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L’archite

cture de 1860-1945 : art, industrie


& société

Adolf Loos (1870-1933) : architecture et civilisation

V/ Looshaus, Vienne (1909 -1911)


On regarde la maison et on est absolument stupéfait : la caricature ne montre pas le bâtiment
définitif mais la carcasse en béton. Un passant regarde une grille d’égout, se dit que c’est pareil
mais enfaite c’est la maison de Loos. Le moment ou on commence poser les marres, le bâtiment
devient de plus en plus acceptable.

Façade lisse et le mouvement est crée par les percement et par les jardineries (accepte de faire a
contre coeur le pauvre).
A l’intérieur : on arrive au niveau principal avec un salon de perception et different lieux pour
prendre des mesures des tissus. la vue sur l’extérieur est restreinte donné par les élargissement
des carreaux : un endroit très intime.

Composition de la façade qui est le point centrale de cette oeuvre : la statue.

Le verre n’est pas totalement transparent un peu opaque qui empêche de voir a travers ( première
raison il n’aime pas le verre réverbérant , il choisit alors un verre granuleux (la réflexion perturbe la
vision et la lecture de la façade)
La deuxième raison est du aux conventions sociale : il regarde les tailleurs de vienne : le premier
est celui de la cour (vêtement de l’empereur) il n’a pas de boutique et il reçoit sur rendez vous,
L’habit pour mr tout le monde est en vitrine et loos trouve ça très vulgaire : tailleur intermédiaire : il
va alors le représenter pas un degré d’opacité.
C’est assez chelou, on a des morceaux comme des boites ou des prismes, qui sont comme des
pilles ou pilastres. Par ce geste très étrange loos veut signaler la présence du programme
important par les colonnes d’entre mais aussi sur les cotés.

Plus important atelier que boutique annexe.

Linteau métallique, poutre en metal porté par colonne conventionnel. Si on regarde bien les details
on a des colonnes très étrange ( le poids de la colonne ne correspond pas a un port de charge
classique)
Dans l’esprit de Loos c’est logique la colonne ne porte rien et donne un grand statut a cette partie
de la façade.
Une autre explication a l’incrustation de la colonne, c’est des question d’urbanité et de contact : le
palais impérial a un socle de . dans les vues latérales on a une relation entre corniche corniche et
soubassement/soubassements colonne/ colonne pilastres/pilastes. Détails pliures.

Différence entre façade tel qu’elle apparait et tel qu’elle est


Pourquoi loos fait cet effort qui est considéralble : il ne veut pas charger les colonnes. (Ces
colonne même si on les réalisé de façon monolithique : elles ne supporterait pas les charges.)
Pour éviter d’écraser ces colonnes, il fait circuler les colonnes sur les cotés.
Les charge sur le plancher redescendent sur le portique (bref pas compris) .
La partie en metal habille la tranche du plancher. Les fameuses colonnes ne portent rien, Loos qui
est très très attentif au détail il va exprime le fait que les colonnes ne portent rien par les rainures
du marbre. Permise pcq pas charges. Il fit exprès de commettre une erreur qui est assumé pr
montrer que la colonne ne porte pas et donner un indice de la structure.

VI/ Concours du Chicago Tribune


Besoin d’un gratte ciel pour accueillir les nouveaux locaux. Afficher puissance du journal . Le projet
est de faire le bureau un journal et faire publication publicitaire : concours international.
Loos va proposer une réponse qui n’est ni l’une ni l’autre ( pas de grille, pas de gothique). Il
s’adresse a l’antiquité : il fait un gratte ciel qui est une colonne. Il veut faire de ce journal un
monument comme les coupoles de st pierre de Rome, de paris .
Il veut donner a Chicago un monument représentatif. Mélange d’antiquité et de puissance moderne
( colonne antique : antiquité (exemple statue jeanne a rome qui commémore victoire (theme
colonne isolé))
Il reprend ce thème et lui donne une extension colossale) Les américains ont donner nouvelle
vie/héritage de l’antiquité et le lui redonner une vie

La on voit la transformation en gratte ciel, une structure périphérique.


Il fait un gratte ciel avec tout ces éléments. En partie basse (partie de soubassement : idée de
reprendre l’échelle des immeubles voisins : premier) deuxième niveau hors niveau: émergence de
la colonne .
La partie basse se termine comme une pyramide. Loos utilise la tombe de max dvorak et un autre
tombeau qui seront ces références pour la partie basse.
Loos recycle ces formes avec connotation funéraire . On en vient a la question du Raumplane :
C’est la critique du plan standard, on a des étages qui ont toujours la même cotes, si en coupe, on
fait un grand salon ou un toilette ou espace placard a balais : si on dit que un espace fait 4m de
haut alors les autres aussi.
Pour Loos ça pose un problème car on perd de l’espace : réflexion sur la hauteur des pièces.
A partir du moment ou on dit que les pièces n’ont pas la même hauteur : qd on dessine la coupe
des espace seront perdu alors on aura des volume a différente hauter et remettre les volumes
dans un seul volume est possible en faisant des imbrication.
On est obligé de réfléchir a l’espace au differents niveau
On va avoir besoin de circulation complexes.
Deuxième conséquences : si on réduit la dimension des pièces sa peut devenir très étouffant : ce
que propose loos c’est d’ouvrir les pieces les unes sur les autres. Il prends l’exemple du théâtre :

Dans le Raumeplane on a une dimension visuelle


Imbrication volume et mesures
Circulation
Ouvertures pour créer grand espace
Petit hall et changements niveau pour aller aux toilettes, on prend l’escalier puis espace principal,
l’escalier débouché dans la zone ouverte sur une autre. Vue traversante. ensuite on prend quelque
marche puis salle a manger et maintenant on voit le salon en contrebas, la salle a manger est
complètement ouverte et il y'a plein de relation visuelles. Salle a manger dans le l’angle et autre
pice dans autre angle pour effet diagonale et tout).
Question du regards

VIII/ Maison Muller, Prague (1928-1930)


Maison Muller : Langage de loos qui ne dit rien a l’extérieur mais a l’intérieur propose séquence
d’espace : au niveau de l’entré on annonce theme de l’intérieur : effet parcimonieux. On franchit la
porte et on entre dans un premier vestibule. Mur verre peint

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