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FRANCÉS CON ORIENTACIÓN EN ARTES Y PATRIMONIO CULTURAL. PROF MÓNICA GIRAUD.

2020

UNIVERSIDAD NACIONAL DE CUYO


FACULTAD DE FILOSOFÍA Y LETRAS
DEPARTAMENTO DE FRANCÉS

ARTES Y PATRIMONIO

AUTRICE Giraud, Mónica. PROFESORA ASOCIADA INTERINA SEMIEXCLUSIVA

BREVE REVUE DE L’ARCHITECTURE DE MENDOZA. ENVIRONNEMENT ET VILLE

Il y a très peu d’exemples d’architecture antérieure au XX siècle et ceux que l’on trouve constituent le peu
de matériel archéologique disponible. Cette situation est due à que la ville a été dévastée par le
tremblement de terre de 1861. Les Espagnols sont arrivés à Mendoza en descendant par las Cuevas, ayant
traversé la haute montagne qui la sépare du Chili. Pour cela, ils ont cherché les traversées entre ses
montagnes pour arriver aux vallées. Le paysage de la montagne contrastait avec celui du désert agreste à
ses pieds. Les Espagnols ont trouvé que les indigènes habitaient des maisons très précaires construites avec

de la boue et de la « quincha », une plante à longues tiges fines. Il n’y avait


pas de constructions en pierre. La « quincha » était mélangée avec de la boue, obtenant une pâte bien
pétrie, qu’ils faisaient sécher au soleil. Ils construisaient une armature, avec des branches d’arbustes et avec
la « quincha » ils bâtissaient le mur. Ils s’installaient près des cours d’eaux, liquide vital pour la survie dans
le désert, mais qu’en été débordaient et changeaient leur cours, provoquant des dégâts. Les indigènes ont
fait beaucoup d’efforts pour dominer l’eau.

La fondation de Mendoza s’est produite sous la régie de la nommée Loi des Indes. Celle- ci déterminait
comment devait être la trace des villes. À Mendoza, comme partout où les Espagnols ont fondé des villes,
le plan consistait en une Plaza Mayor avec des manzanas -pâtés de maisons- autour, avec les édifications
les plus importantes. La trace était orthogonale et elle a été celle des villes espagnoles en Amérique.

Nous avons le désert de la Laguna del Rosario. Il y a encore quelques


habitants, descendants des indigènes, qui persistent à rester sur la terre de leurs ancêtres. Les conditions de
vie sont très précaires ; les anciens cours d’eaux qui coulaient jusqu’au Río Desaguadero, et qui formaient
des lacunes où ils pouvaient pêcher, ont séché et c’est maintenant le domaine du désert. Les maisons sont
en « adobe », brique faite avec un mélange de boue mouillé avec de la paille, et en briques cuites. On

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trouve à la Laguna del Rosario, aussi nommée Lagunas de Guanacache la construction la plus antique de
Mendoza, la chapelle de la Virgen del Rosario.

Il y a plusieurs vues de l’ancienne ville coloniale, peintes en


regardant vers la montagne, de dos au Cabildo. On voit à droite l’église des Jésuites, qui deviendra celle
des Franciscains lors de l’expulsion des Jésuites de tous les territoires espagnols.

SÉISME À MENDOZA
À partir du séisme, Mendoza perd son aspect colonial, car il ne reste que des ruines. La reconstruction
change sa physionomie sous l’influence européenne, spécialement française. La région de Cuyo se
restructure avec un nouvel élan économique. Les vignobles se multiplient et deviennent un aspect très
important de l’économie de Mendoza.

Mendoza se caractérise par deux aspects qui font à sa structure de développement : les chemins et l’eau.
Ils déterminent le progrès, les communications, la conformation de l’oasis. Le chemin et l’eau sont le
support du territoire désertique. Les caniveaux, les rigoles, seront ainsi un aspect indissoluble du
patrimoine mendocino.
La ville a eu dès ses origines une trace en damier, peu à peu complémentée par l’extension de la ville
tout au long de la rue San Martin, devenue l’axe de la citée, le lieu plus mouvementé, et de même au long
des routes, dans les petites villes de la province. La tendance linéale de l’urbanisation de Mendoza ne fait
qu’augmenter son importance et nous pouvons le voir au long de l’Accès Est et plus récemment à l’Accès
Sud. Il faut penser que la rue San Martin était autrefois le canal de la ville, le canal Tajamar ; la route 40
qui relie Las Heras et Luján suit le cours de l’eau qui descendait du Río Mendoza et prenait à Luján la
direction S-N. À Mendoza, où l’eau est très peu abondante. Le voyageur a dû toujours marcher près des
cours d’eau. De cette manière, les populations se forment en bandes et la concentration urbaine plus ou
moins large au long de cette bande indique l’importance de l’agglomération.
La persistance du mendocino à construire au long de la route, de même qu’à la campagne où la maison est
proche de la route d’accès, s’explique par le besoin de communication, de ne pas ressentir l’isolément, de
favoriser la sociabilité. Ainsi, la séparation entre une population et l’autre est donnée par l’interruption
momentanée des constructions. On trouve de longues étendues de chemin vide, qui impressionnent
l’étranger.

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La montagne est agreste, mais l’homme transforme le paysage. Il


plante des barrières d’arbres, des lignes de peupliers délimitant les parcelles cultivées qui deviendront l’un
des symboles de Mendoza : les vignobles, les peupliers - magnifique barrière contre les vents-, et la
majestueuse montagne au fond, sous un ciel bleu limpide. C’est ce qui surprend et émue l’étranger : le
désert infini, l’agreste du paysage, le vide, l’espace grandiose, les parcelles de cultures au milieu de
l’aridité et la montagne qui domine l’horizon vers l’Ouest.
Une image typique de notre campagne : des laboureurs, des campagnards, inclinés vers la terre qu’ils
travaillent ; les sillons qui nourriront les fils de cette terre aride qui devient fertile grâce à la main de
l’homme.

Entre le désert et l’espace urbanisé, il y a une relation qui est de


domination du sol aride. La ville n’est pas dans un bois, comme le croient bien de visiteurs quand ils
observent les rues boisées. C’est l’homme qui a planté l’arbre, qui a crée l’oasis. De la main de l’ingénieur
français Ballofet, la ville de Mendoza a pris une nouvelle physionomie après le séisme de 1861 : des rues
larges longées par des arbres qui modèrent le climat et les caniveaux pour les arroser, qui avec le
murmure de l’eau qui coule, constituent l’image la plus caractéristique de notre ville. Nous avons ainsi rue-
chemin, eau, arbre. Voici l’oasis, la ville-oasis, l’œuvre, la conquête de l’homme. Une oasis qui est
menacée par un dilemme : Comment étendre la ville ? Vers l’oasis, la campagne cultivée, où vers le
piedemonte, vers le pied de la précordillère ? La ville incorpore peu à peu de hauts bâtiments au centre-
ville, ce qui modifie sa physionomie. Mais elle s’étend vers la périphérie, multipliant des quartiers de
maisons individuelles, basses, généralement d’un seul niveau. Des quartiers populaires et des quartiers
privés, sécurisés, fermés. Le problème est que la ville devient plus grande, mais l’infrastructure n’est pas
suffisante. Mendoza et sa banlieue, avec ses presque 1.500.000 habitants, est débordée par le déficit de
services efficaces.

Une caractéristique de l’architecture de Mendoza, est d’une part, l’absence de constructions coloniales
à cause de la destruction de la ville lors du séisme de 1861, sauf le complexe rural du Sanctuaire et le
Calvaire de Nuestra Señora de la Carrodilla (Luján de Cuyo). Et il n’y a pas comme dans d’autres villes
des édifices publics luxueux et importants, des églises ou des chapelles imposantes. Domingo Sarmiento
disait que Mendoza était la Barcelone argentine : des gens industriels, travailleurs, qui aiment vivre bien et
dépenser tout le possible dans leur maison particulière, mais peu dans les édifices publics. Cela expliquerait
que Mendoza n’a pas encore de Cathédrale (l’Église de Loreto n’a pas été construite comme cathédrale, on
lui a donné ce rang en attendant d’en construire une), ni de logement pour le Gouverneur et il n’y a pas
eu de maison de Gouvernement jusqu’après 1950.

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Si nous
observons quelques édifices de la ville, nous trouvons un de la rue San Martín, avec des fenêtres en style
Art Nouveau avec ses formes sensuelles venues de la Belgique, successeur du style de la Belle Époque.
L’architecture en 1926 est éclectique : le Passage San Martin a une tour de sept étages et a été pendant plus
de trente ans le symbole du progrès de Mendoza. Il a été la première galerie commerciale avec des
appartements, en imitant celles d’Italie. Les toits en mansardes ont une influence française. La coupole et
ses voûtes ont des vitraux importés de France.

Face à la place Independencia, nous trouvons


trois édifices importants pour l’époque où ils ont été construits : le collège Agustín Álvarez (1913), premier
édifice en béton armé à Mendoza, le Plaza Hôtel, récemment reconstruit en ne gardant que sa façade
ancienne et le Théâtre Independencia. Son style est classique, avec des colonnes sur la façade et le portique
qu’en Europe on prenait de l’art classique grec –romain. Le Plaza Hôtel (actuel Hyatt), a été le premier à
avoir une échelle monumentale, avec une ample terrasse à l’entrée- et sa balustrade-, imitant celles
d’Europe, spécialement de Monte-Carlo, où elles avaient une vue sur la mer.
Ces trois édifices gardent une symétrie entre eux, une harmonie. La ligne des arbres de la rue compose une
horizontale qui les unifie.

Nous trouvons au
centre-ville l’édifice de l’ancienne Banque de Mendoza, d’un style éclectique avec de belles sculptures
fantastiques et classiques. Il a un espace central octogonal couronné par une magnifique coupole avec des
vitraux. Construit en 1914, il a constitué un grand défi constructif. C’est actuellement un musée d’art, mais
un incendie a endommagé sa coupole et le musée attend pouvoir être restauré.

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La Banque Hypothécaire, de 1929, de style


plateresque, est le plus riche en ornements de la ville, tant dans sa belle façade - ouverte au coin, à l’espace
de la rue-, comme dans son intérieur. Les détails forgés sont magnifiques. Il a été inclus dans le Patrimoine
de la province.

Nous avons encore des maisons qui ont été très importante du point de vue
architectural : la maison Gargantini, - d’un italien qui a fait une fortune avec ses vignobles et ses vins-,
imitation d’un petit palais français style Art Nouveau, une villa au milieu des vignes. L’intérieur de la
maison a une profusion d’éléments décoratifs, en bois, stuc, marbre, fer forgé, bonze et cristal, sur les murs,
portes, fenêtres, balcons, et balustrades. Les motifs floraux évoquent le baroque et le rococo. L’Art
Nouveau a introduit la lumière et la couleur dans les espaces intérieurs. Les habitations ont des fenêtres qui
s’ouvrent sur les paliers latéraux, et les portes vers la cour (patio). Le vestibule fermé avec des vitres
blanches constitue une innovation importante. Nous pouvons trouver encore quelques maisons avec cette
solution qui permet de créer un espace habitable relativement abrité, lumineux et très agréable en hiver.
On trouve des vitres peintes avec des paysages et fleurs, ainsi que les socles en majoliques ornés de belles
fleurs coloriées. L’incorporation de la salle de bains dans la maison a été une grande « révolution ».

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Jusqu’au présent, elle était au fond du patio. On l’aménage avec des appareils sanitaires complets. Ceci
marquera la différenciation sociale.

En même temps qu’une rénovation spatiale, l’Art Nouveau a


signifié l’importante incorporation du béton armé dans la construction, ce qui a permis de nouvelles
structures, véritables cages en fer rigides, qui ont apporté la sécurité et la possibilité de faire ostentation de
créativité constructive. Un exemple est la grande maison qui loge le Journal « Los Andes » depuis 1927.

La rue Emilio Civit, la plus large de la ville, conduit au parc, et elle est
longée par de beaux platanes et d’importantes maisons résidentielles, la plupart des chalets.
En 1937, on importe le rationalisme allemand, l’abstraction. C’est une architecture fonctionnelle, avec une
absence presque totale de décoration. Le revêtement des murs sont lises, en gris et blanc. Ainsi a été
construit au bord du lac situé dans le parc San Martín, l’édifice de Playas Serranas.

C’était un balnéaire publique avec un restaurant et un salon de bal. Ce


style moderne a été denominé estilo barco (bateau), avant –garde, dont il y a plusieurs exemples de
maisons en ville. Maintenant c’est le Musée de Sciences naturelles Cornelio Moyano. Les grandes surfaces
vitrées, qui projetaient l’espace vers le parc, ont dû être voilées d’accord à la nouvelle fonction des salles
d’expositions. Ce style a incorporé des éléments constructifs industrialisés, comme le ruberoid pour
imperméabiliser les toits. À l’intérieur, se multiplient les armoires enchâssées dans les murs, les meubles
fonctionnels et les petites cuisines.
Du même style rationaliste est l’école Videla Correas.

L’influence européenne s’est vue reflétée dans les solutions d’habitation, problème critique. Les
architectes Civit ont proposé en 1935 la construction des maisons collectives destinées aux ouvriers et
employés avec moindres ressources économiques. L’intention était de centraliser les services et
l’équipement communautaire et aussi de créer des zones à double fonction : des espaces verts considérés
comme une expansion libre associée avec des activités récréatives en plein air. Les bénéfices en relation
aux maisons - chalets comme habitation sociale étaient importants. Les trois niveaux, avec des
appartements de deux, trois et quatre chambres, en groupes de 14 pavillons, ont donné solution à plus de

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500 familles. Cette expérience, inédite à Mendoza, n’a pas été suffisamment valorisée et multipliée. On a
priorisé les groupes d’édifices d’appartements en hauteur, tels qu’au quartier UNIMEV en 1962.

Pendant les années 40, ont été bâtis nombreux chalets style californien. C’est une réaction contre le
rationalisme, qui avait imposé les façades simples, avec des coins arrondis, de petites fenêtres et des volés
en bois. Un nouveau régionalisme a motivé la recherche des racines américaines : la petite échelle du
chalet, avec ses toits en bois et tuiles rouges et le jardin de la façade.

Le foyer pour enfants démunis Hogar Eva Perón est de ce style


californien. Il y avait ainsi une image plus américaine, moins européenne que Playas Serranas. C’était
l’époque de Perón. On a construit beaucoup d’œuvre publique, en ce temps là le pays avait de l’argent
pour construire à grande échelle.
La rue Emilio Civit présente des chalets avec des toitures rouges, des murs en briques sans revêtir et de
grands jardins. Les quartiers nouveaux emploient ce même style dans des maisons plus petites et simples.
En 1951 a été enfin inauguré la Maison de Gouvernement. C’est une construction monumentale, avec un
haut perron, style classique et deux corps latéraux s’ouvrant vers une grande esplanade. Le palais de
Justice est aussi classique, avec de hautes colonnes doriques (cinq étages).

Puis vient l’étape de l’architecture « moderne », avec ses volumes rectilignes enchâssés, ses toits
horizontaux, les grandes vitres et les murs lises (maisons Andía). L’édifice vitré du coin de la rue 9 de Julio
et Gutierrez contraste avec celui qui est en face (banque de Mendoza). Il a de caractéristiques semblables le
bâtiment du Citibank. Le plus haut est celui d’une banque, de seize étages, face à la place San Martin et qui
cache la vue de la montagne au monument du Général.

La Terminal d’autobus (la gare routière) de Mendoza est d’une grande innovation constructive- structurale-
fonctionnelle. La structure métallique est à la vue et très intéressante. Elle permet de couvrir de grandes
surfaces libres de colonnes. On a vitré les galeries pour tempérer l’intérieur, le rendre plus confortable. Une
grande rénovation du côté nord a été effectuée en 2018-2019.

Au Centre Universitaire de l’Université de Cuyo, la Faculté de Sciences Politiques a été construite en 1964.
C’est un grand bâtiment, large, en béton armé, avec de petits murs dehors, en pierre qui relie l’ensemble
avec la terre et les pierres du désert environnant. La conception architecturale des nouveaux édifices de
l’Université de Cuyo a changé. Les derniers édifices, tel que la Faculté des Arts, d’Odontologie, de la
station de Radio, conforment un ensemble harmonique, en briques avec une structure à la vue en béton qui
donne un rythme à la composition. C’est un langage moderne, frais, agréable.
Marina Waisman, une grande architecte argentine, disait que nous devons voir ce que nous pouvons faire
avec les éléments qui nous sont propres, sans devoir copier ce qui nous vient d’ailleurs.
Finalement, de nouveaux quartiers privés, fermés pour protection, d’une architecture fabuleuse qui
contraste bien de fois avec les bidonvilles des alentours.

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Mendoza nous montre une diversité de construction, l’ensemble peut paraître éclectique. Il n’y a pas
d’ordre, de style uniforme. Les contrastes se manifestent dans un même quartier, en général les plus
anciens, où chaque propriétaire a reconstruit la maison à son goût, différent des autres. Les quartiers de
maisons pour des familles humbles, sont une solution sans grâce, simples, grises et ils envahissent avec
leur urbanisation artificielle des parcelles parfois labourables ou mal placées et ont des services déficitaires.
Ceux qu’on construit pour les classes moyennes, commencent à employer les murs en brique à la vue, très
appréciés par les mendocinos et qui leur donnent un aspect très agréable, avec un petit jardin et des toiles
rouges. Les vieilles maisons en adobe sont peu à peu remplacées par de plus modernes, régies par le strict
code parasismique de la province. Dans la banlieue, il en reste encore quelques unes, très belles. Les
quartiers privés, avec de très coûteuses maisons, se multiplient hors de la ville, qui reste chaque fois plus
solitaire le soir, dangereuse même. Il n’y a pas une planification urbanistique, la banlieue s’accroît sans une
suffisante prévision de services efficaces. Le Parc Central est aujourd’hui une réalité, nécessaire pour
oxygéner la ville et offrir un espace vert, pour loisirs et détente.
Dans le monde entier, les maisons d’habitations sont celles qui reflètent mieux les sens du développement,
les continuités et les changements. Mais l’architecture de Mendoza n’a pas la grandeur ou le raffinement
que d’autres villes offrent avec des palais, des petits-hôtels, des résidences et des édifices illustrant une
noblesse architecturale. Notre construction n’a pas en général une identité particulière.

Bibliographie :
- Guaycochea de Onofri, Rosa. Arquitectura de Mendoza y otros estudios. 2001. INCA
Editorial,Mendoza, Argentina.
- Guisasola, M.A, Apuntes sobre la arquitectura en Mendoza. 2013. EDIUNC .Mendoza. Argentina.
- Puig, R.H. Las calles cuentan su historia. Así creció Mendoza. Tomo1. 2006. Signo Gráfica.
Mendoza. Argentina.
- Monumentos y lugares históricos de Mendoza. Diario Los Andes.
- Arquitectura en la Argentina .1981. EUDEBA. Argentina.
- Dirección de Patrimonio de Mendoza. Publicaciones web varias.

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