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Très cher Stefan,

Si vous saviez comme je me languis de vous. Combien


de temps pourrons-nous encore sauvegarder les apparences ?
Nous ne manquerons pas un jour d’être découverts.
J’ose à peine vous regarder quand vous nous rendez visite,
de peur que mes yeux ne révèlent l’amour qu’abrite
mon cœur. Ne voyez-vous pas de quelle manière
je tremble quand je dois vous accueillir et que nos mains
se touchent, n’épié-je pas le moindre de vos…

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