Vous êtes sur la page 1sur 5

SOPHIA MARTUCCI, ZOË SAVCHENKO, CLARA BOUCHER, PARNIKA BHATTACHARJEE

Français - 2e secondaire
Groupe 2A

JFR: La promenade en forêt (chap. 21)

Travaille présenter à
Mme Samar Besada

Collège Villa Maria


Le 23 Octobre 2020
 
Distribution des personnages ​:

🖤☆
Isabelle = ​Sophia Martucci

🦆
Jeanne = ​Parnika Bhattacharjee

🤚
Simon =​ ​Clara Boucher ✌
Nicolas = ​Zoë​ ​Savchenko

Mots: 970

Scène qu’on utilise:


Randonnée (chap. 21, p. 132-135)

Texte:

En marchant dans la forêt, Miraud fait lever une perdrix.

Nicolas : ​en courant devant eux, il s’exclame, -​Regardez, l’oiseau est blessé! Il laisse
pendre son aile et marche tout de travers.

Simon épaule son mousquet

Jeanne: ​en détournant le canon de l’arme. -​Ne tire pas Simon, c’est une pauvre mère qui
protège ses petits en simulant une blessure. Elle mérite d’avoir la vie sauve. C’est une
héroïne très courageuse et intelligente.

Simon:​ ​Comment sais tu cela?

Jeanne: ​en tenant Nicolas et Isabelle par la main​ -J’ai appris ça dans ma jeunesse, de mon
grand père qui était bra… je veux dire chasseur comme votre père. Il m’a appris beaucoup
sur les oiseaux.

Isabelle: ​en se tournant vers ces parents et pointant vers la famille d’oiseau -​Est ce qu’on
peut la garder?​ ​Je vais prendre soin d’elle, je vais préparer sa nourriture chaque journée et
je vais la protéger de Miraud, ce mauvais chien de..

Jeanne​ en la coupant, -​Non, regarder elle a des petits. On ne peut pas la prendre de ses
petits, laissons-les en paix.

La famille continue sur son chemin et s’arrête devant un immense arbre.

Simon: ​en marchant vers l’arbre -​C’est le vieux géant, le plus gros chêne de la forêt.

Simon saute et attrape une branche. Il grimpe l’arbre avec agilité

Isabelle : ​avec un air nerveux -​Fait attention! Tu va te blesser si tu tombe de si haut


monsieur!
Nicolas:​ avec un regard admirant, pointe vers une feuille rouge éclatante ​-Grimpe plus haut
monsieur! Essaye de toucher la feuille rouge just là!

​ e soyez pas anxieux les enfants, ça fait des années que


Simon : ​en criant de sa branche, -N
je grimpe les arbres. Et non Nicolas, je ne vais pas grimper plus haut, je veux pas inquiéter
votre mère.

Jeanne:​ ​ M'inquiéter? Je ne m’inquiète pas pour toi, mais plutôt les idées que tu mets dans
les têtes de mes jeunes et innocents enfants.

Simon: ​en ricanant, ​-Je mets aucune idée dans leur tête, je fais que grimper l’arbre.

Jeanne: ​Oui oui, bien sûr tu fait que grimper l’arbre. Mais, dit Simon, pourquoi grimpes tu
l’arbre. C’est ton château?

Simon​: ​C’est un excellent poste d’observation. D’en haut je vois la rivière, des deux côtés.
Alors oui, on peut dire que c’est mon château, je suis le roi bien sur.

Simon redescend rapidement.

Jeanne:​ Tu escalade quand même bien, POUR TON ÂGE!

Simon:​ ​Pour mon âge? Me prends-tu pour ton ancêtre?

Jeanne:​ Ce ne sont pas tous les hommes de quarante ans qui grimpent aussi vite.

Simon:​ en commençant à se fâcher, -​ Quarante ans?!! Où as-tu pris que j’avais quarante
ans?

Jeanne regrette sa remarque. Trop tard, elle constate qu’elle a dû le blesser. Elle s’était
pourtant bien juré de ne jamais faire allusion à leur différence d’âge.

Simon: ​Qui t’a dit ça?

Jeanne: ​Le Rouquin bien sur, il n’a pas préciser ses mots mais il a raconté que tu
construisais des forts en 1665 et que tu étais capitaine.

Simon:​ Oui, cela est vrai, alors?

Jeanne:​ Alors...j’ai calculé… j’ai cru…

Jeanne, avec les joues toutes rouge et embarrassée elle se demande à elle-même,
​ e.
pourquoi elle a dit à Simon cette conclusion ridicule sans sachant vraiment son âg

Simon saute à côté d’elle avec un air énervé


Simon:​ Madame fait des savants calculs. Madame tire des conclusion. Petite nymphe. Oui,
tout que vous avez dit est vrai mais j’étais capitaine dans la milice, non dans l’armée.

Jeanne:​ A bon...

Simon:​ Et en Nouvelle-Frances, on n’est pas très âgé quand les responsabilités nous sont
imposées. Je suis vieux, cela est vrai, plus vieux que toi. J’ai trente-deux ans et non pas
quarante!

Pendant que leurs parents parlent, Nicolas et Isabelle regardent la nature autour d’eux.

Isabelle: ​en pointant vers un papillon, ​-Regarde Nicolas! C’est un papillon!

Nicolas: ​Regarde cette arbre! Il est tout croche.

Isabelle: ​Est-ce que tu pense qu’il y a des grenouilles dans cette forêt?

Nicolas: ​avec un regard songeur, ​-Peut-être. On peut marcher un peu plus loin vers le
ruisseau. S’il y en a, ils seraient là sur et certains.

Isabelle: ​Non, on ne devrait pas faire ça. Maman sera inquièter pour nous.

Les enfants entendent la conversation des parents et décident de dire leurs opinions

Les enfants (Isabelle et Nicolas):​ Quarante ans. Un vieux mari. Bah!

Même​ ​si Jeanne et toute rouge, elle a un sourire car elle est heureuse de savoir que Simon
et elle seront ensembles plus longtemps que prévu.

Après une longue pause Jeanne fait un souffle fort qui ressemble à celui d’un oiseau

Simon: ​Où as-tu appris cela?

Jeanne​: À imiter les oiseau? C’est mon grand-père qui m’a montré. J’ai toutes sortes de
talents cachés….

Soudainement, Miraud arrache la poupée que Isabelle avait dans sa main. Dans une
seconde Miraud avait déchiré la tête du poupée.

Isabelle​: ​en poussant Miraud pour reprendre sa poupée, -​Méchant chien! Tu as détruit ma
poupée Zeanne!

Isabelle, en réalisant que la tête de Zeanne c’est arrachée, commence à pleurer et devient
presque incompréhensible

Nicolas: ​Ne pousse pas mon chien! Il ne savait pas! C’est plutôt ta faute, t’apporte ta
poupée partout!
Isabelle: ​en pleurant,​ ​-Maman! Miraud à détruit Zeanne! Tu devrais le punir! Lui et Nicolas
sont tous les deux méchants! Ils ne font pas attention à mes choses!

Nicolas: ​Non, tu devrais dire à Isabelle de ne pas prendre sa moche de poupée partout!

Jeanne: ​D’une voix réprimandente,​ -Arrête de vous chicanez! Vous êtes chanceux de vous
avoir les un et les l’autre, ne le prends pas pour acquis. Isabelle, on peut réparer Zeanne
ensemble et apprendre à Miraud comment être plus doux avec tes jouets. Mais en même
temps Isabelle, amène pas tes jouets dans la forêt si tu veux pas les endommager.

La famille de quatre reprennent leur marche toutes en bavardant et riant, comme si la


chicane s’était jamais produites.

Vous aimerez peut-être aussi