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PROVINCE DE QUÉBEC Pierre Joseph Ulysse, domicilié et
DISTRICT DE MONTRÉAL résidant au 6840 13ème Avenue,
Montréal, Québec, H1X-2Z2, district de
No: 500-09-028077-196 Montréal
c.
UNIVERSITÉ DE MONTRÉAL,
personne morale ayant sa place
d’affaires au 2900, boulevard Édouard
Montpetit, Montréal, Québec, H3T 1J4,
Canada, dans le district de Montréal,
Québec, H1C 1M2;
et
SYNDICAT GÉNÉRAL DES
PROFESSEURS ET PROFESSEURES
DE L’UNIVERSITÉ DE MONTRÉAL
(SGPUM), personne morale ayant sa
place d'affaires au 3060 Edouard-
Montpetit, 3e étage, Montréal (QC) H3T
1J7, dans le district de Montréal,
(Québec), H1C 1M2;
et
HÔPITAL LACHINE, personne morale
ayant sa place d'affaires au 650,
16e Avenue, Lachine, Quebec
H8S 3N5, dans le district de Montréal,
(Québec), H1C 1M2;
et
INSTITUT UNIVERSITAIRE EN SANTÉ
MENTALE DOUGLAS, personne
morale ayant sa place d'affaires au 6875
boulevard LaSalle Montréal (Québec),
H4H 1R3, Canada, dans le district de
Montréal, (Québec), H1C 1M2;
et
MICHEL GRÉGOIRE, personne
physique, demeurant et domicilié au
1
5345 Boulevard de l'Assomption, bureau
230, Montréal, Québec, H1T 4B3, dans
le district de Montréal, (Québec), H1C
1M2.
et
JACQUES GAGNON, personne
physique, demeurant et domicilié au
6070, rue Sherbrooke est, bureau 205,
Montréal, Québec, H1N 1C1, dans le
district de Montréal, (Québec), H1C
1M2
PARTIES INTIMÉES - Demanderesses
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[2] Il s'agit d'un jugement qui cause un préjudice irréparable puisqu’il déclare la
requête introductive amendée de l’appelant non fondée ou prescrite en autant
que sont concernés 6 des sept codéfendeurs, cités pour leur action contributoire
à un «fait collectif fautif», selon l’art. 1480 C.c,Q.;
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[4] La partie appelante joint à la présente le jugement de première instance à
l’annexe 1 ainsi que les pièces et éléments de preuve nécessaires à l’obtention
de la permission à l’annexe 2.
Motifs d’appel
[5] Sauf aux points 49 et 50, puis aux points 68 et 69, les arguments que l’appelant a
soutenus à l’audience n’apparaissent pas dans le jugement de première instance,
tels la collusion entre le syndicat et l’Université de Montréal, la conspiration et la
complicité entre les codéfendeurs, ou l’impossibilité d’agir;
[8] Il entend finalement démontrer que le juge de première instance a omis de se référer
à l’instance introductive amendée déposée à la Cour, le 6 juillet 2018, pour fonder
sa décision;
[9] La cause étant basée sur les principes généraux de responsabilité civile, ici, dans
cette cause, la convention collective n’est qu’incidente;
[11] La preuve n’étant pas encore administrée, la norme applicable devrait être celle
de la décision raisonnable, c’est-à-dire celle de laisser la question à l’appréciation
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du juge du fond, puisqu’il pourrait arriver que plusieurs aspects du litige ne
relèvent pas effectivement de la convention collective;
[12] Le juge de première instance déclare l’action prescrite en autant que sont
concernés les deux hôpitaux et les deux psychiatres;
[15] A cet effet, en déclarant prescrite l’action en ce qui concerne hôpitaux et les
psychiatres, le juge de première instance a excédé sa compétence. Il a tranché
une question de faits, ou peut-être, une question mixte de faits et de droit qui
devait être laissée à l’appréciation du juge qui doit trancher le litige au fond;
[16] Pour ces motifs, l’appelant soutient que le juge de première instance a
manifestement erré en droit et en fait en accueillant les demandes en
irrecevabilité des intimés, et que ces erreurs sont déterminantes;
Première erreur
[18] Le juge de première instance a manifestement erré au point 6 de sa décision,
lorsqu’il écrit : Le demandeur conteste le bien-fondé de son renvoi en affirmant
qu’il a été congédié sans cause juste et suffisante;
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[20] Le terme «renvoi» ne figure nulle part dans l’instance amendée. Celui de
«congédiement» ne paraît que dans le titre principal de la requête et dans le titre
de l’une des parties supprimées, mais nulle part autre dans l’instance amendée;
[21] Les numéros des paragraphes cités en référence dans la décision de première
instance ne correspondent pas à ce qui se trouve dans l’instance amendée;
[22] L’extrait cité au point 29 de la décision de première instance ne figure pas dans
l’instance introductive amendée déposée le 6 juillet 2018;
[23] Des faits sont repris ou cités de manière tronquée et erronée, tantôt rapprochés
sans considération de sens, tantôt détachés de leur contexte et de leur ensemble
de faits, comme par exemple aux points 7, 27, 39, et autres du jugement;
[24] Le recours est basé sur les principes généraux de responsabilité civile solidaire,
puisque les codéfendeurs ont, de manière contributoire, participé au «fait collectif
fautif», selon l’art. 1480 C.c.Q, visant à faire mal à l’appelant, à le nuire. A cet
égard, la résiliation du contrat de travail reste un tort et un préjudice parmi
d’autres, pour lesquels l’appelant demande réparation;
[26] Ces erreurs déterminantes et manifestes ont un impact décisif sur l’appréciation
des faits, sur les conclusions et la décision auxquelles a abouti le juge.
Deuxième erreur
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[68] Tout comme il l’a fait à l’encontre de la demande en irrecevabilité de
l’Université de Montréal, le demandeur conteste la demande du syndicat
en plaidant que la Cour supérieure a compétence au motif qu’il poursuit
d’autres défendeurs dont notamment les deux médecins qui auraient
conclus erronément qu’il souffrait de problèmes psychiatriques.
[69] Tout comme le Tribunal l’a fait pour l’Université, le Tribunal déclare qu’il ne
suffit pas d’ajouter un ou plusieurs défendeurs pour attribuer une
compétence d’attribution que la Cour n’a pas.
[28] L’appelant entend démontrer qu’il ne s’agit pas d’un simple ajout de défendeurs
n’ayant rien à voir les uns avec les autres;
[31] Du mois d’août 2016 au mois de mai 2017, les contre-expertises et tests
similaires effectués aux États-Unis ont démontré que tous ces diagnostics sont en
fait sans fondement, ou sans évidence médicale;
[32] L’Université de Montréal a fait feu de tout bois des diagnostics fallacieux
auxquels elle a contribué, pour asseoir sa thèse de maladie, et pouvoir résilier le
contrat de travail de l’appelant en date du 31 mars 2017;
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[36] C’est le Dr Gagnon qui a fait l’évaluation du 10 avril 2013, répondant au mandat
de l’Université de Montréal de maintenir l’appelant loin de l’université ainsi que
de prévoir des conditions pour un éventuel retour;
[37] Dr Gagnon infère dans son rapport des réponses qui n’ont pas été données;
[38] Les pièces P27 déposées au soutien des allégations du paragraphe 354 de
l’instance montrent que, le 26 janvier 2017, l’Université de Montréal est elle-
même intervenue pour exiger que l’appelant fournisse à la SSQ des informations
abusivement demandées;
[39] Pour ces motifs, le jugement de première instance mérite d’être infirmé en
référence à des éléments trouvés dans Droit du travail, Collection de Droit 20015-
2016, volume 8, École du Barreau, Éditions Yvon Blais, p. 249;
[40] Après avoir confirmé la compétence exclusive de l’arbitre sur tout litige découlant
de la convention collective, les auteurs établissent les
exceptions suivantes : «C’est aussi au tribunal de droit commun qu’il faudra
s’adresser dans certaines situations où la présence d’une convention collective
n’est qu’incidente. C’est le cas des litiges qui n’opposent pas entre elles des
parties signataires de la convention, comme les litiges entre employés, et de
ceux qui mettent en cause des parties sur lesquelles l’arbitre ne peut prétendre
avoir autorité»;
[41] La Cour supérieure est un tribunal de droit, alors qu’ici, dans cette cause, la
présence de la convention collective n’est qu’incidente;
Troisième erreur
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…
[78] Le Tribunal est d’avis que tous les reproches adressés au syndicat sont du
ressort exclusif du Tribunal administratif du Travail.
[44] L’appelant annexe à cette déclaration d’appel les deux requêtes encore
pendantes devant le TAT, et soumet que la cause dont est saisie actuellement la
Cour supérieure est d’un autre ordre;
[45] Le juge de première instance a manifestement erré puisque, ici, le reproche fait
au syndicat ne concerne pas son monopole de représentation, mais le fait d’avoir
agi en collusion avec l’Université, de participer à un complot de nature abusive et
malicieuse avec d’autres codéfendeurs en vue de porter atteinte aux droits de
l’appelant, de le nuire et de lui faire mal;
[47] L’appelant est en mesure de faire raisonnablement la preuve que le syndicat agit
en collusion avec l’Université, et en conspiration et avec d’autres codéfendeurs.
Il a entre ses mains l’enregistrement sonore de plusieurs rencontres, ainsi que
des reconstitutions et recompositions de plusieurs parties de rencontre;
[48] Selon les enseignements de la Cour suprême dans la cause Noël c. Société de
l’énergie de la Baie James, il y a des situations d’exception au monopole de
représentation du syndicat, telles la collusion, la mauvaise foi, ou une injustice
équivalant à la fraude (paragraphe 68). Le salarié peut se donner une
représentation distincte quand il se trouve en situation de conflit d’intérêt avec le
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syndicat, dans une plainte selon l’art. 47.3 du Code du travail, ou par un recours
basé sur les principes généraux de responsabilité civile (paragraphe 69).
[49] L’appelant soutiendra que le jugement de première instance mérite d’être infirmé
puisque la preuve de la collusion et de la conspiration et complicité n’étant pas
encore faite, la décision devrait être laissée à l’appréciation du juge du fond après
l’analyse des faits;
[52] C’est au moment de l’entrevue psychiatrique du 2 avril 2015 que l’appelant s’est
rendu compte que ses dossiers d’hospitalisation incluant les diagnostics sans
fondement posés en 2013 et en 2014 sont rendus publics et transférés sans son
consentement à l’employeur, à l’assureur, ou à Dr Grégoire lui-même;
[53] L’appelant soumet qu’au moment de divulguer les dossiers d’hospitalisation sans
consentement, les deux hôpitaux savaient pertinemment ou devaient savoir les
conséquences de leur action, même si la résiliation du contrat de travail n’est
survenue que le 31 mars 2017;
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administrative. Il dit que ce dossier est l’objet d’un litige et il a l’impression que
l’évaluation psychiatrique pourrait être utilisée dans le cadre de ce dossier.
[58] Au niveau des moyens déclinatoires, il est logique que le juge de première
instance concentre son regard sur la seule date quand la faute aurait été
commise. Mais a-t-il la compétence et les informations factuelles nécessaires
pour déclarare l’action prescrite à la lumière de ce seul élément?;
[60] Une telle analyse relève bien sûr de l’étape du fond où le tribunal aura procédé à
l’analyse des faits et de la preuve, et non de l’étape des moyens déclinatoires;
[61] En outre, les résultats du rapport du Dr Gagnon ont été cachés à l’appelant
jusqu’au 17 février 2015, malgré les démarches entreprises auparavant pour
obtenir ce dit rapport;
[62] C’est en recevant le rapport Grégoire vers le milieu du mois de mai 2015 que
l’appelant a ressenti les premières manifestations du préjudice causé par le
rapport Gagnon, compte tenu qu’il était déjà près de deux ans en congé de
maladie sans explication quand il a reçu le rapport Gagnon au mois de février
2015;
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[63] Dr Grégoire s’est allègrement référé à ce premier rapport pour maintenir
l’appelant hors de l’Université et pour soutenir son diagnostic fallacieux de
paranoïa, de délire paranoïde, de déficiences cognitives et de symptômes
psychiatriques lourds l’empêchant d’exercer son métier de professeur d’université
de manière définitive;
[64] Dr Grégoire se réfère en deuxième lieu sur les dossiers d’hospitalisation incluant
les diagnostics posés en 2013 et 2014, qui lui ont été transférés sans le
consentement de l’appelant;
[65] Il transforme et fausse les résultats du rapport Germain dont certaines parties
sont reprises aux paragraphes 190 à 192 de l’instance introductive amendée,
écrivant au bas de la page 4 de son rapport d’évaluation: Le 11 septembre 2013,
le Dr Louis Germain, psychiatre, concluait à une encéphalopathie métabolique ou
infectieuse améliorée avec déficits cognitifs possibles très légers greffés sur des
traits de personnalité schizoïde ou évitante possible;
[66] L’appelant est en mesure de faire raisonnablement la preuve que les rapports
d’évaluation du Dr Gagnon et du Dr Grégoire sont fallacieux. Il a entre ses mains
l’enregistrement sonore des deux entrevues, ainsi que des reconstitutions et
recompositions de parties de ces entrevues;
[69] Soit dit avec égards, il serait anticipé et prématuré pour l’appelant de formuler
une requête et une demande en dommages-intérêts à la sortie de l’évaluation
psychiatrique du 2 avril 2015, puisqu’il n’avait pas en main le rapport
d’évaluation, n’avait pas encore connaissance des dommages et préjudices, et
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ne pouvait nullement établir le lien de causalité entre rapport et son renvoi en
invalidité totale, jusqu’`la résiliation de son contrat de travail le 31 mars 2017;
[70] En déclarant prescrite l’action contre les hôpitaux et les psychiatres malgré ce
débat contradictoire, le juge de première instance a excédé sa compétence en
tranchant une question de fait, ou peut-être, une question mixte de fait et de droit
qui devait être laissée à l’appréciation du juge qui doit trancher le litige au fond.
[71] Il est dans l'intérêt de la justice d'accorder la permission demandée puisque les
erreurs qu’a commises le juge de première instance sont non seulement
manifestes, elles sont aussi déterminantes. L’appelant sera empêché de faire la
preuve de ses allégations fondées en droit et en fait, et justice ne sera pas
rendue;
a) ACCUEILLIR l'appel;
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LE TOUT, frais à suivre selon le sort de l'appel.
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Pierre Joseph Ulysse
Partie appelante
13
CANADA COUR D’APPEL
PROVINCE DE QUÉBEC
DISTRICT DE MONTREAL Pierre Joseph Ulysse, domicilié et résidant
au 6840 13ème avenue, Montréal, Québec,
No : 500-09-028077-196 H1X-2Z2, district de Montréal
c.
et
HÔPITAL LACHINE, personne morale
ayant sa place d'affaires au 650,
16e Avenue, Lachine, Quebec
H8S 3N5, dans le district de Montréal,
(Québec), H1C 1M2;
et
INSTITUT UNIVERSITAIRE EN SANTÉ
MENTALE DOUGLAS, personne morale
ayant sa place d'affaires au 6875 boulevard
LaSalle Montréal (Québec), H4H 1R3,
Canada, dans le district de Montréal,
(Québec), H1C 1M2;
et
MICHEL GRÉGOIRE, personne physique,
demeurant et domicilié au 5345 Boulevard
de l'Assomption, bureau 230, Montréal,
Québec, H1T 4B3, dans le district de
14
Montréal, (Québec), H1C 1M2;
et
JACQUES GAGNON, personne physique,
demeurant et domicilié au 6070, rue
Sherbrooke est, bureau 205, Montréal,
Québec, H1N 1C1, dans le district de
Montréal, (Québec), H1C 1M2
Je, soussigné, Pierre Joseph Ulysse, domicilié et résidant au 6840 13 ème Avenue,
Montréal, Québec, Canada, H1X-2Z2, affirme solennellement ce qui suit :
1. Tous les faits allégués dans la Requête pour permission d’appeler sont
vrais.
15
CANADA
Pierre Joseph Ulysse, domicilié et
PROVINCE DE QUÉBEC résidant au 6840 13ème avenue,
DISTRICT DE MONTREAL Montréal, Québec, H1X-2Z2, district de
Montréal
No : 500-09-028077-196
PARTIE APPELANTE - Défendeur
COUR d’APPEL
AVIS DE PRÉSENTATION
16
UNIVERSITÉ DE MONTRÉAL, personne morale
À : ayant sa place d’affaires au 2900, boulevard Édouard
Montpetit, Montréal, Québec, H3T 1J4, Canada, dans
le district de Montréal, Québec, H1C 1M2;
Intimée
et sa procureure
Me Julie Cuddihy
Cuddihy et avocats
488 rue St-Jean
Bureau 400A
Montréal QC H2Y 2S1
jouddihy@cuddihy.ca
et
A :
SYNDICAT GÉNÉRAL DES PROFESSEURS ET
PROFESSEURES DE L’UNIVERSITÉ DE
MONTRÉAL (SGPUM), personne morale ayant sa
place d'affaires au 3060 Edouard-Montpetit, 3e
étage, Montréal (QC) H3T 1J7, dans le district de
Montréal, (Québec), H1C 1M2;
et son procureur
Me Nicolas Houle-Gingras
Me Gaétan Lévesques
Rivest Schmidt
7715, rue St-Hubert
Montréal QC H2R 2N8
Téléphone: (514) 948-1888, poste 242
Télécopieur: (514) 948-0772
nhoulegingras@rivestschmidt.qc.ca
gaetanlevesque@rivestschmidt.qc.ca
A : et
HÔPITAL LACHINE, personne morale ayant sa place
d'affaires au 650, 16e Avenue, Lachine, Quebec
H8S 3N5, dans le district de Montréal, (Québec),
H1C 1M2;
Intimé
et sa procureure
Me Véronique Iezzoni
Bélanger Longtin
1 place Ville-Marie
Bureau 1950
17
PRENEZ AVIS que la Requête pour permission d’appeler sera présentée devant un
honorable juge de la Cour d'appel siégeant à l'Édifice Ernest-Cormier, situé au 100, rue
Notre-Dame Est, à Montréal, le vendredi 19 avril 2019, à 9 h 30, en salle RC.18.
18
Joindre une déclaration sous serment, un avis de présentation ainsi que la liste des
annexes à la requête.
La requête pour permission d’appeler d’un jugement rendu en cours d’instance est
également jointe à la déclaration d’appel (art. 357 du Code de procédure civile).
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