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I.

Introduction

Le tourisme comprend les activités déployées par les personnes au cours de leurs voyages et séjours dans des lieux
situés en dehors de leur environnement habituel pour une période consécutive qui ne dépasse pas une année, à des
fins de loisirs, pour affaires et autres motifs non liés à l'exercice d'une activité rémunérée dans le lieu visité.

Située au large de la côte orientale de l’Afrique, dans l’océan indien, Madagascar est la cinquième plus grande ile du
monde. Madagascar a accueilli 87.100 de touristes en 2020, ce qui les place au 173e rang mondial en termes absolus.

II. La meilleure période pour visiter Madagascar est sans doute entre septembre à décembre. Pourquoi  ?
1.1. Une douce météo d’été

Une météo parfaite vient vous garantir un très beau voyage : la mer est à 27° C minimum, le soleil est radieux aux 4
coins de l’ile. Partez pour les lagons turquoises du canal de Mozambique ,les criques peu connues de l’Océan Indien,
le canal des Pangalanes ou encore St Marie.

1.2. Les tsingy de Bemaraha sont encore accessibles

Les célèbres Tsingy de Bemaraha sont accessibles jusqu'à la mi-novembre. C’est le moment de voir ces formes
géologiques hors du commun aussi appelées cathédrales de pierre dont l’origine irait jusqu’au grand déluge, au
temps de Noé et son arche. Un endroit qu’il faut visiter au moins une fois dans sa vie.

1.3. La faune se laisse observer facilement

La période située entre le moins de septembre et décembre correspond au printemps sous les tropiques  : la nature
s’éveille ,les plantes sont en fleurs ,les arbres portent leurs premiers bourgeons, les animaux en profitent et
n’hésitent pas à être plus téméraires face à cette soudaine abondance. C’est pourquoi ils sont faciles à observer. C’est
aussi le moment où les lémuriens donnent naissance à leurs petits. Que de belles raisons de s’émerveiller !

1.4. Les fosa sortent de leur cachette

La période d’accouplement du fosa se situe entre fin octobre et mi-novembre .C’est le moment où l’homme a le plus
de chance de l’observer dans son milieu naturel qui est la foret sèche de Kirindy, au sud-ouest de  Madagascar ,non
loin des Tsingy de Bemaraha et de l’allée des Baobabs.

1.5. La meilleure période pour visiter le parc national du  Masoala

Le plus vaste parc national de l’ile est en éveil avec l’arrivée du printemps à Madagascar. La nature s’enthousiasme, ce
qui facilite l’observation des très nombreux animaux de l’aire protégée : le lémurien à fond blanc, le très rare Vari
Roux, le coua bleu, le sublime Eurycère de Prévost …

1.6. Nager avec l’inoffensif requin-baleine à Nosy-Be

Du mois d’octobre jusqu’au mois de décembre, le plus grand poisson du monde est dans les eaux de Nosy-Be . Que
dites-vous d’aller à sa rencontre ? Comme cet animal impressionnant est totalement inoffensif, il n’y a aucun risque à
l’approcher, en suivant certaines règles tout de même.

1.7. Antananarivo se pare de ses plus beaux atouts

Avec l’arrivée de l’été à Madagascar, les jacarandas sont en fleurs. Elles tapissent l’avenue de l’indépendance et le lac
Anosy de sa belle couleur violette et couvrent la capitale d’un beau duvet pastel. Les amoureux de la photographie ne
voudront pas rater cela.

III. Le tourisme naturel

Le tourisme naturel se concentre sur les parcs naturels du pays. La faune et la flore de Madagascar sont en effet les
mieux préservées au monde. La Grande île abrite de nombreuses espèces endémiques dont l’ensemble des espèces
de lémuriens. Plages, sables fins, cocotiers, forêt tropicale, récif corallien, faune et flore exceptionnelle, Madagascar
est une destination de rêve pour les amoureux de la nature et des paysages tropicaux.

1) Les parcs nationaux


i. Au Nord
a) Le parc national de Masoala

Masoala est la plus grande biodiversité de Madagascar. Situé dans le nord-est, le parc national de Masoala comprend
3 parcs marins :Tampolo ; Ambodilaitry et Ifaho de 100km2 ,une foret tropicale et parc terrestre de 2300 km2, des
oiseaux et des reptiles et 10 espèces de lémuriens comme l’Aye-aye. Il y a aussi de nombreuses espèces végétales
dont les essences comme le bois de rose, le bois d’ébène, le palissandre et aussi de nombreuses espèces animales
comme le lémurien à front blanc, le Vari Roux, le coua bleu, l’Eurycère de Prévost … . Par contre aller à Masoala coute
assez cher par rapport à d’autres parties de l’ile. C’est une des plus grandes zones protégées de tout Madagascar.

b) Le parc national de Marojejy

C’est un parc national dans la région de la SAVA au nord-est de Madagascar. Il couvre 55  500 ha sur le massif
Marojejy, une chaine de montagnes qui culmine à une altitude de 2 132 m. Il abrite une diversité de plantes et
d’animaux. Il y a 118 espèces d’oiseaux dont le Siketribe, environ 150 espèces de reptiles et d’amphibiens et 11
espèces de lémuriens comme le Simpona, 275 espèces de fougères, 35 espèces de palmiers, plus de 2000 espèces de
plantes à fleurs comme les orchidées, les euphorbias ou les gingembres sauvages.

ii. Au Sud
a) Le parc national Tsimanampetsotse

Dans le Sud Ouest de Madagascar, il y a un Parc National qui se démarque par son âge : Tsimanampesotse. Créé en
1927, il est un des précurseurs de la Convention de Londres de 1933 qui agit pour la protection de la faune et de la
flore en Afrique. Les 43 200 hectares du Parc protègent une zone calcaire et une zone côtière. Ce sont les oiseaux qui
font l’objet d’attraction du parc, avec les 112 espèces. Pour bénéficier des meilleures vues de paysages, il faut venir
au Parc entre Mars et Décembre. Par contre les flamants roses, sont nombreux entre avril et novembre.

b) Le parc national d’Isalo

Situé à 289 Km au sud de Fianarantsoa et à 250 Km de Tuléar. S’étend sur une superficie de 8.1540 ha, le massif de
l’Isalo est un plateau de grès continentaux datant du jurassique. Fortement érodé et coupé par de profond canyons
de plusieurs kilomètres de longueur. Le parc dispose d’un écosystème à part. Une végétation rupicole endémique,
faite d’aloès, d’euphorbes, de pachypodes et kalanchoes, pousse sur les grès exposés. On y découvre des monuments
sculptés naturellement comme la Fenêtre, la Botte, le Loup, la Reine… des piscines naturelles.

c) Le parc national de Ranomafana

Ce parc se trouve à 412 Km d’Antananarivo, dans la région Vatovavy. Sa superficie de 40  601 ha couvre
essentiellement une foret dense humide jusqu’à une altitude de 1400m. Ce site classé Patrimoine mondial abrite une
faune et flore riches et variées. On y trouve plusieurs espèces végétales endémiques  : palmiers, orchidées, pandanus,
fougères, bambous, etc.

Concernant la faune, on y trouve : 12 espèces de lémuriens, 6 espèces de poissons, 74 espèces d’insectes, 90 de


papillons, 350 espèces d’araignées, 6 espèces endémiques de crustacés, 58 espèces de reptiles, 98 espèces
d’amphibiens, 115 espèces d’oiseaux de Madagascar dont la plupart est endémique,7 mammifères carnivores,20
insectivores, 7 espèces de chiroptères dont le myzopoda qui n’existe qu’à Madagascar, 13 espèces de rongeurs.

iii. Au centre

Le parc de Tsimbazaza

Le parc botanique et zoologique de Tsimbazaza, est un point à la fois naturel et culturel incontournable pour un
touriste en visite dans la capitale malgache. Situé en plein centre-ville, il vous offrira un avant-goût de la faune et de
la flore malgaches. Alors, soyez au rendez-vous en visitant ce lieu en admirant sa vitrine écosystémique (lémuriens,
reptiles, flore comme des pépinières, de plantes rares et endémiques à Madagascar, etc.).

iv. A l'Est

Le parc national d’Andasibe-Mantadia

Connu sous le nom de Perinet, le parc national d’Andasibe-Mantadia se trouve à l’est de la capitale d’Antananarivo à
Madagascar par la RN2. Ce parc national est divisé en deux zones, le parc national de Mantadia et la réserve
Analamazoatra. Avec ses 11 espèces de lémuriens, c’est un des parcs les plus faciles à visiter. Les amoureux de
l’écotourisme seront très contents, car il y a une faune et une flore exceptionnelle.

v. A l'Ouest
a) Le parc national Zahamena

Le parc national Zahamena, près du lac Alaotra, a une superficie de 65 000 ha. Il renferme de nombreuses faunes et
flores endémiques de la région et de Madagascar dont le Zahamena (arbre de couleur rouge très dur à travailler).
Classé patrimoine mondial par l’UNESCO, il abrite 13 espèces d’amphibiens, 46 espèces de reptiles, 425 espèces
d’insectes, 112 espèces d’oiseaux, 151 espèces de ptéridophytes, 60 espèces d’orchidées, 22 espèces de palmiers, 10
espèces de pandanus, 511 espèces de plantes ligneuses. 3 circuits peuvent se faire dans le parc d’une durée de 3 à
8h. Vu l’enclavement du site et la difficulté des circuits existants, le parc est conseillé pour les sportifs, les
randonneurs et les naturalistes avides de la vraie nature à caractère sauvage

b) Le parc national des Tsingy de Bemaraha

C’est un site naturel unique au monde. Véritable cathédrale de calcaire, le Tsingy de Madagascar offre un paysage
complètement lunaire en raison de ses formations géologiques particulièrement spectaculaires. Il faut cependant
donner de sa personne pour pouvoir y accéder et ne pas avoir le vertige. On y trouve 7 espèces de lémuriens comme
le fameux lémurien Sifaka Deckens ; endémique de Madagascar.

2) Les iles et les mers


a) La mer d’Emeraude :

C’est un lagon de Madagascar situé dans la baie de Diego Suarez, à l’extrême nord du pays. La mer d’Emeraude est
protégée par une barrière de corail avec une couleur qui est le résultat du fond de sable blanc et de la faible
profondeur de ses eaux.

b) L’ile Sainte Marie ou ile Boraha :

C’est une petite ile au large de l’est de Madagascar avec des plages paradisiaque. Avec des plages bordées de
cocotiers, des eaux claires, une foret tropicale et des récifs coralliens, Sainte-Marie est particulièrement populaire
pour les touristes européens. C’est l’une des attractions touristiques de Madagascar

c) Nosy-Be

L’ile de Nosy-Be surnommé « l’ile au parfum » est également un endroit à ne pas rater, avec ses senteurs envoutantes
de l’ylang-ylang. Cocotiers, plages de sables tropicales, plantations d’ylang-ylang , large éventail d’hôtels, dans toutes
les gammes de prix, c’est l’un des sites balnéaires qui attirent des milliers de touristes dans le monde. Les gens se
bousculent pour venir profiter de l’eau turquoise, des eaux calmes et des restaurants de fruit de mer. L’île de Nosy Be
est la plus grande île de Madagascar et est célèbre pour diverses choses : le climat splendide tout au long de l’année,
les sites de plongée fantastiques, l’atmosphère détendue et les lémuriens. La magie des paysages volcaniques se
combine avec l’enchantement des plages : parmi elles, la plage d’Andilana, considérée comme la plus fascinante de
l’île. Le paysage est composé de deux baies jumelles, peintes à coups de pinceau de blanc, de vert et de turquoise  :
les contrastes entre le sable fin, la pureté des fonds marins, les palmiers et les mangroves qui encadrent la plage sont
vraiment magnifiques. Pendant le week-end, les familles locales aiment s’y retrouver pour faire la fête jusqu’au
coucher du soleil.
3) D’autres sites touristiques :
i. Le palais de la Reine

Le palais de la reine d’Antananarivo fut la demeure des rois et reines de Madagascar au 19 e siècle. C’est l’un des
monuments qui vaut le détour. Il est construit en bois par le Français Jean Laborde et entouré de murs de pierre par
le missionnaire anglais James Cameron.

ii. Le tsingy rouge d’Antsiranana

Situé à 50 Km de Diego Suarez, au sud d’Antsiranana, les Tsingy rouges sont un véritable miracle et chef d’œuvre de la
nature. Le mot « tsingy » signifie « marcher sur la pointe des pieds ».

iii. Le massif d’Iankarana

Situé dans la région nord du pays, le massif de l’Iankarana est connu pour ses formations rocheuses calcaires
appelées « tsingy ». Ce massif est constitué de vastes réseaux de grottes et des canyons, d’un lac sacré, de 60
espèces de reptiles et amphibiens et de plusieurs espèces de lémuriens.

iv. Le massif d’Andringitra

Au sud de Fianarantsoa ,Andringitra est l’un des parcs de montagnes allant de 650 à 2658m, ses vallées profondes, sa
faune extrêmement riche et ses crêtes.

v. Le village et la colline royale d’Ambohimanga

Le village d’Ambohimanga est inscrit sur le patrimoine mondial de l’UNESCO en tant que symbole de l’identité du
peuple malgache depuis 500 ans. En effet, ce village a depuis toujours abrité la famille royale merina de Madagascar.

vi. L’avenue des baobabs

Dans l’ouest de Madagascar, entre Morondava et Belon ‘i Tsiribihina. C’est un groupe de grandidieri de 30 m qui sont
implantés sur le chemin de terre. L’avenue des baobabs est un des sites les plus populaires et les plus photographiés
de l’ile. Pas contre, ce site est gratuit, il n’a pas de centre d’accueil des visiteurs ni de droit d’entrée.

IV. Le tourisme sportif

Le tourisme sportif se développe également à Madagascar. De nombreux amoureux de sports nautiques se donnent
rendez-vous dans les environs d’Antsiranana (Diégo-Suarez) dans le Nord du pays, pour pratiquer kitesurf et windsurf. La
saison annuelle de vent dure de fin mars à fin novembre. Elle figure parmi les plus longues et les plus fortes au monde.

Nous pouvons, par exemple, faire ces activités à Madagascar :la parapente, l'escalade, le surf, le windsurf et le kitesurf,
le kayak de mer, la nage en eau vive, le canoë, le rafting, la voile, la pêche, la plongée canyoning, le base jump, l'accro
branche, la spéléologie, le VTT, le parachutisme, le ulm-paramoteur, la moto, le quad.

V. Les avantages du tourisme à Madagascar

En 2020, Madagascar a généré environ 176,85 millions d’euros dans le seul secteur du tourisme. Cela correspond à
1,4 % du produit intérieur brut et à environ 4 % de toutes les recettes touristiques internationales en Afrique de l’Est.

Selon les Tananariviens, le tourisme à Madagascar peut aussi servir dans le domaine du travail. Plus de touristes
génèrent la nécessité de créer du travail, pas seulement pour les guides touristiques, mais aussi les hôtels, les
restaurants, et bien d’autres. L’on peut donc dire que le tourisme engendre une diminution du chômage (10%) à
Madagascar. Ces bienfaits sont complémentaires et se font en chaîne pour arriver à l’objectif ultime, le
développement. Le tourisme est un secteur clé de l’économie nationale tout en étant pourvoyeur de dizaines de
milliers d’emplois directs. Sa part dans le PIB national est de l’ordre de 7%.
Le profit économique (39%) est certainement le plus grand bienfait apporté par le tourisme pour Madagascar. À part
les différents échanges économiques, on peut aussi citer les échanges culturels entre les résidents et les touristes
(13%), et évidemment, le transfert de technologie et de télécommunication (25%).

VI. Les problèmes du tourisme à Madagascar

Le principal blocage du développement du tourisme à Madagascar est, en effet, son image à l’international.
Madagascar est réputé surtout par son insécurité, la corruption, la pauvreté, etc... Le pays souffre également de
problème de visibilité.

C’est assez accablant, mais la triste vérité est que les sites touristiques à Madagascar sont encore insécurisés. En
effet, l’insécurité domine encore et toujours comme le premier sérieux problème du tourisme à Madagascar, d’après
51% des personnes sondées.

S’il devait y avoir une seule raison de venir à Madagascar, ce serait certainement pour découvrir la richesse de sa
biodiversité condensée dans ses parcs nationaux. Une richesse malheureusement menacée par la soif de
développement économique du pays.

Un autre blocage empêche aussi le tourisme de se développer à Madagascar : une grande partie des sites touristiques
sont libres d’accès. Une entrée gratuite pour tous, que ce soit pour les Malgaches ou les étrangers.

VII. Les solutions pour développer le tourisme à Madagascar

Le tourisme durable

Synonyme de tourisme responsable, c’est une manière de découvrir le pays tout en participant au développement du
territoire et de la population.

Qu’est-ce que le tourisme durable à Madagascar  ?

Prendre soin de la nature et de l’environnement est un pari de taille que de nombreux établissements hôteliers ont
choisi de risquer. Le tourisme durable est une notion qui va au-delà de l’écotourisme puisqu’en plus de s’intéresser à la
protection de la nature, elle veille aussi à réduire son impact sur la culture et l’économie locale. Elle mise surtout sur le
développement économique à long terme tout en préservant les ressources environnementales, culturelles, sociales du
site et de la population locale mais aussi dans le respect des clients et du personnel.

En clair, le tourisme durable s’inscrit dans un système qui prend en compte les modes de déplacement, la production et
la consommation écoresponsable, la construction en règle avec l’écologie tout en n’oubliant pas d’intégrer la population
locale au projet afin de profiter conjointement des retombées économiques. Cela implique donc aussi une participation
de la part des touristes et du personnel hôtelier qui doivent être conscients de leur responsabilité quant à la
préservation du site.
La différence de l’écotourisme au tourisme responsable est le contexte en pleine nature. En voyageant, vous contribuez au bien-être
de la population, de la faune et de la flore de votre terre d’accueil.

Le tourisme équitable

Il concerne surtout le rapport entre les voyageurs et la population locale. Il permet à cette dernière de profiter du
passage des premiers afin d’en tirer des avantages socio-économiques. Le tourisme équitable va de pair avec
l’amélioration des conditions de vie.

Le tourisme solidaire

Indissociable du tourisme équitable, cette forme de tourisme alternatif fait participer la population locale à un projet
touristique. Le tourisme solidaire met alors l’individu et la rencontre au centre du voyage. L’échange de culture est
incontournable.

L’éco volontariat
Se présentant sous forme de mission, c’est du bénévolat visant à apporter du soutien à des actions de protection de
l’environnement et à des recherches sur terrain en compagnie des scientifiques tels que les océanologues et les
botanistes.

En ce qui concerne les hôteliers, il y a plusieurs façons d’agir en faveur de la planète. Le concept d’éco lodge en fait
partie. Il consiste à aménager des infrastructures d’accueil viables et en harmonie avec la nature.
Source  : By Hôtel Restaurant gourmand Coco Lodge Majunga

Construire une offre avec une dimension durable.

Ne pas mettre de côté le digital.

Imposer des tarifs d’accès dans les sites touristiques pour les étrangers

Rester à l’écoute des nouveaux concepts touristiques

Solutions axées sur des techniques de relance des destinations : communication de crise, gestion de crise, mobilité,
valorisation de la marque des destinations touristiques, rétablissement de la confiance des voyageurs, entre autres
domaines connexes.

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