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Définition de révolution 

1 . Une révolution est, au sens politique ou social, un mouvement


politique amenant, ou tentant d'amener, un changement brusque et en
profondeur dans la structure politique et sociale d'un État, et qui se
produit quand un groupe se révolte contre les autorités ou tente de
prendre le pouvoir. Le terme de révolution peut être utilisé par un
gouvernement se présentant comme révolutionnaire pour qualifier
l'ensemble de ses politiques, alors même que sa prise du pouvoir est
effective

l'histoire la révolution.
1- la révolution irakienne contre les Britanniques (1930 -1942 AD)
2 - la grande révolte arabe (1916 -1918 AD), qui a dirigé par Sharif Hussein contre
l'Empire ottoman avec l'encouragement du camp des Alliés
3 - révolution palestinienne (1936 -1939 AD)
4 - La Révolution cubaine (1956-1959 AD)
5 - Révolution libyenne (1911 -1931 AD) AD)
6 - la révolution algérienne (1954 -1963) contre la France

7 - La Révolution russe "communisme" (1917 m) contre la décision de bourgeois

8 - Révolution marocaine contre la France (1930 -1936 AD 8


9 - Grande Révolution syrienne (1935 -1936 AD) contre la France
10 - La révolution chinoise (1911 AD) (
11 - La Révolution française (1789 -1799 m) de cette révolution a mis fin au règne
de la famille "Bourbon" en France et détruit le système social actuel fondé sur des
privilèges Alastqratiin "nobles"
12 - Révolution égyptienne (1953 AD), dirigé par Gamal Abdel Nasser
crise egyptienne et tunisienne :

. L'impact sur l'économ marocaine?


Libre-échange. Les événements d'Egypte influencent les cours des
matières premières et alimentaires, notamment le blé et le pétrole. La
conséquence directe est que les prévisions de croissance marocaine
seront seron revues à la baisse.
L'industrie du textile marocaine risque de patir des événements d'Egypte.
La révolution tunisienne puis égyptienne a mobilisé, de manière
exceptionnelle, le gouvernement marocain. Les responsables ont ainsi
abandonné la politique de l'autruche pour adopter des mesures urgentes
en réaction à la flambée des cours du pétrole et des matières premières
causée par les événements en Egypte.
Lorsque la loi de finances 2011 a été établie, les pronostics de croissance,
de déficit budgétaire ont été calculés sur la base d'un baril de pétrole à 75
dollars. Aujourd'hui, l'instabilité politique en Egypte fait que les cours de
l'or noir flambent de façon effrénée. Le prix atteint les 102 dollars le 2
février 2011. Ainsi donc, tous les calculs du ministère des Finances sont
tombés à l'eau.
Mesures exceptionnelles
Autre réaction gouvernementale, et non des moindres: pour la première
fois au Maroc, on injecte 10% du budget de fonctionnement de l'Etat dans
la Caisse de Compensation. Mais ce ne sera pas suffisant. D'autres
mesures, tout aussi exceptionnelles, devraient bientôt voir le jour.
Surtout que les événements d'Egypte influencent également les cours des
matières premières et alimentaires, notamment le blé. Ce qui va pousser
le gouvernement à supporter les hausses continues des produits de base.
La conséquence directe est que les prévisions de croissance seront revues
à la baisse.
Sur le plan des échanges commerciaux avec l'Egypte, le bilan 2010 fait
ressortir une balance commerciale déficitaire de plus de 2,2 milliards de
dirhams. Les exportations, épaulées depuis 2009 par la Logan de Renault
fabriquée au Maroc et quelques produits agroalimentaires, notamment
de pêche, ne font pas le poids devant les exportations égyptiennes
diversifiés et composées essentiellement de produits de textile, de prêt à
porter, de produits alimentaires, de gaz et lubrifiants, et d'articles
électroménagers, souligne l'ancien président du conseil d'affaires
maroco-égyptien, Hammad Kassal. Il faut dire que les investisseurs
marocains en Egypte sont dans l'expectative.
Si l'instabilité politique en Egypte n'affecte pas la balance commerciale, ce
n'est pas le cas concernant le flux des investissements étrangers. Le
capital, dit-on, est frileux. Dans la tête d'un investisseur occidental, ce qui
se passe en Egypte et avant cela en Tunisie est un scénario qui peut se
reproduire dans le reste du monde arabe.
Ce facteur de risque est également un souci pour le touriste. La chute du
tourisme dans le pays des Pharaons ne va pas profiter à court terme au
Maroc. Pire, les agences de voyages marocaines annoncent un manque à
gagner considérable suite à l'annulation de plusieurs rendez-vous de
voyages sur leur agenda.
Précautions diplomatiques
Toujours est-il que les événements qui secouent actuellement l'Egypte
vont certainement exercer un impact significatif sur l'économie
marocaine, malgré les précautions diplomatiques de plusieurs hommes
d'affaires marocains. Dont le patron de la CGEM, Mohamed Horani. Ce
dernier affirme que si impact il devrait y avoir, il ne serait pas très
significatif.
Pour la simple raison que les échanges économiques et commerciaux
entre les deux pays ne sont pas importants. Même son de cloche chez un
membre du gouvernement, Abdellatif Maâzouz, ministre du Commerce
extérieur.
Pour ce membre du parti de l'Istiqlal, «les événements d'Egypte peuvent
avoir des incidences sur l'économie marocaine notamment sur les
volumes des exportations et des importations, mais pas dans
l'immédiat». Il faudra peut-être attendre quelques semaines pour
mesurer l'ampleur de l'impact.
Des retombées certaines
Mais, ce qui est sûr, c'est que des groupes marocains de taille importante
ont investi en Egypte. Ils sont partis là bas parce que le marché égyptien
est énorme et que jamais ils n'ont pensé que des troubles de cette
ampleur y éclateraient.
On peut citer par exemple le groupe Chaabi, qui a investi dans deux
secteurs stratégiques: l'industrie et l'immobilier. Non coté à la bourse du
Caire, ce qui lui a certainement épargné des pertes boursières
considérables, le groupe Chaabi est l'un des investisseurs marocains les
plus actifs en Egypte. Contacté, Omar Chaabi, l'un des vice-présidents du
groupe, affirme que la crise en Egypte n'a pas encore affecté les affaires
du groupe. Sur l'économie marocaine en général, l'impact commence
petitement à se faire sentir. Mais le pire est probablement à craindre à
défaut d'une visibilité économique sur le moyen et le long terme. Le
temps nous en dira un peu plus.

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