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Résumé

La société française déteste la richesse malgré qu’ils ne sont pas pauvres. En général, il y a une
croyance étendue que l’égalitarisme est le principe qui guide la France. L’histoire montre cette
thèse. Depuis le XVIIIème siècle, l’évolution historique de la France s’est déroulée au tour de ce
principe. En 1789, la révolution française a signalé l’aristocratie comme le mal à détruire, car ils
avaient tout, avec la finalité du partager. Particulièrement la terre pour la cultiver. Le sans-
culottisme a commencé avec cette idée, mais il a fini en luttant contre tour qui a quelque chose.
Après, dans le XIXème siècle, la commune de Paris a divisé la société entre rouges et pâles. Les
rouges, personnes à service de l’humanité, travailleurs, vivants : l’idéal. D’un autre côté, les
pâles, frivoles, sans capacité de travailler et qui embrouillent le monde. Dans ce temps, dénoncer
la richesse a devenu une tradition nationale. Ces idées ont évolué, et auteur comme Albert
Thibaudet ont développé l’idée du système de Petit Père Combes comme l’idéal social, avec des
petites propriétaires. Mais, pour l’attenir il faut lutter contre « le gros », un ennemi commun formé
par 200 familles au début, qui évoluera pour se transformer en « les juifs » et en mouvements
populistes. De cette façon, la société française a évolué mais elle retient cette contradiction de ne
pas aimer la richesse, bien que ils ne sont pas pauvres.

Métaphores

1. La première fois que Florentino Ariza a traversé le Magdalena, il a décrit une rivière
vivante, plein, avec des animaux et des arbres dans la rive. 50 ans plus tard, quand il a
fait le même voyage avec Fermina Daza, il a trouvé une rivière morte. Les feuilles rives
sont disparus, les chaudières des bateaux les avaient dévoré. Les animaux ont été
éradiqué par les chasseurs et la déforestation. Ce qu’a passé dans le Magdalena de
Gabriel García Marquez est ce qui est en train de se produire dans le monde.
L’exploitation hors de contrôle des ressources, la déforestation, la perte de biodiversité et
le réchauffement de la planète sont en train de transformer la planète en un friche.

2. L’épidémie d’insomnie à Macondo provoquait une perte de mémoire a la population, qui


a eu besoin d’écrire le nom et l’usage des choses en petit morceaux de papier.
L’absence de repos a provoqué cette situation, parce le cerveau doive dormir pour traiter
l’information. Aujourd’hui, le constant flot d’information ne permettre pas notre cerveau
de dormir, de laisser l’information de se reposer. Donc, nous avons perdu la mémoire
des événements ainsi que la capacité de traiter l’information rationnellement. Par
conséquent, nous nous centrons seulement dans l’information sur petit morceaux de
papier (ou les réseaux sociales), poussés par nôtres émotions et laissant les «  Fake
News » gagner terrain.

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