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La question des dîmes et de la gestion de l’argent au sens large est un sujet abondamment
traité dans la Bible. Le Seigneur est très ‘décrispé’ vis-à-vis de cette question, les apôtres
aussi dans leurs enseignements. En lisant les épîtres, nous découvrons que les apôtres n’ont
pas hésité à parler d’argent lorsque la situation l’exigeait. Quant à nous, nous ne devons pas
avoir une attitude non conforme à celle que la Bible nous présente concernant l’argent. Ce
dont je vais partager a pour but, non pas de donner une loi mais de communiquer une vision,
un état d’esprit et de cœur concernant la gestion de notre argent et de nos offrandes.
Le prophète Esaïe écrit (Es.32/8) : « Mais celui qui est noble forme de nobles desseins et il
persévère dans ses nobles desseins. » Un autre mot pour traduire ‘noble’ est : ‘généreux’. Ce
qui donne pour ce verset : « Celui qui est généreux forme de généreux desseins et il persévère
dans ses généreux desseins. » Avant de traiter plus en profondeur la question des offrandes et
des dîmes, il faut comprendre que ce qui est important avant tout, ce qui est l’essentiel, c’est
de savoir ce que représente le fait de donner. Dieu est un Dieu qui donne. L’un des versets qui
nous tient le plus à cœur dans la Parole de Dieu nous parle du don extraordinaire que Dieu
nous a fait : Jésus-Christ, Son Fils unique. (Jn.3/16) dit : « Car Dieu a tellement aimé le
monde qu’Il a donné Son Fils unique, afin que quiconque croit en Lui ne périsse point, mais
qu’il ait la vie éternelle. »
Toute dîme, toute offrande repose avant tout sur la notion de donner. La Bible nous propose
des principes spirituels sur la manière de donner. Si nous voulons être de bons économes de
l’argent que Dieu nous donne, (car nous sommes des gestionnaires de l’argent et des biens
matériels que Dieu nous confie), si nous voulons aussi être des donateurs selon le cœur de
Dieu, nous comprendrons que plus que l’argent que nous donnerons, ce qui compte
premièrement aux yeux du Seigneur, est la manière dont nous donnons, ce qui n’exclut pas
aussi ce que nous donnons, car les deux vont ensemble.
Il est donc important de savoir dans quoi nous investissons notre argent. «Où donnons-nous?
» Notre cœur s’attachera à l’endroit où nous constituons notre trésor. Si nous les amassons sur
la terre, nous ne sommes pas certains de leur avenir. La Bourse tangue, les cours des actions
s’effondrent, la valeur de l’argent s’effrite… Si nous sommes attachés à nous constituer des
trésors terrestres, nous risquons de tout perdre. Et même, si par habileté et perspicacité, nous
sommes de ceux, capables d’amasser des trésors ici-bas, rappelons-nous que cela
n’empêchera pas Dieu de nous redemander notre âme quand il le jugera bon. Le Seigneur
nous invite à choisir Ses valeurs qui sont des valeurs éternelles, celles de Son Royaume. C’est
dans ces valeurs-là que nous voulons investir, que nous voulons semer nos biens et nos
offrandes. Si nous semons dans le Royaume de Dieu nous récolterons des fruits qui seront
selon le cœur de Dieu. Loin de moi, alors, la pensée de ces enseignements extrêmes qui
annoncent tonitruant : ‘Plus vous donnez au Seigneur et plus vous retirez matériellement’.
Cela n’a rien à voir avec ce que la Bible dit. Ce qui ne veut pas dire que Dieu serait ignorant
ou méprisant des besoins matériels que son peuple rencontre sur la terre. Dieu est le Dieu qui
pourvoit, non pas simplement parce que nous donnons à Son œuvre mais parce qu’Il est un
Père. Jésus, dans (Mat.6/33), nous invite à chercher le Royaume de Dieu et à croire aussi qu’Il
comblera tous nos besoins. Il est fidèle. « Cherchez premièrement le Royaume de Dieu et Sa
justice et toutes choses vous seront données en plus. »
Comment et combien donner est une question assez triviale mais au-delà de cette formulation,
la véritable question est savoir quel est l’esprit du don, comment donner ? (2 Cor.9/6) : «
Sachez-le, celui qui sème peu moissonnera peu, et celui qui sème abondamment moissonnera
abondamment. » La Bible nous renvoie donc à notre foi, à notre générosité et à notre cœur. Si
vous semez peu d’une manière spirituelle, vous récolterez peu d’une manière spirituelle.
Pour voir les fruits se manifester, il nous faut donc un engagement, un acte. Le fait de semer
implique de perdre quelque chose au lieu de le consommer immédiatement. Une semence
peut être jetée en terre, ou subir une transformation, notamment en farine, ou être consommée
directement, ou être stockée. Trop souvent au lieu de semer la semence, nous l’utilisons pour
la consommer. Dieu nous invite à prendre une partie des ressources matérielles qu’Il met à
notre disposition pour les transformer en semence en les jetant en terre. Pour qu’elle produise
du fruit, il faut que la semence meure, autrement dit, il faut accepter de la perdre. J’aurais pu
la consommer pour mon bénéfice, mais je la perds, elle meurt : « Seigneur, Je l’abandonne, je
Te la donne, Je Te la confie avec une vision de foi et de générosité, je suis convaincu que Tu
es le Dieu qui multiplie, pas simplement pour moi mais avant tout pour Toi, pour Ton
Royaume. »
b. Une mauvaise attitude de cœur : Attention maintenant, une mauvaise intention du cœur
annule tout l’impact du geste quelque soit son montant. Si notre cœur n’est pas en accord avec
la pensée du Seigneur quelque soit l’argent que nous pouvons mettre, Dieu n’acceptera pas de
bénir cet argent, cette offrande, car pour Lui, c’est le cœur qui compte avant tout.
– Ne donnez pas à contre-cœur. (2 Cor.9/7) : « Que chacun donne comme il l’a résolu en son
cœur (librement, d’une manière généreuse) sans tristesse ni contrainte ; car Dieu aime celui
qui donne avec joie. » Donner une offrande, une dîme même, sans joie, par contrainte, ne fera
pas plaisir au Seigneur. N’oublions pas cette parole que Jésus adressa aux Pharisiens,
(Mat.23/23) : « …Parce que vous payez la dîme de la menthe, de l’aneth et du cumin et que
vous laissez ce qui est plus important dans la Loi, la justice, la miséricorde et la fidélité. »
– N’oublions pas ce qui est important : la justice, la miséricorde et la fidélité. Voilà ce que
Dieu nous invite à considérer : Comment donner selon Son cœur.
Ainsi donc concernant une ressource, que l’on appellera une semence, nous avons trois
possibilités d’action :
– Je la consomme et je la détruis, il est normal que nous consommions une partie des
ressources dont nous disposons car nous avons besoin de vivre. Nous les consommons pour
nous nourrir, nous vêtir et pour certaines choses qui sont très superflues…
– Je la stocke : Nous pouvons aussi prendre cette ressource et la stocker, nous épargnons,
nous thésaurisons, parfois à l’excès. Le livre des Proverbes nous invite à ne pas aller trop loin
dans ce sens. Tant que je stocke cette semence, je ne la fais pas rentrer dans le projet de Dieu.
– Je la perds : Pour la faire rentrer dans Son projet, il faut que j’accepte de la perdre et de la
donner au Seigneur ; la ressource devient alors une semence. Lorsque cette semence rentre
dans le plan de Dieu, elle rentre aussi dans Son plan multiplicateur. Attention, ce n’est pas
parce que nous donnons dix euros qu’Il va nous en rendre cent. Avant tout, Il rendra cent
fruits de justice, cent fruits de grâce à travers ce que nous aurons semé. Apprenons à dire : «
Seigneur, nous préférons donner plus, afin que cela puisse produire quelque chose à Ton
Royaume. »
Dieu prendra soin matériellement de ceux qui donnent. (2 Cor.9/10) : « Celui qui fournit de la
semence au semeur, et du pain pour la nourriture, vous fournira et vous multipliera la
semence… » Ainsi, le Seigneur redonnera de la semence à celui qui est généreux. Ce qui Lui
est confié, sera rendu d’une manière extraordinaire pour à nouveau, être semé, consommé,
stocké selon la foi de la personne concernée. Il est encore rajouté : «Et Il augmentera les fruits
de votre justice. » Une vision généreuse engendre encore plus de générosité et plus de
bénédictions. Celui qui accepte de rentrer dans le plan du Seigneur permettra à Dieu de lui
faire vivre des choses extraordinaires. Nous connaissons tellement de témoignages de frères,
de sœurs qui sont rentrés dans ce projet de Dieu. Un jour, ils ont commencé à dire : «
Seigneur, je veux maintenant, non pas simplement tout consommer, tout stocker, mais je veux
faire de mes ressources des semences pour Ton Royaume. » Ils commencèrent alors à vivre
des choses extraordinaires, et ont vu la main de Dieu se manifester. J’ai envie de dire : «
Permettez à Dieu de vous bénir de cette manière ! Vivez de nouvelles expériences avec Dieu,
de nouvelles aventures spirituelles avec Lui à travers vos biens, vos ressources. Le Seigneur
ne sera jamais débiteur de quelqu’un. »
Quand Jésus nous observe : Il est dit ‘Jésus s’étant assis’. D’après le grec, c’est une action qui
dure dans le temps. Cela veut dire que Jésus est resté un bon moment en face de la zone des
troncs. Il voyait passer les Pharisiens, les Sadducéens, qui se faisaient annoncer par leurs
serviteurs. Chacun pouvait entendre les pièces d’or tomber, jusqu’à ce que cette petite femme
arrive, ce fut à peine si on put percevoir le tintement des deux quarts de sous, mais Jésus était
assis et Il regardait.
Mon frère, ma sœur, imaginons que le Seigneur s’assoit pendant nos cultes au fond, à côté du
tronc, (c’est peut-être un endroit qu’Il affectionne parce qu’il révèle beaucoup). Il nous
observe. Jésus l’a fait avec la veuve et Il est capable de le faire avec nous. Il voit d’une
manière spirituelle et d’une manière matérielle. Il voit nos cœurs et Il voit comment la foule
mettait l’argent. Nous comprenons que Jésus dénonce les pratiques légalistes, mais il refuse
aussi une espèce de spiritualité ‘trompe-l’œil’. L’offrande fait partie du culte. On ne peut pas
simplement dire : « Nous T’offrons des sacrifices de louanges, nous célébrons le culte », tout
en négligeant les dîmes et les offrandes. Car Celui qui désire des sacrifices de louanges dit
aussi : « Je prends plaisir aux sacrifices de bienfaisance et de libéralités. » Il est donc
impossible de dire : « Ces sacrifices-là ne font pas partie du culte. » On ne peut pas séparer les
deux types de sacrifices. Si la louange fait partie du culte, alors la bienfaisance et la libéralité
en font partie. C’est le même mot qui est employé. Si le Seigneur nous regarde pendant que
nous louons Dieu, Il nous regarde aussi quand nous mettons l’argent dans le tronc pour Son
œuvre. Quant à cette petite femme, elle est venue déposer la plus petite monnaie de l’époque,
son petit sou. Cela n’aurait pas servi à grand chose pour régler les factures du Temple. A quoi
pouvait servir ces deux petites pièces ? Cependant, nous voyons que Jésus va utiliser cet
incident, cet acte de générosité pour instruire Ses disciples. Jésus leur fit l’éloge de cette
veuve parce qu’elle donnait plus que les autres. Elle n’avait qu’un quart de pièce, elle a donné
tout ce qu’elle avait, elle ne pouvait pas donner davantage.
A travers l’exemple de cette femme, Jésus nous met au défi de l’avarice. Les Pharisiens
étaient avares, les religieux sont avares. J’ai entendu un jour un homme dire que : « Puisque
Jésus avait approuvé les deux petites pièces de la veuve, il se contenterait de donner
pareillement. » Nous devons comprendre que pour Jésus, l’essentiel est dans le sacrifice. Le
sacrifice est l’essence même du don, de l’offrande que nous apportons au Seigneur. A vrai
dire le sacrifice suprême serait de tout donner. Paul dit à propos des Macédoniens qu’ils se
sont donnés eux-mêmes. La plus petite somme d’argent était en fait, le plus grand des dons
parce que cette femme avait tout donné. Je le redis, ce qui plait à Dieu dans nos offrandes,
c’est le sacrifice, (Héb.13/16) : « N’oubliez pas la bienfaisance et la libéralité, car c’est à de
tels sacrifices que Dieu prend plaisir. » (2 Sam.24/24) : « Je n’offrirai pas à l’Eternel, mon
Dieu, des holocaustes qui ne me coûtent rien. »
Donner n’a rien à voir avec nos richesses, avec l’importance de ce que nous avons. (Lc.16/10)
dit : « Celui qui est fidèle dans les moindres choses l’est aussi dans les grandes, et celui qui
est injuste dans les moindres choses l’est aussi dans les grandes. » Donner ne dépend pas de
ce que nous avons, il s’agit d’une disposition de cœur, il s’agit d’un sacrifice que nous
désirons offrir au Seigneur. Ne disons pas : « Je n’ai pas beaucoup, donc je ne peux pas
donner beaucoup. » Ne disons pas non plus : « Si j’avais plus, je donnerai plus. » Ce n’est pas
vrai. Si nous ne sommes pas capables de donner avec le peu que nous avons, nous ne serons
pas capables de donner même si nous avons beaucoup. C’est une question de cœur et non pas
de ressources financières.
Dieu, veut-Il et peut-Il combler tous nos besoins ? Je le crois de tout mon cœur. La bible
affirme dans (2 Cor.9/6) : « Sachez-le, celui qui sème peu moissonnera peu, et celui qui sème
abondamment moissonnera abondamment. » Dieu ajoute dans (2 Cor.9/10) : « Celui qui
fournit de la semence au semeur et du pain pour sa nourriture… C’est intéressant : pain et
semence. Nous avons dis de la semence qu’elle peut être consommée, stockée ou investie. Il
est donc question de semence mais aussi de pain. Dieu est capable de nous donner des
semences que nous allons gérer en fonction de notre foi, de notre vision. Il est capable de nous
donner du pain, que nous pouvons consommer en partie avec les nôtres ou partager avec notre
prochain. Ainsi Dieu peut nous donner des bénédictions immédiates tout comme Il nous
donne des semences pour investir de nouveau dans Son œuvre.
(2 Cor.9/11) : « Vous serez de la sorte enrichis à tous égards pour toute espèce de
libéralités… » Des commentaires excessifs de ce verset de la part de gens détournant les
Ecritures sont sortis, il nous faut les éviter. L’un des écueils que l’on rencontre le plus
fréquemment est le fidéisme. Qu’est-ce que le fidéisme ? C’est dire avec sincérité : « Je donne
à Dieu, à Son œuvre peu importe ce que je pourrais obtenir en retour. » Ce n’est pas ce que la
Bible enseigne, elle parle clairement des choses matérielles, de l’or et l’argent.
L’enseignement de la Bible est que le Seigneur transformera notre générosité en bénédiction !
Dieu honore la foi de Ses enfants. Si j’enseigne cela c’est parce que j’ai envie que vous soyez
bénis. Mon frère, ma sœur, il y a de nouvelles bénédictions, des expériences extraordinaires à
vivre que vous devez expérimenter dans ce domaine matériel. Si vous n’en êtes pas
convaincus, relisez la Bible et laissez le Seigneur transformer votre cœur et vous amener à
voir comment Il voit les choses.
L’autre écueil sur lequel il ne faut pas s’échouer, ce sont les séductions, comme un pasteur le
disait : « les séductions des camelots de la foi. » On rencontre ces hommes depuis l’Amérique
du Sud jusqu’à l’Afrique et maintenant ils viennent jusqu’en Europe, avec sans cesse à leur
bouche, des paroles de prospérité et de richesse matérielle. Ils manipulent et extorquent de
pauvres gens dépourvus de tout, alors qu’eux, les menaçant de toutes sortes de malédiction,
sont habillés de costumes de soie blanche, et roulent dans des voitures limousine de luxe. Les
seuls qui s’enrichissent au bout du compte, ce sont ces « prédicateurs », tandis que les pauvres
âmes qui les écoutent, s’en retournent plus pauvres qu’elles n’étaient. D’autres ont raconté
que de l’or et d’autre chose tombaient du ciel et les billets remplissaient leurs poches. Je me
dis : « Que les chrétiens sont naïfs, car si vraiment l’argent tombait du ciel pourquoi leur
mettre de l’argent dans leurs poches ? » Soyons équilibrés dans ce domaine-là mes frères et
sœurs ! Mais soyons décrispés vis-à-vis de cette question de l’argent. Il ne faudrait pas qu’une
culture catholique romaine, française, vienne nous empêcher de rentrer dans les bénédictions
de Dieu. Il faut nous libérer de cela et nous découvrirons des choses merveilleuses.
Pour conclure, c’est une des rares paroles de Jésus qu’on ne trouve pas dans les Evangiles, on
la trouve dans les Actes, Paul la rapporte ayant dû l’entendre de la part de témoins oculaires
(Act.20/35) : « …Il faut se rappeler les paroles du Seigneur qui a dit Lui-même : Il y a plus
de bonheur à donner qu’à recevoir. »
AMEN
7 Commentaires
1.
Nous donnons pour la cause du royaume de Dieu. Peu importe ce qu’on dise et ce
qu’on puisse penser, donner reste une question d’expérience spirituelle. Que le Dieu
pourvoyeur donne à chacun des lecteurs de cet article un coeur sensible à sa parole
afin qu’il soit un excellent donneur et que la richesse de Dieu retourne à chacun de
vous et que vous ayez toujours en abondance.
Merci pour cette étude. Je l’applique dès aujourd’hui dans tous les aspects de ma vie et
dans mes entreprises et je la partagerai avec mon assemblée.
o
Dr Maxon Gaspard 1 avril 2019 à 21 h 48 min Répondre
2.
3.
Dieu nous demande de donner et nous devons donner pour obéir à la parole de Dieu et
si les gens gèrent mal ce que nous avons donné ils rendront compte à Dieu. Ne pas
donner parce à cause de la gestion c’est ne pas obéir à Dieu.
4.
Bonjour Liliane,
Il n’y a que vous qui puissiez répondre à votre demande car le St Esprit vous montrera
la marche à suivre. Je sais tout à fait ce que vous ressentez car je l’ai vécu mais ça ne
m’empêche pas de donner car c’est ce qui est dit dans La Parole. Demander à Dieu
que les offrandes que nous donnons soient utilisées à bon escient. Moi-même je ne
gagne pas d’argent mais quand je peux donner je le fais. L’épargne que j’avais je le
donne à l’Eglise et je sais que Dieu pourvoit à tous mes besoins, Il me l’a déjà prouvé
maintes et maintes fois. L’important est ce que nous faisons, nous, à l’égard de Dieu.
Après, si les gens sont dans l’iniquité ou ne dépensent pas cet argent correctement
pour le royaume de Dieu, ils en tiendront compte devant Lui quand ils mourront.
La prière du juste est agissante. Vous allez voir les changements qu’il y aura.
Je suis de tout cœur avec vous et je demande à Dieu que vous ne changiez pas votre
façon de faire à cause d’êtres humains qui trompent le monde autour d’eux.
Soyez bénis.
Marie
PS : vous pouvez faire passer que la Syrie a besoin de pétitions en allant sur le site de
Portes Ouvertes, aller dans agir et il devrait y avoir la rubrique « pétitions pour la
Syrie » ? Merci pour nos frères et sœurs en Christ persécutés là-bas car ils sont arrivés
au 11è rang de persécution.
5.
Bonsoir,
Je voudrais d’abord répondre à Liliane. En effet, il y en a qui abusent mais Dieu voit
tout. L’important est que nous fassions ce que Dieu nous demande, Il s’occupe du
reste.
Ensuite, comme je ne travaille pas, j’ai décidé de me mettre de côté chaque mois une
certaine somme comme si c’était un crédit et en même temps je me suis sacrifiée sur
ce que je faisais avec cette somme qui n’était pas pour l’Eglise. J’y trouve mon
compte mais surtout mon bonheur.
Il est certain que rien ne nous appartient. Merci au pasteur Franck pour cette
exhortation, elle est très très bien expliquée et vraie. Je vois que le St Esprit l’a
conduit.
Oui, l’argent est vraiment un problème dans ce monde et beaucoup de chrétiens ont
peur de donner croyant qu’ils ne seront pas bénis (??) Si on accepte les autres passages
de la Bible, il est logique que cette partie doit aussi être acceptée. On ne croit pas en
La Parole seulement par bribes. Ce ne serait pas normal et ce serait être de mauvaise
foi. On est bien heureux de croire que Dieu nous sauve par le sang de Jésus, alors il est
normal de croire que Dieu bénit ceux qui donnent pour Son Royaume. Sinon,
comment les Eglises existeraient-elles, on est bien contents de savoir qu’il y en a une
où on peut aller louer le Seigneur, s’y ressourcer ? Mais pour cela il nous faut investir
sinon il n’y en aurait pas. Chacun doit y mettre du sien, c’est ça aussi que je ne
comprends pas (?)
Jésus a bien vu quand il a insisté là-dessus. Et on dit qu’on l’adore, alors qu’on le
montre !
Jésus m’a sauvée de la mort et je lui dois tout, amen.
Merci Père, merci Seigneur Jésus
Marie
6.
liliane 31 juillet 2014 à 10 h 32 min Répondre
bjr je suis tout à fait d’accord de donner surtout pour le royaume mais je trouve que
trop de gens prennent cet argent pour leur plaisirs personnels et Dieu n’est pas
glorifier!! doit on veiller à ce que ces dons soient bien pour Dieu??? je donne
facilement mais je me suis sentie svt abusée… je ne suis pas riche loin de là!!plus le
contraire!!!trop d’églises s’enrichies personnellement mais il s’y trouve des
nécessiteux ???je ne trouve pas ça normal????
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