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TROISIÈME ANNÉE
DE LICENCE L.E.A.
YAPO Elodie
Tel : 07 68 86 77 40
Mail : Eloodie.y@hotmail.fr
Je tiens à remercier Mr. Chevrier pour l’aide et les conseils prodigués tout au long de la rédaction de
ce mémoire. En effet, la rédaction de ce mémoire fût complexe étant donné le contexte actuel, mais
Mr. Chevrier a su me répondre, a su prendre de son temps pour m’écouter et il a fait preuve de
pédagogie envers moi. Son aide fût très précieuse.
Je souhaite aussi remercier Mme Guilloux, la coordinatrice des stages, pour son aide, pour toutes les
propositions de stage qui m’ont été offertes, et pour son aide dans le mémoire.
Je tiens également à remercier l’Université́ Paris Est Créteil Val de Marne et le Département de L.E.A.
pour la formation offerte, mais aussi pour l’alternative apportée et les solutions trouvées pendant cette
période de crise sanitaire afin de ne pas pénaliser les personnes n’ayant pas trouvées de stage où ayant
vu leurs stages annulés.
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DECLARATION ET ENGAGEMENT
Les propos contenus dans ce rapport sont ceux de son auteur qui s’engage à respecter le
Code de la propriété́ intellectuelle condamnant le plagiat.
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INTRODUCTION
Issue de parents d’origine africaine, une mère ivoirienne et un père camerounais, je
baigne depuis mon enfance dans différentes cultures et diverses langues. J’ai ainsi appris à
parler différentes langues notamment grâce à mes voyages familiaux. Par ailleurs, ma mère
étant commerçante, détenait un magasin de prêt-à-porter en Côte d’Ivoire et voyageait
constamment. J’ai donc eu également l’opportunité de voyager chaque vacance scolaire à ses
côtés. C’est ainsi que j’ai eu l’ambition de travailler dans le commerce international ou dans
la comptabilité.
Afin d’améliorer mon niveau d’anglais, j’ai décidé de réaliser un voyage linguistique
en Angleterre de janvier 2016 à août 2017. Lors de mon séjour, je me suis inscrite dans une
école où j’ai suivi des cours d’anglais. En parallèle, j’ai effectué des emplois saisonniers tels
que dans la restauration pour renforcer mes connaissances linguistiques en interagissant avec
les locaux.
Dû à mon bas niveau d’anglais, les six premiers mois ont été particulièrement difficiles pour
moi. Cependant, grâce à ces cours, mon niveau d’anglais s’est bien amélioré.
Avant ce voyage, j’ai occupé un poste d'animatrice qui m'a permis d'approfondir
davantage mon niveau de communication en anglais. J’ai enfin décidé de rechercher un
emploi qui s'inscrit dans le sillage de mon rêve d'enfance.
J’ai ainsi passé plusieurs entretiens au terme desquels, j'ai obtenu un poste en tant
qu’assistante maîtresse pour une école bilingue Anglais/Français. J'y suis restée une année au
bout de laquelle j’ai voulu passer un diplôme qui me permettrait d'exercer le métier
d'enseignant en Angleterre. Malheureusement, comme à cette époque c'était l’année du
referendum, obtenir la bourse d’aide universitaire m'était très compliqué.
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Ce voyage m’a, par ailleurs, permis de découvrir la filière LEA. Le meilleur choix
était ainsi de retourner en France pour continuer mes études. Je me suis renseignée, puis j’ai
vu que la filière était adaptée à mes expériences et à ce que je recherchais.
Après avoir postulé dans plusieurs universités, mon premier vœu était L’université
Paris 12 Créteil de laquelle j'ai reçu une réponse favorable. La première année m'était très
difficile, car il fallait que je me réadapte après mon retour en France. La deuxième année m’a
confirmé que j’avais fait le bon choix. Cependant, notre dernière année a été assez
compliquée. Elle a été une année marquée par une multitude de problèmes due à la
propagation de la pandémie liée au COVID-19.
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PREMIÈRE PARTIE
Choix de mon stage initialement prévu
En vue de mes diverses expériences professionnelles et contacts à Londres, j’ai décidé
de rechercher un stage en Angleterre. Lors de mon voyage en Angleterre, j’ai eu l’opportunité
de travailler avec des personnes âgées ce qui m’a permis d’être mis en contact avec le
responsable des Ressources Humaines de l’hôpital « Royal London Hospital ». Celui-ci m’a
proposé un poste qui se conjugue avec mon projet professionnel et à fortiori avec ma filière :
Human ressources management assistant. Néanmoins, la crise sanitaire ne m’a pas permis
d’effectuer ce stage (même en télétravail).
J’ai quand même gardé contact avec le responsable pour qu’il puisse répondre à quelques
questions que j’aurais à lui répondre concernant mon mémoire.
Ce stage m’aurait permis de pratiquer davantage mon anglais, et aidé à être encore plus à
l’aise devant le public.
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Or, durant l’année LEA nous avons organisé et présenté différents projets en anglais et en
espagnol. Cela m’aurait permis encore une fois d'affuter mes compétences dans ce sens.
Ajoutant à cela, un chargé de projet doit animer une équipe pendant la réalisation de
son activité. Le travail en équipe lui est donc primordial. Il fait appel à des compétences de
gestion de projet, de bonnes capacités relationnelles et doit être rigoureux.
Toutes ces missions m’auraient permis de mettre en œuvre les différentes compétences
que j’ai acquise durant ma licence, mais aussi d’en révéler d’autres pour le poste de chargée
de projet auquel j’aspire.
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DEUXIEME PARTIE
N’ayant pas pu réaliser mon stage au « Royal London Hospital » à cause de la
pandémie liée au COVID-19, j’ai décidé de consacrer la deuxième partie de mon mémoire à
l’impact de la pandémie sur le secteur hospitalier américain et notamment aux États-Unis. En
effet, les États-Unis ont été particulièrement touché par la pandémie. à décrire le Secteur
Hospitalier, et ce, provient du fait que j’envisageais faire mon stage au « Royal London
Hospital » situé au Royaume-Uni.
Le 6 mars 2020, après avoir effectué plus de 20 000 millions tests, il y avait environ
160 cas confirmés au Royaume-Uni, ajoutant à ceci un cas dans le territoire britannique
d'outre-mer de Gibraltar.
Au 12 mars, le nombre de personnes testées positives au virus était de 590. En l’occurrence, le
premier ministre suppose que le nombre de cas réel pourrait être supérieur à 10 000 cas, à la
différence de ce que déclare l'officier scientifique.
Cette éventualité s’est trouvée concrétisée, de sorte qu’après le 14 mars, il y avait environ 1
500 cas confirmés au Royaume-Uni.
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impact significatif sur les personnes atteintes du cancer en attente d'un traitement
potentiellement vital, ainsi que sur celles nécessitant des examens de routine importants, tels
que le dépistage du col de l'utérus.
Pour de nombreuses personnes ce changement apporte des avantages tels que la non
obligation des habitants des zones rurales à parcourir de longues distances pour les rendez-
vous, entre autres, mais la technologie ne pourrait pas être une solution à tout.
Le 5 juin, le Royaume-Uni est le seul et premier pays européen ayant dépassé le seuil des 40
000 décès et le deuxième pays le plus touché au monde, après les États-Unis.
Ainsi, il parait intéressant d’étudier l’impact du COVId-19 sur le système hospitalier du pays
le plus touché au monde par la pandémie, les États Unis.
Le premier cas a été « découvert le 12 décembre 2019 dans un marché de fruits de mer
dans la ville de Wuhan en Chine ». Dans la foulée, le marché a été fermé, précisément le 1er
janvier 2020, pour l’assainissement et la désinfection de l’environnement. En fin d’année
2019, « la Chine a signalé à l’OMS un total de cinquante-neuf patients atteints de pneumonie
d’étiologie inconnue ». Ensuite, le 06 janvier 2019, « un test de diagnostic a été mis au point
et a confirmé un quarante de cas en Chine dont une centaine de décès ». Ce qui a amené les
autorités chinoises à partager les séquençages génétiques du Convid-19.
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Les hôpitaux durant la crise
Après une stabilisation de la pandémie sur la côte Est, notamment à New York, le pays a
ensuite connu une explosion des infections dans le Sud comme dans l'Ouest. Les États-Unis
est le pays le plus endeuillé du monde devant le Brésil et l’Inde. Il est du même coup, le pays
le plus touché par la crise du Covid-19 sur le plan mondial.
En effet, le système de santé est en souffrance aux États-Unis. Les hôpitaux risquent de perdre
plus de 320 milliards de dollars cette année. Les plus vulnérables sont ceux des régions
rurales, en cela qu’ils ont perdu 50 milliards de dollars chaque mois, selon l’American
Hospital Association. Leur fermeture éventuelle serait catastrophique pour leurs habitants,
sachant qu’ils ont déjà du mal à accéder aux soins.
Arrivé à la place de son prédécesseur Obama, Donald Trump se donne pour objectif
d’abolir la gratuité des soins, en supposant que certains travailleurs gagnent trop pour
bénéficier de la gratuité de la couverture maladie.
Les Américains possèdent en effet le système le plus coûteux au monde. Leurs dépenses
de santé représentent aujourd’hui 17,7 % de leur PIB, les classant dans ce domaine en tête des
pays de l’OCDE. Le système américain se caractérise en particulier par des coûts médicaux
plus élevés qu’ailleurs, autant à l’hôpital qu’en ville.
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Alors que près d'un million et demi de personnes ont perdu leur emploi depuis mars dans
le secteur de la santé aux Etats-Unis, dont 135.000 dans les hôpitaux, les revenus de ces
derniers ayant été amputés par la chute du nombre de patients non-COVID-19.
Le gouverneur a demandé à tous les hôpitaux de soumettre des plans pour augmenter leur
capacité d'au moins 50%, dans le but de doubler leur nombre de lits. Les hôpitaux ont
transformé les salles d'opération en unités de soins intensifs et au moins un a remplacé les
sièges d'un grand auditorium par des lits.
La HHS (Health and Human Services) est une agence du cabinet de la branche
exécutive du gouvernement fédéral. Sa mission consiste à améliorer et protéger le bien-être de
tous les Américains en fournissant des services de santé et humains efficaces et en favorisant
les progrès de la médecine, de la santé publique et des services sociaux.
Le HHS a annoncé le 1er mai qu'il enverrait 12 milliards de dollars à 395 hôpitaux qui ont
fourni des soins hospitaliers à 100 patients atteints de COVID-19 ou plus jusqu'au 10 avril.
L'agence débourse également 10 milliards de dollars aux hôpitaux, cliniques et centres de
santé des zones rurales.
Les hôpitaux et les systèmes de santé américains font face à une baisse significative de
leurs revenus en raison du nouveau coronavirus. Les hôpitaux qui reçoivent des fonds de
subvention de la loi CARES ne peuvent pas facturer le solde des patients pour les soins
COVID-19 et doivent déposer des rapports trimestriels au HHS détaillant comment les fonds
ont été utilisés. Les subventions de la loi CARES n'ont pas à être remboursées, mais doivent
être utilisées pour couvrir les dépenses ou les pertes de revenus liées au coronavirus.
Pendant ce temps, les fonds reçus dans le cadre du programme de paiement accéléré de
Medicare, qui a été élargi en vertu de la loi CARES, doivent être remboursés dans les 13
mois, le cas contraire un taux d'intérêt de plus de 9% sera appliqué.
Les règles et réglementations sont particulièrement difficiles pour les petits hôpitaux,
qui ne peuvent pas disposer de procédures de conformité ou de services comptables solides.
Avec tous ces aides fournis pendant cette crise sanitaire, les systèmes de santé et les
organisations de soins de santé essayent de créer et d'assurer une infrastructure et des
ressources pour soutenir les médecins, les infirmières et les membres de l'équipe de soins.
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La pandémie liée au coronavirus et la réponse de santé publique qui a suivi, ont
conduit à des pertes d'emplois extraordinaires aux États-Unis. De février à mai 2020, l'emploi
global a diminué de 13%, environ 20 millions de personnes ont perdu leur travail.
Par crainte que les hôpitaux soient submergés par les cas de COVID-19 et que le
personnel et les fournitures soient limités, les services médicaux non urgents, électifs ou
courants ont été retardés ou annulés. De plus, par crainte de contracter le virus, certaines
personnes se sont privées des soins médicaux qu'elles auraient autrement pu recevoir. En
conséquence, le chiffre d'affaires de la santé a fortement baissé en mars et en avril, et plus de
1,5 million d’emplois dans le secteur de la santé ont été perdus de février à avril 2020. Depuis
le mois de juin les services de santé ont récupéré quelques emplois, principalement dans les
cabinets dentaires, mais l'emploi dans certains établissements de soins de santé a continué de
diminuer.
Les pertes d'emplois liées à la pandémie chez les travailleurs de la santé ont été
principalement concentrées dans les bureaux. 1,5 million d'emplois de soins de santé perdus
de février à avril faisaient partie du personnel des cabinets dentaires. Cependant, les cabinets
dentaires ont récupéré environ 24 000 d’emplois en juin, ce qui représente 47% des emplois
dentaires perdus depuis le début de la pandémie et 78% de tous les emplois dans le secteur de
la santé ajoutés en mai .Les cabinets dentaires ont été particulièrement touchés, car la plupart
des cabinets ne voyaient que des patients d'urgence et de nombreux autres avaient fermé
entièrement afin d'éviter la transmission du COVID-19 et de conserver l'équipement de
protection individuelle. En mai, de nombreux cabinets dentaires ont commencé à ouvrir à
nouveau ou à augmenter leur nombre de patients, mais l'emploi global dans les cabinets
dentaires est resté 30% inférieur à celui de février.
Les femmes ont subi davantage de pertes d'emplois dans le secteur de la santé depuis
le début de la pandémie. Pour le contexte, les femmes représentent les trois quarts de la main-
d'œuvre de la santé et une part encore plus grande des postes les moins bien rémunérés. De
mai 2019 à mai 2020, le taux de chômage des femmes qui travaillent normalement dans les
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hôpitaux est passé de 1,4% à 3,7%, ce qui est équivaut à peu près à l'augmentation des
hommes sur la même période (0,8% à 3,2%).
Les impacts à long terme sur les dépenses de santé et l'emploi sont incertains, car il
reste à voir quand et où l'utilisation des soins de santé reprendra.
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CONCLUSION
Mes trois années universitaires ont été des années fructueuses à plusieurs égards, en
cela qu’ils m’ont permis de développer énormément de compétences. A travers toutes ces
matières étudiées, j’ai pu maîtriser deux langues étrangères à un niveau professionnel et
aiguiser mes compétences techniques.
Par ailleurs, cette année m’a également permis d’affirmer le choix de mon projet
professionnel, celui de chargée de projet. Ce métier convient à mes aspirations personnelles,
et expériences professionnelles.
Malheureusement, mon stage à Londres a été compromis notamment par le fait que le
Royaume-Uni a été un des pays européens le plus touché par le coronavirus (en deuxième
position sur le plan mondial, après les États-Unis).
Les États-Unis ont été l’État le plus touché et demeure la nation la plus endeuillée au
monde avec plus de 160.000 décès.
À cause de cette crise sanitaire, les États-Unis entrent dans une récession économique
historique en 2020 après dix ans de croissance ininterrompue. Le PIB américain a chuté de 4,8
% au premier trimestre.
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Le bilan dépasse désormais le nombre de soldats américains tués en deux décennies
lors du conflit au Vietnam.
Alors que de multiples essais cliniques sont en cours en Europe, en Asie et aux États-Unis
pour trouver un traitement efficace contre la maladie COVID-19, la pandémie continue de se
répandre.
Tous les secteurs ont été grandement impactés par la pandémie, les magasins de
vêtements et accessoires ont vu leurs ventes chuter de moitié. Les restaurants et bars ont
également touché. Beaucoup ont, au cours du mois de mars, fermé leurs portes. Les secteurs
les plus touchés ont été les tourismes, ainsi que les ventes au détail.
Fortement intégrée dans les chaînes de valeurs mondiales, la Chine, berceau de cette
pandémie, est devenue un acteur économique mondial majeur. En effet, elle est désormais la
deuxième économie mondiale avec une part de 15,8 % dans le PIB mondial. Il est néanmoins
encore prématuré de mesurer avec précision les conséquences négatives de la pandémie sur
l'économie mondiale.
Mais la question que beaucoup de gens se posent actuellement est : « est-ce que le monde se
remettra-t-il de cette crise sanitaire » ?
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TABLE DES MATIERES
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ANNEXE
ÉDUCATION BACKGROUND
2019/2020 In progress: License 3rd year Applied foreign language (English, Spanish)
2017 D.E.T. level 5 (Diplom education traning), J.R education - Charlton LONDON
➢ First Aid level 3 & Functional Skills English/ Maths
o Anglais : bilingue
➢ S.S.T ( Sauveteur Secouriste du travail )2017/2018 En cour: Licence 1er
année Langue étrangère appliquées (Anglais, Espagnol)
2014 Obtaining the Professional Baccalaureate in Accounting - Lycée Léo Lagrange in Bondy
2012 B2I Validation
Obtaining the Certificate of Aptitude for the Functions of Facilitators (full BAFA)
WORK EXPERIENCE
CENTRES D’INTERÊT
Dance: African
Music: RNB
Travel: England, Miami, Thailand, Ivoiry coast , Cameroon., Senegal, Mali , Turkey , china
I
Annexe 2 : Carte épidémique des États-Unis
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