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Emmanuel d’Hooghvorst
1 Il n’est pas inutile ici, de consulter Paul Vulliaud, La Kabbale juive, éd. E. Nourry, Paris 1923.
tome I, pp. 249 et sv. Et surtout Prof. G. Scholem, Les grands courants de la mystique juive, éd.
Payot, Paris 1950. Trad. M-M. Davy.
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Voir Guy Casaril, Rabbi Siméon Bar Iocchaï et la Cabbale, Collection Maîtres Spirituels, éd.
du Seuil, Paris 1977.
3 Cécil Roth, Histoire du peuple d’Israël, éd. de la Terre Retrouvée, Paris, 1957. Cette révolte
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Son origine pose, cependant des problèmes. Le Zohar n’a commencé à
se répandre qu’à la fin du XVIIIe siècle à partir de la Castille. Le fait qu’il aurait
été inconnu avant cette époque a mis en question l’identité véritable de son
auteur. C’est le rabbin Moïse de Léon qui en répandit les premières copies, à
la fin du XIIIe siècle en Castille. Mais le manuscrit ancien que Moïse de Léon
aurait copié, n’a jamais été vu ni trouvé par personne, du moins, selon les
témoignages connus.
Dans ce livre aussi utile aux chrétiens qu’aux juifs, Israël s’est retrouvé tout
entier comme en son miroir le plus pur, avec sa foi, sa longue fidélité, son
amour profond ; avec son génie, la cabale c’est à dire, la tradition
magistrale.
sujets. Le deuxième volume fut réalisé par le Professeur Tishby seul. Cette publication fut
malheureusement interrompue après ce deuxième volume. En traduction française, il existe
celle, parfois contestable, de Jean de Pauly publié chez Maisonneuve et Larose, ainsi que
celle de Charles Mopsik, 7 vol. éd. Verdier, collection « Les Dix Paroles », 11220 Lagrasse. En
anglais : très bonne traduction, malheureusement abrégée : Thé Zohar translated by Harry
Sperling & Maurice Simon, 5 vol. éd. Soncino, London 1973.
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Voir G. Scholem, op. , cit. chap. V et VI, qui cite cette histoire.