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Questions posées:
- Frein vapeur hydrofuge : qu’est ce que c’est ? dans quel cas on l’utilise ? 2
propositions
- Quel traitement on utilise pour la brique contre le gel ?
- Expliquer le daylight oralement.
- Quelle est la méthode utilisée pour contrôler l’isolation en chantier ? et à
quel moment ? -> thermographie infrarouge. Plus les infrarouges sont
présentes plus les t° sont élevées. Ce contrôle doit être effectué alors qu’il
y a encore modification de la paroi.
- « Un pare vapeur est-il un pare air ? » ou « un pare air est-il un pare
vapeur ?-> il faut faire des recherches sur les molécules d’air, apparemment
il y en a des plus petites pour la vapeur etc
- Qu’est-ce qu’un frein vapeur hygrovariable intelligent ? : c’est un frein
vapeur qui s’adapte à l’air environnant (qui se ferme en hiver et s’ouvre en
été).
- Comment raccorder le pare vapeur au châssis ? avec un tape.
- Montrer une image du cours etc
- Image thermographie
TP 1
Thermographie pour voir si tout est bien isolé (avec une caméra thermique):
A gauche isolé car les couleurs sont foncées (noir/bleu) et donc pas de chaleur ne sort, à
l’inverse en couleur ça montre la chaleur qui sort dehors.
Attention à gauche on remarque qu’il n’a pas fait de raccord entre le toit et les murs et au
seuil des fenêtres), c’est un pont thermique linéaire ! Càd que tous les Watts partent.
Un infrarouge montre le rayonnement.
TP 2 – Avec Aline Branders
Toujours avoir une isolation la plus continue possible ! -> continuité de l’isolant.
1) Vérifier que l’on n’a pas de risque de condensation : faire apparaitre la ligne de 12°, il
faut que cette ligne ne se rapproche pas trop de l’intérieur du bâtiment (sinon c’est
un signe de condensation). Pourquoi 12° ? Diagramme de Molier à comprendre !
(19min), le diagramme montre une quantité d’eau par rapport à une quantité d’air.
On voit les courbes en bleu d’humidité (flux d’humidité) -> on prend 12° car on est à
20° avec 60% d’humidité relative quand on est à l’intérieur.
Température de rosé à 12°. ! : là où on atteint 100% d’humidité relative : l’air n’est plus
capable de contenir une plus grande quantité d’humidité.
1) Il n’y a pas de bonne valeur Psy : la comparaison peut se faire qu’entre détails
similaires suivant le même code de mesurage -> les valeurs de U sont calculées
partout de la même façon mais le code de mesurage peut varier !
2) + LA VALEUR PSY EST GRANDE+ IL Y A DE DÉPERDITION THERMIQUE
3) Facteur de t° : pas nécessaire de chercher à atteindre la valeur psy la plus faible
possible, mais bien de veiller à ce que le pont thermique ne provoque pas de
problème de condensation. Une des méthodes fréquemment utilisées est de
déterminer le facteur de t° au point le + froid de la surface intérieure provoqué par le
pont thermique.
Le facteur de t° doit être inférieur à 0,7 sinon risque de condensation et moisissures.
Pourquoi 0.7 ? car on prendre comme données :
12° point le plus froid surface intérieure
20° t° intérieure conventionnelle
= 12-(-10) = 0.73
20-(-10)
FACTEUR DE CONDENSATION DOIT ETRE À 0.7 ET JE SUIS A 0.9.
PEB :
Méthodes de PEB conformes :
1) Assurer la continuité de l’isolant.
L’épaisseur de contact (d contact) pour une paroi.
Pour les châssis :
- Châssis sans coupure thermique (1ère et 2è image) : minimum la moitié du châssis
doit être en contact avec l’isolant)
- Châssis avec coupure thermique (3è image) (isolant dans sa composition) : la
coupure thermique doit totalement être en contact avec l’isolant
2) Règle de l’interposition d’éléments isolants : ce n’est pas un isolant mais doit être un
élément qui est + isolant qui s’interpose (béton ou verre cellulaire + isolant que le
béton classique)
Dans le détail ici il n’y a pas de dépassement au-dessus du bardage mais justement
un écart.
Pont thermique ponctuel (Xi) au niveau des fixations, escaliers, volets etc.
Unité W/K
TP 3 – Moreno Vacca
A quoi ça sert ?
Il va mesurer combien d’air rentre (si blowdertest =1 pour 300m2)
La moyenne des bâtiments en Belgique c’est 7,8 volumes par heure.
QUESTION D’EXAM
Qu’est-ce que montre la thermographie ?
On voit un peu de fuite d’air, de froid (en bleu), ils ont peut-être isolé par l’intérieur
mais ils ont mal fait le raccord.
Avec le Blowdertest et la thermographie on remarque d’autres infos :
L’air qui entre est accentué (dû au raccord mal fait), mais il montre aussi qu’il y a un
pare vapeur (entouré en rouge) qui n’ets pas collé le long de la poutre en bois, du
coup ça baille, donc l’air froid de l’extérieur entre dans la zone chaude. Du coup de la
moisissure va arriver sur le bois parce qu’il y aura de la condensation.
Ici on sait que le plâtre est étanche à l’air, et que le béton aussi, mais le raccord entre
les 2 n’est pas étanche à l’air.
QUESTION D’EXAMEN : Comment prévenir ça ? Il suffirait de mettre une membrane
(tape) qui va relier le béton et derrière le plâtre (derrière la plinte).
Normes européennes
Les portes : Ils ont mis un tape sur le châssis. Les voiles (dalles) sont étanches à l’air.
Utilise un parement en bois qui a été mis sur une construction en béton. C’est du bois rétifié
= fait pour être à l’extérieur (bois belge auquel on a fait un traitement naturel : soit des bains
qui imprègnent le bois et ferment légèrement sa porosité ou le « thermout » et on cuit le
bois et presque brulé pour fermer les pores. A l’intérieur c’est du silico calcaire ->
typiquement belge (c’est rapide, assemblé et collé et il suffit de lisser). L’étanchéité est faite
par une peinture sur les coins. Les façades contre la rue sont plâtrées.
L’isolation intégrée.
Le problème avec ça c’est que l’isolation va être interrompue par la structure. (voir schéma
en fond). Il faut mettre un tape collant pour faire une membrane en atteinte pour les mettre
en raccord.
Type de détail demandé (pare vapeur en rouge) -> continuité de l’étanchéité et l’isolation.
TP 4
Continuité de l’étancheité
Quand on utilise du CLT, c’est comme du béton : on a des pré mur et des pré dalles. Ici on
travaille + en table frame. On vient mettre une colle (rectangle bleu) ce qui va rendre la
masse complètement étanche à l’air MAIS PAS le raccord !! Du coup il faut rajouter un tape
(rectangle bleu) et par la suite on rajoute le bardage.
Et pareil pour le sol, avec une dalle en béton. On a une membrane (caoutchouc ou plastique
dur n°4, ce qui fait que si il y a de l’humidité qui remonte elle sera pas aspirée par le bois
(remontées capillaires). Sur lequel on rajoute une membrane d’étanchéité n°5.
L’avantage avec le CLT c’est que c’est comme le béton : c’est étanche à l’air ! Il y a que les
raccords à gérer et le châssis !
A gauche le problème et a droite comment résoudre.
le mur rideau.
Mettre un profil choc (coupure thermique)
Ancienne question d’exam
On voit la traverse horizontale
Mais on voit qu’il manque de l’isolant !
TP 5
Il faut à l’intérieur de l’isolant un pare vapeur, pour empêcher la vapeur d’aller d’une zone
chaude vers une zone de + en + froide où ça va condenser.
il faut 2 continuité différentes
L’eau est un gaz à l’état vapeur est invisible (et donc cest D)
Mais quand on le voit ce n’est plus de la vapeur c’est de la condensation ! (A)
On ne sait pas quantifier les molécules de vapeur d’eau car il y en a bcp trop. Comme on ne
sait pas les compter on mesure le gaz avec un appareil qui mesure la pression (le bar)
Pour que ces molécules se maintiennent dans l’air il faut une certaine quantité d’énergie, ce
qui veut dire une certaine quantité de chaleur, donc + il fait froid + les molécules se
condensent, se lient, et devient de l’eau.
Il y a un maximum de quantité de vapeur d’eau que peut contenir l’air qui s’appelle la
pression de vapeur de saturation, au-delà ca condense. (voir le diagramme de Mollier) -> 46
minutes point de rosé
On produit de la vapeur d’eau et celle-ci veut aller dehors et s’échappe par des fuites ou des
murs (porosité de la matière), et parfois en été ca s’inverse (les molécules veulent entrer)
Utiliser des pare vapeur que l’on met dans la matière : ça bloque les molécules de vapeur
d’eau et donc il y en a très peu qui passent. Mais il y a aussi des pare vapeurs complètement
fermés ou il n’y a rien qui passe.
Il y a les frein vapeur :
Les freins vapeurs intelligents : une certaine période de l’année ils sont très ouverts et la
vapeur sort et se referme (dès qu’il y a de la chaleur s’ouvre et quand il gèle se referme). Ils
sont donc variables. C’est variasion c’est le mu . Le mu c’est la résistance qu’a un matériau
à laisser passer la vapeur d’eau. + le mu est élevé, + il bloque la vapeur d’eau. + il est bas + il
laisse passer la vapeur. Son unité est le mètre.
(de haut en bas : celui qui laisse le + passer la vapeur au moins)
Moisissure / champignons :
- Humidité
- 15/17°
- Nourriture
Donc : augmenter la t°
Pour prévenir :
- Mettre de l’isolant
- Couper le pont thermique
-
En Belgique on met le pare vapeur coté intérieur car il y a bcp de molécules à l’intérieur et en
dehors il y en a pas bcp une bonne partie de l’année.
Mais en été c’est l’inverse ! risque de condensation d’été (pas en Belgique mais dans les pays
tropicaux : donc la bas le pare vapeur est en extérieur)/
Il y a une règle : l’élément à l’intérieur doit être le + fermé à la vapeur d’eau et + on sort + les
éléments s’ouvrent (le mu d intérieur est 5 a 6x + élevé qu’a l’extérieur)
Autre humidité : la capillarité (remonté d’eau absorbé verticalement), s’exprime en combien
d’eau est absorbé par m2 par demi seconde, et ca dépend de la porosité du matériau.
Pour le mesurer on a :
A) la pique de Karsten (Méthode Karsten)
C’est une pique qu’on colle contre le mur (par exemple en brique) et on verse de l’eau. Et on
mesure combien d’eau est absorbé entre la 5e et la 15è minute. Donc l’eau va descendre, et
là où ça s’arrête on dit combien d’eau reste -> on met l’info dans un excel ça nous donnera le
facteur A
Pores larges : absorbe bcp d’eau.
En 2h le béton n’absorbe quasi pas d’eau, tandis qu’une brique absorbe 15x + d’eau. C’est
pourquoi on met une membrane, de la pierre, etc.
Mais ça va ternir, pourquoi ? C’est parce qu’on isole par l’intérieur et donc on modifie le
comportement hydrothermique du matériau.
Il existe donc une méthode statique, la méthode de Glaser.
Il y a aussi un programme « Wufi » qui fait un calcule dynamique du comportement de la
paroi. Ou il y a aussi le programme Isolin, etc.
C) Les hygromètres
On 2 picots qu’on vient planter dans le matériau et ilnous donne le % d’humidité qu’il y a
dans celui-ci
Quand on vient ajouter de l’isolant à l’intérieur il faut retirer le plâtre, bois etc (don décaper)
jusqu’à arriver à la brique : sinon moisissures. Mais le problème c’est en hiver la brique va
absorber et gonfler (contrairement au béton moins poreux). Et donc la nuit va faire que le
rayonnement de nuit rend l’air un peu plus froid, et donc la t° de paroi va descendre, et
transformer l’eau en cristaux de glace dans les pores et des morceaux de murs peuvent
tomber !
Il faut donc mettre un produit hydrofuge incolore (a base de silane/ siloxane) qui va fermer
les pores mais qui reste respirant (perspirant) et qui laisse passer la vapeur. Son coefficient A
devient comme du béton.
TP 6
Une fois que l’hydrofuge est entré dans la masse il ne bouge plus !!
Le matériau était hydrophile et devient hydrophobe : on fait un test de « wettability » et on
voit que l’eau perle ! c’est indispensable quand on isole par l’intérieur.
C’est aussi comme ça qu’on traite les bâtiments historiques.
CONCLUSION
TOUT EST UNE QUESTION DE CLIMAT
(COURS 6 50MIN)
(lire slides)
TP 7
(lire slides)
TP 8
TP 9
Façade orienté nord peut avoir du soleil direct !
Le soleil se lève entre 16° et 62°
Au nord on est – éclairé mais c’est + uniforme
Une fenêtre haute c’est efficace pour un plan de travail (ou bureau ?)
Hauteur de fenêtre si est trop haute et devant un bureau => regarder si il y a un risque
d’éblouissement
Pour obtenir un éclairage plus uniforme il faut favoriser l’éclairage multilatérale ou les
ouvertures zénithales.
Attention ! ne pas confondre la transmission lumineuse (entrée de lumière) et le coefficient
de transmission thermique !