Cercles magiques. Cubes magiques.

.liathématiques et llntliématieiens, par A. RÉMÉRÉ. 3' édition. — Un


beau vol. in-8° de 5GG pages 5 fr. »
Morceaux choisis et pensées. Variétés el anecdotes. Paradoxes et singularités. Pro-
blèmes célèbres et classiques. Problèmes frivoles et humoristiques. Notes bibliogra-
phiques. Index alphabétique.
I^es Femmes dans la seieuee, par A. REIIIÈIIE. 2e édition. Vol. in-8"
avec portraits, autographes et fac-similé . . .' 5 fr. »
« Ce livre est un intéressant monument élevé au génie des femmes*; les portraits
et les autographes ojoutés lui donnent un charme de plus. »
l^es Savants modernes, leur vie et leurs travaux, d'après les documents
académiques, j>ar A. REUIÈRE. — Volume in-8", avec portraits. 5 fr. »
L'auteur étudie, dans cet ouvrage, à l'aide de documents autorisés, les'grands noms,
les grands faits et les grandes lois de la science. En une série d'intéressantes notices,
il donne, à la suite des résumés biographiques et bibliographiques où sont rappelées
les oeuvres cl les découveiies, les extraits académiques ou autres les plus propres à
montrer chaque savant dans la triple manifestation de sa vie intellectuelle, morale
et physique. L'auteur s'attache surtout à mettre en lumière les découvertes capitales,
les idées de génie.
Ces extraits, de tons variés, tantôt fins et élégants, tantôt chauds et colorés, s'élèvent
parfois jusqu'à l'éloquence : ils comptent parmi les plus belles jages de notre litté-
rature scientifique. Et puis, à côté du mérite littéraire, quels beaux exemples de tra-
vail, de modestie et de dévouement I
Librairie NONY et C-*, boulevard Saint-Germain, 63, à Paris.

DESSIN DE PAYSAGE
Étudié d'après nature fô* édition)
Par H. UUÎOT, j-cintro d'hisjoire, et J. PILLET, professeur a l'École
des Reaux-Arts, etc.
17M album gr.-in-S' oblong, avec €0 colonnes de texte, 3G figures théoriques,
80 motifs divers et 33 grandes planches d'ensemble, "3 /'/•.

VUB DU LAC DE GBRARDMER


(Fac-similé aux S/S d'une planche de Càlbum.)
C'est pour vous, jeunes yens ou jeunet filles, qui voulez dessiner ou peindre d'après
nature, que ce livre a été composé.
En trois leçons, tout ce qu'il faut connaître de principes généraux de dessin il de pers-
pective, vous l'apprendrez, n'cussiez-voiis jamais lenu un crayon. Encore deux leçons, et
vous saurez vous relrouver au milieu des ligues et des objets que la naturi; semble pré-
senter sans ordre à vos yeux. Vous apprendrez a encadrer voire sujet, ù reconnaître la.
ligne d'horizon, à choisir ut mettre en phice vos ligues domin.in teset vos masses, après quoi
les détails ne seront plus pour vous que jeu d'enfant. Vous copierez ensuite huit planches
d'éléments et vous saurez dessiner un arbre, imiter son feuille, rendre la transparencedes
eaux el le pittoresque d'une chaumière.
Trois planches encore, que vous dessinerez de mémoire, vous mettront dans les doigts
des accessoires tels que : objets, personnages ou animaux,que vous n'hésiterez pas ensuite
à placer dans vos petits tableaux et qui les animeront.
Cela fail, la veille du jour où vous devrez dessiner d'après nature, copiez bien métho-
diquement un des seize jaysages qui viennent;'» la suite et parte/.en toute confiance avec
voire crayon, ou avec votre loite d'aquarelle. Vous ne rapfioiterez peut-être pas un chef
d'oeuvre, mais, en tout cas, vms aurez fait une bonne élude, qui se tiendra convenable-
ment, qui sera bien mise en place, et dans laquelle le censeur lo plus sévère ne trouvera
pas de faute de dessin, car la pers|>eetivc, ce sphinx qui n'est terrible que pour ceux qui
n'ont pas osé l'interroger, n'aura plus de secrets pour vous.
Dans cette ,5* édition, tirée sur de nouvelles planches, on a conservé
le plan primitif en 32 leçons; mais il a ètè ajouté quinze planches sup-
{ilémentaires, dont quelques-unes à la plume (avec quelques considéra-
ions sur ce genre), pour les personnes qui désirent avoir une plus
grande variété de modèles.
SOMMAIRE DE LA 5* ÉDITION
Principes généraux du dessin : Les rapports; la perspective. Applications.
Éléments du dessin de paysage: Feuilles et herbes. Masses d'arbres. Troncs
et branches. — Terrains. — Fabriques. — Eaux. — Objets et accessoires. —
Personnages. — Animaux.
Etudes d'ensemble : Leçons de mise en place. — Leçons d'applications pitto-
resques.
Cette troisième partie comporte 33 ensembles de paysages exécutés d'après nature (sauf
les numérosempruntésaux examens de l'Ecole de Saint-Cyr). — Les premières planchessont
accompagnées d'un texte avec croquis indiquant la marche à suivre pour commencer le
dessin et l'amener, par phases successives, â son état définitif.
Planches supplémentaires : Modèles et exercices divers. — Dessins à la plume.
Librairie NONY et C", boulevard Saint-Germain, 63, à Paris.

ANNUAIRE DE LA JEUNESSE
*
PAR H. VUIBERT (10<> annéo).

Moyens do s'instruire. — Cliol\ d'une Cnrrlèret

Un beau vol. in-12, de 1100 pages, broché 3 fr., cart. 4 fr.

L'Annuaire de la Jeunesse est appelé à être entre les mains do tous les jeunes
gens de dix a vingt-cinq ans et de tous les pères de famille. Compagnon indis-
pensable des études et Guide pour le choir d'une carrière, c'est le livre du foyer
par excellence.
Dans la première partie : Education et instruction, on passe en revue
tout co qui a trait à l'instruction des garçons et des filles a tous ses degrés. Lo
fonctionnement des établissements scolaires do tout ordre y est exposé avec un
soin minutieux.
La seconde partie : Ecoles spéciales, intéresse surtout les jeunes gens
qui se destinent aux écoles où l'on va couronner son instruction : elle leur
montre ce que sont ces écoles, les moyens de s'y préparer, les dillicultés des
concours, la nature de l'enseignement, les débouchés qui s'offrent h la sortie, etc.
Le candidat sait ainsi où il va et peut so rend recomptede ses chances de succès.
La troisièmo partie de l'ouvrage: Carrières et professions,est consacrée
â l'étude des dillérentes carrières, libérales, industrielles, administratives,
judiciaires, diplomatiques, etc.; elle indique toutes les conditions exigées pour
rentrée dans chacune d'elles, les obligations et les avantages qui en résultent.
Le livre se termine par des ANNEXES, comprenant toutes les lois et décrets qui
intéressent les jeunes gens à la veillo défaire leur service militaire, de s'engager
ou de se créer une |>osition.
Aptitude physique au service militaire et aptitude particulière
(Instructions ministérielles).
aux dillérentes armes de — Br. in-12
92 pages 0 fr. 50
Attribution des emplois publies (DÉCRET RELATIF- AU MODE D1). — Rroch.
in-8» de 72 pages, donnant les programmes des examens et concours. 1 fr. »
Inscription maritime (Loi SIR i.'): Dispense. Service d'un an dans la
flotte, etc.. — Rroch. in-12 0 fr. 30
liOi militaire et lléeret sur les dispenses. —Rroch. in-12 de &t pages
avec modèles divers 0 Ir. 30
Le service militaire d'un an :
lies dispenses eoinmereintix t Application do la loi militaire aux élèves
des écoles supérieures do commerce, par A. DUBOIS, ingénieur civil. —
Rroch. in-12, 3« édition 0 fr. 50
lies dispensés des Keoles d'Agrieulfure et do l'Institut agronomique:
Commentaireet application; guide descandidals et des élèves, parR. NITHARD,
secrétaire de l'école de (Irignon. — Rroch. in-12, avec modèles , . 0 fr. 50
Ces deux brochures peuvent servir de guide aux candidats et aux élèves des écoles qui
se trouvent, au point rie vue du service militaire, dans la même situation que ceux des
écoles de commerce et d'agriculture.
Notice sur l'ICeole des Mousses et des Apprentis-marins: Conditions
d'admission. Régime. Enseignement. Mousses mécaniciens. Solde. Modèles.
— Rroch. in-12 0 fr. 50

Sténographie Prévost-Dclaunuy {Eléments de), par A. ROUTILLIER,


licencié en droit, président de l'Association sténographique unitaire. —
Un vol. in-12, 2« édition 0 fr. 50
Sténographie (Notions générales sur la): Ses origines et son histoire; ses
services, son état actuel et son avenir; ses principes et ses méthodes, par
A. BOUTILLIER. — Un vol. in-8° 1 fr. 25
Librairie NONY et G", boulevard Saint-Germain, 63, à Paris.

PROBLÈMES M BACCALAUREAT
.Mathématiques, par II. YUHKIII. — 2' édition. Un vol. do 528 pages en
petit texte 5 fr.
I*hysi(|ue et Chimie, par Emile Ilot ANT. — 3- édition, l'n vol. in-8-. 3fr.

Dans cette édition de la pallie Mathématiques :


Le nombre des problèmes a été triplé;
Presque tous les problèmes sont résolus (pour ceux qui ne le sont pas,
on a indiqué le résultat auquel on doit parvenir et, quand il y a lieu, la
marche à suivre) ;
Tous les problèmes donnés aux baccalauréats scientiliquesdansces dernières
«une -s cl susceptibles «le liguivr dans le livre y ont été introduits',
Tous lis problèmes de la première édition qui ont pu être remplacés
avantageusement par des problèmes similaires récents ont été éliminés;
Los problèmes, classés méthodiquement, sont placés «ous des rubriques qui
apportent la netteté nécessaire dans les subdivisions. — Nous reproduisons
ci-après les divisions «lu livre.
Arithmétique. — Opérations sur les nombres entiers. Divisibilité. — Propriétés
élémentaires des nombres entiers. —Frac-lions. — Calcul des nombres approchés. Racine
carrée.
Algèbre. Équationsdu premier degré. Problèmes qui s'y
— Calcul algébrique. —
ramènent. — Equations du second degré. Relations entre les coellicients et les racines.—
Décomposition «lu trinôme du second degré en facteurs du premier degré. Variations du
signe d'un trinôme. Inégalités. —- Décomposition du trinôme du second degré en une
somme ou une différence de carrés. Variations du trinôme. — Équations irrationnelles
du second degré. — Équations dont la résolution se ramène à celle des équations du
second degré. — Systèmes d'équations simultanées qui dépendent du second degré. —
Problèmes du second degré. — Maxima et injniina (mélhole indirecte). Variations do
fractions rationnelles. Maximum d'un prod Jil de facteurs dont la somme est constante.
Progressions el logarithmes. Annuités.
Géométrie. — Problèmes sur le (premier et le second livre. — Problèmes sur le ,
troisième livre.— Polygones réguliers.— Problèmes sur le quatrième livre. —Problèmes
sur le cinquième livre. — Mesure des volumes. — Corps ronds. — Courbes usuelles.
Trigonométrie. — Calcul des lignes trigonornéuiques. — Addition, soustraction,
multiplication et division de» arcs. — TransformationsIrigonomélriques. Psage des tables
trigonométriques. — Équations tiigonométiiques. — Applications de la trigonométrie à
la résolution de certains problèmes. — Résolution des triangles. — Applications numé-
riques (modèle de disposition des calculs». — Problèmes divers sur les triangles. Relations
.à établir. Résolutions de triangles —Problèmes relatifs aux quadrilatères, etc.
— pro-
blèmes pratiques. — Problèmes divers.
Géométrie descriptive. — Problèmes sur lu droite et le plan : droites parallèles. —
Intersection d'une droite et d'un plan. — Intersection de deux plans. — plans parallèles.
— Droite et plan perpendiculaires.
Applications de la méthode des rotations et des changements de plans. Méthode des
rabattements. —t Applications diverses aux distances cl aux angles. — Projections do
triangles et de cercles. — Projections de solides; sections planes.
Problèmes sur la sphère: intersection d'une droiic et d'une sphère. — Plan tangent ou
sécant; plan langent commun à deux sphères.
Plan langent au cùnc.
Mécanique.— Composition des forces. — Détermination des centres de gravité. —
Équilibre
# des forces appliquées à un corps solide. Machines simples. — Cinématique. —
Dynamique.
Cosmographie. — Mouvement diurne. — Ascension droite et déclinaison. — De la
Terre. Longitude et latitude géographiques. — Du Soleil. Mesure du temps. Parallaxe. —
De la Lune et des Planètes.
Pour la partie Physique et Chimie, l'ouvrage a été remanié récemment dans
le même sens (3* édition), notamment en ce qui concerne l'introduction des
problèmes nouveaux (et particulièrement les problèmes d'électricité) donnés
aux récents examens des baccalauréats.
Les Problèmes de baccalauréatforment un ensemble de PLANS DE SOLUTIONS
COMPLET, c'est-à-dire embrassant les différentes matières sur lesquelles
peuvent avoir à composer les candidats au baccalauréat classique (lettres-
mathématiques), c! au baccalauréat moderne (lettres-mathématiques et
lettres-sciences).
Librairie NONY et G", boulevard Saint-Germain, 63, â Pari».

MANUEL DU BACCALAURÉAT
OE L'ENSEIGNEMENT SECONDAIRE I DE L'ENSEIGNEMENT SECONDAIRE
CLASSIQUE I MODERNE

Co Manuel est entièrement conforma aux programmes. Il est très soigneusement


imprimé, sur b-au papier, avec de* caractères entièrement neufs; les figures qu'il
renferme eu grand nombre sont d'une netteté parfaite. En physique et en chimie,
on n'a fait que des ligures schématiques, do manière que les élèves puissent les
reproduira facilement au tableau.
Classe de Mathématiques élémentaires :
Mathématiques i Arithmétique, par M. TAUTINVII.I.E, ancien élèvo di
l'Kcolo normale, agrégé do mathématiques, professeur au lycée Saint-Louis,
Membre du Conseil supérieur de l'instruction publique; Algèbre et Géo-
métrie descriptive, par M. ANIOUAIM, ancien élève do l'Ecole normale,
agrégé do mathématiques, docteur es sciences, professeur au lycée Carnot;
Géométrie, par il. IJUIGIIAKD, ancien élèvo [de l'Kcolo normale, ogrégé do
mathématiques, professeur à la Faculté des sciences do l'Université de
Clormont; Trigonométrie,, par M. IIi'MUEnr, ancien élève do l'Kcolo nor-
male, agrégé do mathématiques, professeur au lycée l.ouis-le-tïrand;
Mécanique, par M. CARVALLO, agrégé de mathématiques, docteur es sciences,
répétiteur (-(examinateurd'admission à l'Kcole polytechnique; Cosmographie,
par M. JIALUSKI, ancien élève do l'Kcolo normale, agrégé de mathématiques,
professeur au lycée de Lyon.— Les sept parties renfermées dans un vol. in-16,
de 720 piges, contenant 525 lig., relié toile 5 fr.
Les programmes de la classe de Mathématiques élémentaires étant identiques, en ce
qui concerne les mathématiques,aux programmes des matières exigées pour l'admission
à l'Institut agronomique, ce volume se trouva être aussi le Manuel des candidats à
l'Institut agronomique.
Physique et C'Iiimic t Physique, par M. HOISA nu, ancien élève de l'Kcolo
normale, agrégé des sciences physiques, professeur an lycée Carnot; Chimie
(notation atomique), par SI. DIDIER, ancien élèvo do l'Kcolo normale, agrégé
des sciences physiques, docteur es sciences. 2* édition, Un vol. in-16,
de 429 pages,avec 280 fig., relié toilo —
3 fr.
Classes de Mathématiques élémentaires et Première-Sciences.
Philosophie et Histoire : Philosophie, par M. JANET, ancien élève^ de
l'Kcolo normale, agrégé de philosophie, docteur es lettres, docteur en médecine,
professeur suppléant au Collège do France; Histoire, par M. HAUSER,ancien
elèvo de l'Kcole normale, docteur èslettres, professeur à la Faculté des lct'res
de l'Université do Clormont. 2« édition. Un vol in-16 de 318 pages, relié
toile. 2 fr. On vend séparément:—
Philosophie, 1 fr. 25; Histoire I fr. »
. .
Classe de llhélorique :
.Mathématiques : Arithmétique, Algèbre et Géométrie, par.M. ANTOMARI;
Cosmographie,, par .M. M VI.USKI. — 2* édition. In vol. in-16 de 368 pages,
relié toile 3 fr.
Classes de Rhétorique et Seconde moderne :
Histoire, par M. IIALSEII. — 2« édit. \Jn vol. in-16, de 95 p., broché. fr.
1
Géographie, par M. HUSKU (En préparation)
Classe de Philosophie :
Physique et Chimie : Physique, par .M. HOISAHR ;Chimie (notation ato-
— Un vol. in-16 de373 p., avec 263 lig., rel. toile. 3 fr.
mique), M.
par DIDIER.
Classe de Philosophie et Première-Lettres :
Philosophie et Histoire : Philosophie, par .M. JANET; Histoire, par
M. HAUSER. Un vol. in-16, do 550
— pages, relié toile 4 fr.
On vend séparément : Philosophie,'A IV. 50; Histoire, 1 fr.
Classes de Philosophie et Première (Lettres ci Sciences) :
Histoire naturelle, par M. CAUSTIER, agrégé des sciences naturelles, profes-
seur au lycée de Versailles. — _• édition. Un vol. in-16 de 452 pages avec
522 figures, relié toile 3 fr.
Les autres volumes sont en préparation.
Librairie NONY et C'», boulevard Saint-Germain, 63, & Paris.

L'Éducation Mathématique
Journal in-4° paraissant le /er et le 15 de chaque mois,
du I" octobre au 15 juillet,et publié par
H. VUIBERT
JtÉIHCUlH 1>U « JOl'KNU VI KiTHKXiTK'VES Û^KEMllHM »

Abonarmenl aaauel (d'octobre) : Prince, 5 fr. ; ÉlrMjjer, 6 fr. — Prix du namrro : 30 ctotimts,
A quelque époque de l'année que l'on s'abonne, on reçoit tous les numéros parus
depuis Je 1" octobre.

Ce journal, — créé pour les débutants qui no peuvent pas encore suivre lo
Journal de Mathématiques élémentaires, — s'adresse aux élèves des classes do
lettres [enseignement classique (do la V a la Philosophie) et moderne (do la 4»
à Ja Seconde)]des lycées de garçons, aux élèves des trois classes supérieures des
lycées déjeunes filles et aux élèves des écoles primaires supérieures, des écoles
pratiques do commerce et d'industrie et des écoles normales; — aux aspirants
et aspirantes au certificat d'études pri maires supérieures, aux certificats d'études
pratiques industrielles et commerciales, au brevet supérieur;— aux candidats
aux écoles d'arts et métiers, do Cluny, des mécaniciens, d'agriculture, do com-
merce, etc. ; aux nombreux jeunes gens qui, n'ayant pas fait d'études régulières
ou n'ayant pu les jioursuivro assez loin, désirent compléter leur instruction et
ont besoin d'être guidés. Il intéressera enfla bien des pères do famille qui
prennent une part un peu active aux études do leurs enfants.
Bien que limité a l'arithmétique, à l'algèbre et à la géométrie très,élémeh-
taires, il sera aussi d'un grand secours aux trop nombreux élèves qui entrent
dans les classes de Mathématiques élémentaires, uo Première-Sciences ou dans
les divisions de Saint-Cyr sans être suffisamment préparés à recevoir l'ensei-
gnement qu'on y donne.
Des questions proposées sont livrées aux recherches des abonnés. Les solutions
insérées dans le journal sont rédigées avec les plus grands détails, de manière
à no laisser dans l'ombre aucune partie de la démonstration, et en rappelant
les théorèmes à l'appui. Les fautes qui so trouvent dans les solutions envoyées
sont signalées et expliquées d'une façon générale, sans indication de personna-
lité, de manière à faire profiter tous les lecteurs des enseignements qui pour-
ront se dégager des erreurs de quelques-uns.
« Mais surtout nous nous attacherons, disent les rédacteurs, à montrer com-
ment on cherche un problème. Pour les questions les moins faciles, nous
essaierons de matérialiser le travail d'investigation, de montrer les différentes
voies où l'on peut s'engager, d'indiquer les raisons qui en font préférer une
particulièrement.
» ... Ce sera aussi, pensons-nous, le moyen d'être utiles à ceux (et ils sont
légion) qui travaillent seuls et qui n'ont pas lo bonheur de pouvoir profiter
d'une direction éclairée et intelligente. Une rubrique, dite do correspondance,
nous permettra de répondre par la voie du journal aux questions qui pourront
nous être posées...
» Puissions-nous réussir à stimuler dans la jeunesse le goût des études
mathématiques et à lui révéler les satisfactions intellectuelles qu'elle peut en
retirer 1 Loin do nous la pensée de le faire aux dépens de la culture générale :
elle est indispensable pour le développement normal de toutes les facultés.
Mais aucun homme moderne ne saurait plus* so passer d'une certaine culture
scientifique, qui a nécessairement la s Mathématique » pour base. Beaucoup
déjeunes gens se laissent effrayer par les difficultés du début; nous voudrions
leur apprendre à les surmonter; en un mot, faire oeuvre d'éducation mathé-
matiqui. »

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