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Année Académique 2019-2020 Enseignant : Gahe-Gohoun

UE METHODOLOGIE LICENCE 2 NOM : GONDO BIEUDALBASS .M

Ecue LECTURE PHILOSOPHIQUE

Le texte soumit à notre étude est extrait de Philosophie et Démocratie


préface écrit par roger pol droit, ed livre de poche Unesco du poète et homme
politique espagnol Frederico Mayor intitulé rapport philosophie a la
démocratie. Dans ce texte l’auteur tente de répondre au problème de la
relation de la philosophie a la démocratie. Ainsi pour l’auteur la philosophie
doit se démarquer de la démocratie. Pour mieux comprendre ce texte nous
l’avons scindé en trois mouvements c’est-à-dire de la ligne 1a 5 et de la ligne 5
à 13 et le dernier mouvement de la ligne 13 à 17.

Parlant de l’impact de la philosophie a la démocratie, l’auteur commence


dans ce premier temps, et surtout à la ligne 1 à montrer l’impact de la
philosophie dans l’évolution démocratique. Pour procéder il commence par
définir la philosophie comme la liberté de pensée et de parole ligne 1 et la
démocratie comme étant l’égalité et le pluralisme(ligne2) de ce premier
constat il est important de souligné qu’ils ont le même but celui de la liberté de
l’homme et la recherche du bonheur, il est donc évident que philosophie et
démocratie convergent sur la même ligne ou le même front. En effet si la
philosophie a pour mission d’enseigner le respect de des principes de l’hommes
c’est-à-dire libre de se prononcer d’avoir des envies et de faire ce que sa raison
demande, elle nous enseigne aussi la sagesse et la démocratie a pour but
principal l’égalité et garantie la vie en société. Ainsi nous pouvons mentionner
plusieurs exemples dont celui de Athènes au Ve et de la France VIIe avant jésus
ou les philosophes ont participée à l’instauration de la démocratie comme le
recommande Platon dans la République livre VII il disait il faut que les
philosophes soient rois pourque la cité se porte bien. Pour Platon seul les
philosophes doivent diriger la cité car ils procèdent la sagesse et la maitrise de
la politique
Dans ce deuxième mouvement de la (ligne 5 ligne 13), l’auteur rejet la thèse
selon laquelle les philosophes sont de bon démocrate. En effet pour lui la
philosophie étant une discipline comme les autres pour vocation première
d’enseigner la liberté de pensée. Pour l’auteur la philosophie se met en cause
continument elle parie sur la fécondité du doute alors que la démocratie
n’hésite pas à souligner ses propres faiblesse ligne 12-13. Elle apprend à
l’homme l’esprit critique, de savoir juger de lui-même les fais pour l’auteur si la
philosophie regorge ses qualités alors il serait absurde ou inacceptable
d’affirmer que tout philosophe est un bon démocrate, puisqu’il possède la
raison et l’esprit philosophique. Il serait inévident de suivre la volonté des
autres il juge de lui-même ce qui est bon pour lui ainsi un philosophe pour
opter pour un régime anarchique et monocratie pas forcement être un bon
démocrate
Enfin l’auteur termine dans ce troisième mouvement à établir un lien entre
philosophie et démocratie. Autrement dire pour l’auteur le lien qui existe entre
la philosophie et la démocratie ne se trouve pas dans le jeu des opinions et de
la multiplicité des paroles dissonantes. (Ligne14 à 15) en d’autres termes pour
l’auteur la démocratie et la philosophie fonctionnent de la même manière car
pour lui elle permet les critiques et permet aux hommes d’être libre et d’exercé
les boulots de leur choix ainsi de juger d’eux même de ce qui concerne leurs
vies pour lui elles partagent ses critères.

Pour conclu nous pouvons retenir que ce texte a été scindé en trois dans
un premier temps que l’auteur a essayé de montrer l’apport de la philosophie
dans la démocratie, ensuite il a rejeté la thèse d’admettre que tout philosophes
est bon démocrate et il finit par montrer le lien entre ces deux disciplines.

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