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Kouamé jean Arthur

07.08.03.54.23 /01.41.05.06.05 TIASSALE LE, le22 février 2021

ET DJESSOU KOUAME

01.51.91.51.62

Monsieur le procureur de la république


Près du tribunal de tiassale

Objet : plainte contre individus pour

Escroquerie portant sur la somme de 4.000.000

(Quatre millions) de franc CFA

Monsieur le procureur,

J’ai l’honneur de vous faire part du fait dont mon père et moi avons été victime :

En effet, voulant acheter une parcelle de forêt pour mon père Djéssou Kouamé en vue d’une
exploitation agricole, mon père et moi sommes victimes d’une escroquerie d’une somme de 4.000.000
(quatre millions) de franc CFA des individus dont le nom suivent :

Lidji serge Pacôme le vendeur, Lidji N’guessan Paul oncle du vendeur, Lidji Ludovic cousin du vendeur,
Oulai ami du vendeur, Ehouman François soit disant chef de terre du village.

Monsieur le Procureur, moi Djessou Kouamé, le père, comme j’ai l’habitude d’acheter mes journaux
dans un kiosque a angré château chez un jeune nomme serge, j’y étais pour mes journaux en octobre
2019 et un autre jeune m’aborde poliment en me disant « papa, j’ai une parcelle de forêt au pk98 sur
l’autoroute du nord que je voudrai vendre en vue de construit ma maison au village .mon oncle
s’opposait à la vente mais il vient de me l’autoriser actuellement ». Entre temps, j’ai déjà fait savoir à
cet endroit ma passion pour les travaux champêtre. J’ai répondu au jeune homme que ce genre
d’affaire se traite à la maison. Au moment de lui indiquer mon domicile, monsieur Oulai qui était là, a
dit qu’il connait très bien chez moi. C’est ainsi que nous avons pris rendez-vous chez moi à 20 heures.
J’ai sollicité la présence de mon fils kouamé jean Arthur.

A 20 heures, nous étions 5 personnes (monsieur Lidji serge Pacôme, Oulai mon fils kouamé, mon
épouse et moi). Apres les échanges, rendez-vous a été pris pour la visite de la parcelle le samedi 09
novembre 2019. Nous étions 6 personnes (monsieur Oulai, Lidji serges, Lidji Ludovic, mon neveu oguie
hyacinthes, mon fils kouame Arthur et moi). Apres la visite, nous nous sommes rendus dans le village a
BINAO pour rencontrer l’oncle du vendeur monsieur Lidji N’guessan Paul.

Arrives sur les lieux, d’un âge avancé, ce dernier nous reçoit avec tous l’honneur villageoise dans sa
villa. Il appelle Ehouman François, représentant de la chefferie qui nous donne les conditions
d’acquisition de la parcelle dans le village qui sont :

- Prix de vente à l’hectare avec le vendeur (nous avons convenu 250.000f l’hectare)
- 85.000 : topographie (en annexe)
- 40.000 : layonnage ou délimitation
- 340.000 : frais coutumier

C’est dans cette optique qu’un autre rendez-vous a été pris le samedi 16 novembre 2019 dans
la même cour verser cette somme en vue d’effectuer les premier documents. Ensuite le samedi
30 novembre 2019, après leur délimitation, nous y sommes allés pour une contre-expertise
avec un autre géomètre et nous avons été reçus dans la même cour.

Apres l’établissement de la documentation, nous avons pris un autre rendez-vous le samedi 08


février 2020 pour le premier versement. C’est ce jour que nanan Ahoua, soit chef de terre est
venu pour authentifier la vente. Et nous avons versés la somme de trois millions cinq cent mille
(3.500.000) franc pour le vendeur.

Monsieur le procureur, après avoir respecté ces différents étapes, nous avons voulu entamer
les premier travaux sur la parcelle que nous avons reçu opposition ferme.

Ainsi, nous avons essayés de les joindre mais impossible. C’est dans cette optique qu’on se rend
dans le village, dans la cour ; on nous fait savoir que cette cour n’appartient pas à ces
personnes. Nous avons demandés a rencontré le chef du village qui nous fait savoir qu’il ne
connait pas ces individus. Voulant porter plainte, on se rend à la brigade de gendarmerie de
tiassalé qui a enregistré notre plainte. Quelque mois après, le vrai propriétaire de la cour qui
serait le cerveau de l’opération a été interpelé mais relâché le lendemain.

Monsieur le procureur, dans le mois d’aout 2020, le soit disant cousin du vendeur a appelé mon
fils pour lui dire que pourquoi la gendarmerie a relâché le propriétaire de la cour car c’est lui le
cerveau. Quand mon fils lui a demandé s’il pouvait coopérer avec nous, il a raccroche le
téléphone.

En vous remerciant d’avance pour l’attention que vous voudriez portez a notre requête ; nous
vous prions d’agréer, monsieur le procureur, l’expression de nos salutation distinguées

PJ : les décharges avec les contacts, copie de passeport et CNI et extrait topo

Les requérants

Mr. KOUAME JEAN ARTHUR MR.DJESSOU KOUAME

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