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Introduction generale
Le microordinateur est un outil de gestion qui permet de gagner du temps dans les traitements
administratifs opérationnels et, grâce à la capacité de traitement et de stockage de
l'information qu'il offre, de structurer automatiquement les données opérationnelles de
l'entreprise pour obtenir des états de gestion qui permettront au chef d'entreprise de décider et
d'agir. Le microordinateur doit donc être un investissement rentable. Il faudra évaluer cette
rentabilité potentielle avant de faire un choix. La micro-informatique de gestion est un outil
qui permet à l'entreprise d'accompagner sa croissance tout en gardant ses structures
administratives stables. L'introduction de l'outil informatique dans l'entreprise se fait dans un
environnement humain, et parce que cet outil va modifier profondément les processus de
travail administratif et les rapports de forces dans l'entreprise, il faut, pour réussir, prendre en
compte, ce potentiel, en particulier éviter les phénomènes de rejet dus à une mauvaise
implication des personnes en place.
Le microordinateur est un merveilleux outil de gestion car il permet à l'utilisateur à partir de
la saisie d'informations élémentaires (factures, écritures, etc.) de mettre à jour et de générer
quantité d'autres documents. La micro-informatique de gestion transforme le travail
administratif; d'un travail routinier de réalisation de documents obligatoires (facture, bilan
comptable, etc.) de nature opérationnelle, elle en fait un travail plus riche d'analyses de
documents de gestion pour prendre des décisions en vue d'améliorer les performances de
l'entreprise.
L'enjeu de gestion pour l'entreprise est de bien connaître rapidement des formations de gestion
telles que : Le compte client L'état du stock Le prix de revient. Tous ces éléments sont
extrêmement pénibles, et difficiles et coûteux à obtenir à la main. Le micro-ordinateur
améliore les performances administratives de l'entreprise; ces gains de productivité seront
utilisés dans l'exploitation des documents de gestion générés par le système informatique pour
améliorer, à partir de la connaissance réelle de la marche de l'entreprise, les performances
commerciales, financière et la rentabilité.
Cet outil de gestion informatique est un investissement qui reste compatible avec les
capacités financières de l'entreprise. Le coût informatique ne se limite pas uniquement aux
coûts de matériels et de progiciels, il faut y ajouter des coûts supplémentaires de service :
formation, installation, maintenance, les coûts de fournitures (listing, papier, disquettes, cd-
rom, autres consommables), salaires. Avant de prendre une décision, il faut réellement
évaluer le coût global de cette décision. Le calcul et l'évaluation de la rentabilité d'un
«investissement informatique s'effectuent de façon analogue à ceux d'un investissement
opérationnel comme une machine-outil, un camion, etc. Cet investissement apporte des gains
de productivité administrative, mais ces gains ne se traduisent que très rarement par une
diminution des charges.
La micro-informatique de gestion en PME n'a jamais été le moyen de supprimer du
personnel administratif. En revanche, les gains de productivité administrative seront utilisés
pour absorber une augmentation de l'activité et améliorer la gestion : Diminution de l'encours
clients Diminution de l'encours de stock, Suppression des articles à faibles marge,
Amélioration des performances commerciales... Les gains potentiels doivent être chiffrés et il
convient de se fixer des objectifs clairs pour les atteindre.
C'est seulement à cette condition que l'on peut valablement envisager l'acquisition d'un micro
pour améliorer la gestion de l'entreprise. L'entreprise performante voit, dans le micro,
l'élément d'accompagnement de sa croissance qui permet à structures administratives
identiques, d'absorber une augmentation du volume d'activité. Il permet aussi de faire face à
l'évolution sans augmentation proportionnelle des coûts administratifs. En gros, la
microinformatique est un investissement rentable, peu coûteux et un réel Outil de croissance
pour l'entreprise. Pour objectiver les analyses ci-dessus, la tutelle a introduit dans le
programme BTS de la filière Informatique de Gestion le cours de "NEGOCIATION
INFORMATIQUE"
Le cours de NEGOCIATION INFORMATIQUE présente un triple aspect à savoir :
Juridique, commercial, et relationnel " Le but de ce cours est de faire acquérir au candidat une
certaine culture qui lui permettra de comprendre et parfois de se servir de techniques autres
qu'informatiques dans la réalisation de ses fonctions en situation réelle d'entreprise.
Chapitre 1 : La règlementation générale
Le logiciel occupe aujourd’hui une place importante de l’économie numérique, en effet, celui-
ci est embarqué dans de nombreuses machines, il est devenu indispensable. C’est pourquoi il
est apparu nécessaire de savoir quelle protection était accordée au logiciel, or la réponse à
cette question n’était pas évidente, puisque l'on pouvait hésiter entre une protection accordée
via le droit des brevets, le droit d’auteur, ou encore crée un régime propre au logiciel. C’est
finalement la protection par le droit d’auteur qui a été choisie.
En effet le législateur hésitait entre la protection du logiciel par le droit des brevets, une
protection par le droit d’auteur, ou encore à une protection par un droit intellectuel spécifique.
Ces hésitations provenaient de la nature ambivalente du logiciel, celui-ci faisant appel à des
notions de brevets par son aspect technique, mais aussi au droit d’auteur en ce qu’il constitue
une œuvre du langage.
Les Etats-Unis ont été les premiers à choisir la voie du copyright. (Notion équivalente au droit
d’auteur pour les pays de common law). En France, c’est en 1985 avec la loi Lang que «
l’adoption » du logiciel sous l’égide de la protection du droit d’auteur s’est faite. Pour
compléter cette affirmation, la Cour de cassation venait d’ailleurs appliquer rétroactivement
cette protection du droit d’auteur aux logiciels antérieurs par un arrêt rendu l’année suivante
(Cass plén., Arrêt « Pachot », 1986).
Même si le législateur a choisi le droit d’auteur pour assurer la protection du logiciel, celui-ci
a été adapté au logiciel de façon à appréhender l’aspect technique de la notion de logiciel.
Le droit des brevets apparait à première vue intéressant pour la protection des logiciels, car il
pourrait avoir l’intérêt de protéger les fonctions d’un logiciel.
Toutefois en France le débat a été tranché dès 1968 avec l’adoption de la loi du 2 janvier 1968
qui expliquait le refus de l’application du droit des brevets au logiciel par son inaptitude à
remplir le caractère industriel exigé pour les inventions brevetables.
Par ailleurs le choix de ne pas opter pour le droit des brevets s’explique par des motifs
économiques et techniques.
En effet le législateur a craint que les Etats Unis inondent le marché français de demande de
brevet et qu’ils bloquent ainsi la recherche française.
Du point de vue de la technique juridique il aurait de plus difficile pour les praticiens
d’apprécier l’état de la technique antérieure en matière de logiciel, les conditions de
nouveauté et de l’activité inventive étant nécessaire pour prétendre à la brevetabilité d’une
invention.
Enfin lors du dépôt d’un brevet il est nécessaire de rédiger des revendications d’ordre
technique pour délimiter le champ de la protection accordée, or la rédaction de ces
revendications se serait avéré très complexe dans le cadre du logiciel.
C’est pour ces raisons que l’article L 611-10 du Code de la propriété intellectuelle prévoit
l’exclusion explicite de brevetabilité des logiciels.
En effet l’article L 611-10 CPI n’exclut le logiciel de la brevetabilité « qu’en tant que tel ».
Cela signifie que le logiciel ne peut pas être déposé que s’il est revendiqué en tant que tel,
mais qu’il devient brevetable lorsqu’il est intégré à une invention plus globale.
Enfin l’avantage de la protection par le droit d’auteur est que celle-ci est acquise sans aucune
formalité de dépôt, contrairement au brevet qui implique un dépôt auprès de l’Institut national
de la propriété intellectuelle entrainant un certain coût.
b) La notion de logiciel
Le législateur n’a pas précisé la notion de logiciel, cet oubli est volontaire dans la mesure où il
ne voulait pas enfermer le logiciel dans « un carcan législatif » et permettre une adaptation
plus efficace du droit d’auteur au logiciel.
L’analyse fonctionnelle sert à décomposer le futur logiciel en différents tâches que l’on
explicite.
En effet le logiciel d’exploitation est à la base de tout ordinateur car il en permet l’utilisation
et organise le fonctionnement de la machine.
Tandis que le logiciel d’application ne sera qu’une fonctionnalité incluse dans l’ordinateur,
sachant qu’il doit être forcément conçu en étant compatible avec le logiciel d’exploitation et
avec l’ordinateur sur lequel il sera installé.
Dans le cadre de l’application du droit commun de la propriété intellectuelle, les idées ne sont
pas protégées en droit français.
Un des éléments protégeables par le droit d’auteur est d’une part le matériel de conception
préparatoire.
L’article L 111-2 du CPI dispose en effet que la protection est accordée au logiciel y compris
son matériel de conception préparatoire.
C’est dans ce concept de « matériel de conception préparatoire » que se situent les analyses
fonctionnelles et organiques, qui sont donc protégées.
La protection des programmes est logique puisqu’ils sont au cœur même de la notion même
de logiciel.
Toutefois les textes ne prévoient pas la protection expresse de cette documentation, mais on la
déduit implicitement de l’article L 113-9 du CPI qui traite de la dévolution du logiciel et de sa
documentation d’utilisation à l’employeur lorsque celui-ci est réalisé dans le cadre de ses
fonctions.
Elle consiste en la manifestation graphique du logiciel, passant par des dessins, des icônes,
etc.
En effet il permet à l’auteur d’avoir un monopole sur la fixation de l’œuvre sur tout support
qui en permet la communication au public.
Contrairement au droit d’auteur classique, ce droit implique pour l’auteur du logiciel d’être
protégé à la fois contre la reproduction permanente de son logiciel, mais aussi contre toute
reproduction provisoire.
Ces actes nécessitent en effet l’autorisation de l’auteur du logiciel, sous peine d’être déclaré
contrefacteur.
Enfin le droit de mise sur le marché est totalement étranger au droit d’auteur classique.
Cela signifie que l’auteur dispose du droit de mettre son logiciel sur le marché à titre onéreux
ou gratuit.
Il existe toutefois une limite à ce droit dans la mesure où la première vente d’un logiciel dans
un Etat membre de la communauté européenne, par l’auteur ou avec son consentement, épuise
le droit de mise sur le marché de cet exemplaire dans tous les Etats membres.
Le logiciel étant considéré comme une marchandise, il est logique qu’on lui applique le
principe communautaire de libre circulation des marchandises.
La location reste cependant réservée à l’auteur même lorsqu’il y a eu une première vente dans
un Etat membre.
Concernant les droits moraux, là aussi le droit d’auteur s’est adapté au logiciel notamment en
paralysant certaines attributions qui font en principe partie des attributions de l’auteur au titre
de ses droits moraux.
La finalité de la limitation est d’éviter un exercice débridé de ces droits, notamment parce
qu’ils sont perpétuels alors que les droits patrimoniaux courent jusqu’à 70 ans après la mort
de l’auteur, puisse nuire à la commercialisation des logiciels.
Le droit au respect de l’œuvre est toutefois limité dans la mesure où un auteur ne peut pas
s’opposer à la modification du logiciel par le cessionnaire des droits patrimoniaux si elle n’est
pas préjudiciable à son honneur ou à sa réputation.
Ce droit consiste pour l’auteur à pouvoir s’opposer à une dénaturation de son œuvre.
En droit d’auteur classique, il n’est pas nécessaire de prouver une atteinte à son honneur ou à
sa réputation pour pouvoir invoquer son droit au respect de l’œuvre.
Enfin le droit de retrait, ou droit de repentir, est totalement paralysé en matière de logiciel.
Ce droit consiste au fait que l’auteur peut en principe à tout moment décider d’arrêter la
divulgation de son œuvre.
Il n’existe pas de définition précise de la notion de logiciel, et pour cause ! Cette absence de
définition permet au droit de s’adapter rapidement aux nouvelles formes de créations
informatisées: sites internet, systèmes d’exploitation, applications pour smartphone ou encore
jeux vidéo, tous rentrent dans la catégorie des logiciels et peuvent donc être protégés par le
droit d’auteur.
Toutefois, votre logiciel ne sera protégé que s’il est original . Autrement dit, s’il est le résultat
d’un processus créatif qui vous est propre et s’il représente un réel apport intellectuel.
Sous réserve d’originalité, les éléments constitutifs du logiciel pouvant être protégés par le
droit droit d’auteur sont les suivants:
Le titre, qui identifie le logiciel et qui peut également faire l’objet d’un dépôt de
marque.
Le programme en tant que tel, ce qui comprend le code source, le code objet et le
fichier exécutable, et
En revanche, l’algorithme, considéré comme une suite d’idées ne peut être protégé par le droit
d’auteur . Il en va de même pour les fonctionnalités du logiciel ainsi que du cahier des
charges.
Si votre logiciel est un jeu vidéo contenant de la musique, sachez que celle-ci est protégée par
le droit d'auteur grâce à la protection des oeuvres musicales et qu'il est possible, sous
certaines conditions, de la déposer auprès d'une société d'auteurs telle que la SACEM.
Quels sont les droits conférés à l’auteur du logiciel?
En tant qu’auteur, vous disposez de droits patrimoniaux qui vous permettent non seulement
d’obtenir une rémunération en contrepartie de l’exploitation de votre logiciel, mais également
de déterminer comment comme celui-ci est exploité. Vous pourrez notamment décider
d’interdire ou d’autoriser:
Conséquence ? Si vous avez cédé tout ou partie de vos droits patrimoniaux, vous ne pourrez
pas revenir sur cet engagement avant la fin de la date de cession prévue au contrat.
Attention, sauf stipulation contraire, le droit de retrait et de repentir ainsi que le droit de
divulgation, qui font partie des droits moraux, ne s’appliquent pas aux logiciels. Quant aux
autres droits moraux, incessibles, ils ont été aménagé et comprennent :
En principe celui qui a créé le logiciel est titulaire des droits sur celui-ci. Néanmoins, il n’est
pas rare qu’un logiciel ait été développé par plusieurs personnes ou dans le cadre de l’activité
professionnelle de l’auteur. Plusieurs cas de figure peuvent donc se présenter:
Si le logiciel est une oeuvre de collaboration entre divers auteurs, ces derniers seront
alors co-titulaires des droits sur leur logiciel commun. Les décisions concernant son
exploitation devront donc être prises à l’unanimité;
Si le logiciel a été créé à l’initiative d’une personne physique ou morale qui l’édite, le
publie et le divulgue, alors cette personne sera considérée comme étant propriétaire du
logiciel ;
Si le logiciel est une oeuvre de commande, l’auteur reste titulaire des droits sur son
logiciel sauf dans le cas où un contrat de licence ou de cession a été signé ; enfin
Si l’auteur du logiciel est un salarié qui opère dans le cadre de ses fonctions ou sur
instruction de l’employeur , ce dernier obtiendra automatiquement les droits
patrimoniaux sur le logiciel développé par son salarié.
Si votre logiciel fait l’objet d’une contrefaçon (copie sans votre consentement de tout ou
partie de votre logiciel), vous pourrez entamer une action en justice afin de faire cesser les
actes de contrefaçon et obtenir, le cas échéant, des dommages et intérêts.
La preuve de la contrefaçon est libre et peut se faire par tous les moyens notamment par une
saisie-contrefaçon qui est procédure par laquelle un huissier de justice peut inspecter les
locaux du contrefacteur, sans que celui-ci ne soit prévenu, et ainsi saisir des preuves
matérielles de la contrefaçon.
Toutefois, afin de faire cesser la contrefaçon, vous devez prouver que vous êtes bien l’auteur
du logiciel contrefait. Pour ce faire, il vous faudra notamment constituer une ou des preuves
d’antériorité pouvant établir la date à laquelle les éléments constitutifs de votre logiciel ont été
créés. L’horodatage par la Blockchain est l’une des méthodes que vous pouvez utiliser dès à
présent pour protéger vos créations logicielles.
Vous avez édité un logiciel et vous souhaitez concéder à votre client le droit de l'installer et de
l'utiliser? Prenez le temps de consulter notre fiche sur le contrat de licence et de
maintenance de logiciel pour connaître les clés de la conclusion d'un tel contrat.
Chapitre 2 : Les types d’intervenants
Aujourd'hui plus qu'hier et encore d'avantage demain, tous les secteurs d'activités utilisent
l'outil informatique. Ainsi, l’informatique appartient à. présent, à ceux qui savent transformer
leurs habitudes de travail et enrichir leurs expertises en l'associant à celles contenues dans les
ordinateurs et les logiciels. En clair, les titulaires des fonctions administratives, commerciales,
de production' etc. sont tous condamnés à s'adapter à l'évolution continue de l'informatique.
Fort de tout cela, nous-assistons à une diversité d'intervenants dans « l'industrie informatique ».
- Fournisseurs
Peu importe le domaine, lorsque vient le temps pour votre entreprise d’entreprendre un
nouveau projet avec un fournisseur, il est primordial d’étudier les options qui s’offrent à
vous afin de faire le meilleur choix pour votre entreprise.
Alors que toutes les gammes de produits, services et solutions existent sur le marché, ceci
est particulièrement le cas dans la sélection de votre fournisseur de services
informatiques, puisque les TI peuvent représenter un facteur important dans les
opérations et la réussite de votre entreprise.
Voici donc les 5 facettes à étudier lors de la sélection de votre (prochain) fournisseur
informatique.
1) Expertise, expérience et réputation
Qu’il s’agisse d’un projet d’envergure, d’une impartition de services informatiques ou tout
simplement d’un petit projet de dépannage, vous voudrez vous assurer que votre fournisseur
a l’expérience et l’expertise pour amener votre entreprise du point A au point B. Depuis
combien de temps le fournisseur est-il en affaires? À quoi ressemble son expérience sur le
marché?
Travail-t-il avec des clients similaires à vous? Est-ce que vous avez été référé vers ce
fournisseur par une connaissance ou une tierce partie en laquelle vous avez confiance?
Assurez-vous d’avoir réponse à ces questions avant de faire votre choix puisqu’elles vous
donneront une bonne indication du potentiel « fit » entre votre entreprise et ce futur/nouveau
fournisseur informatique.
Il va sans dire que toutes les entreprises ont un certain degré de différences qui les
distinguent. Il n’y en a pas moins pour les services et solutions informatiques. Est-ce que le
fournisseur que vous considérez offre une gamme de services et solutions qui répondent
vraiment à vos besoins? Ont-ils les certifications nécessaires pour mener votre projet à terme,
de la meilleure façon possible?
Si vous avez le choix entre plusieurs fournisseurs, prenez bien le temps de comprendre leur
pratique, leurs certifications et leurs processus. Il y aura certainement des différences dans les
gammes et niveaux de services et solutions que les entreprises pourront vous livrer. Assurez-
vous de bien analyser la différence parmi les options afin de faire un choix éclairé qui
répondra mieux à vos besoins.
3) Qualité du soutien
Les compagnies avec qui vous vous entretenez ont-elles les processus internes pour répondre
à vos exigences et vraiment soutenir votre entreprise lorsque le besoin se fera sentir? Bien
entendu, il n’est pas facile d’avoir une réponse parfaite avant de connaître la réalité, et « une
fois n’est pas coutume » mais en posant les bonnes questions, vous serez en mesure d’avoir
une meilleure idée et de prendre une décision plus éclairée en écoutant les réponses qui vous
seront fournies.
4) Gestion des comptes clients et partenariat
Ce sont des points que vous devez identifier afin de prendre la bonne décision, quand il s’agit
d’un fournisseur informatique, vous cherchez un partenaire qui pourra vous accompagner à
prendre les bonnes décisions technologiques, afin que votre entreprise puisse bénéficier au
maximum de ses investissements en TI.
5) Analyse de valeurs
Dans toutes les décisions d’achat et de sélection de fournisseur se situe une part consacrée à
l'évaluation du prix. Est-ce que le prix du fournisseur que vous évaluez reflète la valeur qu’il
va vous apporter? Est-ce le moins cher ou le plus dispendieux? Dans le cas d’un fournisseur
plus onéreux qu’un compétiteur, vous amène-t-il plus de valeur que la concurrence? Si oui, la
décision d’investir un peu plus vaut probablement la chandelle. S’il s’agit d’une banalité pour
vous, la meilleure offre financière peut également faire osciller la balance pour vous.
Assurez-vous de ne pas seulement valider le prix d’une solution ou d’un service, mais surtout
la valeur qui est reflétée par ce prix pour votre entreprise. Avez-vous une offre qui justifie sa
valeur? Est-ce qu’un investissement plus important peut vous amener un meilleur retour sur
investissement? C’est probablement cette facette qui, parmi les autres critères de décision que
vous avez évalués, vous permettra de choisir adéquatement le fournisseur de services TI pour
votre entreprise.
Conclusion
Dans un réseau informatique, un client est le logiciel qui envoie des demandes à un serveur. Il
peut s'agir d'un logiciel manipulé par une personne, ou d'un bot.
En plus de ces fonctions de base, les services informatiques jouent souvent un rôle actif dans
la saisie des demandes de changement, le maintien des contrats de soutien avec des tiers, la
gestion des licences logicielles et la gestion des problèmes.
Son rôle est de répondre aux demandes d'assistance des personnes utilisant ... Le Service
Desk est le service informatique par excellence orienté client
- Conseil / Juriste
Outre notre connaissance approfondie des technologies numériques les plus récentes, nous
disposons d'une expérience pratique des clauses contractuelles habituelles et des dispositions
qui posent souvent des problèmes au stade de la négociation des conventions informatiques ou
de leur exécution. Nous assurons à cet effet une veille juridique constante sur les actualités
juridiques et la jurisprudence applicable, rendue en droit des TIC (arrêts Faurecia / Oracle,
IBM / MAIF, Oracle / AFPA, etc.), mais aussi en droit des entreprises et en particulier en
droit des contrats par la Cour de cassation et les juges du fond. Nous suivons notamment
l'évolution jurisprudentielle et les réformes législatives du code civil, du code de commerce,
du droit commun des contrats et du droit des obligations.
L'assistance d'un avocat spécialiste du droit informatique et des litiges informatiques entre
prestataire informatique et utilisateurs permet à nos clients d'anticiper contractuellement les
risques juridiques de chaque partie et les problèmes juridiques susceptibles de survenir,
notamment les questions juridiques de responsabilité contractuelle, de résiliation du contrat,
de rupture brutale de relations contractuelles établies ou de rupture abusive des pourparlers,
les demandes de dommages et intérêts dans le cadre de procédures en indemnisation du
préjudice commercial subi par un contractant ou de réparation du préjudice d'image, de dol ou
de vice du consentement en cas de manquement aux obligations pré-contractuelles de
renseignement, les questions de préavis de résiliation de plein droit et de mise en demeure en
cas d'inexécution du contrat ou d'impayés.
Nous rédigeons tout type de contrat IT conclu entre un prestataire de service informatique et
un client, notamment : contrat de licence d'utilisation de logiciel ; contrat de maintenance
informatique ou de télémaintenance (maintenance de logiciel ou de solutions informatiques,
de matériel informatique, poste de travail ou parc informatique ; contrat de prestations de
services informatiques et notamment contrat d'externalisation informatique.
Nous intervenons également pour rédiger des contrats relatifs aux droits de propriété
intellectuelle : contrat de cession de droits de PI, contrat de licence de distribution de
logiciels, contrat de licence de marque...
Nous accompagnons les prestataires de services informatiques (SSII / ESN) et les éditeurs de
logiciels, comme les entreprises utilisatrices, pour négocier les clauses contractuelles et
sécuriser les relations entre les cocontractants, notamment en matière de contrat
d'intégration de systèmes, de contrat d'implémentation de progiciels de gestion intégrée
(ERP), de contrat de virtualisation, de mise en place de système informatique de gestion des
ressources humaines (HRIS), ou encore de projets d'implémentation de CRM, de warehouse
management system, de SCM ou d'architecture intergicielle (EAI).
Nos avocats négocient de manière habituelle des contrats de prestation informatique tels que
contrat de helpdesk, contrat d'infogérance, d'outsourcing ou de tierce maintenance applicative,
contrats SaaS ou de migration vers le cloud, projet de dématérialisation ou de numérisation,
contrats de téléphonie et de réseaux LAN, WAN, SD-WAN entre entreprises utilisatrices et
« telco ». Les contrats d'externalisation font souvent l'objet de négociations contractuelles
délicates : compte tenu de l'importance stratégique que revêt généralement l'externalisation de
tout ou partie du SI de l'entreprise, la négociation de la clause limitative de responsabilité
civile est souvent difficile, de même pour la clause de réversibilité en fin de contrat, les
clauses de pénalité, les questions de backup du système et de sauvegarde des données, la
convention de niveau de service ou la définition des KPI.
Les contrats de licence de logiciels (licence classique on-premise ou licence SaaS, licence sur
logiciels libres / open source) font également partie des documents contractuels que nous
négocions très fréquemment.
Dans le domaine du droit des affaires, du droit commercial et du droit de la distribution, nous
apportons nos conseils juridiques sur des documents en lien avec l'informatique : conditions
générales de vente, conditions générales d'achat ou autres contrats commerciaux portant sur
des produits ou services informatiques ou sur des droits incorporels.
A ce titre nous sécurisons les aspects juridiques des transactions en termes de cession de
droits de propriété intellectuelle, qu'il s'agisse de propriété littéraire et artistique (notamment
en matière de vente / distribution de logiciels) ou de propriété industrielle (marques, brevets,
noms de domaines et autres signes distinctifs).
Nous intervenons aussi, si besoin au côté d'un avocat spécialisé en droit des sociétés, en droit
fiscal ou en droit du travail, dans des opérations de fusions-acquisitions ou de spin-off, pour
assurer, dans la rédaction d'actes, l'efficacité des transmissions de droits de PI sur les actifs
immatériels, notamment en rédigeant des contrats de services transitoires ou des contrats de
carve-out.
Nous fournissons des prestations de conseils juridiques pour l'élaboration des documents
contractuels habituellement annexés aux contrats IT :
- Installateur de réseau
Son rôle consiste à faire communiquer entre eux les différents postes d'un réseau. Son travail
s'effectue en plusieurs étapes. Il étudie les plans et les schémas d'installation qui lui sont
soumis. ... Il déroule et fixe sur ces poteaux des câbles cuivre (téléphone) ou coaxiaux
(réseaux câblés ou de télévision)
Activités principales
Il pose ensuite les supports, déroule les câbles, établit les connexions entre les différents outils
et les raccorde au réseau général.
Comment travaille-t-il ?
S'il travaille dans une société de vente et d'installation, l'installateur en télécoms passe la plus
grande partie de son temps chez les clients.
S'il exerce son activité dans un grand groupe ou une administration, il se déplace de service en
service afin de procéder au renouvellement du matériel.
Où exerce-t-il ?
Qualités requises
Autonome :
Habile :
Installer du matériel nouveau sur des installations hétérogènes et parfois anciennes, demande
de très bonnes connaissances techniques et une bonne habileté manuelle.
Disponible :
Il doit être à l'écoute des utilisateurs et être capable de donner des conseils à ses clients.
Savoir-faire
- Identifier les phases d'intervention à partir des informations du diagnostic help desk,
de la hot line, des dossiers constructeur
- Connecter une boîte de raccordements
- Assembler les éléments de l'équipement
- Identifier les matériels à intégrer
- Installer l'équipement sur le site et le connecter aux réseaux extérieurs
- Configurer ou paramétrer l'équipement de télécommunication, de courants faibles et
effectuer les essais fonctionnels
- Vérifier la conformité de l'installation sur site, help desk, hot line
- Remettre les systèmes en état de fonctionnement par échange standard ou réfection
d'ensemble ou de sous-ensemble
- Renseigner les supports de suivi d'intervention et transmettre les informations au
service concerné
- Analyser un cahier des charges
Savoir
1. La segmentation de la demande qui est une partie très importante dans chaque
entreprise puisqu’elle détermine les personnes qui seraient éventuellement intéressées
par le produit ou le service en question. La segmentation permet également de classer
les demandeurs de ce produit ou service selon des catégories : particuliers, entreprises
(morales ou physiques), hommes, femmes, jeunes, adolescents, enfants, adultes ou
personnes agées …
2. L’échelle d’évolution globale de la demande sur le marché tout au long des
dernières années et la courbe des prévisions d’évolutions prévues ou attendues pour
les prochaines années.
3. L’analyse des attitudes et des comportements des clients potentiels et l’examen
minutieux des réactions du client : Pourquoi il achèterait le produit ou le service ?
Quand est ce qu’il serait prêt à l’acheter, et à le consommer ? Quelle serait la
fréquence d’achat, combien de fois acheter ce produit et où l’acheter ?
L’entreprise qui, en étudiant son marché, effectue une structuration de ses clients, permet au
chef d’une entreprise ou d’un projet de déterminer les non-consommateurs relatifs et les
clients des concurrents. Une fois ces « non-consommateurs » ciblés, il pourra essayer de les
conquérir, en faisant des actions commerciales spécifiques pour eux.
Les critères traditionnels qui ont un rapport avec la socio-démographie (âge, sexe,
niveau de revenu, …),
Les données géographiques (lieu d’habitation, ville, pays),
Les données psychologiques qui permettent une classification nette des clients et des
acteurs du marché,
Les critères comportementaux qui aident à classer les consommateurs (potentiels ou
existants) selon leur manière et leur fréquence de consommation (mode d’achat,
fréquence d’achat, raison d’achat…)
L'offre informatique est composée de trois grandes parties : l'offre matérielle (Hardware),
l'offre logicielle (Software) et l'offre de services.
Le matériel informatique est aujourd'hui utilisé par les ménages, par les entreprises quelle que
soit leur taille, par les administrations publiques, et, ne l'oublions pas, par plusieurs industries
telle que l'industrie automobile ou aéronautique et ses systèmes embarqués.
Nous pouvons quantifier le matériel vendu et utilisé dans le monde, selon les régions, mais
cela est plus difficile en ce qui concerne l'offre de service, qui devient aujourd'hui
indissociable de l'offre matérielle. L'offre logicielle est quantifiable, mais ce qui l'est moins
est bien le piratage dont elle est victime. Des offres gratuites viennent également changer la
donne et pénètrent le marché en masse ; nous parlons ici de l' « Open Source ».
En ce qui concerne l'offre matérielle, elle est essentiellement composée, comme cité
précédemment, d'ordinateurs de bureau, d'ordinateurs portables, de serveurs, d'unités de
sauvegarde ainsi que de divers périphériques.
Pour se faire une meilleure idée de ce marché, voici quelques données qui nous permettent de
positionner les acteurs de ce marché et les secteurs qui consomment le plus de matériel
informatique.
Nous voyons clairement que HP, Acer, Dell et Lenovo se partagent une grande partie du
marché (près de 50%). Mais nous sommes loin du modèle d'un marché de monopole ou même
d'oligopole car 47% du marché est partagé par une multitude de constructeurs. Cela nous
confirme que c'est un marché très compétitif.
Ci-dessous, les secteurs qui consomment le plus de matériel informatique ; Notons que le
secteur public, le secteur industriel, celui des services financiers, ainsi que le secteur des
télécommunications sont les plus gros clients des constructeurs en consommant 70% du
marché global (marché informatique au sens large). Ce marché représente 2677 milliards de
dollars en 2008 dans le monde.
B) L'analyse concurrentielle
Pour avoir une vue d'ensemble sur le marché, nous allons nous baser sur le modèle des cinq
forces concurrentielles de Michael Porter. Cela nous permettra d'avoir une approche globale
du marché et de déterminer à quel point la concurrence est intense.
Tout d'abord, définissons les forces concurrentielles présentes sur le marché.
Les concurrents présents dans le secteur : dans le cadre de notre étude, les concurrents du
secteur seront les grandes entreprises citées précédemment (IBM, Asus...) qu'elles soient
occidentales ou asiatiques. Ces entreprises, nous l'avons bien compris se concentrent sur un
seul domaine d'activité stratégique. Notons qu'un domaine d'activité stratégique (DAS) est un
ensemble homogène de produits ou de services visant à satisfaire une demande spécifique au
sein d'un marché spécifique. Ici, nous nous baserons sur le sens large du terme : les
concurrents du secteur sont tous les producteurs de matériel informatique hardware
(ordinateurs de bureau, pcs portables, serveurs, sauvegarde...) visant à satisfaire le besoin
d'échange et de traitement de l'information à travers le monde.
Les nouveaux entrants sur le marché sont toutes les entreprises susceptibles de vouloir se
positionner sur un marché existant, et capables de passer les barrières à l'entrée : sont-elles
capables d'économies d'échelles ? Ont-elles une assise financière assez solide pour
concurrencer les forces en présence ? Quelle sera la réaction des concurrents du marché ?
Comment la demande accueillera t-elle cette nouvelle offre ? Ce sont les questions auxquelles
nous devons répondre dans le cadre de l'analyse concurrentielle.
Dans chaque marché qui répond à une demande spécifique, nous trouvons en parallèle des
produits de substitution répondant à un même besoin. Dans notre cas, les produits de
substitution existent bel et bien. Dans un contexte de convergence technologique, l'I-phone ou
le Blackberry par exemple répondent parfaitement au besoin d'échange et de traitement du
contenu numérique ; leurs fonctions premières sont pourtant bien différentes de celles du
matériel informatique...
Les clients :
Leur pouvoir est évident sur un marché : si des distributeurs décident de ne plus
commercialiser une marque, au profit d'un concurrent, cela change bien évidemment la donne
sur le marché. Leur pouvoir de négociation est fonction de leur taille et de l'importance
stratégique qu'ils représentent pour le constructeur. Dans notre cas, les clients sont
principalement les grandes enseignes de distribution pour le grand public (Darty,
Carrefour...), les revendeurs informatiques pour les professionnels, les SSII qui ont besoin de
matériel informatique pour fournir à leurs clients une solution globale, les intégrateurs. Les
constructeurs informatiques utilisent également un mode de vente direct, dont Dell est le
précurseur ; les clients finaux sont donc également à prendre en compte. Ces clients finaux
sont généralement segmentés en quatre grands groupes : les particuliers, les PME, les grandes
entreprises (effectif supérieur à 500), et les entités publiques (administrations, hôpitaux,
universités, collectivités territoriales).
Après avoir défini les cinq forces présentes sur le marché, nous pouvons désormais
schématiser l'ensemble pour nous rendre compte de l'intensité concurrentielle des forces en
présence et leurs pouvoirs de négociation.
Nouveaux Entrants
Produits de substitution
-Menace des produits Apple qui suivent cette tendance (Iphone, Ipad)
Les clients
- Peuvent avoir un grand pouvoir de négociation selon leur taille (client stratégique,
intégrateur, grands distributeurs spécialisés)
-Les Clients particuliers ou petites entreprises achetant occasionnelle-ment ont très peu de
pouvoir face aux grandes firmes. Ils restent néanmoins stratégiques, selon les marques (c'est
le cas notamment pour HP)
Les fournisseurs
- Rendent dépendants les constructeurs pour certains composants essentiels où l'offre n'est pas
diversifiée (ex : Intel et Amd, ou encore Microsoft)
- Sont dépendants des constructeurs lorsqu'il s'agit de périphériques ou lorsque l'offre est
diversifiée
Barrières à l'entrée =
Pouvoir de négociation +
Pouvoir de négociation +
Cette vision d'ensemble nous permet de comprendre que les constructeurs dépendent de
plusieurs autres composantes du marché. C'est cette interdépendance et en même temps cette
abondance de l'offre qui créent une tension et rendent ce marché si compétitif. Nous allons à
présent déterminer quel est le positionnement de chaque marque sur le marché. Nous nous
pencherons exclusivement sur l'offre matérielle car l'offre de service sera détaillée
ultérieurement.
Il est important de situer les marques sur le marché. Cela nous permettra par la suite de mieux
comprendre leurs comportements individuels face à la tertiarisation du marché, que nous
développerons par la suite. Nous déterminerons tout d'abord les largeurs des gammes de
chaque grande marque du secteur, puis leurs cibles ainsi que les comportements d'achats
spécifiques.
Pour vérifier la fiabilité des informations recueillies, la veille concurrentielle doit être
appuyée par une ou des études sur le terrain ou des sondages d’opinons.
Les équipes spécialisées chargées d’élaborer les différentes parties de l’étude de marché
doivent également visiter les points de vente des futurs concurrents directs et indirects
pour avoir une base de donnée détaillée qui ressemble à une fiche technique et
administrative consacrée à l’entreprise ou au projet.
Elles devront également établir la liste des produits (notamment les nouveaux produits qui
vont être lancés prochainement), les marques exposées au marché, la liste comparative des
prix, ainsi que les forces et faiblesses de chaque concurrent pour savoir comment l’affronter
ou comment lier des relations positives avec lui.
L’étude de l’offre et de la demande se fait à partir de plusieurs données qui servent toutes à
définir le cadre général du marché et à tester l’effet de l’implantation de l’entreprise ou l’effet
de lancement du produit ou service dans ce cadre. Cette étude aide notamment à tracer une
ligne d’actions et une stratégie de commercialisation qui tente de traiter le client selon ses
besoins, ses attentes et ses caractéristiques.
« Quelles sont les étapes de la création d’entreprise ? Par où commencer ? Comment faire un
business plan, un prévisionnel, un plan de financement ? Quel est le statut adapté pour notre
entreprise ? » Autant de questions que les 2 créateurs se sont posées AVANT d’être
accompagnés par le Correspondant local Jérôme Freyder.
Avec une technique de prospection commerciale bien étudiée et bien posée, votre entreprise
excellera dans son domaine.
Pour vendre efficacement, il faut bien évidemment maîtriser les stratégies commerciales de
base, avoir de la méthode, utiliser les bons outils et savoir se mettre à la place de son
prospect. En outre, il faut être apte à automatiser certaines tâches afin de parfaire le tout.
Recevez douze des meilleurs conseils pour prospecter dans cet article.
Avant de commencer votre prospection, vous devez d’abord réunir dans votre base de
données tous les contacts que vous aurez collectés. En les regroupant et en les centralisant
dans un seul fichier, vous parviendrez à définir vos actions pour ainsi faire des approches,
quitte à faire des relances en présentant des nouveaux arguments.
Avant de commencer, nous vous conseillons de repérer quels sont ceux qui sont susceptibles
de s’intéresser à votre offre, et qui bien sûr ont la capacité et les moyens de s’offrir vos
services. Privilégiez les clients qui ont des entreprises en développement. Vous pouvez
même aller plus loin en analysant les business de ces prospects.
C’est ainsi que vous passez à l’envoi des mails pour promouvoir votre société. N’hésitez pas à
spécifier que vous êtes apte à l’aider dans les difficultés qu’il rencontre. Soyez la solution à
leurs problèmes
En principe, un prospect sait toujours ce qu’il a à acheter pour régler ses soucis. Mais il vous
demandera toujours des conseils et des recommandations pour l’aider à choisir sur tout ce
qu’il va retrouver sur le marché. En effet, un client recherchera toujours à se faire rassurer
qu’il a effectué le bon choix et qu’il n’a pas à regretter sa décision. C’est à ce moment précis
que vous ferez votre entrée en matière :
Parlez en utilisant des généralités du type : « Ce produit est spécialement apprécié par
nos clients » ou encore « Ma sœur utilise le même à la maison ».
Essayez de donner confiance à la personne sur le choix de vos produits ou de vos
services, comme par exemple la recommandation d’une association de
consommateurs, ou le logo d’une revue.
Il est d’usage que les consommateurs cherchent à faire de bonnes actions. Une notice sur vos
produits qui montre que vous réservez une partie de vos revenus à des œuvres caritatives
ajoute toujours une valeur et plus d’émotion.
C’est une tactique qui consiste à mener le prospect à acheter vos produits ou requérir vos
services le plus rapidement possible. Les vendeurs cherchent dans cette initiative à mettre un
peu de pression, créer une petite urgence. Vous pouvez toujours inclure dans vos annonces
les petites phrases du genre : « Nous liquidons tout aujourd’hui ! ».
Un bon commercial est toujours attentif aux besoins de son prospect. Il doit être capable
d’adapter ses arguments par rapport au cycle des ventes. Commencez toujours par identifier
quels sont les besoins de vos prospects. Les réponses que vous obtenez vous permettront de
rechercher des solutions qui répondent aux problématiques. C’est ainsi que vous
parviendrez à établir quels sont les points de frictions qui font que le prospect hésite de passer
à l’achat
Il s’agit de réaliser des fiches concurrentielles pour réaliser des web séminaires avec votre
équipe commerciale. Cela vous permettra de se focaliser sur vos concurrents pour mieux les
contrer, et proposer des offres meilleures à vos prospects.
Pour générer des leads, il est essentiel d’être proactif sur son site. Cela permet d’engager les
visiteurs par l’intermédiaire d’un message personnalisé selon la page visitée. Les contenus de
vos pages doivent être de qualité pour susciter l’intérêt des internautes. Proposez des livres
blancs, un remplissage de formulaire pour télécharger un livre blanc, etc.
Un commercial a toujours l'habitude de s’attarder sur les informations sur les contacts. Pour
ne pas ainsi perdre du temps, il est recommandé d’utiliser des outils comme CRM. Vous
pouvez ainsi mémoriser toutes vos actions, gérer le volet administratif. Il est d’ailleurs plus
pratique de pouvoir retracer ses actions.
La professionnalisation de la vente
Les démarches doivent être aussi structurées que possible. Il faut donc faire usage de logiciels
les actions telles que le regroupement de contacts. C’est pourquoi il est nécessaire de passer
par la stratégie réseaux sociaux afin d’obtenir des alertes en temps réel.
Utiliser les réseaux sociaux pour prospecter des clients
Avec des plateformes comme LinkedIn, vous trouverez facilement les profils qui vous
intéressent, les contacter via mail. Cela vous aidera aussi à établir des profils pour vos
personas et définir les prochaines actions que vous allez apprendre pour approcher vos
prospects.
Pour mener à bien une prospection commerciale, il est important que les commerciaux soient
performants. Pour ainsi faire, vous pouvez les coacher. Des rapports d’activité doivent être
effectués régulièrement pour connaitre quelles sont les règles qui ne sont pas suivies par vos
collaborateurs, ou quels sont les points qui méritent éclaircissement et améliorations.
Pour cette partie, nous proposerons le tableau synthétique ci-dessous. Le but étant de
déterminer quels sont les constructeurs qui sont positionnés sur tous les composants d'une
offre informatique, en opposition à ceux qui sont spécialisés sur certains types de matériel. Le
tableau reflète la situation actuelle du marché, il prend en compte les fusions et acquisitions ;
l'offre Compaq est intégrée dans l'offre HP par exemple, idem pour Packard Bell et Acer.
IBM et Lenovo sont par contre présentés séparément car malgré le fait que Lenovo
(anciennement Legend) ait racheté la division micro informatique d'IBM, cette dernière est
toujours positionnée sur le marché de l'informatique. Notons également que nous intégrons
Apple dans cette étude, même si l'entreprise a un positionnement particulier sur le marché et
qu'elle est généralement traitée à part ; nous partons du principe que l'offre proposée par
Apple est bel et bien une offre informatique même si la distinction entre Mac et Pc est
toujours d'actualité.
Rappelons que nous laissons de côté l'offre de services qu'elle soit pour les professionnels ou
pour les particuliers ; nous aurons le loisir de développer cet aspect du marché en deuxième
partie, ainsi qu'à travers l'étude de cas DELL.
HP
Acer
Dell
Le novo
IBM
Asus
Fujitsu
Toshiba
Sony (vaio)
Bull
Sun
Les offres matérielles Hardware sont, bien que différentes, tout à fait comparables entre les
différents constructeurs. Concernant les offres de logiciels (Software), il y a des distinctions à
faire. Certains constructeurs tels que HP, Dell, ou encore Acer, proposent du matériel avec un
système d'exploitation (windows) ainsi qu'un complément optionnel diversifié (Microsoft,
symantec, photoshop...) pour les particuliers comme pour les entreprises. D'autres
constructeurs développent eux-mêmes certaines solutions logicielles tels que Sun ou Apple.
Une troisième catégorie enfin, est considérée comme intégrateurs d'infrastructures IT
complexes, en utilisant des logiciels professionnels tel que Oracle par exemple ; les mieux
positionnés sur ce marché sont IBM, Bull et Sun, bien que loin d'être les seuls. Généralement,
ces intégrations sont accompagnées d'une riche offre de services, en vue d'offrir une solution
globale. La première catégorie citée auparavant (HP, Dell...) se positionne également sur cette
activité, mais cela ne constitue pas leur coeur de métier, du moins pas encore.
Cible
HP
Acer
Dell
Le novo
IBM
Asus
Fujitsu
Toshiba
Sony (vaio)
Bull
Apple
Sun
Pour chaque cible nous allons tenter de déterminer maintenant quels sont les différents leviers
sur lesquels les marques doivent jouer. Bien entendu, chaque vente est unique, mais nous
retrouvons néanmoins des comportements d'achat communs à chaque grand segment. Nous
allons utiliser le modèle SONCAS, cité précédemment. Ce modèle repose sur 5 leviers
d'achats :
Levier
Particuliers = + ++ ++ + +
PME + = = + ++ =
Grandes Entreprises ++ - = = + -
Entreprises Publiques ++ - - = + -
La stratégie Marketing des constructeurs est orientée en fonction de leurs cibles et des leviers
d'achats les plus importants ; Bull ou encore IBM auront une approche du marché
complètement différente de Sony ou Apple.
Notre but maintenant est de comprendre comment toutes ces entreprises se sont adaptées au
développement des services et jusqu'à quelle mesure ce développement a constitué une réelle
opportunité ou une menace sérieuse pour elles.