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Chapitre II 

: LES CONDITIONS DE VALIDITE D’UN CONTRAT

Conditions de formation d’un contrat. Si mon contrat n’est pas valide il est donc nul, il n’existe pas.
Un contrat nul est different d’un contrat mal executé. Le consentement, l’objet du contrat sont des
piliers pris en compte au moment de la formation du contrat s’il en manque le contrat est nul.

SECTION I. la protection du consentement.


Le consentement est la clé de voute de l’existence même d’un contrat. Il est protéger par le code civil à
l’aide de la théorie des vices du consentement qui a pour but de protéger le consentement sans nuire au
commerce. Le consensualisme. Les vices du consentement sont l’erreur le dol la violence art 1130 dès
lors qu’une des parties n’aurait pas contracté ou a d’autres conditions si son consentement n’avait pas
été vicié ex si on me vend une voiture avec 10k km je souhaite l’acheter or qlq moi après je découvre
que cela à été trafiqué et qu’en fait elle en 100k donc mon consentement a été vicié si je l’avais su je
ne l’aurais pas acheté.
Un enfant ou un majeur incapable ne peut pas conclure de contrat mais en cas de contrat avec donc
consentement inexistent l’enfant ou l’adulte incapable n’est pas obligé de rendre. Les achats de la vie
courante sont admis comme des usages. Une absence de consentement sont diffèrent des vices de
consentement qui sont altérations du consentement. On apprécie les vices du consentement à l’instnat
même de la formation du contrat.
I. L’erreur
L’erreur c’est lorsque je me suis trompé, c’est une fausse appréciation de la réalité. En matiere
contractuelle Pothier « je crois acheter des bougeoirs en argent alors qu’ils sont en bronze, je me suis
trompé ». art 1132 du code civil l’erreur de droit ou de fait a moins d’être inexcusable est une cause de
nullité du contrat lorsqu’elle porte sur les qualités essentielles dues des contractant. L’erreur peut-être
de fait qui correspond a une fausse appréciation de la réalité : je croyais acheter une voiture jaune elle
est rouge. L’erreur de droit repose sur une fausse appréciation du droit applicable : je crois acheter un
apart enft je le loue : c’est une erreur de droit. Nul n’est censé ignorer la loi ne veut pas dire que l’on
doit tout savoir de la loi mais que l’on ne peut pas prévaloir de son ignorance.
A. l’erreur sur les qualités d’appréciation
Qualités en consideration desquelles on n’aurait accepté. L’erreur doit etre déterminante. Art 1135
l’erreur sur un simple motif n’engage pas la nullité du contrat ex la nape est bleue au lieu de rouge je
m’en fiche ; a moins que les partis en ai fait des éléments essentiels de leur contrat ou dans l’offre.
Comment prouver qu’un simple motif est un élément déterminant.
B. L’erreur sur les qualités du contractant
L’erreur sur les qualités du contractant art1134 en consideration de la personne elle-même est
déterminante. un peintre qui dresse notre portrait sa personnalité est déterminante comme en mariage :
une erreur sur la personne est déterminante. dans les contrats intuitu personae notamment les contrats
de travail la personne est déterminante.
C. L’erreur indifférente
Art 1132 a moins qu’elle ne soit inexcusable donc l’erreur indifférente est une erreur excusable : le
droit n’excuse pas les idiots. Quand un professionnel se trompe le droit est bcp plus dur qu’avec un
novice. Ce qui peut etre excusable pour certain ne l’est pas pour d’autre. Un amateur d’art (qq
connaissances dcp) a confondu un tableau attribué a courbet et signé courbé (signé = sur et attribué =
doute). Erreur sur les motifs art 1135 l’erreur sur les simples motifs n’est pas une cause de nullité a
moins que ce soit précisé dans le champ contractuel peut etre admise comme erreur vice du
consentement. J’achete un ordi ultra performant alors que je ne souhaite que le traitement de texte
(motif) je ne peut pas demander la nullité pour motif sauf si j’ai bien précisé vouloir un ordi pour
traitement de texte seulement. Une erreur sur les qualités substantielles je peut obtenur la nullité.
L’erreur sur la valeur ne suffit pas a obtenir la nullité.

II. Le dol
Art 137 a 139
A. DEFINITIONS
Le dol est le fait pour un contractant d’obtenir le consentement de l’autre par des manœuvres ou des
mensonges : faire en sorte que l’autre se trompe. Les manœuvres sont des mises en scène parfois des
mensonges. C’est un comportement mal honnête ; l’affaire pourrait se jouer au pénal dans le même
temps. Le dol c’est de l’arnaque. Le dol comporte deux éléments.
B. Les éléments constitutifs du dol
Le dol doit émaner du co contractant. L’élément matériel art 137 evoque des manœuvres des
mensonges en vu de tromper : ce peut être des mises en scène ou des artifices ou de mensonges ou des
faux docs ou des appart sur certains sites de location. Ce sont des manœuvres avec élément matériel.
Le dol par réticence qui est le fait de ne pas dire (silence).
L’element intentionnel. Celui qui use de manœuvre doit le faire avec l’intention de l’induire en erreur.
Le dol doit emaner du co contractant sauf si le co contractant agit avec la complicité d’un tiers.
Appreciation des situations au cas par cas.

III. La violence
Art 1140 a 1143
Quand une partie abuses de l’etat de dependance dans lequel se trouve son co contractant mais la
violence c’est aussi et surtout qd un partie s’engage sous la pression d’une contrainte qui lui inspire la
crainte.

A. DEFINITIONS

La violence 1140 : pression d’une contrainte qui inspire la crainte. La CRAINTE. Ex : je m’aprete a
sortir de l’argent qd subitement un individu surgit me menace avec un couteau que faire? Je lui donne
le code pq? Pcq je ne veux pas mourir. La crainte inspire cette violence. L’art 1140 vise tous les
comportements qui visent a contracter a l’aide de menaces physiques ou menaces. La violence a une
valeur délictuelle. Dans le dol la pers s’est trompé elle s’est fait pieger donc pas vrmt de contrainte,
mauvaise appreciation de la realité or dans la violence la personne est menacé et est obligé de
contracté.

B. Les caractéristiques

La violence doit etre constitué d’un element materiel et d’un element subjectif. Ateinte peut porter sur
des aspects moraux (reputation honneur etc) menace physique (mort sequestration abandon mutilation
menaces pécuniaires (perte de revenus) ) ces menaces peuvent nous concerner ou nos proches. Si une
violence morale pouvait etre admise (h sexuel ou moral). Pas bcp de jurisprudence car difficile a
prouver.
Arret de la ch civ du 13 jan 1999: une femme a vendu un ensemble immobilier au dirigeant d’une
secte a un prix dami et onze ans plus tard elle demande la nullité de la vente pour violences morale. A
l’aide d’elements probatoires la cour d’appel a observer que la pers était dans un etat de vulnerabilité
ou elle venait de se separere de son epoux et avait a charge ses enfants et heberger les gens de la secte.
L'etat de dependance art 1143 du code civil. On parle de violence economique dans certaines
situations.
Situation d’etat de necessité : le garage d’un garagiste brule il demande indeminité on lui dinne tres
peu il accepte pcq il a besoin mais apres va reclamer reparation aupres de la justice pour violence
“economique” traduit par etat de dependance dans la loi ainsi pouvant proteger ttes personne
vulnerable afin d’obtenir un avantage excessif “donnant perdant”.

IV. La lesion

La lesion ne’st pas tt a fait un vice du consentement.la lesion correspond un prejudice et ne concerne
qu’un seul contrat qui est la vente immobilière. Si c’etait un vice du consentement on aurait du
pouvoir l’appliquer a tt type de contrat. Elle a été utilisé a rome pour proteger les proprietaires obligés
de vendre et est reapprue pdt la periode revolutionnaire et les redacteurs du c c l’ont reintroduis mais
seulement pour la vente d’immeuble. La lesion correspondrait a un desequilibre excessif dans le
contrat mais objectif de sorte qu’elle devient un moyen de controler le prix de vente. Si on na pas
vendu au bon prix on peut demander la recession car vend a perte. Le prix doit etre inferieur de sept
douzieme.

La preuve c’est ce qui persuade l’esprit d’une vérité. Le juge est toujours saisi après les faits.
Recherche de légitimité en prouvant. Qui doit prouver? Que doit-on prouver? Comment prouve-t-on?
Recevabilité de la preuve.

I. Qui doit prouver?

La charge de ka preuve incombe à celui qui incombe un droit. Cette regle est posée à l’art 1353 du
code civil. Il doit justifier le paiement.

C. La présomption légale

Dans certains cas la loi peut prévoir des exceptions, le demandeur peut etre dispensé de rapporter la
preuve. Ex : art 312 du code civil on presume que le mari est le père de l’enfant que l’on peut remettre
en cause par une preuve.
Le renversement de la charge de la preuve. La loi peut amenager la chaarge de la preuve sur plusieurs
personnes comme avec les discriminations. Lorsqu'un litige à lieu à cause de cela alors le salarié
présente des elements de fait qui maissent supposer l’existence d’une discrimination et au vu de ces
elements l’employeur doit justifier cette situation par des elements objectifs.

II. Comment prouver

Les modes de preuves. Preuves littérales et les non littérales. Les paroles s’envolent, les écrits restent.
Art 1365 du code civil definit la preuve littérale. Une suite de l de ch ou tout autre signe ou symbole
doté d’une signification intelligible qlq soit leur support.
Acte juridique (negociom) et acte ecrit (instrumentum)
Le mot acte en d a deux sens

1. L’acte authentique

Art 1369 du code civil recu par un officier d’etat public selon certaines formes comme le notaire par
ex qui a qualité pour recevoir des actes authentiques, l’huissier également.

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