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 Equation du bilan hydrique: Ri  Ri 1  P  Ir  Rc  R  D  ETM

• Zones arides et semi arides Rc 0 ; Ri= k*RFU avec k  1


• En Posant: Pe= P-(D+R)  Ri  Ri 1  Pe  Ir  ETM

k: fraction de la RFU disponible ; ; Rc: Remontée capillaire ; Ir: Irrigation ;


D: Drainage ; P: pluie totale ; Pe: Pluie efficace

 Expression des besoins en eau nets d’irrigation (Bn = Ir)

Bn  ETM  Pe  Ri  ET0 * kc  Pe  Ri

Si Bn  0  Pas de déficit hydrique (la plante peut touj ours utiliser l' eau du sol)
Si Bn  0  Déficit hydrique (le sol manque d' eau)

Dans le cas du:


suivi et pilotage de l’irrigation, le facteur Ri du sol est pris en considération.
Bn  ETM  Pe  Ri

projet d’équipement en installation d’irrigation , on considéré que le sol est sec


Ri= 0 Bn  ETM  Pe
La pluie efficace, Pe , représente la fraction des précipitations qui est
effectivement utilisée par la culture après déduction des pertes par
ruissellement de surface et par percolation profonde. Différentes méthodes
ont ainsi été développées, chacune prenant en compte le climat de la
région où doivent s'effectuer les mesures.

- La première formule propose un pourcentage fixe :


Pe = A*Pmoy dans laquelle A est une fraction donnée par l'utilisateur.
En général, A est compris entre 0.6 et 0.9.

- La deuxième formule a été développée à partir de données provenant


de zones arides et semi-arides :
Pe = 0.6 * Pmoy - 10 pour Pmoy < 70 mm/mois
Pe = 0.8 * Pmoy- 25 pour Pmoy> 70 mm/mois
- La troisième formule a été mise au point par le département américain
de l'agriculture (USDA) :
Pe= Pmoy* (1 - 0.2 * Pmoy/ 125) pour Pmoy < 250 mm/mois
Pe= 125 + 0.1 * Pmoy pour Pmoy > 250 mm/mois
 Expression des besoins en eau bruts d’irrigation (Bb)
Bn
Bb  Ef: Efficience d’irrigation
Ef
Vu Vp
Volume d’eau utile Volume d’eau prélevé
(utilisé par les racines) de la ressource

Vt
Volume d’eau délivré Vu Vt Vu
Ef p  Ef r  Ef g   Ef p * Ef r
en tête de la parcelle Vt Vp Vp
Efp: Efficience à la parcelle (%) ; Efr: Efficience du réseau (%)
Efficience d’irrigation Efg: Efficience globale (%)
EXEMPLE DE CALCULS DES BESOINS EN EAU D'IRRIGATION (1 culture)
POUR L’ÉLABORATION D’UN PROJET D’IRRIGATION
Nov. Déc. Janvier Février Mars Avril Mai Juin Juillet Août Sept. Octobre

N jours 30 30 30 30 30 30 30 30 30 30 30 30
P (mm/mois) 28 33 28 29 32 31 15 7 2 3 10 21
T max (°C) 21 18 18 20 22 24 32 31 36 36 32 27
T min (°C) 10 7 7 8 10 12 19.8 17 20 20 18 15
T moy (°C) 15.50 12.50 12.50 14.00 16.00 18.00 25.90 24.00 28.00 28.00 25.00 21.00
P (%) 24.00 23.00 24.00 25.00 27.00 29.00 31.00 32.00 31.00 30.00 28.00 26.00
Pe (mm/mois) 6.80 9.80 6.80 7.40 9.20 8.60 0.00 0.00 0.00 0.00 0.00 2.60
ET0 (mm/j) 3.63 3.16 3.30 3.61 4.15 4.72 6.17 6.09 6.47 6.26 5.46 4.59
ET0
108.94 94.88 99.00 108.30 124.42 141.64 185.20 182.78 194.18 187.92 163.80 137.75
(mm/mois)
Kc/ 0,35 0,55 0,75 0,75 0,75 0,75 1,08 0,8 0,45
ETc (mm/j) 1,27 1,74 2,47 2,71 3,11 3,54 6,66 4,87 2,91
ETc(mm/mois) 38,1 52,2 74,1 81,3 93,3 106,2 199,8 146,1 87,3
Bn (mm/mois) 31,3 42,4 67,3 73,9 84,1 97,6 199,8 146,1 87,3
Ef (%)) 75
Bb (mm/mois) 41,73 56,53 89,73 98,53 112,13 130,13 266,4 194,8 116,4

d.f.c (l/s/ha) 1,03


Planification de l’arrosage
Introduction:
Le sol est un réservoir
d’alimentation en eau des
plantes et il est capital de
déterminer les conditions les
meilleures pour apporter au sol,
l’eau qui lui est nécessaire.

C’est un milieu poreux composé de 3 phases:


 Phase solide: éléments minéraux de taille,
de forme et d'orientation variables, ainsi que
d’éléments organiques .
 Phase liquide: eau du sol
 Phase gazeuse: air du sol
Les 3 phases
constituant un sol
Les relations massiques, volumiques et combinées
Relations masse/volume
Densité réelle(Dr) & Ms Ms Mt Masse volumique
Dr  Da  t 
Densité apparente (Da) Vs Vt Vt du sol (t)
Porosité du sol (Pt)
Vv
Pt %  
Vt Humidité pondérale (Hp)
Humidité volumique (Hv) H p (%) 
Me
Ms
Ve
H v (%) 
Vt

Relations volumiques Relations massiques

Me V 1
V M
H v (%)  e  e ; e  1 Relations entre Hp   e  Hv *  H v  H p * Da
Vt Vt M s Vt * Da Da
Hv et Hp
Application :
La masse totale d’un échantillon de sol humide et d’un récipient est de Mth =52,53 g.
Après séchage, la masse totale est de Mts= 42,43 g. La masse du récipient est de
Mr=30,50g. Le volume total de l’échantillon est Vt=14,36 cm3. Le volume de solides
est Vs= 4,26 cm3.

A : Quelle est l’humidité pondérale du sol ?


M e (Mt.h  M t.s ) 10,1
H p (%)     84,7 %
Ms (M ts  M r ) 11,93

B : Quelle est la masse volumique du sol ?


M e  Ms 22,03
t    1,53 g/cm3
Vt 14,36

C : Quelle est la densité apparente du sol ?


Ms 11,93
Da    0,83
Vt 14,36
D : Quelle est la densité réelle du sol ?
Ms 11,93
Dr    2,8
Vs 4,26
E: Déterminer la porosité du sol ? Pt %   1 
Da 0,83
 1  70,4 %
Dr 2,8
Les différents niveaux d’humidité dans un sol
Humidité à la saturation (Hs)
C’est l’humidité du sol après une pluie ou une irrigation abondante

Humidité à la capacité au champ (Hcc)


L’humidité à la capacité au champ (Hcc ) ou l’humidité du point de
ressuyage est l'humidité d’un sol ressuyé dans des conditions où le
drainage est assuré librement. Le sol est théoriquement plein.
Sable Hcc= 6 % ; argile= 35 %

Humidité au point de flétrissement(Hpf)


C’est l’humidité du sol pour laquelle l’eau est retenue avec une
intensité supérieure aux forces de succion des racines et dans ce
cas, l’eau n’est pas accessible à la plante. Sable Hpf= 1 à 3 % ;
Argile Hpf= 15 à 30 %

Au delà du point de ressuyage, le sol est saturé en eau ; la plante peut se trouver en
situation d’asphyxie. En deçà du point de flétrissement, la plante ne peut plus
absorber l’eau.
Tension (unité énergétique, potentiel hydrique)
matriciel, succions)

Un exemple de courbe de rétention


d’un horizon argilo-limoneux
(appelée aussi courbe pF-
humidité). Les fortes valeurs de pF
correspondent aux faibles humidités
des sols.
Les réserves en eau du sol
Réserve utile (RU)
La quantité d’eau disponible à la plante
RU  H v.cc  H v. pf   H p.cc  H p. pf  Da
s’appelle la réserve utile (RU). Elle est
exprimée en millimètre d’eau (mm) et est
définie par la différence entre l’humidité du RU ( m3 )
 H v.cc  H v. pf  Z  S
point de ressuyage et celle du point de
 H v.cc  H v. pf  Z
flétrissement. RU ( m m)

RU d  H v.i  H v. pf   H p.i  H p. pf  Da
Réserve disponible (RUd)
C’est l’ humidité comprise ente un niveau RU d ( m3 )
 H v.i  H v. pf  Z  S
d’humidité quelconque Hi et le point de
 H v.i  H v. pf  Z
flétrissement (Hpf)
RU d ( m m)

Réserve facilement utilisable (RFU)


La réserve facilement utilisable (RFU) est la quantité d’eau
accessible à la plante sans difficultés. C’est une fraction de RU.
La valeur de RFU représente 50% à 75% RU en fonction du type 1 3
RFU   à  RU
de sol, de la plante, de la profondeur de ses racines, des conditions 2 4
climatiques et du mode d’irrigation.
Exemples de calculs des réserves utiles en eau selon les textures
Argile Limon Sable HCC Hpf Z RU=(HCC-Hpf)* Da*z
Sol Da
% % % % % cm ( mm)

argileux 55 25 20 40 24 50 1,20 RU= (40-24)* 1,2*5 = 96

Limoneux 15 70 15 28 15 60 1,40 RU= (28-15)* 1,4*6 =109

Argilo-Sabl. 10 45 45 16 9 80 1,60 RU= (16-9)* 1,6*8 = 90

Sableux 8 27 65 12 5 100 1,75 RU= (12-5)* 1,75*10= 123

Exemples de calculs des réserves utiles en eau selon les couches du sol

Prof Da Hcc Hpf Z (m) RU (mm)

0.30 1.17 18.33% 10.00% 0.30 29,24 RFU  RU  2 / 3

0.50 1.22 18.48% 10.30% 0.20 19,96


RU = 60 mm
0.60 1.30 18.91% 10.60% 0.10 10,8 RFU = 40 mm
Détermination des besoins en eau d’irrigation & Planification

Consommation en eau de
la plante ETM =kc*ET0
 Equation du bilan hydrique: Ri  Ri 1  P  Ir  Rc  R  D  ETM

• Zones arides et semi arides Rc 0 ; Ri= k*RFU avec k  1


• En Posant: Pe= P-(D+R)  Ri  Ri 1  Pe  Ir  ETM

k: fraction de la RFU disponible ; ; Rc: Remontée capillaire ; Ir: Irrigation ;


D: Drainage ; P: pluie totale ; Pe: Pluie efficace

 Expression des besoins en eau nets d’irrigation (Bn = Ir)

Bn  ETM  Pe  Ri  ET0 * kc  Pe  Ri

Si Bn  0  Pas de déficit hydrique (la plante peut touj ours utiliser l' eau du sol)
Si Bn  0  Déficit hydrique (le sol manque d' eau)

Dans le cas du:


suivi et pilotage de l’irrigation, le facteur Ri du sol est pris en considération.
Bn  ETM  Pe  Ri

projet d’équipement en installation d’irrigation , on considéré que le sol est sec


Ri= 0 Bn  ETM  Pe
Stratégies d’apporter l’eau au sol: Calendriers d’arrosage
A dose constante : fixée une fois pour toutes au début de la saison
d’irrigation. Dans ce cas, les intervalles entre deux irrigations successives
seront variables et dépendent de la pluie et de l’évapotranspiration des
cultures. Les intervalles seront espacés en hiver car la saison est pluvieuse
et l’évapotranspiration est faible. Cependant, les irrigations en été seront
plus fréquentes du moment que les pluies sont très rares ou inexistantes et
que l’évapotranspiration est importante
Dose maximale  RFU
A intervalle constant : caractérisé par des doses variables apportées
suivant des intervalles entre deux irrigations fixes. Ce mode suppose donc
que les volumes d’eau apportés au cours d’un arrosage soient contrôlées.
Exemples :
Données de base :
• Dose pratique (RFU): 50 mm
• ETM : 40 mm en mai 60 mm en juin 80 mm en juillet 120 mm en août
• Sol à la capacité au champ au début de la période étudiée
• Pluviométrie nulle pendant cette période.
A- Calendrier à dose à constante :
Principe d’établissement du calendrier d’irrigation :
On trace les droites qui représentent l’épuisement progressif des réserves en eau
du sol sous l’effet de l’ETM. A chaque fois que ces droites coupent l’axe du temps,
qui veut dire que l’humidité est au seuil critique, on irrigue avec une dose de 50
mm pour ramener l’humidité à la capacité au champ.
Etapes à suivre : (juste pour faciliter, on considère le même nombre de jours par mois (30 jours).
Tracer les droites :
• AB : qui correspond à l’épuisement des réserves en eau au mois de mai.
Le taux d’épuisement est : 40 mm / 31 j = 1,3 mm/j. Au 31 mai (B), la réserve d’eau dans la
zone racinaire n’est plus que 10 mm (50 mm – 40 mm).
• BC : Epuisement du reste de la réserve (10 mm), mais au rythme de 2 mm/j (60 mm/30 j).
• DE : A partir de 5 juin, les réserves en eau sont de nouveau en baisse suivant un taux de 2 mm/j.
Le 30 juin, la quantité d’eau apportée par l’irrigation de 50 mm est évapotranspirée : 25 j x 2
mm/j = 50 mm. D’où, une nouvelle irrigation par une dose de 50 mm est obligatoire pour
ramener le sol à la capacité au champ (F).

• FG : En juillet,l’ETM journalière est plus importante que celle de juin (80/30 = 2,7 mm/j). A partir
du 18 juillet (G), les réserves sont pratiquement consommées (80/30 x 18 = 48 mm). En
conséquence, une troisième irrigation est à prévoir pour reconstituer les réserves.

Le même raisonnement sera suivi pour construire les tronçons : HI, JK et LM.
CALENDRIER D’IRRIGATION A DOSE CONSTANTE
B- Calendrier à intervalle constant :

Etablissement du calendrier d’irrigation :


• On va se fixer un intervalle d’irrigation égal à 12 jours qui correspond à l’intervalle minimal dans l’exemple ci-dessus.
• Le jour j = 1 mai : le sol est à la capacité au champ (A).

• BC : C’est le jour de la première irrigation (12 mai). La réserve perdue par évapotranspiration est : 12j x
40 mm / 31 j  16 mm. Donc, la première dose d’irrigation est fixée à 16 mm. Le point B correspond
à une réserve de : 50 mm – 16 mm = 34 mm.

• CD : Le 24 mai, la réserve a diminué de 16 mm. Donc, on apporte une deuxième irrigation de 16 mm


(DE).
Après 12 jours, c’est à dire le 5 juin, la perte en réserve est comme suit :
Le reste de la réserve est donc : 50 mm – 17,74 mm = 32,26 mm. La troisième irrigation va se faire
avec une dose de 32,74 mm.
 40   60 
6 j    5 j    17,74 mm
 31   30 
• Le même raisonnement sera suivi pour compléter le reste du calendrier. Seulement, il faut remarquer que
l’augmentation progressive de l’ETM, conjuguée au respect de l’intervalle d’arrosage de 12 j, aura pour
conséquence l’augmentation des doses d’irrigation comme suit :
60 80 120
Juin  12  24 mm Juillet   12  32 mm Août   12  48 mm
30 30 30

La figure ci-dessous représente le calendrier d’irrigation à intervalle constant


 Débit fictif continu (d.f.c)
C’est le débit qu’il faudrait fournir à chaque ha du périmètre irrigué, s’il est arrosé sans
interruption 24/24 h et tous les jours du mois

Bb. p *104 Bb. p *104


d . f . c(l / s / ha)  
N j * 24 * 3600 N j * 86400 Bb.p: Besoins bruts de pointe (mm/mois)
Nj : Nombre du jours du mois
Bb. p *104 * S Bb. p *104 * S S : Superficie totale du périmètre irrigué (ha)
d . f . c(l / s )  
N j * 24 * 3600 N j * 86400
Planification d’irrigation par mesure de l’humidité du sol
Les principales méthodes de mesure et de suivi de l’humidité du sol sont les suivantes.

1- Méthode destructive: Méthode gravimétrique:

L'échantillon de sol est pesé frais puis pesé après séchage à l'étuve pendant 24h à
105°C. L'humidité pondérale serait: M sol humide  M sol sec
H p (%) 
M sol sec
Cette méthode est plus précises et sert de référence.

2- Méthode non destructive:

a- Sonde à neutron:

Appareil relativement coûteux dont le principe repose sur la propriété qu'à


l'hydrogène de ralentir les neutrons rapides. Si l'on place dans le sol une source
de neutrons rapides, ces derniers sont d'autant plus ralentis que le sol est
Plus humide.
Une sonde à neutrons est un appareil qui
sert, à mesurer l'humidité des sols.
La sonde, que l'on descend dans un tube
d'accès, est composée de deux parties :
une source de neutrons rapides
(radium+Berylium) et un détecteur de
neutrons lents. Les neutrons rapides, émis
perpendiculairement à la sonde sont
progressivement ralentis lors des collisions
avec les atomes du sol. Ce ralentissement est
maximum lorsqu'ils rencontrent des atomes
d‘hydrogène qui ont une masse comparable.
Les collisions les renvoient dans tous les
sens et il se crée donc un nuage de neutrons Schéma d'une sonde à
autour de la sonde. Une partie pénètre dans
neutrons (émetteur de
le détecteur.
neutrons rapides -
Le compte des impulsions par unité de
temps renseigne sur la quantité d'hydrogène détecteur de neutrons
et donc d'eau dans le sol. lents)
b- Tensiomètre
L’eau contenue dans le sol est retenue par des forces de tension superficielle. La
succion exercée par les racines permet d'extraire cette eau. Les forces de liaison de
l'eau et du sol sont donc caractérisées par une variable appelée communément
tension ou succion, exprimée en unité de pression. (cbar)
Pour mesurer la tension, on utilise des appareils composés d'un organe de
mesure qui traduit la tension de l'eau dans le sol.
La transmission de la tension jusqu'à l'organe de mesure (manomètre à
dépression), s'effectue par une colonne d'eau en équilibre avec l'eau du sol,
par l'intermédiaire d'une capsule poreuse.
Evolution de la mesure tensiomètrique
c- Sonde watermark avec boîtier de lecture
Contrairement aux tensiomètres classiques pour lesquels chaque appareil est équipé d'un
organe de mesure à lecture directe, les Water- tensiomètres sont constitués, d'une part des
sondes proprement dites placées dans le sol et d'autre part, d'un boîtier permettant, après
branchement sur une sonde, d'analyser ce signal et de le traduire en termes de tension.

Tarière
vrille

Sondes

Boîtier de
lecture
d- Sonde capacitive
Une sonde capacitive la teneur en eau du sol sur plusieurs profondeurs. Il est ainsi
possible de connaître le stock d’eau (en mm) sur la profondeur de sol explorée par la
sonde.
Exemple d’évolution d’humidité du sol mesurée par sonde capacitive
Exemple d’évolution d’humidité du sol mesurée
Fixation des seuils de pilotage de l’irrigation

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