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*Le droit d'auteur en Côte d'Ivoire est l'ensemble des droits exclusifs dont dispose

un auteur sur les œuvres de l'esprit en Côte d'Ivoire. Il est réglementé par la loi du 25 juillet
1996 relative à la protection des œuvres de l'esprit1.

*Le droit d'auteur protège les œuvres de l'esprit originales, et notamment les œuvres de
l'esprit. L’enregistrement de l’œuvre n’est pas nécessaire pour qu’elle bénéficie de la
protection du droit d’auteur.

*La Côte d'Ivoire a adhéré à la Convention de Berne pour la protection des œuvres littéraires et
artistiques, à la Convention universelle sur le droit d'auteur, ainsi qu'à l'accord sur les ADPIC
Parfait est le nom de mon cousin. Il était vraiment parfait en
tout. Alors qu’on faisait les clôtures, sortais les filles, parfait lui
c’était la religion et les études. On l’aimait quand même parce
que c’était lui qui venait nous ouvrir. On le détestait souvent,
car on le prenait toujours en exemple. On en avait marre mes
frères et moi d’entendre « faites comme parfait, regarder votre
cousin parfait ». Pour les filles, parfait attendait comme la
religion le mariage.

Aujourd’hui, nous avions grandi, tous mariés et père de famille


avions nos responsabilités. Pour une raison inconnu c’est moi le
plus dévergondé et vicieux de la bande que parfait choisi en
tant que Best Man.
Parfait s’était marié avec Anna, une jeune fille timide et
quelconque de son
Église. Une belle révélation du pasteur un soir en pleine de
veiller des prières.
Ah cousin parfait, toujours pour le seigneur ! De fil en aiguille,
chaque cinq du mois je quittais ma localité de San-Pedro pour
Abidjan afin de faire des achats. J’en profite bien entendu pour
voir ma maitresse, une belle jeune femme rencontré dans le
car. Je dors souvent chez Parfait, qui insiste pour m’héberger
comme pour se racheter auprès de mes parents qui l’ont
adopté toute son adolescent.

Anna, Anna est devenu presqu'une obsession le jour où je l’ai


surprise en position de levrette en train de faire la lessive.
L’eau avait mouillé son pagne et faisait ressortir des rondeurs
que je n’avais pas remarquées jusque là. Ma queue se dressa à
cette vue. Je restais là derrière elle à admirer ses fesses. Il
était huit heures du matin. A peine réveillé chaque samedi
matin cousin parfait partait pour son culte du jour, il revenait
généralement vers dix heures. Son fils étant en congé chez les
miens, je savais qu’on était tous deux dans la maison.

Elle s’activait sur le bois à linge, qui à son tour faisait remuer
ses fesses trempées dans le pagne. J’approchais lentement
jusqu’à plaquer mon érection contre elle. Voulant sursauter je
l’ai bloqué avec mes mains sur hanche en collant plus belle ma
bite entre la raie de ses fesses en faisant
-chuuuuuuuuut Anna, calme toi tu ne voudrais pas que les
voisins t’entendent, tu ne voudrais pas que si cousin venait que
je lui dise que c’est toi qui m’a allumé, qu’à chaque fois qu’il
n’est pas là tu fais trembler tes fesses de salopes sous mes
yeux ? Alors tais toi et continu de laver

Je savais que cela la calmerait, elle ne voulait pas de scandale


et moi je voulais ses fesses. Elle se mit à laver le linge en
tremblant légèrement. Je faisais toujours glisser ma queue sur
son pagne mouillé. Je me suis mis à faire des vas et vient sur
son pagne. Je soulevais son pagne et découvrais de belle paire
de fesse tout nue. Je me gênais pas à frotter ma bite dessus en
disant

-Anna, anna comment peut être nu sous ton pagne ? Tu es une


belle salope toi !
-Non-tonton

-Ne me mens pas, tu mouilles en plus

Elle était toute gluante, toute rempli de mouille. Ses fesses


toujours en l’air de ses deux mains, elle avait attrapée la
bassine à linge. C’est sans effort que je glissais ma queue en
elle. Je me suis mise à la baiser, là dehors. Anna tremblait et se
mit à gémir, j’en ajoutais une couche en lui disant

-Tu ne va pas crier, alors que ton mari est peut être dans le
couloir, tu ne va pas faire ta salope en appelant les voisins
Anna. Je lui mis une claque en disant allez tais toi !

Elle se tue, en faisant à chaque coup de rein hmmm


hmmmmm. J’aimais ça, ses fesses qui tremblaient sous mes
coups, l’heure qui passait, je finis par jouir dans son con de
gros jet de sperme. Je la laissais là dans la buanderie et
rentrais prendre ma douche.Toute la journée, je ne me gênais
pas pour la caresser discrètement. Je lui envoyais un message
pendant sa sieste avec mon cousin pour lui dire que j’avais
envie qu’elle me suce. Je complétais qu’elle devait venir me
trouver vite fait dans ma chambre ou c’est moi qui irait la
chercher et la baiser devant mon cousin s’il le faut. Elle était
venue illico, je m’en fichais du prétexte qu’elle avait donné, je
fourrais ma bite dans sa bouche, la baisait jusqu’à jouir dans sa
gorge. Je la retournais et la doigtais en la laissant au bord de la
crise de nerf en stoppant sa jouissance.

Puisque leur fils n’était pas là je fus autorisé par cousin


d’emmener ma maitresse. J’ai dû négocier, il ne me refusa pas
puisque je jouais sur la carte de l’insécurité à Abidjan. Ah
cousin parfait ! Trop parfait ! Anna boudait ma maitresse tout le
long de la soirée prétextant connaitre mon épouse et autres.
Moi je voyais plutôt de la jalousie, la salope avait pris goût à
mes coups de bite. Après avoir fini de baiser ma maitresse, je
remarquais des pas devant la porte de ma chambre. En sortant
je tombais nez à nez sur Anna, qui dans sa robe de chambre,
me lançait un regard noir. Je fis mine de rien en me dirigeant
vers la cuisine pour me servir un grand vers d’eau. A mon
retour elle était toujours là dans le noir en plein milieu du
salon. Les lampadaires du quartier donnaient une faible lumière
dans le salon. Je m’approchais d’elle, glissait ma main sous sa
robe et atteignit son sexe avant de lui sortir

-Anna, tu veux que je te baise aussi. Demain je rentre sur San


Pedro, tu veux un dernier coup de bite.

Elle ne répondait pas, mais son sexe répondait pour elle. Je


sentais leur battement, je sentais tout son corps en attente de
ma bite. Je la retournais sur le divan et m’enfonçait encore en
elle.je plaquais ma main sur ma bouche .cette femme mouillait
tellement qu’on aurait pu la baiser pendant des heures. Elle me
mordait la paume de main si fort pendant la jouissance que
cela redoubla mon effort de la baiser durement jusqu’à la
jouissance. Le dimanche matin, elle s’arrangea pour ne pas
aller au culte, prétextant des douleurs au ventre.

Une fois ma maitresse parti, et que mon cousin me dit au revoir


puisque je prenais le car de onze heures, elle s’arrangea pour
que je la baise sous la douche. Elle découvrait la sexualité, elle
découvrait la jouissance. Je lui donnai un orgasme
monumental, puisque dans la douche elle pouvait crier et
hurler. Elle ne se gênait pas la salope. Je rentrais chez moi ou
Anna m’envoyait des photos d’elle parfois nu. Chaque premier
du mois, je revenais la baiser avant de m’en aller.

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