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DEPOLLUTION II

OBJECTIF : CARRACTERISATION DU
COURS D’EAU D’OLEZOA

REALISSER PAR SUPPERVISER PAR


-NOUKUIMEU VIANNEY Pr ZEBAZE T. SERGE
-MONKAM JEFFERSON SUIVIE PAR :
-KEMINFE WACHE JUNIOR - MOANONO PATRICK
-MBIA MBA FRANCK - DJEUKAP LAURETTE

PROMO LMI 2021


PLAN DU COMPTE RENDUS 1
Objectif du TP....................................................................... .....................................2
INTRODUCTION ............................................................................................. 3
I. PRESENTATION DU SITE ET METHODES .... Erreur ! Signet non défini.
I.1. Présentation des zones de prélèvement ........................................................ 4
A. Au niveau de la source ................................................................................. 4
B. Apres la source……………………………………………………………….5
C. A la sortie de l’UYI derrière l’amphi 1001................................................... 6
C. Derrière le canal Olympia ............................................................................ 7
I.2. METHODOLOGIE ..................................................................................... 9
I.2.1. Matériels utilisés et méthodologie utilisée................................................. 9
A. Prelevement ....................................................... Erreur ! Signet non défini.
A.1 LES MESURES ........................................................................................ 13
B. LES MESURES EFFECTUEES AU LABORATOIRE ............................. 14
II. INTERPRETATION DES RESULTATS .................................................. 16
CONCLUSION ........................................................ Erreur ! Signet non défini.

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OBJECTIFS DU TP
Au terme de cette séance de travaux pratique cette, l’étudiant devra être capable, non
seulement d’évaluer l’état naturel des milieux lotiques mais également de pouvoir
observer, identifier et de remédier aux effets des pollutions d’origine anthropiques
responsables d’une modification de l’environnement. Ils pourront aussi mieux apprécier
les éléments à tenir en compte lors d’une étude d’impact environnementale et de la gestion
de ces milieux (cas pratique du cours d’eau d’Olezoa).

Situation géographique du cours d’eau

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INTRODUCTION
L’eau est une source de vie, sans elle aucun être vivant ne peut vivre. Ce principal
élément indispensable pour la vie est rependu sur tout étendu du globe terrestre ; on
la retrouve dans les milieux aquatiques qui se subdivisent en milieux marins et les
milieux continentaux. Les milieux marins sont gorgés de l’ensemble des mers et des
océans qui bordent les continents ; les milieux aquatiques continentaux regroupent
les eaux douces. En parlant des milieux aquatiques continentaux, nous avons entre
autres : les milieux aquatiques souterrains qui sont le plus souvent reparties en
nappes captives, libres et phréatiques, souvent utilisé comme eau de boisson ; les
milieux aquatiques aux eaux stagnantes ou milieux lotiques représentés par les lacs,
les étangs, les mares et les flaques d’eau ; les milieux aquatiques aux eaux courantes
ou milieux lotiques regroupent les ruisselets, les ruisseaux, les rivières et les fleuves.
Chaque année des millions de personnes, en majorité des enfants, meurent de
maladies liées au manque d'eau potable, de l'assainissement et de l’hygiène, les eaux
sont généralement contaminés par les polluants provenant des rejets des produits
chimiques par les usines (ex: azote, phosphate), des produits ménagers
(d’entretiens), engrains, déchets (bouteilles plastiques), marées noires. La pollution
qui est une dégradation de l’environnement due à un excès de matière nocive ; pour
l’eau elle a un effet dangereux pour la santé de l’homme, la prolifération des
maladies telles que le choléra, le cancer; et la disparition de certains espèces. La
pollution de l’eau est reliée à différents piliers du développement durable : pour le
social problème de la santé de la population ; pour l’environnement -> cela touche
la biodiversité et fait disparaitre les espèces ; pour l’économie de plus en plus l’eau
potable disparait, donc « l’eau c’est la vie mais elle peut aussi devenir un danger
pour ses consommateurs ».
Le Cameroun est un pays constitué de plusieurs cours d’eau formant des vastes
réseaux hydrographiques. Pour ce qui est de la ville de Yaoundé qui est située dans
la région du centre, elle est caractérisée par le bassin hydrographique du Mfoundi.
Tout au long de notre compte rendu, nous allons vous présenter les différentes zones
de prélèvements, les matériels utilisés, les paramètres physico-chimique et
hydrologique qu’on a eu à prélever puis une étude comparative des valeurs mesurées
avec celles qui sont normatives en suit nos points de vue sur la qualité de ces eaux
vis-à-vis de la population riveraine et l’environnement.

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I. DESCRIPTION DU SITE ET METHODE

 I.1. Présentation des zones de prélèvement


Au cours de notre TP dont d’entrée de jeux, il était question de faire une descente sur le
terrain et par la suite de faire le prélèvement de ces cours d’eau pour en faire une analyse.
Ainsi donc nous vous présenterons ces différentes de prélèvement :

A. Au niveau de la source (derrière l’amphi 700)


 Observation et description

Fig. 2 : Habitat
aux alentours

Fig. 1 : Source d’eau


buvable
( derrière l’amphi 700)

Fig. 3 : La latrine autour


du cours d’eau
Durant ce premier point de prélèvement, on avait observé qu’il y avait Deux points de
prélèvement d’eau où les habitants qui vivent aux alentour l’utilisent pour boire et pour les
autres besoins domestiques. Après avoir questionné des enfants qui puisaient de l’eau au
niveau de la crotte, d’après ce qu’elle disait cette eau est buvable et ne présente pas de
risque sanitaire par rapport à l’eau de forage. La source est de type laminaire.
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B. après La source

Fig5 : pollution du site


Fig.4 : 2 zone de prélèvement

Fig 6 ; pollution du site

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B. A la sortie de l’UYI derrière l’amphi 1001

Fig. 8 : Sources de
Fig. 7 : Photo du deuxième site de
pollution
prélèvement

Fig. 9: Zone réservée pour déterminer le


débit et la vitesse Fig.10 :La végétation

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 Observation et caractéristique : Une eau polluée les déchets plastiques flottante,


les excréments, avec dégagement d’une odeur nauséabonde, la végétation aux
alentour est caractérisée par les herbes, les plantes rampantes, et quelques types des
arbres, il y a aussi un manguier.

C. Derrière le canal Olympia

Fig 12: aspect d’une partie du cours d’eau

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Fig 13 : plante environnent le cours d’eau

La 4ème station est une source visiblement plus riche en hydrocarbures comme les
huiles, les graisses, dues sûrement aux activités riveraines telles que le lavage des
engins, déversements des déchets de cuisine, présence des graisses végétales. Aux
alentours, Une seule maison est située en face de ce cours d’eau et présence de 2
arbres et 1 toilette. La profondeur de cette eau est de 15cm

Fig .14 Maison environnent le


cours d’eau

Observation et caractérisation : ce cours d’eau a une vitesse faible et caractérisé par une
végétation tout autour, puis ce cours d’eau ruisselle vers le lac. Il y avait des habitants tout
autour.

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I .2 METHODOLOGIE UTILISEES POUR CHACUNE DES
VARIABLES

Matériels nécessaires

 Pour le prélèvement
- Flacon de prélèvement
- Multi paramètre
- Eprouvette 100ml et 200ml
- Hydroxyde de sodium NaOH(N/20)
- phénophtaléine
 pour l’analyse
- oxymètre HQ30d
- éprouvette de 50ml
- burette graduée
- agitateur magnétique
- barre aimantée
- chlorure d’hydrogène HCL
- piécette
- respirometre
- vaseline
- hydroxyde de potassium KOH
- bouteille de DBO de 175 ml
- rouge vert de méthyl bromocresol (N/50)
- spectrophometre
- cellule spectrophotométrie10 ml
- l’eau distille
- flacon de 20ml
- comprime de nitrite
- comprime de nitratest
- comprime de phosphate
- comprime d’azote ammoniacal 1
- comprime ammoniacal 2

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Prélèvement et analyse

Pendant notre descente sur la cour d’eau D’OLEZOA au niveau des 04 stations de
prélèvement on a eu prélevé certains données tels que : la vitesse, la section mouillé, le
ph, la conductivité, la température, le TDS, la salinité, l’échantillon d’eau de ces
différentes stations et ensuite nous avons fixé le dioxyde de carbone de chaque
échantillons d’eau. Pour cela bien des méthodes ont été mis en place tels que pour :
 Le prélèvement d’échantillon d’eau :
- après avoir bien lavé notre boite,
- on le rince avec l’eau de la station,
- on l’introduit ensuite dans cette même eau sans toutefois faire de bulle et
on referme notre boite dans l’eau avant de le ressortir.
- Ensuite on étiquette notre boite avec le numéro de la station où s’est fait le
prélèvement.
 La fixation du dioxyde de carbone : pour ce faire nous avons besoins des solutions
tels que le NaOH, la phénolphtaléine et d’une éprouvette graduée de 200ml.
- On rince d’abord notre éprouvette de 200ml avec l’échantillon d’eau
- On mesure à partir de notre éprouvette, 20ml de NaOH
- On ajoute 2 à 3 gouttes de phénolphtaléine
- On complète ensuite notre éprouvette de 200ml avec 180ml d’échantillon
d’eau.
- Ensuite on l’introduit dans un flacon au préalable bien lavé et rincé avec
l’échantillon d’eau.
- Ensuite on étiquette notre flacon qui portera le numéro de la station où l’on
se trouve.
 La vitesse : on a besoin ici d’un chronomètre, d’un corps léger, d’un point de
départ et d’arriver donc la distance que notre corps léger doit parcourir.
- Après avoir fixé la distance

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- Lancer notre corps léger sur le point de départ de ce pas déclenché le
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chronomètre
- Stopper le chronomètre lorsque le corps léger arrive sur le point d’arriver
- Relever le temps
- Ensuite diviser la distance sur le temps pour trouver la vitesse d’écoulement
de l’eau sur cette partie de la cour d’eau (station).
 La section mouillée : la cour d’eau a une forme carré donc facile de d’obtenir la
section.
- Prendre un bâton de longueur estimé
- Le plonger dans la cour d’eau et marquer le niveau de l’eau sur le bâton,
- Ensuite mesuré à l’aide du mètre la profondeur du cour d’eau sur le bâton,
- Mesuré à l’aide du mètre la largeur du cour d’eau
- Ensuite pour obtenir la section mouillé multiplier la profondeur l’eau à la
largeur du cour d’eau ; on obtient alors la section mouillé de cette partie de
notre cour d’eau (station).
 Le ph, la conductivité, la température, le TDS et la salinité se mesure sur le terrain
à l’aide d’un spectromètre
- Prendre l‘aide d’un sceau de l’eau de la station
- Rincer la sonde du spectromètre avec l’échantillon d’eau
- Ensuite plonger à l’intérieur du sceau à l’abri du rayonnement salaire
- Puis relever les différents paramètres tout en changeant le mode sur
l’appareil de mesure.
Pour ce qui est des données relever au laboratoire cela grâce aux échantillons d’eau et au
dioxyde de carbone fixé des différents stations on a pu mesurer l’oxygène dissout dans
chaque station, titrer le dioxyde de carbone des différentes stations, faire un test
d’alcalinité des stations, DBO5, utiliser un photomètre.
 Mesurer l’oxygène dissout : nous permet de voir si le milieu est favorable pour les
organismes qui s’y trouvent. Cela se fait grâce à un oxymètre ; on procède comme
suite :
- A chaque échantillon d’eau (station) rincer la sonde de notre oxymètre dans
de l’eau distillée avant de le plonger pour la lecture. .

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- Introduire la sonde dans l’échantillon d’eau
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- Appuyer sur lire sa donne la teneur en oxygène en mg/l et en %
- On attend sa se stabilise jusqu’à ce le Cardenas fermé apparait sur l’écran de
notre oxymètre et on le relève.
 Titrer le dioxyde carbone : nous permet d’obtenir la quantité de matière qui a été
dissout par les microorganismes, le procédé est le suivant :
- Prélever 50ml d’eau de la solution de dioxyde de carbone fixé sur terrain
dans une éprouvette
- Brancher l’agitateur magnétique ; ça vas permettre d’homogénéiser la
solution
- Ouvrir la vanne de la burette graduée goutte après goutte après avoir
introduire du HCL C=1/10 dans la burette
- Nous lisons ensuite la titration après que la couleur de la solution est
changée.
- Rincer avec de l’eau distillée l’éprouvette avant de passé à une autre station
 Test d’alcalinité : ce test nous permet de connaitre la quantité de proton H+ qu’il
Ya dans les différents stations. Pour cela on procède comme suite :
- On prend 50ml de l’échantillon d’eau que l’on introduit dans un bécher
- On met ensuite 2 à 3 gouttes d’indicateur coloré rouge vert de
méthylbromoxésol
- On déposer ensuite le bécher contenant la solution sur du papier directement
sur l’agitateur magnétique
- On titre ensuite l’acide sulfurique à C=N/50 que l’on introduit dans la
burette graduée et on ouvre légèrement pour laisser passer quelque gouttes
dans le bécher qui sera ensuite remuer à l’aide d’un barreau aimanté que l’on
introduit dans le bécher.
 La DBO5 (demande biologique en oxygène) : l’indicateur à DBO5 nous permet de
mesurer la demande en oxygène du milieu Ti=21°C. pour cela on procède comme
suite :
- On prend 157ml d’eau d’échantillon pour l’introduire dans notre bouteille à
DBO5

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- Besoin de vaseline pour bien fixer le bouchon et empêcher les fuites de gaz,
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empêcher l’échange
- Le KOH à l’intérieur du capuchon pour capter le dioxyde carbone ou fixer
tout le dioxyde carbone renvoyer par les bactéries
- Une montée de mercure qu’on lit plus il y a dépression, plus le mercure ne
monte
- On laisse 5jours pour la lecture
- En principe la DBO se fait en 21jours mais en 5 jours on a 95% ceci se fait à
l’obscurité à 21°C
 Utilisation d’un Photomètre : cela permet de mesurer le paramètre physico-
chimique de l’eau tel que : la turbidité, la couleur, le phosphate, le nitrite, l’azote
ammoniacale, le nitrate. La mesure de ses paramètres se procède comme suite :
Tout d’abord on doit prendre 10ml d’échantillon d’eau le mètre dans le creux du
photomètre puis on ferme ; le témoin c’est l’eau distillé pour les paramètres qui ne
nécessite pas de réactifs et l’eau d’échantillon pour les paramètres qui nécessite les
réactifs. Et enfin toujours Agiter l’échantillon avant de mesures les paramètres
nécessitant les réactifs comme l’azote ammoniacale, le nitrite, le nitrate, le phosphate ;
qui se préparent comme suite :
- La turbidité en (Ftu) et la couleur en (mg/l) qui sont des paramètres qui ne
nécessite pas des réactifs donc on utilise de l’eau distillé pour l’étalonner
notre photomètre pour une bonne lecture des données.
- Mettre le nitrite dans tous les échantillons 1 comprimé de nitrite pour
chaque échantillon de 10 ml d’eau d’échantillon patienter 10 minutes avant
de le mettre dans le trou du photomètre
- Pour ce qui est du nitrate on introduit dans 20ml d’eau d’échantillon une
culière de poudre de nitratest plus un comprimé de nitratest et on laisse
reposer pendant 10 minutes après avoir prélever 10ml dans le tube.
- On introduit également du phosphate dans les autres tubes de 10ml
d’échantillon et patienter 5 minutes avant de le passer dans le photomètre
- L’ammoniac 1 se met avant l’ammoniac 2 on agite le tube puis on patiente
10 minutes avant de le passer sur le photomètre.

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Fig. 15: multi paramètre


Fig .16 : échantillon prélevé sur le terrain

LES MESURES obtenue sur le terrain avec le multi paramètre


paramètres vitesse Section profondeur(m) Ph T Conductivité Salinité
(m/s) mouillée(m) ’ (ms) TDS

1ère station 0.40 0.21 0.04 2.12 25.3 95.3 61.5 44.3

2ème station 0.34 0.6 0.06 4.01 27 117.3 82 56.5

3ème station 0.17 1 0.30 4.60 29.2 124.1 85.2 61.3

4ème station 0.09 1.8 0.15 0.76 29 109.2 75.6 118

Mesure obtenu au laboratoire

Titrage du CO2 le CO2


Mesure de l’oxygène
Valeurs en mg/L
Mesure Mesures en
en mg/l %

6.53 93.6 Site 1 12.32


Site 1
Site 2 22.88
Site 2 3.14 45.6
Site 3 36 .96
Site 3 0.42 6.1
Site 4 26.4
Site 4 1.38 19.6

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Mesures des paramètres Physico-chimiques
Alcalinité
Site Site Site Site
Valeurs
1 2 3 4
en mg/L
Turbidité 0 60 34 34
Site1 14
(FTU)
Site 2 14
Couleur 15 520 310 230
Site 3 22
(mg/l de
Site 4 10
Platinium de
cobalt)
Nitrite (mg /l 60 1100 5 10
de nitrite)
Phosphate 9.4 7.7 30.9 22.5
(mg /l de
phosphate)
Azote << 0.07 << <<
ammoniacal
(mg/l azote
ammoniacal)
4.30 0.84 4.5 2.90
Nitrate

Paramètres S1 S1E S2 S3 S3E S4 S4E


Température Vert / vert jaune jaune orange Jaune
(°C)
pH (u.c) Vert / Vert Vert Vert Vert Vert
MES (mg/L) Bleu Bleu Vert Jaune Bleu Bleu Vert
Turbidité (FTU) Bleu Bleu Bleu Vert Bleu Bleu Bleu
Nitrites (mg/L) Rouge Jaune Rouge Rouge Bleu Rouge Bleu
Nitrates (mg/L) Bleu Bleu Bleu Bleu Bleu Bleu Bleu
Ortho Bleu Bleu Bleu Bleu Bleu Bleu Orange
phosphate
(mg/L)
Azote Bleu Bleu Bleu Vert Bleu Bleu Vert
ammoniacale
(mg/L)

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II. INTERPRETATION DES RESULTATS 16

LA REGLEMENTATION :

INTERPRETATION DES PARAMETRES: Nous pouvons dire que la station la plus polluée est celle du
groupe 3, donc le lac est plus pollué par rapport aux autres eaux prélevées. Il est à préciser que l’eau
prélevée au niveau de la crotte est potable car présente aucune matière en suspension avec une
température qui est acceptable de 24.7 et un Ph de 6.5 qui est normal.
Au niveau de l’exutoire, le prélèvement effectué par le groupe 3 cette eau est moins polluée par
rapport autres prélevées au niveau de l’exutoire

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Conclusion 17
Partant du constat que l’eau détenue en commun dans le respect des règles de
l’environnement ne disparaitra pas, l’approche patrimoniale qui se soucie de la gestion du
milieu naturel leur protection et leur transmission aux générations futures, La gestion
intégrée des ressources en eau renvoie à des réalités multiples, et à des processus souvent
longs et progressifs. Il apparaît cependant certains fondements et objectifs communs tels
que La prévention est à privilégier par rapport aux solutions curatives : il est plus lourd,
plus coûteux de restaurer une ressource en eau que d'agir sur les causes de sa dégradation
et Les différents usagers de l'eau et de l'espace produisent des impacts à des degrés divers
sur les ressources en eau. La responsabilité de chacun implique alors une solidarité de fait
entre les usagers qu'il convient d'intégrer dans les procédures de gestion. Rolf Kipfer et
David M. Livingstone, chercheurs à l’Institut fédéral Eawag affirme : “Les changements
climatiques et environnementaux se produisent bel et bien et leurs effets sur les eaux et les
ressources en eau potable sont d’ores et déjà mesurables. “ Allant dans le même sens que
lui nous nous interrogeons sur l’impact du changement climatique et environnemental sur
la gestion durable de l’eau. on peut donc conclure que le cours d’Olezoa est une eau potable
à la source, mais a causes de la mauvaises gestion des déchets des habitants tout au long
du cours d’eau, on se rend compte que l’eau fini par être pollué. pour assurer une meilleur
qualité de l’eau à la fin du cours d’eau, faut accentuer la sensibilisation pour une meilleur
gestion des déchets .le TP malgré la fatigue c’est plutôt très bien passer et nous somme
sortir de cette séance en étant encore plus instruit et édifier sur la gestion de la pollution
d’un système aquatique-systeme lotique .

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