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QUESTION 1

Depuis le début de l’humanité, l’échange a toujours existé, les chasseurs de

certains villages par exemple allaient chasser pour ramasser toutes les formes de
gibiers, tandis que d’autres plutôt aptes à user de leurs talents d’agriculture, cueillir
des récoltes de blé, de riz, et de fruits et légumes… Les hommes décidaient de se
réunir dans des marchés et d’échanger leurs biens en fonction de leurs besoins.
L’agriculteur échange alors un bien par un autre. C’est l’évolution de la notion du
troc. La situation évolue et les biens possèderont différentes valeurs en fonction de
la rareté et de la difficulté de parvenir à l'obtention naturelle du bien. On a vu ainsi
la création d’une monnaie marchande, mais au fil du temps les inégalités des
échanges étaient importantes, la monnaie était difficilement divisible et il était
difficile de la conserver. D’où la création, par conséquent des pièces de monnaie en
bronze ou en métal précieux puis sur un support papier qui rentre aujourd'hui dans
la catégorie de la monnaie fiduciaire, ce qui inclut que l’étude de la monnaie d’un
point de vue macroéconomique évolue a travers le temps.

La monnaie est définie alors comme étant : le stock d’actifs pouvant être
facilement utilisé pour effectuer des transactions, cette définition englobe par
conséquent l’ensemble des monnaies.

Quelle est la forme de monnaie la plus utilisée aujourd’hui ? Cette évolution s’est
faite au détriment de quelle forme de monnaie? Et à quelle forme aboutirait-t-elle à
l’avenir ?

L'analyse se fera premièrement par l’explication des formes de monnaies actuelles

les plus utilisées, puis d’un éclaircissement que le système mondial financier tend
vers une dématérialisation de la monnaie.

De nos jours dans les systèmes bancaires ainsi que dans les systèmes
économiques décentralisés, on trouve essentiellement 3 sortes de monnaies (plus
ou moins différemment).

Premièrement la monnaie fiduciaire, constitue de monnaie métallique (sous forme

de pièces) et de la monnaie en papier (billets). Ces deux formes sont régies
directement par la banque centrale du Canada. On peut les regrouper dans une
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seule catégorie le numéraire. Par conséquent elle n’a de valeurs que d’un point de
vue symbolique à savoir : l’attribution d’une appellation et d’une valeur d’un bout
de papier par la banque centrale.

Deuxièmement la monnaie scripturale, « Scriptural » signifie « écriture » en latin.

La monnaie scripturale est donc une « monnaie d’écriture ». Cette monnaie est
créée par le mécanisme du crédit, dans les limites qui sont imposées aux
établissements de crédit (réserves obligatoires, etc.), et détruite par l'extinction des
dettes sous-jacentes (remboursement de prêt, etc.).Elle correspond aux avoirs
bancaires (dépôts à vue) détenus par les agents économiques dans les différents
établissements de crédit (banques, centres de chèques postaux, caisses d’épargne).
Ces avoirs sont inscrits au crédit des comptes bancaires. D’après une distribution
de la masse monétaire elle contribuerait à 90 % de celle-ci. Ceci peut être
expliquée par les politiques et les stratégies utilisées par les banques et les
préférences des consommateurs. Par conséquent la monnaie scripturale est
beaucoup plus utilisée que la monnaie fiduciaire de nos jours, malgré l’émergence
incroyable des monnaies virtuelles. On remarque ainsi qu'un grand flux.

Il existe un troisième type de monnaie, la monnaie virtuelle ou la crypto monnaie.

Il est en plein essor, il s’agit d’une monnaie décentralisée suivant ainsi un procédé
nommé la "bloc Chain". Bitcoin, comme la plupart des crypto-monnaies, dispose
d’un approvisionnement limité et tres contrôlé - contrairement à la monnaie
fiduciaire que les banques peuvent tout simplement créer à partir de rien et plutôt
facilement,selon leur évaluation des besoins économiques d’un pays. Notons
cependant que le marché des cryptomonnaie est beaucoup plus réduit , par
conséquent très volatile comparée a celui de la monnaie fiduciaire. Ce qui est sans
doute l’une des raisons pour lesquelles les crypto-monnaies ne sont pas encore
complètement appliquée et accepte dans toutes les institutions financières .mais
l’économie crypto se développant et devenant plus mature, la volatilité diminuera
très certainement.

La monnaie est divisible en 2 types, la monnaie scripturale est la plus utilisée de

nos jours et on voit l’appariation et la hausse de la valeur du bitcoin qui peut être
un jour deviendrait un jour la nouvelle monnaie d’échange dominante.
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2. Commentaire de texte

« On reconnait traditionnellement trois fonctions à la monnaie : une fonction de

calcul économique, une fonction d’intermédiaire des échanges et une fonction de
réserve de valeur.

Une monnaie parfaite remplirait ces trois fonctions, cependant la fonction

d’instrument de paiement est essentielle en matière de définition de la monnaie.
Dans certains cas, l’unité de compte peut êtredissociée de la monnaie de paiement :
ce fût le moyen âge, c’est souvent le cas en matière d’échanges internationaux ;
dans d’autres cas, une monnaie peut très mal remplir sa fonction de réserve de
valeur, par exemple, en période d’inflation, et surtout une multitude d’actifs
liquides peuvent remplir une fonction de réserve de valeur sans être de la monnaie,
c’est-à-dire des instruments de paiement »

Commentez cette citation en tenant compte des questions suivantes. a. Y’a-t-il une
seule manière de définir la monnaie ? La monnaie est elle un réel enjeu dans
l’économie ?

D’après notre analyse sur la monnaie la plus utilisée de nos jours, nous avions
définit objectivement ce qu’était une monnaie. Ainsi, on sait que
traditionnellement la monnaie remplie 3 grandes fonctions, calcul économique,
intermédiaire des échanges et une fonction de réserve de valeurs. D’après le texte
on remarque deux axes d’analyses distinctes, des arguments en faveur des 3
fonctions et une autre conception qui serait en opposition et qui pourrait même être
qualifiée de saboterie. Y’a-il une seule manière de définir la monnaie ? Quels sont
les facteurs qui nous garantissent ces 3 fonctions et vice-versa ?

Il s’agit dans un premier temps à définir les termes expliqués dans le texte suivant
puis de présenter les deux axes distincts.

Les trois grandes fonctions de la monnaie sont les suivantes.

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La monnaie permet de se rendre compte de la valeur relative des biens, et de faire

des choix en conséquence. Elle rend ainsi possible le calcul économique, c’est-à-
dire la spéculation de l’emplacement et des quantités de ressources là où elles sont
utiles, selon leur usages. Cette fonction correspond à l’unité de compte.

Deuxièmement, la monnaie permet l’épargne, c'est-à-dire l’accumulation de

capital. Autrement dit, l’investissement, ou la création d’entreprise. L’épargne
permet donc le développement, la croissance de long terme. Mais il faut pour cela
que la monnaie soit stable, c’est-à-dire qu’il est possibilité d’épargne à long terme,
que la monnaie ne perd pas de sa valeurs propre.

La deuxième partie du texte énonce que la monnaie peut mal remplir quelques
fonctions en quelque cas. Par exemple celle de la fonction de réserve de valeurs.
La création de monnaie augmente la taxe d’inflation et implique une perte de
pouvoir d’achat. Dans certains domaines la précarité économique empute la
croissance de l’inflation comme pour le cas de l’informatique, ce qui est
caractérisée par une quantité constante de monnaie et d’une croissance due aux
progrès technologique et commercial qui rendent meilleure les marche et les
produits. Mais dans l’économie en général, la taxe inflationniste implique une perte
colossale visible pour tous les utilisateurs de la monnaie.

4.

La crise de 2020, liée à la pandémie du Covid 19, celle qui succède à celle de 2008
qui était marquée par une forte hausse des prix du pétrole et des produits agricoles,
peut être comparable aux crises antécédentes. La différence se fait sur la gravité de
la situation, la crise de 2020 demeure la crise la plus importante. Elle pourrait être
aussi une conséquence énorme d'une mauvaise reconstruction depuis 2008. cette
dernière, avait créé une mauvaise gestion des dettes locales et intercontinentales
ainsi qu’une mauvaise gestion de la monnaie. Aujourd'hui on parle ainsi de crise
majeure, la situation est en crash boursier et la réponse à la question peut être assez
ambiguë tant que la crise pandémie n’est pas finie. Ainsi les tiers de confiance à
savoir les banques centrales perdent de leur importance dans le monde ce qui peut
à long terme impliquer une instabilité économique et politique. Avant la crise la
situation financière n’étaient pas aux meilleures on pouvait apercevoir l’existence
de taux négatifs, ce qui n’existait pas avant la crise de 2008, et ceci est directement
due au surendettement et à la la gestion des ressources financières et des politiques
monétaires. Aujourd'hui la Deutsch banque la banque systémique la plus
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prestigieuse dans l'échelle continentale européenne est techniquement morte. Ce

qui par conséquent poussera les pays de la zone européenne a un surendettement.
L’Europe reste un indicateur de cette crise puisque l’épicentre de la maladie
pandémie s’y trouve potentiellement concentré.

D’un autre point de vue, la crise du Covid 19 peut se faire expliquer très
simplement. Le PIB diminue puisque les individus sont confinés voir mis en
quarantaine chez eux donc il y a moins de dépenses moins de revenu et moins de
richesse donc une crise, un ralentissement économique et une récession. D’un point
de vue financier, les prix des actions en bourses correspondent à la valeur des
entreprises donc les actions diminuent (par spéculation il est meilleur de vendre)
donc il y a une baisse des prix. On peut remarquer cette baisse avec plusieurs
indices mais l'indice le plus médiatisé est celui du pétrole. Depuis 1985 il y a une
consommation de pétrole très importante donc une grande production. Mais s'il y a
récession il devrait y avoir moins de production de pétrole. La marche financière
ainsi basée sur la spéculation, spécule sur une baisse puisque le pétrole ne devrait
pas être chère cher donc les financiers parient sur la baisse du baril donc le pétrole
baisse de 50 %. L’offre est supérieure à la demande et il a ya eut un krach boursier,
ceci est aussi accompagné par des tensions géopolitiques entre l’Arabie Saoudite
quelques pays du golf et la Russie. (à reformuler)

Maintenant, les analystes politiques et économiques, ainsi que les analystes

pensent à des solutions pour sauver de la bourse et de minimiser les dégâts d’une à
échelle macroéconomique. Dans le cas de l’Europe les solutions seraient de limiter
les activités bancaires ainsi que les prêts importants qui pourraient mener à une
situation de précarité financière. Donc une interdiction des banques a joué dans les
marchés financiers, et une favorisation des transformations majeures des banques,
et de les encourager à être des acteurs plus actifs dans l'économie réelle. Ainsi par
exemple, la Banque centrale libanaise maintenant et est complément détruite
D’d’après, Bernard Liter, le futur de la monnaie, demeurent dans une stratégie de
résilience monétaire c’est-à-dire une recommandation à opter pour des monnaies
locales, pas seulement à l’échelle d’une ville, dans des clubs ainsi que les
syndicats, permettront de préserver l’emploi et la dynamique économique, donc la
meilleure stratégie de nos jours serait un cloisonnement face à la crise mondiale.
Une mobilisation vers le Bloc Chain serait aussi une solution. Les pays européens
pourraient sortir de la zone euro.
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