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I. Structure d’un système automatisé
du processus à commander,
des actionneurs qui agissent sur ce processus,
des capteurs permettant de mesurer son état.
une partie commande qui élabore les ordres pour les actionneurs en
fonction des informations issues des capteurs et des consignes.
Cette partie commande peut être réalisée par des circuits câblés, ou par des
dispositifs programmables (automates, calculateurs).
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Structure générale d’un système automatisé [REF]
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II. Analogie homme - machine
On distingue alors :
la partie commande assurée par le cerveau,
la partie opérative assurée par les muscles du bras.
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III. Cahier des charges d’un automatisme logique
Spécifications opérationnelles.
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Spécifications fonctionnelles : niveau1 : on décrit
l’enchaînement des étapes sans préjuger de la technologie.
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Spécifications technologiques : niveau 2 :
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Spécifications opérationnelles :
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IV.2. Présentation
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IV.2.1 Les liaisons
Une LIAISON est un arc orienté (qui ne peut être parcouru que dans
un sens). A une extrémité d'une liaison il y a une étape, à l'autre une
transition.
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IV.2.2 Les étapes
Si plusieurs liaisons arrivent sur une étape, pour plus de clarté on les fait
arriver sur une barre horizontale, de même pour plusieurs liaisons partant de
l'étape.
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IV.2.3 Les transitions
La réceptivité est une fonction combinatoire d’informations telles que : état des
capteurs, action d’un bouton poussoir, état actif ou inactif d’autres étapes, …
On représente une transition par un petit trait horizontal sur une liaison
verticale. On note à droite la réceptivité.
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IV.2.4 Exemple
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Grafcet niveau 1: Il définit le cycle à réaliser sans tenir compte des solutions
technologiques. Il s’agit de représenter les conditions fonctionnelles.
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Grafcet niveau 2: Il définit le cycle à réaliser en indiquant les organes mis
en œuvre. Les options technologiques sont prises en compte.
Le chariot est tiré par un câble actionné par un moteur électrique. Les fins de
courses « a » et « b » sont des contacteurs de position.
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IV.3 Règle d’évolution
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Règle N°1 : situation initiale
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Règle N°2 : franchissement d’une transition
Une transition est dite validée lorsque toutes les étapes amont
(immédiatement précédentes reliées à cette transition) sont
actives.
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Règle N°3 : évolution des étapes actives
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IV.4 Structure de base
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Convergence et divergence ‘en ET’
Si plusieurs étapes doivent être reliées vers une même transition, alors
on regroupe les arcs issues de ces étapes à l'aide d'une double barre
horizontale appelée convergence "en et".
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Convergence et divergence ‘en OU’
Lorsque plusieurs transitions sont reliées à une même étape dans le sens
"vers étape" , on regroupe les arcs par un simple trait horizontal et l'on parle
de convergence "en ou" (respectivement de divergence "en ou").
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IV.4.2 Différents types d’actions associées aux
étapes
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Les actions continues
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Les actions mémorisées
Une étape à action mémorisée permet de mettre la sortie
correspondante dans un état spécifié lors de son activation.
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Les actions conditionnelles
Dans ce cas, l’ordre ne peut être émis que SI l’étape à laquelle il est
associé est active, ET si une condition logique spécifiée est réalisée.
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Les actions retardées
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Combinaisons d’actions conditionnelles
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IV.4.3 Différents types de réceptivités associées
aux transitions
- Expression temporelle.
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V. LES MACRO-ETAPES
Les descriptions de fonctionnement sous forme de grafcets
peuvent comporter un grand nombre de graphes et par
conséquent, un grand nombre d’étapes.
Symbole
Le symbole de représentation des macro-étapes est
différent de celui d’une étape, car une maco-étape # étape.
M
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Exercice d’application : trouvez les erreurs de construction
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Exercice d’application : proposez un grafcet de niveau-1 pour le
cahier des charges décrit ci-dessous
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REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
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