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&RPSRVLWLRQG·RSpUDWHXUV &RPSRVLWLRQGHFKDPSV
JJG JJJJG G JJJJG JJJJG JJJJG
rot grad V = 0 grad (V1 V2 ) = V1 grad V2 + V2 grad V1
JJG JG JJG JG JJG JG JJJJG JG
div rot A = 0 rot (V A) = V rot A + grad V ∧ A
JJJJG JG JG JJJJG JG
div grad V = ΔV div (V A) = V div A + grad V . A
JJG JJG JG JJJJG JG JG JJG JJG JJG JJG JJG JJG JJG JJG
rot rot A = grad div A − Δ A div ( A1 ∧ A2 ) = A2 .rot A1 − A1.rot A2
G JJJJG G JJJJG v 2 JJG G G
( )
v .grad v = grad + rot v ∧ v
2
JG JJG JG
³³ A.dS = ³³³ div A dτ
Théorème d’Ostrogradsky : w
(S ) (V )
Le flux d’un champ de vecteur à travers une surface fermée est égal à l’intégrale triple
de sa divergence étendue au volume intérieur à cette surface.
La circulation d’un champ de vecteur le long d’un contour fermé est égale au flux de
son rotationnel à travers une surface quelconque s’appuyant sur ce contour.
6\VWqPHVGHFRRUGRQQpHV
G
z z ur
z M G
M uϕ
M r
G G
uz G
θ uθ
uy y y y
G O O
ux G G
O uz uθ
x θ ϕ
x r x
G
ur
)RUPXODLUHG·DQDO\VHYHFWRULHOOH
&RRUGRQQpHVFDUWpVLHQQHV
JJJJG JG ∂V G ∂V G ∂V G
grad V = ∇ V = ux + uy + uz
∂x ∂y ∂z
JG JJG JG ∂A ∂A ∂A
div A = ∇. A = x + y + z
∂x ∂y ∂z
JJG JG JG JG § ∂A ∂Ay · G § ∂A ∂A · G § ∂Ay ∂A · G
rot A = ∇ ∧ A = ¨ z − ¸ ux + ¨
x
− z ¸ uy + ¨ − x ¸ uz
© ∂y ∂z ¹ © ∂z ∂x ¹ © ∂x ∂y ¹
JG 2 ∂ 2V ∂ 2V ∂ 2V
ΔV = ∇ V = 2 + 2 + 2
∂x ∂y ∂z
G G G
Les vecteurs unitaires u x , u y et u z en chaque point, constituent des champs uniformes
et ont tous une divergence et un rotationnel nuls.
&RRUGRQQpHVF\OLQGULTXHV
JJJJG ∂V G 1 ∂V G ∂V G
grad V = ur + uθ + uz
∂r r ∂θ ∂z
JG 1 ∂ ( rA ) 1 ∂A ∂A
θ
div A = r
+ + z
r ∂r r ∂θ ∂z
JJG JG § 1 ∂A ∂A · G § ∂A ∂A · G 1 § ∂( rA ) ∂A · G
rot A = ¨ z
− θ ¸ ur + ¨ r − z ¸ uθ + ¨ θ
− r ¸ uz
© r ∂θ ∂z ¹ © ∂z ∂r ¹ r © ∂r ∂θ ¹
1 ∂ § ∂V · 1 ∂V ∂V
2 2
ΔV = ¨r +
¸ 2 +
r ∂r © ∂r ¹ r ∂θ ∂z 2
2
&RRUGRQQpHVVSKpULTXHV
JJJJG ∂V G 1 ∂V G 1 ∂V G
grad V = ur + uθ + uϕ
∂r r ∂θ r sin θ ∂ϕ
JG 1 ∂ ( r 2 A ) 1 ∂(sin θ Aθ ) 1 ∂Aϕ
div A = 2 r
+ +
r ∂r r sin θ ∂θ r sin θ ∂ϕ
JJG JG 1 § ∂ (sin θ Aϕ ∂Aθ · G 1 § 1 ∂Ar ∂ ( rAϕ ) · G 1 § ∂ ( rAθ ) ∂Ar · G
rot A = − ur + ¨ − uθ + ¨ − ¸ uϕ
r sin θ ¨© ∂θ ∂ϕ ¹¸ r © sin θ ∂ϕ ∂r ¹¸ r © ∂r ∂θ ¹
1 ∂ 2 ( rV ) 1 ∂ § ∂V · 1 ∂ 2V
ΔV = + ¨ sin θ ¸ +
r ∂r 2 r 2 sin θ ∂θ © ∂θ ¹ r 2 sin 2 θ ∂ϕ 2
G G
G 2 JJG G G JJG G uz JJJJG 1 u
Quelques résultats utiles : div ur = ; rot ur = 0 ; rot uϕ = et grad = − 2r
r r sin θ r r
NB : Ne pas utiliser l’opérateur Nabla en coordonnées cylindriques ou sphériques.
)RUPXODLUHG·DQDO\VHYHFWRULHOOH
3HWLWIRUPXODLUHSRXUOHV
FDOFXOVHQSK\VLTXH
eTXDWLRQGXVHFRQGGHJUp
Avant de chercher les solutions d’une équation ax 2 + bx + c = 0 , il est impératif
d’obtenir des renseignements sur le signe des racines (ou de leur partie réelle) ; pour
cela il suffit de voir le signe de leur somme S = − b a et de leur produit P = c a .
)RUPXOHVGHWULJRQRPpWULH
côté opposé AB côté adjacent OA B
sin α = = , cos α = =
hypothénuse OB hypothénuse OB
tan α =
côté opposé
=
AB α
côté adjacent OA O A
Il faut connaître les formules de trigonométrie, en particulier : sin 2 x + cos 2 x = 1
1 + cos 2 x 1 − cos 2 x
cos 2 x = ; sin 2 x = ; sin 2 x = 2sin x cos x
2 2
cos(a + b) = cos a cos b − sin a sin b ; sin( a + b) = sin a cos b + cos a sin b
p−q p+q p−q p+q
cos p + cos q = 2 cos cos et sin p + sin q = 2 cos sin (le – d’abord !)
2 2 2 2
1 1
cos a cos b = ( cos(a + b) + cos(a − b) ) et sin a sin b = ( cos(a − b) − cos(a + b) )
2 2
/HVQRPEUHVFRPSOH[HV
– dans l’écriture mathématique u = a + ib apparaissent les y
parties réelle a = u cos ϕ et imaginaire b = u sin ϕ ,
b u
avec u = a + b et ϕ = arg u = arctan(b / a ) (à π près,
2 2 u
ϕ
b
il faut en plus préciser sin ϕ ou cos ϕ ) soit tan ϕ =
.
a 0 a x
– en physique, on préfère souvent écrire u = u exp(iϕ ) en
faisant apparaître directement le module u et la phase (ou argument) ϕ .
u2 u2 u2
Rappel : = et arg = arg u 2 − arg u1
u1 u1 u1
3HWLWIRUPXODLUH
3URMHFWLRQG·XQYHFWHXU
Il faut particulièrement veiller aux signes des projections.
JG G JG G
sur la figure : Vx = V . u x > 0 et Vy = V . u y < 0 y
JG G G
avec V = Vx u x + Vy u y G G
uy u x Vx
JG 2 JG
Théorème de Pythagore : V 2 = Vx2 + Vy2 car V 2 = V = || V || 2 α x
Avec l’angle α (pris positif), Vx = V cos α > 0 et Vy = − V sin α < 0 Vy JG
V
Le théorème de Pythagore redonne sin 2 α + cos 2 α = 1 .
0R\HQQHGHIRQFWLRQVWHPSRUHOOHV
2π 1 2
Si u (t ) = u 0 cos(ω t + ϕ ) , alors sur une période T = , < u > = 0 et < u 2 > =
u0
ω 2
Utilisation de la notation complexe pour les grandeurs énergétiques moyennes
(attention, aucune grandeur énergétique ne peut être complexe !).
Si f (t ) = f 0 cos(ω t ) et g (t ) = g 0 cos(ω t + ϕ ) , alors :
1 1 1 1
< fg > = Re( f . g *) = Re( f *. g ) = f 0 g 0 cos ϕ et < f 2 > = | f | 2
2 2 2 2
)RUPXOHGH7D\ORUjO·RUGUH
Il faut savoir faire le lien entre :
df
– l’écriture mathématique : f ( x0 + h) = f ( x0 ) + h ( x0 ) + ...
dx
du ·
– et l’écriture physique : u ( x0 + dx) − u ( x0 ) = du = ¸ dx + ...
dx ¹ x = x0
Pour x, | x | 1 , on a sin x ≈ x , cos x ≈ 1 − x 2 / 2 , tan x ≈ x , ln(1 + x) ≈ x , e x ≈ 1 + x ,
(1 + x)α ≈ 1 + α x ,…
∂u ∂u
Et si u ( x, y ) est une fonction de deux variables, à l’ordre 1 : du = dx + dy
∂x ∂y
∂ 2u ∂ 2u
Le théorème de Schwarz indique que =
∂x∂y ∂y∂x
8QHJUDQGHXUSHWLWHQHGRLWrWUHSULVHQXOOH
De la même manière qu’en mathématique une fonction n’est pas « équivalente à zéro »,
en physique non plus une grandeur petite ne doit être prise nulle ; si elle intervient dans
une fonction, il suffit (en général) de prendre le premier terme non nul du
développement limité de cette fonction.
En revanche, à l’ordre un en ε , on a simplement ε . f (ε ) = ε [ f (0) + f '(0)ε + ...] ≈ ε . f (0) .
3HWLWIRUPXODLUH
)RUPXOHGXELQ{PH
Surtout appliquée aux développements limités ( ε tel que | ε | 1 est l’infiniment petit)
n(n − 1) 2
(1 + ε ) n = 1 + nε + ε + ...
2!
1 1 ε
Par exemple : ≈ 1− ε ; ≈ 1+ ε ; 1± ε ≈ 1±
1+ ε 1− ε 2
1 ε 3
Dans le cas = (1 + ε ) −1/ 2 ≈ 1 − + ε 2 , il ne faut pas faire d’abord le
1+ ε 2 8
développement limité de la racine puis celui de l’inverse, mais les deux simultanément !
'LVTXHF\OLQGUHHWVSKqUH
Disque : périmètre 2π r ; surface π r 2 ; élément de surface d’une couronne circulaire
entre r et r + dr : 2π rdr .
)RUPXOHVGHWULJRQRPpWULHK\SHUEROLTXH
e x + e− x e x − e− x
Relations fondamentales : ch x = ; sh x = ; e x = ch x + sh x
2 2
= ch x − sh x ; ( ch x + sh x ) = ch ( nx ) + sh ( nx ) ; ch 2 x − sh 2 x = 1
n
e− x
( ) ( )
argch x = ln x + x 2 − 1 ; argsh x = ln x + x 2 + 1 ; argth x =
1 §1+ x ·
ln ¨ ¸
2 ©1− x ¹
d d d 1
Dérivées : ch x = sh x ; sh x = ch x ; th x = 1 − th 2 x = 2
dx dx dx ch x
d − 1 d 1 d 1
coth x = 1 − coth 2 x = 2 ; argch x = ; arth x =
dx sh x dx x − 1 dx
2 1 − x2
3HWLWIRUPXODLUH
eTXDWLRQGLIIpUHQWLHOOHGXSUHPLHURUGUH
dx
du type : τ + x = x0 cos ω t
dt
L’équation étant linéaire, la solution générale est la superposition d’une solution
générale de l’équation sans second membre (régime transitoire) et d’une solution
particulière de l’équation générale (régime forcé).
– le régime transitoire (ou libre en l’absence d’excitation x0 cos ω t ) est solution de
dx x
= − soit xt (t ) = A exp(−t / τ ) ; ce régime transitoire tend vers zéro.
dt τ
– le régime forcé (par l’excitation) est une solution particulière recherchée sous la
forme d’une fonction de même pulsation ω , mais déphasée (retard ϕ ),
x f (t ) = X cos(ωt − ϕ ) , soit en passant en notation complexe :
x0 x0
(iωτ + 1) x = x0 x = X e− iϕ = d’où X = et tan ϕ = ωτ
1 + iωτ 1 + ω 2τ 2
NB : La détermination des constantes d’intégration doit se faire sur la solution générale
xt (t ) + x f (t ) !
eTXDWLRQGLIIpUHQWLHOOHFODVVLTXHGXVHFRQGRUGUH
x + ω 2 x = 0 admet comme solution : x (t ) = a cos ω t + b sin ω t ou x (t ) = A cos(ω t + ϕ )
eTXDWLRQGLIIpUHQWLHOOHGXVHFRQGRUGUHHQUpJLPHIRUFp
du d 2u
du type : au + bu + cu = e cos(ωt ) où u = et u = 2
dt dt
Les coefficients a , b et c sont constants (et positifs pour un système physique)
Le régime forcé (par l’excitation e cos(ωt ) à la pulsation ω ) est une solution
particulière de l’équation, elle-même de pulsation ω , mais déphasée (retard ϕ ) sur
l’excitation :
u (t ) = U cos(ωt − ϕ ) , soit en passant obligatoirement en notation complexe :
e
(−aω 2 + biω + c) u = e u = U e − iϕ = d’où par module et argument :
c − aω 2 + ibω
e bω
U= et tan ϕ = (à préciser par le signe de sin ϕ )
(c − aω ) + b ω
2 2 2 2 c − aω 2
3HWLWIRUPXODLUH
eTXDWLRQ GLIIpUHQWLHOOH GX VHFRQG RUGUH j FRHIILFLHQWV
FRQVWDQWV
dx d 2x
du type : ax + bx + cx = e cos(ωt ) où x = x= 2
et
dt dt
L’équation étant linéaire, la solution générale est la superposition d’une solution
générale de l’équation sans second membre (régime transitoire) et d’une solution
particulière de l’équation générale (régime forcé).
– le régime libre (car l’excitation e cos(ωt ) disparaît) est solution de ax + bx + c = 0
L’équation caractéristique ar 2 + br + c = 0 avec en physique les trois constantes a , b
et c positives, conduit à S = − b / a ≤ 0 et P = c / a ≥ 0 d’où les deux cas :
• si Δ = b 2 − 4ac > 0 (ce qui suppose un fort coefficient de frottement b ), les deux
racines sont réelles négatives, notées − r1 et − r2 , d’où une solution en
exponentielles décroissantes : x(t ) = A exp(− r1t ) + B exp(− r2t ) appelé régime
transitoire (car il tend vers zéro) apériodique
• si Δ = b 2 − 4ac < 0 (ce qui suppose un faible coefficient de frottement b ), les
deux racines sont complexes conjuguées à partie réelle négative, notées − r ± iΩ ,
d’où une solution (somme des 2 exponentielles complexes) oscillatoire
d’amplitude en exponentielle décroissante :
x(t ) = exp( − rt ).( A cos Ωt + B sin Ωt ) ou x(t ) = α exp(− rt ).cos ( Ωt + ϕ )
ou x(t ) = β exp(r1t ) + γ exp(r2t ) ( r1 et r2 racines complexes)
appelé régime transitoire pseudopériodique
À noter que dans tous les cas, le régime transitoire disparaît (tend vers zéro). Le
régime critique est celui (un peu théorique) où Δ = 0 .
– le régime forcé (par l’excitation) est solution particulière de
ax + bx + c = e cos(ωt ) ; elle se cherche sous la forme d’une fonction de même
pulsation, mais déphasée (retard ϕ ) : x(t ) = X cos(ωt − ϕ ) , soit en passant en
notation complexe :
e
(−aω 2 + biω + c) x = e x = X e − iϕ = d’où X et tan ϕ
c − aω 2 + ibω
NB : la détermination des constantes d’intégration doit se faire sur la solution générale !
3HWLWIRUPXODLUH
&KDSLWUH
7UDLWHPHQWGXVLJQDO
/HVRUGUHVGHJUDQGHXUXWLOHV
/HVFRPSRVDQWV
Résistances en électronique 1 kΩ à 1 MΩ
Capacités en électronique 1 nF à 100 F
/HPDWpULHOGH73
Temps de montée du créneau d’un GBF dV/dt ≈ 50 V/s
Résistance de sortie d’un GBF 50 Ω
Fréquence maximum d’un GBF 10 MHz
Bande passante d’un oscilloscope 60 MHz
Impédance d’entrée d’un oscilloscope Re = 1 MΩ // Ce = 10 pF
&RQVWDQWHVGHWHPSVGHVGLS{OHVFODVVLTXHV
constante de temps du dipôle RC R = 1 kΩ, C = 0,1 μF
IJ = RC IJ = 0,1 ms
constante de temps du dipôle RL R = 1 kΩ, L = 10 mH
IJ = L/R IJ = 10 ȝs
fréquence d’oscillation d’un dipôle LC L ≈ 10 mH, C ≈ 0,1 μF
f0 = 1/2π LC f0 ≈ 5 kHz
/HFRXUVG·DERUG
6LJQDX[
1. En électronique, quelle est la nature physique des signaux les plus courants ?
Quel est le plus souvent utilisé ?
Quelles sont les principales caractéristiques d’un signal ?
7UDLWHPHQWGXVLJQDO