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Christine Porath, dans son article intitulé « 

un antidote contre l’incivilité », a montré qu’elle


était victime d’une culture d’entreprise pleine d’agressivité et d’impolitesse. Ses recherches et
d’autres ont conclu que l’incivilité au bureau de travail a engendré des coûts sociaux et
psychologiques dévastateurs. En effet les statistiques ont confirmé que le taux des salariés qui
ont subi un comportement incivil, que ce soit la méchanceté pur et simple ou le discrédit
intentionnel, est très élevé. Ce comportement irrespectueux rend la personne distrait, sape sa
performance, altère sa capacité cognitive, endommage son système immunitaire, passe leurs
nerfs sur son entourage et d’autres effets délétères.

Leur résilience à l’incivilité, presque impossible, est influencé par sa constitution génétique,
d’où la nécessité d’instaurer une culture qui la rejette et de viser l’« objectif de zéro sale
con » pour réduire ses coûts. Dans l’obligation de collaborer avec les collègues
irrévérencieux, ni l’évitement, ni la confrontation et ni le recours institutionnel résolue le
problème. Il faut donc envisager une approche holistique et durable qui améliore le bien-être
et rendre la personne imperméable aux comportements incorrect.

Plusieurs études ont constaté que les personnes épanouies sont celles de meilleur santé, plus
résilientes, aptes à se concentré sur leurs objectifs, sont à l’abri de la distraction, du stress et
de la négativité, elles détiennent la confiance en soi. Deux approches mutuellement renforcé
sont suggérer pour un bien être durable : La première c’est l’épanouissement cognitif, qui
implique le développement cognitif soit dans le milieu professionnel ou ailleurs, en cherchant
des opportunités d’apprentissage, des horizons plus productifs. Cette évolution est un facteur
de motivation crucial pour aider les employés à rebondir face à l’incivilité. Elle apporte
l’assurance, la confiance en soi, enthousiasme, la sensation de progression, sans oublie le rôle
de mentor pour favoriser ce développement en orientant leurs protégés vers les directives plus
fructueuses.

La seconde c’est l’épanouissement affective, qui dépend de la capacité de gérer votre énergie
contre un comportement incorrect. Plusieurs facteurs contribuent à prévenir cet agent
pathogène infectieux à savoir : Un sommeil régulier, vous sentir plus confiant, moins hostile,
moins agressif. Faire un exercice régulièrement, vous prémunir contre les émotions négatives
(colère, peur…), Une alimentation saine, vous permettre de mieux réagir tranquillement à une
confrontation incivile. Ainsi, La plein conscience pour traiter des situations dans un
environnement instable, vous permettre également de maintenir votre équilibre. Créer des
relations positives et une bonne compagnie à l’intérieur et à l’extérieur du bureau vous aider à
remonter le moral. Donner un sens au travail vous promouvoir le bien-être psychologique.
Exercer des responsabilités en tant que citoyen en dehors du bureau et sans but lucratif
renforce l’épanouissement cognitif et affectif. Bref, une corrélation forte est testée
expérimentalement entre l’épanouissement et la résilience à l’incivilité.

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