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l 50 3w
présentée à
CONTRIBUTION A L'OPTIMISATION
DES INDUCTANCES DE LISSAGE
à m a mère,
AVANT - PROPOS
Ce m é m o i ~ e ,i n t i t u t é " C o n t k i b u t i o n à t ' o p t i m i s a t i o n
de5 i n d u c t a n c e s de t i s s a g e N a é t é pképaab au Labokatoike
A p p t i c a t i o n s des Redkess euks de- Puisbance e.t 'machines
é t e c t t i q u e s de t ' U n i v e ~ s i t éd e 4 S c i e n c e s e t Techniques de
L i t t e - Ftandkes - A k t o i s .
Nous kemekcions t k é s vivement Mon4ieuk t e Pkodess eu&
S E G U I E R de nous a v o i k a c c u e i t t i dans son Labokatoike, de
nous avoik condié c e s u j e t e t de nous a v o i k c o n s e i t t é t o k 4
des d i v e ~ ~ s eést a p e s de c e t t e é t u d e . C ' e s t Mon4ieuk S I X ,
M a X t ~ ede Condékences, q u i 6 t a i t chakgé du s u i v i de n o t k e
t a a v a i t ; nous l u i sommes $ t e s k e c o n n a i s s a n t de t ' i n t a s -
s a b t e b i e n v e i t t a n c e avec t a q u e t t e it nou4 a guidé e t a i d é .
Noua ne s a u k i o n s expkimek t o u t e n o t k e g k a t i t u d e à c e u x
q u i o n t peamis n o t a e venue en Ftance, o n t d a c i t i t é notae
s é j o u k , nous o n t a i d é à menet à son tekme n o t k e t a a v a i t d e
k e c h e k c h e . Nous t e n o n s à kemekciek en p a k t i c u t i e k Monsieua
t e Pao6esseuk I B R A H I M H A D D A D P k é s i d e n t V i k e c t e u k Génékat du
C o m m i s s a k i a t b t l E n e k g i e Atomique de S Y R I E , a i n s i que
Monsieu4 V A N H E C K E du C R O U S de L i t t e , t e s e n s e i g n a n t s e t
t e p e ~ s o n n e t du S e s v i c e Etectko-technique de t ' u n i v e k s i t é .
TABLE DES MATIERES
- AVANT - PROPOS
II - Présentation de l'étude 15
11.1. Construction et caractérisation d'une inductance 15
de lissage
11.2. Remarques sur la tension et la puissance apparente 17
11.3. Les deux facteurs étudiés 19
11.4. Origine et plan de l'étude 23
- CHAPITRE 2
LA PERMEABILITE DIFFERENTIELLE
1 - préliminaire : les différentes perméabilités
1.1. Perméabilités en continu
1.2. perméabilités en alternatif
1.3. La perméabilité différentielle considérée
III -
Etude expérimentale de la perméabilité différentielle
111.1. Principe utilisé
111.2. ~ e l e v é seffectués. Montage. Mode opératoire
111.3. Remarques sur les résultats obtenus
Planches 2.1 à 2.11
- CHAPITRE 3
- CHAPITRE 4
EXEMPLE D'APPLICATION
1 - Montage réalisé Mode opératoire
1.1. Le redresseur et sa charge
1.2. Mesure du coefficient d'ondulation
II - ~ é s u l t a t sobtenus
11.1. Circuit magnétique 1
11.2. Circuit magnétique 2
11.3. Circuit magnétique 3
Planches 4.1 à 4.6
- CONCLUSIONS
- BIBLIOGRAPHIE
CHAPITRE 1
Fig. 1.1
- L'ondulation i
d max - id min du courant redressé est, dans
ces conditions, constante par des valeurs données de
Udo, p, R, L e t a . Elle est maximale pour cosa = O et vaut
alors
4~
id max -
id min - udo
Id nom.
Pour les faibles valeurs de Ki lim et les montages de forte
puissance, on peut négliger R 2 devant p 2L 2u2., il vient
L a Udo 1 2
2
O1d nom K
id
lim P -1
La valeur relative de l'inductance, donnée par le rapport
2
I d nom / Udold nom1 est d'autant plus grande que le fac-
teur d'ondulation de i doit être plus faible et que l'indice
d
de pulsation p est plus réduit.
- Ces courbes ont été calculées [3] pour les diverses valeurs
usuelles de p. C'est pour a égal à ~ / que
2 la conduction
discontinue apparaît le plus vite ; pour cette valeur d e a .
- Udo/Lu, pour p = 2,
Id ïim
= 0,395 Udo/Lw, pour p = 3.
= 0,093 UdO/Lw, pour p = 6,
= 0,023 Udo/Lw. pour p = 12. ...
- Ces rapides variations de la tension redressée au voisi-
nage de Id nul sont très génantes :
-- ...........................................
1.2. Emploi dans les hacheurs et dans les ondudeurs
..............................................
I.2,1, Cas des hacheurs
Un hacheur est un convertisseur qui est placé entre
une "sourcew de tension continue et une "source" d e courant
continu, en adoptant le vocabulaire admis par l'ensemble des
électroniciens de puissance français C71.
Prenons le cas le plus simple du hacheur série C 8 1 , [9] ;
il permet le réglage du débit d'un générateur de tension
continue u dans un récepteur de courant continu il (fig. 1.6).
Fig.
- Récepteur
Le récepteur serait un récepteur de courant continu parfait
si son inductance interne était infinie. Alors, malgré la
nature hachée de la tension u' à ses bornes, il absorberait
un courant il constant pour un fonctionnement donné.
Si le récepteur est trop imparfait, il faut le corriqer
en mettant une inductance de lissage LI en série avec lui pour
augmenter l'inductance totale du circuit de débit du courant il.
Si,de plus, le récepteur ne tolére pas les brusques varia-
tions de la tension à ses bornes, il faut dériver entre celles-ci
un condensateur C e . L'ensemble L a-C' forme alors un filtre
passe-bas destiné à ne transmettre au récepteur que la composante
continue d e la tension u', en arrêtant les harmoniques.
- Générateur
- Autres hacheurs
On trouve les mêmes problèmes pour tous les types de
hacheurs [10]; hacheur parallèle, hacheur réversible en cou-
rant résultant du groupement d'un hacheur série et d'un hacheur
parallèle, hacheur en pont ...
Si le générateur ou le récepteur de courant continu n'est
pas assez inductif, il faut lui ajouter une inductance d e lis-
sage. La conduction discontinue aux faibles débits apparaît
pour une valeur du courant d'autant plus faible que l'induc-
tance du circuit est plus élevée.
Si on met des filtres, leurs inductances seront parcourues
par des courants comportant une composante continue ; il
s'agit donc d'inductances de lissage.
Fig. 1.7
Redresseur Commut.
r d1 1
Fig. 1.8
11 - PRESENTATION DE L'ETUDE
.......................
Fig. 1.9
1 -
la composante continue et on aura
Io
C'est la composante continue que impose la section à
donner aux conducteurs et caractérise l'inductance au point de
vue courant.
Une fois la section des conducteurs choisie, on détermine
le nombre de tours n de la bobine de façon à utiliser au mieux
les fenêtres du circuit magnétique.
- Dans les développements en série des courants à lisser qu'on
rencontre en électronique de puissance, le terme alternatif qui
présente la plus grande amplitude est pratiquement toujours -
le premier, celui de pulsation o l a plus faible. Quand on aura
lissé le courant les termes alternatifs de rang plus élevé
auront une amplitude relative encore plus réduite.
L'inductance qui caractérise la bobine est donc celle rela-
tive aux courants de faible amplitude ayant la pu3sation du
premier terme alternatif a réduire.
----- ...............................
11.2 Remarques ----------apearente
sur les tensions et sur la puissance
........................................................ ------
11.2.1 Les tensions d'isolement
- L'isolement par rapport au circuit magnétique de l'ensem-
ble du bobinage dépend de la façon dont la bobine est
insérée dans l'ensemble du convertisseur. Le plus souvent
la bobine est reliée au l'plus" de la source continue alors
que la masse et le circuit magnétique sont reliés au
"moins". Il faut donc isoler pour la valeur crête de la
tension continue.
- L'isolement au sein de la bobine elle-même (isolement des
conducteurs, isolement entre couches) dépend de la tension
maximale (L di/dt) max aux bornes de la bobine. On la
détermine d'ordinaire en supposant que l'inductance
remplit parfaitement son rôle, c'est-à-dire absorbe la
totalité des variations de la tension qui tendent à faire
onduler le courant à lisser.
11.3. .........................
Les deux facteurs étudiés
ndi = 4. dH + -e dB
D'où la valeur de l'inductance de lissage
10
Fig. 1.11
LA P E R M E A B I L I T E D I F F E R E N T I E L L E
1 - PRELIMINAIRE
............................................
: LES DIFFERENTES PERMEABILITES
P = P , P, , a v e c po = 4 n.1~-7 H/m .
La perméabilité d'un matériau magnétique ne dépend pas
seulement des coordonnées du point représentatif de son fonction-
nement dans le système d'axes champ -
induction, mais aussi de
la trajectoire qui a amené à ce point. Il est donc nécessaire de
définir plusieurs types de perméabilité.
Fig. 2.1
Fig. 2.2.
à la courbe au point considéré. Elle dépend du cycle, de la
valeur de H et de la branche sur laquelle se trouve le point
(H croissant ou H décroissant).
- A propos des cycles d'hystérésis rappelons deux propriétés :
.
les extrémités des cycles se trouvent sur la courbe de
première aimantation.
.
les pertes par hystérésis aux basses fréquences sont propor-
tionnelles à la surface du cycle. Aussi pour les circuits
magnétiques utilisés en alternatif cherche-t-on à utiliser
des matériaux à cycle très étroit.
CxLe dynamique à 50 HZ
Fig. 2.3
La visualisation des cycles dynamiques est un exercice
classique en travaux pratiques C141. Sur un circuit magnétique
de section S constante (fig. 2 . 4 1 , dont la longueur de la ligne
de champ moyenne est 4 , on monte un bobinage de n tours reliée
à la source de tension sinusoïdale u de pulsation OJ . Un shunt
non inductif de faible résistance r donne à ses bornes une
tension image du champ ; on l'applique aux plaques de déviation
horizontale d'un oscilloscope.
Fig. 2.4
Pour évaluer le courant absorbé par une bobine à nayau d e
fer alimentée par une tension alternative sinusoïdale, on utilise
la notion de courant sinusoïdal équivalent Cl51
C'est un courant qui a la même valeur efficace 1 que le
courant réel et dont le déphasage 9 en arrière de la tension l
rend compte de l'ensemble des pertes (pertes joule dans l'enrou- l
lement pertes par hystérésis et par courants de Foucault dans le
fer).
On peut décomposer la tension Ü (fig. 2.5) en
. une composante en phase avec Ï qui correspond à la puis-
sance active totale absorbée UIcosq et est analogue à
une chute ohmique.
. une composante Ü'en quadrature avec Ï qui donne le terme
dû au flux
Ü I = jnosB
On en déduit la valeur efficace de l'induction B ; celle
du champ H est donnée par
Fig. 2.5
Fig. 2.6
Pd = HB avec B = us in^
nsw
; _ nI
7
II - RECONNAISSANCE
......................................
PREALABLE DES MATERIAUX
Fig. 2.7.
On déduit le champ de la mesure du courant continu i
dans l'enroulement de nltours, l'induction du flux @ à travers
l'enroulement de n2 tours.
Fig. 2.8
aux divers cycles explique ce qu'on trouvera lorsqulon relèvera
la perméabilité dynamique le long de plusieurs cycles d'aimanta-
tion continue : les courbes seront confondues sur une importante
partie de leur tracé.
Fig. 2.9
.....................................................
III -ETUDE EXPERIMENTALE DE LA PERMEABILITE DIFFERENTIELLE
Fig. 2.10
wattmètre. Cette mesure se révélant très imprécise, on a préféré
visualiser à l~oscilloscopele petit cycle décrit par le point
de fonctionnement (voir fig. 2.6) en appliquant à l'oscilloscope
une tension proportionnelle au courant i et une tension propor-
tionnelle àfvdt. Cela permet une mesure approchée du déphasage
6 , égal à "/2 - 9 , entrefvdt et i.
On en déduit la valeur de l'inductance
L = -1 v cos8
-
fil 21
1 4 v
'"=Fs
1 201 cos s
- 41 -
vers l'oscilloscope
Fig. 2.11
. en f a i s a n t v a r i e r Ho d e z é r o à Ho m a x ( t r a j e t A B Cl
. p u i s de Ho max à z é r o ( t r a j e t C D l .
état m a g n é t i q u e moyen é t a n t l e m ê m e e n A et en D
F i g . 2.12
o n o b t i e n t a i n s i des c o u r b e s ,ud ( H o ) q u i se r e f e r m e n t s u r
elles-mêmes.
A n o t e r puisqu'on u t i l i s e en f a i t deux c i r c u i t s magnétiques
que p e n d a n t q u e l e p o i n t moyen de l ' u n d é c r i t l e t r a j e t A B C D
c e l u i d e l ' a u t r e d é c r i t l e t r a j e t A ' B' C l D'.
Remarque
1
L'allure des courbes des Planches 2.5, 2.6 et 2.7 est tout-
à-fait celle qu'on trouverait en prenant la pente de la tangente
au cycle d'hystérésis (fig. 2.13).
Cette pente dB/dH croît quand on part de l'induction
rémanente négative, passe par un maximum au voisinage de B0
nul, puis diminue. Elle croît à nouveau quand H diminue et
O
pour l'induction rémanente positive on retrouve la même pente
qu'au point de départ. La partie confondue des cycles d'hystérésis
correspond à la partie confondue des courbes donnant dB/dH et
se retrouve dans les caractéristiques p d (HO 1.
H ' O
Fig. 2.13
- s u r l a p a r t i e commune aux c o u r b e s ,U
d
(Ho) à H c r o i s s a n t on lit
à 50 Hz, p d ~ 2 10-
. H/m
111.3.2. C i r c u i t magnétique 2
L e s r e m a r q u e s f a i t e s s u r l a f o r m e des c o u r b e s
pd(Ho) o b t e n u e s avec l e m a t é r i a u 1 s o n t a p p l i c a b l e s au m a t é r i a u
2 , s i ce n ' e s t q u e
l e maximum d e ,U
d
est o b t e n u pour une v a l e u r très faible
de Ho ;
.la d é c r o i s s a n c e de pd a p r è s s o n p a s s a g e p a r s o n maximum
est extrêmement r a p i d e s u r t o u t pour l e s f a i b l e s v a l e u r s
de l a f r é q u e n c e ;
. l'écart e n t r e les c o u r b e s c o r r e s p o n d a n t aux t r o i s v a l e u r s
e s t , à f r é q u e n c e d o n n é e , b e a u c o u p moins i m p o r t a n t .
de H o max
. l ' é c a r t e n t r e l e s d e u x b r a n c h e s d ' u n e m ê m e c o u r b e corres-
pond l ' u n e à l a c r o i s s a n c e d e H o , l ' a u t r e à s a décrois-
s a n c e e s t , s a u f d a n s l a z o n e des f a i b l e s v a l e u r s de H o ,
beaucoup p l u s f a i b l e ;
e n fonction d e Ho et f .
CHAPITRE 3
1 - PEUT-ON
.......................................................
DEFINIR LA VALEUR D'UNE INDUCTANCE DE LISSAGE ?
11 - EXEMPLE
..............................................
SIMPLE DE CALCUL DE L'ENTREFER OPTIMAL
n = 382 spires
-!= 20.64. 1 0 - ~ m
S = 26,6. 10-4m 2
S = 19. 10
-4
m2
Io= 1,lA
1
11.3. Remarques
L'entrefer optimal, c'est-à-dire celui donnant la
plus forte valeur de l'inductance dépend de la valeur Io de
la composante continu du courant dans l'enroulement.
Pour le circuit magnétique 1 par exemple, nous avons
calculé L (el avec n égal à 382 spires mais Io égal à 1,8A.
Nous avons trouvé que l'optimum correspondait à environ 0,95 mm.
Inversement, si Io est très faible, ud reste très fort
quel que soit e, c'est pour un entrefer d'épaisseur nul qu'on
obtient L maximum.
branche
supér.
branche
infér.
Fig 3.2 l
alg gré la gêne, surtout conceptuelie, que constitue la
1
variation de l'inductance d'une bobine à faible entrefer, vouloir
obtenir une inductance à peu près constante conduit à un tel
gaspillage d e la matière active qu'on ne devrait s i résoudre
que dans des conditions tout à fait exceptionnelles.
soit e =
4 lt1.0 - ~
011
20.64.10-*.10
4
( -1
1,s
- 1 1
5
) = 11.6 10- 3 m
Fig. 3.3
à la valeur moyenne 1 d'ordinaire beaucoup plus importante.
O
On mesure 1 par comparaison à l'oscilloscope, à l'aide du com-
mutateur d'intensité. On fait passer le courant de la bobine
dans un shunt non inductif Sh de faible résistance et on observe
l'amplitude du terme alternatif. Puis on branche le shunt sur
une source de courant à 50 Hz et on note la valeur 1 du courant
qui donne la même déviation à l'oscilloscope.
On se sert de ce dernier pour mesurer le déphasage 9 entre
les termes alternatifs du courant dans la bobine et de la tension
à ses bornes.
On déduit des mesures L par
caractéristiques ~ ( 1 relevées
~ )
à 50 Hz
pour diverses valeurs de e (en mm)
pl. 3.5. Circuit magnétique 3
caractéristiques ~ ( 1 relevées
~ )
à 50 Hz
pour diverses valeurs d e e (en mm)
Pl. 3.6 Circuit magnétique 1
caractéristiques ~ ( e relevées
)
à 50 Hz
pour diverses valeurs d e Io
Pl. 3.7. Circuit maqnétique 2
caractéristiques ~ ( e relevées
)
à 50 Hz
pour diverses valeurs d e Io
Pl. 3.8. Circuit magnétique 3
caractéristiques L ( e ) relevées
à 50 Hz
pour diverses valeurs de 1
O
- 83 -
CHAPITRE 4
EXEMPLE D'APPLICATION
1 - ...............................
MONTAGE REALISE.MODE OPERATOIRE
Fig. 4.1.
1.1 Le redresseur et sa charqe
220
; 7-3
,, sin- it3 300V
m-
--- A
' n
Io sin -
R 3
Le taux d'ondulation Ko du courant, défini par
-
imax - imin
Ko -
210
serait égal à
II - RESULTATS
-----------------
OBTENUS
BZBLZOGRAPHIE
1. G. SEGUIER
Réflexions sur l'évolution des convertisseurs
statiques
L1Electronique de Puissance du futur. ~ o u r n é e s
S.E.E., Grenoble, Juin 1985, pp 1.8 - 8.8
2. E. DESTOBBELEER, G. SEGUIER, A. CASTELAIN
A C - D C converter minimizing induced harmo-
nies in industrial power systems
I.E.E.E., Power Electronics Specialists Confe-
rence Toulouse, Juin 1985, pp 573 - 580
3. G. SEGUIER
Les convertisseurs de l'électronique de puis-
sance : la conversion alternatif continu
Technique et Documentation, Paris,1984
Mc Graw Hill, New York, 1986
4. P.F. RIDLER
Analysis of single-phase capacitor-input
rectifier circuits
Proc. I.E.E., Vol 127, N o 12, ~ é c .1970
pp 2261 - 2265
5. M. GOLDBERG, G. SEGUIER
Effets du filtre sur le montage redresseur
amont.
Etude d'un ensemble simple redresseur - filtre
charge.
Rev. ~ é n .Electr., t. 84, n o 5, Mai 1975,
pp 393 - 398
6. S.B. DEWAN
Optimum input and output filters for a single
phase rectifier power supply.
I.E.E.E. Trans. on Ind. Applic., Vol. IA - 17,
7. FOCH, GLAIZE, LE DOEUFF, LOUIS, PERARD, SEGUIER
Classification et caractérisation des con-
vertisseurs statiques
Document GRECO N o 130022, Mai 1979, 20 p
8. G. SEGUIER
L'électronique de puissance
Dunod é d . , Paris, 1979
9. H. BUHLER
Electronique de puissance (traité dlElectri-
cité de l a E P F de Lausanne, Vol. 15)
Dunod éd, Paris, 1981
10 . P. MOURY, H. SCHOORENS, G. SEGUIER
Caractéristiques du transformateur élévateur
de tension continue utilisant un hacheur en
montage parallèle.
Rev. ~ é n .Electr., t. 84, N o 1 , Janv. 1975,
pp. 4 - 12
11. F. VIALE
Alliage fer - silicium
Techniques de 1'1ngénieur Volume Electrotech-
nique. D 195 - 1 à 11 et D 196 - 1 à 7
12. R. PAUTHENET
Théorie du magnétisme
Techniques de 1'1ngénieur. Volume Electro-
technique D 175 - 1 à 2 et D 176 - 1 à 18
13. A. BELOT
Différentes variétés de perméabilités magnéti-
ques
Techniques de lllngénieur. Volume Electrotech-
nique. D 422 -1 à 3
14. A . BUSSON
~lectricitéindustrielle. (Tome 2 : Lois
générales de llélectrotechnique
Masson éd., Paris, 1962
15. G. SEGUIER, F. NOTELET
Electrotechnique ifidustrielle
Technique et Documentation, Paris, 1977