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Présentation de l’émission
Homme d’État sénégalais, pur produit de l’école et de l’université françaises, le Secrétaire général de la
Francophonie se présente volontiers comme « sahélien, sénégalais, wolof et négro-africain ». Homme
de rassemblement et de dialogue, Abdou Diouf, incarne une certaine idée du métissage culturel et
possède un art consommé de la diplomatie...
Fiche réalisée par Robert Angéniol, Émission du mois – Fiche nº 126: Abdou Diouf, un destin francophone - 1/21
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Découpage de l’émission : principales séquences utilisables en classe
Les indications de temps sont approximatives et destinées à faciliter la recherche.
1. (00’00 - 01’02) Générique sur des images d’une promenade dans Paris.
2. (01’03 – 02’30) Abdou Diouf tel qu’il se définit.
3. (02’31 – 04’55) Son enfance au Sénégal.
4. (04’56 – 08’46) Ses souvenirs de l’ENA.
5. (08’47 – 10’36) L’indépendance du Sénégal et son retour au pays.
6. (10’37 –13’48) Son épouse et sa famille.
7. (13’49 - 20’26) Ses débuts dans la fonction publique sous la présidence de Senghor.
8. (20’27 - 22’20) Son accession au pouvoir.
9. (22’21 – 27’40) Bilan global de sa présidence.
10. (27’41 – 31’46) Abdou Diouf et les relations Nord-Sud.
11. (31’47 - 34’44) Ses rapports avec l’opposition.
12. (34’45 – 37’45) Sa nomination au secrétariat général de la Francophonie.
13. (37’46 – 41’09) Son amitié avec Jacques Chirac.
14. (41’10 - 44’17) Le 40e anniversaire de l’OIF.
15. (44’18 - 49’40) Forces et ambitions de la langue française pour Abdou Diouf.
16. (49’41 - 51’20) Le message de l’homme d’expérience.
15. (51’21 – 52’00) Générique de fin.
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Publics
FLE (Français langue étrangère) : B1 (intermédiaire), B2 (avancé)
FLS (Français langue seconde)
FLM (Français langue maternelle) : L (lycée)
Objectifs
Objectifs communicatifs :
• Comprendre des commentaires et des interviews.
• Décrire une personnalité.
• Donner son point de vue sur un personnage.
• Parler de géopolitique et émettre des hypothèses.
• Participer à un débat.
• Rédiger une brève biographie.
• Reformuler une pensée.
Notes culturelles
Abdou Diouf : Pour mieux connaître le parcours et la carrière politique d’Abdou Diouf, vous pouvez
consulter cette page : http://fr.wikipedia.org/wiki/Abdou_Diouf
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CAVILAM, Vichy
• Promouvoir la langue française et la diversité culturelle et linguistique
• Promouvoir la paix, la démocratie et les droits de l’Homme
• Appuyer l’éducation, la formation, l’enseignement supérieur et la recherche
• Développer la coopération au service du développement durable.
Une attention particulière est portée aux jeunes et aux femmes ainsi qu’à l’accès aux technologies de
l’information et de la communication dans l’ensemble des actions de l’OIF.
Depuis 2003, le Secrétaire général de la Francophonie est Abdou Diouf, ancien Président de la
République du Sénégal. (D’après http://www.francophonie.org)
L’ENA : L'École nationale d'administration (ENA) est une grande école française créée en 1945 pour
« démocratiser » l'accès à la haute fonction publique de l'État. Elle est chargée aujourd'hui d'assurer la
sélection et la formation initiale et continue de hauts fonctionnaires français et internationaux, offrant
à ses anciens élèves un accès aux postes de direction et d'encadrement de la fonction publique
française.
L'ENA accueille chaque année à Strasbourg 80 à 100 élèves en formation initiale auxquels il faut
rajouter un tiers d'étrangers. À ces promotions s'ajoutent des sessions courtes de formation continue à
Paris. Les anciens élèves de l'école sont appelés « énarques ».
Au cours de la Ve République, les énarques ont joué un rôle central dans la vie politique française
(deux présidents de la République, sept Premiers ministres, de nombreux ministres, etc.).
(D’après Wikipédia)
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Mise en route. Publics et niveaux :
Séquence 1 (0’00 - 1’02) FLS, L, FLE (B1, B2)
Visionner la séquence jusqu’à 0’45 et faire un arrêt sur image au moment de l’incrustation : « Abdou
Diouf, un destin francophone ».
Ensemble :
- Connaissez-vous cet homme ? Que savez-vous de lui ?
Mise en commun à l’oral.
Si les apprenants ont peu ou pas d’informations sur Abdou Diouf, distribuer la fiche apprenant.
- Faites l’activité 1.
Mise en commun à l’oral.
[1. Abdou Diouf. 2. TV5MONDE. 3. 200 millions. 4. Montreux.]
Faire un tour de table.
- Connaissez-vous un pays membre de l’Organisation internationale de la Francophonie ? Pourquoi ce
pays en fait-il partie ? Tous ses habitants sont-ils francophones ?
Mise en commun à l’oral.
Tous
Visionner la séquence avec le son.
- Faites l’activité 2.
Mise en commun à l’oral.
[« Je n’ai pas eu d’ambition politique, je fuyais la politique comme la peste. Ce que je voulais, moi, c’est être
un haut fonctionnaire, servir l’État. Quand vous pensez à moi, il faut vous dire que je suis un Sénégalais, un
humaniste, un homme enraciné dans sa négritude, mais ouvert par la francophonie à tous les souffles du
monde, un démocrate, non seulement parce que j’ai perdu les élections – ça, c’était la cerise sur le gâteau –
mais parce que, toute ma vie, j’ai été animé par ces convictions démocratiques et par la nécessité de
construire, de consolider l’état de droit dans mon pays.
C’est Senghor qui m’a tiré par le bras et qui m’a entraîné à sa suite, jusqu’à faire de moi son successeur.
Senghor a été mon maître, mon modèle, mon père spirituel. Et si je suis devenu président de la
République, c’est parce Senghor l’a voulu. »]
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Ensemble, à l’oral.
- Que pensez-vous du portrait qu’Abdou Diouf fait de lui-même ? Ce portrait vous semble-t-il
vraisemblable, sincère, bienveillant, valorisant, complaisant, etc. ? Justifiez votre point de vue.
- Abdou Diouf affirme : « Senghor a été mon maître, mon modèle, mon père spirituel. » Quelles
réflexions vous inspirent ses propos ?
B2
D’après ce portrait, quel rôle a joué la francophonie dans la vie d’Abdou Diouf ?
Si vous connaissez un peu l’homme ou son œuvre, quelles qualités ou quels défauts ajouteriez-vous à
ce portrait ?
Tous
Visionner la séquence avec le son.
- Faites l’activité 3.
Mise en commun : les mots à repérer sont écrits au tableau.
[Abdou Diouf est né à Louga, le 7 septembre 1935, d’un père saint-louisien, postier, et d’une mère
lougatoise, mais dont le père était saint-louisien. Il s’est retrouvé dans une sorte de grand métissage, ¼ de
sang wolof, ¼ de sang toucouleur, ¼ de sang peulh et ¼ de sang sérère. D’ailleurs, son patronyme est sérère.
Après son sevrage, il est envoyé chez sa grand-mère paternelle, à Saint-Louis. À 5 ans, il fréquente l’école
coranique, puis l’école primaire française à 7 ans. Sa grand-mère, qui était analphabète, tenait à ce qu’il ait
toujours de bonnes notes en français. Dans la maison familiale, toutes les partisanes de Léopold Sédar Senghor
avaient l’habitude de se réunir. Abdou Diouf a donc passé son enfance dans une atmosphère scolaire et
politicienne.
Élevé par des femmes et des hommes très croyants, il n’a commencé à douter que vers l’âge de 18-19 ans, en
classe de philo. Son professeur de philosophie était athée et les élèves l’admiraient et suivaient ce qu’il disait.
Au moment où il est entré à l’École nationale de la France d’outre-mer*, il était encore un marxiste athée.]
*L’École nationale de la France d’outre-mer deviendra l’ENA, l’École nationale d’administration.]
Ensemble.
- L’enfance d’Abdou Diouf vous semble-t-elle ordinaire ou privilégiée ? Donnez votre opinion en vous
appuyant sur son récit.
B2
- Selon vous, pourquoi Abdou Diouf insiste-t-il sur son métissage ? Doit-on y voir les prémices de sa
carrière à la tête du Sénégal puis de la Francophonie ?
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L’indépendance du Sénégal et son retour au pays. Publics et niveaux :
Séquence 5 (8’47 – 10’36) FLS, L, FLE (B1, B2)
Ensemble.
- Abdou Diouf affirme : « Nous avions un grand acquis, que nous devions à la colonisation, c’était 7 ou
8 territoires qui étaient groupés et, si nous étions devenus indépendants dans ce cadre-là, je pense
que nous aurions fait des progrès plus substantiels en 50 ans d’indépendance. Pensez à ce qu’aurait
été aujourd'hui l’Afrique si nous avions eu comme État l’AOF. L’Afrique francophone aurait pris un tout
autre visage. »
En petits groupes. Imaginez que le souhait de Léopold Sédar Senghor et d’Abdou Diouf, d’une
Fédération des États de l’Ouest africain, se soit réalisé. Qu’est-ce qui aurait changé pour ces États ?
Pour l’Afrique francophone ? Pour l’Afrique dans son ensemble ?
Mise en commun à l’oral après un temps de préparation. Chaque groupe fait part de ses réflexions, la
classe les commente.
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Ses débuts dans la fonction publique sous la présidence de Publics et niveaux :
Senghor. FLS, L, FLE (B1, B2)
Séquence 7 (13’49 – 20’26)
- À deux ou trois. Rédigez un petit article informatif expliquant le parcours politique d’Abdou Diouf, de
son entrée dans la fonction publique jusqu’à sa nomination au poste de Premier ministre.
Cette production écrite fera l’objet d’une correction personnalisée et d’une séance d’autocorrection.
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Son accession au pouvoir. Publics et niveaux :
Séquence 8 (20’27 – 22’20) FLS, L, FLE (B1, B2)
Tous
Visionner la séquence avec le son.
- Faites l’activité 6.
Mise en commun à l’oral. Chaque binôme argumente pour défendre son choix.
[
1. Léopold Sédar Senghor souhaitait transmettre le pouvoir à son Premier ministre. Dans ce but, il a
premièrement modifié l’article 25 de la Constitution du Sénégal. Cet article prévoit qu’en cas de démission du
Président, celui-ci puisse choisir le successeur qui terminera le mandat. Senghor s’est ensuite fait réélire à la
Présidence en 1978 et, pour laisser la place à son Premier ministre, a remis sa démission, en novembre 1981, au
premier président de la Cour suprême, à l’issue d’un discours solennel. Dès le lendemain, Abdou Diouf accédait
au pouvoir. (article 35 de la Constitution / le Premier ministre / le 31 décembre 1980)
2. C’est le président Senghor lui-même qui a imaginé comment il transmettrait le pouvoir. Il a d’abord modifié
un article de la Constitution qui précise qu’en cas d’empêchement définitif ou de démission, c’est le Premier
ministre qui achève le mandat du président. Il a ensuite décidé de se présenter à la Présidence pour un nouveau
mandat, en 1978, avec l’intention de démissionner en novembre 1981. Il a finalement choisi de partir plus tôt et,
le 31 décembre 1980, il a remis sa démission au premier président de la Cour suprême. Le lendemain, Abdou
Diouf prononçait son discours d’investiture.
3. En 1976, Léopold Senghor souhaitait se retirer des affaires et transmettre le pouvoir le plus tôt possible.
C’est pourquoi il a fait modifier l’article 35 de la Constitution. Désormais, en cas de décès, de démission ou
d’empêchement définitif du président de la République, le Premier ministre en fonction lui succède jusqu’à la fin
du mandat en cours. Après avoir été réélu en 1978 à la Présidence, Senghor envisage de démissionner en
décembre 1981. Finalement, c’est en décembre 1980 qu’il présente sa démission et Abdou Diouf lui succède au
1er janvier 1981. (novembre)]
B2
- Que pensez-vous de cette modification de l’article 35 de la Constitution du Sénégal ? Est-ce une
garantie de pérennité pour le régime en place ? Est-ce une manière déguisée de choisir son
successeur ? Est-ce un gage de stabilité pour l’électorat qui a choisi de mettre en place ce régime ?
Pourquoi le Premier ministre assure-t-il l’intérim jusqu’à la fin du mandat et non pas jusqu’à
l’organisation de nouvelles élections ?
Tous
Selon vous, une telle passation de pouvoir contribue-t-elle à l’élection du Premier ministre à la
Présidence, à l’issu de l’intérim ?
Que prévoit la Constitution de votre pays en cas d’empêchement définitif ou de démission du chef de
l’exécutif ?
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Sa nomination au secrétariat général de la Francophonie. Publics et niveaux :
Séquence 12 (34’45 – 37’45) FLS, L, FLE (B1, B2)
Visionner la séquence avec le son jusqu’à 35’40, lorsqu’Abdou Diouf quitte son véhicule, plusieurs fois
si nécessaire.
- Individuellement. Faites l’activité 7.
Mise en commun à l’écrit, au tableau.
[1. Je me sens apaisé, mais en même temps plein de vie.
2. Je me sens gagné par ce qu’on peut appeler la sagesse.
3. La sagesse issue de cette longue expérience que j’ai eue de la vie publique, de la vie sociale, mes réussites et
mes échecs.
4. Quand je mesure le chemin parcouru, je me dis que finalement cela n’a pas été si mal.]
Ensemble.
- Que nous apprend cette séquence sur la personnalité d’Abdou Diouf ?
- Au vu de ce document, expliquez comment se prépare en coulisse l’élection au poste de Secrétaire
général de la Francophonie.
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Le message de l’homme d’expérience. Publics et niveaux :
Séquence 16 (49’41 – 51’20) FLS, L, FLE (B1, B2)
- En petits groupes. Après avoir vu cette séquence, décrivez en quelques lignes la personnalité
d’Abdou Diouf telle que vous l’avez ressentie ?
Mise en commun à l’oral. Chaque groupe lit sa production. La classe réagit et commente.
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Pour aller plus loin. Publics et niveaux :
FLS, L, FLE (B1, B2)
- Le discours d’Abdou Diouf à la séance d'ouverture du 4e Congrès mondial contre la peine de mort,
organisé par Ensemble contre la peine de mort (ECPM), à Genève, en 2010.
http://vimeo.com/10255134
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Fiche apprenant
Mise en route.
Activité 1 :
À deux. Faites des recherches dans votre centre de ressources pour répondre à ces questions puis
cochez la bonne réponse.
2. Comment s’appelle la chaîne de télévision francophone diffusée par satellite dans le monde entier ?
□ RFI □ TV5MONDE □ FRANCOPHONIA
(D’après http://www.lexpress.to/archives/1273/)
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Abdou Diouf tel qu’il se définit.
Activité 2 :
À deux. Écoutez Abdou Diouf et complétez le texte à l’aide des mots proposés.
ambition / animé / bras / consolider / convictions / démocrate / droit / entraîné / enraciné / État /
fonctionnaire / francophonie / maître / nécessité / négritude / perdu / peste / président de la
République / Sénégalais / Senghor / spirituel / successeur
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Son enfance au Sénégal.
Activité 3 :
Individuellement. Complétez cette reformulation des propos d’Abdou Diouf avec ses propres mots.
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L’indépendance du Sénégal et son retour au pays.
Activité 4 :
Affirmations V F
1. L’AOF, c’était l’Afrique-Occidentale française.
2. L’AOF regroupait 7 pays colonisés.
3. L’accession à l’indépendance s’est faite pacifiquement au sein de l’AOF.
4. Senghor craignait que le démantèlement de l’AOF se fasse au profit de la France.
5. Léopold Sédar Senghor était opposé à ce que l’ex-AOF forme une fédération.
6. Le 23 août 1960, le Sénégal est devenu un régime démocratique parlementaire.
7. Léopold Sédar Senghor est devenu président et Abdou Diouf, Premier ministre.
8. Le Sénégal a fait partie de la Fédération du Mali avant d’être contraint de la quitter.
9. Abdou Diouf considère que le regroupement des États qui formaient l’AOF était
souhaitable.
10. Selon Abdou Diouf, si les États de l’ex-AOF étaient restés unis au sein d’une fédération,
leur développement aurait été meilleur.
11. Abdou Diouf est rentré au Sénégal à l’âge de 35 ans.
12. Abdou Diouf était sorti major de l’École coloniale.
13. À son retour au Sénégal, il était marié à une Sénégalaise catholique rencontrée à Paris.
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Ses débuts dans la fonction publique sous la présidence de Senghor.
Activité 5 :
En petits groupes. Prenez des notes pour répondre aux questions suivantes.
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1. Comment Abdou Diouf est-il parfois surnommé et à quoi doit-il son surnom ?
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2. Quelles étaient ses ambitions quand il est entré dans la fonction publique ?
___________________________________________________________________________________
3. Quels postes a-t-il occupés à ses débuts dans la fonction publique ?
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4. Que dit-il de Senghor quand il se rend sur la tombe de l’ancien président ?
c. « Il avait _____________________________________________________________________
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6. Qu’est devenu Mamadou Dia ?
___________________________________________________________________________________
7. Quelles ont été les conséquences de cet évènement pour Abdou Diouf ?
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8. Que s’est-il passé en janvier 1964 ? Racontez l’anecdote.
___________________________________________________________________________________
9. Comment poursuit-il sa carrière politique jusqu’en 1970 ?
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10. Combien de temps a duré sa collaboration avec Senghor ?
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Son accession au pouvoir.
Activité 6 :
À deux. Choisissez la reformulation la plus fidèle au récit d’Abdou Diouf et corrigez les erreurs des
reformulations inexactes.
1. Léopold Sédar Senghor souhaitait transmettre le pouvoir à son Premier ministre. Dans ce but, il a
premièrement modifié l’article 25 de la Constitution du Sénégal. Cet article prévoit qu’en cas de
démission du Président, celui-ci puisse choisir le successeur qui terminera le mandat. Senghor s’est
ensuite fait réélire à la Présidence en 1978 et, pour laisser la place à son Premier ministre, a remis sa
démission, en novembre 1981, au premier président de la Cour suprême, à l’issue d’un discours
solennel. Dès le lendemain, Abdou Diouf accédait au pouvoir.
3. En 1976, Léopold Senghor souhaitait se retirer des affaires et transmettre le pouvoir le plus tôt
possible. C’est pourquoi il a fait modifier l’article 35 de la Constitution. Désormais, en cas de décès, de
démission ou d’empêchement définitif du président de la République, le Premier ministre en fonction
lui succède jusqu’à la fin du mandat en cours. Après avoir été réélu en 1978 à la Présidence, Senghor
envisage de démissionner en décembre 1981. Finalement, c’est en décembre 1980 qu’il présente sa
démission et Abdou Diouf lui succède au 1er janvier 1981.
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Sa nomination au secrétariat général de la Francophonie.
Activité 7 :
Individuellement. Écoutez les propos d’Abdou Diouf et reconstituez les phrases suivantes.
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Activité 8 :
À deux. Écoutez Abdou Diouf et numérotez les étapes de son accession au Secrétariat général de la
Francophonie, telles qu’elles sont présentées dans la vidéo.
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Le message de l’homme d’expérience.
Activité 9 :
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Activité 10 :
J’ai beaucoup _____________, j’ai beaucoup ___________, pendant toutes ces années où
_______________________________________________, pendant toutes ces années où
_______________________________________________.
Ce que je voudrais, c’est ______________________________________________________________ .
Ce que je voudrais, c’est que __________________________________________________________ .
Aimez-vous ce rythme binaire ? Qu’est-ce que cela apporte aux paroles prononcées ?
__________________________________________________________________________________
Retour à l’activité
Activité 11 :
Socrate : « ______________________________________________________________________
_______________________________________________________________________________ . »
Kierkegaard : « __________________________________________________________________
_______________________________________________________________________________ . »
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Activité 12 :
À deux. Choisissez l’une des deux citations et reformulez-la avec vos propres mots.
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Retour à l’activité
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