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https://www.iledefrance.fr/recueils-des-actes-administratifs
http://www.prefectures-regions.gouv.fr/ile-de-france/tags/view/Ile-de-
France/Documents+et+publications/Consultations/Enquetes+publiques
http://www.driee.ile-de-france.developpement-durable.gouv.fr/
https://www.ccomptes.fr/fr/publications?f%5B0%5D=institution%3A144®ion=/fr/crc-ile-de-france&taxonomy_term=all
https://www.bodacc.fr/recherche/enregistrer
https://www.journal-officiel.gouv.fr/associations/recherche/resultats/?reinitrefine=1 CPTS
Autre conseil : mieux vaut investir un peu pour avoir batterie et mémoire.
Concernant la rédaction, la fibre optique est vraiment appréciable. Pour
le reste c’est peanuts : quelques centaines d’euros pour un NAS et ses
deux disques durs, une imprimante en réseau.
https://lescahiersdudebutant.fr/stockage/nas-vs-disque-dur-externe/
Je recommande aussi le compte Google fantôme pour la rédaction (à
sauvegarder en intégralité régulièrement, partez du principe qu’il peut
sauter à tout moment…). Ça permet d’avoir une synchronisation des
agendas, des contacts, et un cloud commun sur les PC et tél.
les chefs d'agence et rédacteurs en chef, je vous recommande très
chaudement les applications de gestion de projet comme
@asana
ou
@ClickUp_app
. Très efficace pour gérer des dizaines de papiers et offrir gratuitement
des espaces de travail communs aux journalistes.
utres oublis : si déplacements en voiture, le double chargeur USB est
juste vital. Comme la ou les batteries externes. Être numérisé c'est bien,
mais il faut s'assurer de ne jamais jamais être à sec d'électricité
tilisez Twitter, abonnez-vous à tout le monde dans votre coin, laissez vos
DM ouverts et lisez-le pendant les temps d’attente fréquents en
reportage. Sur Facebook, abonnez-vous à tous les groupes publics
comme privés locaux, il y a des perles.
lors c’est exigeant, parce qu’on doit rester 30 min de plus à la fin des
réunions publiques, des conseils municipaux, et faire un peu traîner ses
reportages. Et il faut montrer ou feindre de l’intérêt, ça donne envie aux
gens de parler, de vous tester si vous êtes nouveau.
a question ouverte est ici reine, à base de "et vous pensez quoi de
*insérer point d’intérêt* ?" ou avec des "et sinon, il y a des choses dont
on devrait parler qu’on a loupé ?". Ne pas parler qu’aux institutionnels
hein : cherchez les observateurs, les malins et les emmerdeurs.
t bien, on se saisit de chaque sortie, de chaque reportage, pour discuter
avec les gens. Et surtout pas que du sujet ou reportage du jour : on
prend un peu de temps, on file ses cartes de visite à tout le monde, et on
papote de la commune, de l’entreprise.
J’en profite : gardez toujours en tête que votre travail dépend de vos
contacts. Donc une personne croisée = un 06 récupéré et mis dans le
répertoire avec tous les détails utiles. N’hésitez pas à insister à mort,
notamment avec les élus qui sont parfois de grands timides.
Faites-vous un tableau des sites des mairies, institutions et entreprises
de votre coin, avec les liens directs vers : les actualités, l’agenda, le mag'
communal, les ordres du jour et/ou compte rendus de conseils
municipaux. Épluchez ça régulièrement.
il va falloir se fader des centaines de pages par mois, avec un œil acéré :
les mairies mettent parfois des choses captivantes dans leurs bulletins,
mais rarement en Une ! Idem pour les délibérations des conseils
municipaux…
l va falloir vite vous rapprocher des oppositions politiques, et mettre en
place l’envoi systématique des délibérations en pdf avant les séances
publiques. Et ne vous reposez pas sur un seul élu…
n n’oublie pas non plus de lire les recueils des actes administratifs
(RAA) et enquêtes publiques des préfectures (une mine d’infos !),
comme les publications de la Driee, de la Chambre régionale des
comptes, de l’agence de l’eau et autres institutions locales de l’État.
On va aussi s’inscrire fissa au BODACC, les infos officielles des
entreprises (création, liquidation, redressement judiciaire), et y poser des
alertes. La publication est obligatoire, la consultation gratuite, à utiliser
surtout en ruralité (sinon volume très important).
Idem pour le Journal officiel des associations, ça vous permettra de
savoir lesquelles sont créées, scindées ou changent de dirigeants. Très
pratique en période préélectorale, par exemple, pour repérer des listes
en train de se monter.
cette veille vous permet d’obtenir de belles exclusivités, qui plus est
assurées : vous partez d’un document. La collectivité, l’entreprise, l’Etat
ne souhaite pas commenter ? Grand bien leur fasse, vous n’avez pas
besoin d’eux pour votre article. Le pouvoir change de camp.
Cet effort extensif qui offre des informations plus ou moins publiquement
disponibles (mais pas toujours très accessibles) vous permettra par
ailleurs de repérer les sujets chauds de chaque commune, afin d’être
pertinent quand vous papotez en reportage.
Mais aussi de vous conserver la possibilité de venir quand un conseil (ou
des vœux par exemple) s’annonce chaud sans dépendre de l’appel d’un
élu qui servira forcément son propre intérêt. Vous verrez, les élus
s’habituent vite : s’ils vous voient débouler, c’est mauvais signe ;-)
Autre ressource de veille, à utiliser avec jugeotte pour ne pas perdre de
temps : les alertes Google. Par exemple, vous voulez savoir les docs
publiés sur le site de la préfecture du 78 ? Un petit "filetype:pdf
site:http://yvelines.gouv.fr" vous les enverra au fil de l’eau.