Traité de Contrepoint Et Fugue - Theodore Dubois

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Dr . Arriola M. V.'alter
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University of Ottawa
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TRAITÉ
DE
CONTREPOINT ET DE FUGUE
r-^ PARTIE. — CONTREPOINT SIMPLE

T PARTIE. — IMITATIONS
3= PARTIE. — CONTREPOINT Double, Triple cl Ouadruple.
4"= PARTIE. — FUGUE
PAR
THÉODORE DUBOIS
Membre de l'Institut
Directeur du Conservatoire
PRIX NET : 25 FRANCS
PARIS
AU MÉNESTREL, 2 lis Rue Vivienne, HEUGEL & C"
Tous droits de reproduction et de traduction réserves en tous pays
V compris le Danemark, la Suède et la Norvège.
Copyright by HEUGEL et C'*, iqoi.
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TABLE DES MATIÉEES
rages.
ISTRODUCTION \1
PREMIÈRE PARTIE
CONTREPOINT SIMPLE
Rôgles et Instructions générales sappliquant à toutes les espèces de Contrepoint 3
CONTREPOINT A 2 PARTIES
Première espèce, note contre note 9
Deuxième espèce, deux notes contre une 11
Troisième espèce, quatre notes contre une 13
Quatrième espèce, syncopes lo
Cinquième espèce, Contrepoint fleuri 19
Deuxième espèce, deux notes contre une 25
Mélange des rondes, blanches et noires 30
Quatrième espèce, syncopes 33
Mélange des rondes, blanches et syncopes 36
Mélange des rondes, noires et syncopes 38
Cinquième espèce. Contrepoint fleuri 40
Mélanges 43
Deuxième espèce, deux notes contre une 4o
Quatrième espèce, syncopes 50
Midauges 53
Cinquième espèce, fleuri dans une. deux et trois parties 55
Mélanges 58
Note contre note et fleuri 59
Note contre note et fleuri fi'
CONTREPOINT A 7 ET 8 PARTIES
Note contre note et fleuri 6i
Remarque sur les valeurs choisies et a choisir pour les thèmes des Chants donnés 68
CONTREPOINT FLEURI A 8 PARTIES ET A 2 CHŒURS 69

DEUXIÈME PARTIE
IMITATIONS
Pages.
1° Imitation par mouvement semblable, à 2 parties , . . . 73
2" Imitation par mouvement contraire, à 2 parties "G
3° Imitation par mouvement contraire rétrograde, à 2 parties '7
4» Imitation par augmentation 78
5° Imitation par diminution 71*
6° Imitation par contretemps 79

7° Imitation interrompue 79
8' Imitation périodique 80
9° Imitation canonique 80
IMITATIONS A PLUS DE DEUX PARTIES

1° A trois parties, dont deux en imitation sur un Chant donné 81
2" A trois parties, avec imitation canonique dans les 3 parties 83
3° A quatre parties, dont deux en imitation et une ad libitum sur un Chant donné 83
4° A quatre parties, dont trois en imitation sur un Chant donné 84
5° A quatre parties, avec imitation canonique dans les 4 parties 84
6° A o, 6, 7 et 8 parties 8o
Remarque sur l'emploi du genre chromatique 88
TROISIÈME PARTIE
CONTREPOINT DOUBLE, TRIPLE ET QUADRUPLE
Contrepoint double à l'octave 89
Contrepoint double à la neuvième 92
Contrepoint double à la dixième 93
Contrepoint double à la onzième 93
Contrepoint double à la douzième 94
Contrepoint double à la treizième. 95
Cantrepoint double à la quatorzième 95
Contrepoint double à la quinzième 96
Contrepoint triple et quadruple à l'octave 97
Autre manière de pratiquer le contrepoint triple et quadi'uple à l'octave 101
Contrepoint triple et quadruple à la dixième 102
Contrepoint triple et quadruple à la douzième 104
Remarques 105
QUATRIÈME PARTIE
FUGUE
Pages.
Aperçu général. ,.,....,. 109
Remarques diverses; harmonie usitée 111
Plan général d'une Fugue à 4 parties 111
Le Sujet 113
Ia Réponse 114
Le Contre-sujet. . . . , 123
La Coda 129
EXPOSITION
Expositions à deux parties 131
Expositions à trois parties 133
Expositions à quatre parties 13o
LE DIVERTISSEMENT OU ÉPISODE
Divertissements à deux parties 14 i
Divertissements à trois parties 149

Divertissements a quatre parties loO
Modifications que peut nécessiter le changement de mode dans certains sujets 15o
LE STRETTO ET LA PÉDALE
Stretto et Pédale 1 58
Stretto â deux parties 1G9
Stretto à trois parties 170
Strettos à quatre parties 172
Le Nouveau Sujet 184
Les parties libres 189
La Pédale supérieure et intérieure 18!)
Conclusion 190
Remarque sur la Fugue à 2 et à 3 parties 190

Fugue à deux voix 190
Fugue à trois voix 193
Fugues à quatre voix 196
Fugue à cinq voix 224
Fugue à six voix 230
Fugue à sept voix 235
Fugue à huit voix ; , 241
Fugues d'élèves ayaut remporté le 1"' prix au Conservatoire de Paris 249
Thèmes ou chants donnés pour servir aux exercices de Contrepoint 280
SUJETS DE FUGUE
Sujets donnés aux concours du Conservatoire 290
"îujets donnés aux concours pour le Grand Prix de Rome
d'essai 296
Sujets composés par l'auteur de cet ouvrage 302
Sujets divers 303
TRAITÉ DE CONTREPOINT ET DE FUGUE
INTRODUCTION
Il peul paraître superflu de pul)lier un Traité de Contrepoint et de Fugue; je le croyais moi-

même avant que l'expérience du professorat ne m'eût démontré le contraire. En effet, les ouvrages
existants sur la matière sont souvent de nature à décourager et déconcerter l'élève, autant à c;iuse
de la sécheresse pédagogique des règles que parce que les exemples sont fréquemment en contra-
diction avec le texte. J'ai donc pensé qu'un ouvrage qui s'appuierait sur les belles et saines tradi-
tions chorales des maîtres du passé, qui apprendrait à l'élève à les admirer, à les prendre pour
modèles, tout en le dirigeant en même temps dans une voie plus en rapport avec l'art de notre
époque, aurait peut-être quelque chance d'être bien accueilli et de rendre des services. C'est dans
ce dessein que je publie ce livre.
Le but des études du Contrepoint est de familiariser avec le style sévère, d'assouplir la main
à toutes les formes de l'écriture, de préparer insensiblement à la pratique de la Fugue rigoureuse
et libre, type architectural de toute belle composition.

Je passerai rapidement sur les inutilités, j'allais dire sur les puérilités, qu'on remarque si
souvent dans les ouvrages de ce genre, lorsqu'il s'agit par exemple de certaines formes d'imitations,
ou de certaines espèces de contrepoints renversables dont on ne peut supporter l'audition, et qui
sont plutôt de nature à faire perdre le sentiment musical qu'à le développer.

L'œil seul a quelque intérêt à ces combinaisons; l'oreille y est totalement étrangère. Je les
montrerai donc sans m'y appesantir.
Un musicien bien doué, dont le sens auditif est déhcat, n'applique ces j)rocédés scientifiques
de composition que si l'effet en est saisissable et en rapport avec le Sujet qu'il traite.
Je veux en un mot que le Contrepoint, dans toutes ses formes, sous ses multiples aspects,
soit et reste toujours de la musique, et non point seulement des combinaisons de notes. Je sortirai
peut-être parfois de la sévérité excessive des règles de certains auteurs au profit de la beauté mélo-
dique, de la simplicité des différentes parties et de la belle disposition de l'ensemble.
Il ne faut pas en tous cas perdre de vue que l'étude du Contrepoint est la meilleure des
gijmnasliques pour un jeune musicien qui veut arriver à la maîtrise de son art. Aucune étude ne
peut remplacer celle-là au poir)t de vue pratique, et il n'est pas difficile de reconnaître les auteurs
qui se sont nourris de cette moelle substantielle. La lecture do leurs œuvres en témoigne suffisam-
ment et indéniablement.
reste, l'élève qui a fait de bonnes et sérieuses études d'harmonie doit écrire le Contre-
Du
point avec facilité, puisque les divergences qui peuvent exister dans la manière de réaliser ne sont
que le résultat de la variété des espèces et de l'obligation où l'on est d'employer telles ou telles
valeurs ou tels ou tels accords.

Je m'efforcerai d'être aussi court,, aussi simple et aussi clair que possihle et j'indiquerai ie
avec des exemples à l'appui. Mais afin de ne pas grossir démesurément ce volume, je
Lravail à faire
ne donnerai pas toujours des exemples de toutes les combinaisons. Ainsi, s'il s'agit de trouver trois
ou quatre contrepoints différents sur un même chant donné placé à la même partie, un seul
exemple suffira souvent pour éclairer l'élève sur la manière de les traiter.
Il m'a paru utile de ne pas suivre pour les études de Contrepoint le système
g(;néralement
adopté en Allemagne, où il est difficile d'établir une démarcation précise entre ces études et celles
d'harmonie supérieure.
En effet, en Allemagne, les études d'harmonie proprement dites sont toujours élémentaires,
simple connaissance des accords et de leurs enchaînements à l\Hat plaqué;
c'est-à-dire basées sur la
eUes sont complétées ensuite par celles du Contrepoint. Tandis qu'en t>ance, nous poussons l'étude
de l'harmonie très loin et nous en faisons pour ainsi dire du Contrepoint moderne. De là, l'aspect
d'apparente sévérité donnée au présent Traité, sévérité qui n'est adoptée en réalité que pour per-
mettre aux élèves d'acquérir une souplesse absolue dans toutes les formes de l'écriture musicale.
J'ai la persuasion que celui qui aura fait des études d'harmonie et de Contrepoint dans cet
ordre d'idées ne sera arrêté par aucune difficulté matérielle dans la manifestation de sa pensée.
C'est là le point essentiel et le but final que doivent viser professeurs et élèves.
Quant à la Fugue, je tâcherai d'en expliquer le mécanisme et la belle ordonnance de manière

à permettre à l'élève de la pratiquer sous les formes diverses qu'elle peut revêtir.
Pour finir, je tiens à reproduire ici une Remarque du traité d'harmonie de F. Bichter, dont le
sens peut être également appliqué à Tétude du Contrepoint; cette remanjue me paraît fort sage et
d'un esprit judicieux, la voici :
« Il est difficile de fixer à l'élève les limites exactes du style sévère, car tous les théoriciens
» sont loin d'être d'accord sur l'ensemble des règles qu'on appelle ainsi. Beaucoup d'entre eux,
» surtout parmi les modernes, sont arrivés à laisser de côté les préceptes les plus essentiels, et à ne
)) plus enseigner l'harmonie qu'au hasard et selon ce que des essais prématurés de composition
» exigent.
» Nous n'avons pas lieu de croire que cette condescendance envers une impatience juvénile
» puisse donner de bons résultats; elle est justifiable, il est vrai, par la tendance à créer trop tôt qui
K est le propre des organisations créatrices; mais, cependant, nous pensons que le travail patient et
» réOéchi peut seul mener l'élève dans le droit chemin.
» Puissent ceux qui suivront le plan de cet ouvrage faire leurs études sérieusement ;
» puissent-ils être convaincus que ce qui leur sera défendu n'entravera en rien leur liberté dans
» leurs productions futures. Au contraire, ils se seront tellement identifiés avec les principes qui
» sont la base de l'art, que leurs facultés naturelles se développeront avec plus de vigueur. Avec les
» commençants, le travail du maître consiste à mettre de sages entraves à des fantaisies déréglées qui,
» souvent, ne sont qu'une preuve de faiblesse d'esprit. Ajoutons encore que les élèves ne peuvent
n s'autoriser des exceptions qu'ils trouvent chez les meilleurs auteurs, pour faire, eux mêmes, usage
» de ces exceptions; il serait inutile, aussi, qu'ils voulussent faire de véritables compositions là où
» il y a lieu seulement à bien traiter des leçons d'école. »
Je ne veux pas terminer cette Introduction sans remercier mon élève et ami Georges Caussade
de la collaboration dévouée, m'a prêtée dans l'accomplissement de ce long et

intelligente, qu'il
important travail son esprit méthodique, sa sûreté de main, son goût musical m'ont aidé précieu-
;
sement à rendre cet ouvrage aussi clair et aussi utile que possible. Qu'il me permette de lui en
témoigner mon affectueuse gratitude.
r: PAi\TiE.
CONTREPOINT SIMPLE.
Kèi^'lcs i^t Instr'uetions genéi-ales
s'appliquant à toutes les espèces de Contrepoint,
l'uni- 1,1 ('(iiiiiHi'hiMi-idii ili- r.'i;!.- <|(ii mhiI >iii\r<', I'oK'M' doil inoir l'.til un Cours cduijibl (l'Iiiirntdiiif.
_.li|i' >ii|i|Hi-c ,l(iiir iii->tniit >'ii c-'ll., xictir.' cl <|i''i,i Ii.iImIi' (I.miis Tari (rrcricc.
Iti' iiii'iiM' i|nc rii.iniiiinic , II' {'.mit n- ftouil c-l r.-iit «le ((iiiiliiinT 1,'n soiin siiiniltjiMi'mt'iil , :n l'f ccdi' dif
Criilir.' c|(li> i" h.llllKillii' •-',l|)[lli(|lli' a |iMI~ Ir- ^| V li'^ , (-(1111 |miti' Inllti'S li'>> lllmlll l;i t Mill- , 1 rlll|)l(il ilr loil-^ li's
;ii( unis, lie tdiis Ir-, arliiicfs inn>lc,iii\ ipi'il «•>! |Mi>-.ililc (.riina^nruT, laiidis (|iJf le Cdiitrcixiiiil a un chamii
il r\|]liii;ill(Mi |ii',inr(Mi|) [lin- it,-I ii'iiil , (|ni' -ch «•(irnliinaisnn-. , liii''n (|mi' \y<-- niiMi|iriMisi'>, sont rc|irMilanl II-
Mnlir-.,cl (jnr *«- ic'';;li- -i,nt |ilii-. i i^min ii-i^ . Il a |)uiir ujiii'l . aMi>.i (|nr j.' l'ai ilil d.ins riiitrodncl ioii,d"i_
nilirr l'idcM' an -t\li' -m'mTc des .inriiii^ runi|iii-il('ni's, de hii dunniT le îMiliniciit dn doîn i'd(''};anl l't de la
t'.iinir nn'do<ii(]ih' iiidi''|u'inj;uilc (|iii' cli.nin.' |)arlif duil tiinjoni-s ciin-.TNcr vi^-ii m- cic~ anlii--- |)aiin'->,|)ar con.
-(iinrfil (ra->,(iii|ilir >a luain dr niannrr ;i Ir irndif ni.Mli'i- ali-<<)lii dan> la li'(hiii(|ni" ili' "on ,ii I en le «inidniNant
)n'ii a |>in a l,i |ir,ili<|iic de la Kniinr, Inil final de-, l'-lndi'^ cla^siqm^ de lont jcinic inn-icirn.
.Il' ne ia|i|ii>lliial |i;> tnidfs lf> ri'i;lr> .jiii -dmI <(pnnnniic-< ;i Iharmnnii- cl an (iunji cjxiinl je ne ronsi^riccai ;
ici (]n<' li'^ |iln> ini|M)rtanlcs on cclli'^ ipii *<• ra|i|)nilcnt -|)ccialcnicnt ait < i<intrc|)i>inl .
ACCORDS USITÉS. r_l.cx -cuU accord- .-niidovcs soiil: /V/rco»Y/ jiinJUit indj.,! uccord /itirfait jni/«.,leiir l'''>v/(_
r.-(S('j/(»'iif, ainsi (|ih' le /

"
i'-iiv>-rsemriit c/e l'accord f/c :,' dimiinitî-,t(iu>i d-s (ticords di' ?''i-f
li'Kia rriivi'rsrtiii'iitsi^:\n( le ":>'

, i|naiid il jirodnil niic '»
'jnslc avec la l)asv(.),(U'i't' pi-i'itardliniiH
rrs(diitioii .—(Uu'ii i]ni' rcrtainc- c>|ic(\'>< d>' 7"* ccnf'crnicnt m .">

'' diminiu'c, la riMulitc de cet 'in_
lerxallc l'Linl (orri;:i'e par l;i 7', on pourra l'eniiiloxer saii>, incon\éiucnl) .
(VIOUVEYENTS ' ' '
MELODIQUES. •J"_ l.cs inonvonieiits inélodiqncN i\i' i''^' iiiiii.,t\i- :> '
»/if//. , de -T' o/mi .. de .';
"i/k// ,dc ','''ji(sli-,
de ."")'
/u^^^ de l>''' iniii .vl d's" >onl le^ -enU n-ilé> I.a ^'' J/io;/. >cnlenienl :i 7 cl s |)artifs.
GENRE
CHROIKIATIQUE. ;> _l,e êiu'c cludni.iti(|ne e-| toni ;i (ait firnxci-it dn eonlripoinl ri-oiircn\.
TRITON. V _ l.a laii-ê relation <le trihoi n'c-l à f'rili'r <\ur rlaiis l'i'ii</iiinii-nii'iif du ''iiii »' d''(/ii'' di's
di'iij iti()il<s,si el|i' ,L lien iiilre |e-< (|en\ jiaiiie- e\lrènie>,la -cii-ilde nionlani ,à l;i (oniqne à la
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.11' il(ii> sij;iKilrr (|iic,ilaii^ le- (riiM'cs «le I Eiuili' Viilcsl rhii<'ii)ii'\i\n rnicontn' tYrriuriniMciil ccKi'
fausse l'clatiiin ilaii- l>"^ parlirs cxlrèincs ._ I,i' caractèic |)arliiiitièri'iiu'iil si^îtc i'I ;i li^nrs pai'
t'oi-^ 1111 peu l'iuli's (lc> iiilMa;:.»''- i\v rcltc cniKHic cxplKiiU' cctti' iiiaiiiÎTi' d ('Ci'in'. Kirii aLljiillid lliil
m- jii>-lit'u'rait (jd'uii fit ilc^ (''IikJi's daii'^ ici ordre d idi'i's.
/;v.-
NOTES
^^
ETRANGERES. r._l.,'-. iintr- <{,- |ia->aî' et !.> broderies >oiit les seuis oi-iie)iieiits iivit,'^ ijaus ti- (;oiilre|)oiiil .
.")''"
CONSECUTIVES. (>"_ Le-. et S^' " eoiisiwnt i\e-. sont , eoiiiiiie eii harnioiiie, toujours (li'/i'itihn'^ .^n\[ par iiioiixeinriit
seinlilahie , -.oit jKir iiioii\eiiienl contraire.
Kii <'e qui roiiceriii' le-- ."> "et S^'" e(tiiM''<'iilive^ -l'iiarees par une ou pliiîenr^ n"le> ,des rè|:le^
spi'ciale^ -.l'ont données pour ehaijlle e-pèce.
(In évitera de donner, par le (l'iisrnu'iil mlri' des ro(j,' f/c ///i'//((' i/r//«/'(', limpre-.'-ion di'
deux (llllllle- on de dei|\ oefaSe-^.
i:.\.
dette manière d'eerire -era loli'ii-r 'i pin-- de 'i partie*, ni.ii- itau diiiis /es deiKf l'jl rrnu'S
Il 1(1 ./ois,
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DIRECTES. 7'_Le-, .-,''-.
! S"-direete-. ne suiil juni'iis ijrniiisi's mh'' /-s /unii>'s e.c^/'.'uir.s ._ Kntie les par.
lies iiiteriiit'diaires, on doit >ni\ie le-. nn')iii's n'-jil''s (jin' paiir l'Ini iiiidnii' , •âiû daii- les espie
ee> trè". difficile-., oii qiielipies licence- -oui loiéri'o. (Il en sera pari.' en temps oji|iortiin) .
H. n cl" 20io+.
|);iii> lis (iii\rcs adiiiii'.thli's <li' 1' Kcnln l'.ilfsti'inii'iiin' doiil un\\> |i;m1()iis |iIu> haiil ,iiii ri'iuiinlrc
ci'rt.iin- |ir(irc'<1<'s d'c-critiii-i- (|iii n'a jdiitiMil ficri ;i l'i'ITt'l iî'in-i-al irm-citiblt' »( qu'un |Miiiirail
atijoiinl'hni "a hoii droit cuiisidi'irr (((iriim' dr> ii('^lij;fnccs; (elles sunt ft-rlaincs ri''"et S*'"" dont
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MARCHES. 9"_()n doit l'vitt'r K's Marches il" harriniiiic jiis<jn'aii (vOiilit'iiolnl ii ddiihic cIkoih- •( à S jtai'tio
t'xclllsivcilli'lll .
TRANSPOSITION. In'_ !.•• iliaii! doniii- /jfid l't ri' //vni.-^/Jos»'', afin de icsli-r «laiis la t^^,>itlll•.' luuinai.' de ia \(.i\
ddlit on -r -mmI .
Étendue. ir'_ l.f <loniii'ji(ii!it ne doll pas.aiilaiil iiiii- |iossil)lf, |)ar<'oiirii' une ((cîidut' ih'ixissditi lu II''.
CONTOURS
MÉLODIQUES, l'i' _(>ii dnil s'offorccr d-' rrridrc If (;(iiili-i'|)oiii( aii>si iiK'Iodnjiic <|iii> possible. A cfl cfli'l.oii |)ro_
oî'drra aillant iju'"!! le [loiirra j)iir (li'ijn's cmijoiitts .
J.i's iiiti'r\alli'> de 7'' on df \i'',fit (Irn.r ittonri'intîils (lisjoiiils dan-- ime iiièin'' diii'ctioii,doi_
\fiif l'trc proscrits, xni-(iMit rw vairnis coiirlrs , tcllrs (un' Manclifs et nuiic^;
A-v.-
jfa^ p È? H^H-T7-
II- [x'iiMMit l'in' admis (prmcijialriiii'nl la 7' iniii.) en \alt'iirs loiij;iies, daii> •s cas ilill icile-,
t indaiiMiieiil aiiN deux parties extrêmes;
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l.>'s de--ms ini'do(ll(|ne- dont les [xinits extrêmes tornieni dan- une même direction les int<'r\alle
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UNISSONS. I.")"_ .liiM|ii'aii (;iiiilir|)iiiiil ii 'i |)ailic>., on ii.' (iull [ja-- f.iiii- d'iiiii-xiii-. Mir lc> /''^'/cj/i/j.s f/cs
UK'.stn'cs, >iiiiiii à la I'" il a la (iiTiiu'-ii-
CROISEMENTS. H)"_ Le-, rroi-fiiiciils xhiI luli'i('>,t'\n'|)lt' ;i la I" A à la «IitiiIîti" rii<'>iii'i\ mais iU doivciil
l'Ii'c de ((iKili- (htif'i' v\ <'iih|di)Vi's avfc l'rsi'iM'.
MOUVEMENT
HARMONIOUE I7"_ l.c moiivcnuMil coiiti ali.' <•( Ir iiiniiNriMnil (.hli(iii.' xuil f)Vi-J>'><ihli'^ an riioia tMiU'iit
siiiildaldi' on direct .
QUARTE ET SIXTE. |H_((m doit i'rih-r luiilr coniliiiiaisoii ddiniaiit le s,.|iliin.-iil (je Wtriaril ilr (in<ni>- >! sixtr.
REPETITION
DES NOTES. III "_ l.a lepelIliuM drs hianihfs .•! di-> noiia-s .-st di'ii'niliic- Scnic, la rf().'litioii d«'> ron-
des esl nsil.'e.
DEUX ACCORDS
PAR MESURE. -JO". Kxceple dans les es|iè(es en rondes, on |ienl faire driix (Kconls par ittrsmr ,
wmi-.
iiiin ('i'i>f'ii({iiitt ({iiiis l'i iiii-inii'ii'.
CONTACT AVEC
-Jl-Kn •jénéral on d(nl e\ iler. (oui an moins en vai.'ins ,{, hlanehes, la imlc r/e ;h/s.s(/(/<' on
NOTES ETRANGERES.
la hmdrrii' [irodnisant iDiitinl ({•' si-rnndi' iitiiii'iiri- avec nne noie réel!.'.
.\ distame de ••'Ce ra|)|)oil de notes n'a |>as irinconvénienl
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REPRODUCTION
DES DESSINS. •J-J'_()ii (Inil t'xiicr la iiioiiotonic fi'siillaril J,- la i-rfiradnctiou htimi'didl'- ilii iiitMiic d
>iii iiiclo(ll(iiit' et le icloiir tViMjiU'iil (lc> rrirriics foi'iiiiilcs ;
Hrliiii.liiiiidii ,!r. iiiruii'- ik'--îii^ l't n'Ioiir lii.'» iiiriucs l'nrimik'- f'iiriiNiiil nii ('iiiitri'iiniiil iiiiMlidi'i'c l't riioiidl
On iluit t'viliM- aiis<i,<'n \alciirs df lilanchfs, :] fois le fctoiir mii' la niriiif iintc (tn-c lu
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Kii valeurs dr iKiiii's, il t'aiil t'-vifiT (le taire i|eii\ fuis le inèiiit' dessin (laiiN la nièrm
ineviire ;
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M'nne mesure ;i Taulieja rmninldnie dispaïai'l , et li's t'if;nre- suivantes sont trèv ad
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PASSAGE D'UNE YESURE
A UNE AUTRE AVEC DES -j:'. _ Kx iter aiilan I (|ue |i(is-.i!)le ,a\ec ie^ \aleiir> de noires, Tinterx aile de .'t"' ponr pa-êr
VALEURS DE NOIRES on de^-cen.
,]'„,,,, ,„,,^„,.,, ;, ,,,„. „„/,,-, (luaiid erlle [V itmlhno' nn inonve nt avc,.ndaiit
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HARMONIE DE
L'AVANT DERNIERE -J V'_ I.' aecurd l'inal doit être [ir('(V(|(' . dan-. Ta-, ant -dernn'Mv nir-urr , A,' /'Ininiiniilc (!< t'i
'^^^^^^ ,l,,„ninnil<-. lors(|iie le ehanl ne se lrnn\e pas a la hasse.
CHANTS DONNES _':.'_ I.es e\erei.'es de ( lunt rejHiinl s,, tuill sur ,|,.s Cl, unis <hnnir's enrn|.nses de rendes;
li's (Ihants se tr(pn\enl ;i la fin dn prissent (]n\ raê . On en Ironx.'ra anssi nrie ((rlaiiie ijnan
lili' dans |t;s traili's de (lliernliini i-t de Ha/in._(hi choisua les pins rninis cinnine I hèmes
de travail.
II. u cl' 21(40+

CONTREPOINT A 2 PARTIES.
r" espèce Note contre note.
1"_ (le (]oiiti-c|)()uil -1' ciimiioM' lin (Jhiiiit tloiitii' ri (I (iiif li.utic fil njiitd's coiiihiiicc avec ce Ch;iiit (luiiiii-.
i"_ La 1'" iiii'>iii>' (luil rire en rdii-umiaïui' jiaitaili' (."> "

S*' on iiui^-dii) La <l(rriii'rc doit vin' en S^' On en
iiiii>«i)ii.
.{" _ (hi (1(mI t'\ili'i',a iIcMix |)artn'>, 11' n-lnin' ( i('i|iii'nt i\r la .">'
un (!<• I S^' , riiiiinii' [inMliii>.anl iiiic haniio.
iHf lii>|) nicoiii|i|Mi'.
'•'_ On s'ah'^liiiKlra ili- l'am- |iln^ <li' Irais tifiii's on Irais sijili-s di' >nitt'.
r>' _ L" nni->-<)n ne piMil î- uralniniT i|n';i la 1' r| ;i la ili'inii'i^ ini'>nri'.
()"_T(inli' (llsxinancc doit èlrc .'V Id-i-; Ic^ >i'nl> inicix allc^ df li ',.")', (;'',K" cl leur- rcdiiuliIrniriiN -(inl
frn|dii\t''s.
7 _ Lt'> din\ di'riiit'if-. ini'în>'^ dodhanl- dunnc- ('laiil iîMiiTahim'iil la siis-loniiiui- <•( la Iniiii/in- , Il
t'aul , lui-.|n.' \i' chanl i-'l à la |iailii' inl'c'i irni'c , (|M(' l'asanl diTiiiiTc ni>"<nrc muI imi h'' itidji-un'.
Si an cnnliaMc, 11- diaiil <•>( ii la |)artii' >n|H''ilrnif , l'avanl diiiiirif im-^nic ddit ètii' en -t" niiiii-iiri' .
l'uni- iMtrr (jui' louti'- l''-^ ti'iiiiinai'^dii^ t'ii-î'iil -<'iiil)lal)lt--, TaN ani di'riiiÎTf nn'>>iiri' jintirrait (/ttssii'hc
lin r<ii>f)(irl <tf ô''.
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S'_|{ii'n (iiK- r harmoMic a •! [larllcs soil luicriin-iil patiMa- et \ai;iii',(iM (l"i| t'aiii- en M)f(.',[)ar If chdiv
{\vs iiilfi\allf> (IiTmii <iii|i|ni,., df dniniff /•' srutiiiii'iil d'iiiif harnionif cunijilflf ft |)rfcisf .
'
'_ La iiifiHf niilf iii' doit |ia> fhf r.'|it''fi''f pln^ li'niif fui-., f "f st-à-dlic l'nh'iiilnc /jIiis r/c di-iix J'ois
(il', suite.
II. «»;'. 20411+

10
EXEhCICES
Chaut (Ioiiik' la partie inf.'rit'iir.- .! cohiikimt Mir rc Chant a conlrcpoiiils din'.MViit> fii >( scr_
I»l;icof II' ;i
vaut tour à tour ili'> <li\crM'> clefs alTi'reiili's aux \<m\ . _ IMaier eriMiite le nièiiie Chant donné à la partie
snpi'iieiire et cuinposer é;;aleinent >ons ce ChanI .'i coiitrepoiMls dit Ti'i'enls ._ Chacpie Chant donni- ser\ira
ainsi de thJ'nie ii (J CDnihiiKiisDiif^ d i(f>-rrnlcs ^()\\ .

s'.-\ercera de celle manière snr plusieurs Chants dou^
t\v^ uiaienis e! mineur- jusiiu'à <'e (|ue ce lia\ail soi! dexenu facile e( nal urid ._ Le r//(j).r '/es r/ç/s es/ /V/
<•(///'/>)'/•; aucune rèrle précis,- nr peu! être doimiv a cet .'-ard ._ L' .'•JéN,- de\ ra pourtant \eiller à ce .(ne I,- d.'U\
paities ne soient pas tioji •'loiniir'i's fidii' (h' /'r/n// /'. _ Se rappeler aussi (ju'o/» /icid iKinsfio^^rr li' i'Jiiinl
EXEMPLE COIVIPLET 0"UN CONTREPOINT DE CETTE ESPÈCE
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2'""'Espèce_Deux notes contre ime.
l"_Ce Coiidvpoirit se romposp du (Uiiiiil doitiu' el d iiin' pnrtif en hlfincfn-s coiiibiinV avec reChan) dmiii.'.
:2"_La l"^'nK'smv doit coutcnlf uni' dctni-pause ft uui' l)laii(hi-. KIU' doit T'Iie on .'''a'u S*''ou eu uiii>-miu,
et la dcruit'it' en S"' ou i-u unisson.
^'(lul |r> t'iiiinulcs de l'aNanl dcinii'r-f nn'surc-.
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l U" -»
Il
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Afin d't'viter qm- toutes Ifs tciniinaisotis sr losseiiibleat quand le chant donne est à la Basse, la syncope
peiil èlre l'Uipliivee i\i criititihiirl li'iin'iil .
i:\:
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'S'— Le ti'uips fort liiiil toiiiinii-^ rlie en couxonnaiire ; le temps taihle peul elle en consiiiinaMce on en (In
îiiiaiice de passaj;e.
V_ I.es5"'""et H^'^'oonsi-eutives l'iiln- noirs n-i-Ucs dnixenl être si-parées pai- deux blanches.
T) _ Les :.' '

peti\ent n'i-lre êparee- ipie par luie -euie blanche dans les cas suivants: I" Si la seconde est
noie de jiassaê sur un temps t'aible; -J

'
Si lontes deux sont notes de passaj;e ;.'>" Si 1 une des deux e^t dimiiuieV;
V Par Mionvement conliaiie -.nr le lemp- l'aibli-.
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l> _ La relation «ni\anle (du liilon dan- le mnde muieni) n'a iii'u de commun a\ec celle du V au ;i''def;i"e du
mode majeur, qm' j'ai -ii;iiali''e dan> le> li'iile-. j^t'iiéralcs;
/;-,.
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Klle peiil dnnc, mmi- cette Curnie , l'iie appli(juee sans ci'ainte.
"_ LI iinisxni e^l tolère au leiiip- faible.
II. Ji c". '20+04.

12
KXEHCTCES.
Coiimic pour II- (luiiln'iioinl li.' la I' ''' i'^|)('0', pl.iccr le Chant (Ioiiik- .'{ IuIn à la \inv[\>' iiifVrlciiic cl ;t t(ii>
a la narlii' sniirViciiii' , ce (lui ilomu' lien aiM>i a '>'

<(itnbiit(ii>^(>ns. f/j//('V»'>*/<'.s . _ OhsciMT |j(iur !'• rtsj,. jrs
inniif^ i)i<'--ci'i|)li(in-^ (IiTimi co (|ni coiici'ini' la 1'" l'vpcci'.
EXEMPLES DE QUELQUES COMBINAISONS.
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1.-. .I.mix .•-! un -.cil .r«"- .l-r l.n.l .1 .|iir l.i \u\v
|, ri. I ;.(• .iiNiiili' |i;ir iiiiiUM'tiii'iil :i«i'i-ijil;nit .
<)„ |^.iil f.jniiLl.T ;i i-M :--.\tA |.,H.-iii.ii.p:.' MU.M.I.-. <i .!..ii- .).- ..,, -,.,iil.lMl.l.'- / s„)(/ ,/'H" rsl
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cemliuii.'V': .l.iit pr.MiM.r, ///-r/s l'inhrinll'' <! !f .;, r/.'//.i sniilsjun inuii, ,inri,t d. ^•riiiiniit :
'^^^
II. A( C. JiHn4.
lA
CONTRp]POINT A 2 PARTIES
3'" espèce —Quatre notes contre une.
I"_(;i' (;()iitiC|)uiii| s," coiiiiivi-i' ilii i'Ji(tnl (Idinir t( d'iiih' |);iilii' fii iioiii's l'oiiiliiiuV avec ce ('.h;uit (Ioiiik'.
:*"_ La |ii»'iiiiri(' mi'siiiv dnil conli-iiir un soii|jii' fl \rin> iiuiifs. l,a 1" ili' ci--' iKurf-» liml rlff la ô '
, | S^'cîi
I iiiii»nii ._ I.a (|riiii("'ii' inoiiii' (loi! Lire on S*' ou en iiiii^-nri.
QUELQUES FORMULES POUR L'AVANT DERNIERE MESURE;
^rrr^Ji - ij j. Ji - iJ j
jJ i
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;t''_ l.i' iiioinciiiint i)ii'loili(|iii' (|r a'' itiiiii'uii' iM'^l criipliiM- daii^ cclli' i'>|)iH'»' <|iii' dans la tni'ito' nti'siiri'
et priid.nil II ({nn-r i(ii iiirtni' iiicitid .
'•"_ l.a 1" nu|i' lie chaijii'' inf-m-,. doit t'iir ntn- iiin«.minaiic<'-, \r> anlir^ [jciim'iiI rln- cuiiMinnanio on '/is_
soininci')^ Juiniiiiil /(o/r.s di' ij(i>sii<ii' <iii htii({i'ri''s .
."»'_ !..> s^'-ct .')'"

fulii' nipl<'~ ii'fllc'^ doJM'iit l'iii- -.i''|iaiiv- [lar 'i iiono. l'ar indUM'Uicnt ((uiliant' «)(•' /loi'/v
îitlit |i(iiii- II-. -.aii\''i, // /'/ ifiiiililidii rr//rii(litiil (/iii- lu î-iiiii<l<' m' se /;/(k/»(/S(' fin^ sur Ir /"trin/ts (d- lu
iiii's'ttri' .
ô'''""
Knlr.' di'M\ iioto l'h'tiiitfi'-ifs nn .'nln- Anw nolt- don( la t"'' i-sl iv'rflr t'I la ^''' «''//•<///(/«''/•(', les sont
au\i-r* (iiiaihl idli'^ ..ont -.('|iait'i'> |)ai- uni', di'ii.t: mi Imis //r)//'i.'.s.
KhIic I:i r"ii..l.' r.Vlli' cl

'2*''
^^ l;i t''li':iijj;i'rf.
Itnu.
II. N CV iiUtU.
La iin-iiic règle est ;i|)|)li(aMc -i la l"'i'sl \u)li^ l'.l rmint-rn cl la :?' /-"e/A' , tuais il taiil daiis ci- ras (]iii' cfllf no_
ti- l'i'elli' procède par (li'fjrc's conjoints iiffntl cl (tj)tvs so// ô/iissio/) , e'e-t-.à-dlre (pTelle ait le id rdcli'ri' de
tioli' di' /v^/ss^/i/H- oii dr hrixh'fii':
I
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ii(/le i'Ii.imJtc. '-'

iK.lo l'celle (.r.MC.I.iiil yur rli-ie^ rniijnHil- 'J'iiiile ri'ell.- |i;u- iiM.ii\eiiiciil ili^jdiiil .
jjj ii jjj'i Tiji |

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Kii tmil cas la si'cnndi' (|iimte ne doif /iinutis se fjrodiiiri' sur /c /'' h^nifis d< la im-sii ri',in toutes deiiv
la i'dis sur 1(1 si-<<nidi' inaitii':
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Si lime des deux (|iiiii(es rs( f/ii/(///i(('''. •Iles si,iil s.iiuées, si'jinri'i's fxir uiu' ,<l''ux ou trois »(o)r('S;iiiais
la seconde ne doit pas non pins se jjiodiiiie sur le {"leiiips (Je la nH'sure.
ti_Si
di'UX Hoiri'S
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fTynTj:nîi^^^rn
les (jnalii- ii'iire> i l'presi.nleiil ,|eii\
B'»,.
accords
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dii'fV>ifii|s
U^^î^n
, ces accords dcueiil se
ni^ ^
duiserde di'U.v eu
I.a>aiit dernièic mesure ne doit [•pn'seiiter Ipl'/f/l Si'ul itifOrtl.
""_ l.nnissiui es| loliMi', mais non sur l'i I'

" n<)l<' di' lu nii'sun-.
On <inil é\ lier
<onli(fl di'
d \ afiolitir p;ir
xcro/d/c niiui'ur<-
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Mais
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''"_l.a tormidi' siuMmi,. |j|.|it >,. nralii|iii'r soks f'ornu' di- rrhuir à la j- ,>
nièiii"' note sans pinir e,da tlminer
mais tuiijonrs sm- niie partie t'aihie
le sciitimenl
du temps:
dnn sceiind ren\er^.'meiit ,
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l(»_ La note de pa-sage el la broderie su jn^riioiri' ne peinent être alt/'c/'cs sans iiroftKjwr uni- modu/ulion.
( 1-* 1 L_l.
,11 II I
cil s.
Mais la hriideiie iuf'i'ri'-u rf n'/dn-anle pas la tonallli', /. \ :

iJJj.i
* M. *j (;'.'
20 404.
EXEtiCICKS.
Vr-o(t'(l('i' (If la iii'Miir m.iiiiiMc (juc d;ui^ le» oiii-ct'-» |)ri'cf'(lt'ntt's.
EXEMPLES DE QUELQUES COMBINAISONS
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16
4'"" Espèce _ Spicopes .
|"_ Cf (Contrepoint m- ooinposc du C.IkuiI ilmna' et d iim- [larlic imi s///Moy;»',s, dotil la 1'" nioitit' m- lroii_
Vf sur lo l('m|)-> t'aibli' diiiic nifsnrt- ,fl I aiilii' sur le ttMii|is tort dr la mesure suivante;
J "T -J
J
2"_ I.a r"niesnre doit eoninieiicer par nue denii-|)an>e . Klle doit rire en oonsunnanee partailc; r)'',H"'(
unisson . I, a di^rnière niesiuc doit ('Ir-e eu s^'du iiuissiui.
Si le idiant dount' te piTuiet, I a\anl diTuirie uiesiue ddil t(iuj<inrs i-duteuir une d^soiiauce sxuedjK'f:
iF=^ 'i ri
-f> T^
:>"_ l.a ^Mieope |)cilt rtiv ou iiou \\\\i- d i-~îin:iUri' _ // e.s/ /iir'/'i'r'lhli- (jii'i'/li' If sdil _ Dans le l'as 011 elle
est eonsunnaiiee , elle peut proei'der par dti;rr> cnujoiul'^ ou disjouils.
'•"_ Les disv(Miance> cniploM'cs suul crllr^ de 2''''et de '''

retardant la ;!"', dr 7'""' retardant la ()''!,et de
!•' rtdardant I S^' . KlL's .s(.' ii'solvfitt l(ii(i<iiirs fti ({l'stt'iiddut ti'iin di';/ri'.
Lorsipic les syncopes sont a la partie iidÏTicure. ou peut, piuu' ne |)a^ a
les inleii-iuupie , eni|)loyer la '»

'Counne retard ile la r>'' ,iuai- a\ec résiTveîi (^ q -
•2 parties,;! (•;iu->e i\<- la |iauvn't(' et de l;i >(''rhen's-c de rhainiome; |

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!,;» dl--oiiance de -i''' ailnllieutei- peut '"'Ile liriltifinee d in-> if lUoilr linuelir :
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_ Les T) '''et H*'"'eoiiseeuti\c-% luitre Ir- Irinp-, faible- suut didciidiies . _ (lidies prodiiiti- entre tes temps
tiirl> s(uit pernii»es, ct'ptMKbuil IfH H"'' s<,iit nniins htinm-s ijid' d's ^,''",h ejuisc dv l'id'l'et mon (jiii en résulte;
.Am7./,' i,:sh.„.
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l.i's ô par iiioiivemeiit contraire sdut lol.^ré.-. -nr I.'- t.iiip- taihles: J^ '^
Dans succession suivante: o 4

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\ r\ le- (j'^sfuibleut ii'tardcr le- .')'"('! l'on;! riin]iressioii
de Heux r)'''"'qi«'il faut évit»M'.
w.H. r"; 204oi.

17
Si au foiih-'nirc c»'t ctlfl m' |)i()(1iiit i» \:\ |)artii' mtV'iicurt', on a la scii>ali(>ti de dt'iix acooi'ds.t-l 1' iin|)i'(>s!<ioii
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(jiiaiil a I iiiii»oii. il n-li- -oinnis aii\ r»'f:lf- pitri-driitcs, (•'f>t-;i-diit' |Miiiii>, aii\ li'ni|t-. f'alhlo, di-lciidii
an\ l('iir|)> tort»..
•V'_()ii |ii'iil iiiti'iroiii|)ri' la >\ii(ii|ii' jiai' uni' cjriin paiix- on [lar nni" l>laii('lii'._ /y'/ hlani'h*' l'sf }tri'f\'
*(//;/'._ Mais pour iiili'iroiii|iic la N\n<(i|)r il tant a\oii' ('iniiM' Ion-. Ii's ni(>\i'ii> «le l'airi' auln'ini'iil ._Kii tout
cas on iii- (loil fiii|)loVcr ci' |iro(i'(|i- (|ii(" idn'iin'iil dan-- le nnMiii' rontccpoml .
~"_ A <aii--i' de I oliliâlion di' -viico|ii'r, on i'-.| ôiufiit olilii;i''' de (ana- |)ln> de li'oi> tierces on tfois
x|\les lie suite.
H"_ On iii' dmt |,,iN taire la rept'l it ion d nue note -\nco|M'e.
-
M"_ l.a dnreli- ([•• la l'an-ê l'elation de triton : ^y— ^j - dis|)araîl en ;;raiide partie avec
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|n •_ |{clati\eiiienl an\ .">'''e| ah\ S"~iioii êpai-i'e-. par un ae<ord l'traiiêi-, il >ntt'il de sii/i/jriiin'r la sj/ii
rojii- pour constater si réalisation e«t correcte. Ain-i le passafêsni -'^

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lion avec r(nilinnit>' des >\ licopes ne l'est pllls M Irf. :ijjit< ii/JUS Si)lll ,1 >J'^/J j'^j
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inti'i'rdiiifiiii's:
parce ipie dans !, {''ci-., en siippi'iniaiit les s\ lu-op.'s . un oitlieiit;
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tandis ,pie le s,.coik! donne:

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Il _ Les tailles de .'>''

~ et d's''-dire< e pemeni s,, produire avec / I
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s\ii( oiies. 1,,.^ pass;i^,.s s|ii\ ,i!its et ;nilre- sunilairi's snni dom- ti'i's — -^ -^
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lions:
f:A7':/{(;/(:/<:s.
trois fois Chant a la partie iiilerieiire cl trois

Proc'der eoiniiie preW-deiiiiiieiit .c'estii-diie inetir.' le diMin.'-
fois ;i la partie suprii. •nre.
Il.« <".'." •20 + 04.

18
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19
5' Espèce -Contrepoint fleuri.
1"_ (le (jOrilri>|)()iiil i'>t un coniposi- (li's fisyxVre.v /J/•^(^<''f/»'/(/(^^ (:i ri'\ci'|)ti(iii de l:i 1" ), ;ui\(|iit'llcs on :ii
jdint fies crochi-s >'f r/cs hl(tn(h>'s iinind'i's.
-J"_ L.'^ rrcKhr-. (|(ii\<'iit l(iii|oms m- î\i(i''i\f\- fj(ir ntdKi'i'Uii'itf conjaiii/ .\u:\\î-\\es \M'\\\f\\\ r\yi-\iyri-rt\ri
(l'un inunMMiH'nt (lisjoinl. On n<' <lnil, ;tnl;int (|iii' po>sil)l(' n't'ii pas ini'ltrt- iiln- dr iIimix |i,ir ni("-iii'f,('l rlli
iloix.Mit iMic plac.'i'-; (t(t)ts lu !' moitii- f/'-s h'iu/is:
-et- *»
Si |i:ii't'(iis nii csl :mn>iii'' à i-intilnN it '» ci'Di'hi's Han-. la ini''nii' nir-nri', ces croihrs iIuimmiI l'iii' rt''|>ai'l ii'
'II- la inanirii- -îilNanl.' d non -i' -ihi'imIit ininicliatiMni'iil :
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^^^nu
On ijnil (Ml loni i:i^ rire vk/i/v duits r'-iiiploi d>ts cvinlu'x, ^\ l'un \<n\ runsrrMT an (•(in(i'<'|)()int le ca.
lail l'iT ;;ra\i' i|ni (ll^lm^;n^' ci- :;cni'i' ilr cninixiîl lun
;{"_ I- a lilanchi- [nilnl/'c n"f-l nsl(.'-c à «li'iix (laitn's i{H>' d'um- un-siiri' il l^tuln', i-t il fs| il'nsa'î' «Icrt'.
cvW'- siiiis la ('ornii- v\ nroiMM' par la liaison;
Les ancifiis aiili (ii-s l'/ci-iv aiciil mmi\ciiI -,ii|s la i i I I
J j
oniic Miivantr,inn'-i(i''i' aniiiiii'd'hiii. ^1 <.->

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'»"_ L.'s ilniN variant, s siii\aiit<'-
iiiinii' Caisant des failles dr ô''." ri

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d's".'":
muiI |ias conMdt'rfi's
q j 3b&
.")"_ La pi'finirri- iiii'siiic pcnl ciiiiinii'iirrr:
1" par iiiii- dcini-paiisc siii\i.' d'iim- lilanch.' /^ - f""
-2" par mil' dfini-paiisf siiiv ii- d'iiin' Idanrht' sviicope.' jV - [' ' |
;j" par lin sdiipir sium df Irnis hdii'i's ^ t

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4" par lin sf/iipir suivi d'une noire el d'une hianrhe sxneopee
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W.H C" 20404.
20
fi"_L.' rvthiiif (iciix noiri's suivies d'une blanche dans la même mesure
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e^t d'un effet giuiehe; il ne doit «Mre employé (iii'avee une grande ri'serve: ^ T p"] 11 |
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Ce même ivthme deux noiies

sont suivii's d'uni',
est au contraire exci-lh'itf
hldnvhn sytK'djxîf:
si les
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7"_La rt'-olutiou d'un l'elard doit avoir lieu sur tu i'' uioitii- <(i' In inrsnr<-, (ju'il s ail on non
une variante:
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o ^ il <-i I
o J
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):l,llll„ls.
Ou ne doil dans aucun cas diuiinuef la \aleni
d'un rctai'd de la faiou suivante;
Le l'itai'il doit être [jrt'pai'é jjur tint' hldtirhf, ikdi fjiir nnr noin ÉE^^J^-bg^
I,a résniuliou ifiui l'etard peu! se produiri' de di\ersi'> nianièr'es, soit snnplement [jar rt-iiiissuni de la
iiute réelle, îift eu faisant [ji'éct-der celte note réelii- de leiiaiiies variantes:
j-t'j'jT j'ii'j J], i
| |
J
Ji^+d.
7^'^_ Exceptionelleuieut une note -vucopée fonnaul 7" mineure a\ec la basse peut ne si- i-('s()udre ipi»
la mesure suivante; «laus ce ca^ rlli; diiil >}tre hrodihi siipi'rit'iirf'innnf:
(>''
H"_La formule suivante est souvent iisili'e; la V' et Il a d/>|à /lé pari.'
'
(|ui eu ré'siilte n'a ;uicuue importance ;'i cause de son peu de JL ,
iL rj \
rA di" ciMti' toruKile dau-
flurée l't de l:i plac (ju'tdie oc( npe dans la nie>ure: l'esiiéce en noires.
'.•"_ Les règles ônt app I li'ald c selon Tcspérc i'UI|do\ée,
lO"_Comuie pour les espi'-r.'s pia'céd. Mlles, on prni i-roiscr les pai'lies. mais i'xci'jtfi<iiti/!,'ntrnf.
11 '—La tenninaison doit toujours é|re (,i le plaiii chaiil l<- jiecmel) la
III fiir)Hi' diri'fiir'l -< n'-soUant sur la sriisible suivii' de la toini|ue; vO r> I i
l:i"_Si une bhinchi' est suivie dr d.'ux

leiix noires • tiaiis niéni
la niriiK' ~A- a4X'l II , ! JJiJ^
li'sure, la !" de ces iioili-s pi-ut rtic Iiolle de passajê ou firoilrric; -P^
H.N i:'r 20404.

2i
13 '_ Li' coiilri'poiiil fli'iiii iJdit rtro à l;i fois iiii''lo(Jii|iii', ('li-fâiit l'I sobic dans savarii'd-. Il ("aiil hcaiu
(•(iii() (If ^'iint l'I (i'ailn-sM" |Him- n'iiiiir tonte- c.'s ijtialilrv, (jinin tia\ail a-sldn .>l iiiti-lliî'iit dévploppe sùri'iiit'iit.
1 V'_IN<' pas criiplover les inriiii's valtMirs i-t 1rs nièincs dessins jn-ndnnt pins dr di'iix nirsitri's.
EXEliClCES.
FrofédiT fie la mên)«> nianièri' (|iii' dans les espèces pr('rédeiil<'s, c'est-à-dire mettre trois fois je C. \) à la
paille iiife'neiire et trois fois à la partie supérieure.

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H.M C.r
r. Inurn,,,,!
20404.
2-2
T'' Espèce -Note contre note.
-J"_L;i jucmi.Ti' iii-'îirc pciil ;i\i)ir son hariiKiiiit' r()rii|ili~'ti' (ni iiH"()iii|il(~'lr .
I)f iiUMiii' {ii'tii' la .IriniJ'i-c. a l:u]iirllr il ari-i\.

i:\ :
sciiivent de ne pa- cunltMiir i\r licr-cf.
L'avaiil (li'nili~'i-f ini'Mirc «init astiir >(iii haniionif cnmi)!;'!!-.
3"_Daiis |i'>. ari<ii-(l> (le Sixti- la itU'illiMUf ijddbliir»' f^l ia tl'' . (]f|iiMi(laiit on |ii'nl en doiibliT la IJ" cl
MlrlMi' la Iioti' (|r hassi' .
'f —Dans 11' hiit (II' t'aii-f initMix fhantcr les parties, on ne s'asireindi'a pas à compléter tons les accords;
il en re'snltera une plus -rande \ariete et une pins i^rande éli''t;ance.
5 "_En oe (pii concerne les 5''-, cl les 8"- directes, elles ne sont jamais permises entre 1rs parties e\_
trcnie-,. Entre Icn parties antres (jne les dcn\ extrêmes à la t'ois, elles soni sauntisi's ditx mrrtn^s rtîjli^>i
qui- finnr l'Iiunnuait'
t>"_()n d.iit .'viter la l't'pi'l il ion i\'' nw*' note ({(Uis (h-ux fxlrfirs à tu Jais.
7 '_ A |)art ir dn (i'oiil repoinl il trois part ies on n'est plus tenu de ti'rnuner à la partie snp('iMciire par
la |oni(pie.
H'_Les deux parties supérieures penveill enmniencer [tai' rnrusson, la iï" , la .">'' du l'S'''; l;i dei'uièi'e
mesure peut ti'i'niiner- dans les mêmes conditions.
i>"_()n s'elïorcera de ne jjits fmp vlniijHi'r li's fxirfifs /»'n }(iit's (d-s tiftfi'rs; T harmonie serrée on
modiM'ément espacée doiiuaiil loujoiirs un mi'iileiir résultat au point de \ne de la sonorité'.
10 '_ pour les au lies réi;les conci'rnairi les ;i"^ et les <;'• - de suite, les rép(dilioiis de notes etc.. voir la
On cd)servera seulement (]ue continue les " et les (»'"\su/(M//(n(é//i('/(r,

même esp.'ce à ({vn\ parties. si l'on ;>'
on n'en doit pas t'aiic jihis (h' ili'ux <l<- sinfi'.
I.\:
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EXEIiCICES.
Mettre II' chant ilonné .'5 l'ois à chaque pai'fie,ee qui (Joiine S comhindisdtis jimtr ilKKjnr thi-nn'.
S'exercei- ainsi sur plusieurs chants donnévs, majeurs .'t minuirs, inscjn'à ce (pie «•e travail soit devi
facile et naturel.
W.n C- 20404.
23
3 COMBINAISONS EN WAJEUR.
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EXEMPLE COMPLET DES M COMBINAISONS AUXQUELLES DONNE LIEU UN CONTREPOINT DE CETTE ESPECE.
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Espèce -Deux notes contre une.
i"_Cc Coiitri'poiiit sf cotiipost' (lu Clittnf (fnum-, d'uiir parfit^ 'it runduti, ri d^tmn partit' un hiui.
clins. Il i'>l >i.iiiiii> ;m\ iii("''iiit'> loi-, (|iii' r.'s|ii''(t' Mimlaiii- à ilciix |iarlir>,à rcvrcptioii de <<• qui miiI:
:î"_La
i<'-|ii''ti(ioti
/o/'.sfyi/'o/(
it'|)|!tiii()ii <l>'^
pourra avoir lifii

blaiichi's
<!<•
f-»l toujours
Vnvunt-di'rtirfrt'
ri'itfditlri'rd uni- ((ifficultè ri>lli' pnui-
(|('f'cii(liic;
il
crpondaiil cille
lu fh'Diii'rf ncsitri','
la It-i'uimaisnu:
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.Ou [HMiria aiivsiî'l sridi-ufiit fxtur /''/'(/i/m'-/\ ruip lover la s\ ucnp ^
'
^\: H'- dirrete e.j ln\i'v<'-i\
t( pniirjhtir, cutr»' les .jeux parties cxlrèuies
j
ijuaud
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la partie siipeiiem-.- proeèile yjar
Daiis la piennere
(-^ (iiit fUii/ijiii(jHt' iisii-uddut
uiesini', la partie ipii earaiti'rise j'espèct-, (c'esl-ji-dife ici la partie en lijaiiches)

:
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resle >'iiiiiiis,' à i'oMieatoMi de ciiiiiiueiiier par l'uiiissoii , la ."«''Ours / La t criiiiiiaisciu n'est soiiiiiisc à
aucune iddiâl nui sjiéeiale .
<>"_ Quand II- eiinirepoinl est à la hasse, la partie ininiedialeiui'ut au dessus doit coiiinie ncer par la t(Uiiqui'.
EXERCICES.
Mejtri' le chant dniini' i\i{\\ ("is ;i chaipie partie, en alti'riiaiit les ldaiich'-s, ce ipii dmiiie six iiiui-
hittuisdïis pour chaque thNiiie.
EXEMPLE COMPLET D'UN CONTREPOINT DE CETTE ESPECE.
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3'' Espèce -Quatre notes contre une.
1"_ Cl- (]i)iilr.'|)(iiiit SI- coiiiiios.' (iii Chtmf fl(inu>\ «rmic |iaiiii' .-ii rniidrs .! d'ini.' p.iitic m uoiri^s.
Il fsl soiMiiis aii\ iiiriiH's lois (|iii' rc>().~'f«' >iiiiilairr à <li'ii\ |)arlics,à l'cxccpliuii dr ce (|iii siiil:
•2"_l).'ii\ .")'••"
danf lnpiM-ifiir*>s, bien <|iic »'»'ttt' r)'*" diininni'c ne jotit' pas iri |t> rôle fie note di- pa.ss,ij;t',t't qu'clli
se trouve plac«-(' sur le premier temps de la mesure.
Mais si r'i'sf tu fjt'i'inH'ri' qui rst (iiiiiiniii'f, idle-, doivent èlre séparées pur uttr jtiiirn iiunioi)is,AU\
eondi- ne doit pas se (roiivi'r ûv le premier temps de la mesure.
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.Mettre le Chant douin' deux fois à ( ha<pie partie en allernaiil les noires, ce (pii donne six combiudi.
siiUs pour ehaqiie thème.
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30
Mélansce des Rondes, Blanches et Noires.
Ct> (',oiitr.'|)oiiit ê d\\('li(tiif <(ninii'',il\tni' |>;irlii' .mi hluiichi-s et (l'une partie en iioiri-s.
t"_ f(iiii[)i)>t>
.)i._| ,.^ rè:;les nrecédeilles testent en \li;iieni-. Mais coilline le iiK'Iailj^f |iei met IViMI ueniineill de l'aire
deux aec.irds par mesure, il Caiit l'Iahlir mi.' ïn\> pour tontes, coimiie pour rharuiotiie, (pie toiitr fiiuf>^ d>-
:t^'-()n (('H''''^s>'f)aréfs pdv iiii rh(i)tiii')H('Ut (Vdicord n'existe fjlit>i.
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iiar mouNenii'ut contiaire scuit permises entreles temps forts, mais <(oh dans les rfi-i(X parfii'sejcf nhiK-
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'»"_Kelali\emeiit an Chant doum'', eha'pie partie en Contrepoint <loit être rotilorme aux rèe;|es éfalilies;
en hiauehes et celle en noires, des reiifoiitres et de> rapports d.- dissonaiiees peuvent s,.
mais entre la |)artiê
nroduii-e,si ce^ deux parties procèdent pdr mouvement confrdire et par deijvès conjoints, ou tojil au
moins par d'up-i-s conjitinfs dans la partie en noires.
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noire, ur.oe retour MIT erlle nuire par arp^'-e et pir n seuonit rontraire; -r si les notes ipn loianent
;,
lisvunaure >oiil l'nne el fantre de pa-.>a-e et proc'-ihuif pur ntonvmoit cnnjninl.
Il.'i C'.- 2O40 + ,

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de iciivtTM'ini'Ml, i^n contarl de si'vdikIi-.
n'fîf <nn'>.tii»ii dans les obscrvalinii-, pi-i'c/'ili-nli-s (jiif des

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la ii(iir<',(ar ri\i'iii|ilc' sMi\aiit rs| iaii'IIimiI ,

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dcii\ narlir-. iiidcrdinl
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d'accord [nul
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a'-i/r'-s riiiij()inls,iti\
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(nul au moins par

/jili'fii's cl |iarf/'7//''.s ciitijaiiits
ni<n(Vi-mi'iif <()Hlriiir''fliinslisfl''iix
ildiis lu ii'iili''i-ii iDiiri-s. ¥^ ^ ^^

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nii'.les chailêmellls
|)aiis les ri'^f|cs ^cii. 'l'aies, Ir >J.
de iJuxilinll on
B, du 7" dit
d'-'tat c|e l'accild
i|iic,
tie
comme en hai'mo_
ileirniseiil |)as !.>
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d'K'' \ (;e|lelldaiit à niesiil e
/('S
|i';;|i',
)ni'lu)i(fits,
Ini'scMli' ci's
on |)oiii'i'i
l'ailles
c|l|e 1
iiarjoi^
seronl
e- dlllleiill
s.'
>i ]):ire'.'s
e^ se
départir de
IIIU
ji.ir une
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7'_ haiis la disposition d.' la [ireinii're iiiesinr. t'\iti'r ipie
l'eut r>''e de la partie en hlanches î' trouve en erinlad de i; a\ee
la partie en iioir.'s. (lelte même enti^'' en rapport de W _iiotam-
ment la VI' inajinre_ est très adniissiide.
EXERCICES.
M. 'lire le (Ihanl dom:,' d.n\ lîs ii ehaipie partie a\.c les sal'iiis aJlenK'e», ce (|ui ilonin' six coinhi.
Uilisdll!^ polir ehaijlle thèllO'.
EXEIVIPLE D'UNE COIVIBINAJSON.
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H. Si C'/ 20404.
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Espèce _ Syncopes
!"_(;(' Coiitrf[)i)iiit -f <i)!i)[)u>.- ,\<\(llnint </o/(((''', iruMi- |);irtii' «mi randi-s cl il'iinr parlif cii sjjitcofj'^s.
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(Iliiiiiiiii'c, |iri'|i;tr(' par l.i ^viicopi' peut rtrc i'iii|ilo\(':
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tolcrt' à la (Icriiirri' iiirsii rc l'.s' rliri-rlr ciilri' Ic^ i!i'ii\ parti. -s cvt rriiio, pour (Mti-r riinivMiii ciilrc li'- ilciix
partie-, i;ra\CN .
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H.\ t'y 20404.

*( "_ l/iiccard f{i- '«''"
nf *>''" [)t'iit ("'Ire tMiijildM- ;ivfc |)i-i'[);irali(iii i\*' l.i V' à la fin ilii (^DiitiH'poinl , mai-
si'iiliiiHMit foiiiinr retard cl dans la f'oniif siii\an(r;
/;.\;
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7"_ Malf^rt' la ilifTiciilti' «nii n-Milli' de l'eiiiiildi des sMicdjie^, on doil s'efforcfr de ne |ias Caire phix de
trois tieree«. de slllle dails li's >\v\\\ pailles en roiiiles.
S"_ On emjjliiiera avec ri'ser\c la sMico|n' t'orniaiil le retard de la ha^sc dmihlée de ("acctnd de()'''dii;V
7''
et du dc;'r(' du iiiudc iiiaimir.
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;> '_ Dans les es|)èccs s\ nc<)|)c'es, on |)eut s'atïiaiich i r d( l'olili;;al ion de coniiiienccr la partie ciiConli'e.
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dut |)ar I'n" , la on rimisson.
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tll"_ l.es ailliez ri'nics donnée^ pour la iiièine c»|)('ce ;i deux parties resleiit en vij;ueiir.
KXKHCICKS.
Mettre le Chant donn.' dcn\ fois .•( eha<pic parti.', en alti'inanl l<'s -\ncopes,cc (jiii donne six cinuhiHdi.
<<iHs |)our chaciiic thi'me .
EXEMPLE COMPLET D'UN CONTREPOINT OE CETTE ESPECE.

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Mélange des l'ondes, blanches et syncopes.
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—liai]- !• iii.l:uii;r, !., (Ii-îin,iiicr> lir d''-' . 1 '
<•{ *»' . niijiliivivv daii- la partie .'il ^\ nci'|ii's, Iniil iiinL
jiirfui-, lri;i' )-rsiiliitiiiii sur tui (tiiff'' ncmrd (111. •

l'cliii (iirrlIcN [laraisîMil aniinuciT.
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/, V TT' i'f
-) r- f.-s^
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_ L" acri)r<| (If 7''. ^(111 !" et ^mi .'!" (ciiM'i'-cinciits [iciiNcnl ''trc sdiivnt et hfurciNcinciit ciiijil'iM
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'i _l-(-i rci;!cs |il'cCtMicilti's l'c-ti !lt (il \i;;ili'
EXKHCICES.
M'ttfc !•• (!haiit (liiiiiic (ici(\ fui- a chaciiic jiartie. en alli-rnaiit l^ Maiicho > -\ llCdp"--, (
(' ([II! (loniic six
iiiiit^rnuisuns y^ww (•ha(|iii' lh('-iiic.
EXEMPLE D'UNE COVBlNAiSOM.
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<••.!> ;ii.iri|(i'r.i ' i ri-^li' <|i (ic-crc .|ii.' !- .!iiri.'ii;t.'. ;ui-i'i;.„t.r'i,l, |,( -.'ii-cil.: .'.< r(-;;li< diiiii
n.u c." 204L14.

37
EXEMPLE COMPLET DUN CONTREPOINT DE CETTE ESPÈCE.
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Mélange des rondes, noires et syncopes
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i"_Aiii--l iiiii' !'• i";n '\i'\:\ (';iil "[jmm-mt, a iiicsiirc (jih' h-, liirt'irnlli"^ '-r iinilii|iliiiil., i.i sr\rril('' ilc^ relies
[init rtn- |ri;rlT!iii'i]| ;iU('l!(u''' ru rr (|lli ((illCi'i'llr Ic-^ fail'u'v (le .">''" cl (1'^^'". c'cvl-a-dirc (|nc,(laii- le-, ilii'-
lailj^c- (le [-f i;clirc-lc> r.'"" cl les K^'\ entre les noires e[ les rmKJes , s(Mll t(ili''|-ees, scpari'i s jKil' (len\ (i!l trois
noires, à rcxccption de eilies ,|ni sun! produites et;(re la 1'" iioirc on la •!" noire (rnne ;iie-ure et la l"'''
noire de la mesure snivaiiti'.
.H"_I.,es antres rè:;les ni'i'Cedenlcs rcsleiil en \i''iieur.
EXEliClCES.
Mettre le (iliaiit d'it!!'' deux l'ois à chaquc partie, noires et syncopes altcriu'es, ce (p.ii diiiine six cion-
bi)(insi\)is pour chiKpie thème.
EXEIVIPLES DE QUELQUES COMBINAISONS.
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(2) Cit.- r.';.lis,-.li. Il pnit s,. |,r;itif)U. r m.' .iimi. .'.'i.- ;.• .m., |
r. — ij, li r.'-, liiti.,;i -•• f..it mm- i.i..- ;iulr.. ii.l.' .in,' I" S'" ( M !, > |,:irti.'S |,ro( i.l p.,
ro.'in. lEfiil coiilr.iiri' ri,i.'j,.ii l.iîliiis lira •Xi fjliuu;,, II, nu ni
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CONTREPOINT A 3 PARTIES,
5'""'Espèc'e_. Contrepoint fleuri
r _ Il \ ;i :! iii;uil.-l>'- <!r |irMlii|ilcr ce Ooill [•(iiuill .
I,;i I""'' coiniir.iiil (/.«x fjitrtii's m r(i)t((>'s et mu- nt Cnnt)-rjif)i)il J'Imiri.
l.;i. -i'' l'^t 1111 iiicliuii:.' (Viinr fjiirli" m roiuh-s .lon' i-u hlitiidirs .t tinr ru (jinln-point J'huri.
I,:i .'t' -! cnrniMi^f <]'>(}>' })(tvhr fit randcs et drux m Ciiiih-i'poinl fliiiri.
•J"_LiiiNqiii' Ir (lonlri'point rsl ilcini daii'^ une sciili- |i;n tic li'^ dciiv aiitic^ pnrdr^ rii romlrs iir i!ui\riil
[);w f':iir.' |)lii- .le Irnis tin'ci'^ (iii Irnls si\|c, dr ûil,.; ,! si !,• Cmil r--'|i(Miil rsl (1riii-i dans dnix [lartirs, ces
d'-nx (lai'lifs 11.' d()i\rnt pas ikhi jiIin t'airr plus dr ti'ois tuTi^'s dn ti'ois sixlrs d,- smlr.
r'_I)aiis la 2' rt la ;f
aj/rcs mil-
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|>i"iti(|iicr (>• (Iniilrrjionil,
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)ii |)c'iil iiii'lti-t' If [iiiiiit
un f.r„ u,n:„. h„n

r.lYr/lrid n rall.sr ,lr .'a -...Inl.'/r
cfdihi's
par
'l' — Oii
cl
liait
ii'i'ii
nu'siii'f dai;s la iiioiiif |)ajtu': elles

l'iri' tri's stihn-
|)as iiirtti'i' |diis d'- (i'

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ne /;\
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fCTf- r ,..
(Ii'ivfiit
iiii'tiUijiic daiis la
être ••iiipIdytVs.rôiuni'- pri'ci'driii-
-J'' part!'- dii Iriiips.

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_ l.rs drll\ pailirs cil (IdllIlTpolIlt l'irun prl|\ilit
ciilri'i-
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(ont. 's Ils d.ii\
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fdivi- iiitri-v siii ii'ssivi-}nr)it diDis les di'\(x prr- A h.n.
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tuii-n-s tuisun-s. Dans cf cas. partie cntic

la (jui ilaiis
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la sr'cundc incsMi'c n'est [ilns soninisc a
nu
r()lilii;ali.in de
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cnriMnenrcr par 1
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_ I.i'rsijn'ii V a di n\ [lai'-
lii's .'Il (''Miliepdint l'Ieiiri, l'nne

des dcll\ peut cire nile ri)nde.J/(((;N /. \
»('//( diins di-iix iitrsnn-s s>tc-

li'ssirrs .
7' _ P'inr la corrccti.Mi absolue <les T)''- et S*'- dii-eiles, 1rs i-c-l,.. |nvc('denles ,|,.i\,'(it v\v appli<|n.'es ; ce
peii.l.nil, <lans les |iass;incs difficiles et dans l.'s jKii-ties fintn's-({ni' i\< deux ''Xtrriws^ rllcs pensent èli'i
tcili'ri'es si l'une des deu\ procède par id-iifi' cunjhinl.
II. H C'.'' 2040-i.

H —Le
iiiisiiii'. viiiM
islhiii-'
(l'iiiic
(il- di'iix
blanchi'
uoiifs
non
ail (!(''l)iit
>viru|)/'i-, n"a
(Piiiic
plus
i^
irin(Mii\,'iii,iit >{ uni' (tnlri^ pnrli*'. thm-t lu 4-'
itdiri' '(' lit nK'sitff.
!»: Tiinli's ]i'> aiilics rt''j;|f, |)n''C('(K-nti'.s rf-t<'iit m \ i-iicur, m'Iuii rr-jn'i-c dunt «i:i s.' sert.
EXEHCICKS.
.\\rr II- Cdiilr.'piiiMt fleuri daiis uuf «'ul- [larlif, rt a\.-c ji- uii''lan-t' de rondes. Manches .t f'Iruri, infttrc
chant (iuiiiir lieux fois a chaque |);Hlie,ce ijui (loMue six I (I itihiiuiisniis [iiiur chaque thème.
A\ec le (:i)ntre()i.iiit fleuii (laiis (l.uv |»aitii-s, niettre le (ihant «Innne une fui», sciileinenl a cha(|ue partie,
(jui <l(]uue trnis (iiiubituiisons [loiir chaque ihèin.'
EXEMPLE DE QUELQUES COIWBINAISONS.
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4-2
EXEMPLE COMPLET DE LA I" MANIERE
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On |i<uirrait mt'laiijifr If (;niiti'<'|ii(iiit fi.'iiri am-v des blanches, noires et syncopes; on anrait les combi-
naisons suivantes:
Une partie en ronf/cs , une en »oi/v;.n, une fu J'ii'uri.
Une partie en ro/ir^'.s, une en \t/»r<»jj^'.v, une i'n fh'Hii

L"i''lève peut s\'\ercei' sur ces ditïerents niélanjê^,qui in- |>resentent jias jilus de dif'ficulli's que les précédente
H. «i CV 2O4O4
!" Espèf(»_Noto conti'O note.
Tnils li's |iriiiri|)i-. cnlii'i-niaill \r (liinll r|lnil|t il.' I:i lIKillr i"-|icci' à tl'ois |i;iltli'- r.'vtt'Ut ru M^lli'lll- |HMir
(•.•iiii-ci. (lu \ ;i|'niitrr;i \:\ /U<Hlt'' i!i' ]itiitu[ni-i\ iii:ii- a\rc wî'vw ^V iDiisson ciili'c \v Trtmr i-l la Idtssr.
EXEliCJCES.
Mi'tli-c !• C.haiil iluiiii.- mil' Inis :'i chaqiir pari ii- , l'c qui (lniiii.' lii'ii à (iHiltft' f(i)hhi)i(iistnis [miir chaiinr
ih.'iui' . Il i.'^l'' l>iii|(Uir-i fiilrinlii que W'IrM- (Idil x'iAti-ccr sur rliaqiii- c^prcf aviT ilrs (Ihaiits (l()iiii'''s iriaj('ui->
fl iiiiii'iii'- ju^cjn'à ce ijiU' rc tra\ail lui Miit (Irvciin facile r( naturel.
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2"' Espèce— Deux notes contre une.
I,c'> rri;li's ct.lfilir^ pnili- l.l lllrlllr oiici'i- à '.',

[i.irlii'v (lnivcllt •|-\ IV Ile ;illl l.'.
EXKliCICES.
Millrc II' (]h;iiit ditiiiii' '.i luis à chiKiiic paiiir m ;ill riiaiil les [)l.iiuh.'s, ce i[iii dcimic dunzi- comhiitdi-
so/(.s |Hiur chiKiiH' thiMiie.
EXEWPLE.
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:iiai« bien 1.1 '.V';ci>iie .l;-|.,.siii'Hi |).iii îf ;ii-;ili.|ii.T,;i r.iiise .ii' l.i lilt^ll.•ulê
deîiliie iiilrniiiiil lui •n. l,l.-> <li-|jo»ili.iM-.' •.iii\,iMl.'N âoiil |.Hil.-<iiM-..ri, rIfS:
(2) l.a r.-;i!is,,l;on \<i}- ^<^û^ ..mij..iuI> |.iTm. I ['.iiij.l.ii ,).• (-.•Il,' h;,ni,onl,s
- . .,. t u-it>^' |i.,r .1.^. lî.i.li.

CONTRP^POINT A 4 PARTIES.
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Espèce _4 notes contre une.
Lr> n-j^lr^ i't;ilili«'> |i(Mii' la iiiriiir i'-|i;'C(" 'a :> partir-, coli'iit c.mi \ij;nriir pinir
i<:xi:i{(:[(:i:s.
MrKn C.liaiil (li)iiiii' :> f'ni-i il (ha(|ih' |iarlii', ,f..ircs allrnu'. -..<•, (jin ilniini' /:.-' ((iitihiiKiisinis ^)^n\\^ chaqin
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Espèce Syncopes.
I"_ llii (li)it lonjoiir-^ N'ffT.iicrr .lr coiiiiilrl.'i- Ifs .iccoids ; (.•pi'inljinl ,
yjo»ri- i'VfVrr inx' /W(//<' (/»(a'i',il -i Ion
lia pas (I aiilif irnncii, (iii |)fiit •\c>'|i(ioiiiicllniit>iit l<'s .'Triic iix'oiiijjli^ls .
-2"_ haiis lo t'as (lit'l'icilcs,iiii.' di's parîirs eu r Ii's jiful faiiv cnti'ii.ii-i', siniiillanriiK'til a\i'c Ifs svncuiH's,
(ii'ii.v blanclii's dans la nifiiif iiifsiirf.
EXEMPLE MONTRANT EN MEME TEMPS L EMPLOI D ACCORDS DISSONANTS.
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Mfdr" If (haut ilnmi/- :} fois ;i chatiiif parlif , syiicnjif s allf iiif'f s , rf (|iii dotiiif 1-^ cnnihiudisnus poiii
hai|iif ihi'iiif.
EXEMPLES DE QUELQUES COMBINAiSONS ..
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CONTREPOINT A 4 PARTIES,
Mélanges.
Il (iciil \ avoir (iliisifiiis iiic'laiiô iloiinanl ln-ii a de iioinlireiiM-s (•oiiiliinai-ons-.
liinuli'x , blditclirs , itiiirrs .
H<tn(i>;s , l)l<in(li<!!>, si/niafx's.

Hondi's , iioirra sifntopi's .
Le (Icrnltr rt'>uiiiaiit l<> ti<iis aii)n'>, il >firf'ira t\t' s'cxcrofr M'iiJctiiciit mii- crhil là,t'ii nhsiTvaiit lcsiv_
j;li-s Miivaiilt'N:
l"_ 1,»'- iidirt'^ i'( les liiaiichi's ( (iml)iiit'<'s avff li'> >-viic(I|m's |iiTiiirtl(Mit rn''(|iifiiiiiii'iil r(Mii|ilni de di'ux
(l<<-(,i(ls fxir iticsiiri' .
•J '_ Il l'-l liirii iMilfiidii (If iioiiM-aii (|iu' >i les .-> "t'f h"" sont î-parro [lai' un dcconl l'tniiijirrj'-s Jim,
li's ii\'xisli'iil 1)1 IIS.
'l'_ il >ulTit ilaiiN (•(•(((• i's|hT.' il.' (h-ii.i- on Iriiis itoiri's |)iiiir >aii\fi- les T.''" cl le» S*'^,;i (•(uiililioii Ion
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(l'Ioi-. (|iic la x'rdiidi' ne -c |iniilm>c' j.diiai^ sm lu I iiniii- ilr la ini'siiif .
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Li's atitr(!s repaies nrecedciites resU'iU en \i^tit'ur.
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Millif Ir (iliaiil (jnniic' Mlle Cii^ a iliaijiif [larlit', en allt-riiaiil les val(MM>,ct' (|(ii donne le-' i comliitidisoTiii
<nirditlis |)(iiir chaiinr lliriiK".
r sy nc opes noue s blanche s rond es
blanoh os- rondos syncopo s-
blanchcs^ -
rondca s yncopQg-
dc s s yncope s noires blancfiê»
II. N (;'.'
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EXEMPLE UNE COMBINAISON.
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(•ar ii;-ii\.iil.nl. iliii-rl , ifiO iri iiil fiiiiliii- iilff i/.'s idirnrs dr hliiiiflir* , ,|.-\;.i.l
poss-'ble iri.l.i r Iiiii|i'iit;il.' .luil -'-yM-;-- .!. I.i ii.,Im r.'-MUilli.. ,1.- I.i T' piir iiiu' cm,-
'l'iiiKliil If llliillirmriil ri.iilriiiir.
II. « (,.' 204114.

5' '
Espèce Fleuri dans mie, deux et tiois parties.
l"_TiMl(i'^ lf> li'j;lis i'-l;il)llr> j)l .'•(l'di'illlin'lll ;iui-l (l(l( ojK'cc Mriiilaiiv "a •'!
|i;utic> miIÏiî'iiI pinir
h,„i.
f<a|i|i('Kiiis ([(l'on |ifiit iT la \ali'(ir lic londc a>M'/ -^^4-^

liir>'jii'il 1/ si (jiic
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en iiitiiuciirt'iit
Idlllc- (lcll\
jinixciil
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>( l'ciwoiilnr
ilrî/'^ (
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JmiiiU.
(lrs>^{inaiH'c,"a la cntL
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F.XI.liillCKS.
l'.Mir If <;(iiilrc()iiiiit ririin «laii^ iiiii- ••! ilaii- ili'iix parlii'- , irirtli-f le (Ihaiit liniiin- InH'- I'i'K à i Ii.i(|im' par.
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!• , \ alciiis allciiifi's , cr (|iii lioiiiic f-J riuiihiinds'itis pour chaipii' ihi'iin'.
l'dur II' (.'iiiilifpiiml ticiiii (lan^ tiuis partu-., irictlK- le (Ihanl (inmi.' mir t'ui-, mmiIciiii'iiI ;i cI^kjiii' pai'lh',
Cl' ipii (l(iiiiH' (fiiiiti'' ti)iiilini(tis(iiis puiir rhaipn' thi-iin'.
EXEMPLE DE '. COMBINAISONS AVEC LE CONTREPOINT FLEURI DANS UNE PARTIE
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EXEMPLE DE '• COMBINAISONS AVEC LE CONTREPOINT FLEURI DANS DEUX PIRHES.
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I,' t''|c'\c (loi! >'<'\iTrcr loi}i;|i'!n|i> ^\iV ci's (! i nVriMilcs opi'co i\,' ( imit it|)(Uii| l'ifiin :i 'i îMlw^.nnldin
ifH'iil sin lit ih'riiii'rr , it'w li- (lonli'i'jiniiil est ficiii'i dari- (rois ji.irîn's .
,
Il t';ii:t aiiiM'i- .-imt (clti' i'>ji('Ct' , à ac(|iiiM-ii- la siitijdicitfW:] puri'li', \:i In'lli' (initi' ni<'tt>di(fi('' rt I in.
Ii-'ii-l iJiili/iilKiiiiijnr soiitciHi dans Imili's le jiai'tics . /l((ri(// travail m' pi-id si-rvir iliii'inilaii'' " /f^ssoK _
liUssi'ini'itl r/c la iiiniii ri nr /n'id niii'K.i- firi-jiurrr à t'i'fii({<' <li' lu Fuijik' A)n ne >aiirail «Iimh' (idj) n'\
ajl|)t•âlllll•.
Mélanges
KiMTx iiii'laiiô (j(iiiiianl lifii a iiii tic-' j^raiid iii)iiit)r(' de f(i;ii lunaisons |)cn\tMil se ]iiali([iifi' a\i'c le (."on
lrc'|)oinl t'Ii'iiri.
Hundi's, firini , filutnff!. , itoirrs.
liondi'.s , fli'Ji ti , f>l<i iic/it's , ^1/ Il iii/x's .
Kniiiti's , f'iriiii , iiniri-s, si/iico/ji-s .
L <'li'M' |j('mI s'i'\,tc(m- snr ces dilTt-ifnts iin'lanî's (|iii m- |)i(''si'iiti'nl na- plus de ditf irnllt's (jnr j.'s piv'ri» _
II. « <:'.' 204114.

5H
Note contre note et fleuri.
1"_ Li's ivjil.'> (1rs iii.-iii.'s .-siiÎTi'^ il ', parliez r'ott'iit .'ii \i^Hfin-. V ajotiliT sfulfiiicnl los .tll.'iMialioiis siii_
\aillcs:
•2"_haii> l'opôrc fil l'ondrs.tiiu- iiotf [jfiit C-lvv n-pétét- doux fois.c'ol-hdlr,. riih'tidio- ln,is fi.isdi' sidir.
:i"_ll sulf'il (le deux on (rois iioiivs.on de valciiis ((piivah-nifs, pour saiiM'r les T.' '^t les S" ~,;t ((mkIiIkii
toiilftois (|iii' la sfcoiiilf :>'' ou la s<-condi' K"' n'itrriri- /j^/s sur /c frmjis forl (h- la iiirsuri'.
V'_K\c.'|)ti'' il la prt'iiiit'rf mesuri', ics croisi'nn^nls soiil t<ili-'n''s parloiil,} compris la dciwiiiTc incsiir.'.
:)"_na|i|».dons qu'on peut fairo des rondes dans le Conirepoini fleuri mais qn'anlant que possihie on
, n'en
doit pas taire /tins <li- fh-nx (!< fniili- dans la même partie.
»i"_ll .'sl 1)1, nienilii <pie les diverses allt'iuiatioiis concernanl l'espèee fleurie, et molivees par l'aujimeii^
talion du iioinlire des |(ar(ies,Me sont valableN (/i(\iii f'i(i- i-t h im^suri' ifiir ce iniiuhri; »?.s/ alli'iiil fitir sni.
h' (II' l l'iitti'i' si/crcNsJi'c (/(' (l'Ili-s-ci .
Il deMa être tenu compte do celte obserxation , (fiti m'td rf/dli'im-nl (tji/jlicfihlr hk (Idiiln-jtoiiil <t (> , 7
l'I H /Kl riii's .
RXKliCICES.
Dans lon> j.'s Contrepoints ii ,"),(;, 7 et S parties, mettre le Chant donné une fois ;i la ba-M-, une fois air
milieu et une fois ii la partie supiTieiire.
Deux esp.'ccs s.ulemeni -nui ii-i I.'m's : Rondes dans toutes les parties e| fleuri dans toutes les parties, ex-
cepti' celle i|ni ((uitieiit le Chant d.niii.''.
EXEMPLE COMPLET, NOTE CONTRE NOTE.
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1*iir nininiiiiiiil loiilidiii-, \r^ S^'i't !,•> :,'"~>oiit |n'iiin>i'^ -ni' 1.'^ t('iii|i- /i/c/s od piihlfs cntif d
partir- . <'ari'/j/'' U-s ili-iix i\il nùiics.
.•("_ |tl'U\ .S('(0/((/l' fSl niTMII-C».

ijllllltt's , f/(U(/ lu il illlilllll'i'. >l>\\{
L uni>«i>ii cnI jxTiiii- i|ii:iiiil il arin.' |iai- iiiiiii\riiiiiit ('(jntiaii ! mu (ililujin-.
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cl li'N S" ~.iii'f(|rs .•ntlT Irx (ii'iix |i;irtli'- r\tfrini'> if-li'lll -iilillli-o ail\ ri"'j;|t'> jiri'ri-ijnili'».
Kiilr. Il'- aiilrc» |iarlir>, cllc^ -mil |iii'iiii-i'-. -iir luiilr> ilri^rr- , par iikhix l'innil (•(iiijoiiil du ,ii-j(iinl.
EXEYPLE CO.VIPLET, NOTE CONTRE NOTE.
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Jmini'diitliintiil piti- i/n smif H' H".
II. (d C'.'' 20404.
64
CONTREPOINT A 7 IvT A 8 PARTIES,
Note contre note et fleuri
1"_ I.l's n-l.-. MHlt 1rs II 'm. 's (jll'il 'i |i:ill I.-- , il I .'M'.'!.! I.iii .1.' ce .|lll siiit:
:2"_l.cs ^>':^l S\'^|i;n- n .un eiiii'iit ciiiili-;iir.' ~iiiit t.il.'V.'.'s i-iiln- lanh-s /'-.s jiinliis.
;5"_La :>'• (lirrcl,- ,-! !,!, ri'c liaiis tes i|iMi\ |i;ii li.'s .Air. '111. s ijiiaiiil l.i |':irl:e -ii [i.'n.'iire jir.i.'i'.li' |iir .l.'^ri's
(<iii|()iiit"- <•( <|iit' I h.iiiiiiimr •l'Il.lsi' sur un .les |i.!||s ii,>i;res.
M' '/ Il- i|iii\ parties .\lr.'m.'s, |iiiiir t.^riiim.'r, -iir

V_l,'s^'(lir. •(•!. --! toi. •e, .'Il iiKHitaiit l'ii (l,'Sii'ii(liiiit .'iilr.'
l'accord (le la IniiMjili'.
r)"_ ()|l jM'Ill r.-lirr eut. Ml. I

'.• à la fois /(/ linir ijili i-'-lill(l'- .•!, /'.' /(0^ /»/./ /(/.-e, ,| l.i ei ,i|i| il h ili lollt.tois ^ju'llv
ait ciilr.' elles mil' .lis|,inci> I au mollis uii.' !!'

, |ir.i.liiile |i:ir moir, •iii.'ii I . .oilran-.- e| conjoiiil.
/."V.
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'r_Les .hail-i'ill.Mil- .!.• [lositi.iii ou .r.'t;it ,\r r:ic,'..r,| il.'triiis.'iil l.s faut. 's ,|e ^.':^t .1' ~si i7/i'S so/;/
1)1(1 l'fs fHlf lllti' //(('Sine.
7 '_ Kriire l.'s (l.'ii\ |i:irli.s |.>s |,|us i;r;i\es seiil.Miieiil ou ji.iit ,iller >^ : ' " *"-^
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(lellV [larties, si I Ulie des deux esl /(/ hiissr et IjUlIre la linlf S('//Sl7)/c;
II. & C'.'' 20404.

lt"_H;iii> 1.- CiMiliviioliit il.Mii-1 <;> ,|,'n\ ,-],;•,, -.1.1 x.iirnr i|r lumlr-
,|,. |iuiiit;i .Iiv plu- Munnil .•m|ilo\.V (jiir
il.tlls les ,.^ji;'cc- juvc^driilcs, ,.| plilsiriifs fais lir Sililr (liliis la t„ri,ir fjd illr (]r\:i ,|r\ |,.nl
. iiirillr lnVrs,;iilv.
Ill'in d «'MliT (|ir:i\rc nil .|II>>-| -imii.I liolllhiv ,|,- |,;M'!i,'-s -.,l||> ers.,, rii III. iu\ .' incll I . |r ( j Mit rr|M.inl II.' d cV i.' Il 11.'
^.llltill;illl !! Iir III', -ih' ,ir 1,1 iirnrilr (le ^ll/lr ,|i|i ,|,,il . .ii-ai'li'ri-cl- (•• -rm-,. ,|,. ruinno-itiiMl.
IM'I l.'illl,,T\,tll,> ,|r <;''Ml,-|i,. .•-.! \,,\r\,' .
ll'LOll llr (lr\|-;i,lii.'I|.Ml(r||,|||,ll-.rr .1,. |,,ii(r~ |,.- lu, Ile', cl-il.-MI- - i- ;i:il<','s, ,|ir.i\r,- |;i |)ll|s ^r;ni.|r ^(l II! i/'!,'
|)Os-i|l|,..
CONTREPOINT A 7 PARTIES NOTE CONTRE NOTE _EXEIVIPLE COMPLET.
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CONTHEPOINT A 7 PARTIES FLEURI -EXEMPLE COMPLET.
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CONTREPOINT A H PARTIES NOTE CONTRE NOTE -EXEMPLE COMPLET.
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CONTREPOINT A S PARTIES FLEURI -EXEMPLE COMPLET.
REMARQUE SUR LES VALEURS CHOISIES ET A CHOISIR POUR LES THEMES OES CHANTS DONNES.
Si iiis(jirif'i j'ai fait rhoiv ilc la v.ili'iii' Wr rumlcs [luiir l'Iahlir li's Ihi'iiics «li's (Miaiils i|iiinii'^,('r^l qm' ccllr
\aliiir -<( jurlc |»lll-^ (|iraiii'iirii' aiilrc ;i la n'aliâl luii i|c-n roiiiliiiiaisoiis \arn'('s (juc piH'scnti'iit 1rs div ci'sis i's|)î'_
cis di' (^)iitrrj)')iiit (|iir nous avons (^tndii'cs ius(|iù(i. (]i' n'fsl pas à iJin' (|ii'on tu- |)iiiss(' s'cxcicrr sur des
(;ii,i;ils iloiiiii's riiniiioscs fl'ilufri's rutli'itrs, par l'Vfiiiph' (fljc dr nniilr |)i»inlrc (riicsnn' ;^ ^) ou rclli' «le ilrnx
roinli-s (iiri'siiii' à J^)
I,' ('•li-sc m- pt-nt (jiii' piufitcc l'ii l'cpii'iiaiit (|in'|(|iii's uns «Irs (îiit r.j)ninls pn'rtMJfiits, cl m k'\ (\fnaiit,sniis
la l'oniif fin Conlr«'point l'l<nri,a\pc fcs iion\t'llcs \.i|cnrs, doiil nons allons dn reste nous servir ixelnsiveiii.'nt
ponr II' (loiilrejioiiit à deii\ chu'urs.
Il.«( C' 20404.

(i!»
CONTRP^POINT FLEURI A 8 PARTIES ET A 2 CHŒURS.

(;i- C()nti-f|)(iiiit of'/V.' lin liiti'i'ct tV<~'s piirticiiliiT (Ml f.- (|iril foi-iih' îi la fois un loiil , et (jiir n- tiiiit r^Kiih-
(livisi- (Ml (l(Mi\ groupes iii(l('|i(Mi(laiits, (ic (niatrc voix chaiMUi, se r.-|)(iii(lanl , s'all iM-iiaiit, s'iiiiissaiit (iifin et
se ((uiroïKlaiil dans une jiN'iiitiide de sonorih' l'pniplic de niaj('Nt(' cl de ^rand(Mir.
(Ihaniii des d(Mi\ chiciirs doit, jinur ainsi (iirc, fornuM- une harnionic ((niiiilètc se MiCfiânl à cllc-iiMMnc.
l'oiir (|nc rcIfVt soil \ rai iiKMil imposa nt, il ne doit pas
y avoir de -oint ion de conl liinili', c'csl-à-dir,. (urnii
des d( ii\ (h(«Miis Ile doit jamais hMMiiiiKM' une pi'riode sans (|iic l'antre cho nr ne \iiMinc (mi (pu Ifpic sorte se
sond(M- il lui par des (Miln'es parli(dles on totales. _ || ii,> f;uit |)onrtant point ((m-idiM( r cela comme une con_
dltlon atisiiiiie._
l,e- d(Mi\ chdMiis piMi\(Mil commiMiciM- <Mi ail(M liant, mais ^(M)(M-al(Mn(Mil iU c(Hnm(Mic«Mit (Mi>cmt)lc,sc «.l'pa,
riMit, |uiis s,' r('nni-s(Mil ponr la coin lnsi(jn.
On p(Mil s'c\(M-c(M' il cette Corme tr('s rodde de Contrepoint a\e(- drs Chants donm-s f'oniianl la basse de
< hacnn «Jes d(Mi\ chuMirs on san- Chant
, doiiiK'.
I>es lèeles sont les iiirMlles que pour le (iont re|)(]inl ll(Miri à S paiMies, a\ec cette distinction (|ne les \a_
l(Mirs sont d'un caracl(M'e pins lar^c et aji|>art i(Min(Mit , comme on l'a r(Mnar(pi(''pins haut, aii\ me-nre- -^ et ^
liC sentiniiMit jo nt , doit nit-Mne avoir nn caractiMc |ilus mod<Mne; les marche- d'harmonie \ piMivtMii ("•Ire iMn^
plovt'cs; les modiilalioiis sont pliis (V(Wpi(Mites, cl la cad( nce t'inale comporte pres(|ne ton|onrs une 'i'"et »;'',
dans les conditions ant('ri(Mir(MniMil jtre-^ rite- .
On voit (pie, tout (mi cons(M\anl le sl\le s.!v('M-e du Contrepoint (pie nous axons praliipK: ins(ni'i( i, il v a
nn pas imi avant \( rs r(Miian(Mpali(Mi cl vis l'art mod(M ne, pas (^«c tu Futim: nous (iiit<'r<i à ftinnhir
tinU-à-fiiit
L'<'l('\e doit s'e\iMC(M' assez. lone|(Miips sur cette ('sp(''ce de (loni repoini -, (die lui offrira nn iiiliTi't qui
attach(M-a heanconp son esprit et (pii coiilribiitM-a à la fois ;i rasson|)lissein(Mit (Je sa main e| à r(d('vation
de son si \ te.
EXEMPLES.
CONTREPOINT A -J CHŒURS.
(')f,a r;|)rlilinii ()r i.'i hl,iiH,-|i,' -'cxplifiiic if i, .'1 :.-,( !.. .(/hiil ij'iiii fr.r^mful homm:!!..
Il.\ C'r 20404.

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On voit par l<'s ih-uv »'\<'m|)li's (jni |>r('Ci'H<ti( qin'l intérot offre ct'tlt' ospèrc «le Contrepoint, coinhicn
les parties pi'iiM'iit SI' irioM\()ir :i\ec souplesse <•! iii(li'|ie(i(iaiie(', (jnel earactère il roinienl de Im donner, et
rrl'fVt puissant (|ni doit résulter à reM'iution d"ii!ie telle disposit ion \oeale. .(Test l'art (Ihoral dans luiile
sa splendeur.
On peut l'erin- à un plus ^rand no m lire de part les _ (|nel([nes niait re s l'ont fait- mais l'effet n'en es| pjis
plus ^rand <! on peut dire «pie c'est pres(pie lonpuirs au <l('lrinienl de la pureté de l'iMiiInre.
EXKUVAOES.
S'e\ereci' a\ee <les (>haiils doum'-s d'ahord, qui serxiron t de l)asse à ehaeuii des deux eh(enrs,et eiisuil(
ins (]hant donné, e'cst-à-diri' en eoniposanl toutes les parti
Ki.\ HK i,\ 1^'' l'Airrii':
M.«i Cr 20404.
•73
2. PÂI^TIE.
IMITATIONS.
On ;i|i[irll.' IniildUdii l.i rr|)roi|iict uni :i (iii inlcrvaltc (|tii'|('<Mi(jii(', par une partie, d'uiic |)t''ri()(l<',
(l'af^^Miii'iil |ir()[ii)si's |)ar iiin' anln- |)arlii'.
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Vlili'riMli'llI.
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\iil.'(i''ili'iit partii' hliri' ("iiiisi''iliiriil._ ViiliM l'iliiil . |);ii'(ii' hli
m s ^m m ^m èi^ m iîi.
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Aiiliccilcril ._ |>:<rlh'lil (jirisiM(iiiiil.
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L' iiiiilatinii fsl riufittii'ii- (|iiaMil les iiili'r>alli's (|iii la coiiiposcnl -.iiiil l'Xitdi'ihi'itt sciiil)lal)li's à ceux
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(ic la |)arlif <|iii a |)r<i|)i>s(', c'est àdiic (|iiaii(l on r'e|i('.iiil par- l'xeiiiple à une .T '
iria jenre par une .'t tiiajemi',
à II lie
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111 meure par nue •!'''
minenre, ainsi ili- su île; elle est irréif\ili!ir<'. (|nanil eetle coikIiIioii ii'e\is|i' pas
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et (|ii'iin ré|)(in'l |)ar exemple à une "i
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niineiire par une majeure, etr...
Il V a pliKieiiis sortes (l'imitalioiis;

1'.' I/iinitation par iiioii\eiiienl s('iiif)lahle
-1". l/imilalion par nioiivi'iiieiit eontraire .
.T.' L'iniilation par iiinii\enieiit rétrofjraile .
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fi' iniitallon par aii;;nienlatlon.
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L'niiilalion par iliiiiiiiiitidii.
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1/ iniilal ion par contreteiiips.
7'.' !>' inntalioii iiiterroinpiie.
K',' L' iiiilfalion pt'rio(li(|ni' .
tt" I,' iinilalion eanoiiîijne .
On en pourrait penl-èiie troii\ er d'an Ire s; celles-là d(i moins sont les pins importantes et les pins iisitéos.
I,e atljli- eiliplo\e esl celui dll (^(l)ll n^jjoillt à ftf'HX Chu'Xrs.
H.& C'f 20404

1" .IMITATION PAR MOUVEMENT SEMBLABLE,* > PARTIES.
Cette iiiiit;itiori peut <e l';iire à riuiissdii, à Ions les intervalles sii[)(''iieiii-s et iiilV-rieiirs, et à i'S\'
EXEMPLES.
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EXERCICES.
Fairi- une Iiiiitatidri à riiiiisxui, uih' à chiuiii»' iiilcrvallc sup/rii'iir et infVriftir I' la jiaiiiirir,rt iiiir ;i I H^,
Lc> i'\fiii|)l<'>« ci-div^sa^ stM'\ iront (If iiKxlMt's.
•i'.' .IMITATION PAR MOUVEMENT CONTRAIRE, A -J PARTIES.
(Irllf iiiiitatinii .>( irii>ilii-rr Ou irri'iinli'-r>', selon (juc lr ra|)|)nrl .les nil-T\;i||r«., roiiiine il a t'ié
ilil |)llls haill, l'^t CNarlc lit srilliilalilr oll Mon.
Pour faciliter le travail de c'cs imitations, on établit i|e> inanimés en sen> inverse (|ui sont un eunj,. ,in-
et ijui in(ii(|nenl ce que doit être le ronst'ifUi'Ht par ra|i]iort ;i V(infi''fi'ili')tf:
GAMME POUR IMITATION REGULIERE PAR MOUVEMENT CONTRAIRE. ,
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EXEMPLE.
AUTRE GAMME POUR LA MÊME IMITATI ON, D ANS LE MODE MINEUR.
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GAMME POUR IMITATION ^REGULIERE PAR MOUVEMENT CONTRAIRE. SERVANT AUX DEUX MODES.
EXEMPLES.
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AUTRE GAMME POUR LA MEME IMITATION,SERVANT EGALEMENT AUX DEUX MODES.
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EXEMPLES.
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A partir ilici iiis(|ir;'i la tin il's imilatllln•^ à deux parties, il Mit't'ira qui' l't'li'vc fasM^ J<(t cm'iiijjIc iIi- cha.
(inc oiiiTc, afin i\\' savoir en quoi roiisist»' (< 1 ia\ail, qui est plutôt un trasail de |)ati('ncc t't ilc combinai,
sons (in'iin travail piiiciiiciit iiinsical. Dans rt-itaiiu's compositions on peut pourtant trouver l'utilisation
hcurcusi' lii- ces r.'ssoiir( l's, si t'Uns sont nittploifHes discrtitmiiitut et mises du sm-vice de thhnes
snilldnfs ff rdrdrh'ris/iipn's
:î'.' -IMITATION PAR MOUVEMENT CONTRAIRE RÉTROGRADE, A '2 PARTIES.
Tout ct"'(]iii priW'cilf s'.ippli(|iii' à cctlc imitation, qui peut se faire, soit tnesiti''' pdr tiu'sitfr, soU f)r_
ridffi- jtiir j)ri'i(i'l>'. On imite la phrase ou phrase en comniençant par la dernière note et
le fraj;nient de
en rétrogradant jusqu'à la première par mouvement contraire. Les exemples suivants en feront comprendre
clairement le uK-canisme
''^Diiiis r'i'« lr:i\:iii\ il'iiiiitjlloïK.oi] pi'iil qiiihiu.'t'iii-- f:iin' il.'|)ii-.>.'r mii\ voix, </«».« iiiii' limilc mndi^yê, li'ur tessiture or-lni.i
H.«t ci'' 20404

EXEMPLE D'UNE IWITATION REGULIERE PAR MOUVEMENT CONTRAIRE RETROGRADE, MESURE PAR MESURE.
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EXEMPLE DE LA MEME IMITATION IRREGULIERE.

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iinris en vovoiis (i-di-soiis lin seul ('\riii|)|i', siitf isaiit i\n l'i'^lc pdiir rii muntrcr l:i ('(nil cxliirr ;r I'i-Ii-nc
EXEMPLE D'UNE IMITATION IRREGULIERE PAR MOUVEMENT SEMBLABLE RÉTRt)GRADE, MESURE PAR MESURE.
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K.iiit', foiiimi- il vient d'être indi(|iié, i<u ('\i'iii|)li- de chaiint' i's|)i'm(' (riiiiilalmn par iiioiivt'iiiiMil f'o»_
Iruiff M'tr'ii;! a<lr. (jiiaiil à ci'llfN par inoiiv cinciit si^ttthldhli' n-t ro<;i'adt', l'idèM' prn( i'f;al«'iiiiM)t s\ fM-iTcr,
hifii (jui- iiri-'-i'iitaiil iiMi' dilTiciilli' nmindrr
/.'.-IMITATION PAR AUGMENTATION.
(^'tti' iinilation st> (ail en aii;.;iiit'iitaiit la valeur de chacniK' des notes de la partie qui a propose.
H ./y (;';• .!040-f.

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.IMITATION PAR DliyilNUTION.
O.'Itt' iiiiitntiiMi se fait ru ilimimiaiit la val.Mir >\r chacune des unies (], |,i j.aitie ijni a nr^
EXEYPLE.
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{]flle lllllliltlori est celle iifl le C()llsc'<|iieii| n'|HMHl \\\\\ valeurs acciisaiil (les teill|)s finis iiil lies |)arlies
foi-les (le |eill|)s, par des \ a leurs accilsaiil les le||||.s lai Ides n|| les parties fa 1 Ides de leiiips, e| reci|.i (Hjiieiiielil
EXEMPLE.
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7'.'_ IMITATION INTERROMPUE.
Dans fflli' itnilalimi, lui iiiterriiiiijit tontes valeurs de l'aMtéteilenl par des silences de tnènie diiriM
EXEMPLE.
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80
SV .IMITATION PERIODIQUE.
Cetlf imitation t'^l rpllc doiit il a «It'jà *'t''' <jii«"^tiiiii an dt-liiil de la ^rcnnili' part k^, ('(-l à iIiit où le (•(./(.
si'qnt'Hf ni' ri''|)onil (]u';t niii' par lie di' V(iitf>'(i'(li'itt , l't jimt nirni'- di'\ mir (tnfi'cédt'iil à son tour.
Voir rf\rni)dc cpu' j'ai doiiiit' pins haut,paj.;r 73,an(|ncl on piMit ajouti'r les dniN rxmipli's ^ni\ants
(II- {^hi'ruhini :
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'.»'._ IIVIITATION CANONIQUE.
I.'iniitalion ranoni<|nf iTi'st anli-i' chosr iprnnc imitation m- continnant suits in fcttnijitiini pisqu'à la
Coda, l't iiiT'iiii' M' rontinnani à rmrini par iino comljinaison prrinettani Îf ri'ViMiir tonpjiirs do la l'inan coiii-
iiii'iif'i'mi'iil . On a apprli' ci'-, mhIi's d'imitations du nom ^^t'iii'ral ({>': (Jftnans
1/ imilntion ranoniqiif r^t J'inir, lorsqiridlr s,' ti'rmiin' par une (ôda; rllr rs| in/'inii' lorxprrllp pi'iit
l'i'comiiii'nri'r ân> s'arrrt rr jamais. |,i's iniilation-, à tons 1rs iiili-rx allrs, donnrs coniim' l'M'iiipli's an com.
iiii'iict'iiii'nl di' cettr srcondi' partir, sont l'ii ii'.ilili' di's innlatioiis (miioiihiiTi's /'/((/es. Il rst innlili' d'rn n'-
doMDcr ICI de nonvcaiix modclrs. Il siil'tit dr prrsciili'r nnr conihinaisoii d'imitalion canoiiKini' infini*'.
EXEMPLE D'IMITATION C AN ON QUE I IN FIN lE .
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KSEHCICES.
K.iirt' lin l'M'inpIi' dr chamni' di-s Imilatioiis dont il \ inil d'rtri' pari/'-, par (in(fini-)il<lti<>)i, par <li)ni-
nufidii, par r(iHfrt^fruiits,inti^rr(>nifjiii',fji'ri(i(lii]ii<', f(in<ini(iHr in/'iiii<-.
Si cida l'st m'ci'ssairi', l'i'K'M' pourra anjimiMitrr |i' iioinlin- d<-s l'M'ri'ii'cs mdnpn's in jnsqn';! ir ipi-' sa
main soil dr\i'iinr soiipli- et haliilf dans \r mann'mi'nt df ers dixrrsrs (onibinaisons .
"' Il » H pfiil-."lr.' i'-i mil' |)<'tili' ni!f;li';i'ijii', qui piMil 'In r.sli' .',\|iIm|iiit m su|i|ios;ii)l iliii\ i.nis: ri-liii .!, F.i '{ c, lui .!. K.'
HM Ci.<' 20404.
SI
Imitations à plus de deux parties.

Toiit.^s les .
'Si),. CCS (l'imilatioiis
nous venons d'i-tudiiT pcnvent Ironvrr Ifiir .'niijliii à nn pliis f^raml
(|iic
iKiniliii' .).• |.,irtir>. observé ,|,'ja el roinnie on a pu li' \.>ir, ne |)résentent ;,ni.'Ti-
[,a |)lii|)art, coiiiiuf je l'ai
•in'un intérèl ,lr .-oinlMnaison- L' él('\e pm! et ,|nil er|M'n.lanl s'v even'er (ce >|ui pr.ê.'.,!,' lui fournit le.
eli'inents ,|e re lr-a\ail). Mais nous non> h ornerons a trailei' ici des imitations
p ri ne pal es |)ri''sentarit un in- i
térêt nnisieal réel, e'es|-à-(|ire ;
I' A '.'<
parties, a\.'c.l.-u\ parties en imitation sur un (ihani ilonné.
•2" A .'! paities, a\ee imitation eanoni(|ue dans les |i-ois parties (c'cst-à-ilire sans Chant donné).
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A '( parties, avec deu\ paities imi imitation sur un (Ihant doiiut- et une |iaitie ail tihitnin.
V A '» parties, a\ie trois parties ,mi iiiiitali(jn sur un (Ihanl donné'.
Tt' A '. |)arties, a\ee imitation eaiioiii(|ue dans les (juatre parties.
• > A .'),(',,
7 ,1 s parties, a\ee et sans Chant donné et a\ee toutes les parties eu imitation, ou eu \
nic'laii'êant d.-s narlies ad liliitum.
Comme eunosité', on pourra lire à la tin de ee chapitre un (iontrepoinl •('•fîilier en ititi>(tli(i)iiin''-r'î
oiii/riiirif, à hiiil |iarlies et deux eho'urs, evirail du Traitt' de Cheiiiliiiii. On \.Mra juscpéiu'i peut allier l'arl
de la coiiiliiliaison, mais ,,\\ \eri'a aussi (ju'uiie ttdje Ulllsii||ie es| plutôt faite pour K's \.u\ ipie pour les oreilles.
l'oiir faire toutes |.'s imilalioiisqui loitijxirh'iil un dlnnil daiDu-, je prends simpliMUeut deux thèmes
d'/4rroyj(//-f//. eoiisaciés par l't 1res pro|)ies à ce ênre de tiasail. léi'dèvi' s'en
l'iisafê, servira é';;alement
pour les exercices <|iii lui seront lndii|ués. Voici ces deux théines:
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1.'_A :i PARTIES, DONT DEUX ENIMITATIOtX SUR UN CHANT DONNE.
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Non- !• r.MMMis M-i ir.Mir .foiin.T .'.

iVI^M- rfrs ,.\,.m|plrs .(,- loul .•.• qui .'si pn^silil...
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)ti(iiiii'ri' di' fjrurrdi-r l'sf rxî'llmiti' . On |)ciit t'ii.ili'inciil ,

roiiiiiic on l'a rcniarcpit- à deux parties, in.
tiMM-il il- le rù|.' lie rhai|ii'' pailii' l'ii faisant du ciinsiuiiii'iit Vniitri-rdinU ,i'\ vice versa, (les observations
sont a|)[jli(ahles ;i tontes Irs iniilalioiis ((iii vont îiivi-e; je ne les renouvellerai donc pas.
EXEHCICF.S.
Faire une imitation à l'nnisson, nne à chaque intervalle supérieur et inférieur, et nue à l'H\',en se servant,
connue nous l'avons l'ait dans Irs ipi:ilre exenijiles priM'i'>dents, des deux (Ihants ti' Azzopdrffi.
C'Voiri iiii i'xfiii|i|i- fd'i. (joii.r proloiiîiT l'irnil :itioii ii' [liu-^ loin |(Ossili|i-, hi ri'|ri'lîli'Jii "I'' l'i "«'•' 'lui l'Drm.' ri'l.ird fsl iruM i'\ri'lli'iil l'ffi'l, il
():ir(:iili'niiiil pirmi<i'.
H. (ti CI." 20404.

•2?_ A 3 PARTIES, AVEC IMITATION CANONIQUE DANS LES :i PARTIES.
EXEMPLES.
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EXEMPLES.
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.ni liliiliiiii, ni'i'c on s<ins ('hiinl datuii^. Jo n'en floiiiKM-.ii |);is (rfvciiipli's, Trlrvc ;nwi\»'- ;» ce pdint ilr s.
.'•Ilnli'-, il.'Miill rtli' l'ii .'lut lie les chrnhi'l- i-l .|i' les lruii\.T liii-iin"'
KXEHCICEH.
l/i'-|i'\f s'i'MTc.'cii sur \>-<. ciini f s I
(('•('(-. |)icM-.M|.-iilr>; il ilivr.i t'jinc |)lii>ii'iirs exe m pi es de dijuim
i|ii ;i i->- i|iii' Cl- li:i\:nl lui ncmI ili'Vi'iiii t'aiiiilirr cl facile.
EXEMPLE DE CHERUBINI
iiipiiliaiil un nicirct-an rcf^nliiT à S paiiics cl -1 chd'uis,
r(ini|iiis('' en iniilalioii inxcisc cuiiliairc.
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IlisiCi." 20404.
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W.h C' 2040+.

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H «iC'f 20404.
REMARQUE SUR L'EMPLOI DU GENRE CHROMATIQUE,
On rriii;ii-(|iicra |iuui- l;i |»r'iMiii.''n' f'oi> (hms ce iiiniTr:iii ri'iii|il(ii du j,MMin' rhroiii.ili(|Mi', <loiil dii t.r.i un ii.
s;i^ê (isfie-z frt^({nnH( dans la Fiifîio, et dont il sera parN' imi Icmps opiiordiii. L'i'li'\'' jn-iit s'cm'It. r a la
fDiiipovil idii d'iiii Ci)ii(rf|i()iiit <li- ccKc f-||i"'c,', m sr -.crNaiil cl.'s- j;aiiimi's par moii\.-iircnl «(Milfaiic ayaiil la
fnrri'-[ioridaiici" i-xacl.' drs dciiii-toiis. (Voir ci'lli's (jui ont siT\i pri-ciMlcininciil |)oiii' Irs Imitai inns par nion-
venit'iit foiiti'auf.)
KI.\ DK LA -i: l'AKTIK.
Mm ci." 20404.
89
3' PARTIE
CONTREPOINT DOUBLE, TRIPLE ET QUADRUPLE
La caracl.'nVtiqii.' d,- es Contrepoints t-st hi passibilit,' rf^ r>ûi;'rs,-r l,s partii-s (|iii !t> tniii[j(,v,.|il,,!,. iiiariirr.-
qiK' chacune d'i-lles puisse iji-venir à son tour, et saii> inconvénient pour la corieftidn «le l'harmonie, I" , -J' ..'{ on
'•'partie selon le nombre emplové.CEn ce qui comerne certaines espèces de Contrepoint Iripli; et qnndriiphi, la
ii-ii'ur Je ce principe n'est [jas absolue; il en sera parlé en temps opportun).
Les (lilli'ientes .'spt'crs ,|r ers ('onti'epoliits se décomposent ainsi (pTil suit:
1" -(;iuilrc|,oiiil (ImiiM.- à PH^'' 7" .Couti'ep(jinl (Inuble a la IV

i"- ici. à la '.»"
S' . i<l. à la ir,'
:i - i.l. à lalO'' '>" -Coutrepolllt triple et ([nMdlll|ile à l'K"

V. id. à la II- 10". id. à la 10"
.">". Id. à la t-2' ir. id. à la l-i"
(>'. id. à la !:(
Des rendes sprciales s, jniil ddunc'es poUr (hailtle espèce, mais il coilMellI de pli'senler les ohsc(\;i(iiiiis n,.ner,i|es slll\ailles
Les dilïé'ienles pailles (rnn Coulrepoinl ((iniblfjiij)!'; ou (/(«/f//'»/yj/i',doi\eiit,aulant par lesAalenrs des noies que
par le conloiir in''lodi(pie,se distinj;uer le |)lns |)ossih|i' les unes des antres, de manière (jin', à laiiditionjoreille les per-
coi\e el les reC(nm;Mssc réellement.
Le s|\|,' fst eeliii du (jiinhi'i)(ii)it Jinri; cnmiin' dans ce deinier (lent repoint, les purtus dniMut fui i< r suc.
<'rssifi')ni-)il .
Les cidisi'ineiils ne doi\eiit être praliqiK's (pi'avec nin' j^M'ande sohrii'té et non sans raison, parce (piMs ne produisent
an reiiMisemeiil amnn chanjênii'iit, soit dans les inler\alles,soit dans la ilisjiositioii rcspecini' des parties.
Dans les Ciuif repoints aiilies «pie ceux à T N'", il «'s| (piel«pi«'f'ois n«'c«'ss;ure dalli'ri'r li's inti'rvalles eii li's '•einersant.
Dans ««•r ta il 11 'S esprces de ««s (Ion In 'points, non h's ini'il!''ui«'s,oii ni' |>''ut i'\iter lusap' «l«'s dissiinauc«'s au ti'UipsCaibli'.
Li- uiiiUM'iiieiil «li.itiiiii«|ue, e\(|iisiM'iii.'iit adopte jiis«|u'i+i|ess«' au st\ le. (iipcndant, «ui pourra se s,. rs if, arec rc'-
sfrvi\ du niouM'iiient « hroiiiatiqiie, dont «m lera bienli'it un usaj;»' assc/ fViMpient «laiis |;i Ku-ih'. (r«'s| un acheiiii-
iieini'nt.
«m
son
Lorsijii
loisipi'il y
reinersi'uii'iit
«m usera du
mira ntanl,
;i«'nre
l.i
chromatique,
.">'''
«liimiiiii'e el
pourront
: à
isà
m m
t'tn- emploM's
la V'' auj;iiienli'e
s;uis pii''paratiou.parde};n''>- Con-

î
joints, et pr«'seiili''s c«)innii' suit:
il
RENVERSEMENT.
%"1rTl
FPP^ï^pi^
Des ran^s de chlITres sermit établis pour chaque espèci', afin qu«- ielè\e se n-iide compte immédiatenient des iii-
ter\all«'s qui seront obtenus |)ar l«' reiuerscmi'nt, el puisse ainsi éviter facilement les incorrections.
Vu ass.'/ jrrainl nombii' il«' «'s (]finlr''|)iiints iloiiii.' di's résultats pi'u s(ilisfUis(i)its pour VofuUlu ; il ust
stiiivrnl prrf'-r'ihh' '/.- [> s >-rifrr; ceux à Ts^' ,:i la jo ."t à la |-J' , s,nit l's seiiU vraiment bons et presqu'exi lii-
si\einent iis||rs.
Ji' montrerai c.p.Midanl les autr.'s avec la manière d<' les ]irali«[ii<'r. I"é|è\e m' devant rien ij,'norer de c qui
constitue la technii[iii' d«' •«on art.
Ou pourrait faire les .-xiMcices de ces Contn'points sur des Chants imposés, en r«iudes ou antres val.'urs, mais
il nie parait preft'iabli- qu«' IVIève c<))ii])(isi-. l)ii-m>^)n" le thème sur letpml il éUihlirn ensuite le Canlrepoint.
Je ne loiinerai d<uic pas de (Chants {l«mnés spt'ciaux .
CiTtaiiis aiit.'iiis iîidicnieiit des couihiiiaisoiis «pii ne sont que des transp«)sitions de notes et non des ren\ersi:>-
m.'uts.Noiis u\\ltaiheruiis pas il'iinp«uianci' à cs combinaisons, qui n'offrent aucun intérêt réel.
H.& C." 20404.

90
CONTREPOINT DOUBLE
8"'.
Contjcpoint double à F
I
"_(".. ('.niilr.'jiuiiit ^r i()iii|)(isr (le ilt-iiX piifHis Me devant i;uii;ii> l'in- clnij^ncvs l'uni' dr raiiln- dr plus irnii.' S*'
I/iiiif (li> ilfiix pailn-, i-st Ir llii')tii' sur IimukI du voiis lci|iii'[ >< r<in>trmt le (."iiiitiT|)(iint .
].a parti!' sii|tei'iriirt' ilmt |)(>ii\oii' (li\t'iiif [laiiic iiitV'i'iciii-i' et \ icc \i'r>a: r'c.v/ lu cr ijui iimstititi' h' (Imt-
fn-jKiint d(}}thli'. iloni ri^sfiici' nu-nw l'-t Ir r<-)i)u-rsi-))i,'nt d<'s parties.
•J"_l*iiiii' savoii' di' ijiicllf inanu'i't' nu pcul cinplnvcr les (iit'fV'i'ciit> iiitiTvalIrs, nous plaçims dmx. lan^s d.'
chifTi't's. di' là S, (jni uiDiitri'iit cf (jifils ili'Mciinfnl au rt'iivfrsrnifut:
1, *2, 5, 5. 5, H, 7, 8.
8, 7, «, 5, 4, 5, *i. 1.
;f'_i;s^' ,t Inuissdu
llrlMll
(luivriit rtl'<' i'inpl(>\(''s
avi'c uiiidi'ration, jiuur

ivittT la panv ittc , mais
Irni' usa^n- est }i()u au
di'lint fl à la Iciiiiinai-
soii.oii l'iirnrc sons tor-

•op..,..-
RENVERSEMENT.
'•"—La r>''' dr\fnant V'' au rcnNcrscuicnt,!!!'

peut èlri' cniplovi'i'. sinon conuiic dissonauct»
pi'i'pari'i' f[ ii'solnr,on cotinnc note de passa
ou brodciif.
La uièiiir l'i'inaiipK' ronc.rnr la V' ;
RENVERSEMENT, qg
des
r)^'_Si
croisenifiits
Pou drjiassait
( voir ci'
ci'oisHint'iits), les intervalles

']ni'
1"
je
H"' ou
di'^
si
pln^'
ne
Vn]] faisait di's
haut an sujet
rhaiii;eiau'nt
rrii|yi jli'ril
^
m
pas au renversement; or K- hiit })inirstiii'i ('tant
m
précisi-nit-nt V<lspi-ri lunivi'dn (^ni' (((ddh- Ir f<'n-
vt'rs(;mi<nf^ (iM doit eMter ces dispositions: renversement :M ^ ^^

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EXEMPLE D-UN CONTREPOINT DOUBLE A L'
CONTREPOINT.
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: ^ -
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— 1
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4-H-- fel^:.:^
-F
RENVERSEMENT.
Il.«i C'.'' '20404.

.'J\
Ou |.iul iii.'ltiv |,s parties .'i un diapiison rlifTen-nt saus qu.- pnur cri;, 1:, n..ii\,l|r disposition qui .'u ivmiIi.- piii^^.
rtiv iiii.-ilifi.'.- .!. ti'itrrrsrnirut (Voir la rcinarqn.- faite pivct'-dfiniu.iit a la l'iu d.-s <i|isfr\atious ^n'iiéralcs );
m
ou tiii un- qu oii
util! .Ilh'illli'
II- trati^p'^r (|,n
nu auli uiodif'K'alinii
re'alle.
Je ut' piV's.Mitfrai donc à raveiiir qui' les \(Vi(alil.'s n-uv.Tst'inrnts .-t j.- ne r«'uoiivfl|,'rai |ias es observations
Dans IVxfnipl.' qui
pr.Tèd-son voit à la V uieMU-eJ.- Cuntrep.iint d/'))a-.-.r l.'s [toriies d,- l'S^'',iua:s iniiii' m
«lurei- (rc* inurl.-; dan> i'e> ouditious, ci'|;i i
n'a am un iucoiiMMii.'nl .
AUTRE EXEMPLE.
' — ^-vf-^ frMfn TO-O rf.

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Cl *^ o^
F=^^f^=ï5=q
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-1—1_| '
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EMENr. '^z
Il \ a a la 7' nir-un' ni\ |)a-s;ii;i' chroniatHiUf part'aitfuiciit lion, '•! qur l'ilese pourra iniidr, avi-c discrrfiaïi^
d:in> 1rs (AiTiMics (|ni sun ronl
Il l'st hmi (le (aire remarquer des à présent <[Ue c'est s|).Vialenient a\ec ee((e e-prie (le (;oljlre|Joinl (lniMe
(/»(»? sniit Jliils A'.s Cdnh-i'-siiji'fs ((,; Fk-îus c'est-à-dire les paifies acconipa^^nant harmijuiquenieiit le siij.i^ct r/c-
l'itht .v firriir aux ri'iirfrsi-nt''nls.(\n comprendra dès lors rimportanee du (.'ontrepoint doulile à TottaNe (I l'it-
lilili- piiitr IVlifi' i{i- x'i/ l'Xt'fiir hniiiHi-mmit
DEUX AUTRES EXEMPLES DE CONTREPOINTS DOUBLES A L'S^-.
RENVERSEMENT, "p ji
<M^rr ir r i
e
r i r rr ^
RENVERSEMENT.
EXERCICES.
Faire dou/e Confiepninis douilles à IV" et les pri'senler, comme dans les exemples, sur trois lignes, a\ec le rt
\ersement
H. a C'y 20404.
V)-2
9'"
Contrepoint double à la
l"_Li' (]iiiitri'|Miinl cliiiilili' ;'i l;i M' r-.t nii i\>'- plus ingrat-.; il 'Aïv- |)iii il<' rc-^diii-ccs ,•{ i-,[ ti'i's peu iisid'. ||
>!• iliCi'iTfiH'ii' (lu iniTt'ili lit m «v (jiif |c> (Iriix |iarlii's (jiii lr i-(ini|>"si'ii( ^n\\{ lidriii'fs [lai- la !»• au lieu ilr
Trli-c par Tn*''.
Pour 11' l'i'^d', cf (|iii a cti' dit au\ o|)M'i\a( hmis jî'iiiValr-, et a |)rii))ij-> du (aiud-rpdinl ddiihlf à rN^'f-l aji-
jilical'li- ici. dan- la iiicMirc ijui jh'iiI cuuc.'rMcr irttr (-.prc-
'•'':
2"_Viii(i li's srrir> di' chiffVi's <jiii dnui'iil -crNir |)i)ur lr (ôiitri'|inint ddiihic a la
1, L>, r>, 4, 5, «, 7, 8, 9.
», 8, 7, 0. 5, 4, 5. 2, 1.
• !"_()u Miit (]iii' la T)''' f-t I iiil<'rsalli' jjrincipdl ft qiif.-euli', dli' pcnl r\vf ciniiInMv san- |)ri'|iaratiiiii.|)ui>i|iic
ruiii— itii d'iiiic au iru\rrv''iiiriit la '•'

; la .'i'" duniii.' la 7'; la
(>'''
dniuic la V' ; TS" donne la
'2''''.
Jo \;i\s nnnitrrr la inanirn' de jircparrr ri de rr>.oiidrr t'Ui-, \r^ aiitn's iiilrrvalli's .
RENVERSEMENT.
EXEMPLES DE CONTREPOINTS DOUBLES A LA !!
RENVERSEMENT.
'rr'Mfrp"^j^'iji M -] i
Ou \oit à la
•>''
nirsiiri' ([lu- la .">'''
diriiiiini'»' |)rut s'cnipIdMa- daii-> celte e-[i
^^^^^^
|a:nqn: m s
SESt
PT^^f^f u pp
RENVERSEMENT.
M^f-rri" '
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f u^ ^^=si \
J :-^=ig¥^^^^
EXFJICICES.
Faire quatre (lontia-poiiils doiililes à la '.("et le- |ir('>enler coinine on l'a l'ait pn'ci'deinineni
(n l)'ii\ •|iiiuli-s l'iitrf ti'inps (''.rts nu r.(ibl>'s, -.l'iiiirc'i's |j;ir un'' (mi pliivliur- imlf-. ~i'i,l |Hri]ii-''s.
VI) Khml rIoKM.'.- I:i .filli. ullr .•V(c|ili«.iiicl!.' .!• I- C.'i;!r.|F..iiil, I.- .11.-. M.iii.v, 11,- >..iir|,l.i- l'-Mih'N (l> (ccii|..T (iii tfM;|)-. .-iili-r ((Miim.. il.i C.M,tr.'|i..ii!t
f'I.iiri; .II» p.-iiM-iil ('Iri" ()lai-('i.> sur !. Ii-iii|.s 1;iihli' cl ir(i.-.ii|HT i|.ri!ii (ju.irl .!• iii.'-urc.
Il.«i C.':' 20404.

J»3
Contrepoint double à la 10*
1"_Ct' (;.uitiv|„,i„l ,..t iiii .1.-, i,lii.sjiMl.->.La (li.t.incr ,|iii -/|,,nv lr> ,\ru\ |.:,rti.'s n.- |k,s ,|/|. ss,.r
,|,m) h, K)-.
2"_S.'.ric. chlITiv. 2, 5,
,!.• ;i|,|,|i,mI.|,.s ;,(i
^1, 4, 5, «, 7, 8, 9 10
Contrepoinl .lo„l,|,. a I;. I<r: ,
g .^ ^' ^
,^^^ ^^ ^ ^ ^ ^
•{'-C.'s chUTiv. i.iunlivtit ur faut lair.- m Inrcrs,
<iii"i'l. il,'ii\ „| ,|,.|iv si\t..s.iii .|,'u\ dixiriiirs ,!,• Miilr, nam-
ijllr II- |-.'ll\.Tv..ril.'ll( (|.'.|lll.-iail (i.ll\ N^ % (IfllN .">'% (J!l <!.|1\ Ullis>(ilis.
Vnici roiiiiiii- on Îdil pirpariT .t r.'s.iiidrt' la -i''-, la '»''

, la 7' d la W .
RENVERSEMENT.
Li- (ItTiiitT f\ciii|ilr iiK.iiliv la iK'ci'vsiiJ, dont il a étt- pari.' .luis |,s disfiNations -iiiiTa!.'>, , l'ait, -rvi- (lud-
i(tii'(ois Ii's iiiliTvalIr^ au ri'iiSfiN.'niriil . Ici. raltératiMi a jn'iir hnl (r.Mln- l- ânl ili- V'' aii-iiinitô' .
EXEMPLES DE CONTREPOINTS DOUBLES A LA K)-.
RENVERSEMENT.
Fairi' S ('oiitfcpoiiils
(Idiil.l.'. à la K)".
RENVERSEME NT. J i^rif^
Contrepoint double à la 11'
I"_l)aiis ce (](iiilrc|)cMiit,(raillciir'^ |icii ii>iti'',la (ii<(anct' qui sôparc les deux [)ar(ics ne dnit pi\- d('|)a-si'i' la il".
-2"- Séries dr .liiitV.N applicables an (1, 2, 5, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11.

C.mlrepoint duul.le a la If: )\\^ iQ 9^ g, 7, 6, 5, 4, 5, 2, 1.
.l"_Liiilei-\alle }jriii(ifi((l de ce (îiitiepoiiil est la (i''' qui, smilo, peut è(f<' emploM'c sans pi'épaialLdii. CVst pa
coiise(pieiit de cet :iiler\alle (luil l'aiidi-a iiêr dans la 1"'''et la defiiièri' iiiestire.
Vnici la luaiiièie de préparer et de réson(ire le> antres intervalles:
l'ii'. lierci'. <|iuii-li!. qiiiiili'.
RENVERSEMENT.
II. *« cr 20404.
EXEMPLES DE CONTREPOINTS DOUBLES A LA M".
RENVERSEMENT.
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fr-V— ©-
-^1^-^ ^ ^^ KXKHCICES.
^m w^m ^
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Il F;iir-i"
.l.lllhll-
'i (;iinlir|)(iiiit>
.! 1,1 11".
ÎENVERSEMENT. -
y 'I ^!, " O
'^^^jTTf '
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*s
Coiitropoiiit doiibJe à la 12^
1"_ïi:i distaiici' qui s.'pnii' les (]i-u\ p.ulirs (].• ,o (;(iiitri')i(iiiil iir iloit [las (i'p;i'^scr la l'i'
-2"_S<:ri... ,(,. .•hinV(- ;i|>|.lical.i.'s an ^ 1, <2 . 5, 4, 5, 6, 7, 8, 9. lO, M, V2.

(;.int,v[„.iiil .Iniil.i,. a la l-i': ) 40 ^ ^ |,j^ t)
^ g^ 7^ f^ ^ ^ ^ O ^ ^
On ilciit j)r>-|)aiT|- ri rc-ouJiv la -J'*", la V", la <'.'-, la 7', la !»'' et la II". E\:
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RENVERSEMENT. ^^
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EXEMPLES DE CONTREPOINTS DOUBLES A LA I-2".
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.Iciil.l.'s a la l-J''.
8EHVERSEMENT. ^^? pi::^

II. «( <;i'.' 20404.
Contrepoint double à la 13*
1"_C(' Cniili'c'poiiit. Ih';uuihi|> iiKuiiN UMti' <]iii' (l'Iiii a PN*'' ,à la lO'dii à la |-i',of'(ri' ccjK'iKlant (jiiiI(|iiin rcsscuii'ci-
-2"_V.,in 1rs >.:,]... ,1,. .•hilT.r. l 1 , 2 , 3 , 4 , 5 , 6 , 7 , 8 , 9 , 10,11, 1*2, 15.

ont on ^,- s,,t ,HHir IVtahlir:
MS, l<i, 11, 10, 9 , 8, 7, «, 5, i, 5, 2, 1.
.l'_()nMiit (|ih' (liMU M\tcs (le sniti' (loniirnt lifiix S"- an rcnM'iscinrnt; on ne [jt'nt ilonc Ifs cnijilovi'f.
Jâ 1" ni- [ionsanl t-li'r i-i'-olni' , nr dmt riri' cniploM'i- qm' coiinni- nod- ({>• [)n»ai;t' on brocJci-ii'.
Voici C(nnini'nt on |)i'nt [tiati(jn''r- les antre-, intiTsalli"-, dont la n-olntion ain-a lirn in'-c«'s-.airi'ni('nl mu- la (>''',
'K^' on l'ani'-'-on.
if^
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I
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^m: II';
¥m p^ ^
^ ^ ^ ^
RENVERSEMENT.
^*^#|%-^M=[1^^ -1
irri'rVt r i
^^^ irrr^
EXEMPLES DE CONTREPOINTS DOUBLES A LA i;r
=H£fe^.h' i7^rfrf
îp F -Tnf%tr^ ]rfffff=#^g^ <y-f"-
£MENT.
'^^^f^^?^^^
Fairr 'i ('oDtri'poinls
RENVERSEWENT,
Contrepoint double à la 14"
i^_(;c (îon!i'c|ii)int, très injjî'at, l'sl fort [«'n inIi,'..
•2"_ Voici Irs se, ,..,!.> .•hlffr.-. il, *i, 5, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10.11,12,15,44.

qui le concerncnl: '14,15,12,11,10,9, 8, 7, 6, 5,4, 5,2, 1.
.'V'-La .*{''
et la .">'',
ainsi qu'on le voit, sont l<'s denv inlei'valles principaux sur les(jnels les aniies, pivpa-
l'és, doi\ent s,- i/'sondre :
.">'-,
Deux liei-ces de snile. devenant an i enveisenient des doi\ent èlie évitées.
Voici connucnt les antres intervalles juinent être pi'i'si-nle's, avec leur pr(''|iaratnin l't leur r/'solntnnij
RENVERSEMENT.
II. «; V": 20-iO-l.

96
EXEMPLES DE CONTREPOINTS DOUBLES A LA IV
f
#tM# ^^^#^ Ë=g=g=FEgpj
3&: ^ P mm ^
•RSEWENT. -/• ^ r r f "~r"^ r ~
Fff^-jmji^f^ff^
^
1^ ^ Êâ Ê
m^ Ê 1^
^
^^
^H-J n i=T-^=F^'^^ ^TTrJT^
w^
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Ê^
s^ Ê mE!±É
^^^¥^
IeIeIê
^ mm
^fffpfg
«" ''"!
f r r rr i |-.
rr^ rfr i r ir f-yyî^ ^
K;uri' •_*
(]iiiitri'[)(nnts di' crllr csprcc.
Contrepoint double à la 15''.
(]f (!()iilri>|>(iiiil n'fvt Miitri' ijiii' II' (;iiiitiT[(()iiil (li)iif)|c à {'H'-'': 1rs rt\:,'lc's sont li's iiiriiH's; li- sciil |joiiit (jiii h
(lifCiTriicif cimsistf (Il Cl' (jiic {•(!iii-ci |jriit ii/>|);issi'i- trs hi>nii's (le Ts^' ft >\''l.'ii(!ri- jiisijirà la 1.")''.
EXEMPLE.
RENVERSEMENT
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CONTREPOINT.
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EA7':/iC7Ch\S.
Fnirc qurlqncs Contri-poinls dr rcttc cspiTc, (M'sl-à-i|iiv fli']);i-^saiil TK^
ll.\ Cr 20404.
CONTREPOINT TRIPLE ET QUADRUPLE.
(;. (;uiilic[)oinl •vt à Irnk .1 (luatr.- p;ir(i;"^; le |)tiis ii-it.' c^t c.ltii à Ts^' , cfiiv à la 10' rt :i lu ii' ii'ofTiviil ^r,„'.,-.,.
'"Hi "" !'• ^'rri.'iu.' (1rs .•(iiiif>lii;us(,i|. r.u'tico, ivMiltnt .!. I",i<l j.inclloii J.- .5"- à d.'s Cdiilivpoiiits donlilrs.
Contrepoint triple et quadruple à FOotave.
l.fs rofilcs claWics [jour k' Corilrcpoirit double à PS^'M-rvenl pour ci'lni-ci; toutt-s les parties doivent pouvoii
rcinfrvff saiis.cjiie rhariiionie cesse jamais dVtre absoliimeiit correi'fe.
Il sera bon de s'y exercei' avec et sans Chant donné.
Voici des e\eni|)les des denx manières.
A TROIS PARTIES AVEC UN CHANT DONNE.
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A TROIS PARTIES, SANS
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A QUATRE PARTIES AVEC CHANT DONNE.
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A QUATRE PARTIES SANS-CHANT DONNE.
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On piiurr;til nbli-nir ciicinf dViiitiTs riMiMTsi'iiii-til- pjiti'UJrs l'iuliis A, K,(],I) ri'>t;itit l'ii [il.icc a (our ili-
rôle, i-t II'-, trois aiilrr-, altri-nant cnlri' clic-..
Ci'|)i'!ulant, on m- dnit cniploMT (jiic les oonihinaisons de naturi' à in' \);\'< f'airi' ontr<'|)asscr les liniil»'^ df^^^
diff('ri'nti'> V(ii\ .
EXERCICES.
F"airt' rlfs C(Hitrf[)oiiils Iripli'N et (|i:adi ii|d.'s à l'S'", a\ci' cl sans (Ihanl doiin/', juscjn'à cr (juVni les fass^' avec
facilitt'.
U. & ci." 2C404.

tof
AUTRE MANIERE DE PRATIQUER LE CONTREPOINT TRIPLE ET QUADRUPLE A LSV
Il «iilïil ilf cnii>tiMiirf iiii (loiilii'|)()iiil (loiiblf, ne icuf'Tiiiaîil ni di'nx IV.- ni deux (i''." de >-iii(e, procédant
tudjcni'^ |)ar nnniNrnii'nt coÈitraii'c ou (iIiIhjhc, et ne cund-iuinl auctinc dissuiiamc, sinou Ifs pas-.a^èit-.. En
ajiinlant ii un (ônlrt'iioint ain>i t-tabli une .'V.'' ati dfs> de la parlii- ^npi-iicurt', on au dt'»us de la partie
inl'i'i'ii'iiii', on obtient un Contrejjoint triple; et en ajoutant une ;i au deû^ il,, chacune <le>, deux parties,
on <j|)tieiit iiii (Contrepoint quadruple.
(les (lontrepoiiils pi'uxenl s,. ieu\erser de pliiMeiiis manières, niais olfVent peu d'inte'ièt iiuisieal, à
cause des suites ((Ultllllies de .'t.'~(|m en l't'sul Icilt .
EXEMPLE DUN CONTREPOINT DOUBLE A L SV
TRANSFORME ENSUITE EN TRIPLE ET QUADRUPLE PAR L'ADJONCTION DE .'JT
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TRANSFORMATION EN CONTREPOINT QUADRUPLE.
On ne pratiquera «pie les reiueisemeiits (pii doiiiieiit une harmonie' correcte.
EXKItCICES
Faire deux contrepoints doubles il l'sV susceptibles d'c'tre Iraiislormes eu triples et quadruples; taire
la traiisfoiinaliiHi avec ipielipies manières de pre'seiiter les renversements.
H. m c: 20404
10-2
Contrepoint triple et quadruple à la dixième.
On doit (ilisiTNci- Ir^ l'i'^lrs du (;nntrr|jiiiiil ildiihli' à la dixii'iiir et fiiiplovt'f II' iiion\fi)ifiit r(iiitrairc
t'( ohli(|iii'; a\('c (III (iiiiitrc|)()iii( (loiil)lc (il)tt'iiii lie ci'lli' iiiaiiii-rt', itw m (ititicndia un ti i|)l.' rn iTii\.T-.aiit
la partie Mipt'rii'iiri' iriiiic lO'.' an î'a\r, dii la partir iiiCcVifiiic d nue |(i'.'» à I aij;ii, fl un i|iiadiiiplf en
l'ai>aiil (H-, deiiv <ipi'Tati(in-> siiiinltanfiiii'nt .
EXEIVIPLE D'UN CONTREPOINT DOUBLE A LA 10'. QUI SERA TRANSFORIVIE ENSUITE EN TRIPLE.
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TRANSFORMATIONS EN CONTREPOINT TRIPLE.
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H.& C'V 20404

Itf.i
EXEMPLE D UN CONTREPOINT DOUBLE QUI SERA TRANSFORME ENSUITE EN TRIPLE
ET EN QUADRUPLE PAR LES OPERATIONS CI-DESSUS INDIQUEES.
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(iLiiiiiiif <iii If \uit, c'r-i l'ailjuiictioii (If l;t tici'cc qui jll^(i(u' la (It'iioiiiiualidii (Ji- CoiitnjJoiut a la 10'. j cai' le
ri'ii\.T>ciiii'i)t> lie pomciit se faire qu'à I'kV; t'ucore faut-il choisir ceux qui diium'iit une hariiKiiiif con'cctf.
EXERCICES.
Kaiif (Jeux (;outri'|ioiiil> doubl<'s à la 1U'. >us('<'[)liblcs d'èln- tiausfoiineV eu triples et eu (|iiadrii-
|*li'h; faire la transfoiMiialioii avec quehjues manières île pieNeiiler li > remerseiiieuts à I'HV ( la 1'.'
uie>ure
,ûffil coiniiie indication.)

H. H C'y 20404
t()'«
Contrepoint triple et quadruple à la 121'
Ou doit aij(jliij(i<'i' les rt'^lcs *lii Coiifrt'poiiit lioiihle a la 1:i'', et »'iii|)lo\fi- li- iiioiiM'iiH'iif coiitraii»' et
obli([ue. Am'c un Contrepoiul obtenu de eettc inanièic, on en obtiendia un triple en ajoutant une tierce
>(»it an de>v(j|i> di- la j)arlie MipeVieure, soit an dr^sii-, de la partre inleiienie et un (|uadru[)le en taiNanl
ces den\ opeVaduns sininltane'ini'iil .
EXEMPLE UN CONTREPOINT DOUBLE A LA m TRANSFORIVlÉ ENSUITE
EN TRIPLE ET EN QUADRUPLE.
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(<<iinnie precedi'nnnent on ne pra(i(|nera (jiii' 1rs itii\er'sen)eiil> (jui d'Hineiit une harmonie correcte.
km: ne ici: S.
Faire den\ Contrepoints doubles à la l'JV susceptibles dVtre trausforini's m Iripb'-, .-t <piadrnples; f'aiie la
Iraus/'ormatiou a\ec (jnebpies manières de pr'eseiitei- les ren\erseinenls (la 1'.' niesinc su/7'it comme indication).
\l.H (;'.' 20404

1U5
Remarques.
.rap})t'lle de nouveau l'atteiitioii sur le \>vu d'intérêt réel (jue jirésenlent le> derniers Contrepoints dont
3''.'"
nous \iiiiiiiN lie iMiHs (icciiper, qui ne sont couijjosés (jue de (]onlrr|Hiiiits doubles, auquels on ajoute dfs
-.iqii'iii'urcs (ui irif'érieuifs, et qui n'ofTicut, ainsi qu'il a été dit plus haut, qui- dfs combinaisons factiees,
pllis(|lêll(•^ !!•• sont pas toutes sn>Cfptili|cs de \éritabli'> ren\erseiucnl>. (ês sU('cession> iiiinterrouipin'^ de
'.^".^ ne pourraient du restt- se snppoi'ter lon^tfnips sans amener, avce leur fadeur naturelle, une extrême
fatigue et nu j^raud ennui.
I>one, le> h(jiis Cii)i(r'::p<ii)i(s lri)d's e< q)iti<inifjl'is sont véritablement, et xtutltiincnl, œnx a l'H'.'dont toutes
les part it;s sont renversdbli's. C'est avec ceux-là qu'on fait les Conlffi- Sujets de la Piiyue, qui \d {dire
l'objet de la '«'partie de cet ouvrage.
Après eu avoir étudié et médité consciencieusement les trois premières parties; après en avoir l'ait toupies
<'\erci(es indique's, l'élève doit être armé pour l'étude si intéressante de la Fiii/xie, pr laquelle nous allons
couliniier et terminer.
.Avant d'aborder iv[ important sujet, je veux moniver, à litre dti cunosité, une série d'exemples du Pèti-
Mut tint, qui feront voir l'usage qu'on peut faire eu certains cas des diCfêreuts ('outre|)oiiits (jiie nous venons
d'étudier dans cette .T. partie.
EXEMPLES,
('onlrepoint.
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au dessus
H.8( C'.'' 20404

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à l'sVau (l^^^tls.
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Thriiic à la ô'.' au ilc^ûs par mouv! ((inlrair Thî'uii' à I SV au (lis>iiv
K\' <ic'>SOU
ThriMi' à la Iti'. au (Ji'nmiï. par ni()u\! coutraii
rih'IMc à
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(]ou(l'f|)(Jlll(.
Thruii' à I s\' au (Ic^^ns. Thrnie à la Vl'au dessus.
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Thr (;<)i)lr''|i(init ;t I SV au di'ssuu (liinlrcpoiut à la T)'.'' au dcssou-
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l'artif lil.r. l'aitic lihrc.
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^'M lllliUMIUl'Ill 'lirvil.
Il.fï C'y 20404

1(17
Thi"'inc à la <>'.' au (|r»u-
Thi'iiii' il la «'.'
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Cuiitrt'poiiit à la l-J. .ni tlf-Miu
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(.'niilrf|ii)int ;i l'h'.' ;iii dessous, Miiticijn' d iij(jdif'ii'
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l'aiti.' lihiv.
Thi'iiir à I SV iiii dcssu> |):ii' iiKMu.' cdiitraii'i
(](iiitit'|jum( à la 10': au dcssciis, pai" iiiuii\! c<iiitraii'e cl iiiudit"i('
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(iiiiitii'iiiMiit a la 17'. au dr-îus, pai' iii(iu\J coulrairc, rdardt' et iiKtdif'i
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FIN DE LA
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PARTIE.
H.«( C'y 20404

lUJ
QUATEIÈME PARTIE
FUGUE
APERÇU GÉNÉRAL
La Ftujue est une coiiiposilioii où tous les éléments et les artifices du Contrepoint peuvent et doi/ent
trouver leur place, en môme temps que d'autres artifices qui lui sont particuliers et qui sont souvent d'une
allure plus libre et plus moderne.
La Fugue n'est point une œuvre d'inspiration, bien que l'imagination et l'invention y puissent jouer
un grand rôle c'est surtout une œuvre où l'art de la facture et du développement logique est poussé à son
;
extrême limite.
Les thèmes d'une Fugue doivent être présentés, combinés de toutes les manières possihies et on doit pouvoir
en e.Ktraire tout ce qu'ils sont susceptibles de fournir.
Les plus beau.x modèles de ce genre de composition nous ont été légués par J.-S. Bach. Il y a mis à
la fois une ordonnance, une force, un respect de la tonalité et une fantaisie admirables, que personne n'a
égalé? depuis.
On ne peut pas dire qu'une symphonie, une sonate, un trio, un quatuor, etc., soient de la Fugue,
mais on peut alUrmer que ces œuvres en sont les transformations modernes et qu'il y a entre les dévelop-
pements d'une Symphonie et ceux d'une Fugue, beaucoup de parenté dans le fond, sinon dans la forme.
morceau de musiiiue bien fait devait avoir « sinon le caractère et les formes,
Chenibini a dit que tout
du moins d'une Fugue ». Cela est vrai. Il ne peut donc y avoir de meilleure étude pour un jeune
l'esprit
compositeur. Il y apprendra à présenter et à développer ses idées avec puissance, souplesse et ingéniosité.
Le style sévère de la Fugue ne peut faire tort à son imagination. S'il sait se mouvoir avec facilité
dans un cercle restreint, que sera-ce lorsqu'il aura le champ libre et que toutes les audaces lui seront
permises?
Ai-je besoin de donner des exemples et de dire que Beethoven, Mozart, Mcmlehsuhn, Schumann,
H. Wagner. C. Franck, Brahms, pour ne citer que des morts, ont été fortement nourris de ces grandes et
solides études? Ai-je besoin de dire qu'on le sent dans leurs œuvres? Ai-je besoin encore d'ajouter qu'aucun
compositeur ne peut s'attaquer avec succès à la symphonie, à l'oratorio, à la musique de chambre, aux
formes les plus nobles de la musique en un mot, s'il n'est familier avec toutes les ressources du Contrepoint
et de la Fugue?
Ceci dit, je vais tâcher de montrer de quels éléments se composent les 'différentes parties d'une
Fugue, de les analyser et de dire ce qu'ils doivent être relativement les uns aux autres.
Voici d'abord leur énumération, avec explication sommaire :
Le Sujet; 2° La Réponse; 3" Le ou les Contre-Sujets; 4° La Coda;

1° U° Le Divertissement ou Épisode^
6" Le Sirelto; 7° La Pédale; 8° Le Nouveau Sujet; 9° Les Parties libres.
r LE SUJET
Le Sitjet est le thème que choisit le compositeur, avec lequel et autour duquel viendront se combiner
tous les autres éléments de la Fugue. Le Sujet doit être court, caractéristique, ne pas moduler hors des tons
voisins i^t se terminer dans le ton de la tonique ou de la dominante.
110
2° LA RÉPONSE
La Réponse n est autre chose que le Sujet établi, suivant certaines règles, dans le ton de la dominante.
La fixation de la Réponse donne souvent lieu à des hésitations, à des erreurs même. Plusieurs
versions ou interprétations différentes sont quelquefois admissibles. J'essaierai de guider sûrement l'élève
sur ce point délicat.
3° LE CONTRE-SUJET
Le Contre-Sujet est un second thème qui accompagne le Sujet toutes les fois que celui-ci se fait entendre.
// doit de pouvoir se renverser et se placer à quelque partie que ce
être en Contrepoint double afin
soit. Il peut subir parfois de légères modifications dans l'intérêt de la disposition et de la pureté de
l'harmonie.
11 est nécessaire, pour obtenir de la variété dans les rythmes, dans les valeurs et dans les contours
que le Contre-Sujet ait une physionomie toute différente de celledu Sujet, sans que pour cela il y ait divergence
dans le style.
11 peut y avoir plusieurs Contre-Sujets; dans ce cas, chacun d'eux doit être, vis-à-vis des autres, et aussi
vis-à-vis du Sujet, en Contrepoint double, afin que tous les renversements soient praticables.
4° LA CODA
La Coda se compose de quelques notes qui sont parfois nécessaires pour combler le vide qui
existerait entre la dernière note du Sujet et l'entrée de la Réponse.
Le compositeur se sert souvent du dessin formé par ces notes comme élément de développement.
5° LE DIVERTISSEMENT OU ÉPISODE
Le
Divertissement est à proprement parler la partie libre de la Fugue. 11 sert à en relier les diverses
autres parties. Le compositeur choisit à son gré tel élément, tel fragment, tiré soit du Sujet, soit du ou des
Contre-Sujets, soit de la Coda, etc. et le combine avec lui-même, ou avec d'autres fragments, en forme
d'imitations, de marches (1), de canons à deux ou plusieurs parties, à des intervalles quelconques, de Contre-
ou (juadruples.
points doubles, triples
Le fragment choisi peut être employé avec ses valeurs ordinaires, ou oien ces valeurs peuvent être
traitées en augmentation, en diminution, ou encore par mouvement contraire, etc.
C'est dans les divertissements que la science, l'ingéniosité, la fantaisie peuvent se montrer avec
toutes leurh ressources.
6° LE STRETTO
Le Slretto est la partie de la Fugue où les artifices les plus intéressants viennent peu à peu s'accu-
muler et se serrer, ainsi que l'indique le mot slretto.
On fait entrer d'abord, si on le peut, la Réponse à un point quelconque au Sujet (pas trop éloigné
cependant), et on rapproche toujours cette combinaison jusqu'à ce que la Réoonse devienne le canon naturel
du Sujet.
On peut de la Réponse, ainsi que celui des Contre-Sujets.
faire aussi le Stretto
Il faut faire remarquer que beaucoup de Sujets ne comportent pas de Stretto véritable (le canon du
Sujet et de la Réponse); dans ce cas, on se contente de faire des entrées et de les serrer le plus habilement
possible.
7° LA PÉDALE
La
généralement placée à la partie grave, est une note tenue (dominante ou tonique; sur
Pédale,
laquelle se déroulent diverses combinaisons sujet et réponse en slreito, marches harmonv/ues
: imitalions, ,
canons, etc.
Quelquefois une Pédale courte précède le Stretto, mais la vraie place de la Pédale grave de dominante est
dans le courant du Stretto, vers la fin de la Fugue.
La Pédale de tonique se place généralement <o«( a la fin; elle est comme le couronnement de
l'édifice, mais elle n'est point obligatoire.
Aucune Pédale, du reste, n'est obligatoire aans une Fugue; cela dépend de la contexture, de
l'étendue, de l'allure générale de la composition.
Je ne parle pas des Pédales supérieures ou intérieures <iui n'ont pas le caractère de celles dont il est
question ici et qui n'ont toujours qu'une durée fort restreinte.
Sur la Pédale, on est quelque peu affranchi de la rigueur des règles; nous airons plus tard dans
quelle mesure.
(1) Leà marches symétriques devront être empij^ces avec une grande réserve et nn pas se prolonger, de manière que
la Fugue ait une allure toute flilT(5ronte de la leçon d'harmonie.
8° LE NOUVEAU SUJET
Quand ne se prèle pas à une grande richesse de combinaisons, ou quana on veut augmenter
le Sujet
celte richesse, on introduit queliiuelois, un peu avant le Stretto, un rwuveau Sujet pouvant se faire entendre
avec le premier, ayant lui-même des allures toutes dilTérentes de celui-ci, ayant aussi son Contre-Sujet el
se prêtant à des développements intéressants pouvant se combiner avec les éléments du premier Sujet el
du premier Contre-Sujet.
On obtient ainsi une variété 1res grande dans l'unité.
9° LES PARTIES LIBRES

On appelle parties libres, celles qui ne sont extraites d'aucun des éléments principaux de la Fugue, et
dont le rôle se borne à compléter et enrichir l'harmonie.
REMARQUES DIVERSES; HARMONIE USITÉE

Avant de parler plus en détail de chacun des éléments dont je viens de faire une analyse sommaire,
je vais donner le plan général d'une Fugue ordinaire à 4 parties et à un Contre-Sujet.
Je n'ai pas la prétention de fixer d'une manière absolue la forme de la Fugue; elle ne peut l'élre
rigoureusement. Il y a cependant certains points essentiels sur lesquels il est indispensable d'attirer
rattèntion et qui sont le fond même de ce genre de composition. Ce sont ces points que je vais indiquer
spécialement.
J'ajoute que le style vocal, étant le plus difficile à traiter, sera adopté exclusivement pour l'étude el le
travail de la Fugue.
Le style instrumental otl're, en effet, plus de facilité, l'étendue de chaque partie étant presque
au moins à l'aigu, et le choix des intervalles n'étant, pour ainsi dire, restreint que par le
illiuiilée, tout
goût. Le style votai est donc plus propre à amener la souplesse, la correction, la sobriété, l'élégance et la
pureté.
Si je choisis la Fugue à 4 parties el à un Contre-Sujet pour établir un plan général, c'est qu'elle
représente le type le plus communément usité.
Toutes modifications nécessaires seront indiquées plus tard selon leur opportunité.
Je dois dire aussi que l'harmonie usitée dans la Fugue, même rigoureuse, est moins restreinte que
celledu Contrepoint. Elle a une liberté relative d'allures, que justifie le genre chromatique dont on lait
un usage frétjuent, el la contexture même de certains sujets; par exemple :
L'accord de 5" diminuée el ses renversements, l'accord de 7' diminuée el ses renversements, peuvent
se pratiquer sans préparation.
L'accord de 7* dominante et ses renversements, à l'exception du 2% peuvent aussi se pratiquer avec
préparation de la 7', ou de la fondamentale (mais préférablemenl de la 7«).
Quant aux autres accords, on n'en doit faire usage qu'avec préparation de la dissonance, sn>if toujours
pour le 2' renversement, qui reste proscrit s'il contient une note formant quarte juste avec la basse.
PLAN GÉNÉRAL D'UNE FUGUE A 4 PARTIES
Le Sujet est tout d'abord exposé nar u/ie partie, soit setu, soit accompagné de son Contre-Sujet.
La immédiatement dans une autre partie ayant une tessiture différente par exemple,
lieponse suit :
SI ie Sujet est proposé par le soprano, la Réponse devra être faite par l'alLo ou par la basse, et non par le
ténor, dont la tessiture est semblable à celle du soprano.
La Réponse doit être également accompagnée de son Contre-Sujet.
Ensuite le Sujet el la Réponse se font entendre dans les deux parties qui no les ont pas encore
exposés, toujours conjointement avec leurs Contre-Sujets.
Les parties qui ne font ni le Sujet, ni la Réponse, ni les Contre-Sujets, sont des parties libres qui
complètent et enrichissent l'harmonie, mais seulement après leur première entrée cbiigatoirr.
Ces quatre entrées : Sujet, Réponse, Sujet. Réponse, forment ce qu'on appelle V E.Tposition.
112
Entre la 2" et la 3' entrée, on peut faire un très court épisode, sorte de Coda amenant de nouveau
le Sujet; mais je crois préférable, dans la plupart des oas, de faire les 4 entrées successives sans aucune
interruption.
L'Exposition a une très grande importance; elle installe fortement les thèmes; elle détermine le
caractère, le rythme et l'allure générale de la Fugue.
Beaucoup de maîtres font une Conlr' Exposition séparée de l'Exposition par un Divertissement. Cette
Contr'Exposition commence alors par la Réponse suivie du Sujet, dans deux parties différentes où ces
éléments n'ont pas été encore entendus. Le Conlre-Sujet accompagne toujours le Sujet ou la Réponse. Mais le
plus souvent il est préférable de ne pas faire de Contr'Exposition, afin d'éviter la monotonie.
Après cette première partie de la Fugue, qu'il y ait Contr'Exposition ou non, un Divertissement assez
développé est indispensable pour amener le Sujet dans le mode majeur ou mineur relatif, lequel est suivi de sa
Réponse; ensuite il faut produire et séparer par des Direiiissements toujours de plus en plus intéressants
le Siijet dans les deux autres tons 7'elatifs.
Si l'on introduit un Nouveau Sujet, c'est dans un de ces deux tons relatifs qu'il convient de le
présenter; le nouveau sujet est alors substitué à l'ancien el devra pouvoir se combiner plus tard avec lui.
Peu à peu de nouveaux épisodes, faits avec des éléments toujours divers, amènent un repos sur la
dominante, pouvant lui-même être précédé d'une courte Pédale. (Ce repos, du reste, ainsi que la Pédale, est
facultatif.)
Ici se place le Slretlo, qui peut se pratiquer de diverses manières :
Au lieu de faire de suite le canon naturel du sujet et de la réponse, qui existe presque toujours dans
la pensée de l'auteur du sujet (nous avons dit pourtant que beaucoup de sujets n'en comportaient pas),
on peut réserver cette combinaison pour plus tard et imaginer pour le début du stretto des entrées de la
réponse à un certain point du sujet et réciproquement, en ayant soin cependant d'éviter que le. début dit
Stretto ne ressemble à une nouvelle exposition, c'est-à-dire d'éviter que les entrées soient trop éloignées les unes
des autres, et qu'il y ait interruption du sujet avant l'entrée de la réponse et réciproquement.
Pour justifier le vaoi Stretto, on doit, si le sujet s'y prête, répéter ce procédé, en rapprochant de plus
en plus les entrées et en les séparant par de courts épisodes, présentant toujours eux-mêmes un intérêt
plus vif.
Le Contre-Sujet peut, comme le Sujet, être traité en Stretto.
Les épisodes ou divertissements taisant partie du Stretto doivent être de plus en plus vivants,
cùaleureux, serrés.
Là, le Sujet en augmentation, en diminution, par mouvement contraire, etc., peut être combiné avec le
sujet en valeurs naturelles ou avec le Contre-Sujet. Là aussi, si l'on a introduit un nouveau sujet, il faut
s'efforcer de pratiquer toutes les combinaisons dont il est susceptible, avec les éléments primordiaux de
la fugue; mais tout cela sans longueurs inutiles et sans monotonie.
Arrive alors la Pédale, sur laquelle se peuvent faire des canons, imitations, etc., tirés des différents
thèmi^s qui ont servi à composer la Fugue. Cette Pédale est, du reste, comme toutes les Pédales, facultative.
Une certaine liberté d'allures, comme nous l'avons dit déjà, est admise, surtout dans le Stretto, sur
la Pédale et vers la fin de la Fugue, mais toujours en restant dans le style et dans le caractère des thèmes.
La terminaison peut se faire sur une Pédale de tonique ou tout autrement.
Le Stretto ne doit pas occuper plus du tiers environ de la Fugue.
Telles sont les lois générales concernant la forme et le développement d'une Fugue. Je le répète, je
ne les donne pas comme absolues, mais seulement comme pouvant servir à guider l'élève dans cette étude
difficile. Ainsi, par exemple, il est très admissible: de supprimer le Sujet dans un des deux derniers tons
relatifs; d'introduire dès le début une partie libre, non en Contrepoint double, mais susceptible cependant de
se combiner avec le Sujet et de servir de thème à des développements; de faire entendre, dans le dernier
ton relatif employé, le Sujet sans être accompagné de son Contre-Sujet; de modifier légèrement le Contre-
Sujet, si cela est utile pour la bonne conduite des parties et la pureté de l'harmonie, etc.
Les modulations doivent être sobres; en aucun cas on ne doit faire entendre le Sujet dans un ton
autre que l'un des tons relatifs.
On ne doit pas non plus répéter une combinaison déjà entendue.
Je ne parle pas de l'élégance de l'écriture; je rappelle seulement qu'il faut éviter la lourdeur, et
qu'une partie ne doit jamais se taire si elle nêM destinée à rentrer d'une façon intéressante.
est nécessaire, maintenant, de revenir sur les principaux éléments dont j'ai parlé plus haut, d'en
Il
compléter l'analyse, de traiter à fond la question de la Réponse, des Contre-Sujets, etc., etc.
Quand j'aurai fourni toutes explications utiles, je donnerai des exemples rriohtrant comment on peut
composer les différentes parties d'une Fugue; puis, enfin, des exemples de Fugues entières à 2, 3, 4 parties
et plus.
11 est bien entendu que je ne traite ici que de la Fugue d'école ayant sa forme déterminée et non
des morceaux en style fugué ou des Fugues d'imitation plus ou moins régulières, lesquels, bien qu'émanant
de la Fugue, en sont pour ainsi dire les enfants émancipés. Ils forment la transition entre la Fugue d'école
"t la Composition libre
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Si !. Sujr/ M,, s, lit.- |i:i> (l/'s le ili'lmt ,{>• la tdiiiiiin' à la il liiaiilf, on ilr la (loiiiiiiaiit.' à la toiii_
(IMi'-, - 1 1 llr «•.illinii'in a- |)ai- la (luiiiinaiit <• et n'ot'IVi' trarc iradciiin' iiiodiilal ioii an ton «li- la iloniinanl.',
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(lit sur II' Siiji-f, coniin'' on le \cii-a jilns loin.
.Il- \ais niaiiiliMianl |)ii''sfiili'r (|nfl<jnfs -njcls ifiii i')i siiiif (htfxiurrus.
On coiniiicmli a i'arilnni'iil (|(ii' le coniiJositi'ni- <|ni xcnt -'atïranchii' ilc fftli' funtramli' piiisM- donm'i-
à «ion Siiji'l Mlle allnic |ilns lilui', (ilns <li'j;a;:iM', j.liis iii(|i'|)fiiilanti-, |)uis(|iic rien iir vient i'iitra\ it la tonr_
nnii' nii''loiliijiir (|n"il Ini plaît «le choi-ir. On jm'iiI (loue dirt', s>;tiir nonibi't'iiscs i'\cfptions,(]nf les pln^ bi'anx
sujets, et ii's |)lns cafaclerist i(|iies, ne t'oni'nisseiit pas Ion jours cv slrelto. E\:
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fiin (II' Id diiiiiiniinfi' .
\(ilf'l CCS l-c^lcs, MHS les (le Kelliar'(|lles 1111 |i ne an es

I I ;
S'il ^'aiît (l'une Ji(<pi'' i<'fUi', la r(''|)(iiise se t'ait njîiurcnscnicnl , aoli' pour noti'. dans le tmi de
l;i dominante.
S'il s'agit d'une Fuifiit' /(*//a//^, plusieurs |)()iiils son! à (disei\ei-

1'.'
Quand leSniel c(jininen(e par la t (ini(|iie, la |{i'|)i)nse dnil ((iiunieiiccr /;';/' /(/ ((<inii)t'nih', r[ ipiam
il eoiiiMicnce par la doiiiinantc , la H('p(inse doit eimuncneer par lu tunique. K\
lli'liiil ,1(1 Suji I. M.'ii.'iise. |)/l,(.l (liiSiijrl. ji/i ^,
^ C ^j J 1^^^^^^
•2'] Si leSiip't se porte rrancheiiicnt ,
'/An l>- (fi'huf, de la l()ni(pie à la doininanle on r('cij)r()(pieineiit,
la IJi'poiise doit se porter de la dominante à la loni(]iie on r(''ripro(pienieiit . Es:
lil'IMiNSK.
au\i|U(ds siip'ls on .^^-U^^
doit r('poiidre par: w^^^m§
dîÈS
lit.lMiNsK.
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SI.IKT. .
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Fom- les Sujcls coin me les sni\an|s, ne se poil an I pas (/«'-.s f>' ili'-hui de la loiii(|ne à la do m manie on
ivciproi|iiemenl
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115
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' l l ''vi^7T^
.'(': Si I.- Siijrt lie lOMiiiiiMici- ni |)ai' la torininc ni jjni' la iloiiiiiiaiit c, on lioil ri-pdinlif à ta ((iHitlifH
la li>Mii[iii' par crllc il.- la ildiiiinantf l't riMi|)i'()(|iicnn'nl . K\:
Sl.IKT. I',KI'()\SK. Sl.IKT. liKlMiNSK. SUKT. liKf 0\SK
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V; I)<lns II' ciiitnnif flit Siiii-/,i,\\ doit tiMiidni- aussi n'|)()ii<li'' à la faiidliti' de la t(iiiif|iH' par ci'llt
cil- la iloiiiinaiilf i'( iiViproqni'iin-nl , à moins (jnc ces tonalih's iTaiiMit nii «aiactÎTe toiit-à-t'ait i)assagiT
au(|iii'l cas on ri'pond sinipii'ini'nl •'( l'xurti'tut'ul pur lus )tiih>tis iuti'riuillus, comme par cxcnipli':
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Qnanil le ilnnle pcnt cMstcr sur la pri-sciirr un non de modulations dans le coiii'anl d'iiii Sujet,
on sur If point pi'ecis oi'i elles se pi'odn iscnt , on doil iJoinier la pri'lV'rence à la Ki'ponse ipii fournit le
contour le |diis nat urel
l^' REMARQUE. I.es modifications app<irti'es à la Hépotise s'appellent tnnfnfidns .
l'Iusieiijs mnlalioiis peuvent avoir lieu pendant la durée d'une Héponse si le Sujet mo_
diile |dusieurs fois de la lomipie à la ifomiiiante on ri'oijiroqiiemenl .
•1" REMARQUE. Si le Sujet comporte un siretto en canon, la Ki'poiisc devant donner ce canon, il devient
assez facile dans la plupart des cas, de la déterminer après un Instant de n'-flexion et lie
l'»'chei( he .
Je dis dans la plupart des cas, car il arrive parfois (pie la vraie Réponse ne concorde pas
loiit-à fait avec le stretto; le Sujet suivant de Monsieur Massenet le démontre visiblement:
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faut supprimer le ré
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H./d C'.'' 20404.
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Il faut ol)st'rvcr :ui>;si ijiit', en se hasanl uniqm'riient sur !< stit>ttn |i()ui' établir la Itr-poi
)ii pourrait l'aire taiissc roiiti'. Sii|i[)()s(>iis en cIN-t, et- (iiii est possihlf, (iiH' l'élr\i' voie
.tri'tto (ic ( T Sujet l'oiiiriti' reci:
Éj- r-ft^ F ^ y ^ tj
f rr f[:i; Ê
^^ m^
^ ^
frri' r [j
gî é j
r:'i J
il se troiiijiera s'il l'ait la J{i'[)<>iisc a\ec cette version , (jiir n'est pas tonale.
On ne doit (loue s'appnvei' sur cette -J'.' Hcniar([ne qu'ax ec une certaine réserve.
:r: REWARQUE. si le Sujet i-ontienl lies iiKxInlalions passager, s à îles Ions relatifs, la Réponse doit, sur
ce jiouit enrore, sui\ re le sujel l]an~ SCS conloni's.
Prenons les Sujets (Joiinés plus haut et cherchons en les Ki'poiises en analysant notre travail H'après
les rèjiles et les reinarqnes ci-dessiis.
Les trois premiers ('tant des Sujets de fntpit' n'fÛt^, n'ftflfent aucune diiTiciilté-, et il faut y répon.
\".
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faut i('|)iin(li-e en allant de la toiii.
(jiK' à la (ioinriiaiiti'; puis repoiulir fii (/</ -i liiiilr la siiitf <lii Siiji't (|iii est vn ln.\\n\ a donc (ju'uiic sclile
iniilalidii: fcllc du di'hnt . Kv:
|{KV(t\SK.f7;7
nhfj i
r- r [ U#=â^rrr^
On nMnar<|ni'ia N- [)ass;iir,. f\^ ^ ^^ d>' la i''. a la ?•''.
nifîiri', an(|nrl il f'anl rppondii' \t\w V* ^ |l
narre qiril ii'v a pas de iiiu.liilnt loir, nnii- î li' Snii-t avait la t'oniif su i\ an le; ".
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il y aura il deii\ nin lai ions, cl un i-.[ioiidrait a lu mi par »/i/ /(/ . K\ :
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^»/if j ir-pril; i r r i
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Voici du reste le Sujet soiis ses dcii\ rornies ditTcrentes avec leurs réjxinses fonnanl stretto:
r." FORME. slrelti)s'arrèlanl nnpcii avant latin.
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FORME.
H. H C'.'' 20404.
Ils
SUKT.
I);iits ce S(i jet, do ni le- lit-but est cil sol, i| peut v avoir (hniti; sur le point prt-ris où la iiio(lnlatioii''n n
f |)io(|iiil; en etïft on [loiirrait l'aiialvscr ainsi:
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'rii su!. '
'm IL'.
t'tc. ; on eiH'ori
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Dans cas, nous aiirion s coiiinic Hcpoiisc: ^

le |iri'niii'r
'iiri'iiii ^^ I
FF^^=^?^ tp.
Dans I.' si'coinl nnii- aillions: -^' '^—}— ''
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Or CCS lieux vci-sious niaïKfiicnt touf-à-Cail de j;i'àce; c'est dans des c:is seinhiables qu'il faut se guide
.111- le conlonr niélodi(jne el Caire iii(er\enir le f;ont'; nous aurons al<iis connue Hi'noiise;
IJKl'ONSK.
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cl connue st rftto;
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f^-^^^-tftr^t^T^ I
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Ici il V a r/<-(<a7 mutations: celle Au d,'[)iil et celle .lu nassaye en s.d. K\:
Ou poniiail encore comprendre l:i seconde umialiou ainsi: rp pTfc jpnr: , ,,i;,is on voMl coillhlen le cou.
OUI- mélodique v perdrait. J * J #-'
Le st ret to est |e ^{[\\ ;i||l :
n.\ (;'; 20404.

111»
SUJKT.
ji^r rr;[;^ r-[irN''îAiJ i

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(îi' Suji'l coiiiportf trois imit:itioiis ,•! n'offii' |j;is df dilTiciiIlt- ^[jt'clati' d'iiiter-pn'tal nui :ui poinl de
vue ilo la H('|)(iii>f, Ifs modulât II) Ils t'I aiit mdi(|iit'rs t ri's tVaiHhi'iii.'nl . Vcjici donr la l{(''|)(iiist' et le stiollo
ijirpllc ruiiriiil :
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STETTO.
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L' t'iil n'c iji' i-i' Siijrl, sci;/'-, du m-
II lii'ii à mir ninlal imi, |jiii><|ii'll (a ni an d/diiit i'i''|)(nulri' à la doniiiiaiiU'
fjur la t<)ni({iif, fl <|M'à |iarllr d<- la sccondi- ii'ilc ii- Snjcl i-st m soi jiixjirà la fin, ce à ([iioi il f;uit l'époiidre
en l'i-, et et' «liii ddiiiif la Nfisinii siii\ aiilf :
I',KI'0\>nK. r
ÎTRETTO FOURNI )
PAR LA REPONSE.
I,e>i lient' drniii'is Sujets ont les ni'(li)lises sillVUlite
s Il \\\ a qirnni' seule iniilatiDii an début;

1,1 K T.
~ CDiimie ()inir le précédent il iTv a

I J
(lie la iiiiitalitin A\\ di'-hiil :
SIMKT. il^j' l
,
<'
f
La seule iiiiitalion (jiie eom|((irt.' la Ké'ponse esl à la fin d.' la dernière mesure; *
^•:ï
\\ H (J'r 20404.
i-20
r- 1
^^frff La Kt'poiisé (If ce Sujet ne comporte

SIMKT. ''M.'uH' rrii rrif îi ([lie la iinif ni ion fin di'but ;
iKHONSK. p '^
'(" •'*•
i
r r r P
1
— I
smr. " de même Réj)onse est:

'-"'-^rpf^ i^[:lf^-^ 'st pour- felni-ci/loiit la
KKPONSK. ^W^ ^^ rz
etc.
SLJKT. 'J'^ (y 1 V \ ^1 V
"m
La première mesure commençant par la doininanle, il faut _v répondre par la toiii.]iie; la seconde
tant en ini, il Tant répondre en si:
!KPO\SK.
Ml
ic
r>s
g
("
y " I — i"
^
Une seule mutation

'''' -4^ ^^
r
~^' '^
cj^r r I
r
'^
r r
I
r crr [f f s'impose au début:
r
KKPO>SK. iSf--iT]i'M
La première niesun' contient deux mutations
SIMKT.
a) I 11
(|iii s'e\|)lujuenf facilement:
HKHO.NSK.
-
^
1^
W\'(^ f
,1
L 1
I
, , . 1
SI .11- T.
H^ Knfm pour ce (ierniei',une seule miitaliiiii ;iu début:
^ LlL£j'r-
l
^^'L££L^
KKPUNSK, le.
Je ne >Mis entré' dan^ aiu'un détail pour ces derniers sujets, tant les réponses s'nuposeiit d elles-mêmes,
.le \ ,11 s m ;un tenant donner plusieurs sujets dont la f i\,il ion de |;i ré^ponê offre certaines d li f eu liés: i
M.IKr. 1
, l'Il Mil. ^^ ,
,i'll si.
Ce Siiji't donne lieu à dnux mutations: celle île la jiremière mesure est facile et ne provoipii' aucune re.
marque; le point |)récis où doit commencer la si-eonde est discutable; en effet (die peut avoir lieu dans la
quatrième mesure. E\:
'>Vi,
p
H' i l^'l^'
f du 1'!''
au 2'.' temits de la .)'. sure. Ex:
^î^ f l^" ^^
H.Ji CV 20404.
\1\
Celtt> di-iivit'iiic vt-rsiiiii est admissfhlf. mais on doit domicr la pii'fi'reiK'p à la pioiiiièit', dont la loiir.
mire est \)\t\s éléâiili', plus fVanf he, plus tonale, pUis inélodiqiie. La rt'p(jnse sera donc-.
•""'
!
^!irr i
r'[x;ir^r~ i
[x;rMJT^
SI.IKT. «
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111 llll !>. Illnd": " ll.l>S.
ill-IJ"-!''.
TÎTJV.
-^^
Ce Sujet foniporte dmtx mutations: la preiiiièie !> i
,
'
t f \ \ ^ ne donne lieu à aucune ohser.
vutiun; la seconde pourrail à la rij;uiMii- avoir (jiialre interprétai kjus dif/éi-entes, ce (jui donnerait, à partir
de la quatrième mesure:
' C'-i'
'"i."i, \\
J'i'l^ \
f^{.
II. 'i:, p^r [pP ^s

^
[
,
III.
p-f
^^1
f=?
[;,P^|^')1
-1
^^ Ml enfin:
V. 'JHX |
;,
On dtiit ('N ideniuieiit fixer sun chuix sur la (imixii-im' on la froisii'mti', ciiiniiie ("tant d'une touriinre
plus mélodique. On reinar(|uera aussi en leur l.iveurque fe> d.ii\ NersKuis perinetteiil an canon ilii stretto
de se prolonger plus Idii^ temps .
2
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II
La réponse lo^Mqne, tonale, prolongeant pres(pie jusqu'à la fin le canon An stretto est celle-ci:
Cependant je préfère la suivante, dont la tournure est plus élé<jante, plus musicale; elle s'explique du
reste très hieii, car ou peut consid.'rer la deuxième et la troisième mesure du Sujet comme restant en mi l»,
Vln\ de la deuxième mesure n'étant .'ii réalité ipie la hrodt^rii' du si et iii' déterminanl pas à proprement
parler une mndnlat mn:
lil^;(M).\SK.
W.H. CT 20404.
1-2 -2
A propos ilii iiion\ e'iiMMit chroiiKil i(|ii(' qin' rt'iif'crnic I.) troiMrnu' rni'siir'i» (|i> ce Siijrt, on (iliscrv'i'.i q(
|()i's(|ii'iiin' miitatioii se prodiiil à an point ([udcoïKpic dn Sujet on se tioavi' nii nionvcnn'iil ihidin;)! nii
on (loi! n'ponilri' à ce inonvcnuMif par la ri'/ji'fitinn rir tu tnihni' iinti'. K\-.
SI .IKT. i;kpo\sk.
^ f=Sf f^ ^^M^^^^^^
SI. IKT. 1
•" ill t.i

^-"^ *'|lriiil...
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La inclllt'Urr lii'pun^c A'- rr Sujet e-t
liKt'ONSK.
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CepiMidaut la s.'conile mutation pourrait a\oir

oir lieu aj)rè> la troisième note
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'I; f^T fftl^---fi-H*
(le la (|iialrièine médire, ee ipii proiiuirait poiii -•elle ni. sure: fi ^ '^y I r
[
-^
| E
Pour terniinei-, il est n.'fessain- de coiisI.iIit ipie certains sujets, /o/7 rurcs rrullli'urs, ne j)eu\ent a.
voir leur n'|)ousc font'oi'iiio aux principes t'Iahlis. Je di)unerai coininî' e\i'uiple nn Sujet de M. (ievaert:
'>M- i
^y-^X j
t i r'rr'rri'f
f
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dont
niiisicali'
la seule rt'ponse
possdde est ;
5-1
E
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^'ii- ^t.. f ir^rr^^^rri^f ^^ r T r^n^

De nièllle pour le Sujet -|i|\;i||l: [p V^
Lj ^^ "^ 'f' "fli^ 11^ '^ fi fif'm ''h M 1 • «Il '''A

dont la Ki'poilse ne peut être ijiii
t\\ ^
^p|gr^r'iîr!r^prjif"rfiic-îr
car, SI on t'ait une uintatioii dans la jireiiiièi'e mesure, ou obtient le cimtour suivant,
que le ôilt et le sriis musical duivellt rejeter: i
Si au cuiitraire on t'ait une mntatiou dai is 1,1 se.'oilde iuesiir.-,|c C(ml '
Id « f P l l
if- ^^f fi f
^ f «T ^T T^ \
i \
<!J f
i'e>t pas nieilleiir,;i caii-e de l.i ri'pt'titioii m lOlloloile lies mêmes notes; -•"- — '
F ' »
Il est l'vidi'ut (pTavec des sujets aussi e\cep| Kiimels, |;i Fufîie d(iit se traiter eu Fll<lllii n't'llf'.
EXEHCICES.
Chercher les ri'ponses de sujets divers jus(pi';'i ce (pTdii soit liieii Cani 1 1 lar isé avec ce i;-enre de travail."
!T>'ii-i's ri ((uiN ci-iix qui sdlvrijiil, on IrniiviT;! un ^tmim) inuiilir.. i(c Siij.K ili' Kiisu'' •! I.i ('in 'In Voluiin'
H.«i C'.'' 20404.

i-.>:î
Le Contre -Sujet.
Vm ihl ijiif I.- i:<nitr>'.-Siij,'t ,•>[ im -.cou,! thèiii.- (jiii jifciiMp;!-;!;.' !. Sujet, (]iril doit rtn- .mi dimtr'--
}),,iii( (Inuht,- ,.| (|imI iI.uI .ivnir iiiir |.hwiun.uiM , r\ thiiiiijiU' .liltVM-.Mit.' .!, .'..H,. ,|,i Sujet. .Vm dit .ukm .|ii.>
|.- Siijrt |MMil .-II-.- a(c.)m|);iîi.'' par plnsit-urs Contre-Sujet-, mai- j,. f.Tai i-.iiiarqiier (Hi'uii s.miI Contre-Siii-t.
|ni,,|iiM ,.-! 1,11'ri eh..isi,|).Tine| (KiWiter ia monotonie, en laissant unr pla.e plus lar-e aii\ partii's lihres .1,.
Il Pu;;iir.
Li- (;nnli.--Su|rl ,loi|, |,,,|ir s'iinposiT avec plus d,. pi-,', 1-inn à l'attenlion dr rauditciii-, rouiuieuc.T a_
pii's l'atLiiph' tlii Siiji't .
[| ariuinpa;.,Mn- aiusi |;i iV^piMisi- l'I sntiit !.'s ni.'iiii-s niulal i.uis, aii\ us-nics ,.ndioi|s,s//,/ /i^,,/„,- ,.>7 /„//„/,..
'I •'-! I"'l' ''' '

hn-tlrr, dans la cnnsIriK tinn du Cnul ir-Sujrt , à II.' pas s'.dni-ni'l' du Sujet >\v plus ,\\wr
^'•'•1 ' '•!;'• •'Il" d'i'vil.T d.'v rr.jisi.nienls fr,:, pir m s, r| aussi p.Tiurll toutes dis|iosili,,ns
t d.' i-.- %..( al,.-, -ans
.MMpliMii _(:,pc!idaul le c-.iiliain' - . piati(pi.' f<iit soiiveul .'il vue d'un l'uil.Mir nu' lo.li.pir plus .'dé-ant.
Il laul alur-s ar-rau^'rr haliiLnirnl le- eioi-.Mneul s, de uiani."T.' à lais-cr au\ parties iuipor aiil es le relief
I
.pi'ejles d"l\eill ,l\(Mr, .Ml pr.llilre de- il i- po - i | i ( . ns ipl I .'^N it.Mll C.'s erni-iMU.'U!-.
'I arriN.' par|.;is ,pi,. |e «haue . iii..|i| de rn<,.|e eulraîu.' un.' I.'i;."'re iu.mIiI ical ion An C.uilr.'-Suj.'l.en rai_
-'III de cellaills ii|ler\alli - i|il'l| e-l Ixiil 'r.'\i|er.
Ni. ni d.s exellip!..- ,|e plll-ieUI- Suji't- a\.'. j.lll- ( ! . Ml I r e -S 1 1 p' t - el les miilalious d.- rvn\-(\J(irs(i>i'il
Il II liiii. Oiiel.pi.'- Siijels s. ml aeeiiiiipa-ih's de deux (iniii re-Su p'I s:
(:nMlii:-SI .IKT.
1-2
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SI .IKT.
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i;hm)^v.k
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M.(ï CI.'' 20404.

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20404.
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L.' Sii'ji'l '« |ii.'>s.ii(f niK- |»;irti«iil;iri(.' ati [xiint ilf vm- ()•• sou Coiitr.'-Sii ji'f t'ii iiiitnîii'.
( L r f f È ?
L;i tcniiiiKiiNoii (l.iiuifc (l<> ce Coiitri'-Stijcl ot: '
p l
0)(;,. CinlL-Si,,,! .) ,, i.-i r.'ympl.' .l'.ni r.M% . ^^,•l^.lll .I.- r.h. or.i .).• TV .iomniînle cf..,,! hi T i.nn..iit;il.' sfulem.'.it .'st l.r.'.|,.
H.^ C':- 20404.

12S
Selon If noiiibif df partios t>iii|ilov.'( s on selon i'harnioiiisntion (jm- l'on en voinJrait fan.', il pourrait
(••'vrlif les f'oniii's siiivaiilcs:
!;' FRAGMENT, r- c 'f ^ 'F r
2.' FRAGMENT. ^±!Q^^|JL!^j; ^ I r

l^jir
A ni'oj)os (lu snjft .")
cniploNt' en niajcni', il tant Cairi' rcniar(|nt'i' qnc le Contrc-Siiji't (|i'\r;iit ^nhir un
nioilif'i'-;i(inii ;i |;i fin i\i- l'i |)riMiiiiTi' nii'snri' s'il l'iail [ilac.' à la hassi-, ;i canse dr l;i
î'''
juste (jnii^n ivsiil
((rail. Mais s'il .-si |]|.ac('' dans mit' partie interin(''(liaire.,il n'est nulieiiieiil m'eessaire de le inodilier. K\-.
^
eâ
SI MK.r.
^^F Ê
M
P\liTIK
e^ l.lliliK
(:(t\TK-SIMKT.
^^"^k-rj I rr^
Des (^^s seinhlaldes à eeliii-ei doivent être traili's de l,i niiMiie iiianit"'re .
Le siije! 1) en ininenr [)rov(u|iie une li'i,'^(''re niodi f'ieat ion à la fin du (]ont re-Siijel
Kn effel, si lions coiisei-N on^ la foi-iiie du dont re-Sn jet ina|e(ir, nous avons:
n rNIHK-SI .IKJT
r
« f f
^ ^m m
St .IKI.
-^
m
ce i|iii est ;;in'he hamioniqniMUiMi t et ni.'iodiiiiienieiit. Il suffit de niodifiiM- ainsi |e ('.ont re-Snjet pour en
Iraiisfnrnier heiirenseiiient le contour int'lodi([iie et la tessiture harnioniipie :
§ p^F^ g
^^^m m ^
(Chercher les ConI re-Siijels de sujets divers jiis(|ii'à ce (|ne la main soit Iden assouplie à ce t rav ad .
\ni t. l/.'lè\e, avant (rétatilir les dont re-Siijet s an r(datif, doit consulter ici ce (pii est dit pins Iimi
)a;ie l.')."., siir |e> mndifient idHs (jiii' pi'Hl ]irii'ssiter Ir i-h(ituj<')n<-iit <li' ntixli- ihins crrldiiis sujefs.
\i.n cr 20 + 04.
1-J!)
La Coda.
Kn |)riii(i|)f, ri'iitr.'.' (!,• la Ht'poiis," doit avoir lim à la t «niilnaisoii mrm<' du Mij'rt; iiiai>-, li)rsr|iii'
ct-tti- liTiiiinais.iM ne |).'niiit pa^ r.Miln'e iinmi'-rlidtt^ dr h Ht'poii-^c daii^ une aiitr.' partie, (iii |)rol()iij;i
i\y i|iir|i]ii.'s iiotrs If Sujet, (!.• inaiiii'Tc à ain.Mirr cett.- .Miti-ér .|"iiii.' t'acnii iialiirfll.'.
I,a |>j<)|(iiij;ali(iii (J(i Sujet, ainsi preseiitt-e, preini ji- nom de iladu .
(lelle Coda peiil Nei'vir, soit dans son ens.'nildi-, soit nic-'in.' par liai;inenls, à foi'ni.'r des .'li'nuMit-
(il- dc'\ido|)[)enient pour les divertissements.
l>aits ce lint.il es| |)(Mi de Ini donner nne yj/*i/s»n/ioj»i/<' iliff'i'-rfHli- .li' celle .In Snjcl et t\\[ (ionlrr-
Sn.i-
EXEMPLES DE SUJETS AUXQUELS IL EST NECESSAIRE D'AJOUTER UNE CODA.
SI .IKT.
4 " '^? tr- \ i? ar^

rryfr F * ii f Hf I
'^'
k-' I ? i
ë^gS
l;KP(t\SK.
33=
f
FfSH^
^£
SI
^
.11: r.
^f^ r-rj^/cxir-i
COIIX.
^^
l!KI'(l\>K
H.iSi Cl; 20404.

130
EXEMPLES DE SUJETS AUXQUELS LA CODA EST INUTILE,
LA REPONSE POUVANT ENTRER SUR L TERWI N AIS ON DU SUJET.
—
H
"
:
.>
- = IT
liF.PONsK.
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1
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SI .IKT
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i
1
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1 ^ r r
If
)
^^ ^^
.IKI.
W^^^^&u ^^SPp HFI'n\sK
A ffi-t.iiii'^ Sujets pfniifttiiiil (11' l'niii' rfiilr«'f nniin'iliali' de l.i [{('puiisc, on |)<'nl (cpi-iiilaiil aidiitiT
mil' Coda, s'iit |M»iir ('\ilcr la fi'iuliti' de certains iiit ci'valle-, tels que la ô';', sdil pour avoir nue cii^|io.
sitioii Mieali' plus heureuse. |>ans ce ca,s, rnne on lanlre conilmiai'ôn, a\ec oii sans (;o(la,sonl ailniis-îliies,
liFlMlNsi;.
E\. sans (lod;

——
r^ 15 f-'
^=¥^Ê^
î .ii;i. COIIX.
^^^ È^
E\. avec Coda
3^ ^
liRiM)\SK.
Qu'il \ ail Coda on non, la He|)onse peut coniniencer à un point de la niesure. différent de celui on
a fo ni m en Cl' le Sujet ,
pourvu (pie la relation d<'- temps forts et di's temps (ai M es reste iMpiililwi'e d<' la
même manière . E\ :
i>, '; . 't
SI. IKT.
Ê
îFt'ONsK. ,
:^
h^J i Mûrrif i
i-r-"f=^ rT7l^r ^ r vf^^^'^-f -
EWMV.IV.VS.
(Ihi'rclier ilo Sujel- an\ipiels n\\v (ioda l'st m'cessaire, et \\ ajoutei
W.H C." 20404.

I.il
EXPOSITION
A\fi' l<'^ l'IiMiifiil^ |HiM('(l(iil-,: Siijif, Hi'pnnse. ('<jntr»i-S}tjiit. Codd, iloiit il \iciit ilVtii- parlr Idii^îitiMnil,
cl li'> fjdttli-s tihrrs. (Idiit le n'ili- -«r hoiiic, coiimif je lai iii'lifjiir pjii-^ haut, a (•(uii|)li'tir r( ciiiichir Ih.)!-
iiioiiii', on pi'iit f'taJilir («• (jin' jajijjflli-rai la paitif la plus iiiijjoi'faiitc di- IaKujiui', (•i-l-a-diri' I ExpoÛiatt.
J'ai (li'ja ilil. riaiis ji- }Han (iiH<'r<d, (|iii' I Kxôsilimi iii-lallc l'iiiti'iiKiil li-s T/n'-mes, <jirfllf .irlniiiiiic
If caiactrr-', ! i\lhiiif i-t ralliiit- p'iii'iali- de la Fugue.

l'ar IfN '•\iMii|)lf> a •!, ;j, et » jjartie> qui \unt --iiiMe, on Ncrra li'> divciso uiaiiirreN dr (iin>(iuiit'
ï' KxpositidU d iiiii- Fii;;iii'.
Il !•>{ plus uûid i-l plus ('li'ânl de lai^siT l'uleiidi'' dahord le Sujrl -cul cl de \u- produire le (icmlre-
Stijet ijui' -ui- la Ite'pDiise; cepeudaiit, a\ee eertaïus sujets dont il sei'ait dilïieile de dcteriiiiuer le eaiae-
tère ou II' CNthuie, nu eiieoif r"ir-i|M'()M euiploie plu-ieui--> (ioiit re - Su |r(-,. du pciit A'<-^ \i- di'liiil n((i.uipa;;niT
If Siiji'l jiar un (Joulii'-SujcI.
Ij EJCjHisHian de (oufe Fugue si- foiiipoM- eu suhslaure d.- 'i eiihees. eiileiidur- sncce-sisfnieul, <jui
sont: /'- Siiji.-f, il l{ifpons>i, l<: SiiJKt, l<i l{i'fp(jn.^<i, pivsenliies chai|ue fois dans une di-po-itum difïiTeulc.
llUMUe a drlIX paitU's.
Ou reiinirquera qu'à deux partie- le«, deux pieuiièles elltri'es; S/(/'7, Ut'punsi-, d(ji\eut èlce -epaiee-
des (Jeux autres par lui petit e'pisode pi'ruiettaul de prepaiei' la uouvelle rulrce du Sujet par la partie
(pii \ lent di' laiii' la llepoiise.
Ou reiuarqucra enciin' (pi'oii a toujours la l'aeulli' i\r luodiCicr la \aliur de la dernière note duSuirl.
selon li's (•oIlNeuailcr-, dr I cViilun-.
Dans une Fugiii' ii plu- de -2 partie-, riutroduetion ili' partie- lil>re- coinhiiu'e- asee \f Sujet el te
Contre-Sujet, pi'ul auM'iier de- harmoi;ie- qui -einMenl el qui -oui en dehors de la (oiialitt' inèuie du
Siijel. Kon seule ut il ne faut pa- le- rejeter, mai- il faut rechercher ces coinbiuai-oii-, (|ui doiineiil ilu
piquant et de rimprevu, lout en cousei\anl le- partie- <lu Sujet et du Ooulre-Sujet dan- toute leur iiileVr.dite'.
_il e-l iiiè hou de faire entrei', qiiainl on le p.-ul, la tèli' iUi Sujet -ur nue haii u'e eliau,i;ère à ce Sujet.
.reiitend- par e'trangèie l'harmonie .ipparteiiaiit aux ton- lelatifs, on /tant le résultat de chaugeiiieul de
mode, ou encore affectant la forme dacctu-d d'emprunt, et non rharinouie appaiteuant foiicièremeut aux
tons .'•lol-ues, dont l'emploi <l<Mt être proscrit tout-'- le- foi- <ju"ou f.iit entendre le Sujet.
Axant d'entrer dans le (l<uuaiue prati<pie, je rccominande au-si (/'«iw7<,'/' autant (jiu' possible Idl/m/Kr
(In Siijrf ou tir 1(1 iV.'ponsi' sur itit unisson.
A partir de la V. entri'e jusipi'à l;i fin de la Fugue, les parties qui font le Sujet, lalii'pouse ou le
Contre-Sujet peiixent prolonger leui- avant-deruit-re note, de inanii're à s'enchaîner a ce (jui suit -an-<ju"il
V ait coiH lusion.
FtanI doiiut' par exemple un Sujet 'ierminant ain-i:
">' J J J [ ^ .111 lieu i\r fa
^^S
Ê
I
I
il
cette
serait tri--
de prolonger de
manier
hc.
„„(^^ r. .
^
Cela e-t excellent et donne -ouveiit plus de cohé-ion et de souplesse aux eiichaineiueul- <le- diffe'-
rentes paities de la Fugue.

Il est de rappeler ((u'on doit s'effurcer de faire pnici'Mur d'\ni sil<;)i(n toute entrée
in<li-|)eusal)le
importante, telle Réponse, Contre-Sujel, Thème de dixertisseineut. L>e même, une partie
que: Sujet,
ni: doit si- taire (pie si (die peut rentrer d'une fa<;on intéressante par un dus Ihhmvti caructtristinWfs
di; il Fui/uc.
H. & &.' 20404.
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Expositions à 2 parties
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Kxpositions i\ 3 j)ai'ties
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|j;ir(|.'N ciili.- ht -cr.jri.lr .1 l.i Irui-ii'iii-- fiilr«'t', t'>l ici fa(iil(;i(ir.
La (li>))0-.i(inii <\i-^ |),ir(ifs |)crim'( i|iiil(|(i(lui^ d.- !. >ii|i))iiiiH'r. Ou l- \>-na |jar Ic^ (|,.(i\ i-\fiii))li'-. ijui
siii\t'iil, (liiiil l'un .(•iil('m<'iit cDiitii-iit (l'I r|)i-(ii!i'.
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Expositions à 4 parties
Il 111.' iv^t'- pi'ii (If (hd-f à (lire >u\- \i's Eap(isiti(j)ts à '« parties, tout ce qdi a »(•' dit pr.'rt'd.Miiiiitiit pon-
v.'itil truiiM'i- ici suii ;ij)plicalion. Lfs cxfiiipli's siToiil iii;uiitfu:iiit plus fjidfilahli'^ ({uc tmitc explicaliuii ii(iu\f||,-.
Il ot |Miuitaiit iiulispensabli' de îplalt| !.• cas où l'on ffiail t-iilfudi.- un (;oiitiv-Suji't au drhnt.t'lou
par ((iiis-'ijcriit, (lc''s la tb' iMitrt-e, ou aurait ."J partit-s. Il faut, dan> (< cas, (juc la tMitr<'f >! fass,. a
.'V. '.
par(it's, fl \un\ à trois coiunic la -i'." Ou aura soin sfuli'uu-ut di- luçnaj^cr uu sili'uci- daus la parti.' qui di'it
alors f'alii- t-uti-udrc la Hi'pousc.
l'uf dcruiî'rtri'niai(jut' sur la clef choisie par rauti'Ui- pour rxposcr suu Sujet, (it'iu'ialciiiful il \ luel
une iutcutioM, à luoiiis jjcut-ètri' qu'il ui- se ser\e de la clef d'ut 1'.', ou de la clef de soi. Mou a\is est
doue qui-, si l^. Sujet ..st donné eu clef d'ut .'{'., en clef diit V!, ou eu clef de fa, il est l.iiîtjue de ue rieu
chauêi- ,'t l'iuteutiou probable de Tauteur. et di- faire la 1'.'
entrée duSujet daus la ciel choisie par lui.
Il t;uiilrail, seluu moi, des raisons spéciales de disposition pour eii iiscr autieuieiit.
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LE DIVERTISSEMENT OU EPISODE
Lf DivtirlissuuitiHt ou Episadi; M-rt de lit'ii, <1«' chaiinm rude li's (liMM->es parties dr la Fiifîic; il i>t
foriiU' avt'C des fVaîiU'iit> tire» du Sujet, du ou dc^ (Contre-Sujets, de la (."oda, du NouAeau Sujet. a|iiès >-<iii euii--
sioii (si on eu introduit un), et même de rertaiuex parties libres qui auraient été euteudue>, (nml)iue<-> a\fc le
Sujet, si elles ont lui relief ijui pernielle d'eu tirer un parti heurru\.
Avec ces éléments habilement di^poM''>, un peut composer des diverti^êlnent^ duut fiiilrrèl doit è're tou-
jours croissant du début à la fin de la Kuiûe.
On peut prolon^rer le fra^nnent choi>i, à condition que le prulongenieiit soit dans le même caractère et
couÇj'U de manière a cousei'ver Inniti^ du style général de la Fu;;iie.
Les \aletir> du fragment choisi peuvent être mudifie'es en augmentation ou en diminiidou, jjar uJuuM'meiil
semblable ou contraiic.
Ou peut se servir de jjlnsit'Kr.s fiaf;nienls pour former n\\ Tithtnn de di\erli>sement. Il nV>t pa^ néces-
saire (lu'ils aient nn^ne origine; je \eu\ dire (pie Tuii peut èlre extrait du Sujet taiidi> (jifuii autre lest
la
du ()<Miti-e-Suje( OU de la (Cdda, etc.. mais il doivent se relier eii(re eii\ (l'une fa('on naturelle pniir ne for-
mer (^*'i<jt .wm/ thème dun contour mélodique sati'^faisaut.
La Irlt' (la Siiji't devant servir d^'lémeiit principal pour la c(»iisliii(li()ii do (liffe'reiils Stretl(j-', il '-1
ywi<f/c'J(/, ju-qu'à ce puint de la Fuîie, ilt' s'uhxhûir ((>i soii iîiijjloi flans b's ((ivnrtisst;tni;nts, afin de'siler
la monotonie résultant de la répétition de> mêmes fininules.
Les di\ertissement> d(ii\ent être coinbiiK's de iiiaiih're à ce (|iraucun ne se roseiiiMe et ne soit fait avec
les inême>< fraj;inents. Ils doivent au>>i être alterni's dans leur forme, d(Hit la composition est: intiUttioiis
entn- les différentes parties, tnk><hns (de coiirh' Aiwvv), couoiis di\evs,to)itre}Ji)ihts duuhlfsJrijAes, vlv,i'li\..
composer de plusieurs fi ai;nients superposés, qui, au moyen du renveisenieiit, se tout

l'n Divertissement peut se
entendre alternativement dans les diverses parties. Dans ce cas ralta(pie de la partie principale doit être
présenti'e en relief.
L'enchaînement d'uu divertissement avec reiiti(''e duiiSujelest d'autant plus heureux que le DiviulissumuHt sa
prulonf/ii sur c'.'ltii i-nfrer. surtout si une harmonie impré\ue eu est le résultat. La pratique de ce j)rocédé
dora êti'c recherche»' j);ir I l'iî've, birsipic b-, t'b'ineiits ibjiit il disposera le permettront. J'en donnerai plus
loin «les exemples.
On \oit, par les rcssmirces, ilmit on peut disp(jser, (|U(dle riihesse le divertissement amène dans la Fu^ne, quimd
il est traite' par une m.iin simple, habile, ini;('nieiise, au service dun sentiment musical délicat et diiii ;;(int sêir.
(l'e-l la partie de la Fiiûe oîi le C(iinpos|(enr peut montrer le plus dinveiiti(ni. puisque tous les ('léments en
sont laisse's à son libre choix. Il doit 'donc en faire l'objet de soins particuliers.
Les exemples suivants montreid.'il des fraj.^'-nieiits dans divers Sujets el (Conlre-Siijels. J.es pioloii-
choisis
•jt-nieMls sei'(mt mar(pies en pointilb- , et la manière possilile de faire le (b'Veloppeuieiit sera iudi(|U('e
eu plus petits caractères et sur d autres clefs.
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i-i's iuoiliil;ilroii. II,- ,t,ifiil qu.. /,„v„,,y,,,,s ,-1 .,!/. :. .-i.ir ,, I;, luiîlil-' .i.mi- I.mju.II.- cii v.-ul f.iin- nilniilr.- a iioiuimii !. Suj'I . :.il II''
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Fuûi', a préparer à lasauee tuiis les uiateriau\ duut il aura à >e >er\ir. Les avaut soiis ir-, yiw, il
(léteruiuiera plus faciieineiit la place '-ju'ils doixeiil oecuper, seluu leur iiiiporlauce eL liur caraetère, ij.iiis
le e(uirs (le la eompositiou.
EXERCICES.
l'oUl- nietde T/'lèxe à luèlUe de choisil-, a\ec la luaîtri-e (jui eoinieni, le^ ^/(«'(/ir.s de ,li\er(i->-e|neiil>
à extraire des ShJi-Is et (^()ii(j-i'- Sujt^fs, il est liiiii (|(rd se familiarise a\ee ri' lra\ad. l'niir rijajl |m udra
pour modèles les exemples précédents, eu s'exercaiit sur dilfeVents Sujets dullt il aura f'ail les ( JMl! le-Snjil s.
Je rapjjelle Ici (pie l'on pourra ejâleiiieiit extraire les iht'iiies de (iixei tissemeiits: (li;s Codas jli:;fi
ISoHVi'itnx sKJijls (après leur eiiiissioii facultative, ainsi (ju'il a e'té dit plus haut ) et (l>;s pnili'^s lihrrs
(pli aiirolll ••ti- entendues, colllhllli'es avec le Sillet.
Le ( hdix de ces .deiileuts n'est pas pllls difficile à faire (Jlle celui qui fait robjel spécial de cet
exercll'e. .le ii's reviendrai pas.
Exemples de Divertissements.
Ou Ment de \(iir les (deiiieiits (jiii peuvent servira fiiiiuer les diverlissemeiils; il s"a-il maiiileiianl
de 'es mettre eu (cuvre; dans ce hiit je vais montrer plusieurs exemples ou le divertisseim ut s,. ratl.ich>
a ce (jlll |U'ecede et a ce ijlll suit; ce sera, je peilse, (riiu eilsel^neUielil utile poUl' I td^ve.
A deux parties
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SOUS-CCVINANTE.
11. \ C: 20404.
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SUJET.
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CONTRE-SUJET.
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CIVERrl^bEME^T
RELIANT LA
bCL-S-DOWlNANTE
AU 2V OECRE
SUJET.
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CONTRE-SUJET, ^^^
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Fiu.l.' I.i K.|>. :hii irl.iliCni.ij.
CIVERIIbSEMENr
RELIANT Lf
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RELATIF MAJEUR
AU m CEGRE.
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11. A Cl.' JO-iO-f.

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EXEliClCES.
<-h(ii>ir <li'^ -nji'l-, m finie |c^ (;niilr,"-Mij,.U ,.t ^',.\.'rci'f à ((alilif des (livertissciiioiils piiiivjnit n-licr los
fli\<'|--t's [jMiiii's (rmii- Fii;;iit'; [),ir .•\fiii|)|c:
L'K\()OMli<m .1 1,1 C<mli-t'-K\|ii.sili(iii (;ui <m> uii Ton .mi viiiidr.iit (;iir.' iiiU', et' qui t'-| t(Piit-à-r;iil ImciiI-
hlllf cl iilrilH' i\^^c/ |)iMI llsit»';).
1>' K\(iiiîli'iii .111 iinidr rt'l;ilir.
La (liMitrc-K\|)(i-~ili<iii an iikhIc rclalil'.
l-i- iiiimIc irlatif ,111 V i\i''j,vl' l'I an -J', *i la Fn;ûi' i-^l m.-iji'Mr.'.
I..' V <\r^\<- an •_'', .'1 I.- -j .m V, sj la Fn;:ii.' <-( in.ij.Mir.-.
1,1' IllDilr ir|;illf ail 11' ,|,.-r('' .( ;i|l ',' ,

>i |.i F|ij;iii' csl m 1 IM'II n-.
I..'
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(|i'j;if .-ni V, •! Il' '» an si ja niiiiciiic
Ci' , Fiiiiiu- <'-l .
(.'.s cM'ici'i's (liUM'iil rtic l'ails à -J, .'!

l'I à '» partii'N, iimi- imi |iIii-. ;;raii(| iioinhic -.(iiis cflli' (Icrii h't''
tiiinic. Il i'»! l)nii r|,. lin,' i|ih' r.iidri' ad.iplt'' |)om- les lAiTcircs |ji('M'ôdi'nl> in' délri-iiiiin' [las cidui Ar la
ciiiislriirliiui dr 1,1 FnjîH'. {]<• siiiil, ('(iiiinii' ji' l'ai <lil [diis h. ml, dfs l'X'Tciii's is.dôs s.Tvaiil à lallachiM' les
dlICrrcilIrs pailles di' l.l CiiIlljKisilidii. l'nrdri" dans li'(|llrl les i|i\cis éléllleiits d(ii\eiil elfe présentés est indigné
d,iiis le Phiii (j'Hi-riil . X\ ajiiiilerai plus lard (jiiel(jiie>i rfiiiarunes.
DES MODIFICATIONS QUE PEUT NECESSITER LE CHANGEYENT DE MODE DANS CERTAINS SUJETS.
Il ,llll\e que |.irs.|ii"(in M'iil f;iire eiileildre le snjel ;iil relatif llllllfllr on lll.'ljenr dll (<ni elalill fselmi (|lle
le sii|,.| (.>! daii~ le| (lit li'l iiMnlei, un est (iiie| , mel'ois eill ha r iMsse, sdit jiarce (jne |,i i'e|)r()diiel inn ex.icle de
eerlailis y)(/.v.M((/e.s I h ra 111 1 1 i i jil i s eii|é\e tmil senlinielil ré-el dll llKide, suit eiiciire que eerl ;i 1 Iles antres re-
jiriHliicl iiMis e\;ic(es liiiniiiMil lien a di's m | er\ ailes lin |ieii à|ires irasjM'i'l et d iiiliin;iliiii), lui lui'ii alta-
dl-se||| |.. iMiitiiiii' ii|i.|ii,(|i|iie il II ciiiilextlire h.arillnn |i|iie.
I.es e\eiii|)l,s que j,- \,i|s niellie soiis les \eii\, iihiii I l'eriMil ela reilieiil
I ei' qui' |e\eii\ e\|i(is,.|-.
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si j'en s|i|,|ir|nie ! in..ll\ei|i,.|ll (ll|i>lli:il iqiie InLal .lails le llKidi' in.ljeiir, je lin ell|e\e liiill.. s;| jiliVsKiili
une |.| luiile s;i s:i\ enr. l:\:
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• 2114114
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Viiici niîiiiilt'iuuil ilciiv «iijfN ilmil l:i l<'niiiii:ii>-<>ii est seiiihlahle:
I'diii- le I
" lit' i-c^ viijcis, fil «iiii^crvaiil le iiloiiv' u ^ *
hi-iiitiatiijiii', "fi olititMil iui\ ili'iix dfniièr»'* iiifsnii'-^:
l,f rt' '' l'^l -i ra|)|irorhi'' du rc H^ (I.iik la (liTiiirr»' iiit'-nit> (|iril |»aiail dilTicilc d'i'ii idaccr rnii|i
• iciii, ijindl'- tjH»> siiil rhai'iiirtriK» ac('<Mii|)ai;Mantt'.
La vpr>riMi qui iiif paraîl la iiU'illciire est donc: [hj 1;
An ('niiliaiif, daii^ le -•'coiid di' <••- xijfts, la diuôo du la

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[x'iil |ifriiii'llri> une hannoiii-ialniii de ii:
tint' à rii etfaiiT riiii|)rc^>i(>ii, cl par <'iiiist''(ji!.'iil de «•nii-.iTvcr an ^njil >.a vraie |ih\>inii(.iiHe daii^ li repio
dnrtinii en majeur. La M'i-înii >iii\aiile e>l donc Irè-, adiiii-îlde jj.nir la dernière iiie-^nre:
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or>k4^ - , tii<'n qn'dit ()iii-«e éâlemeiil iiiler- ^^-^
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On \nil de iKMiM'aii ici la jdace (|ue le jimlt et le -eutiment iiiii-ieal tii>imeii| dans ee-. éindr-..
I>i-. dilTicnlle-. d'anlre iialure peiixeiil -e |)r*»êuter ; K\:
l,a MTîoM (•"•elle |)(inr la re|»iMdnetl.iu en uiiiieiir de h .V ineîire -craii;

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nilfr\al|e avant nue (.italii" à|iret.., nn |)eiil ra<lnni-ir pii rein|daeaiit le ~,A i |.ar le ^..| ;. ce (jin di
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niiiin»' v^-i'-ion pr^terahlc :
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lit l.'Aiil.iir A,- < -iij.-l. M"" cil, l..ii-|A.u. |,ri'l.T.- .-.Iti- Hniivir *.i-n ii.
II. '< ^:^: ioini.

KnI'ili !>' -iMi'l -^lUN.-iiil:
(Immi' ciiiiiUK' n'|)i<i'lti(lii)ii ;iii n-lnti*' m.nfiii' gi^Xt-T Vrrnr^n^rrrr.fr«^r |
Ail inriiii.'i- ;il)iii(l.i'llr [i.ir.ul iiii |ii'ii riii;ricii»i' d un .•-! tciili'' .t;ii|o|i(.'r In \i'r«.i<iii 5:ît ^##ef ,.„..
Ili;il^ nll I ildl^lH' Mll^^lt ('il, ;"i ciiKi" «11- -:i l'aili'iir iiii.H i-c, iioiir rt'MMiir à la I""''
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rjiii -"iiii|)u>.M-a raillant inii'iix i|ii'i'lli' îmm hanii(iiil-ir«' d'mn' faron >.iil)>taiit icil»».
(tu il.\ia, Jii r.'-|r, iDiiimiis jui'Iimit la ri'|iriilii(i iuii cuiwfrvaiit les iiilcrNailr^ caiarli'ri^t i(|ii"'-. ilc la
(iMiallIi', Idlltr^ |i'^ (.11- (in'il -ciM |ins>i[)|i- (le J" hailllini IsiT il'lllii' l'aroii illli'ri-s>,aill <•, i ll^t'll irii-.'. mki
|,|.> et l-ilialr.
(.'i- f\riii|i|t- -iilTiviiil aiii|i|c'iiii'ril |)niir i|(ri.:;cT IV'li''\f daii^ <li'> cas surnlaicfs.
Iti' iiiriih' (]iic> V F.rjiDsiliiih .-l -.''ii.iric du Imi iidalit' |iar un />/(v/-/'ns»'»»»('/«/, dr nn'nn' aiNî d'an-
li.'- (li\iili--.ruiriiU d.MMiil i<iiiliiin' aii\ di'iix dciiLKTi's l'-nii — Hms dn xnji'l dans les d<'ii\ anln'-. lun-
rrlthC-. A '•' |irMjHi-, y ia|i|ii||.' .iir^m jhmiI -iijmnnn'r niti' Ar co iIimin •'•mi-- khi- . An en- nu l'dn ri'-
l'ait lia- «'rtlr -ii|i|ii>-«hin ri Ml! \\^[\ N.nl l'iir.' .•nli'iiln' !« -n|i-| i(nns li-s ili'itx diTnii'i». luiis n'Ialalils,!!!!-
dii' i\<- rrlt.' .'nii--H.ii iiii|H'rti' ()'u l'I ••-I larnllal il'.
,(, ia|.|,. Il,' an--i i|ii'- la dmi !•" !• rnii-si,iu <ln >.ii|i| avant L- Sti'i'Ito [n'ul ni' pas l'tn' :irc(>iM|ia^n(M' du
(iiMil 1
.' -ii|i I . I..- |iaili.-. ac<'(,in|)ai.'nanlr-. n.' iluivcnt |ia- dans c- ca- rtiT d<' -iin|)li's [lai'lics de l'.'in-
(di--ai:r; niai- i\\,'~. d.'iMiil an (Miilrairc «'tri- •rnprnnlt'i-s pac l.'ur ('urnu' •'! leur nthiiK- a di-s parti-'-
lihi'f- I iitri .•--anl'- d.-|a rnti'iidih'- .
Il , ,| |,.,-s|ld'-, ri nii. |i|iir(Mi- l'un rv'rllml rlïct, daiw ni),' Fiiifiif in<ijri(ri\ di' l'air.' cnt.'ndri' I»'
Suji t an intiil'- iiiiicur ilinil . .Mai- irla im- priil -r |)i'i»duiri' ln'iiri'iisfmi'nl (|u'iiniiit'diatt'iii<'nl a\aiil IcSlrt'l-
1... Uni- cr ra-, I.' -nj.'! r-l -iii\i il'un Dix ni i

— .nii'iil paiToiiraiil raciiltaf i\>'Mit'iit les Innalili's i'i'lali\<'- di- c'
niiii.'iir rlirrct. r| almiil i--aiil an M|in- ^nr la iloiniiianl.' |n-.''ci'danl |r Sti-rlt... |,a frntirr dan- Ir i l inaji'iir
,|r- |r il.'liiii dnSli'.ll" ar.jninl ain-i imr -avi'ur a|i[)r('rialdt'.
.\'(in- aiiivdii- Ml |Hiiiil dr la Kii.mir on Ion- I.'- .''I.'in.'iits M'iil s,, iii.'dr.- .'ii (.'ms re dr la in.Tni<Mt' qm- j.-
dirai ('.< point -'apprlj,' .S7c»'//,.,- il .-I /jc'm/ic' /ni(/.,i/r.s pn-c.'.!.'- d'un r.'po- sin- la doininanl.-,- i'.- l'.'po-
n"r-l pi.nilaiil pa- dlili-aloirr, ri il r-| .|.'- Kn^'îir- rioni I.' .V/-,'/^( s'«'Uchaùir dic'r'lHuiiMil a\ rc cr .|iii prccrdr.
(l.'.'Irvr \,.na du i-r-lr par Ir- .'Nciiiplr- <|ni -rroiit donnr- plu- tai'd, les divri-.- cuiul'iiiai-on- pii peuvent
-r ni r-riii,'!- ). Tiir l'.'datr dr duiniiiaiitr |.cn( rlif iiilioduil»' immédiat. 'iiK'iit avant Pallaipi.' «in -licito; il r-t
yj/"/;'/://)/.' ilaii- (-• <a- d.- la fair-' courir, à mom- .pir Ir- prop.Mlion- d.- la Kii-n.- n-' p.'rin.'it.'iit d.-
lui l'inii'T d.'- dinirii-ioii- pin- rl.'iiilnr-.
II. )< Cl.' '211404.

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Le Stretto et la Pédale
L<' Slri'ffn c-l, (•(.iniiii' je l'iii ilil dans Ir l'Iiin (jrui'rdl, l.i |>;ir1ii' de l;i Pni;iii' nù le-, rlruM'iiU les plu-
iiitt'iT^^Miil^ ^f (ioiiiifiit [iiiiir ;uii-i 'liri' n'iidcz-N nii^ |Miiir>.t- condi'ii'î'r, -(' rt'iinir, m- si'rrrr.
Le Sli'-lln [ii-iijjieirii'nt di! i-^f fiiniié d'un (ji)i(}ii ilf lu Itr/jDiisi- all.inl sans iiii sur li- Sitjfl , \l\:
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OiMdi[iii't'.ii> .-iii-»!, îiiMi^ r:irciiiHiil, li's d'Mi\ (•uriitiiiiaiîiii» >iiiil |)r;i( ir.-ibics, K\;
CANCN COMMENÇANT
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FAR LE SU-ET.
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LE MEME COIVINtENCANr
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PAR LA «ÉPCNSE.
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ET SE CONTINUANT
JLSOU'A LA riN. fs
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~ ;iii .•,.ii|r..ir.- n'. .1 ! mm mI p'iiiM' |i.irll--
îit I iî lit JMrtt;' >>h)ti> tii> i.-m'um-: .r.iiili.- Mi,l I 1„ .l'.'ir.- .. mI' uii-.|i.
..I .X. „,.!.-.

II. *< C'y -20404
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COMMENÇANT PAR
AUTRE CANON
LE SUJET,
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SOUTENU FAR UNE BASSE
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ET UNE HARMONIE
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OBLIGATOIRES.
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COMMENÇANT PAR
LE MEME.
ET S'ARRÉTANT AU MILIEU
CE LA :r
LA REPONSE.
MESURE.
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(.1' ilrriiH'i- Snji'l ((iiiiitiiilf ;iii-î un (" mon ;'i l's* <|(ii peiil f'i;;uii'r il;iiis Irs l'iinihiiiai^nris di- rcii^.'tiililc ilii ^lirl-
(d; je II' iiHiiilii' ni roiiuiii' |),iiti(iil.iriti' ;~i iini(<'i' huili'^ |i'-> loi^ ([iic h'^ iiii)tit'-,(|ni'U ijn'iU ^(iicmiI,»\ [(rr-lcnnil; K\:
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ep 1^ ï3t
CANON A l" h*
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M.I.
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I..I iiliih.iil ili'> -n|''l- ir.'ciili' ( ini|Miili'iit I-'- riHiiiii-. |iln-, un inimi-. |ii(i|ipnj.;i"> il.iiw le i;i'iiii' ilf cciiv <|ni' ihhin
M 11. .Il- .II' \(iir, iii.ii' jiiiiiripdh-ini'iit iriix <!•' In r<'it<iïisi- si' i dnihinnul sniis mi sur /«- stijt'I.. lU cuiuijorlciit
iiii— I |)ri'>(|ii.' tiMi|.iiii- l.i jiiissifiilitr r|.' f-iii-c (!.•< i'iilr''i's à di-, [joniN dif li'nMils, -i' j)ro|()n^(':tiil plu-^ on iiiniiis
|i;ir niiiiucnicnt -<'niM;iM'' <mi c.intr.-iiii', su il en cuii-iTV.iiil li'^ viilcnr-, -Miit fii l.'s aiii;iiiciil;inl odeii li"^ iliinniniinl.Ex;
SI JKT
!•" STRETTE. ( K.'im.m-- mm- !. S,p|.i)
M. Xi C'.'' 20404.
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r STRETTE. (v.TM;,l,l, ,1 ,„„ U. M.,HH,M.)
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STRETTE_Mi, i'.-.l.,|.' ,!r ,|,,n,l" (Si.JH |.:m ,l,.,nvrM,.nl rnnl, ;n. . Mir !, S(,|r| lui-n.rnir)
'.' STRETTE- M,r |',,|,,l,. ,], Tm„|,,,m- (KmI,/. - |_Jn~ , ..(.(.ruHi.'r^)
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I.,. ,|,, ,1,. I,, ,r„.Mii.' |,i/ .'.I.Ml.- .<! r,.,i-i.).T.'' ."iniii.' •...iilri.u -ur • I'
r ten.),- > r.lnnl.nil l.'
W.H C'y 20404.

/*;'.
STRETTE i K„iir.- |
,,,|,ror' lit „:n- I;. li/'M.,,,-,.)
(]<• -uiit (11-, l'iitn'-i's 11' ce ^l'iii'i' (jiii rnrmriil l'ii .:;i;ui(it' |):ti'tii' ce (|iroii i'nI ((iiiNfiiii ilf ilcî^ricr
^M||~ II' nom i;tMlrial dr S/f'/fii.
On iii' |)ri-()ra jamais ilr vin- (]iii' les i|i\t'r-<'s (•un l)iiiais(Mi-> il(ii\t'iit T'In- [ji't'-MMitt'o «li- inaiiitTi-
à t'vcitfr un inlrri^l Imijunr^ cruissnnl
La [Mi'niirri' t'iitriM-, ([ni se f'ail avec le siijt't, poiil l'trc (iii nmi acc(iin|)a^ni<'!' d'un (lU de |ilu-ifuis ,\v^-
«111^ -(• rattachant à i -• ipii |ii('ci'(|c,ct dunl un au UKiin^ dnit >c |)i'ii|unj;('i- >()n- la -fCDudi- cnti-cc, E\:
I LA PREMIERE ENTREE OU SUJET N'ETANT PAS ACCOMPAGNEE.
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DEBUT DU STRETTO. liH'
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DEBUT DU STRETTO
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1 LE DEBUT DU STRETTO ETANT ACCOMPAGNE D'UN DESSIN SE RATTACHANT A CE OUI PRECEDE.
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st'iisalKiii (Vint:- iioiivi'lli' r.rfiiisilinii , i'\ clic (luil >.c |)ro(liiiic sur itiic iKilr i/ii tnoiiis aupailciianl cii_
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|i<iiii ain-i iliic.x iiinir :.nhiliiiii (/ < nul uni ih' '-iil rc In iiiirlii' i^m jjrnjjd^f </ irlli- ijui lui rfjidiul.
I'"iii r\|]i'i:iicr ma p. n». c |i:ii' un.- ri;:iiic,|c , lirai ijin' c'c-l iiiic iliiihn' dniil l"ii>. /es ,niiir:ni.r >.! Ii'-nin'ul .
l'ar II- c\''ni]il'-- dr -Irclln-. imiiii|i|cU i|iii -nix iniil . lui \ créa '[ii.' Ir^ eut iV^c-, , fa ilc- t(iii|niii's cii ( iiiicii_
r:iii| par la |èlc .la Siijcl , i|c l;i 1|.'|i(mi-c ! iiièiiic ijii (Iniiti-c^-nji.l , duiil on |irnl aii--i -c -.'rvir |m. ni' l'aire dc^
-I r.-ili-.. (i|i \cna , .|i--|r. iple ce- entiie-, -e siirr,-(lriil ai si- i'i//iji t'ifliil lit ./ iD-'j k'h c' ijll'dn jirndaisi- Ir \,'
fl/illilr C'Uliiii ihiSlIfl ri il,- lit H.-i,niisr , {], c.winn |ielll -e f'ailV en (leh'M-- i|e |;i r,'<|a|e un -lirla l'e<l:iie lllcllli'.
Il \a -an- dire qn,- d;ni- h, ni re|;i,|e (:.,n!i'c--nie| jieiil clie ;iji|),|é a juner -.ni rc'l.'.Miil ni -er\anl.i'niiiii,e
je M, II- de le due. a f,,nii'-r d.'- Sli , Itu- , s,,i t en accinn|)aen,iiil |e ^n|ll dii la |{e|ii.ii-e.eiilieremenl imi par
t'ra.nu'iit- ,
l.e- p;irtie- lil,ic> (/"(?;( /-'//ç/' SI///7 s^//f / , la Coda cl an--i le .N..ii\c;iii- -njet <doiit [. pari. rai pin- loin I
> il \ .-Il a !i!i-. ton- I e- .|.'-ineiil- pr.-niienl pari ii

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action. -,• r(Mini--enl .
-. ni.'l.'iil .
-.• con r.nid.nt . i\<- iiku
iiii-rc ;t prodiiiia- un int.'ia't cio|,,,iiil cl c|i:i Iciir-aix (pu atliic et retienne' I alleiitioi/.
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Us (lii'tVmites .Mitivfs .ioiit il vifiit SvUo ,,arl,: tir s.- MM'c.~vl,.nt pa^ (onidd.-, sans iiil.MTii|)(io,i;i'ilc> -ont
MiUM'iit l'rlit't'» par dr roiifls (lixcrlissciiiciit^.
Avec te- •.iij.t^ (|iii II.. ^.)U|||i.^^^rlt |)a> (!. rarK.iiJ.' Niretio //< j),'ul si- r(,i„f)(>sHr(fii,- ic'.'s
f/ '.'/(/
, qn.'
rm-.Miiu>i|.- (lu roiii|.,)Mlciii' |)ai\iriit a iiilindiiin. Âon qii.' la fnnnr iiirlo,|i([M,. Mijft
,|ii Ir |HTiiifl.
EXEMPLE UN SUJET NE
DONNANT DES ENTREES
LIEU 0L)"4
POUR FORMER LE STRETTO.
iJt'iiln'c la plus •joiîn'.' M-
,ii('(liiira aiiiî , ;i la V iiii'>iin-.
rin- l'iilr.'f il iiin- li.'s <-,,iiiti'
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»iiuullai;i-nii'iit -nr !• *up'l cl tm lui-r un tniil haiTMiiiiiipii' tft'-. »ali>lai>anl .
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II. M i;'; 2'ai)i.

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Ndiis ;urlv(»ii> ;i 1.1 Pt'(liil<\ nmi celli- diiiit j'.'ii dJ-jà |)arlr,([iii |)*'iit |);irfiii> |)rt'(<'«l<'i- iimm'Mli.ilc'iiiciit
le Stictto , iii:ii> ('•lli' «[iii m r.iil |i;ifti(' iii(t''j;iaiit(' , ijiii i-xislc dans |)n's(jii(' (oiitcs l<'s ("iii;iu'-- <!' c'cnlf ,
i|iii aiMjiiii'i-t Ici mil' iîaiidc iiii|i()rtaiici' |)ar les coiiilimaixms aii\([(iellfs t'Ilf sert di' l)a-r ,«'l ([iii |)n'_
naïf piiiii' aiiiM dire la (•iiiicliisinii de la Kii|;!h'.
Kllc i>'|)(i-f tdiii'Miis siir la dniiiiiiaiitc un mii' la turiiqik', (HudtJiU't'ois sur l«'s deux alli'iiialixi'iiH'iil .
,[ ,'-{ (ilac.v à la ha-M'.
Sur cili- ix'inriit -(' di'rocdci' ({>• iiomhrfiiM'N >'l divciso cuiii liiiiaiMiii^ drjit iiulii|iii'r-, daii-> le l'Iaii
^•iMTal, mai- cjii'il n'ol |HMit-èlif pa^ iiiiililt' df raj)|ii'li'r : (Itinnn (In Suji'l »'/ id' la H'-jumsi' Jiuilit-
I iiiiis ,c/ni>)ns ///(•''/>. t'Ii'.
I.' ii|)|)iirtMiiiti' df riiii|jl<ii ili> l'i'dalfs t'>t lai-«>i'<' ;i la libre iiiiliativc du (loiiipoMteiir ; je iriii>i«-leia
d.'iii |ia^ îir fi' point , îiioa jnuir due cjne m roii l'ait dt'iix l'edales daii> le Sti'etio, e'e>t celle de /'////.
ijiii- ijiii diMl être la srcunili' et (jiii d(iit,>iii(»ii tii(il-;i- t'ait leniiiiier la Kiiiîie , mai'» être irrs fir/'s dr sn
iiiin'lioidii . -ir ciiii-eilli-rai ( e|ieiidaiit , an ca> on I un aurait fait axant le Strello une IN'dale de duniinanlc
'/(//( ci'ilititi (li'r<'lii/,i,<'itii'iil . i\i- lie laire ensuite (ju'liue l*i'dale de tiMiH|Ue,
('.!• n'c^l (|ue ilai!^ Il- ca^ uii la l'édale iiréc/'ilaiit le Stretio -eiail Ins cof/c^' , «jn'dii •ii |)(iiirivnt faire
n;ii' »ec(Hlde |ilus di''\ l'jdjip.'e ail enlirs dllStl'etlo.
I'",ii t'iiil ca-.il l'aiil éviter raliii-.et ue |ia^ en faire trui^ dan- la même Fiij;ue.;i nu. in- (|ne celle huî.e
n'ait de- |iitij)iiitnni- <(iiixi(l>'riifilr^ ,
Il e-t urgent de dire ici que, dan- le Stretln , et |(rinei|iale;neiil -iii' la IVdale.la lilieiii' d'i'crilnre de_
\ieiit jilu- grande, e| (jiie le- (I i^sni\i- /nii(tiiinfNl<ifi; (d (fniitiitdiil'' [)eu\enl -e |iiati_
i|u>r vf/z/s pi-i'/j/irul Idii ,>i\il'u\\ si i-lli-s fui'orii^tîil l'i-iiiphii h<i(i''iix l'I siniulliiin- (h'^ niuli/'s sa/7 _
laiil> ili- t'i hiniu'-.
Ile niênie aii--i , -ni- la l'édale, de- modulation- oloiiinee- |ien\ent ((ii»'lqiief<ii- être i)r(''-eulées a\cc
t)onheiir |iar inii- mari halulf.
Il faut eiicoi-e faire o|i-er\er qu'il e-l |iarfoi- d'un evce'llent el'fi'l de terminer une Kn^ne mineure en
iiio,|,. majeur, i. c-t nu raNoii de -ojeil t'clairanl la fin dune (envie i|iii a [m paraîlre liiu;;tem|i- j^ri-eit
-oiiilire.
Kntin.-l le -ll.l'l -v |ili-(i',d |irllt èlrelre- hon de |ire-i'nler la lermiliai-oll dune Kllj;ue eu I urillc
de C.li'iriil ; cIh donne aloi- un -eiilimciit de ^raudiiir el i{r nia|c-li' <|iii eoiivieiil fort lueii a leilain-
-iij.-l-.
Mai- i(uid!i' (|ue -oil la foiiip' adi/pli'i- pour la (diicln-iou . d la lihcrli- de- harimuii.'- cm|i|ov .'•(-, "/( /c-
ilnil •Il diKiiii <'!> s'ri(irl>-i- ilii .-'///'' e/ (//( cd r<l< h' I '' iji'ii>'rdl <!< Id (Imti/ioxil Kdi
De- Slrelto- lie diffc'rent carat K'n-, ijoniM'- inainlenanl comme e\ein|de-, moulreronl mieu\ i|iie je ne -an.
rai-lc dire connu. -ni doil .'ir.' ordoiiiit'.' celle iiarli.- .I.' la Kui;ne.
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Stretto d'une Fiiffue réelle à 2 voix,
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17-2
et 1 Contre- sujet.
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et 1 Contre-sujet.
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Stietto d'une Fug-iib du ton à 4 parties
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lerai éâl»Miu'nl <li-. /jdrtii's //7>r»'.s , .Idiit on a iJn \-v>l<' dt-ja mi .'I apprécié' l'emploi , et de la Pi-dali'
^Kixîrifitri' on inh-rii'ui''.
Le Nouveau Sujet.
Qnand on veut doniiei- a la Knj;ue nn intérêt p!ii>. \arié', pins fantaisiste , <in (jnarid le sujt-t se prête
insnffi-annneiil aii\ di'veloppenients nécessaii'es , on peni alors faii-e itiler\enir nn nouveau ihi-ine , dont
le rùle est de -.ervir ;i enrichir les coiiiliiiiaisuns futures.
(;e noiueaii thi'nie prend le nom de: ISdUVi'dii ûji-t. il doit a\oir un contour diflV'ieiit liii premier,
être accompagne d'un (Contre-sujet, le tout se prêtant il des développements de nature à >e coiii|)iiier
avec le> éléments du l'/Snjet et quelquefois du 1'.'''

(loutre-Sujet . (le Nouveau Sujet fait son a[)paritioM
(iidiiiairenient apiés le Sujet an rtdatif mineur ou majeur, on bien il prend la place de la deriiièiv é.
mission du jSnjet avant le Slretto.
Kn tout cas il doit reparaître dans li' Strello et se mélanjêr activement aii\ dillireiils épisodes dont
celni-ci est COin|)Osé'.
L exemple sniv.iiil suffira pour inontrer le parti (juV)!! petit tirer de ce nouvel élément . .le prends la
Fiiûe a I entrée même dn Noiivean Sujet . apri's le relatif mineur, en evposani pourtant tout d'aliord le
Sujet et le (]niiti-e-Siijet , af m de pouvoir se rendre coni[)to du melaiij;e de> différents thèmes.
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Les parties libres.
l..'s partii-s libres soiit de di-ti\ sortes: celles dont la physionomie est stiJTisaniiiieiit oararlérisoe pour
ix.inoir servir h des développemeiils (on l'a déjà vu daiis les exemples précédents), ef celles dont le rAle
niod.'st.'. mais iilile.se horiie -i celui de |)arties de rempli>sa};e, destinées a compli-ler rharnionie.
Il M\ a pas antre chose a en dire, sinon U ,.|i conseiller l'emploi jiidieieiix.
La Pédale supérieure ou iiitérieuie.
Il peut \ avoir, puiir une /»>'s conrli-
(lu III'. ,\r^ l'e'dali's -.upiTieiire-. (III in _ ]\ •\. Ml[)'>' iR' itiiiii.
teiitiires. Kl!.'- -r t'oiit toujours sur la W

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(|iir| un l'si an niuiii.Mil oii ello >e pro_ ^ (liMiiii'e ciiin ne
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diii-riit .,.| lie doivi'iil i-dv .'(raii^,'.|,.^ an\ f
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ICI, (jn"';! litif (le riiriiiMli'.
Il ni' rôle jiliN, [Kiiir riiiii|j|t''lrr I iiishiictiiin dr l'/'IrM' , i|ii'à iiii'ttic soii^ srs \|.ii\ (U-^ Kn^îns i],' (livt;i-s
cai'aclrri''^ à i', .'!

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La Fiiîic à '( \ni\ ir|)ii'-.cii(aiit II' l\)i'' \f |ilu-> inli'n'^saiit ft .le rnn|ilni le plus iVi'qticiit, se (l'oiixr ici
cil [ilii^ ijraiiil Diiiiihrc
Kii-iiitc uni; à 5, une à (>, une à 7 et iiiie a s mux iininti-cidiil la iiKiiiièic i]o disposer, de coiiduiie el de
di''\clii|i|)er la c(im[)i\silliin a\ei' im |/lii^ i;rand nmnlire de partie>.
Enfin plii-ieniN Knîie^ d"i'lè\i's, avant i-eiiipiuti' le I"' prix an (iniiservatoire. coiiijilèlerdnt ce \olnme.
Klles feront \iiir à pen pct'-», !.• iii\eaii (pTil f'anl atlemdre pciiu- nnriter cette rer(!inpeiiê
I'lli>---e If |jr(-MMlt tra\ail aider le-, i'|è\e> -.Indicnx dans cette t'tllde dlnicile e| ipiehpiefdis aride, (l'est
ninii di'sir et ce serait nia joie. _ (Ju'ils lU' se nhnteiit pas; ils trnmeront certainement une lar;;e et artisti.
ipie compensation à leurs efforts, et liiirs (riivi'-s J'nturfs si' rrssfuil iront il.' hi tudîtrisi- ipCils duronl
iifijtiisi' .
Remarque sur la Fugue à 2 et à 3 Parties.
I,a Futile a '1 et a .'!

partie-, doit avoir la même ordonn.-uice générale ijne celle à 'i parties, mais offrant
mollis de ressources , elle dilfere (orce'ment dans certains détails. _ |*ar exemple, en raison clii peu di' diver.
siti' qifil est po>s|(i|,. (Tapporlir clin- le- di\erl isscnn'nîs, j.i (loutre Kxposition \ e-t pins soiueiit iisil('e ,
deven.int elle-même lin licinent de \arii'té. I>"aiitre part on lui donne fja'm'ralenieiit une exteii-ion moins dé.
\(luppee, les divers artifices dont elle se compo-e ne pon\;int pii'-eiiter le même intt'rèt que dans la Kiijîie
à 4 parties.
Au contraire de ce <pii -e pratique dans celle-ci, il ifv a jamais de -ÏV'd;ile daiis la Fui;iie à :; par-
tu--,et as-e/ rar-'iiii'iit dans celle à trois, rh;irmonie étant alors ré'dnile à deux voix.
('e s,, lit du re-te 1rs srnlr- dltTiTellccs à si;.;naler, mais || , |,iil utile tie les cou-tater.
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Cuiilri'-Suji l, al'iri l'.r iiuiiitr<T à IVI''m' ii' (jarli ijn'oii (jvul lir.r lio ti-, l'i .1;; uiiils diM-rs.
Il «ir.iil fuîli-, -i l'on v.uil.iil l'rrirc uuv Vu-^nv moins J.\..|.j|,|„.V, rj.-l,,ii. un i-liiiix (jiiniii I1-. i-li-nii'uN ! ni mj peut disposer,
On r('iii;ii'ijui'ni iiu»-i l'iiilriMlucdun d'une nuim lli' (i;;uii' ifi-NlIni .• :'i i(onni- d.' I.i varie!.'' el du rninu.nirnl !i la i(nn(,..>rl i..n.
Ijiuili-ur iTyil doue (I cspiri', .(n'<iiu>i orcVenl' • tt comljim'i-, ci-lli' Fuf;ij , lu.il^ri' ses îirporlions, ne ter:iit p;is l'pioiuei ^c r.iiiditeur une in
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ntil.Miii l>'v V prix (l;iii- |r- cd iif OU l's du Cuii>fi'\;itoir.'; lunl ir.-ilioril cfllr <jiii lui ,i \;iln ;i lin-iiir-iin' f>'[[''
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a!iti'rif>iii'e, li'ois aiitr't's, rhoi-if- dan- '.- di\ d'i'iin'rt'H aiiiMM'-; ri imiI'iii iiih' Fiii;ii>' (11111^11-. ((iniiMi' Ira.
\ail d- ria».- par M' .f. MoïKjii.'t -n Is!»:*,.
(].•- div.-rs travaiiv s,M0iit,il m.' -.iiilil.-, d-- doiiiiiM'iit- iiit.'i'.'--ant- )M)iir l'.'ltnf,(jMi |)niM ra aiii-i asoir
di-s points (Ji; fMjinparaison of -i> r>Midr-t' oiiiiiplf du niveau actcitd df- i'tnd«'-.
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Fug-ue du Ton à 4 Voix et 2 Contre-Sujets.

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\(JT.4. Ct'tt.' Fii{:ui- Ut; f'li:ure' j);in dans la colt.'ction di's Fiiîu.'s (!•> I" prix du Coiiservatdire qiit' [mis.
st-d.' la Bilili()th«"'<|iit', lr iiiamisiTit oi'if;iiial ii'avaiit [hi ètr»; rctroiivi-, ainsi (jn'il est arrivé ass»»/ souM'iit à
rt'tti' i'|Mi(|n''. _.rai pu r.u il^MHiit la riTonstihicr à l'ai(î> di- noti's l'pai-sos on Inrfnt» de hroiiilloii pris.>s an
cravon li' j'Hir du ((Jiirunis
Cfs ii()t»'s otai'Mit siilfiMiiiiMKMit f(iin|il>'ti's pour iiif pt-rnu-ttro d>' f'aii'i- fettf n-constitiilinn Htins snti
l'tdf infi'i/ral. J'ai pomlani du inliTpi't'ti'f qti.dqin's ciidi-dits (fort pt'ii), qui t'taiiMit efïaci's on niampiaiiMil
(!•• (iarti- dans Ifs [)riMiillons. _ Il .'st dmu' possildf qu'il si' tiouvc iri qinihjnes dilït-rHiircs (tuais toiit-à-
JUit i)tsi(inif'i(tnli's) de nolfs cntif <•.•((»' Fuj^m- ft 1»' nianiisci'it prôsciit»? au concours de 1.S57.
SUJET Q-AUBEfl.
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SUJET D AWBROISE THOWAS

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Fugue du Tou à 4 voix

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GEORGES CAUSSADE*. élève de .Ml" TH. DLUOIS
SUJET DE M: CAMILLE SAINT-SAENS
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Fuorué du Ton à 4 voix

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PECH, élève de M': Cil. I.KNKI'V Kl

SUJET 0£ M, TH. DUBOIS
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SUJET QE W. TH. DUBOIS.
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•,;iii-c> ;i ItMiiH .itiiil.'-,. ji' licmii'' ii'i (Ui chuix ib' TIh'iih'S mi C.lniutf^ dnuni's |)oi'r !r (:.>iili-rjM)iiil . - I (!>•
Siii<-I> ''<• Fiiifid'.- Il- amnat .liii-i -oii- la itiaiii ton- lf> maltTiaiiv «Iniit lU jiniiiiaicMit avuir Ih-im'i _
l'ariiii 11'- Suj<'t-. (iiii ont s.>i\i aux ('.omnii rs du C.niisrrvtildii'- ri :}n\ Cdiicdiirs d i-ssui pnur (• <iiiiiiil
/*»•(./• dr liiiinc, l'ai choi-i rru\ (|iif j'ai ciii 1-- [ilii- -:iHllaiit-< fl li'- plii'^ carattiTi^lMitirs, al'iii ih- n'uï
tVir a l'i'Ii'M^ <lii.' i|i'- l'I.'iiitMil- (!.' Iia\ail dnnl il piii-^c tii-.T nu |iiut'il ci'iiaiii .'"
Thèmes ou Chants donnes pour servir aux

exercices de Contrepoint
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lier li's li-\tf-, Mii\;iiits de CIIKIUIUM; ils s. ml tii's |)it>ii coiiihirii-s .•! hiiilii Iju'l «laiis |i' st\|i'i]iil <i)ii\ i.iil
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Basses pour le Contrepoint li 8 })ai*ties

et à deux chœurs.
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Sujets donnés aux Concours d'essai pour

le Grand Prix de Rome.
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Sujets composés par l' Auteur de cet ouvrasre.
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UNIVERSITY OF TORONTO LIBRARY
MT Dubois, Thidore
59 Traitl de conterpoint et
D8 de fiogue
Music
V:,-,î

Traité de Contrepoint Et Fugue - Theodore Dubois

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r-^ PARTIE. — CONTREPOINT SIMPLE

4"= PARTIE. — FUGUE

PRIX NET : 25 FRANCS

CONTREPOINT FLEURI A 8 PARTIES ET A 2 CHŒURS 69

6° Imitation par contretemps 79

IMITATIONS A PLUS DE DEUX PARTIES

Divertissements à trois parties 149

Remarque sur la Fugue à 2 et à 3 parties 190

Thèmes ou chants donnés pour servir aux exercices de Contrepoint 280

Il peul paraître superflu de pul)lier un Traité de Contrepoint et de Fugue; je le croyais moi-

et libre, type architectural de toute belle composition.

sont plutôt de nature à faire perdre le sentiment musical qu'à le développer.

valeurs ou tels ou tels accords.

Quant à la Fugue, je tâcherai d'en expliquer le mécanisme et la belle ordonnance de manière

de la collaboration dévouée, m'a prêtée dans l'accomplissement de ce long et

Kèi^'lcs i^t Instr'uetions genéi-ales

s'appliquant à toutes les espèces de Contrepoint,

r.-(S('j/(»'iif, ainsi (|ih' le /

li'Kia rriivi'rsrtiii'iitsi^:\n( le ":>'

rrs(diitioii .—(Uu'ii i]ni' rcrtainc- c>|ic(\'>< d>' 7"* ccnf'crnicnt m .">

(VIOUVEYENTS ' ' '

partie Miperienrc. AA et aiN-i d,nis \'i'itili(iùu'itii'nl du V (tu .'i' di'

•- dcn\ ileriiicr- arcui'd--.

M'iisihlr iiKinlf il la l(iiiii|iii';

m- jii>-lit'u'rait (jd'uii fit ilc^ (''IikJi's daii'^ ici ordre d idi'i's.

seinlilahie , -.oit jKir iiioii\eiiienl contraire.

spi'ciale^ -.l'ont données pour ehaijlle e-pèce.

deux (llllllle- on de dei|\ oefaSe-^.

f'illl'' (l'IM/e li'illlilillidil .

les tantes de T.'' ^ iiU li'S^";

II. «( c'y -icti'ii.

oî'drra aillant iju'"!! le [loiirra j)iir (li'ijn's cmijoiitts .

t indaiiMiieiil aiiN deux parties extrêmes;

de 'i'' iimimmliù- i)\\ de ."")''

iiassai;t's descendants elle ne de-cende iV un di'i/ri'.

[lailio iiiif toiiriiiii'' [ilii- iiu'liiilii|iU';

un,,.. >/.,•> |,ar r.-|,;r..

UK'.stn'cs, >iiiiiii à la I'" il a la (iiTiiu'-ii-

l'Ii'c de ((iKili- (htif'i' v\ <'iih|di)Vi's avfc l'rsi'iM'.

des esl nsil.'e.

iiiin ('i'i>f'ii({iiitt ({iiiis l'i iiii-inii'ii'.

.\ distame de ••'Ce ra|)|)oil de notes n'a |>as irinconvénienl

>iii iiiclo(ll(iiit' et le icloiir tViMjiU'iil (lc> rrirriics foi'iiiiilcs ;

'^^^^^^ ,l,,„ninnil<-. lors(|iie le ehanl ne se lrnn\e pas a la hasse.

II. u cl' 21(40+

r" espèce Note contre note.

i"_ La 1'" iiii'>iii>' (luil rire en rdii-umiaïui' jiaitaili' (."> "

iHf lii>|) nicoiii|i|Mi'.

lin r<ii>f)(irl <tf ô''.

II. «»;'. 20411+

ainsi de thJ'nie ii (J CDnihiiKiisDiif^ d i(f>-rrnlcs ^()\\ .

EXEMPLE COIVIPLET 0"UN CONTREPOINT DE CETTE ESPÈCE

/ <> —o <> o — r-«—

II. fi <;'. ^11404.

2'""'Espèce_Deux notes contre ime.

et la dcruit'it' en S"' ou i-u unisson.

^'(lul |r> t'iiiinulcs de l'aNanl dcinii'r-f nn'surc-.

T) _ Les :.' '

noie de jiassa^e sur un temps t'aible; -J

V Par Mionvement conliaiie -.nr le lemp- l'aibli-.