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C OL É OID
o Chimie Collofdale o-
ar
VINOGRADOV Valle
KIRITOHENRO: Ile
MELCONIANE Re(te
s
AVANT PROPOS
Auteurtie
Régles dc traveil cb représentationentre des résultats
«t'il effectuera:
b) participer à un colleune concernant Loe vavties thécrique et prati—
cue de ce travails
Le x AX G
mental ase
Tous les a pareils qui ont “te wcilisésa pour llecpérimoe doivent
@tre Cessinés,. Led dessins Goivent Cc. corrects ct Taits avec soins fil
la titre du travail,
2e but du travail,
3, équations finales, nécessaires pour les ealculss
4 schéma électrique ou dessin de l'appareils
Be mode cpératoires
6« tableau des données initiales et hesurées
Te traitement des résultats obtenus et leur interprétation
84 conciusionse
Les premiera cing points doivent Être préparés par les étudiants
préalablement ( le veille ), le reste-an cours de l'exécution du travail
pratiques au laboratoires
2eli est nécessaire de choisir les échelles de manière que les coor—
»
4ell est nécessairo d'indiquer gur les axes de coordonnés leurs noms
et leurs dimensions.
D
ws
Z
3
Fig TE.
ES CR
rs
&
OFF
PNA
= .
C
_
77
soie
o
197 can F
i
Te S'il faut ould ook es sin, a actéristiques en variation
de la fonction { gence dujmasci mam à du minimdg du point de courbure). il
egt nécessaire d'éfisndre 1'âmelle dela fonctionket de serrer l'échelle
de l'argument,
f= fo LS. # ‘ (4)
T+be a!
où et b - sont constantes, dépendantes de la nature des “substances et
de le température |
c + concentration de la substance adsorbées | Cette équa-
FeTot
Ve 2 M. Jar
4 ~ YF, wee OE
(4)
Il va de noi que Les coordoënées de deux points choisis x; et vi
doivent être exprimées en wiités des valeurs physico-chimiques à étudiere
Cette méthode est appelée
ae ate
247
méthode spéciale, qui est appelée la mé e de moindre carrése
i eas
D'après cette méthode en tbace La lime droite de telle maniére que
ee
ia somne des écarts an carré entre les ordonnées de points expérimentaux |
i
On calcule les somm a de l'oxpréssion £5) pour toutes les wnlours
expérimentales de 14 ne Li est commode do faire los calculs au moyen du
tableaux
Bremple
1 On avait étudié 1a dépendance de la valeur d'adsorption de
l'acide heptylique ner le charbén activé en fonction de la concentration,
Les données expérinchteles sont présentées au tableau {colonnes 2 et 3),
Il fant trouver les constantes de cette dépendance,
N° mole mol Bg
+ 2 ne 3 seaman He ed
os 4 tee D) see cOenauseben sacked oa seme soma
1,
Seactitude Les erreurs systématique, qui agissent toujours dans le même
sens, affoctont 1'éxactitude fou la justesse) de la méthodes Per exemple :
mauvais calibrage d'une burette, incorrection de l'appareil de mesure etce
Si l'on peut atteindre cette erreur, par example au moyen d'uné détermina-
tion à partir d'un étalon, le résultat cest corrigé de cette erreure
Chaque fois que l'on fait une mesure, on exprime per une valeur 2.7
numérique X l'éstimatiôn d'une grandeur dont la valeur réelle inconnue est
ae On peut figer pour la valeur vraie inconnue à des limites de confiances,
par exemple
X- IX € a£X+AX
(7)
ou bien ae K+ ak
(g+1)8%10 8 (7 a)
“=
2e Si la valeur cherchée à est exprimée par la valeur approximative X, qui
renferme m chiffres justes et le premier chiffre est Z,; l'erreur relative *
maximale 5 de la valeur appreximative X satisfait a l'inégalité :
1
8< {7 v)
2 + Ze 10 (m1
Éxenple 2 % a déterminé avec l'incertitude relative 0 = 9,5 %, que le
potentiel électrecinétique d'un gol y= 0,2386 mV, Estimer le nembre de
chiffres justese A partir de L'inégalité ‘ 7 a } on calcule 8, si
Z=2 et B= 0,008, 8 = 4, donc me ( 8 +1) = 2 et par conséquent
Ge 0,24 te
Exemple 3 La densité d'une substance est égale à 0,92 g/en?e Cette valeur
a à chiffres judtes. Trouver l'incertitude relative maximales
1 1
à - = = 0,005
= 0,5 %
2210 7 29,10 27!
Be Détermination de la précision en limite de sensibilité
y= ff xy x eve) (8)
aw)
c) la fonction ™ a
PVR TY
a
{41 c)
peurs
Ê =
C= AN.
E ee ° 300°. … tesl.
É
Ant- In fe
i? à 3007 2g
+ in 8 + Ink - Int4 - Ink
En supposant que les valeurs 4,%. 7; Ê et 300° ont
fet elles ne donnent pes d'érrérs)
#
les valeurs précises {donc constantes) on obtient apros la différenciation:
ue BS. yg GR LE.
Cr 7S i i
Par conséquent :
a [a 0,1
+ 0,1 1 5 = 0,12
5 73 380 * 3600 * “1507
le résultat obtenu est une erreur relative de la détermination du potentiel
électrocinétique cherché, exprimée en parties d'unité :
2,
Pour exprimer cette valeur en pourcents il faut la multiplier par 100
A yt
ac
à = mt à 100 æ 19
be Bre 100 12 F
ae
L'erreur absolue de mesure du potentiel électrocinétique 4 À, dépend de sa
valeur numérique 4 G= 5, Ge .
En tenant compte des valeurs obtenues expérimental coment on caloule
le potentiel électrocinétique cherché :
AR 25 « 1 _ 403; 1400, 08 2
e = Fe « 3004 “te = qe 3007.
0,01469
Le résultat final
5 0,015 + 0,002 v
où bien
C= 1542 wv
le dernicre notation est la plus juste et à nos jours cette forme est
préférable,
La théorie statistique donne une courbe let bien sfr une équation)
connue sous le non de courbe de Gauss, si les valeurs expérimental
es
correspondent à ce qu'on appelle une , distri buti on normale " » Cette
théorie dit que la valeur moyenne % de l'ensemble infini des mosures X43
«2/8 te we NO FS fam) 2
S-/2Œ-x) s/L'en) (14)
nm - 1 Me 4
On prend dans le cas d'un nombre limité de mesures des limites de
confiance au moyen de la formule :
+ CK ~ te 16 RKO K + tS ) (45)
X; - étant une nouvelle mesure
+ — étant goi-disent Le cocficient de Student, qui dépend de la probahiiité
PAatar
a= kos 18)
In tenant compte de toutes les deux sortes d'erreurs /6) on obtient
totalement :
a= = *+4 {‘ox, tax, ) { 19) .3
L'écart--trpe éstimé 5 :
Se EL UE
(13.2 10 = 6.243,10 4
On trouve le cooficient de Student d'après Le tebleeu t = 2,78 Four
P = 0,95 et N= 4) ea 104
Par conséquent ste 7 + ss = 1,3578 + 2; 180643016 wow
UE JE |
I = 1.3578 + 0 0008
I = 1.3578 + 0,0010 |
L'erreur totale relative : 7
“Z418
= ta"
’ à -$ i
1 +14 Le 00074 : 10 . |
I= 1 358 + 0 001
cdraite
L'équation de la ligne est la plus simple, elle n'a que deux constantes,
ayant le sens géométrique simple et donc cette équation peut être vérifiée
expérimentalement sans difficulté, C'est pourquoi, on cherche tout d'aborû
la méthode de transformation de l'équation donnée en équation de la ligne
droite et puis on la vérifie expérimentalement avant pour but le débermi
nation des constantes de cette équations
vos tion x f 20 )
et l'équation de ligne droite tracée en réalité sous forme :
Y=a+bx 21)
Cette ligne droite réelle passe tout prés de la ligne droite vraie, mais
ES
mo ye le (20)
n
“ i
fere
s T = yas i2
2
.
f23)
24)
f25)
ye Catbx) ated
«AB,
Exemple
6 Calouler les erreurs de le détermination des constantes empiri ques
l'équetion de l'ader--tion de l'acide heptrlique par le charbon activés
Pour déterminer ces constantes l'équation de l'isetherme de lenqmutr
F -. 8%
= he, 7 y & 7a
3 naar Bove
Î og Ot
4
murs i
/ i, fin B
;
{ 7 7 \ . tt ah
{erg tee SE sm J graphicnement ou anal “bideenent
ha, fe, B
Supposans que ver constantes sont déja déterminiées ‘ voir, exemple 1 )
mu
a 2 1,11 43,33 4 10% 0
a Il ¥Yaut trouver le precision de cette détermination, Ecrivonsa cette 4quation
empirique sour l'Orme Le L'éguation { 21 )
Ya 43,33 6 10° x
=
où Yep j muets bee 10, recu
a“
n Xe 10 | y.
À i
7 49"
15 = 6,72 à 10
as 2
ay = 274,29
‘ 6
6,72.
8° goin ee = 4,22
/254,40 , 10 -6
JE
en i 3 m7 D , Be * 8, + B.,
B =8 = 0,03 S =3%
fs BO io
4
On trouve l'erreur relative de bi:
D = manon
4 b
1 FE
4
ree eemen ane $ 5. = 0,03 # 0,08 = 0,11 ; Bit %
[LE f° & p' D b
Partie théorique
Les émuisions sont des dispersions d'un Ligguide dans un autres Les
émulsions peuvent être prépardes par agitation violente d'un liguide en
présence d'un autre nonmiscible.
Partie experimental©
sence de Na OH, ex sachant mue l'huile utilisée contient une petite quan-
tité des acides carboxrliques gris.
Ns Rese We
TS
=
oO
£
es
x
G
Bw Aen À. ae
f
À yf ad b vl, ie. | { én ll he
Fait fe
28
B Anversion
des _émlsions
n Sw
Te
ÿs rh nu
© es Ve ye 0
ky Ce Détermination de La stabilité
àOf agrégative
des émulaions
295 “
Verser 5 ml du yénzéne (ou d'un autre liquide proposé per le professeur)
et 5 ml d'eau distilléé dans une éprouvette, boucher et agiter jusqu'au la
préparation d'une émulsion homogène,
Tranavaser 1'émulsion obtenue dans un cylindre gradué et mettre en marche
le chronomètre, Déterminer la vitesse de la formation de 2 ml de la couche
du benzénes Calculer la stabilité d'émulsion à examiner :
\/: a+ nt / min
où t — temps de la formation de 2 mi de la, couche du benzéne en minute.
De même fagon on détermine la stabilité d'une serie des émulsions obtenues
à partir du benzéne et des solutions d'émuisifiant (consulter le professeur)
avec les concentrations : 1% ; 0,5% ; 0,25% ; 0,12% ; 0,06: et 0,03% «
… 29
Concentration
ca
2, Tracer Le graphe qui caractérise l'influence de a concentration d'émul.
sifiaut à examiner sur la stabilité asrégative des émulsions aqueuses du
bengéne : UF ‘c)
sur la diffusion des ions & travers ule menbrane semi permiable lorsoue
une solution collofdaie est senarée oar cette membrane d'un golvaat pure
L'utrafiltration est une dialvse sous pressions
Quoique les particules collotdales soient très erandes var rapport aux
molécules habituelles, elles passent assez facilement à travers Les Dean
du papier filtre, T1 existe toutefois des memktrases semi. nermisbles,
naturelles et artificielles ‘vessie de oeuf, parchemin végétal, pellicu
les de COLLE à on : de gélatine cellonhane ete } qui ne ‘aissent passer que
Partie expérimentales
( fige 1 )
i
TE oo TT
ET | ‘i erent ay
TE — s 5 \ aha jo , _ i" ce ” we
ome fl poe 5
> ET : L TT
Ya N4 Ss
fige 1. Hlectrodialysour & courant d' caus
Un électrodialyseur comprend trois compartiments : deux latérayx (2), et
un central (1) les membranes (3) qui séparent le compartiment central des
compartiments latéraux ne laissent pas passer les es
particul coliofdal es,
- 31-
ilode opératoires
On prond un sol {consulter le professeur ) partiellement dialvsé et l'ou
verso dans le compartiment central ! 4) de l'électrodialveeur, En méme temps
CRAVATL PRATIQUE
3703 _
Tétermination des dimensions des pores
d'ultrafiltress
Partie théorique.
On peut déterminer les dimensions des pores d'ultrafiltres per les méthodes
suivantes :
le Détermination de 1a vitesse de filtration de l'eau,
2e Utrafiltration.des solutions, dont le degré de dispersion est définies
34 Moulage des gaz,
ob D ast volume ( om?) d'cnu qui basse par un om adc la membrane dems le
temps d'un second repporté à l'unité de pression fame/om).
Ensuite on calcule le volume d'eau qui se trouve dans les pores de la momb-
rane rapporté & l'unite de surface de cette dernière par l'équation suivante ;
Ge. Ghi-@s
\K f me cmmmmenennnnn (2)
Fe dH, 0
Pertie expérimentale.
Le schéma qui détermine la vitesue de la filtration d'eau est représenté
sur la figure 1,
‘fig. 1.
ty
Cette installation se compose d'm mtonnoire de Buchner ‘ 1) au fond
duguel on met Le filtre ‘ 2 ), Liamtonnoir est mmi par m bouchon & caout~
chouc { 3) & une fiole { G ), Lientonnoir de Buchner avec son tube est
muni par un bouchon à plastique / 4 ) à une éprouvetté à graîuée ‘ 5 },
La fiole { 8 ) cst muni avec un manomtre / 7 } et avec un robinet 8 )
et ce robinet est muri avec un vompe à vide & eau.
ence jusqu'à ce que dans l'éprouvette se reuni à neu près 15 - 20:ml d'eau.
On arrete l'expérience, On enleve l'eau restée dans otonnoire. Ensuite on
tures soignesement enleve le filtre et l'on séche var deux filtres de papier.
Puis on met le filtre humidifiée sur le panier de cale et on pese le filtre
sur la balance analytique, Pour savoir le noidse du filtre hunidifiée on pese
senarement le papier de caic ensuite on détermine la perméahilité à l'eau
du filtre par l'équation / 1 } etant donné qu'on sait le volume d'eau ‘Q)
qui passe par Le filtre dans un sertain temps. Puis on calcule le volume
de l'eau qui se trouve dans les pores du filtre par l'équation / 2 }, Et
enfin on caloule le rayon des pores { r ) par l'équation ‘ 3 },
Phénomènes
de surface et adsorption
Travail pratique 4.
clelle.
La tension superficielle est exprimées en erg, om? ou en dyne/‘on {ces
valeurs coincident numériquement}
ou encore en N/m et en joule/nf {système
d'unité SI). Ainsi,la tension superficielle peut être considérée comme une
force par unité de longueur ou comme énergie par unité de surface.
La tension superficielle, on la désigne par la lettre 8 niost pas
l'énergie totale de la surface mais Le travail utile maximal dépensé lors
de la formation de l'unité de surface c'est à dire qu'elle est l'énergie de
Gibbs rapportée à 1e de la surface :
h Surface
de séparation liquide
Parmi plusieurs méthodes de détermination expérimentale de la tension
2 rey
ta
: GC Ah 5 .
Ne | Solution mole A mm ergfcr® ferg/en® mole/ 2
i
| |
39 we
Te
et donc Am FT (7)
; En eubatituant l'équation ( 7 ) dena (6)ona:
Ps =e
kv (8)
On trace lea tangentes pour chaque concentration G. et on détermine
les valeurs de Z ( voir,fige 2 ) Ayant trouvé les valeurs % du graphique,
on calcule 1'adsorption I pour chaque concentration G, d'après l'équation
( 8 je En appliquant dos donnéax obtenues, on construit l'isothorme d'aägorp-
tion ( fige 3e }e
en
fi ES
à
+ fize 3e
2
GaKL 288 B=
A 6:2 wap eRSLI
à” ae M4 erg/on 2
2
L'expériance donne > Gap = 34,5 erg/om
|
a
() er,
gv
“he os h
wa ext ;
Où © 4/B et (5 A/C - valeurs de la tension interfaciale entre le liquide A
et les liquides B et Ce
YB = ae wale
~ WA/B (10)
Execution de l'exbérience —
Comme liquide C on emploie l'eau distilléc et le henzêne sert de
liquide de Ay ‘
Aors, N/c représente le nombre de gouttes correspondant au découl
e-
ment du Polume déterminé de benzéne#u sein de l'eau saturée par le bengéne
(il est nécessaire de faire,
le saturation mutuelle de deux liquides pour
que les valeurs de la tension interfaciale Eafe et f'A/B correspondant à
l'état d'équilibre, |
Conne liquide B on prend la solution concentrée du savon dans l'eau,
On verge dans un verre 10 — 20 nl de la solution concentrée du savon de
manière que le bout recourbé de la pipette de Donnan soit couvert de couche
du liquide, dont l'épaisseur est 1 om environs Ensuite on y ajoute 10 -
20 ni du benzéne saturé, par l'eaue
LESD .p
Bo T + x Tl est indispensanle de faire cettc opérationr avec
#3
précaution pour avoir la surface de séparation :
très nette, Pour cela, on fait découler le bengéne £ >
“sur la paroi du récipients
r Solution G 2
3 Î erg/ om
A
distillées
fige 1 *.
| Partie expérimentale
On prépare dans six fiolen ooniques des solutions d'acide acétique
par dilution de la solution la plus concentrée, Pour cela, on prend la goiu-
tion 2 Ne Les volumes et los concentration approximatives qui doivent @tre
obtenues sont dons le tableau N° 1,
On utilise 1'équalité connue N,V, = No Vo pour calculer le volume de
itacide acctique 2N, qu'il faut prendre dans chaque fioles
Tahlean N° 4
me mu ie
NW de ficle 1 2 3 À 5 6
>?
Volume de la solution
(ml) 150 1 150 150 124 110 105
Normalité approximative .
0,012 [0,05 0,05 0,7 0,2 0,4
de l'acide acétique ?
. | Tableau Le
ne scene ta en AO ee EEN PAAR ty APRA a Bein mme +9.ees ~ ; 4.
€
Cette ligne droite coupe sur l'axe d'ordonnées Le segment égal à
“= + En déterminent les valeurs were et 4 me _ graphiquement on calcule
Fa"éonstentes/ i et b de 1 'équation “bte ore,
Ayant pris une série de valeurs Fabloaue 3e
i
arbitrhires de concentrations d'équi li] ré C. , moleLe | fo |
bre C ( en limites des concentra- | | + mole/g |
tions à examiner ) on calcule des grandeurs d'absorption / "correspondant
à ces concentrations choisies, d'après l'équation ( 1 }, on remplit le
tableau 3 et on construit le graphiques { fige 10 )
Partie théorique
La surface d'un gramme d'adsorbant pout @tre considerée comme sa :
surface specifique { 88 ) La valeur de la surface specifique est une
caractéristique très importante des adsorbants, car elle détermine leur L
capacité d'adsorptions
Il existe grand nombre dé méthodes qui permettent de mesurercette
valeure
a +
La valeur /,peut être déterminéh purtiy do l'isothorge &e &cngion
superficielle (= Fc), .
Pour les concentrations relativement grandes d'un corps tensio-actif l'isgot-
herme de tensio superficielle est caratérisée par La régle apirique
doSZYSZKEWSEKI:
GS-2
wt À
= 5B in (G+ 1) (2)
G et t f,
fe sont les tensions superficitlles de la solution et
du solvant pur respectivemente
C — est la concentration de la solution, On peut transformer cette
équation :
(GC e1)e + heà.
So nes =: ëBln <
ck
(3)
= Bla (0+1)-GBinA
en prenant la differentielle on trouve pour 13)
~d =G,Baln (C+h)= 2Bac (4)
mA Le ne |
ag ws LES od
CHA Ë
où 2,48 14 BC (5) |
de T A+C
cf “BS, (7)
cs CRT
Dans le eas des concentrations assez grandes {oc » A)
Li téquation (2) ment @tre présentée sous forme suivante :
i co nt se BL (8
S © 3 9 " 5
yond mt mi. ent
ow GG G+tE,BmA- G Bie 9)
Le produit (,B peut @tre calouler comne ~ tg .cpour le grafique’
(3
=
= f Gn C) (voir figure te)
ln €
48=
Partie expérimental te
Tableau ¥ 1
Tableau N 2,
PA SN D D DO D A AR Amm
er mn of
0, 0125
6560035
stent wamenane
cot dhe taser ni
3 7 ot i. : or 2
E@tilisent le graphique N 7 et les valeurs de la tansion superfi-
cielle des solutions on trouve la concentration du corps tensio-actif aprés
l'adsorption {Cég). On calcule la valeur d'adsorption exprimée en mole par
gramme pour chaque solution d'agrès la formule :
Jableou Ne.
Concentration Concentration
Gin-~Cée, Adsorption,
initiale, Cix, équilibrée, Cég
Mole/1 Mole/1 Mol e/1 &, Hole/e
0,2
0,1
0, 05
0,025 _
0,0125 - mn meme
0, 00625
D'après Les données du tableauN 3 ou construit le graphique N 3
& =f (Cér) On trouve la valeur de /.. d'après le graphique N 2 et 1a val-
leur de d'après le graphique N 3,
Presentation
des résul tas
CHAPT TRE 4s
TRAVAIL PRATIQUE N° Ta
Partie théorique
p= BC
id re | (mee
reg ori | vy] c (1) ‘
où I, _— intensité de la lumière incidente
UV — volume de. chaque particuls dé la phase disperséé
Ÿ — nombre de particule de la phase disp rsée dens l'unité de volur yo
( tem)
 = fx - longucur d'ond. de la lumièr: incidents dana le milieu
dispersant donné
M, - indice de réfraction de la phase dispérsée
ty 7 indic: de réfraction du milieu de dispersion
A, — longueur d'onde de 1e lumière dans le vacuum
L'équation de Raylcigh est appliquabl aux systèmes collofdaux, sai lc
dimensions de leurs ne depass- nt pas
parficules 0,1 de Le ‘Longueur d'onû
la lumière incidintée 7
Eh sachant que la concentration d'une solution collofdals exprimée en |
} an] {5}
Ka & nf + 2m d ° ,
. À À " TAL (Z *:
r= 7 UT
sant | mayo
AE TE ET \ }
VS HZ, /
Partie expérimentale
On mesure Les densités optiqu:s des échatilLons d'un latex (consul ter
le professeur) avec Los concentrations du polymère suivantes : 2,5 ; 2,03
1,5 3 1,0 g/1 en utilisant le photocolorimètre DJ … 56 M, Le mode
opératéivwe opt donné à l'appendices On utilise les cuvos de 30 mm et le
photofiltre N6 ({, = 540 nm).
Le cuve à référence doit être remplie par l'eau distillée, On porte les résultats
obtenus dans 1e tableau N fe
Tableau Nt
de
W
la
Ce 10°, —
rn? “1; \2 D T, on™! re tof, om
solution / 3 LT antM |
&/ cm an +
i 2,5
2 2,0 t
4 à
3 4,5
4 1,0
r:r, rm
ar
54
But du travaile Cal oui du rayon moyen des particulss d'un latex par 1'étu-
de de le dépendance de la densité optique en fonction de la loneu ur d'onde
Parti. théorique
Dans l: cas d'un système dispersé qui p ut absorber ct diffuser la lumière
qui lestraverse simultancment la loi do Baugere, Lambert :t Bcer a la forne
Fog
¢ + concentration d: 1a phasc disp:rséc
À — épaissour de la couche adsorbéc
Les solutions dilué:s des latex n'absorbent pratiquement pas la lumière et
on
dans ces cap a £= 0
Ltéquation ( 1) deviendre :
cud y + # [2
Tel
p op éee Pin ~KKC L ) \ }
de ce dernière
Donc, k'=f(r) (3)
Pour les systèmes dispirsés dont rayons moyens des particules sont comprise
k = K TE ( )
ke st) a | o (5)
1,=Lexp(-
“4 CT
7To. = c
Kot—Ake
(6 )
: ]
En sachant que lg is = D
À > — densité optique on pent écrire que
où
A (9)9
Ay
Partie experimentale
Tableau N 2 .
N %
du photofiltre 3 4 5 6 T . 8 ?
1
ongwens 400 | 440 | 490 ! 540 582 597 | 630
d'onde, nm
Densité
optique, D
log D
logÀ
la formule ( 9)
IRAVAIL PRATIQUE.
| ates NSee 2
sole era
. _fmalysse sédimentaires
P= 6Korv (4)
Vox ge (3)
gant Ye (9)
V2 (D~ 4) ¢
IP
~ 59~
fmctionners, | | |
Pour la préparation d'une suspnsi on on mélange une masse déterminée
de la pondr: d'une substance aves de 1'cau (ou utilise wm mortiftr =n parce-
lain:), Ensuite on verse le mélange obtenu dans un Verto,>, ramp) d'.au disti-
lléc jusqu'au trait de niveau désirabl es :
Avant l'xpériunc., on agite la susp-nsion à l'aid d'un batonnet en
verre dont le bout cat muni d'un disque <n caoutchouc, L: mouvement vertical
du patnnot provogque la disp: rsion réguliére des particul s .n suap.nsion
dans tout le volume du verre,
Ovtto agitation ust faite pendant 30 asccondes on y plonge le plus
vite possible Le plateau ( 11 ) p.ndu au crochet! 10 ). th mettant simu)tané—
ment Loe chronométre on marches du
Ayant libiré le fldau { 3 ) à l'aide Levier ( 4 ) on rumarque le
déplagement de la flèchutte d'équilibre { 7 )+ On dét rmine le premièr. mesure
au hout de 15 sacondess Pour cela on déplac: le levier ( 6 } jusqu'à co que
la flèchetie d'équilibre { 7 ) soit juste oartre l: trait d'équilibre ( 8 },
A mosure duc Le précipité cat recuilli sur le plateau ia fléchette d'équi-
libre sz déplace & gauche, of la romet & 2éro au moment initial,
Aprés l'analyse, le fléau { 3 ) doit fixéA l'aide du levier ( 4 ),
Le platcau décroché, la fléche est misc & zéro,
La vitesse de la sédimntation d'un: suspension polydispersés est
la plus grand: au début de l'expérience, C'est pourquoi o, effectue la m sure
au moment initial et toutes les 15 secondes ÿ à mesure où l'on Be rapproche |
de la “fin de l'expérience ces intervalles sont. prolongés jusqu'à 5 - 10
minutes, Coite opération d'enalyse demand: 1 - 1,5 heures.
IL est recommandé de prendre, comme mesure initiale, le mesure du
plateau dens l'eau, Pour cette raison, on plonge le plateau dans le verre
(rempli d'eau Cistillée) en mesurent (on, om) la profondeur H à laquelle se
trouve le plcteau et an fixant a mass: eur la balance » Les données expéri-
mentales doivent ttre représentées dans 1: tableau 7.
Tableau N 7
5
<n
fige 2e
fig. 3. 163 7 3 SF 7?
on voit le trait » 162" qui a déjà passé Le fil double de zéro que ls gros
trait suivant m'a pas @acore attoint. On obticnt la l:cture en additionnant
Mode opératoires
répère doft être trouvé dans une partie inférieure de 1'écheile du microscopes
Il est nécessaire d'avoir un platoau métallique ( 3 ) qui ne touche pas les
parois du cylindre, Puis on tire le plateau dans le cylindre ot On Y verse
(en quantité sufisante pour obtenir à 8,5 % de solution
de Ga Co.) 18 suspngion, 11 est néc'osaire de prendre la distance H égale
à 20 — 25 cm On mesure la valeur H à l'aide d'une régle ordinaire,
On agite La suspension pour obtenir la dispreion regulière, On y
plonge le plateau le plus vite possible, on mettant sumultanément un chrono-
motre en marche, On effectue les premières mesures dès Le début do L'oxpéri—
ence pour chaque ?5 secondes : me - : mor
. -. F1 est recommandé de prendre, comme compte initial,
lo niveau du plateau dans l'eau. , Pour cette raison ox plonge le
plateau dans l'eau distillée et on fixe le niveau du plateau à l'aide du
cathétometre comme le compte initial qu'on pr:nd commezéro!s
On présente les données expérimentales dans is tableau N 2.
ae [oe
a s
NN® de | Données début de le cathétometre} du pivot
lu temps
l'expérience
| (grcond)
{ac | |
Pp
|
Je liéthode graphiques
D'après les données expérimentales des tableaux ( 1 } et ( 2 ÿ on
construit la courbe de sédimentation,
On trace les tangentes à conditions quiciles coupent en partios égales
l'ordonnée, et on posse,el oxt perpendiculaires {& partir des points de contact)
sur l'abseisse. Ces partios de l'abscisse correspondant au temps dc ia précipita-
tion compléte des particules d'une fraction,
D'eprès l'équation ( 9 ) sachant 11 valeur C on calcule les rayons
équivalents des particules complètement précipitécos vers Les moments correspon~
dents aux parties d'ordonnée
Après le calcul des rayons équivalents des particules, on mesure les
longueurs des parties de l'ordomnée coupées par Les tangentes et on les
exprime en % de la longueur totale de l'ordonnée ‘du point zéro jusqu'é la
Limite de sédimentation),
Le segment de l'ordonnée en commengant du zéro jusqu'à la première
tangente rapportée la longueur totale de l'ordonnée, présente Le contenu
des particules ( en % ) dans les limites de rayon maximal théorique à celuici,
le plus grand, déterminé selon l'équation {9) d'après la courbe sédimentaires
D'après les valeurs des sesments entre les tangentes on détermine le taux
des particules des fractions dans Les limites des rarong correspondants,
Le segment mesuré de ia pointe limite de sédimentation jusqu'à la
tangente qui est la plus proche exprime le contenu relatif des particules
dont la valeur des rayons est renfermée entre et ming
Les données obtenues de la courbe sédimentaire
sédi et de l'équation {9 )
! a | t
temps {t) | Rayon de } limites des | Segmente Contuiue des
a ra
! t $ ,
A
! | ! I
2pe a a
Qa met sur l'ordonnée le taux sommaire du con ‘enue des fractions ( g .).en
commengant “x particules les plus petites : sur l'abscisse on met les
reyons correspondants des particules. Par exemple, si dans la poudre de
fig. 5.
essayée la fraction la plus fine contient des particules aux rayons I<
3,86 p et si sa quantité rélative dans le système de dispersion êt égele
5 & 11,8 % on met 11,8 % sur l'axe d'ordonnée et 3,86 sur l'axe d'abscisse,
Si par exemple, la fraction suivante est disposée dans des limites 3,87-5,22
. et si se quantité relative est égale à 16,4 % alors sur l'axe d'ordonnée le
taux sommaire de contenue des deux fractions doit être mis, c'est-à-dire
28,2 %, sur l'axe d'abscisse 5:22M et eeee
Cette courbe et présentée sur Le figure 5. N'importe quel point de
cette courbe montre le taux (sommaire) des particules du système dont les
rayons sont plus faibles que eeux qui sont données,
D'après la courbe de distribution, on trouve des valeurs d'accrois—
pement du taux des particules : Q dans des intervalles égaux des rayons :
pour cette raison n'importe |aquelle de deux courbes peut être utilisées
Les résultats obtenues sont présentés dans le tableau 4
o LL +. 4û
Tr + fe i Q, fe . aQ ar
Le Méthode analytiques
La méthode analytique donne la possibilité d'étudier completement les
particularités dispersées des poudres
Le processus de sédimentation est exprimé par l'équations
constantes dont les unités sont exprimés par pour cent et par le temps
respectivement. On peut facilement obtenir le sensde la deuxième constante
ques Gin ~ o~
si on suppose ques G= s alors t=¢€ c'est-à-dire € - repré
2
gente le temps de demi~sédimentation, Dans ee cas om < 1 et On doit
être supérieure à 100.
Le problème d'étude de la courbe de gédimentation consiste à trouver
la quantité des particules complètement précipitées ©! est-à-dire le Hegment
Q,- “Ecrivons l'équation de tangentà la forme suivante :
Q= G, ++ 2% (2)
Eh differentiant l'équation (1) nous obtenons : -
aQ — {h40©) Om 7. Chin + , _ Own Cc (3)
Q=a 0, mt 4€ i
(4)
a -
{ el | 1 pee
en RE) nr
Q,2 0. [- re Er
i m 7 3)
ne
. (6
T° x?
d9,.. 40m Tr
dr (r? + nr? P (7)
f
2 2 / Q., ) a /' fr
we LE Le : FT. +7 6 i —
Pain = To ( “ah 1}; min © Lo 0,1 Vo 1 (8
Maintenant trouvons le plus propable rayon !, en différentiant l'équa-
tion ( 7 ) ot l'égalisant à zéro,
=O
ar 2 7 €
(r? +1)
mete (9
Alors trourons le rayon maximal lnaxe On sait que la valeur minimale de
la fonction est proche de zéro pour les plus grands rayons Vmax des
particul ess Prax doit @tre en plusieurs fois petit de la valeur maximale
de la fonction J.'ors Pring Dans ce cas on obtient
potentiel électrocinétique, V
Er
Q
temps, sec
mc
Partie expérimentale
Cette opération doit être réalisée avec une précaution {par la parois au
tube) sans mélanger Le liquide latéral et le sol au niveau Mf ~ ii .
La composition du liquide latéral à l'aide duquel est réalisé le cont—
act entre le sol et les électrodes. est. très. ‘importante. Pour : obtenir une
Limite nette entre le soliet le liquide latéral pendant 1? expéri enbe il: fait
avoir ‘l'égalité: ‘des condudtivités du sol et du liquide latéral. On: obtient:
les meilieurs résultats en utilisant un uitrafiltrat du sol comme liquide-‘
latéral, contenant les mêmes ions que le sol & examiner. |
Si les exigences aux résultats obtenus ne sont pas très rigueures , on .
peut employer comme liquide latéral la faible solution de NE. C{
5. On ouvre un peu le robinet 4 et on fait monter le sol à examiner du
niveau j:-{ au niveau pf + On effectue cette opération assez lente
ment pour exclure l'agitation mituelle de deux liquides en contact.
6, On plonge les siphons 3 dans les deux coudes du tube 1, On met
l'un des bouts du siphon dans le liquide latéral, l'autre — ‘dans le récibis
ent contenant la solution de CuSO, de 10 Le
Te On examine: le niveau du liquide latéral dans les deux coudes du
tube 7, Pour niveler (égeliser) les niveaux ( a - ia } on ajoute le
liquide latéral à l'aide de la pipette. |
8, On lie l'appareil avec une source de courant continu et on la met
en contacte
. frs | | ; | -
ma À toco | +, fos, fa |v signe
fw | mee pe és
ay
min | om cm jvotte v/en! tou ee
G + 1
voltes ;
LE a g
Poa RTE (2)
où ‘| + viscosité du milieu dispersant, Ne seo fm
F = 81 - perméabilité diélectrique relative de l'eau
E l= 8,85 , 10 > 12 farade/m ~ constante (perméabilité diélectrique
absolue du vacuum)
S~ distance de déplacement des particules colloïdales, Ï
t~ temps, sec L
H- grandient de potentiel, V/ me
TRAVAIL PRATIQUE N° 14
Partie théorique. Les molécules polymères conténant les groupes ionogénes sont
capables à dissocier dans les solvants polaires, Les polymères, qui possédent
à telles propriétés sont appelés polyélectrolytes.
Les macromolécules de certains polyélectrolytes peuvent contenir des
eupes
group fonctionnels d'acides et de bases similtanement,
E CD: rent és 7 vnères
Ce sont des polymères appelés amphotéres ou polyampholytes.
La majorité des biopolynères (des protéines) sont les polyampholytes,
Les molécules de la protéine se dissocient dans le milieu basique avec la
formation des macroions chargés négativement à cause de la dissociation des
groupes -- cool :
fonc
Re NÉE
NH net + H,0
La disséciation acide est étouffée dans le milieu acide (les ions H° sont
en excès) et les groupes basiques — NE, deviennent attaqués par bes ions
+ 4 : . ae
H avec la formation des macroions chargés positivement :
ivi 2 MH ki Lo
ee
oy,
¢
ih
ae
i~
#1
we
LOGH © * Scop be
as ec AMAL, Af i"
LP Noe.F Ja
Cet état est appelé isoélectrique. La position du point isoélectrique dépend
de la nature des substance, Dans les molécules de protéines ce sont Les
propriétés acides des groupes carboxyliques (~COOH) qui prédominent et,
par conséquent le point isodélectrique correspond aux valeurs du pH '< Te...
7 ee 4
pee oe Ÿ a a )
ou bien
q à
D= lg (4)
Ip
et elle est liée avec la turbidité d'après l'équation simple qui est obte-
nue à partir de l'équation {2) :
g= 233 1 5)
i
i.
Partie expérimentale
Tableau N° 1.
Te 2535 - 3,0:
24 1,69 ~ 3,5
3e 1,12 - 4,0
4e 0,59 - 4,5
F5, - - 5,1
6. - 0,15 "710
7 4 = 0,38 9,0
Be = 1,99 11,0
4)
ds S'1..vi Y. et donc :
en général
Fu, (4)
si i -- ordre de la particule,
Les fonctions des équations pour Le nombre total des particules (3)
et pour les particules de l'ordre. Î.sont décroissant monotonnement et pour
les ordres supérieurs - sont passant par Le maximum. (fige 1e )
Les équations (3) et (4) peuvent @tre normaliséess
QC
En désignant “oe
par N, +“. par N; et À. par +6
Ve
où & ? 4
NezLe et Ny = (5)
Pour les particules de l'ordre ?, ‘max ro (il n'y spas de maximum), pour
les particules de l'ordre 2, “= 0,5 ; de l'ordre 3, “= 1,0 ; de l'ordre
4 Es 1,5 ete
Tl est facile de voir que pour construire les courbes réeles
Ny = f (+) qui correspondent au sol a. examiner, il faut savoir Li contenant
une constante inconnue + mt - a
Le but de l'étude expérimentale de la cinétique de coagulation est
la détermination de cette constante pour le gol & examiner.
En utilisant 1 'équati on. (5) |et en sachant N il est facile de calculer
Fi et, par conséquent % .
de volume :
en ünité
Lè nombre des-pertiouTR#"
Fonctions N, (4%) Pour les particules de l'ordre i Tableau 1,
i =2 i = 3 i=4
9 | 1+9 W —_ _
(1:0)° i, 8 (420) Ne & 1(440)* i, a 1(149)9 i,
1 1,2 | 83,5
O22 1,441 69,5 0,2 1,7 11,8) 0,04 | 2,08 1 1,93 | 8.10751 2,45 | 0,32
0,5 | 1,5 4 67,0 2,25 | 44,5 0,5 3,35 } 15,0 | 0,25 | 4,9 5,1 |12,5.70f 7,55 | 1,65
PS
{144$1 | 2,4
oO
0,7 17 59,0 2,90 34,5 0,7 Sa? 14,3 0,49 | 8,4 5,8 0,34
un
1,0 2,0 | 50,0 4,0 25,0 1,0 8,0 12,5 1,0 !16,0 6,26 | 1,0 {32,0 | 3,1
1,5 1 2,5 | 40,0 6,2 16,0 1,5 15,6 3,6 | 2,25 149,0 5,8 3,40 194,0 | 3,6
2,0! 3,0 | 33,3 9,0 11,1 2,0 27,0 7,4! 4,0 181,0 4,95 | 8,0 4243 3,3
2,5} 3,5 | 28,5 ! 11,2 9,0 2,5 43,0 5,8 ! 6,3 1150 4,2 115,6 1535 2,9
3,0 4,0 25,0 16,0 6,2 3,0 64,0 4,1 9,0 1255 3,5 27,0 1030 2,6
345 4,5 22,0 ! 20,0 5,0 3,5 92,0 3,8 | 12,3 4100 3,1 143,0 {1840 } 2,3
4,0 ! 5,0 {20,0 ! 25,0 4,0 4,0 125 3,2 1 16,0 1625 2,6 164,0 $3100 } 2,05
4,5 545 18,2 30,5 3,3 4,5 166 2,7 | 20,9 {900 2,2 192,0 5050 1,8
5,0 } 6,0 À 16,7 | 36,0 2,8 5,0 1215 #3 125,0 11300 1,9 1125. {7750 À 1,6
# sf
ye
e
où Le rayon des particules primaires
Dans le cas du système polydispersé (au cours de La coagulation) c'est
le rayon moyen :: de toutes les particules qui correspond au rayon ’; et
SPOON se : RE ,
la 3’ #, correspond à *;.En exprimant -" -- = N en pourcents on a:
ie © ee ED (7)
Par conséquent, on calcule d'taprés l'expérience &, pour le sol &
examiner (t = 0) et % pour le même sol au cours de sa coagulation (si +
sont les valeurs différentes après le commeneement
de la coagulation). On
trouve N de l'équation (7) et 9 de l'équation (5), On construit le graphi-
que . 9 = f (+) ot on calcule “’ d'après ce
= ml . graphique, puisque :
(8)
où bien Mo ds Lo our À
Liu, 5
i UT “ef + ?
Be
Aors, l'égalité (9) pour 1 = Ÿém peut être écrite sorë la forme :
ne Lo I,
fo Ly me LY teen
£, Lot,
(12)
(13)
-) ¥ 7 Com) (13a)
On calcule 7 et 7
Bow
2e enneniom (17)
Il est facile de voir quien tenant compte de la derniére dquation
at l'équation (10), on a :
(18)
lg D = lgk'is lg À (19}
- 85 -
: :
pets
cell
ew ue GA,
ge À
fare
’ -£
5S
121)
Partie expérimentale
1 Ï
sd
Epaisseur de Ne au . |
Ay TE
7
Vo sal Ry à ; nm cm
|
+ | : . D 1 _ |
Di D ° D el) Ao N
min | 1 2 1 D, Ps D | ma, a 4 0
| i nm
tit eft 3 | 4 5 6 1 7 1 8 ft 9 10 | 1
- 87 —
eo,
25
V,
eh
2« On calcule la fraction volumique du latex d'après l'équation :
9 = 2. - 1
6 On construit le graphique de la dépendance © = f(t}) (fige 2) et on
tenet
TRAVAIL PRATIQUE N° 13
Partie théorique
Partie experimentale
Tebleau N° 1
1 5 4,5 0,5
2 5 4,0 1,0
3 5 3,0 2,0
4 5 2,0 330
fos 100, CV
coagulation
* ~ valeur du seuil Ge coagulation en millimoles par litre
KCL i
i ein
>
}:
;
F
i
3
i
i
iX80, |
ER
ree ne an
t
¢
:
à
;
5
5
‘
€
i
'
à
Travail pratique K° 14
Partie théorique
* dv
Pays pp (1)
où fi
- coefficient de frottement interne ou viscosité ,
* . - 2 1 1 ,
on mesure la viscosité en NN, sec/m OÙ EN Ge OM » SEC (poise).
On mesure en général les viscosités en déterminentles vitesses &'écoulement
A travers des tubes capillaires.
Les débits d'écoulement sont donnés par La loi de POISEUILLE :
a7. pré
Ve ape et (2)
om QB
| 81+v
à =cr.
af es po +
to
| (4)
" 8lv
| LL, Po Ÿo
S'il s'agit d'une solution très diluce et du solvant pur comme le liquide
de référence on a: L 4
ao
F) ane d (7)
Partie experimentale
Tableau N° 1
ia
i IT TIT Iv Vv VI
"| &prouvette
eau distillée .
wal ! 10 9 735 5,0 259 Ô
olution de
Solut ia
0 1 2,5 À 5,0 | 7,5 10
gélatine, ml
bleau
Ne 2
Température, °C 20 30 40 50 60
ec
a2
£.
*3 ave
ih
Tempe d'écoulement t,
do la solution de | Vo
la gélatine, see 3
bn
7.Le un
Fan
l
|
a
But du travail est l'étude empôirimentale du phénomène de gonflement des
gels, la détermination des caractéristiques quantitatives de La cinétique ©
de 06 DrOCESSUS»
Partic théorique
Un processus spontand, qui s'accompagne par l'absorptio
G'un liquide par un gel (gel de caoutchouc, gel polymère etc} et par
l'augnentation considérable du volume d'un corps gonflé cost appelé le gonf-
lonente
Le volume d'un corps haut--moldculaire lors au gonfloment peut agmenter
jusqu'à 7 000-1500, Ce processus est trés typiqcue pour la plupart des corps
=
où C— contraction
A, B~ coefficients empiriques .
wn’ ~ dégré de gonflenent, c'est-d-dire le quantité du liquide abserbéc
par 7 g de corps haut-moléculairo lors de son gonfloments
we à
(3)
BAF fo
ne “max
i" at
TR
€
. | 1
Puisque. nm et a sont les valeurs constantes pour un système donné à
ax 1
Partie CE
ne oxpérinent
LP PLANTE
de sécher,
~ 100 --
Tableau N° te
Substance analysée
lasse de la substance, ¢ |
solvant E
Température de l'expérience, ? °C
Pantie théorique.
En général on peut déterminer la masse moléculaire d'une substance par les
néthodes cryoscopigue et Sbulliosconiqcnue, Cos méthodes sont basées sur la
mesurc de la différence entre les températures de congélation et d'ébuili-
tion de la solution et du solvant pur, “ais dons le cas des solutions de
polymères cette différence des ternrératures ost si faible qu'elle
me mms
pas de possibilité en pratique de la surprondre. Psr conséquent il est
impoësible de déterminer la masse moléculaire des volyméres par ces métho~
dese
La masse moléculaire cs polymères donne Le caractéristique entiére du polu-
mere ainsi que l'indice du degré de polymerisation de celwi- ci
ce Heat
102
où . ~ viscosité de la solution
5 > viscosité du solvant,
La viscosité des liquides mobiles est habituellement déterminée à l'aide
du viscosinètre capillaire, Dans ce cas le liquide s'écoule sous l'effet de
son propre poids. D'après la loi de : oiseuille on à :
Fe ep (2)
' Vv
Dans Les limites des faibles concentrations la viscosité réduite est liée
avec la concentration par la relation linéaire,
Une seule valeur qui n'est pas lide avec la concentration est la limite de
la viscosité réduite à la concentration de la solution du polymère qui tend
vers Zéro : =. LLe oa, o
wt ji si
* ay!
= K (7)
où K et. sont les constantes dépendent du système solvant - polymères
Leur valeurs sont déterminées empiriquenent en mesurant les viscosités
caractéristiques des fractions avec les différents degrés de polymérisation
dont les masses moléculaires ont été déterminées var une autre méthode,
L'expérience se ramène à la détermination du temps d'écoulement des solu-
tions du polymère des concentrations différentes à travers le capillaire
du viscosimètre. Le tabloau N2 1 donne les valeurs K et . pour certains
sys témes ( polymere
€ ‘= solvait à/ s
Tals lc GAM. wf j
1°
7 ! . GS é : G
com e jm Ehy e -chlornforme 20 none a
Len ans — wee .
4 ot .
3 ‘acétate de volyvin- ‘ ep ee
Î a 250 Oye 8
se whe = jegtone fd eg St nn 1?
AU ceenrente Te aenitanete :
ay 30 (20)
5"1B|Polyisonene
BONN te tot on 50
6 Alcooi polyvinyli.- 30
que LOO we ann
Partie exnérimentale,
ilode opératoires
Tableau N° 2,
Concentration .
2 on # / “
Ne} des solutions é % to tro - $P 5 Te
du polymére en “
1 0
2 0, 025
3 0,05
4 0,1
5 6,2
a if = Geet
(8), Après avoir logarith-
EK
a | mé cette équation on obtient
A . Li te
a J Ug Moe lg samen (9) Mors
’ K
Pep a (10).
7 } lg M = tg __K
Aprés avoir antilogarithmé La valeur
‘de lg M on trouve la masse moléoul-
laire (MH) du polymère à examiners
Travail pratique N° 17
Détermination de la température de fusion et de gélification
des solutions du polymère à diverses concentrations.
Partie théorique
fig ele
&
os
a
NN
S.
38S
Lo L$500R 080%
oooo 5
.
os
:
56e
ODE
99 0000000
Beh
CD
laquelle ce système n'est pas capable de se géler : par exempte pour la solu
tion de gélatine la concentration limite est de 0,7 # 0,9 % et. pour la solu-
tion d'lagar-agar la concentration limite est de 0,2 d et ainsi de suites,
L'élevation de la température provoque l'augmentation de la vitesse du mou—
vement des molécules et des particules colloïdales, par conséquent elle :
conduità l'affaiblissement des liaisons entre les particules et dérange la
formation des gels. Les solutions de polymères se gélent dans un certain
intervalle de la température. On peut mettre aussi la notion de température
de fusion qui représente l'intervalle de la température de fluidification
des gelse La température de gélification comme d'habitude un peu plus basse
que ia température de Fusion, L'intervalle entre les températures de fusion
Partie expérimentales ,
Puis à l'aide de donnés du tableau N°1 on construit les graphiques Tous (0)
et Tel =f(C).
109 …
Travail pratique N° 18
Détermination du temps de gélification thixotropique des gels à!
d'hydroxyde de fers
4 en sec,
io¢ _expdéringnt
mzant:
Cn prépare din tubos on verre =. même dimension (les dianètres de tous les
tubes sont égamaA 10 ma et Les longæmpesont de 10,5 ex), On lubrifie à
l'intérieur de tous les tubes avec Lo invce coucie de vaschine. On ferme
un bout de tous les tubes par les bouchones, On lubrifie les bouchones aus
si 4% On met les tubes en position verticale avec Les pouwks fermés en base
N 1
. V |
W/o
oe V i
v2 V/ro
= =
"3 V/Yo
v4 “Vivo
as -
N5 - Tro |.
- _ ne.
N 6 ~The
Vv .
L . Wyo
v
N 8
V/yo
v 1
m7 Wo
W. 10 Vo/ÿo +1,
CHAPITRE
N° _T
Pravail pratique N° 20
Krk, -~ A Ie (2)
n
en à un autre se produit en ©
certain intervalle de. concentration.
La forme de. la partie I dans ce cas
CT expliqués par ‘Ta dissociation inco--
M LUE.
° Le forme. du thea tin BBpend de la, nature .
mere
‘imental
A = Æ + 1000. (3) | | .:
| Tableau 1
dits LA tee el EEE
fc Le
( R, ) x À
ye ~~ ~4 "1 2
| éq~ g/? | Oh À (Om) Ohm" om Chm” om |
*
Tableau
2
CL
leg 4 gf ra VO HK, fale] ve Jo keky lalde Le)) °
~~
A
t
Travail pratique N° 21
Détermination
de la concentration micellaire critique des corps
tensio-actifs colloiäaux
actifs collofdaux peuvent se trouvér dans les solutions sous forme des molé--
cules (des ions) dans le domaine de. concentration très petite., et ils
forment les agrecats collofdaux du tyne micellaire & une concentration
fi---
xée, Cette concentration d'un corps tensio-nctif colloidal est appelée
“concentration micellaire critique (CB C). Le processus de la formation
des micelles est un processus spontané « Dans Les solutions aqueuses à cette
concentration les groupes hydrocarbnnées des corps tensio-actifs colloïdaux
s'assemblent en formant le noyau des micelles tandis que les groupes pol
aires storientent vers l'eau Le processus-de le formation des micelles
tension—superficiclle etc,
C'est pourquoi on peut déterminer la valeur de la concentration “eriti vue
micellaire en examinant la dépendance de Ia tension superficielle en fonc-
tion de la concentration d'un corps tensio--actif colloïdal: dens la solu-—
tion. ‘Le courbe typique de cette dépendance est représentée par la figuret.
118 ~
C, mole/ft
fiat.
On peut voir que 1a tension superficielle diminue très rapidement avec
l'augmentation de la concentration d'un corps tensio-actif dans le domaine
des concentrations petites (1072 1074 mole/i)}, À partir de OMC L'augmenta-
tion de la concentration de corps tensio-actif ne provoque pas la variation
de la tensimsuperficielle, Dans ce domaine de concentration la tensim
superficielle reste pratiquement constante,
Partie expérimentale
Tensionsuperficiele., dyne/on
ee
Concentration
log © mers
de la solution,
I TT TIT |G moyenne
tre en
nole/t
ant en
see ene 08 ment
|
… 120 -
Travaii pratique N° 22
Partie théorique
La capañité des solntions aqueuses &e dissoudre les substances non gout Es
dans l'eau s'appelle disslution colloiidale Ou solubilisatione
Le dissolutioi colloldale
est une propriété très importante des solutions
des corps tensio-actifs, Elle est lige avec lew structure micellaire.
L'essentiel &e ce phénomène reside en ce que les differentes substances
organiques peuvent être dissoutes dans les micelles des corps tensio-actifs
(GTA). Ce processus est ‘: * spontané car il 8e deroule avec la
diminution de l'énergie libre du système, C'est pourquoi les solutions formées
par auite de la dissolution collofdale sont thérmodynamiquement stables, La
quantité de la substance solubilisée par une solution de CTA dépend, de la
nature de cette substance, du CTA, de la concenzration du CTA et de la
température. |
oO
cert,
7 ) o
Ky à _S \
fo 8 yk
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\ _{ À T4 4
a } we
AUN 4 on Re
O
id
de la chaîne hydrocarbonée, |
La vitesse de la dissolution colloidale est limitée par la diffusion des
molécules d'un corps organique vers la surface des mivrlles, Elle augmente
Ye = M TS. + Vi (5)
As — fe
Partie: irlocius se
Tableau Ni,
]
we quantité du corps ny 20 nt Vo
organique, ml ft. ___ +2
1 0
{ ss ns umo Der AA ANA à Ra Pee cep re ead A A nn A dm Le can
2 0, 4 r
wetted ge eee ees ara une sae taetce era nen met rm mom Bu BE mn sers 4
3 4 0, 06 \
4 À 0,08 f
5 0,10 i
at merece rites
not Ae Alena anager Haan vemfcee mont minirmunte 2e conte f es
6 0,13 i!
7 0, 16
8 0,20 .
9 0,25
nos an ne eee Terme cate aan an seme ramen wees aan thee nT eo ot
benzène pur
+ °C | 0 10 } 20 30 40 50 66
% °C 0 10 20 30 40 50 60
F |
“,afa;Pevt0,9999 | 0,9906 | 0,9982 | 0,9956 À 0,9922 | 0,9881 | 0,9832
#71, Tension superficielle @e l'eau 6” (dyne/cm)
+ oc 0 10 20 30 40 | 50 60 |
Giayne/on | 75,620 | 74,220 | 72,750 | 71,150 } 69,550 | 67,910 | 66,170 |
_!
TY + Propriétés physique de polymères
CL. Différence * Z
ae Barnes
manne pe Carmen mc
re,
\\
i C336 ont
À A4 j fy
reas
Ay+
… 129 —
1 - Commutateur d'alimentation :
2 + ampoule indicatrice du branchément de l'appareil ;
3 — prise de l'alimentation :
Mode opératoire
Mode opératoire
i
y
1 om” 1
= N . ix = 0,62 + 0,012 = 0,00744 Ohm”
18. À la fin des mesures transférer le commutateur des fonctions (1)
HLT CLL APs tra Soy om oe op yee ay cet ae our 6 d'UR orgs ne
… 139
IX... Photocolorimètre
woes ao ee
oe
DK
RÉ RD RSI ES RFA
56
Photocolorimètre ©3K--56 se compose d'un stabilisateur et d'un
monochromateur,
Mode opératoire
latte | 1? | 3 SELS 8 9 |
NE d hoto- ! t ° FE a TT pe pees f
wee teams fee ee a cen ree cae mia cum a sh en fee tafe me encor
port gauche et les cuves avec le solvant et le systames & examiner dans
le susoort droite,
6« Kettre le bouton ‘diaphragme, qui 6e trouve au «ôt£ droite du monochro-
mateur & la position ,,0" ‘échelle noire).
7. Tourner à gauche le commutateur ‘cuve qui se trouve au côté droite du
monochomat eur.
8, Mettre le commutateur ,rideau" & la position ,ouverte!
9. Regler le galvanomtre au zéro & l'aide du bouton ,diaphragme" qui se
trouve au côté gauche du monochromateur.
i
cK € oh E i. A
saanji
0,10 0,003 0,40 0, 079
i
0,70
0,11 0, 004 0,41 0, 083 0,71
i
i 5.12 0, 005 0,42 0, 087 0,72
0,020|
4
0,22
i! 0,23 6,022) 0:53
0,24. 0,04 À 0, 54 :
0,25. 0,027 |i 0:5 . 015 i!
0,26 0,030 D; 56
TABLE
DES _EATTERES
Avant HTOPOS STE TETE TITI TR TITI TETE TETE TEE TPE ET IEEE EEE ET 3
>
i
LV
.mavail pratique N 17, Détermination de La température de fusion et de
“élification des solutions d'agar-agare ssesressocesovessesssercesses ss 106
toavail pratique N 16, Détermination du temps de gélification thixotropi-
APPENDT CES
TT sDensi té de l'éBlscovossosooesessesensvecseessenenersvesacvcessessaaus 17
par
ATELIER de 1! INI
ALGERTIE, Boumerdés 4 LC e d. PSE