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[26/04 à 18:21] +237 56954125: *Déconfinement*

Cela faisait déjà plusieurs semaines que nous attendions avec impatience cette annonce, enfin le
déconfinement. Isabelle et moi étions impatients de retrouver une vie normale. Cette période fut
l’occasion de se reconnecter tous les deux pendant de longues journées que nous partagions entre
télétravail, cuisine, films et des moments plus intimes. Ces derniers étaient quasi quotidiens et nous
avions retrouvé la libido de nos débuts.

La fin de semaine approchait et j’avais organisé une petite escapade à ma belle. Le printemps était déjà
bien avancé, et avec lui les journées se rallongeaient, les rayons du soleil étaient déjà bien puissants.
Donc dans nos valises on y glissa des tenues plutôt estivales, pour les soirées, mais aussi la
journée,tenue chic, maillot de bain on ne sait jamais et baskets.

Isabelle : - Alors Victor ! Est-ce que tu vas enfin me dire où l’on va ?

Victor : - Je t’ai organisé un week-end ma chérie, j’espère que tu ne seras pas déçu.

- Tu sais tellement bien comment me faire plaisir ! (dit-elle en esquissant un sourire malicieux et un
regard espiègle).

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Humm, j’admirai les filets d’eau qui glissaient sur sa peau mate (ce confinement nous avait permis de
préparer notre bronzage pendant ses après-midi presque estivaux), la mousse surlignait ses courbes
généreuses. Isabelle était une grande brune avec de longues jambes, ses cheveux lui arrivaient au milieu
du dos, sa poitrine ni trop grosse, ni petite était charmante, des seins à croquer, une taille fine surlignait
ses hanches généreuses et ses fesses galbées.

Victor était prêt et il m’attendait patiemment dans un fauteuil au coin de la pièce. Quand je sorti de la
salle de bain en petite tenue, l’effet de celle-ci sur lui était palpable, ses yeux se dirigèrent vers mon
soutien-gorge en dentelle noir, puis descendirent vers le bas pour admirer mon porte jarretelle et ma
culotte dessinant parfaitement le contour de mes fesses, sous laquelle on pouvait entrevoir le sillon de
mes fesses et les lèvres de ma chatte épilée comme il se doit.
Sa bouche était grande ouverte de surprise et après quelques instants ses yeux reprirent le dessus et
remontaient pour croiser les miens, j’esquisse alors le même sourire qu’à notre départ. J’enfile ma robe
et mes chaussures à talons qui avait pour effet de galber mes fesses encore plus pour les rendre
irrésistiblement attirantes. J’invitai mon cher et tendre à reprendre ses esprits pour que nous allions
dîner.

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Ils prirent la route. Isabelle se demandait, où Victor pouvait-il bien m’emmener ? Elle voyait les
panneaux défiler et la direction que Victor avait prise la laissait faire des suppositions sur la destination.
Elle imaginait qu’ils allaient se retrouver dans un havre de paix au milieu de la verdure, en pleine
nature…

Victor tourna au milieu d’une longue ligne droite sur un chemin bordé de cyprès. Rien ne laissait
entrevoir le lieu, quand nous arrivâmes devant une magnifique bâtisse en pierre, Victor se gara et se
précipita pour m’ouvrir la portière de la voiture.

- Nous voilà arrivé très chère.

- Mais cet endroit est somptueux mon chéri, je sens que nous allons passer un excellent séjour.

Après les formalités d’usage, Victor et Isabelle arrivèrent dans la chambre, elle était immense, avec un lit
qui l’était tout autant et une épaisse moquette recouvrait le sol. Dans la salle de bain une baignoire et
une douche à l'Italienne cloisonnée par une grande vitre transparente.

- Préparons-nous pour le dîner, j’ai réservé une table.

Isabelle sort la robe qu’elle avait prévue pour l’occasion, elle la posa sur le lit et fila sous la douche. J’en
étais sorti depuis quelques minutes et pendant que je me préparais, je contemplais Isabelle derrière la
vitre.

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Je ne pus me retenir de mettre sa culotte sous mon nez, en gardant bien soin de ne pas laisser deviner
ce qu’il s’y trouvait aux autres couples qui étaient autour de nous. Bien que tout propre elle était déjà
légèrement humide, une odeur délicate de sa mouille se dégageait, cela eut pour effet de faire frémir
mon gland et je ressentis dans mes bourses de brèves palpitations, j’en avais l’eau à la bouche.
Le moment tant attendu de retrouver notre chambre était arrivé, nous prîmes l’ascenseur. J’attrape
sauvagement Isabelle par la taille pour la coller à moi.

- Alors petite coquine, tu aimes me surprendre.

- J’espère que tu as apprécié.

- A ton avis ? Alors comme ça tu aimes être la chatte à l’air mademoiselle ? Ce n’est pas très bien, je vais
devoir vous punir !

- Oh pardon monsieur je ne recommencerai plus ! J’espère que vous n’allez pas être trop sévère avec
moi .

- Je ne sais pas, je n’ai pas encore décidé de l’intensité de la punition.

Nous rentrons dans la chambre, Victor pris place sur le fauteuil, il avait laissé uniquement les lumières
des tables de chevet et du bureau. Il me fit signe de venir sur ses genoux, je m’exécutais ne voulant pas
encore plus mettre en colère mon maître.

Je me mis sur le côté du fauteuil puis me pencha pour m’installer sur ses genoux, ma croupe était là
devant lui, offerte à ses supplices. Il remonta ma robe au niveau de ma taille, dépourvu de culotte, mon
porte-jarretelles noir laissait mes fesses à nu. Avec ses mains viriles, les manches de sa chemise
retroussées, de la main droite il commença à me les caresser et de l’autre à m’empoigner les cheveux
qu’il avait pris soin de nouer.

Puis une première fessée se fit sentir, elle arracha un léger cri de ma bouche, puis une deuxième. Je
sentais les picotements sur mes fesses, sans répit il continua encore 4 ou 5 fois sur chacune, j’étais
partagé entre douleur et excitation, car il n’y était pas allé de main morte le salaud.

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Arriver dans la salle du restaurant, je sens quelques regards se diriger sur moi, mon cul ne laissait pas
indifférent, je ne boudais pas mon plaisir. Victor quant à lui n’était pas mal non plus, il portait
magnifiquement sa chemise blanche sur son pantalon à pince bleue qui lui moulait les fesses. Sa
chemise était ouverte sur son torse, des effluves de son parfum s’échappaient pour arriver jusqu’à moi.
Tel un filtre d’amour, je me sentais irrésistiblement attiré par Victor, envie de m’abandonner à lui, j’étais
tout émoustillée quand il le portait et il le savait.
Pendant le dîner nos mains se caressaient sur la table et nos regards nous pénétraient l’un l’autre. Sous
la table j’avais quitté une chaussure pour venir avec mon pied caresser l’entrecuisse de Victor, je sentais
qu’il n’était pas insensible. Dans son pantalon, son sexe commençait à se gonfler, sous mes orteils je
pouvais sentir le bout de sa verge, et dans ses yeux je voyais qu’il était très réceptif. Le dîner se déroulait
parfaitement, les plats défilaient, nos discussions passionnées sur divers sujets étaient parsemées par
des fous rires.

Isabelle au moment du dessert me dit « Victor j’ai une petite surprise pour toi ». Je la vis se dandiner sur
son fauteuil, ses mains s’étaient glissées sous la table, lorsque l’une d’elles réapparut poing fermé. Elle
m’ordonna de tendre ma main, je m’exécutai sans attendre et elle y glissa sa culotte. Surpris et un peu
gêné je referme ma main immédiatement. Je n’en revenais pas ! Elle avait son intimité à l’air, là sous la
table, je mourrais d’envie de me glisser sous la nappe pour aller contempler ce joyau et y glisser ma
langue, mais malheureusement l’endroit n’y était pas propice.

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Il m’ordonna de me mettre debout, la robe toute ouverte tomba naturellement au sol, d’une main il ôtât
les agrafes de mon soutien-gorge qui glissa le long de mes bras pour rejoindre ma robe. Ses doigts repris
en moi un rythme plus soutenu, il savait bien que j’aimais ça. Je mis une jambe sur un accoudoir et là de
plus belle il me doigtait sans relâche, nous savions ce qui allait arriver…

Sans crier gare, un jet de cyprine sorti de mon urètre, puis un deuxième, une flaque de mon jus
recouvrait la moquette maintenant. Je criais de plaisir, ça l’excitait terriblement de me faire gicler ainsi,
il savourait son plaisir en me fixant droit dans les yeux. J’étais toute à lui, ma chatte grande ouverte à ses
doigts, le liquide chaud coulait le long de mes cuisses. N’en pouvant plus, je le suppliai d’arrêter, mes
jambes n’arrivaient plus à me porter, je manquais d’oxygène, des vagues de plaisirs me faisaient
chavirer. Je m’écroule sur le lit, toute étourdi.

Le temps qu'Isabelle retrouve son souffle et ses esprits. Je retirais mes vêtements. Une fois nu je la
rejoins sur le lit, je la retourne sur le ventre et me mis sur elle, ma queue était bien gonflée et toute
raide, prête à l’explorer. Mon gland glissait sur ses lèvres pour le mouiller. Je sentais ses lèvres s’écarter
au passage de ma queue, je tenais une de ses fesses dans ma main et l’empoignais.

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- Alors petite coquine, j’espère que vous avez compris la leçon.

- Oh maitre, je ne suis pas sûre d’avoir été punis assez pour ce que j’ai fait.

Isabelle me surprit, elle semblait aimer ce jeu plus que ce que je n’aurais cru.

Sans me faire prier, je lui tire la tête en arrière en empoignant encore plus fort ses cheveux, puis lui
asséna encore une dizaine de claque. Je sentais Isabelle se cambrer encore plus à chaque coup et des
gémissements sortir de sa bouche. Son petit cul était rougeoyant, et une chaleur perceptible s’en
dégageait.

- Maître Victor, je crois que j’ai compris la leçon, je ne recommencerai plus.

- Bien, tu as été docile et tu as mérité une récompense.

Ses mains se firent plus douces, il lâcha mes cheveux et ouvrit ma robe en faisant glisser la fermeture
dans mon dos. Il glissa sa main pour me caresser le dos, tandis que son autre main se faufilait entre mes
cuisses. Ma chatte était déjà trempée. Son pouce me pénétrait alors que ses autres doigts titillaient mon
mont de Vénus.

Humm, c’était exquis, après avoir reçu une telle correction la sensation de ses doigts sur moi et en moi
était décuplée. Je n’arrivais pas à cacher mon plaisir et je ne pus résister à l’envie de me trémousser. Ses
doigts glissaient avec une facilité déconcertante, je sentais des flots de liquide se déverser dans mon
vagin et mon entrecuisses se tremper de ma mouille. J’étais à deux doigts de jouir, au sens propre
comme au figuré.

[26/04 à 18:21] +237 56954125: J’avance mon bassin et ma verge glissa en elle, je n’eus pas besoin de
lubrifier pour y pénétrer. Mes mains prenaient ses fesses pour les écarter et rentrer plus profondément,
tout doucement je faisais des vas et viens. Isabelle s’agrippait aux draps, poussant des soupirs sous
chaque coup, ma queue coulissait avec assurance dans sa chatte humide, jusqu'au fond de son vagin.

J’étais cambré tel une soumise à son maître, offrant mon intimité à ses assauts, ses mains écartaient
mes fesses pour que chaque coup me pénètre jusqu’à la garde. Putain c’était bon, je sentais mon anus
se dilater à force d’être écartelé de la sorte, sa bite me baisait sans relâche, j’avais presque envie que sa
queue glisse dans mon cul. Je ne sais pas si ma tenue y était pour quelque chose, mais cela augmentait
mes désirs et mes fantasmes les plus pervers. Je me sentais un peu salope, et j’aimais me faire prendre
de la sorte.
Je remonte mon buste pour m’offrir en levrette, espérant que cette nouvelle positon le fasse jouir, car je
commençais à être épuisé. Mais à ma surprise, c’est moi qui suis prise d’un orgasme, Victor s’activa de
plus belle. À son tour il explosa en moi, je sentais sa verge tressaillir, déversant son flot de sperme,
c’était à son tour de crier de plaisir.

[26/04 à 18:21] +237 56954125: Épuisés tous les deux par cet instant torride, nous nous sommes glissés
sous les draps. L’un contre l’autre, yeux dans les yeux, un léger sourire de satisfaction sur les lèvres.
Avant de nous endormir, il me glissa dans l’oreille que j’étais une soumise très obéissante.

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