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Sommaire

Introduction
I. Définition
II. Les différents
types de
motivation
III. Les différentes
phases de théories
de motivation
IV. Les facteurs de
motivation
V. Conclusion
Introduction
Le terme soumis à notre étude est : La
Motivation.
Elle est dérivée du verbe motiver
provenant du latin movere qui signifie
se mouvoir, se bouger, s’agiter, se
révolter. De nos jours nous constatons
que la motivation intervienne dans
plusieurs domaines, cela est un
élément essentiel pour faire le
développement et la réalisation de
l’être humain.
Il s’agira ici de donner la définition, les
types de motivation les théories de
motivation, les facteurs de motivation
pour accomplir notre tâche.
I. Définition
Motivation, ensemble
des facteurs dynamiques
qui orientent l’action
d’un individu vers un but
donné, qui détermine sa
conduite et provoquent
chez lui un
comportement donné ou
modifient le schéma de
son comportement
présent.

II. Les différents


types de
motivation
Les comportements des individus en milieu
scolaire, notamment ceux des apprenants,
peuvent s’expliquer par le degré de
motivation de ces derniers à accomplir des
activités pédagogiques. Mais qu’est-ce qui
motivent réellement les élèves à
s’impliquer dans leur réussite scolaire?
D’après la théorie de l’autodétermination
développée par Déci et Ryan en (2002), les
comportements des élèves s’expliquent par
des raisons qui sont à la base de leur
motivation. Ces motivations peuvent être
internes ou externes.
À la base et de façon innée, tout individu,
selon ce que soutiennent Déci et
Ryan (2002), cherche à satisfaire trois types
fondamentaux de besoins psychologiques :
 Les besoins de compétence;
 Les besoins d’autonomie;
 Les besoins d’affiliation (de relation
avec autrui).
Dans leur théorie d’autodétermination,
Déci et Ryan (2002) distinguent trois
principaux types de motivation :
 La motivation intrinsèque;
 La motivation extrinsèque;
 La motivation.
La motivation est dite intrinsèque lorsque
l’individu s’engage de façon volontaire et
spontanée dans une activité en raison de
l’intérêt et du plaisir qu’il trouve à
effectuer celle-ci, sans aucune récompense
externe. Par exemple, un élève qui
s’engage dans la résolution de problèmes
parce qu’il aime les mathématiques fait
preuve de motivation intrinsèque,
considérée comme le plus haut niveau
d’autodétermination.
 La motivation extrinsèque, quant à
elle, renvoie à la pratique d’une activité
effectuée non en raison du plaisir
qu’elle procure, mais pour des raisons
souvent externes ou des motifs
instrumentaux (ex. : punition,
récompense, pression sociale,
obtention de l’approbation d’une tierce
personne). La motivation extrinsèque se
divise en quatre sous-catégories :
 La régulation externe
 La régulation introjectée;
 La régulation identifiée;
 La régulation intégrée.
Les élèves font preuve de motivation
extrinsèque par régulation
externe lorsqu’ils s’impliquent dans leurs
études en y étant obligés par leurs parents
ou lorsqu’ils attendent une récompense de
leur travail.
Les apprenants qui s’engagent dans une
activité parce qu’ils ressentent une
pression interne de culpabilité ou de honte
s’ils ne le font pas manifestent quant à eux
une motivation extrinsèque par régulation
introjectée.
 La motivation extrinsèque par
régulation identifiée concerne les
élèves qui s’engagent, par exemple,
dans l’équipe de soccer de l’école en
sachant que leur participation aux
compétitions scolaires peut les préparer
à la carrière sportive dont il rêve.
Quant à la motivation par régulation
intégrée, elle renvoie à l’implication des
apprenants dans une activité quand celle-ci
correspond à leurs valeurs et est cohérente
avec le concept de soi de ces élèves.
 Enfin, en ce qui concerne la
motivation, Deci et Ryan (2002) la
définissent comme l’absence de
motivation. Elle constitue le niveau le
plus bas d’autodétermination. Les
élèves qui font preuve de motivation
s’engagent dans les activités sans trop
connaître la raison de leur implication
et sans trop savoir ce que celle-ci leur
apporte en retour.
Pour Deci et Ryan (1985), la motivation
intrinsèque ne s’oppose pas à la motivation
extrinsèque. Ils proposent plutôt de les
considérer dans un continuum où les
niveaux de motivation intrinsèque, de
motivation extrinsèque (externe,
introjectée, identifiée) et de motivation
fluctuent selon le degré
d’autodétermination et le sentiment de
compétence auto révélé de l’individu.

I. Les théories de
motivation

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