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• Une entité est une population d’individus.

• Une association est une liaison qui a une signification précise


entre plusieurs entités.
• Un attribut est une propriété d’une entité ou d’une association.
• Chaque entité doit posséder un attribut sans doublon :
l’identifiant que l’on souligne sur le schéma, par convention.
• La cardinalité d’un lien entre une entité et une association
précise le minimum et le maximum de fois qu’un individu de
l’entité peut être concerné par l’association.

Notations : on dit qu’une association binaire (entre deux entités ou


réflexive) est de type :
– 1 : 1 (un à un) si aucune des deux cardinalités maximales n’est n;
– 1 : n (un à plusieurs) si une des deux cardinalités maximales est
n;
– n : m (plusieurs à plusieurs) si les deux cardinalités maximales
sont n.

Règle 1 : toute entité devient une table dans laquelle les attributs
deviennent les colonnes. L’identifiant de l’entité constitue alors la clé
primaire de la table.

Règle 2 : une association binaire de type 1 : n disparaît, au profit


d’une clé étrangère dans la table côté 0,1 ou 1,1 qui référence la clé
primaire de l’autre table. Cette clé étrangère ne peut pas recevoir la
valeur vide si la cardinalité est 1,1.
Il ne devrait pas y avoir d’attribut dans une association de type 1 :
n, mais s’il en reste, alors ils glissent vers la table côté 1.

Règle 3 : une association binaire de type n : m devient une table


supplémentaire dont la clé primaire est composée de deux clés
étrangères (qui référencent les deux clés primaires des deux tables
en association). Les attributs de l’association deviennent des
colonnes de cette nouvelle table.

Règle 4 : une association binaire de type 1 : 1 est traduite comme


une association binaire de type 1 : n sauf que la clé étrangère est
intégrée dans la table coté 1,1. Si les deux côtés sont de cardinalité
0,1 alors la clé étrangère peut être placée indifféremment dans l’une
des deux tables.

Règle 5 : une association non binaire est traduite par une table
supplémentaire dont la clé primaire est composée d’autant de clés
étrangères que d’entités en association. Les attributs de l’association
deviennent des colonnes de cette nouvelle table.

• Il faut d’abord créer la base de données en utilisant la


commande Fichier - Nouvelle base de données.
• A partir de cette BD, il est possible de créer les tables. Il faut
indiquer pour chaque table, son nom et ses champs. Chaque
champs possède un nom, un type et une taille.
Chaque table doit contenir au moins une clé primaire.

• Une fois toutes les tables crées, on les relie. Pour cela, on
clique sur le bouton Relation du menu OUTILS DE BASE DE
DONNEES.
Dans la fenêtre Relation, on ajoute les tables.
Prendre l’attribut d’une table et le mettre sur l’attribut de
l’autre table pour lequel il est en correspondance (jointure,
liant une clé principale ou primaire et une clé secondaire ou
externe).
Appliquer l’intégrité référentielle (une ou plusieurs ?).
Si vous vous êtes trompé, en cliquant avec le bouton droit
vous pouvez soit modifier la relation, soit la supprimer.

Pour insérer des données dans les tables, dans la fenêtre Base
de données, on clique sur le nom de la table sélectionnée et
on saisie les données.

Pour gagner du temps, ACCESS dispose d’un assistant de


création des formulaires. Pour créer un formulaire on clique
d’abord sur l’onglet “ Formulaires ” puis sur “ nouveau ”. Dans
la fenêtre Nouveau, choisir “ Assistant Formulaire ”, puis
cliquez sur la zone de saisie “ Choisissez la table ... ”. Entrez
alors le nom de la table liée au formulaire en création, et
validez par le bouton “ok”.
Access ouvre une fenêtre permettant de choisir les champs
que l’on veut faire apparaître dans le formulaire. Puis on clique
sur le bouton “ suivant ”.
L’assistant propose de choisir la présentation du formulaire :
“ Justifié ”, “ Tabulaire ” …. puis le bouton “ suivant ”.
Pour ajouter ou modifier le formulaire, il faut l’ouvrir en mode
création, d’abord en le sélectionnant à la souris, puis en
cliquant sur le bouton “ Modifier ”.
Le formulaire apparaît en mode création. Vous pouvez
sélectionner n’importe quel élément de la fiche et le déplacer,
l’agrandir, l’effacer ou modifier ses propriétés.
Pour ajouter un bouton ou une zone de liste …., il faut d’abord
afficher la boite à outils. Si ce n’est pas le cas, il suffit de
cliquer sur l’icône ‘Boîte à outils’

Un sous-formulaire est crée à partir de la boîte à outils.


Dans l’assistant, il faut indiquer la table à afficher en cliquant
sur “ Tables ”. Puis valider avec le bouton “ Suivant ”.
Par la suite, il faut sélectionner les attributs de la table à
afficher.

Les requêtes servent à afficher uniquement certaines données


contenues dans les tables selon certains critères. La requête de
sélection est la plus utilisée. Elle permet de sélectionner des
enregistrements, de faire des calculs et des regroupements.

Cela s’effectue grâce à la commande SELECT, qui retourne des


enregistrements dans un tableau de résultat. Cette commande peut
sélectionner une ou plusieurs colonnes d’une table.

SELECT champs1, champs2….


FROM table
WHERE condition
GROUP BY expression
HAVING condition
ORDER BY expression

Cette requête SQL va sélectionner (SELECT) les champs « champs1,


champs2….» provenant (FROM) du tableau appelé « table ».

Il est possible de retourner automatiquement toutes les colonnes


d’un tableau sans avoir à connaître le nom de toutes les colonnes.
Au lieu de lister toutes les colonnes, il faut simplement utiliser le
caractère « * » (étoile).
Pour éviter des redondances dans les résultats il faut ajouter
DISTINCT après le mot SELECT.

La commande WHERE dans une requête SQL permet d’extraire les


lignes d’une base de données qui respectent une condition. Cela
permet d’obtenir uniquement les informations désirées. Les
opérateurs logiques AND et OR peuvent être utilisées au sein de
la commande WHERE pour combiner des conditions.

Il existe plusieurs opérateurs de comparaisons. Les opérateurs les


plus couramment utilisés sont :

O p é r at e ur D e s c ri p t i o n

= Égale

<>, != Pas égale

> Supérieur à

< Inférieur à

>= Supérieur ou égale à

<= Inférieur ou égale à

IN Vérifie si une colonne est égale à une des valeurs comprise dans un
ensemble de valeurs déterminés. C’est une méthode simple pour vérifier
si une colonne est égale à une valeur OU une autre valeur OU une autre
valeur et ainsi de suite, sans avoir à utiliser de multiple fois l’opérateur
OR.

BETWEEN Sélectionne un intervalle de données. L’intervalle peut être constitué de


chaînes de caractères, de nombres ou de dates.

LIKE Recherche d'un modèle en spécifiant le début, milieu ou fin d'un mot.

IS NULL Valeur est nulle

IS NOT Valeur n'est pas nulle


NULL

La commande GROUP BY est utilisée pour grouper plusieurs


résultats et utiliser une fonction de totaux sur un groupe de résultat.
Il existe plusieurs fonctions qui peuvent être utilisées pour
manipuler plusieurs enregistrements :
• AVG() pour calculer la moyenne d’un set de valeur.
• COUNT() pour compter le nombre de lignes concernées.
• MAX() pour récupérer la plus haute valeur.
• MIN() pour récupérer la plus petite valeur.
• SUM() pour calculer la somme de plusieurs lignes.

La condition HAVING en SQL est presque similaire à WHERE à la


seule différence que HAVING permet de filtrer. Cela permet de
SÉLECTIONNER les colonnes DE la table « table » en GROUPANT les
lignes qui ont des valeurs identiques sur la colonne « colonne1 » et
que la condition de HAVING soit respectée.

La commande ORDER BY permet de trier les lignes dans un résultat


d’une requête SQL. Il est possible de trier les données sur une ou
plusieurs colonnes, par ordre ascendant ou descendant.

Dans le langage SQL une sous-requête (aussi appelé « requête


imbriquée » ou « requête en cascade ») consiste à exécuter une
requête à l’intérieur d’une autre requête. Une requête imbriquée est
souvent utilisée au sein d’une clause WHERE ou de HAVING.

Pour créer des requêtes SQL sous Access, il faut aller dans le menu
REQUETES et choisir CREATION DE REQUETES. Par la suite, ajouter
les tables à utiliser.
Il faut ensuite, choisir les champ qui nous intéresse pour faire la
sélection, et ceux qui vont être affichés.

Il est possible de mettre les critères de sélection. S’ils sont sur la


même ligne, il s’agit d’un "AND". Pour faire un "OU", on utilise la
ligne suivante.

Il est aussi possible de faire un trie sur un ou plusieurs champs en


spécifiant s’il est croissant ou décroissant.

Access met à notre disposition d’autres opérateurs :

O p é r at e ur E q u i v a l e n t SQ L

Entre Between

Dans In

Est Is pour Is Null / Is not Null

Comme Like

Pas Not
Une fois la requête créée, pour l’exécuter et voir le résultat, il suffit
cliquer deux fois sur le nom, soit faire Ouvrir soit utiliser le menu
dans la fenêtre Requête.
Si l’on effectue régulièrement la même requête sélection en
changeant la valeur de la condition, il est possible de gagner du
temps en créant une requête avec un paramètre. Dans la cellule
Critère en indique une "invite" entre crochets.

Si vous voulez supprimer les doublons, faites un clic droit dans la


partie grise où se trouve les tables et choisir « Propriétés ».
Sélectionner « valeurs distinctes » et mettre « oui ».

Pour créer une requête de type partitionnement, il faut créer une


nouvelle requête en création, choisir les tables et clic droit dans la
partie basse (où l’on saisit le champ), choisir « Totaux », une ligne
« opération » se créé. En plus de la somme et de compte, il existe
d’autres opérations possibles :

O p é r at e ur E q u i v a l e n t SQ L

Compte Count

Max Max

Min Min

Moyenne Avg

Premier First

Dernier Last

Somme Sum

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