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Édition du jeudi 17 mars 2011

à la Une Social vos chroniques


C'est à l'employeur de prouver 
Organisations professionnelles le versement du salaire Comptabilité
Interprofessionnalité  Fiscalité Les candidats aux élections 
capitalistique : une adoption cantonales de mars 2011 sous
Bruxelles propose une assiette
encadrée surveillance financière
commune consolidée d'IS
Responsabilités 
professionnelles lu, vu, entendu
Quand le conseil de cessation Social
d'activité est justifié
Les droits à Dif en cas de CDD 
chez plusieurs employeurs

agenda
Vie du cabinet
Nacre : état des lieux de la 
création d'entreprise en 
Charente-Maritime
Commissariat aux comptes
Livre vert : réactions et 
propositions
Commissariat aux comptes
Débat sur le livre vert

: : : :  à la Une : : : :
Organisations professionnelles

Interprofessionnalité capitalistique : une adoption 
encadrée
L'Assemblée nationale a entériné l'interprofessionnalité capitalistique entre métiers 
du chiffre et du droit. Ce dispositif sera fermé aux capitaux extérieurs et aux AGC. La 
compatibilité avec les activités commerciales des experts-comptables fait débat.

C'est un tournant historique. Le Parlement a définitivement adopté la collaboration 
capitalistique entre professionnels du chiffre et du droit. L'Assemblée nationale a 
validé, en seconde lecture, le texte sous-jacent, véhiculé par le projet de loi de 
modernisation des professions judiciaires ou juridiques et de certaines professions
réglementées, dans les mêmes termes que le Sénat. Le principe consiste à créer une structure capitalistique appelée 
société de participation financière de sociétés libérales (SPFPL). Il s'agit d'une holding qui accueille les sociétés dans 
lesquelles les professionnels libéraux concernés exercent. Au total, 7 métiers réglementés peuvent se structurer ainsi : 
avocats, commissaires aux comptes, commissaires-priseurs judiciaires, conseils en propriété industrielle, experts-
comptables, huissiers de justice et notaires.
Satisfaction des jeunes avocats
Cet aboutissement législatif symbolise un climat apaisé entre ces professions. "Nous sommes extrêmement 
enthousiastes sur le fond, analyse Clarisse Berrebi, présidente nationale de la section Jeunes de l'ACE (association des 
avocats conseils d'entreprises). Mais nous espérons qu'il ne s'agit pas d'une simple déclaration d'intention et que cela ne 
remettra pas en cause l'interprofessionnalité qui existe sur le terrain entre avocats et experts-comptables. En tout état de 
cause, l'équilibre économique entre les futurs associés devra impérativement être préservé", analyse-t-elle.

Qu'en est-il du côté des experts-comptables ? "Je suis satisfait sous la réserve que l'application de ce dispositif ne soit 
pas repoussée aux calendes grecques, résume Denis Barbarossa. En l'état actuel des textes, il semblerait que les 
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experts-comptables décidant d'exercer une activité commerciale ne puissent rentrer dans la SPFPL avec nos amis et futurs 
avocats, commissaires aux comptes, commissaires-priseurs judiciaires, conseils en propriété industrielle, experts-
comptables, huissiers de justice et notaires.
Satisfaction des jeunes avocats
Cet aboutissement législatif symbolise un climat apaisé entre ces professions. "Nous sommes extrêmement 
Édition du jeudi 17 mars 2011
enthousiastes sur le fond, analyse Clarisse Berrebi, présidente nationale de la section Jeunes de l'ACE (association des 
avocats conseils d'entreprises). Mais nous espérons qu'il ne s'agit pas d'une simple déclaration d'intention et que cela ne 
remettra pas en cause l'interprofessionnalité qui existe sur le terrain entre avocats et experts-comptables. En tout état de 
cause, l'équilibre économique entre les futurs associés devra impérativement être préservé", analyse-t-elle.

Qu'en est-il du côté des experts-comptables ? "Je suis satisfait sous la réserve que l'application de ce dispositif ne soit 
pas repoussée aux calendes grecques, résume Denis Barbarossa. En l'état actuel des textes, il semblerait que les 
experts-comptables décidant d'exercer une activité commerciale ne puissent rentrer dans la SPFPL avec nos amis et futurs 
associés, les avocats", ajoute-t-il.
Une holding fermée aux tiers
Une crainte qui s'ajoute à deux limites. La première concerne l'impossibilité, pour les experts-comptables comme pour les
commissaires aux comptes, d'intégrer une telle structure capitalistique s'ils décident d'ouvrir leur capital et/ou leur droit de 
vote à des professions autres que les 7 admises à constituer une SPFPL. Cela signifie, par exemple, qu'un cabinet 
comptable ou d'audit qui ferait entrer à son bord une banque ou une assurance ne pourrait, avec cette structure-là, intégrer 
une SPFPL. Un aspect qui doit plaire au conseil national des barreaux (CNB) qui en avait fait la demande (lire l'article).
Autre limite : il semble que les associations de gestion et de comptabilité (AGC) ne peuvent intégrer les SPFPL. En effet, 
cette dernière doit avoir pour objet la détention de parts ou d'actions de sociétés, ce qui exclut donc les formes 
associatives.

Ce projet de loi valide aussi l'assistance des experts-comptables aux personnes physiques dans leurs démarches 


déclaratives. Votre profession avait obtenu, en juillet 2010, cette reconnaissance en matière fiscale. Comme prévu, le 
Parlement l'a étendu aux domaines social et administratif. La confédération nationale des avocats avait pourtant tenté de 
supprimer ce dispositif (lire l'article). En vain.

Réforme de votre profession d'expert-comptable: les textes d'application en attente

Thématique Problématique
Activité commerciale de  L'exercice de l'activité commerciale de l'expert-comptable soulève deux questions. 
l'expert-comptable Premièrement, la loi du 23 juillet 2010 qui réforme votre profession fixe la nécessité, par un 
arrêté, d'encadrer cette activité. Deuxièmement, en l'état actuel des textes, il est impossible 
d'exercer conjointement le commissariat aux comptes pour l'expert-comptable qui choisira
d'exercer une activité commerciale (lire l'article).
Détention de participations Le projet de loi de modernisation des professions judiciaires ou juridiques et de certaines
financières dans des  professions réglementées posent deux conditions : que la détention soit contrôlée part le 
entreprises de toute conseil régional de l'ordre et que les conditions soient fixées par le règlement intérieur de 
nature l'ordre des experts-comptables.
Maniement de fonds Le maniement de fonds réalisé à titre accessoire qui concerne le règlement de dettes autres 
que fiscales ou sociales doit passer par les comptes ouverts dans les livres d'un fonds de
règlement créé à cet effet dans des conditions fixées par décret.
Exercice de mandats Les conditions de contrôle doivent être fixées par le règlement intérieur de l'ordre des experts-
sociaux dans toute entité comptables dans un arrêté.

Documents joints à télécharger sur le site :
Le projet de loi adopté en seconde lecture par 
l'Assemblée nationale

Par Ludovic Arbelet

Ordre des experts-comptables (133)

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Responsabilités professionnelles

Quand le conseil de cessation d'activité est justifié

Une cour d'appel juge qu'un expert-comptable n'a pas failli à son obligation de  2/7


conseil lorsqu'il recommande la cessation de l'activité d'un client en raison des 
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Édition du jeudi 17 mars 2011

Responsabilités professionnelles

Quand le conseil de cessation d'activité est justifié

Une cour d'appel juge qu'un expert-comptable n'a pas failli à son obligation de 


conseil lorsqu'il recommande la cessation de l'activité d'un client en raison des 
problèmes de santé de ce dernier. Une faute dans la gestion des ruptures des 
contrats de travail n'engage pas sa responsabilité dès lors qu'elle est sans lien avec 
le préjudice invoqué.

L'expert-comptable doit savoir s'adapter aux situations particulières auxquelles peuvent 
être confrontés ses clients. Tel était le cas d'un professionnel réalisant une mission 
d'assistance comptable et de gestion auprès de l'exploitante d'un salon de coiffure, 
dans une affaire jugée par la Cour d'appel de Nîmes.

Que s'est-il passé ? A la suite de l'hospitalisation de la cliente dans une structure psychiatrique, la cessation de l'activité 
est décidée. Le professionnel du chiffre est chargé d'assurer la gestion des ruptures des contrats de travail en cours des 
trois salariés du salon. L'un d'entre eux intente une action devant le conseil des prud'hommes. Pour mettre fin au litige, 
l'exploitante du salon (sortie de son hospitalisation) conclut une transaction avec l'ex salarié, avec versement d'une 
indemnité.
La cliente engage ensuite la responsabilité de son expert-comptable car elle lui reproche de lui avoir conseillé, par 
l'intermédiaire de son mandataire social, de cesser son activité et de ne pas l'avoir mis en garde sur les risques inhérents 
à la rupture des contrats de travail. 
Aucune alternative à la cessation d'activité
La Cour d'appel estime tout d'abord que la fermeture du salon de coiffure est justifiée car l'exploitante était la seule titulaire 
du brevet professionnel nécessaire pour exercer et était hospitalisée pour une durée indéterminée au moment de la prise 
de cette décision (l'hospitalisation a finalement duré un mois et demi). D'autant que l'exploitante "ne proposait aucune 
autre alternative", relève la Cour. Conséquence : cette cessation d'activité emportait "nécessairement" la rupture des 
contrats de travail.
Obstacle à la mise en œuvre de contacts adaptés
Et l'expert-comptable n'a pas manqué à son obligation de conseil, juge la Cour. Cette dernière conçoit que le professionnel 
n'ait pas contacté sa cliente pendant son hospitalisation pour ne pas l'accabler au vu de son état de santé. Il souhaitait lui 
"éviter des angoisses dont elle [lexploitante] cherchait au contraire à s'extraire". L'expert ne pouvait pas non plus attendre 
que la situation de sa cliente s'améliore pour prendre les mesures nécessaires car, comme le relève la Cour, la fermeture 
du salon de coiffure "nécessitait une information rapide des salariés et des mesures appropriées pour mettre fin à leur 
contrat".
Une faute sans lien avec le préjudice 
Par ailleurs, la responsabilité de l'expert-comptable ne peut être mise en cause en raison de la faute qu'il a commise lors 
de la gestion de la rupture du contrat de travail à l'origine du litige prud'homal. En quoi consistait cette faute ? Le 
professionnel avait adressé une attestation Assedic à la salariée mentionnant une rupture anticipée pour cause de 
cessation d'activité, alors que seule la faute grave ou la force majeure justifie la rupture unilatérale du contrat de travail.
Mais aucun lien n'est établi entre cette faute et le préjudice allégué par la cliente en raison du versement de l'indemnité 
transactionnelle à l'ex salarié. Car le seul préjudice aurait consisté en la perte d'une chance pour la cliente de faire valoir 
devant la juridiction prud'homale un motif légal de rupture, à savoir la force majeure. Or, la force majeure ne pouvait être 
invoquée en l'espèce : l'interruption d'activité était certes imprévisible mais n'était pas, "de façon certaine, insurmontable à 
défaut de rapporter la preuve d'une impossibilité définitive de poursuivre l'exploitation au delà de la période 
d'hospitalisation". Ce qui n'était pas le cas, selon la Cour.

Documents joints à télécharger sur le site :
Arrêt de la Cour d'appel de Nîmes du 22 février 2011

Par Céline Chapuis

Civile (65)

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Social
Par Céline Chapuis

Civile (65) Édition du jeudi 17 mars 2011

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Social
C'est à l'employeur de prouver le versement du salaire
Lorsqu'un salarié conteste le montant des sommes perçues au titre de ses salaires, il appartient à l'employeur qui 
prétend être libéré de son obligation de prouver le paiement du salaire, même si des fiches de paie ont bien été 
délivrées.

Fiscalité
Bruxelles propose une assiette commune consolidée d'IS
La Commission européenne a présenté hier une proposition de directive établissant un système commun destiné à 
calculer l'assiette de l'impôt des sociétés exerçant leur activité dans l'Union européenne. Objectif : permettre aux 
entreprises de recourir à un guichet unique pour remplir les déclarations fiscales et de consolider les profits et les 
pertes.

: : : : vos chroniques : : : :
Comptabilité

Les candidats aux élections cantonales de mars 2011 sous surveillance financière
Sur le même thème
Si les citoyens français savent que les candidats aux prochaines élections  Des obligations
cantonales sont soumis à certaines règles en matière de financement de leurs  simplifiées pour les 
campagnes électorales, peu d'entre eux les connaissent précisément. petites entreprises
Il est important que chaque citoyen électeur comprenne comment la puissance  européennes ? à la Une
publique s'assure que les candidats sont sur un pied d'égalité et comment elle 
organise le contrôle de leurs comptes. Jean-Yves Queneudec, associé référent Baker 
Crise financière : les 
Tilly France en matière de comptes de campagne, fait le point.
normes internationales
amendées à la Une
Une certaine égalité des moyens financiers mobilisés par les candidats pour se faire 
élire est la condition, selon la loi, de campagnes électorales équitables.
Huissiers de justice :
C'est dans ce sens que le législateur a œuvré, depuis deux décennies, pour rendre la 
report du plan
vie politique plus transparente, l'assainir et renforcer l'égalité des candidats. 
comptable à la Une
Des règles du jeu qui s'imposent à tous les candidats
Les candidats sont soumis à un certain nombre d'obligations : La délicate évaluation de 
- respecter un plafond maximal de dépenses. Ce plafond est calculé selon le type  la propriété 
d'élections et selon la population de la circonscription électorale. intellectuelle lu, vu,
- désigner un mandataire financier entendu
- missionner un expert-comptable pour présenter leurs comptes de campagne
- déposer leurs comptes à la Commission nationale des comptes de campagne La place du responsable
En contrepartie, ils sont remboursés partiellement de leurs dépenses, mais toujours  comptable agenda
dans la limite de leur apport personnel.
Le rôle fondamental de l'expert-comptable
L'expert-comptable a tout d'abord, dans la pratique, un rôle d'information. Il explique au candidat ce qu'il peut faire ou ne 
pas faire en matière de financement de sa campagne. S'il est missionné suffisamment en amont, il pourra conseiller le 
candidat sur les dépenses à prendre en compte et vérifier, avec le mandataire financier et le candidat, la cohérence des 
informations comptables avec les opérations réalisées. En revanche il ne lui appartient pas de s'assurer du bien-fondé 
des dépenses et des recettes des candidats.
En résumé, formé techniquement, l'expert-comptable est là pour permettre au candidat d'éviter les erreurs fatales qui 
pourraient aboutir au rejet de son compte et à son inéligibilité. Le candidat demeure toutefois responsable de la sincérité 
de son compte de campagne.
Formations spécifiques
Des formations spécifiques sont dispensées par les organismes de formation rattachés à l'Ordre des experts-comptables
pour tous les experts-comptables qui acceptent une ou plusieurs missions de présentation de compte de campagne, 
assurant ainsi aux candidats professionnalisme et indépendance. 

Parallèlement à cette mission légale, le candidat peut faire appel au membre de l'Ordre dans le cadre de missions 
contractuelles de conseil, par exemple pour sa déclaration de patrimoine.
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des dépenses et des recettes des candidats.
En résumé, formé techniquement, l'expert-comptable est là pour permettre au candidat d'éviter les erreurs fatales qui 
pourraient aboutir au rejet de son compte et à son inéligibilité. Le candidat demeure toutefois responsable de la sincérité 
de son compte de campagne.
Formations spécifiques Édition du jeudi 17 mars 2011
Des formations spécifiques sont dispensées par les organismes de formation rattachés à l'Ordre des experts-comptables
pour tous les experts-comptables qui acceptent une ou plusieurs missions de présentation de compte de campagne, 
assurant ainsi aux candidats professionnalisme et indépendance. 

Parallèlement à cette mission légale, le candidat peut faire appel au membre de l'Ordre dans le cadre de missions 
contractuelles de conseil, par exemple pour sa déclaration de patrimoine.

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: : : : lu, vu, entendu : : : :


Social

Les droits à Dif en cas de CDD chez plusieurs employeurs

Dans une réponse ministérielle, le ministre du Travail considère qu'un salarié sous 
CDD acquiert des droits à Dif à l'issue d'une ancienneté de 4 mois consécutifs ou 
non acquise "dans la même entreprise".
Dès l'instant que le salarié en CDD a travaillé au moins 4 mois (consécutifs ou non) en 
CDD, durant les 12 derniers mois (article D. 6323-1 du Code du travail), il s'ouvre
un droit individuel à la formation (Dif) portable auprès de Pôle emploi ou d'un nouvel 
employeur.
Succession de CDD dans la même entreprise
En cas de succession de CDD dans la même entreprise, le droit est ouvert dès l'instant 
que le salarié a acquis cette ancienneté de 4 mois sur les 12 dernier mois. Peu importe que cette ancienneté de 4 mois 
résulte de plusieurs CDD.
A l'issue du dernier CDD, l'employeur remet au salarié un certificat de travail mentionnant les droits à Dif que le salarié 
s'est ouverts.
Succession de CDD dans différentes entreprises ?
Qu'en est-il lorsque le salarié a effectué plusieurs CDD au sein de différentes entreprises ? Dans une réponse 
ministérielle, le ministère semble faire une lecture restrictive des conditions d'ouverture des droits à Dif pour les CDD.
La question qui lui est posée est la suivante : un salarié effectue un CDD de 3 mois dans une entreprise et un autre d'un 
mois dans une autre ? Quel droit à Dif doit mentionner la seconde entreprise sur le certificat de travail, sachant, estime le 
député auteur de la question, que "l'ancienneté requise peut être acquise dans différentes entreprises", position admise 
également par plusieurs Opca.

Il faut 4 mois dans la même entreprise
La réponse du ministre est toute autre : "les salariés sous CDD peuvent bénéficier du Dif à l'issue d'une ancienneté 
acquise dans la même entreprise de 4 mois, consécutifs ou non, au cours des douze derniers mois".
Pour le ministère du Travail, "l'employeur est redevable des droits des salariés au titre du Dif au regard de 
l'ancienneté acquise dans l'entreprise et non chez un autre employeur. Il lui appartient d'inscrire ces droits dans le certificat 
de travail mais il ne peut en revanche inscrire des droits qui résulteraient de l'ancienneté acquise chez un autre employeur 
".

Prenons deux exemples :


l Un salarié travaille 2 mois en CDD pour une entreprise et enchaîne sur un autre CDD de 5 mois dans une autre. A 
l'issue de ce contrat, le salarié remplit la condition d'accès au Dif. L'employeur mentionnera sur le certificat de travail un 
droit à Dif de 20 h x 5/12, soit 8 heures ;
 
l Un salarié travaille 1 mois en CDD pour une entreprise et enchaîne sur un autre CDD de 3 mois dans une autre. 
Dans ce cas, selon la réponse du ministre, le second employeur n'a rien à mentionner sur le certificat du salarié car le 
salarié n'a pas acquis une ancienneté de 4 mois "dans la même entreprise".

Documents joints à télécharger sur le site :
Réponse ministérielle

Par Dominique Le Roux 5/7


 
l Un salarié travaille 1 mois en CDD pour une entreprise et enchaîne sur un autre CDD de 3 mois dans une autre. 
Dans ce cas, selon la réponse du ministre, le second employeur n'a rien à mentionner sur le certificat du salarié car le 
salarié n'a pas acquis une ancienneté de 4 mois "dans la même entreprise".
Édition du jeudi 17 mars 2011

Documents joints à télécharger sur le site :
Réponse ministérielle

Par Dominique Le Roux

dif (16) cdd (8)


Déclarations sociales (302)

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Lundi 21 mars 2011

Vie du cabinet

Nacre : état des lieux de la création d'entreprise en Charente-Maritime
La Chambre de métiers et de l'artisanat de la Charente Maritime et Strego organisent une rencontre pour faire un point
sur les parcours Nacre (nouvel accompagnement pour la création et la reprise d'entreprise) dans la région, avec
un bilan des actions de 2009/2010.

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Vendredi 25 mars 2011

Commissariat aux comptes

Livre vert : réactions et propositions
Le département des marchés financiers de la CNCC (Compagnie nationale des commissaires aux comptes) organise
une réunion pour faire le point sur le livre vert suite notamment à la conférence organisée par la Commission
européenne le 10 février dernier.

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Mardi 29 mars 2011

Commissariat aux comptes

Débat sur le livre vert
L'IMA (institute of management accountants) organise un petit-déjeuner débat sur le livre vert de la Commission
européenne. Seront abordés le positionnement des réponses françaises, l'évolution des propositions de la
Commission et l'analyse des préoccupations des différents acteurs du marché. 
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Mardi 29 mars 2011
Édition du jeudi 17 mars 2011
Commissariat aux comptes

Débat sur le livre vert
L'IMA (institute of management accountants) organise un petit-déjeuner débat sur le livre vert de la Commission
européenne. Seront abordés le positionnement des réponses françaises, l'évolution des propositions de la
Commission et l'analyse des préoccupations des différents acteurs du marché. 

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