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REPUBLIQUE DU NIGER
REPUBLIQUE DU NIGER
XXXXXXXXXXXXX
TA : Tahoua
Dédicaces
Je dédie ce travail à toute ma famille :
Remerciements
Louange à Allah qui par sa grâce infinie et sa volonté nous a permis d’aboutir à ce travail.
Tout d’abord, je tiens à remercier toute l’équipe de la SNTC pour leur accueil et leur
collaboration.
Aussi, mes remerciements vont à l’endroit de Mr ZAKARIA Halidou Abdou Salam, mon
tuteur pédagogique pour le suivi, ses conseils et explications.
Merci également à Issoufou Abdou et Moussa, pour m’avoir accueilli dans leurs équipes,
confié des tâches, fait confiance, encouragé.
Je remercie aussi tout le corps enseignant de l'IUT de Zinder pour la rigueur dans le
travail, l'attention à notre égard et surtout la patience qu'ils ont montrés tout au long de ces
deux ans de formation ;
Merci à tous mes amis et camarades de classe pour leurs apports et leur soutien moral.
Résumé
Pour l'obtention du diplôme Universitaire de Technologie (DUT), un stage de deux mois est
obligatoire. C'est en ce sens que nous avons effectué un stage avec comme thème «la mise en
œuvre de la techniques de forage : le rotary directe» à la société SNTC. L'objectif du choix du
thème est d’étudier la méthode rotary au forage d'eau.
Abstract
To obtain a University degree of Technology (DUT), a two-month internship is mandatory. It
is in this sense that we have completed an internship with the theme "Implementation of
drilling techniques: direct rotary" on NMP society. The aim of the choice of the theme is to
study the rotary method of drilling water.
The methodology adopted was first to the consultation documents made available followed by
searching the internet; the use of results obtained in practical field operations and interviews
with people on the well site.
Keywords: rotary, drilling, SNTC, aquifer
INTRODUCTION GENERALE
Objectif général :
Objectifs spécifiques :
Système rotary : dispositif de forage par lequel une tige carrée fixée à une table de rotation
transmet le mouvement rotatif aux tiges grâce à des puissants moteurs.
Boue de forage : c’est un mélange d’eau, d’argiles et de produits chimiques utilisé pour
principalement remonter les déblais présents en profondeur.
Cuttings : débris des roches broyés et remontés en surface par le fluide de forage.
Introduction
Dans le présent chapitre, il sera présenté la direction régionale de l'hydraulique et de
l'assainissement (DRH/A), notamment son organisation et ses attributions, la présentation du
projet ainsi qu’un aperçu de la zone d’étude et de l’entreprise d’exécution des travaux.
SECRETARIAT
DRH/A ADJOINT
Assurer l’implantation des ouvrages à réaliser en liaison avec toutes les parties opérant
dans la région ;
Elaborer, suivre et assurer le contrôle des fiches techniques des projets et programmes
d’Hydraulique de la région ;
Etudier et préparer les dossiers techniques d’appel d’offres et les marchés relatifs aux
études de mise en valeur et d’exploitation des ressources en eau, et aux travaux de
réalisation d’infrastructures hydrauliques ;
Organiser l’utilisation du personnel cadre, auxiliaire et de l’assistance technique de la
Direction ;
I.5.1 Le climat
La zone connait un climat semi-désertique, de type sahélien. Les hauteurs annuelles
moyennes des précipitations sont de 534,6 et 401,3 mm respectivement à Birni N’Konni et
Tahoua. Nous distinguons ainsi trois (3) types de saisons bien distinctes :
Aquifères du quaternaire : il s’agit en général des nappes des creux dunaires assez
régulièrement reparties ou des nappes des formations de piémont en avant des reliefs
Crétacés de faible extension et épaisseur, parfois pérennes et qui ont été les seules à
être exploitées avant la création des points d’eau modernes ;
Aquifère du paléocène : l’aquifère du paléocène n’existe que dans la région de
Tahoua. Il est contenu dans une couche de calcaire d’origine marine d’une quarantaine
de mètres d’épaisseur, intercalée entre deux couches imperméables de schistes
papyracés. Les caractéristiques hydrogéologiques de cet aquifère sont donc très
défavorables ; de ce fait, les quelques forages qui ont tenté de le capter ont fourni un
débit dérisoire de quelques centaines de litres par heure avec des rabattements de
plusieurs dizaines de mètres.
Aquifères contenues dans les séries crétacé Supérieur : cet aquifère captif d’assez
grande extension a été reconnu dans les calcaires blancs du turonien. Ses paramètres
hydrogéologiques sont très mal connus, mais il semble que l’aquifère fournit au moins
un débit de plusieurs mètres cube par heure, d’une eau peu chargée en sels.
Aquifère du continental intercalaire/hamadien : il renferme une nappe continue
essentiellement dans la série des grès de Tégama. La nappe est présente dans toute la
région de Tahoua.
Conclusion
La SNTC, société intervenant dans le domaine des travaux civils et surtout des forages a
toujours été à la hauteur des attentes placées en elle. Elle a réalisée plus de cinquante forages
d’eau (voir annexe) et est dotée de moyens matériels modernes et surtout d’un personnel
qualifié dans tous les domaines dans lesquelles elle intervient.
Introduction
Plusieurs techniques de forages ont été développées en fonction du type d’ouvrage recherché
et du contexte géologique. Nous retiendrons ici trois (3) techniques courante de forage d’eau,
le forage au battage, le forage Rotary et le forage par percussion Marteau Fond de Trou
(MFT).
II.1.1 Principe
Le battage se produit par le mouvement alternatif d’un balancier actionné par un arbre à came
(ou bien un treuil : cylindre horizontal). Après certain avancement, on tire le trépan et on
descend une curette (soupape) pour extraire les déblais (éléments broyés : cuttings). Pour
avoir un bon rendement, on travail toujours en milieu humide en ajoutant de l’eau au fond de
trou.
II.1.2.1 Avantages
Facilité de mise en œuvre ;
pas de boue de forage et une récupération aisée d’échantillons ;
nécessite moins d’eau (40 à 50 l/h) et de n’importe quelle qualité ;
la détection de la nappe même à faible pression est facile : la venue de l’eau à basse
pression se manifeste directement dans le forage sans être masquée par la boue.
II.1.2.2 Inconvénients
le forage s’effectue en discontinue (forage puis curage de cuttings et ainsi de suite)
forage lent et absence de contrôle de la rectitude.
II.2.1 Principe
Le rotary est une méthode par rotation et broyage. Les déblais sont entraînés vers la surface
par la circulation d’un fluide de forage, en général de la boue de forage, dans l’espace
annulaire entre le terrain et le train de tiges. L’avancement de l’outil s’effectue par abrasion et
broyage (deux effets) du terrain sans choc, mais uniquement par translation et rotation (deux
mouvements). Le mouvement de translation est fourni principalement par le poids des tiges au
dessus de l’outil. La circulation d’un fluide permet de remonter les cuttings à la surface. La
boue est injectée à l’intérieur des tiges par une tête d’injection à l’aide d’une pompe à boue, et
remonte dans l’espace annulaire en mouvement ascensionnel, en circuit fermé sans
interruption.
II.2.2.1 Avantages
Les forages de grands diamètres sont exécutés rapidement et économiquement ;
facilité de mise en place des équipements de forage ;
bons rendements dans les terrains tendres.
II.2.2.2 Inconvénients
Nécessite beaucoup d’eau ;
nécessite un grand investissement (matériels très importants).
II.3.1 Principe
Le principe repose sur un taillant à boutons en carbure de tungstène, fixé directement sur un
marteau pneumatique, est mis en rotation et percussion pour casser et broyer la roche du
terrain. Le marteau fonctionne comme un marteau piqueur, à l’air comprimé à haute pression
(10 à 25 bars) qui est délivré par un compresseur, et permettant de remonter les cuttings. Cette
technique est surtout utilisée dans les formations dures car elle permet une vitesse de
perforation plus élevée que celles obtenues avec les autres techniques.
II.3.2.1 Avantages
Technique très intéressante dans les zones où l’eau est très rare ;
mise en œuvre rapide et simple ;
permet de détecter la présence d’un aquifère lors du forage.
II.3.2.2 Inconvénients
Au démarrage d’un forage, l’air de soufflage peut éroder le sol autour du trou foré et
mettre en danger la stabilité de la machine ;
en cours de forage, la remontée des déblais érode les parois du trou, ce qui peut
entraîner des effondrements susceptibles de bloquer le train de tige ;
le débit des pompes (à boue, à air) : la vitesse de remontée des cuttings doit se situer
autour de 60 m/min. au minimum. Le choix de la puissance de la pompe et de son
moteur sera conditionné par le volume total de boue à mettre en ouvre pour la plus
grande profondeur du forage, en tenant compte des pertes de charge, de la viscosité de
la boue et de dimensions des tiges.
le poids sur l’outil : l’avancement s’accroîtra en fonction du poids sur l’outil (qui
augmente en s’avançant par le montage au fur et à mesure de tiges), mais on est limité
dans cette voie par l’usure rapide des lames et des dents et surtout par détérioration
rapide des roulements des outils à molettes. Le contrôle du poids sur l’outil s’opère par
le dynamomètre qui mesure la tension du brin (file) mort du câble, il donne le poids de
tout ce qui est suspendu au crochet.
la vitesse de rotation : la plus part des appareils rotary sont munis d’un indicateur
donnant la vitesse de rotation de la table (table de rotation). Dans les terrains durs, la
vitesse de rotation sera faible ; elle sera plus élevée lorsque les terrains seront tendres.
Cette vitesse qui se calcule en fonction de la vitesse des moteurs et le rapport des
transmissions, devra être vérifiée par un appareil de contrôle.
Conclusion
Le choix d’une technique de forage se fait sur : la nature du terrain, sa teneur en eau,
l’avancement de l’outil de forage, la quantité d’eau à utiliser, l’endroit du forage…etc. Au-
delà de certaines profondeurs, le rotary à l’air comprimé est à éviter car il est difficile à
maîtriser (mauvaise remontée du cuttings). Dans les terrains sédimentaires peu consolidés, le
rotary à la boue est le plus adéquat.
Introduction
La préparation du matériel ainsi que leur bonne répartition sur le terrain de forage est une
étape importante sur tout chantier de forage car au delà de l’aspect organisationnel, cette
préparation permet d’assurer une fluidité des opérations ce qui n’est pas sans conséquence sur
la durée du forage permettant ainsi de le réaliser dans le temps imparti par le cahier des
charges
- l’installation de toutes les unités de pompage, de pression hydraulique et des moteurs sur un
plan horizontal,
Il est précisé dans le marché que tous les produits utilisés seront d’une composition propre à
ne pas colmater les couches productives et devront être biodégradables. Toutefois, dans le cas
de perte de circulation de boue dans les zones stériles de surface, les boues bentoniques
pourraient être utilisées. Cependant, la boue à base d’huile est un fluide rarement utilisé car
plus cher que celle à base d’eau. Presque tous les puis forés par la méthode rotary dans la
région utilisent comme fluide une boue à base d’eau.
Le principe est le suivant : à partir du bassin de boue, par l’intermédiaire du flexible, la pompe
aspire la boue et refoule celle-ci dans la tête d’injection. De là, la boue descend à l’intérieur
du train de tiges, arrive à l’outil qu’elle lubrifie et remonte à travers l’espace annulaire en
entrainant les déblais de forage en surface.
Transport des déblais en surface : la circulation évacue les éclats de roches, les
particules de sable ou d’argile en dehors du puits par le mouvement de la boue dans
l’espace annulaire (l’espace compris entre la ligne de sonde et la paroi du trou) ;
refroidir le trépan tout en le lubrifiant ; la boue de forage vise à faciliter le forage de la
roche, en lubrifiant et refroidissant le trépan car un outil mal refroidi s’échauffera très
vite et s’usera très rapidement ;
déposer un gâteau d’argile, appelé cake sur les parois du puits, ce qui contribue à
éviter les éboulements ;
Prévention des venues de fluides de la formation : les pressions de l’eau contenue dans
les formations pénétrées par l’outil peuvent être supérieures à la pression
hydrostatique de la boue de forage. Si cela se produit, le fluide la formation pénétrera
librement dans le puits, et il faudra injecter une boue plus lourde pour augmenter la
pression au fond du trou, et par conséquent dépasser la pression du trou.
Conclusion
De la qualité de la boue dépend la qualité du forage. Négliger les paramètres liés au sol où
doit avoir lieu le forage se traduit bien souvent par une surconsommation de boue, un
allongement du temps de forage et une dégradation des matériels.
Introduction
La mise en place de l'équipement, des tubes et du captage (crépine et gravier filtre) est une
étape essentielle de la réalisation du forage d’eau. Le plan de captage et la position des
crépines influera de façon très importante sur le débit d’exploitation de l’ouvrage.
IV.2.2 Echantillonnage
Le forage à la boue permet de fournir à la surface des échantillons broyés ou non du terrain
rencontré par l’outil au fond du trou. S’il s’agit de forage au rotary, ces échantillons
contiennent une forte portion de la boue de circulation. Pour le forage au battage, il procure
un échantillonnage nettement plus représentatif de la formation.
La nature géologique de ces débris, leur taille, leur forme, leur couleur, leur porosité,leur
contenu en fluides (eau, hydrocarbures, autres gaz) fournissent des informations précieuses
sur les roches forées. Les échantillons prélevés doivent être représentatifs et suffisants afin de
permettre une meilleure analyse.
IV.2.3 Diagraphie
Une diagraphie (well log) consiste à mesurer, à l'aide de différentes sondes, les
caractéristiques des roches traversées lors d'un forage. D'une manière générale, on appelle
diagraphie tout enregistrement d'une caractéristique d'une formation géologique traversée par
un sondage en fonction de la profondeur. Une diagraphie instantanée enregistre les
caractéristiques de la formation pendant le forage (logging while drilling soit LWD) tandis
qu'une diagraphie différée détermine les caractéristiques de la formation après le forage.
Les crépines sont les tubages possédant des espaces laissant passer le fluide de l'encaissant
exempte de particules. Il existe une grande variété de matériaux et de modèles de crépines. Le
choix du degré d’ouverture de la crépine dépend de la granulométrie du captage. Le massif
filtrant permet d’utiliser des crépines à perforations plus larges et d’augmenter ainsi le débit
du forage. Le choix de la longueur d’une crépine dépend du niveau de la nappe, de
l’épaisseur de la nappe à exploiter, de la nature et la structure des couches aquifères formant
la nappe. La crépine doit être placée dans une position où les caractéristiques hydrauliques
sont les meilleures. Pour choisir cette position, on doit se baser sur : les diagraphies
instantanées, les pertes de boue, l’analyse des échantillons.
IV.3.5 Cimentation
Le rôle de cimentation est de protéger le forage contre les pollutions extérieures. Elle est
réalisée avec du laitier de ciment. L’opération consiste à remplir avec un mélange d’eau et de
ciment (laitier de ciment) l’espace annulaire au dessus du massif filtrant jusqu’à la surface de
sol. Le dosage de laitier de ciment est d’environ 50 l d’eau pour 100 kg de ciment.
IV.4 le développement
Le développement d’un forage est une étape très importante qui permet d'éliminer la plupart
des particules fines du terrain et du gravier filtre qui pourraient pénétrer dans le forage ainsi
que le reste du cake de boue et d'arranger le terrain autour de la crépine afin d'en augmenter la
perméabilité. Cette opération permet d'augmenter de façon significative le débit du forage
initialement estimé. La nappe est en effet progressivement mise en production, l'aquifère est
libéré de ses fines particules, la perméabilité et le débit instantané augmentent.
Il existe plusieurs moyens qui s’offrent à nous pour opérer un développement, notons:
le surpompage
le développement pneumatique
Le développement pneumatique est le plus efficace et le plus répandu. L’avantage est que le
matériel de pompage ne subit pas de détérioration (pompage de sable). Il s’agit de faire subir
au captage des contraintes assez fortes dans toutes les directions, pression et dépression en
introduisant d’important volumes d’air et de mettre en production l’ouvrage par ‘’air lift’’.
L’opération consiste à alterner les phases de pompage à l’air lift et les phases de soufflage
direct d’air au niveau des crépines.
Il existe plusieurs méthodes de pompage d’essai, et parmi ces pompages d’essais, le pompage
par palier.
Concrètement un essai par paliers permet d'évaluer la performance d'un ouvrage de captage. Il
est mené suivant plusieurs débits croissants (habituellement quatre), pendant de très courtes
périodes (appelées les paliers). On mesure le rabattement à la fin de chaque palier ainsi que le
débit. Chaque palier est suivi par un arrêt d’une durée permettant la remontée du niveau
d’eau. Par expériences, trois paliers avec débits croissants, dont chacun de deux heures sont
suffisants.
L’intérêt du pompage par palier est de déterminer les caractéristiques du forage comme le
débit critique, le débit d’exploitation et le rabattement maximal autorisé qui permet de
connaitre la profondeur de l’installation de la pompe.
Source : OMS
Conclusion
Ainsi le développement est la dernière étape dans la réalisation d’un trou de forage. Elle
implique l’élimination des matières plus fines dans l’aquifère, le nettoyage et l’ouverture des
trous les espaces de pores à travers lesquels l’eau peut passer dans le trou de forage.
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES
Date de Accept
Nom du projet Valeur totale des Pério % des Autorité Titulai
démarrage et ation
/type de travaux travaux sous sa de du travaux contractante et re
de fin du finale
responsabilité (€ Contr réalisés lieu princi
projet émise
ou FCFA) at pal
- Oui
(mois/année) (P)
- Pas
encore
(Contra
ts en
cours)
– Non
A) National
Année 2009
Total 43.600.000
Année 2010
Total 34.000.000
Année 2011
100%
Réalisation de 3 forages 38.062.985 2010 14/01/2011 Ministère du P Termin
d’Hydraulique villageoise au Développement é
dans les villages de Birni Lafa, 25/02/2011 Agricole
Soffo, et Tilwey de la
Commune rurale de
Hamdalaye du Département
de Kollo (Région de Tillabéry)
100%
Réalisation de 12 forages de 114.212.352 2011 02/04/11 au ONG P Termin
profondeur moyenne de 80 04/06/11 EDUCATION- é
ml dont un est équipé d’une PAUVRETE ET
électropompe et 11 de SANTE
pompes à à motricité
humaine de type Vergnet
avec leurs superstructures
dans les Départements de
Keita et Illélla (Région de
Tahoua)
Total 168.734.237
Année 2012
11/03/12 100%
Réalisation d’un forage 143.604.350 2012 projet Résilience P Termin
profond de 400 ml dans la au Plus (Région de é
Commune de Garahanga Tahoua)
07/05/12
dans le cadre du projet
Résilience Plus (Région de
Tahoua)
2012 100%
Réalisation de deux forages 19.900.000 DDH/KOLLO P Termin
pour le comte de la société é
Nigérienne de Concassage
(SONICO) sur son site à
Bougoum dans la de
Bitinkodji Commune du
Département de Kollo
(Région de de Tillabéry)
Total 254.649.112
Année 2013
2013 100%
Contrat n®1 /CR Maradi 174.157.500 02/07/2013 CR/MARADI P Termin
/2013 : Réalisation de de 7 é
Au
forages dont trois (03)
équipés de PMH et 14/09/2013
optimisation de huit (8)
autres forages dans les
Départements de Dakoro et
Guidan Roumdji (Profondeur
(100 à 250) ml (Région de
Maradi)
2013 100%
Marché : 006/ADM 66.522.000 12/11/2013 Projet: 006/ADM P Termin
NECS/FY13 pour la réalisation NECS/FY13/ é
Au
de sept forages dans les
Projet NECS/Plan
villages de Kangouwa 25/12/2014
Niger
Lamame, Saléwa, Foura
Guirké Zabouré Guidan Dagna
et Dan Toudou Galadima) et
raccordement réseau de
MiniAep de Boudé
(Madaoua) (Région de
Tahoua)
2013 100%
Réalisation d’une Mini -Aep 11.768.300 17/10/2013 PHRASEA Maradi P Termin
de Kalgo Ardjika dans la é
Au
Commune d’Ajeckpira dans le
Département de Dakoro 08/02/2014
(Région de Maradi)
100%
Travaux de réalisation d’un 209.689.900 2013 Non démarré Gouvernorat de P Termin
forage de 425 m à Ibécéten Tahoua é
dans le Département
d’ABALAK (Région de Tahoua)
Nom du projet Valeur totale Pério Date de % des Autorité Titulaire Acceptation
/type de travaux des travaux de du démarrage travaux contractant principal finale émise
sous sa Contr et de fin réalisés e et lieu (P) ?
responsabilité at du projet - Oui
(€ ou FCFA)
(mois/ann - Pas encore
ée) (Contrats en
cours)
– Non
B) International