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PEECIS
DE
LINGUISTIQUE SÉMITIOUE
C. BROCKELMANN
PRÉCIS
D E
LINGUISTIQUE SÉMITIQUE
traduit de 1 allemand
PAE
W! MARÇAIS
Directeur de la Médersa d'Alger
ET
Mf COHEN
Agrégé de TUniversité
524208
3. 7- S^
PARIS
LIBRAIRIE PAUL GEUTHNER
68, Rue Mazarine, 6S
1910
Avant-propos des Traducteurs.
été de même
des dialectes à Tépoque préhistorique ;
seulement l'absence de toute tradition fait que nous
ne pouvons plus rien prouver à cet égard. En prin-
cipe, c'est une fiction de parler de la langue com-
mune d'un grand peuple, à moins qu'il ne s'agisse de
la langue littéraire qui, bien qu'elle puisse valoir comme
une norme idéale, n'est pourtant jamais parlée telle
quelle dans la vie réelle. Aussi bien, quand nous par-
lerons plus loin du sémitique commun n'est-ce naturel-
lement qu'une liction. Nous n'avons même à aucun
point l'illusion qu'il soit possible par la comparaison
des différentes langues de reconstruire, même avec
une vraisemblance approximative, la langue commune
dont elles tirent leur origine. Les formes « sémitique
commun « que nous donnerons ne sont, dans une cer-
taine mesure, (jue des formules exprimant l'état actuel
de nos connaissances pour ce qui concerne l'évolution
et les relations de faits de langage propres aux diffé-
rents idiomes.
Ce qui distingue le groupe sémitique des autres-
groupes linguistiques, est, avaut tout, au point de vue
phonétique, la prépondérance des consonnes sur les
voyelles. Pour les Sémites, l'idée fondamentale qu'ex-
14 l"" PAEÏIE.
untérii'ure au ^ ''
sircU', fui ccllo du Tariiouui de la
Tora attril)U('' à Onktdos \r,\v coiifusiou avec Aquilas,
le traducteur de la Bil)le eu lauiiue irrecque. Plus
récent encore est sans doute le Tarfiouni des Pro[)hètes,
texte qui n"a pas la luènie importanct^ liturgi(jue (jue
la Tora. Les deux Targouins nous montrent le dialecte
une forme assez pure, quoique natu-
j)alestinien sous
rellement contaminée de noml)reux liébraïsmes. Par
conti'e, les Targoums dits de Jérusalem, et postérieurs
d'au moins deux siècles, sont déjà écrits dans un dialecte
<irtiliciel, mélange d'éléments araméens oiientaux et
occidentaux. Les deux plus anciens Targoums nous sont
iuissi conservés pour la plus grande partie par les Juifs
de Babylone, qui les munirent tout d'abord du système
ûe ponctuation qu'ils avaient créé. Tandis que la ponc-
tuation tibérienne était fortement altérée dans la
tradition de l'ouest, où la lecture du Targoum à la
synagogue n'avait plus de signification praticjue, les
Juifs de TArabie méridionale conservèrent, et ITiabitude
Je cette lecture, et la tradition du vocalisme babylonien
que par conséquent nous n'avons pu bien connaître
que dans ces derniers temps. Un j)eu plus ancienne
-encore que la langue des Targoums est celle de quelques
jîetits monuments, comme les listes déjeunes, quelques
])lus tard, cette marche vers Test fut suivie aussi par-
L'kCEITURE SEMITIQUE.
= £ ; et ^ .9 ^ ^, (le 1^ .2; =^ ;
<|ue (g) / = 9 ne se
distingue de X ^ =
t que par le cercle ipii le limite ;
3«^ PARTIE.
CHAPITRE I. — PHONETIQUE.
"sourde h.
10. Quatre laryngales, Tocclusive glottale ', la
spirante laryngale sourde h, une variété de cet h arti-
culée avec une forte pression interne du larynx h, et
un' ii'ain) articulé de la même manière, mais sonore.
s'est tenu debout, " iagliijina > iaglTma, " ils décou-
vrent «, etc. De même déjà en sémitique commun, il
2. Constitution syllaijique.
5. En
dehors de l'accent du mot il y a aussi dans-
langues sémitiques un accent de phrase, qui
to.utes les
donne des valeurs différentes au point de vue de l'ac-
centuation aux différents mots de la phrase. En hébrea
a) les consonnes.
2. SiFFLAKTES ET DENTALES.
Sémitique com-
tp d(t {i> d s s s s z
mun
Arabe ancien tp dit i
p (?) d (d) s s s z
Ethiopien f s d z t s d s s s z
Hébreu ts dz .s s s
Araméeu
Assvrien ts
t d
dz
T
t s
s
s
s s
s s
z
^, p et it comme
eu hébreu avec le trai-
apparaissent
tement s, ë et 2, sans doute parce qu'ils avaient encore
à ce moment leur valeur primitive, et qu'en adoptant
l'alphabet cananéen on a été obligé de tigurer les sons
qui manquaient dans cet alphabet par des signes qui y
correspondaient à peu près. Le sémitique commun d
a passé à // cependant après un () ancien, il est quel-
;
3. Labiales.
^
Voir Sievers. Grund: uge der Phonetik, ä«' éd , § 163.
74 3« PARTIE.
4. SONAÎJTES.
indistinctement.
Dans les dialectes modernes de l'arabe r a très
souvent une prononciation emphatique c'est cette ;
5. Les semi-voyelles h et i.
h) les voijélles.
1. Voyelles longues.
2. Voyelles bkèves.
a) Assimilations consonantiques.
sém. occ. kbd, r. " être lourd », ass. ""bt > sém. occ.
'bd, Y. " disparaître ».
sayïr ^
arabe moderne sfßr « petit (t passe à ^ devant .•
;
racines pst =
arabe hst « étendre », sdq hébr. 5(?g; =
« être juste », dans s'iTiiù, diminutif de zotà « petit »,
*dihsu >
"^dijisu >
dispii « miel » v. ci-dessous § 146, 6),(
-
1. En arabe ancien p est assimilé eu h à un r dans
ar. hurf/np = hébr. parlas « puce ». Des assimilations
comme sirât ^ 5/m/ « rue mot étant emprunté
» (ce
du latin sfrata) sont souvent recommandées dans les
règles de lecture du Coran. Parmi les nombreuses assi-
milations dans les dialectes récents, il ne sera cité ici
•que le passage d'un phonème simple à l'emphatique
correspondante sous l'influence de r : arabe de S}Tie
for ^
tor « bœuf » darh darb « chemin » >
cette ;
i
.
a) dentales.
a) En arabe on phénomène
trouve des exemples de ce
à la 5® et 6® formes, notamment dans la langue du
Coran et les dialectes modernes, où par analogie avec
l'imparfait il a été créé même des formes de parfait
de cette sorte (atadallcaru :* {atÊalikaru iaddak- ^ ^
haru « il se souvient «, iatatahharu iattaliharu >
« il se purifie »
h) sonanies.
90 S" PARTIE.
105. 2. En assyrien les groupes ds, të, (s, ss, zs, ss, quand
le mot ^iipai y> arani. bib. ''Ipai ^ syr. ''ïp " il est »,
commun à tous les dialectes. En dehors de ce cas ii ^
syr. ie est conservé par l'analogie. En syriaque et en
mandéen i* se réduit à ë et t/ à U i^â^â l'M « main », : ^
liaufpä ^
haiTipà « animal ». Dans les dialectes
judéens on écrit encore constamment et t/, mais on i'^
i ''ialàud
: 'ijlîsud ^ >
ihsud " il a conquis », ''iamnu^
'''nmnu ^ imnu « à droite ».
« esprit î5.
''ai « », qui au
», mais les diphtongues secondaires
« ou
sont réduites 'haliu ^hau bô ^
dans lui ». Dans ^ f*
sing. M
donnait par palatalisation ci, qui après chute
de i en finale de mot se réduisait à s minki minci : >
> mins « de toi ». Chez les Bédouins du désert de
Syrie et du Negd q et Je sont devenus actuellement c
par assimilation à
(ts) et c (tè), a, ä, ç, §, i, ï suivant
ou précédent lalmn cçlâm : > « parole », rJq > r'd
« salive ».
102 3« PAETIE.
B) Changements instantanés.
1. Dissimilation.
a) de consonnes.
1. SONANTES.
2. Labiales.
3. Sifflantes et dentales.
4. LaeynCtAles.
5. GÉMINÉES.
1) ) de semi-voi/elles.
'A.'^imön.
c) de semi-voyelles et voyelles.
141. aj Eu
arabe ancien à est dissiniilé en t avant ou
après ä inf. du causatif *''aqtäl
: *'iqtàl, désinence >
du duel -äni en face de dés. du plur. -ûna ace. du ;
*radada ^
ar. radda " il rendit » ^(arududu ar. ^
iaruddu « il rendra ».
2. De même dès la période du sémitique commun le
iaqtuJnnanâ ^
iaqtulUnà « ils nous tueront », et
des prépositions min « de » et 'aJa « sur et des dési- >,
« allez eu paix
» r((srd allâh oransLisrsolläh « envoyé ^
de Dieu maroc. "^'qmdel-delUl > qnldellll « ver lui-
»
himaua " mon petit garçon « Taiii'ïi^ > Tä''li (n. pr.)
3. En éthiopien la désinence de 2® pers. fém. plur.
Va\ hébreu les groupes tij, li', (de m") et 'il passent
il î : "ihrlilm > 'ihrDii « liébreux », miii'mlnâm (de
*mmi'nilnäni) > nrinilnüni « de leurs droites »,
4. Epenthese.
5. METATHESE.
de sahCitu « saisir «.
dessus § 122).
CHAPITRE II — MORPHOLOGIE.
Remarques préliminaires.
8
114 o*^ PARTIE.
I.NOMS.
1 . PRONOMS.
A) Pronoms xjersonnéls indépendants.
e s c >îc ><>D se
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ÜEAMMAIEE COMPxVKÉE DES LANGUES SÉMITIQUES. 121
CJ Démonstridifs.
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(de masc. et zô féni., assez
V. c'i-dessns § 69) est
souveut avec la désinence nominale du ieni. zôp. En :
1)) Jlelatifs.
on trouve sporadiquement m
et ^f en araméen dl et ;
^
E) Interrogatifs.
2. Noms.
pareiitr : \ih ••
i)ère r, 'ah « frère «, ham « Ijoau-père «,
.<'f,
ass. su'ii « brebis liébr. m'^p'im, ass. mutu, étb.
••
;
B) Genre et nombre.
^'-alhà ^ -fiiiä.
C) Déclinaison.
''egzfaheJicr du monde
« nuiître Dieu ». Les dési-=
nences du nominatif et du génitif se sont encore con-
servées devant les suffixes, mais sans garder leur signi-
fication, dans la voyelle indéterminée -e (v. ci-dessus
(iEAMMAIRE COMPAREE DES LANGUES SEMITIQUES. 137
>j 74). Dans les noms de parente 'ah, 'ah, ham les
voyelles longues ü pour le nominatif et à pour l'accu-
satif se sont conservées devant les suffixes.
!. 4. En hébreu, de même, l'accusatif -à s'est seul
conservé, mais, au lieu de servir pour le cas direct, il
D) Détermination et indétermination.
«rhouime r.
2. Dans toutes les langues sémitiques, sont déter-
3. Noms de nombee.
8. Ar. pdinàni",
f. pamâniiat"", éth. samânî, f.
samàmin, bébr. s^niônê, f. s'mönä, aram. i'mànç, f.
Vmaniß, ass. samanê, f. samànlt. IjS qui apparaît en
assyrien au lieu de s que demanderait la correspon-
dance phonétique provient de l'analogie de sibi.
9. Ar. tis'"", f. tis'ai"", éth. tes'û, f. tes'atû, bébr.
/ç5a', f. f/^''«, aram. ^'.9«', f. tes'à, ass. ^/5<', f. </ö^<Y.
II. VERBES.
••
il a été petit », qui désigne les qualités permanentes,
lièrement -staJcsad.
>4. A côté de ces thèmes réfléchis en t, l'arabe, l'hébreu
läqh)i ^
iâqem (d'après § 47). De là la distinction des
modes a été étendue au thème causatif de tous les
autres verbes et un nouvel indicatif iaqfll a été tiré
;
capricieux.
5. Participes et infinitifs.
G. Temps secondaires,
11
162 o'' PAETIE.
7. Paeadigmes de l'impératif du
thème fondamental.
210.
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8. Paradigmes de l'imparfait du
thème fondamental.
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GRAMMAIRE COMPARÉE DES LANGUES SÉMITIQUES. 171
Thème fondamental.
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172 3'' PARTIE.
Rétiéchi eu n.
Réfléchi eu t.
Thème causatif.
haggîs
Imparfait (uggas
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GRAAniAlEE COMrAEEE DES LANGUES SEMITIQUES. 197
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était passé à *nâsnhha avant que nâqatàla fût passé à
ndqfàla.
5. En arabe, la suppression de la voyelle brève de la 2°
radicale intervientmême dans le cas oii la V^ radicale
avait Lorsque la S^ radicale se trouve sans voyelle
(1.
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» (v. § 144, 4) ;
Kairo 1890.
B. Meissner, Neuarabische Geschichten aus dem Iraq. Leipzig
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Remakques préliminaires
Indo-européens
.....
i)areuté des langues sémitiques et cba-
mitiques
et Sémites.
11
12
Le sémitique commun 12
tiques. .....
Traits caractéristiques des langues sémi
tiques 15
L'assyro-babylonien 15
L'ancien cananéen 18
Le moabite 19
L'bébreu . 19
Le pbénicien. . 23
L'ancien araméen de
L'araméen biblique .... Zingirli, Nerab, etc 25
28
212 TABLE DES MATIERES.
25.
26.
27.
Les anciens dialectes
L'arabe classique ....
et la
.
41
41
42
28.
29. 30. L'ancien éthiopien ....
Les dialectes de l'Arabie méridionale. 43
45-46.
31.
32.
33.
Tigrina et Tigre
L'amharique .....
Dialectes auduiriques.
47
48-
49-
36.
lettres
L'écriture hébraïque
....
.
52.
53
37. L'écriture araméenne et arabe . 53
38. L'écriture sémitique méridionale 54
39. La ilotation des voyelles . 54
.
CHAPITRE I. Phonétique
I. Système phonétique du sémitique
II. Les combinaisons de phonèmes.
1 Phonèmes et alliances de phonèmes
a) Attaques vocaliqiies
b) Détentes vocaliques
c)
d)
e)
Diphtongues .....
Contact de voyelles
2. Constitution syllabique
Le début de la syllabe
La un de la syllabe
Consonnes géminées
....
....
3. L'accent et son influence sur la struc
ture du mot.
1. L'accent en sémitique commun
2. L'accent en arabe ancien
3. L'accent en hébreu et araméen
4. L'accent en assyro-babylonien
5. L'accent de phrase.
a) les ....
consonnes 69-
50.
51.
1.
2.
Eu ancien arabe
En éthiopien
....
.... 69'
70'
53. 4. Eu assyrieu . 71
2, Sifflantes et dentales 71
4. Sonantes 74
61. 1. En arabe 74
62. 2. Eu assyrieu . 74
5. Les SE^n-voTELLES u et i 75
63. 1. Eu hébreu et araméen 75
64. 2. Eu assyrien . 75
b ) les voyelles 75>
5. Hébreu ö > r« 77
G. Mutatiou du syriaque occi(lental(jacobite) 77
7. Mutatiou vocalique de Fassyrieu . 77
u et eu sémitique couiuuui
i 77
1 ï et u ^
è puis ë ^
a eu étliiopieu. 77
2. « >e, ? eu bébi'eu et araméeu 78
0. 4. / >
r^ e eu liébreu et arauiéeu . 78
b. H "^ en bébreu et araméeu. 79
6. Les voyelles brèves eu arabe et eu assyrieu 79
a) Assimilations consonantiques . 80
1 Sifflautes 80
2. t y> d en sémitique occideutal 80
t^
o.
4. ^ ^
t
(7 eu assyrieu....
après q eu araméeu 80
80
Eu arabe et eu
Eu syriaque .....
bébreu 81
81
.
y) Assimilation
....
régressive partielle
contact
en
81
85. Généralités 81
86. 1. En arabe 82
87. 2. En éthiopien. 82
88. 3, En phénicien. 82
89. 4. En araméen . 82
90. 5. Eu assyrien . 83
.....
.
91.
92.
93.
1.
2.
3.
En
En
En
arabe
syriaque
assyrien
.....
.....
s) Assimilation progressive totale.
94. 1 En arabe
95. 2. Eu éthiopien .
96. 3. En héljreu
97. 4. En arauiéen .
98. 5. Eu assyrien .
a) dentales
h) sonantes.
1. n
2. ?
1. De dentales en arabe
2. De dentales et sifflantes en assvrien
1. En arabe
2. Eu étbiopien
3. En hébreu
4. En araméen
5. En assyrien
c) Diphtongues ascendantes réduites
ou assimilées a des voyelles voisines
1. En arabe .....
.....
2.
3.
4.
En hébreu
En araméen
En assjaien
.....
.....
d) Diphtongues descendantes réduites
et assdiilées
1. 2.
•3 . Eu éthiopien .....
Eu sémitique commun et en
.....
arabe
4.
5.
6.
En hébreu
En araméen
En assvrien
.....
. ....
. .
1.
2.
3.
En arabe
En amharique
En hébreu et araméen
.... .
4. En assyro- babylonien .
a)
b)
Dans toutes
En hébreu .....
les
.....
langues sémitiques
e) En araméen
d) En assyrien .....
129. 2. Influence des labiales
1. Dissimilation .
a) de consonnes .
134. 1. Sonantes
135. 2. Labiales
TABLE DES MATIERES. 219
3.
4.
5.
Laeyngales
Géminées
....
Sifflantes et dentales
....
h) de semi-ropelles
c) de scnii-voyellcs et voyelles
2. Disparition DE stllabespaedissimilation
3 . Ellipse de syllabes pae haplologie
4. Epenthese
, 5. Metathese
6. Echange de quantité entee voyelles
voisines, mais non contigues
CHAPITRE IL MoRPHOLOCxiE.
Remarques préliminaires.
I. XOMS
1. Pronoms
A) Pronoms personnels indépendants.
....
.
156 C) Démonstratifs
220 TABLE DES MATIERES.
158-159. E) Interrogaüfs
2. Noms . . . \ \
2.
Bilitères
Trilitères
....
H) Genre et nombre .
S. Duel ....
Pluriel par redoublement
C) Déclinaison .
171 2. En arabe
172 3. En éthiopien .
173 4. En hébreu
174 5. En araméen .
175 6. En assyro-babylonien .
3. Noms de nombre
180. Les cardinaux de 1 à 10
181. Leur svntaxe .
.
Bibliographie
Table des matièi-es
......
18 Le veebe avec peonoms suffixes annexés.
.....
204
207
211
CORRECTIONS.
p 78 1. 16 n z'^qàn » z^qan
p 84 1. 2 du bas n ""nsleq n *'asleq
p 85 1. 6 « ^arJîussH n *arltt.ssit
p 87 1. 10 » *âhaM « * 'aliadt
1. 11 5? sähnifä » sâliaftà
1. 19 » "bcutton n '^'^baâ'ion
p. 108 1. 15 « à la « aux
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