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des ressorts
par Bernard GIRONNET
Docteur ès Sciences
Professeur à l’École nationale supérieure d’arts et métiers (ENSAM)
et Guy LOURADOUR
Docteur ès Sciences
Professeur à l’École nationale supérieure d’arts et métiers (ENSAM)
Ces propos seront illustrés par le calcul des ressorts de rappel des soupapes
d’un moteur à combustion interne.
Les notations et symboles utilisés dans cet article sont définis dans le tableau des notations
et symboles et la figure A.
Ce texte utilise des extraits des cours de Machines thermiques et Dynamique des lignes
B 610
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COMPORTEMENT DYNAMIQUE DES RESSORTS ______________________________________________________________________________________________
1. Relations classiques
2. Modèles
■ Relations entre les dimensions géométriques du ressort :
— pour les ressorts dont les spires extrêmes sont jointives et
meulées sur les trois quarts de leur longueur, nous avons : Il est nécessaire de rechercher des modèles pour étudier le
comportement vibratoire des ressorts et en particulier de
0 = nu h0 + d déterminer : les fréquences propres, les vitesses des spires, leurs
b = nt d interférences et les efforts réels dynamiques aux extrémités.
Nous disposons pour cela de deux modèles simples :
— lorsque ce ressort est comprimé à spires jointives, le grossis- — le premier obtenu par assimilation du ressort à un barreau
sement du diamètre moyen est : cylindrique rectiligne homogène (§ 2.1) ;
( h0 + d ) e0 — le second construit à partir d’une discrétisation des masses et
D ′ – D = ------------------------------
- des raideurs (§ 2.2).
6D
1 2
avec D ′ = ----- h 0 + 4D 2 – d 2 + d
2
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2.1.1 Caractéristiques du barreau avec G (Pa) module d’élasticité transversal du fil du ressort,
a (m/s) célérité de l’onde.
2.1.1.1 Calcul du module d’élasticité longitudinal Si M est la masse utile du ressort :
du barreau équivalent
πd 2
Le barreau et le ressort doivent avoir le même comportement élas- M = µ ------------- n u π D (spires planes)
tique, c’est-à-dire que la raideur longitudinale doit être la même. 4
Gd 4
Pour le ressort, la raideur est égale à (§ 1) : et k sa raideur statique k = --------------------
8D 3 n u
Gd 4 k
k = -------------------- on obtient a = -------
8D 3 n u M
Pour le barreau, elle est définie par : Le temps de surtension, c’est-à-dire le temps nécessaire à l’onde
pour parcourir la distance du ressort, est donc égal à :
ES
k = ---------
M
t = ----- = -------
a k
avec S section du barreau.
L’identité des raideurs conduit à définir le module d’élasticité du 2.1.1.4 Longueur du barreau
barreau équivalent :
Gd 4 Chaque fois que l’excitation du ressort est périodique, on peut la
E = -------------------------
- développer en série de Fourier. C’est le cas dans les moteurs à
2π D 5 n u
combustion interne et à distribution par soupapes où l’excitation
du ressort de rappel est produite par la levée de la soupape. On
peut donc la remplacer par la levée moyenne à laquelle on ajoute
des excitations harmoniques.
La longueur du ressort à prendre en compte est égale à :
2 = 1 – H
2 = 0 – f0 – H
∂ 2 λ ( x, t ) E ∂ 2 λ ( x, t )
Figure 1 – Analogie ressort-barreau - = ----- -----------------------------
----------------------------- -
∂t 2 ρ ∂ x2
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peut être recherchée sous la forme d’un produit de deux fonctions Figure 3 – Ressort de soupape
à une seule variable :
λ (x, t ) = J (t ) · F (x )
En reportant cette solution dans l’équation aux dérivées partielles La première condition se traduit par :
on obtient :
λ (0, t ) = An sin (n ωt + ϕn ) Cn = Kn sin (n Ωt + Φn )
E
J ″ ( t ) ⋅ F ( x ) = ----- F ″ ( x ) ⋅ J ( t )
ρ d’où An ⋅ Cn = Kn
J″ ( t ) E F ″ (x ) ϕn = Φn
soit ----------------- = ----- ----------------- .
J (t ) ρ F (x ) ω = Ω
Afin d’obtenir deux équations différentielles du second ordre à La deuxième condition, compte tenu des résultats précédents,
coefficient constant, dont les solutions traduisent le phénomène s’écrit :
oscillatoire du système étudié, posons :
= 0
nΩ 2 nΩ 2
J ″(t ) E F ″ (x ) λ ( 2 , t ) = k n sin ( n Ωt + Φn ) B n′ sin ---------------- + cos ----------------
----------------- = ----- ----------------- = – n 2 ω 2 a a
J (t ) ρ F (x )
avec a célérité de l’onde,
avec n nombre entier,
B n′ = An · Bn
nω pulsation du phénomène.
nΩ 2 nΩ 2
Les fonctions F et J sont alors les solutions des équations d’où B n′ sin ---------------- + cos ---------------- = 0
a a
différentielles :
nΩ 2
J ″(t ) + n 2 ω 2 J (t ) = 0 – cos ----------------
a
soit B n′ = ---------------------------------------
n2 ω2
nΩ 2
- F (x ) = 0
F ″ ( x ) + ----------------- sin ----------------
a2 a
avec a (m/s) célérité de l’onde dans le barreau équivalent. La solution particulière de l’équation aux dérivées partielles est
la somme des solutions trouvées pour chaque harmonique d’exci-
La solution particulière de l’équation aux dérivées partielles
tation soit :
obtenue à partir des fonctions F et J peut s’écrire sous la forme :
λ ( x, t ) = ∑ K n sin ( nΩt + Φ n )
λ ( x, t ) = ∑
nω
nω
A n sin ( nωt + ϕ n ) B n sin ---------- x + C n cos ---------- x
a a n=1
n=1 nΩ 2
cos ----------------
avec ϕn déphasage. nΩx
a
nΩx
cos -------------- – ------------------------------------ sin --------------
a nΩ 2 a
sin ----------------
a
2.1.3 Application au ressort de soupape
et λ ( 2 , t ) = 0
nΩ 2
avec K n amplitude de l’harmonique de rang n, soit ---------------- = πp
a
nΩ pulsation de l’harmonique de rang n de l’excitation aπp
périodique, nΩ = -------------
2
Φn déphasage de l’harmonique de rang n.
avec nΩ pulsation de l’harmonique de rang n de l’excitation.
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2.1.3.3 Vitesse de déplacement des spires nΩx nΩ 2 nΩx
sin -------------- + cos ---------------- cos --------------
La vitesse V de déplacement d’un point matériel du ressort situé a a a
à l’abscisse x est (§ 2.1.3) :
Gd 4
avec E -,
= -----------------------
∂ λ ( x, t ) 2πD 5 n u
V = -------------------------- =
∂t ∑ Kn nΩ cos ( nΩt + Φn )
n=1 πD 2
nΩ 2
S = ------------- ,
cos ---------------- 4
nΩx
a nΩ 2
a
nΩx
cos -------------- – ------------------------------------- sin --------------
a N rang le plus élevé des harmoniques d’excitation
sin ----------------
a dont les amplitudes ne sont pas négligeables,
Ω (rad/s) vitesse de rotation de l’arbre à cames.
L’effort exercé par le ressort sur la culasse est égal à :
Si un choc entre spires se produit, on peut déterminer, à cet ins- N
tant, les vitesses de rencontre. ES
F ( 2 , t ) = F 0 + F 1 – ---------
a ∑ nΩK n sin ( nΩt + Φ n )
n=1
2.1.3.4 Efforts aux extrémités
nΩ 2 nΩ 2 nΩ 2
Considérons deux sections A et B du barreau, respectivement sin ---------------- + cos ---------------- cos ----------------
d’abscisses x et x + dx (figure 4). a a a
Un ébranlement parcourt longitudinalement le barreau. À l’ins-
tant t l’abscisse de la section A est [x + λ (x, t )], et celle de la sec- Sur la soupape le ressort exerce un effort égal à :
tion B de [x + dx + λ (x + dx, t )]. N
ES nΩ 2
La distance entre les deux sections A et B, à l’instant t, devient : F ( 0, t ) = F 0 + F 1 – ---------
a ∑ nΩK n sin ( nΩt + Φ n ) cos ----------------
a
x + dx + λ (x + dx, t ) – [x + λ (x, t )] n=1
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[C ] = [M ] –1 [L]
mx n″ – kx n – 1 + 2 kx n = 0
Les éléments Ci, j , non nuls, de la matrice [C ] sont définis par :
Soit [M] la matrice masse d’ordre n :
2k
C i, i = -------- i ∈ [ 1, n ]
m
k
C i, i – 1 = – ------- i ∈ [ 2, n ]
m
k
[M ] = C i, i + 1 = – ------- i ∈ [ 1, n – 1 ]
m
k1
L’écriture matricielle du système différentiel est alors : OMEGR ( I ) = I × π -------
M
[M ] (x’’) + [L] (x) = (0)
avec I (= 1, 2, 3, ...) numéro du mode de vibration ;
avec (x’’ ) et (x) matrices colonnes d’ordre n dont les éléments sont (4) nombre de pulsations propres identiques pour le modèle :
respectivement x 1″ , ..., x n″ et x 1 , ..., xn . NMP ;
La solution de ce système différentiel est de la forme : (5) choix du nombre de masses du modèle : n
(x) = (A) sin (ωt + ϕ) n ! NMP
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C i, i = ( 2k ) ⁄ m i ∈ [ 1, n ]
C i, i – 1 = – k ⁄ m i ∈ [ 2, n ]
C i, i + 1 = – k ⁄ m i ∈ [ 1, n – 1 ]
(9) calcul des valeurs propres de [C ] :
VP ( I ) I ∈ [ 1, n ]
(10) calcul des pulsations propres du modèle discret :
PP ( I ) = VP ( I ) I ∈ [ 1, n ]
(11) rangement des pulsations propres dans le tableau PP (I ) par
ordre croissant :
PP ( 1 ) = première pulsation propre
.............................................................
PP ( n ) = dernière pulsation propre
(12) comparaison des modes :
Figure 6 – Système discrétisé : modèle non conservatif
PP ( I ) = OMEGR ( I ) I ∈ [ 1, NMP ] ?
non : aller en (13) Les équations du mouvement des autres masses sont alors :
oui : le modèle est convenable mx 1″ + ( 2 L + D ) x 1′ – Lx 2′ + 2 kx 1 – kx 2
(13) prendre un nombre de masses plus grand ; retour en (6). N
= kX 0 + ∑ ( kAq – q L Ω Bq ) sin q Ω t + ( kBq + L q Ω Aq ) cos q Ω t
q=1
2.2.2 Construction du modèle non conservatif
mx i″ – L x i′ – 1 + ( 2 L + D ) x ′i – L x i′ + 1 – kx i – 1 + 2 kx i – kx i + 1 = 0
2.2.2.1 Étude du système libre amorti i ∈ 2, n – 1
mx n″ – L x n′ – 1 + ( 2 L + D ) x n′ – kx n – 1 + 2 kx n = 0
Le modèle établi précédemment (§ 2.2.1) peut être complété en
ajoutant des amortissements internes ou externes comme indiqué
La recherche de la solution générale du système différentiel
sur la figure 6.
passe par la détermination de la solution générale de ce système
Deux types d’amortissement visqueux peuvent être considérés : sans second membre. Or, cette solution ne présente de l’intérêt
— un amortissement interne de coefficient L ; que pour l’étude des déplacements en période transitoire.
— un amortissement externe de coefficient D. Nous ne rechercherons donc qu’une solution particulière du sys-
Les équations du mouvement de chaque masse en vibration tème différentiel avec second membre sous la forme :
libre amortie sont alors :
N
mx 1″ + ( L + D ) x 1′ – L x 2′ + 2 kx 1 – kx 2 = 0 x i = x i0 + ∑ ( X iq sin q Ω t + Y iq cos q Ω t )
q=1
mx i″ – L x i′– 1 + ( 2L + D ) x i′ – L x i′ + 1 – kx i – 1 + 2kx i – kx i + 1 = 0
(cette solution est la somme des solutions obtenues pour chaque
i ∈ [ 2, n – 1 ] harmonique)
mx n″ – L x n′ – 1 + ( 2L + D ) x n′ – kx n – 1 + 2 kx n = 0
avec xi 0 déplacement de la masse i lorsque la masse m 0 est dans
la position caractérisée par x 0 = X 0 et xi 0 = X 0 / n,
2.2.2.2 Étude des vibrations forcées
Xiq sin q Ω t + Yiq cos q Ω t déplacement xiq de la masse i
Dans le cas du ressort de soupape, on impose à la masse m 0 un lorsqu’on impose :
mouvement périodique :
x 0 = Aq sin q Ω t + Bq cos q Ω t
q=N
x0 = X0 + ∑ ( A q sin q Ω t + B q cos q Ω t ) En remplaçant dans le système différentiel xi , x ′i et x i″ par :
q=1
x iq = X iq sin q Ω t + Y iq cos q Ω t
avec N nombre d’harmoniques de la loi de levée de la soupape à
prendre en considération, ′ = q Ω X iq cos q Ω t – q ΩY iq sin q Ω t
x iq
Ω vitesse de rotation de l’arbre à cames. ″ = – q 2 Ω 2 ( X iq sin q Ω t + Y iq cos q Ω t )
x iq
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E ⋅ ( χ q ) = ( q ) AA (1) = A
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4. Exemples d’application
Nous étudions ici le comportement vibratoire des ressorts d’une
distribution par soupapes d’un moteur Diesel, semi-rapide, forte-
ment suralimenté. Chaque soupape est rappelée sur son siège par
deux ressorts concentriques.
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et m la masse de chaque élément : Les résultats donnés dans le tableau 2 montrent, comme pour
les ressorts extérieurs (§ 4.1.1), que la différence entre la pulsation
4,279 propre calculée (396,101 rad/s) à partir du modèle ressort-barreau
m = ----------------
n et celle obtenue par la modélisation discrète est inférieure à 2,5 %.
Pour faire l’étude des déplacements des spires, il est nécessaire (0)
de prendre un nombre de masses égal à un multiple entier du
nombre de spires utiles. Nous avons donc fait un modèle à 17 masses Tableau 2 – Ressort intérieur : modélisation
et un autre à 34 masses. Les résultats sont donnés dans le tableau 1.
(1) N (1) (2) N (2)
(0) no (rad/s) (tr/min) (rad/s) (tr/min)
Tableau 1 – Ressort extérieur : modélisation 1 386,67 3 692,4 391,38 3 739,3
2 771,36 7 369,7 782,24 7 473,6
(1) N (1) (2) N (2)
no (rad/s) (tr/min) (rad/s) (tr/min)
3 1 152,1 11 008 1 172,1 11 198
4 1 527,0 14 589 1 560,3 14 907
1 305,06 2 914,6 309,68 2 958,7 5 1 896,1 18 097 1 946,5 18 597
2 607,80 5 807,0 618,74 5 911,5 6 2 251,6 21 512 2 330,0 22 262
3 905,92 8 655,3 926,55 8 852,3 (1) Nombre de masses : 21.
4 1 197,1 11 438 1 232,5 11 775 Masse de chaque élément : 0,115 kg.
5 1 479,3 14 133 1 536,0 14 675 Raideur de chaque ressort : 848 100 N/m.
6 1 750,1 16 721 1 836,3 17 544 (2) n = 42.
m = 0,058 kg.
(1) Nombre de masses : 17. k = 1 657 650 N/m.
Masse de chaque élément : 0,252 kg.
Raideur de chaque ressort : 770 940 N/m.
(2) n = 34.
m = 0,126 kg. 4.2 Étude du déplacement des spires
k = 1 499 050 N/m.
Le ressort étudié est le ressort extérieur dont les caractéristiques
dimensionnelles et mécaniques sont données au paragraphe 4.1.1.
On constate que la différence entre la pulsation propre calculée Les abscisses des points considérés sont données par la
à partir du modèle ressort-barreau (314 rad/s) et celle obtenue par figure 8.
la modélisation discrète est inférieure à 2 % dans les deux cas.
Le modèle à 17 masses est très convenable, car d’une précision
suffisante. 4.2.1 Déplacements des spires obtenus
à partir de l’analogie ressort-barreau
4.1.2 Ressort intérieur Données :
d = 15 mm
4.1.2.1 Caractéristiques D = 113 mm
Matière : acier 45 SCD 6 h 0 = 28,79 mm
module d’élasticité transversal : 2 = 204,5 mm
F 0 = 195,7 daN
G = 8 300 daN/mm2 = 83 000 MPa k 1 = 4,283 daN/mm
masse volumique : G = 8 300 daN/mm2
= 83 000 MPa
µ = 8 kg/dm3 = 8 000 kg/m3 µ = 8 kg/dm3 = 8 000 kg/m3
nu = 8,5
diamètre du fil : d = 12 mm N = 30 (nombre d’harmoniques)
diamètre d’enroulement ou diamètre moyen : D = 81 mm Y loi de levée de la soupape donnée tous les degrés de rotation
nombre de spires utiles : nu = 10,5 de l’arbre à cames (361 valeurs).
pas à l’état libre : h 0 = 20,58 mm
longueur libre : 0 = 228,08 mm Les déplacements des spires ont été tracés sur la figure 9
raideur (§ 1) : k 1 = 3,855 daN/mm (vitesse de rotation de l’arbre à cames 225 tr/min). Les traits mixtes
masse utile (§ 1) : M = 2,425 kg représentent les déplacements des points définis sur la figure 8, et
masse totale (§ 1) : Mt = 2,772 kg les traits continus, situés de part et d’autre des lignes discontinues,
longueur en place : 1 = 199 mm visualisent le diamètre du fil.
levée moyenne de la soupape : A = 9,5 mm
longueur du ressort sous levée moyenne : 2 = 189,5 mm
pulsation propre (§ 2.1.3.1) : ω = 396,101 rad/s 4.2.2 Déplacements des spires obtenus
célérité de l’onde (§ 2.1.3.1) : a = 23,89 m/s. à partir du modèle discrétisé
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